Nuits des étoiles - Club d`Astronomie de Lyon Ampère

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Les Nuits des
étoiles, une
manifestation à
l’initiative de
l’Association
française
d’astronomie
et de
l’Association
Planète
Sciences.
Nuits des étoiles
Avec le soutien
du ministère
délégué à la
Recherche
et la
participation
de
Ciel et Espace.
11, 12 et 13 août 2005
Dossier de presse
www.cieletespace.fr :
toutes les informations sur les manifestations,
réactualisées en continu jusqu’au 11 août
Vendredi 12 août à partir de 20h30
Parc de la Cerisaie 25 rue Chazière Lyon 4
Conférences – Exposition
Observation du ciel
contacts presse :
Organisé par le
Renseignements
tél. 01 69 02 76 10 (Planète Sciences)
tél. 01 45 89 81 44 (AFA)
Club d’Astronomie de Lyon Ampère
tél /fax : 04 78 01 29 05 - [email protected]
http://www.cala.asso.fr
Nuit des Etoiles 2005 : l’évènement
L’esprit de la fête
Les 11, 12 et 13 août 2005, les sites Nuits des étoiles vous accueillent partout en France et
dans plusieurs pays européens. Les organisateurs ont à coeur de renouveler chaque année
une manifestation gratuite, ouverte à tous dans l’esprit d’un partage des connaissances et
d’une découverte ludique du ciel, territoire d’exploration à l’ampleur souvent méconnue. Cette
grande fête populaire vous convie à un superbe spectacle, propice à l’échange et au partage
des émotions, celui du ciel étoilé. Les astronomes amateurs vous montreront la voûte céleste,
des passionnés vous raconteront la vie tumultueuse de l’Univers. A ne pas manquer surtout :
«les Perséides», splendides essaims d’étoiles filantes, seront de la partie.
L’évènement à Lyon
Le Club d’Astronomie de Lyon Ampère organise depuis la première édition en 1991 une Nuit
des Etoiles à Lyon.
Ce vendredi 12 Août de 20h30 jusqu’à 1 h du matin, nous proposons de nouveau au lyonnais de nous rejoindre dans le calme du Parc de la Cerisaie - 25 rue Chazière - Lyon 4 pour
cette 15ième édition.
Le programme de cette soirée:
- 4 petites conférences sur l’astronomie présentées par des amateurs confirmés permettent de partager les connaissances sur notre Univers et les dernières découvertes sur notre
système solaire.
o 21h00 Exploration spatiale : les robots Spirit et Opputunity sur Mars
o 22h00 Physique : pourquoi le soleil brille t’il?
o 23h00 Exploration spatiale : Titan et Saturne, la mission Deep Impact
o 24h00 Univers : pourquoi le zodiaque des astronomes a t’il disparu?
- exposition sur les instruments d’observation astronomique amateur
Comment observe t’on le ciel, quelle est la différence entre les lunettes et télescopes astronomiques, comment cela fonctionne, qu’est ce qu’il y a dedans, à quoi sert une monture, toutes
les réponses sont dans cette exposition !
- atelier de découverte des constellations
Vous savez repérer la Grand Ourse dans le ciel, mais saurez vous retrouver le Cygne, l’Aigle, la
Lyre, Pégase ? Une ballade didactique dans le bestiaire céleste !
- observation du ciel avec des lunettes et télescopes
Nos télescopes et lunettes seront installés dans ce magnifique parc et nos animateurs vous permettront d’observer les chefs-d’œuvre de notre univers : en début de soirée, Vénus, Jupiter et
la Lune, puis place au ciel profond, galaxies, nébuleuses et amas… Un émerveillement toujours
renouvelé !
Attention : cette manifestation se déroulant entièrement en extérieur, elle devra être annulée en cas de pluie !
Dossier de presse
Nuit des Etoiles 2005 : l’évènement
Le ciel du vendredi 12 août 2005 à 23h00 à Lyon
Pourquoi le 12 août ?
Du 17 juillet au 20 août la Terre croisera, comme chaque été, la trajectoire d’un essaim de poussières
qui se sont échappées de la comète Swift-Tuttle (du nom de ses découvreurs, Lewis Swift et Horace P.
Tuttle le 15 juillet 1862). Lorsqu’elles entrent dans l’atmosphère terrestre, ces poussières sont visibles
sous forme de traînées lumineuses très brillantes : ce sont les étoiles filantes. Du 11 au 13 août, la Terre
croisera le noyau central de l’essaim des Perséides, intitulées ainsi parce qu’elles semblent provenir
toutes de la constellation de Persée. Jusqu’à cent étoiles filantes par heure pourront être observées le 11
août en début de nuit. La mort de Saint Laurent recoupant leur venue, le 10 août 258, on connaît les
Perséides aussi sous une expression romantique, « Les larmes de Saint-Laurent ».
Dossier de presse
Nuit des Etoiles 2005 : l’évènement
Les précédentes éditions
Atelier de découverte des constellations
Conférence en extérieur
Observation du ciel avec nos télescopes
Dossier de presse
Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes
Attention, Perséides en vue !
Fantasmagorie céleste
Du 17 juillet au 24 août la Terre croisera, comme
chaque été, la trajectoire d’un essaim de poussières qui
se sont échappées de la comète Swift-Tuttle (du nom de
ses découvreurs, Lewis Swift et Horace P. Tuttle le 15
juillet 1862). Le maximum d'intensité sera le 12 août
entre 12:00 et 12:30 donc en pleine journée.
Cependant, elles pourront être observées le lendemain
ou la veille en particulier vers 22 heures. Lorsqu’elles
entrent dans l’atmosphère terrestre, ces poussières sont
visibles sous forme de traînées lumineuses très
brillantes : ce sont les étoiles filantes, appelées
« météores » par les astronomes. Dans le ciel, par un
effet de perspective, elles semblent provenir d’un point
! Ciel&Espace, image téléchargeable : www.cieletespace.fr/presse
de fuite, le « radiant », dans la constellation de Persée,
d’où le nom poétique de « Perséides ». Petits objets solides, cailloux rocheux ou poussières
minuscules, les météores voyagent parfois en essaims, espacés, entre eux, de quelques dizaines à
quelques centaines de kilomètres. Ils déboulent à une vitesse de l’ordre de 210 000 km à l’heure
dans l’atmosphère terrestre et se consument alors. En une année, 100 000 tonnes de poussières
brûlent ainsi dans l’atmosphère. Les Perséides sont parmi les plus anciennes repérées. Des relevés
ont été établis en Chine dès l’année 36 et les premiers rapports européens connus datent de 811.
La mort de Saint Laurent recoupant leur venue, le 10 août 258, on les connaît aussi sous une
expression romantique, « Les larmes de Saint-Laurent ».
Poussières de comètes
Les comètes, qualifiées de « grosses boules de neige sale » par l’astronome Fred Wipple, sont
constituées de 80% d’eau congelée et principalement de dioxyde et monoxyde de carbone.
Rajoutez à cela un mélange d’hydrogène, de carbone, d’oxygène et d’azote et d’une matière
pierreuse composée de magnésium, silicium, fer, oxygène. A l’approche du Soleil, la glace fond et
laisse échapper la matière. Vingt tonnes de gaz et près de dix tonnes de poussières sont ainsi
éjectées chaque seconde. On estime qu’au total, cent millions de tonnes de matières sont ainsi
perdues par une comète à chaque passage dans les zones intérieures du Système solaire. En
pénétrant dans l’atmosphère, leur température s’élève à 2000°C, produisant les traînées
lumineuses, les micrométéorites, que l’on peut admirer à l’œil nu. Les Perséides s’illuminent vers
115 km d’altitude pour s’éteindre vers 90 km en moyenne.
Comment observer les Perséides ?
Avis aux amateurs de farniente : un transat et vos yeux suffisent… L’observation des étoiles
filantes ne requiert pas d’autre instrument, jumelles et télescopes sont inutiles à moins de vouloir
suivre en particulier les traînées les plus brillantes. Seul l’œil offre une vision « grand angle » qui
restituera l’ampleur du phénomène. Choisissez un endroit dégagé, à l’écart des fortes lumières des
zones urbaines. On devrait pouvoir voir des étoiles filantes sur presque toute la voûte céleste.
Contrairement aux éclipses, l’intensité est difficile à prévoir. L’activité, c’est-à-dire le nombre
d’étoiles filantes auquel l’essaim donne lieu, est variable selon les années. En période ordinaire, on
signale 4 à 10 météores à l’heure dans un lieu donné. Les spécialistes attendent entre 100 et 120
météores à l’heure en août prochain, le soir du maximum. Mais quelle que soit l’activité, on aura
toujours le loisir d’admirer les magnifiques constellations du ciel d’été.
Dossier de presse
Dossier de presse Nuits des étoiles 2005
Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes
Courses poursuites dans le Système solaire
Etude des comètes, les missions
Les archives du ciel
Les comètes présentent un intérêt scientifique majeur : vestiges de la « nébuleuse primitive », le vaste
nuage de gaz et de poussières dans lequel s’est formé le Système solaire, elles renferment les
composants présents à l’origine de la formation et gardent probablement la trace des conditions
physiques et chimiques dans lesquelles les planètes se sont formées. Maintenues à des températures très
basses et à l’abri des collisions majeures, elles ont très peu évolué. L’étude de noyaux cométaires
permettrait donc de remonter à la composition élémentaire, physique, chimique, moléculaire et
minéralogique de la nébuleuse primitive. Ce qui donnerait aux scientifiques de précieuses indications sur
l’origine de la Terre et de la vie.
L’étude de leur comportement donne aussi des indices importants pour envisager des systèmes de
défense en cas de risque avéré de collision, comme cela s’est produit entre la comète Shoemaker-Levy 9
et la planète Jupiter en 1994.
Vagabondes sous autopsie : les missions
Flottille spatiale extraordinaire en 1986 : pas moins de 5 sondes se sont approchées de la comète de
Halley (2 soviétiques, 2 japonaises et Giotto, européenne), dans le cadre d’un programme sans précédent
coordonné au plan mondial. Les caméras des sondes ont définitivement confirmé la théorie de Whipple,
dévoilé l’aspect du noyau (de forme plutôt rectangulaire) et collecté des informations sur la structure des
différentes parties de la comète et sur ses interactions avec le rayonnement solaire.
La sonde américaine Contour (Comet Nucleus Tour) a décollé en juillet 2002 à destination des
comètes Encke et Schwassmann-Wachmann 3. Elle devait livrer les images les plus détaillées possible du
noyau cométaire. Cela devait permettre d’analyser la composition et la structure du noyau. La sonde a
été perdue en décembre 2002.
Stardust. La première mission américaine uniquement dédiée à l’exploration d’une comète a été lancée
en février 1999 par la Nasa. Son but : collecter des particules de poussière et des échantillons à base de
carbone sur la comète Wild 2. Elle a atteint l’objet le 2 janvier 2004 et a pu prélever des milliers de
particules de poussière éjectées de la surface de la comète les heures précédant son arrivée. Elle a
commencé son voyage de retour vers la Terre, qu’elle devrait atteindre en janvier 2006.
Rosetta, la mission de l’ESA (Agence spatiale européenne), est ambitieuse : déposer un laboratoire
miniaturisé sur le noyau d’une comète pour analyser in situ sa composition. La sonde lancée le 2 mars
2004 de Kourou (Guyane) devrait atteindre la comète Wirtanen en novembre 2014. La sonde devra aller
se placer en orbite autour d’elle à une altitude d’1 km environ et larguer un atterrisseur sur la comète.
Rosetta emporte 21 expériences fournies par des consortiums scientifiques constitués par des instituts
européens et américains.
La mission de l’année : Deep impact
Cette navette américaine doit aller à la rencontre de la comète Tempel 1 le 4 juillet, la trouer par un
impact (un spectaculaire cratère de la taille d’un terrain de football) et en étudier les débris. En explorant
ainsi l’intérieur de l’objet, on espère trouver des indices sur la formation du Système solaire.
Dossier de presse Nuits des étoiles 2005
Dossier de presse
Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes
Exploration du Système solaire
Les missions
Les Européens savent être ambitieux ! Aurora est un programme d'exploration du Système
solaire à 30 ans. Le projet culminant en est la visite d'astronautes Européens sur Mars d'ici
2030 avec un passage sur la Lune entre-temps. Approuvé en 2001, le plan conduit par
l'Agence spatiale européenne (ESA) est actuellement dans sa phase préparatoire.
L'exploration donne la priorité aux planètes qui pourraient abriter ou avoir abrité une forme de vie. D'ici
2015, Aurora doit envoyer des robots sur la Lune et sur Mars, en préparation des vols humains vers ces
destinations.
Le contenu scientifique du programme Aurora et de sa première mission a été défini à l’issue d’une vaste
enquête menée en 2001 auprès des chercheurs européens. Elle a conduit à la sélection d’une mission
d’exobiologie, ExoMars, suivie ultérieurement par une mission de retour d’échantillons martiens.
Mars est une planète jumelle de la Terre. Une géologie complexe, une mince atmosphère, des
particularités morphologiques singulièrement semblables à celles de notre planète. Tout ceci en fait une
destination à comprendre, à conquérir et un jour,
peut-être, à coloniser. Mais elle n’est pas si simple à
atteindre. L’histoire de sa conquête est ponctuée de
succès fascinants comme les missions Viking 1 et 2
ou celle de Pathfinder ou Mars Express. La liste
d’échecs, tant du côté russe qu’américain, est bien
plus longue encore. Avant les années 2030, époque à
! Ciel&Espace, image téléchargeable : www.cieletespace.fr/presse
laquelle on espère voir l’homme fouler du pied la
planète rouge, on devra résoudre d’épineux problèmes techniques : la propulsion et la production
d’énergie.
La mission ExoMars devra, elle, mener une analyse détaillée de l’environnement martien et chercher des
traces de vie, passée ou présente. Elle effectuera également un repérage en vue des missions humaines
à venir. Le lancement à bord d’un lanceur Soyouz prévu en juin 2011, sera suivi à un voyage de 2 ans
avec arrivée sur la planète rouge prévue en juin 2013. Les scientifiques participeront ensuite à la mission
internationale de retours d’échantillons martiens en 2016.
Les missions vers Mars sont nombreuses
L’exploration spatiale, la conquête de nouveaux territoires, restent une aventure humaine dont le champ
n’a aujourd’hui aucune autre limite que celles de nos connaissances, de notre soif de « savoir » et des
ressources de l'imagination pour mettre en œuvre les moyens de nouvelles recherches - et trouver leur
financement -. Mars, par les thèmes qui lui sont liés, l’eau, la vie, la connaissance de nos origines, touche
à un profond questionnement humain. S'intéresser à ses mystères, c'est partir pour un long voyage,
jalonné d'indices, vers une planète qui a, à une époque, ressemblé comme une sœur à la Terre et qui
aurait pu réunir les conditions d'une présence de vie. D’où les nombreuses missions de ses dernières
années, lancées à la faveur de rapprochements entre Mars et la Terre, phénomène particulièrement
intéressant car il facilite le voyage des sondes.
Les Mars Exploration Rovers de la Nasa étudient la composition du sol et cherchent les stigmates d'une
présence d'eau dans l'histoire martienne. Les deux orbiteurs américains Mars Global Surveyor, sont
chargés d'examiner l'atmosphère et la surface, et Mars Odyssey étudie la minéralogie, la morphologie et
la composition de la surface martienne. Deux robots, Spirit et Opportunity explorent actuellement la
planète.
Dossier de presse
Dossier de presse Nuits des étoiles 2005
Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes
La Terre et Mars sont en route pour un époustouflant rendez-vous : le 31 octobre à 3h19 TU (temps
universel), les deux planètes seront au plus près l’une de l’autre, à une distance de 69 millions de km
(distance moyenne de 250 millions).
La Nasa saisit l’opportunité pour lancer la mission MRO (Mars Reconnaissance Orbiter) le 10 août 2005. La
sonde devrait se placer en orbite de la planète rouge en mars 2006 pour réaliser une mission de
cartographie à haute résolution qui devrait durer deux ans.
La sonde européenne Mars Express, elle, observe la surface de la planète, étudie son atmosphère et son
sous-sol et recherche des traces de vie. L’objectif de la mission est aussi d’étudier la topographie et la
géologie de la surface martienne et d’en dresser une carte minéralogique, globale et à haute résolution.
Parmi les multiples instruments embarqués, MARSIS, qui a commencé à se déployer en mai 2005, doit
étudier la distribution de l'eau et de la glace dans la croûte martienne, sachant que la sonde Mars Odyssey
y a déjà détecté de grandes quantités de glace. Ce radar devrait permettre de valider les principales
hypothèses relatives à la problématique de l'eau sur Mars. Il dressera également une carte topographique
avec une résolution inférieure à 10 km.
Cassini Huygens, à la recherche de la vie dans les mondes extraterrestres.
Après 7 ans de voyage accroché à la sonde américaine Cassini, le module européen Huygens
s’est enfoncé seul dans les brumes de Titan le 14 janvier 2005. A plus de 1,25 milliards de km
de la Terre, la sonde part à la recherche des secrets de l’apparition de la vie.
Après la Lune, Mars et Vénus, Titan est le 4ème monde extraterrestre exploré par l’homme. C’est aussi le
seul satellite du Système solaire doté d’une atmosphère. Sa chimie complexe s’est peut-être avancée sur
le terrain de la vie. Objectif de travail de Huygens : analyser cette atmosphère et découvrir le niveau de
complexité de sa chimie. Car pour les planétologues, Titan a de nombreux points communs avec la Terre
primitive. Son atmosphère est riche en méthane, par exemple, et chimiquement active. Tout comme
l’était celle de la Terre avant l’apparition de la vie. Or cette chimie dite « prébiotique » aurait joué un rôle
essentiel dans l’arrivée de la vie.
Les clichés reçus de Titan dévoilent des lits de rivières. Certaines
images évoquent une grande plage à marée basse, avec des galets
ronds, à priori érodés par un liquide. Probablement du méthane. Les
roches sont sans doute de la glace d’eau, les poussières des
agrégats de molécules organiques et la pluie est faite de méthane.
Les scientifiques analysent les données d’un monde encore
largement mystérieux, sans doute pas exempt de surprises à venir.
! Ciel&Espace, image téléchargeable :
www.cieletespace.fr/presse
Pour en savoir plus
Sur Titan : Ciel & Espace, numéros de janvier et février 2005
Sur Mars : site de l’Agence spatiale européenne : www.esa.int et Ciel & Espace numéro de juillet 2005,
en kiosque le 25 juin. Comprend des photos exclusives de Mars.
Dossier de presse
Dossier de presse Nuits des étoiles 2005
Nuit des Etoiles 2005 : les organisateurs
Club d’Astronomie de Lyon Ampère
Centre d’Animation Lyonnais en Astronomie
Association de Culture Scientifique et Technique
Association loi 1901, agréée Education Populaire Jeunesse et Sports
Le Club d’Astronomie de Lyon Ampère est une association regroupant plus de 130 adhérents sur la région lyonnaise.
Notre vocation est de rassembler toutes les personnes ayant un intérêt pour l’observation et la compréhension de notre
univers, du plus jeune au plus âgé, du simple curieux au passionné…
Nous proposons:
-des ateliers scientifiques toute l’année pour les enfants et les jeunes;
-des formations théoriques et pratiques pour les
adultes;
- des projets scientifiques pour les passionnés;
-des conférences, des rencontres, des animations, des
voyages, des stages
-de nombreuses opérations grand public …
Nous disposons d’un observatoire à proximité de
Lyon, avec hébergement, du matériel d’observation
performant, lunettes, télescopes, caméras électroniques,
matériels photographiques, etc....
Le Centre d’Animation Lyonnais en Astronomie est constitué d’animateurs professionnels du CALA à la disposition des écoles, collèges, lycées, centres sociaux…
Nous disposons d’outils pédagogiques uniques comme
un planétarium itinérant, des valises d’animation, des
ateliers scientifiques, un parc de matériel d’observation...
Nous organisons des classes d’astronomie, des projets
éducatifs, des soirées d’observations, des animations à la
carte. Le centre touche plus de 8000 scolaires par an, des
maternelles jusqu’aux universités, et les animateurs se déplacent sur toute la région!
Pour tout renseignement et complément d’information, n’hésitez pas à nous contacter:
Club d’Astronomie de Lyon Ampère - Centre d’Animation Lyonnais en Astronomie
37, rue Paul Cazeneuve 69008 Lyon - Tél / fax: 04- 78- 01- 29- 05
E- mail: cala@ cala. asso. fr - http:// www. cala. asso. fr
Dossier de presse
Nuit des Etoiles 2005 : les organisateurs
L’Association française d'astronomie
Faire aimer la nuit
Pour diffuser largement le savoir lié aux sciences de l’Univers, l’Afa imagine et développe une
grande variété d’actions qui mobilisent un public de plus en plus large. En organisant ces
nouveaux rendez-vous, elle persiste et signe : l’astronomie doit être ouverte à tous. Pour le
partage des connaissances, pour l’accès de chacun à l’information, à la culture, aux sciences.
L’Association française d’astronomie est reconnue d’utilité publique.
Les Nuits des étoiles, Eclipseinfo 99, les Rencontres du ciel et de l’espace… Association loi de 1901 née en
1947, l’Afa est à l’origine de la plupart des opérations de mobilisation et de sensibilisation liées à
l’astronomie. Elle rassemble au fil de ses événements un public de plus en plus nombreux et entend
promouvoir ainsi le partage des savoirs et l'accès pour tous à la culture scientifique.
Au programme en 2005
Stations de Nuit
Nouvelle fenêtre sur le tourisme scientifique, le réseau « Stations de Nuit » regroupe des lieux qui
proposent des activités de loisirs d’animations d’astronomie (stages, observation, veillées aux étoiles,
week-end découverte…). Il garantit un accueil permanent et professionnel pour prolonger tout au long de
l’année le plaisir de la découverte astronomique.
Les @teliers ciel et espace
Un réseau d’ateliers pour les juniors. Le ciel, formidable support d’activité pédagogique : lancé
en 2000, le programme se met en place dans tout l’Hexagone avec les structures d’accueil des
jeunes (établissements scolaires, maisons de quartier, municipalités etc.).
Les Nuits des étoiles : la 15è édition de la manifestation aura lieu les 11, 12 et 13 août, partout en
France, et dans plusieurs pays Européens et du Maghreb.
Explor’espace à Mandelieu (06).
Trois jours de découverte de l’espace :
14 conférences sur l’exploration du Système solaire, rencontres techniques, projections, stands,
expositions, braderie de matériel, soirée d’observation. Les 11, 12 et 13 novembre 2005 – Palais des
congrès Europa.
Renseignements au siège ou par e-mail : [email protected]
Conférences, cours, débats, voyages, expositions, et toutes les activités en cours sont consultables sur
www.cieletespace.fr
Dossier de presse
Dossier de presse Nuits des étoiles 2005
Nuit des Etoiles 2005 : les organisateurs
Les sciences et techniques
de 7 à 25 ans…
Planète Sciences, une aventure pour les jeunes !
L'Association est née en 1962 (sous le nom d’ANCS), à l’initiative d’enseignants et de
scientifiques proches des activités du Palais de la Découverte et des clubs Jean Perrin,
notamment pour encadrer les constructions de fusées de jeunes avec le soutien du CNES
(Centre national d'études spatiales).
Le développement de projets en équipes, propre aux activités spatiales, a ensuite été appliqué
à d'autres domaines d'expérimentation : l'astronomie, l'environnement, la météorologie,
l'énergie, l'informatique, la robotique et la télédétection.
Plus d'un million de jeunes ont déjà participé à nos activités !
PLANETE SCIENCES et ses 10 délégations ou antennes territoriales (Atlantique,
Bretagne, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Méditerranée, Midi Pyrénées, Normandie,
Picardie, Rhône et Sarthe), fortes de leurs 1 000 animateurs spécialisés, soutiennent près de
700 clubs scientifiques, interviennent auprès de plus de 350 établissements scolaires et
organisent des séjours et des animations durant les vacances pour plus de 20 000 jeunes.
Elles s'attachent également à développer la culture scientifique et technique par la formation
d'animateurs et d'enseignants.
Avec plus de 100 000 participants chaque année, PLANETE SCIENCES poursuit son objectif :
rendre la pratique des sciences et des techniques accessible au plus grand nombre.
Plusieurs rendez-vous annuels sont aujourd'hui devenus des manifestations importantes dans
le domaine de l'animation scientifique : opérations "Un Ballon Pour l'Ecole", "Une Fusée Au
Collège", "Collèges et Lycées de Nuit ", "Un bon plan pour l’Air", Festival européen de l'espace,
Nuits des Etoiles, Coupe de France de Robotique, Eurobot, Trophées de Robotique e=m6,
Rencontres Météo Jeunes, Rencontres nationales sciences & techniques de l’environnement,
Expo-Sciences,...
PLANETE SCIENCES et ses délégations sont des associations ; outre une équipe
composée de plus de soixante permanents, ce sont les adhérents et les bénévoles qui
en font un réseau dynamique : nous comptons sur vous tous !
Toutes les infos sur le site www.planete-sciences.org
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