Bulletin novembre 2012

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Un Automne41
Comité départemental du Souvenir des Fusillés de Châteaubriant et Nantes et la Résistance en Loire Inférieure
Associer le centenaire de 1914 à la commémoration de la
Libération constituerait un mélange des genreS
et une véritable régression mémorielle,
la défaite de la volonté de comprendre.
Ne laissons pas faire !
SO M M AI RE
p1: Déclaration 11 novembre
p2: Le 15 Décembre nous serons à La BLISIERE
La mémoire vive des cérémonies d’octobre à
Châteaubriant, Nantes, Indre.
p3: Le 70e anniversaire des
« procès des 42 et des 16»
p4: Résister à Nantes
Des livres à lire.
Rejoignez-nous
Résister à Nantes
tais
Conférences sur les deux procès nan
ns
tisa
Par
et
des Francs Tireurs
En partenariat avec
le musée d’histoire de Nantes,
au château des ducs de Bretagne
Rencontres avec des historiens,
et des témoins.
Jeudi 21 Mars 2013 de 18 à 21 h
avec Roger BOURDERON
et Guy HAUDEBOURG
Vendredi 22 Mars 2013 de 18 à 21 h
avec Dominique BLOYET et
Xosé Lois CARRION
Voir le programme p 4
Le Conseil des ministres du 3 octobre, en créant une mission chargée de
préparer la commémoration des anniversaires des deux guerres mondiales, justifie ce
mélange des genres évoquant « la continuité des deux conflits »
Régulièrement émerge la remise en cause des grandes commémorations
nationales patriotiques, dans le but de les banaliser et de les vider de leur sens historique
et des valeurs qu’elles portent.
La majorité UMP, le 28 février 2012, votait une loi sur le sens du 11 Novembre
servant l’objectif d’uniformisation de la mémoire. Projet que condamnait alors le
candidat socialiste F. Hollande, mais dont le ministre délégué aux Anciens combattants
dans son message du 11 novembre, affirme que son « sens élargit la portée du
11 novembre à l’ensemble des morts pour la France... et qu’elle s’inscrit dans une
politique commémorative ambitieuse... »
L’objectif est d’entretenir la confusion et l’oubli de la spécificité de toutes les
guerres auxquelles notre pays a été confronté, alors qu’il est de tradition, dans notre
République, de rendre hommage aux anciens combattants de chacune d’elles, à chaque
date anniversaire historique de la fin de chaque conflit.
Si nous ne voulons pas que toutes les mémoires soient amalgamées, c’est tout
simplement pour que chaque génération réfléchisse et tire les enseignements de chaque
guerre.
Le 11 Novembre 2011, le message de N. Sarkozy: mêlait indistinctement tous
les champs de bataille. Il accréditait ainsi l’idée que le combat des poilus sacrifiés à
Verdun en 1916, aurait le même sens que la mort de nos malheureux engagés militaires
français tombés dans les guerres coloniales. Est-ce que mourir sous les balles et les
obus nazis, dans le verrou de Sedan ou au Mont Valérien, a la même signification que
d’être, tué sur les rives du canal de Suez en 1956 ? En confondant des événements et engagements qui n’ont pas la même portée
historique et humaine, le risque est que tout soit fondu dans une même condamnation
abstraite de la guerre, qui empêche de réfléchir sur ses causes. En ne distinguant plus
les situations, en unifiant les conflits, on aboutit à une vision aseptisée de l’histoire et
de la mémoire collective, qui ne permet plus de comprendre le passé et de construire
lucidement l’avenir. Mais sans doute est-ce là l’objectif recherché, si l’on en juge par la
place désormais accordée aux programmes d’histoire dans l’enseignement secondaire.
Fort justement, des associations d’anciens combattants, des historiens et
des enseignants de cette matière s’en émeuvent. Et ils regrettent aussi que dans les
bre
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Dé
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Sa
nouveaux programmes d’histoire, les guerres soient envisagées comme un tout,
parfois traitées ensemble, ce qui conduit à des rapprochements erronés ou fallacieux.
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ER
ISI
A la BL
Rassembler les conflits du vingtième siècle dans le concept flou de « guerre totale »
réduit ces conflits aux efforts et souffrances qu’ils ont engendrés, sans en aborder les
Forêt de
Juigné des Moutiers
14h30
Hommage aux 9 fusillés
du 15 décembre 1941
(voir p 2)
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enjeux, sans évoquer la contextualisation politique et idéologique de ces catastrophes
successives.
En privilégiant la « folie des hommes », pour reprendre les mots de l’ancien
Président Sarkozy, enseigner l’histoire des guerres reviendrait seulement à extirper
le mal, le mal présent en chacun de nous. À cette aune, tout se vaut, et c’est alors la
défaite de la volonté de comprendre.
Nous remercions le Député André Chassaigne pour sa contribution à cette réflexion
Comité départemental du souvenir des fusillés
de Châteaubriant et Nantes
et de La Résistance en Loire Inférieure.
Novembre 2012
www.resistance-44.fr
Samedi 15 Décembre 14h30, A la BLISIERE, Forêt de Juigné des Moutiers
Hommage aux 9 fusillés du 15 décembre 1941
°°°
Nous avons obtenu l’accès au monument de la Blissière pour la première fois depuis la fermeture du chemin
forestier privé. Le 15 décembre, participez à l’hommage pour montrer la validité de notre demande.
Nous allons honnorer la mémoire d’ Adrien AGNES, Louis BABIN, Paul BARROUX, Raoul GOSSET,
Fernand JACQ, René PERROUAULT, Maurice PILLET, Georges THORETTON, GeorgesVIGOR,
fusillés à la BLISIERE en Forêt de Juigné des Moutiers.
Guingette de La Blisière,
aujourd’hui détruite, où
les fusillés ont écrit
leur
dernière
lettre
avant d’être massacrés
à quelques dizaines de
mètres dans cette forêt
où nous fleurirons le
monument.
Fernand GRENIER dans
«Ceux de Châteaubriant» rappelle
le récit de Gaston Monmousseau, les
derniers moments de ses hommes, leur
courage, leur dernier message pour
leurs camarades et dernière lettre à leur
femme et leurs enfants.
POUR SE RENDRE A LA BLISIERE
Arriver à Châteaubriant par la rocade et suivre la direction Laval.
300 mètres avant le rond-point F Grenier, prendre le D 34 vers Juigné des Moutiers.
Après la traversée de la forêt, passer le lieu-dit “ La Teillais” ,
une fois à nouveau dans la forêt au premier carrefour prendre à gauche.
( Si, vous arrivez par Juigné des Moutiers: passez devant l’église, direction
Châteaubriant et dans la forêt au premier carrefour prendre à droite.)
Suivre la route jusqu’à la sortie de la forêt. Vous trouverez la stèle à 100m sur votre
droite. Le rendez-vous est fixé à la hauteur de celle-ci pour ensuite aller à pieds.
Chaussures de marche ou bottes recommandées
Les Cérémonies du 71e anniversaire montrent
la vivacité de la mémoire des 50 otages
La participation aux différentes manifestations du mois
d’ octobre en hommage aux fusillés de Châteaubriant, Nantes et
du Mont-Valérien, l’atteste: notre travail permet de garder vive
la mémoire des fusillades d’Octobre 1941.
Malgré les conditions atmosphériques de cette année, à Indre,
à Nantes, à Châteaubriant, le public répondit et montra un
intérêt renouvelé pour l’évocation artistique et historique.
Remercions l’OCCE et les enfants et enseignants de l’Ecole
Ledru ROLLIN de Nantes qui, repliés à l’Hôtel de Ville, nous ont
présenté une émouvante et dynamique version de «continuons la
vie».
Merci aux enfants de la commune d’Indre pour leur participation
chargée d’émotion. Félicitations à Claudine Merceron et aux acteurs
du Théatre Messidor et à tous les bénévoles pour leur concours.
Un grand merci également aux techniciens, aux services municipaux,
aux Villes de Châteaubriant, Nantes, Indre, Saint‑Nazaire ... aux
parlementaires et élus présents.
Merci, aux orateurs à Indre, G LeFloch à Nantes, André
Chassaigne à la Sablière.
Retrouver les allocutions sur notre site : www.resistance.
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Comité départemental du souvenir des fusillés
de Châteaubriant et Nantes
et de La Résistance en Loire Inférieure.
Novembre 2012. p2
www.resistance-44.fr
Un collège
Marcelle BARON
sera inauguré à Héric
le 15 décembre à 10 h,
Pendant
la
guerre
1939-1945, les cités des
Batignolles ont été un des
principaux foyers de la
Résistance dans la région
nantaise, et les femmes
y ont joué un grand rôle.
Marcelle Baron a été
une de ces Résistantes.
Elle travaillait alors chez
Brissonneau, et son mari,
Alfred Baron, ajusteur aux
Batignolles, qui était un des
responsables syndicaux
(CGT) de son usine,
avait été fait prisonnier
à la suite de la défaite
de 1940. Marcelle entra
dans la Résistance. Elle
cachait des clandestins,
des évadés, distribuait
des tracts, devint agent de
liaison dans la résistance
communiste, créa l’Union
des Femmes Françaises
clandestine. En mars
1944, elle était arrêtée,
déportée en Allemagne, à
Ravensbrück
Photo-reportage à
INDRE
Il y a 70 ans, en 1943, à Nantes
Les FTP des «procès des 42» puis ceux du «procès des 16» étaient fusillés par les nazis.
Le 15 janvier 1943, le « Procès des 42 » s’ouvre au Palais de Justice
de Nantes. En fait, le Conseil de Guerre de l’armée allemande juge 43
hommes et 2 femmes. Du 15 au 28 janvier 1943, les 45 inculpés sont
amenés, enchaînés devant la cour martiale allemande présidée par le
Dr Hanschmann, le procureur étant le Dr Gottloeb. Seuls peuvent assister
aux séances les avocats (Guineaudeau, Lerat, Lauriot, Mouquin et Pascal,
Samedi 9 février 14 h à Sainte-Luce
inauguration d’une statue en hommage aux aidés du traducteur Duméril), quelques officiels et des journalistes
asservis à l’occupant. Une grande partie des entretiens se fait en allemand
époux Losq
et le réquisitoire n’est pas traduit aux accusés qui n’ont pu s’entretenir
Jeudi 14 février 17h 30
avec les avocats avant le procès.
Maison des Syndicats Nantes
Membres de l’Organisation spéciale (OS), créée par le parti
Tables mémoriales
communiste, ils vont devoir répondre, pendant deux semaines, de 49
Hommage aux syndicalistes morts pour la
chefs d’accusation allant d’attentats contre l’occupant à l’exécution de
France.
« collaborateurs » ou au vol de tickets d’alimentation. Ils savent que leur
Allocution de l’UL CGT Nantes.
vie est en jeu.
Le contexte, en effet, n’est guère favorable à la mansuétude des autorités
Vendredi 15 février à Nantes
inauguration d’une salle Claude MILLOT allemandes.
au centre des impôts
Depuis un an, les actes de sabotage se sont multipliés dans la
Basse‑Loire, la plupart à porter au crédit de l'OS et le souvenir de
Samedi 16 février à 10h30
l’exécution du Feldkommandant Holz, le 20 octobre 1941 par de jeunes
terrain du Bêle à Nantes
communistes, est encore très présent dans les mémoires. De plus, en dépit
cérémonie avec la participation d’artistes, des nouvelles rassurantes véhiculées par la presse collaborationniste, tel
allocutions, inauguration de rues portant les -Le Phare-, les combats qui font rage à Stalingrad remettent en cause la
noms des Résistants.
suprématie des armées du Reich en Europe.
Réception.
Enfin, les exactions allemandes de toutes sortes, les réquisitions de
plus en plus nombreuses de jeunes pour l’Allemagne, commencent à
Samedi 16 février à 16 h à Rezé
faire basculer les esprits dans un sens favorable à toutes les formes de
cimetière Saint Paul
résistance.
Hommage aux fusillés
Théâtre municipal:
D’évidence, les autorités allemandes veulent l’exécution de tous les
Spectacle avec les enfants
accusés. Quelque soit le motif initial d’inculpation, 37 accusés sont
considérés comme des « francs-tireurs » et condamnés à mort. Trois
Dimanche 17 février à 11 h
inculpés de vol sont condamnés à diverses peines de prison. Trois autres
à la Chapelle Basse-Mer
sont acquittés faute de preuves bien que le tribunal ne les juge pas
Cimetière: Carré des Républicains
innocents. Deux d’entre eux sont d’ailleurs déportés (Roger Guédon et
Espagnols: hommage aux fusillés
Ernest Le Goff).
par un représentant de l’ACER*.
Aussi, Allemands et collaborateurs de tout poil cherchent-ils à
Salle Municipale la Chapelaine:
criminaliser les résistants
Banquet.
La presse collaborationniste exulte.
Après-midi avec des écrivains
et partie artistique.
Les faits, mal éclaircis pour les deux femmes Renée Losq et
Marie Michel, sont renvoyés à un complément d’enquête. Celles-ci sont
Le détail de ces journées seront sur notre
déportées.
site www.resistance-44.fr
Le 28 janvier 1943, le ministère public allemand est satisfait. Le tribunal
a suivi son réquisitoire.
*
Amis des
Les demandes de grâce signées du Préfet, du Maire de Nantes, de
Combattants en Espagne
l’Évêque et du Pasteur n’entament pas la détermination des Allemands.
Républicaine
En dépit du délai de grâce qui va jusqu’au 2 février, dès le 29 janvier, 
9 condamnés sont fusillés au terrain militaire du Bêle à Nantes.
Commandez
25 autres le seront le 13 février 1943.
le DVD
Les trois derniers sont exécutés le 7 mai 1943.
15€ frais
De nouvelles arrestations surviennent; en août un nouveau simulacre de
procès dit des 16 se déroule et se conclue par encore 13 exécutions.
d’expédition
Les cérémonies du
70è anniverssaire
inclus
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Comité départemental du souvenir des fusillés
de Châteaubriant et Nantes
et de La Résistance en Loire Inférieure.
Novembre 2012. p3
[email protected]
La politique du Parti
communiste français pendant
la Deuxième Guerre mondiale
En partenariat avec le Musée d’Histoire de Nantes du Château
des Ducs de Bretagne, le Comité départemental du souvenir des
fusillés de Châteaubriant et Nantes et de La Résistance en Loire
Inférieure. organise une série de conférences et rencontrestémoignages en marge de la grande exposition:
« En guerreS, 1914-1918 / 1939-1945, Nantes Saint-Nazaire »
http://www.chateau-nantes.fr/expositions/actualites
Résister à Nantes
Jeudi
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21 Ma h
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18 à 2
Roger
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Gisèle Duguy
Henri aunet
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Marce
V
oici, la carte d’adhérent du Comité du Souvenir des Fusillés de
Châteaubriant et de Nantes et de la Résistance en Loire Inférieure pour
l’année 2013.
Les importantes manifestations du 70è anniversaire l’an passé, les 2.000
participants réunis dans la sablière encore cette année, ceux aussi venus par
centaines à la veillée de Nantes, au défilé d’Indre ... sont autant d’encouragements
à poursuivre notre travail de mémoire.
Celui-ci demeure d’une impérieuse nécessité. Et ce ne sont pas les décevantes
positions du gouvernement à propos de la mémoire qui viennent nous
démentir. Certes le premier ministre a inauguré le mémorial du camp des
milles, mais le 5 décembre reste cette année une date officielle alors que les
cendres d’un Bigeard sont transférées avec les honneurs et en présence de deux
ministres, ceux de la défense et des anciens combattants. Ce dernier ne s’était
pas même déplacé au congrès national de la FNDIRP en mai à Nantes, mais
participait la veille à celui de la réactionaire UNC. Et son message pour le 11
novembre reprend les arguments de Sarkozy ! (voir page une).
Notre comité est l’outil permettant d’  honorer la mémoire des Résistants issus du
peuple, ces militants politiques et syndicaux
de tous âges et professions, s’opposant à
l’occupation nazie et à la collaboration de ses
complices de Vichy. Ceux de la Résistance
unie qui bâtirent le programme du Conseil
National de la Résistance, programme de
progrès social, démocratique, laïque.
Ce travail de mémoire est nécessaire pour
rappeler la place et le rôle de la classe ouvrière dans la Résistance. Celle-ci
n’était pas seulement à Londres, mais aussi sur le sol national avec les dangers
qu’aucun résistant ne méconnaissait, traqué par la Gestapo et ses complices : la
police et la milice de Vichy.
Pour mener ce travail de vérité, ce combat pour la mémoire,
44
rejoignez-nous
Comité départemental du souvenir des fusillés
de Châteaubriant et Nantes
et de La Résistance en Loire Inférieure.
demeure un sujet de
controverses, notamment
sur la période qui va de
la défaite de juin 1940
à l’entrée en guerre de
l’Union soviétique le 22 juin
1941.
A Partir de sources et de publications
diverses, l’auteur examIne ce que fut
pendant cette période charnière l’activité
de la direction clandestine de ce parti, en
relation avec les directives de l’Internationale
communiste, qui sera dissoute en 1943.
Plusieurs grandes questions sont abordées.
La première est celle de l’attitude du Parti
communiste face au général de Gaulle et à la
résistance gaulliste de juin 1940 à juin 1941,
attitude étroitement liée à une orientation
stratégique résultant de l’analyse de
la guerre comme exclusivement interimpérialiste.
Roger BOURDERON se penche ensuite sur
le contenu des appels communistes de l’été
1940, en relation avec les textes, publiés
pour la première fois dans leur intégralité,
émis à Bordeaux par Charles Tillon, futur
dirigeant des Francs tireurs et partisans
(FTP).
L’ouvrage s’attache également à retracer
l’évolution des directives et des publications
officielles du Parti communiste et rend
compte de leur place dans la naissance
de la résistance communiste. Il aborde
enfin la question de l’action directe contre
l’occupant après l’entrée en guerre de
l’URSS, du mode de direction des FTP et
des modifications de leur tactique militaire
en 1942 et 1943, en prenant l’exemple de
Paris et de la région parisienne.
Autant de mises au point qui ne manqueront
pas de provoquer la discussion !
« De la guerre d’espagne...
à la Résistance »
C’est à l’occasion d’un
hommage à des résistants
fusillés à Vaugeton (Vienne)
que
Carlos
FERNANDEZ
découvre le nom d’un Espagnol
inscrit sur la stèle.
Un nom qu’il avait répertorié parmi tant
d’autres, dans ses recherches sur la
présence des Républicains espagnols en
Loire-Inférieure ( Loire-Atlantique ).
De fil en aiguille nous suivons l’itinéraire
non pas d’un, mais de sept hommes
aux parcours atypiques et finalement
dramatiques.
Leur implication dans la Résistance
entre 1941 et 1944 nous révèlent des liens
insoupçonnés et à ce jour non dévoilés.
C’est avec rigueur que l’auteur nous livre
ces pages d’une histoire méconnue avec
des documents « sensibles » qui nous
interpellent encore aujourd’hui.
Novembre 2012. p4
www.resistance-44.fr
Adressez votre correspondance chez le Président: Joël BUSSON - 1 rue de la Biscuiterie 44000 Nantes - Tél . 02 40 12 16 12
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