Les Nuits des étoiles, une manifestation à l’initiative de l’Association française d’astronomie et de l’Association Planète Sciences. Nuits des étoiles Avec le soutien du ministère délégué à la Recherche et la participation de Ciel et Espace. 11, 12 et 13 août 2005 Dossier de presse www.cieletespace.fr : toutes les informations sur les manifestations, réactualisées en continu jusqu’au 11 août Vendredi 12 août à partir de 20h30 Parc de la Cerisaie 25 rue Chazière Lyon 4 Conférences – Exposition Observation du ciel contacts presse : Organisé par le Renseignements tél. 01 69 02 76 10 (Planète Sciences) tél. 01 45 89 81 44 (AFA) Club d’Astronomie de Lyon Ampère tél /fax : 04 78 01 29 05 - [email protected] http://www.cala.asso.fr Nuit des Etoiles 2005 : l’évènement L’esprit de la fête Les 11, 12 et 13 août 2005, les sites Nuits des étoiles vous accueillent partout en France et dans plusieurs pays européens. Les organisateurs ont à coeur de renouveler chaque année une manifestation gratuite, ouverte à tous dans l’esprit d’un partage des connaissances et d’une découverte ludique du ciel, territoire d’exploration à l’ampleur souvent méconnue. Cette grande fête populaire vous convie à un superbe spectacle, propice à l’échange et au partage des émotions, celui du ciel étoilé. Les astronomes amateurs vous montreront la voûte céleste, des passionnés vous raconteront la vie tumultueuse de l’Univers. A ne pas manquer surtout : «les Perséides», splendides essaims d’étoiles filantes, seront de la partie. L’évènement à Lyon Le Club d’Astronomie de Lyon Ampère organise depuis la première édition en 1991 une Nuit des Etoiles à Lyon. Ce vendredi 12 Août de 20h30 jusqu’à 1 h du matin, nous proposons de nouveau au lyonnais de nous rejoindre dans le calme du Parc de la Cerisaie - 25 rue Chazière - Lyon 4 pour cette 15ième édition. Le programme de cette soirée: - 4 petites conférences sur l’astronomie présentées par des amateurs confirmés permettent de partager les connaissances sur notre Univers et les dernières découvertes sur notre système solaire. o 21h00 Exploration spatiale : les robots Spirit et Opputunity sur Mars o 22h00 Physique : pourquoi le soleil brille t’il? o 23h00 Exploration spatiale : Titan et Saturne, la mission Deep Impact o 24h00 Univers : pourquoi le zodiaque des astronomes a t’il disparu? - exposition sur les instruments d’observation astronomique amateur Comment observe t’on le ciel, quelle est la différence entre les lunettes et télescopes astronomiques, comment cela fonctionne, qu’est ce qu’il y a dedans, à quoi sert une monture, toutes les réponses sont dans cette exposition ! - atelier de découverte des constellations Vous savez repérer la Grand Ourse dans le ciel, mais saurez vous retrouver le Cygne, l’Aigle, la Lyre, Pégase ? Une ballade didactique dans le bestiaire céleste ! - observation du ciel avec des lunettes et télescopes Nos télescopes et lunettes seront installés dans ce magnifique parc et nos animateurs vous permettront d’observer les chefs-d’œuvre de notre univers : en début de soirée, Vénus, Jupiter et la Lune, puis place au ciel profond, galaxies, nébuleuses et amas… Un émerveillement toujours renouvelé ! Attention : cette manifestation se déroulant entièrement en extérieur, elle devra être annulée en cas de pluie ! Dossier de presse Nuit des Etoiles 2005 : l’évènement Le ciel du vendredi 12 août 2005 à 23h00 à Lyon Pourquoi le 12 août ? Du 17 juillet au 20 août la Terre croisera, comme chaque été, la trajectoire d’un essaim de poussières qui se sont échappées de la comète Swift-Tuttle (du nom de ses découvreurs, Lewis Swift et Horace P. Tuttle le 15 juillet 1862). Lorsqu’elles entrent dans l’atmosphère terrestre, ces poussières sont visibles sous forme de traînées lumineuses très brillantes : ce sont les étoiles filantes. Du 11 au 13 août, la Terre croisera le noyau central de l’essaim des Perséides, intitulées ainsi parce qu’elles semblent provenir toutes de la constellation de Persée. Jusqu’à cent étoiles filantes par heure pourront être observées le 11 août en début de nuit. La mort de Saint Laurent recoupant leur venue, le 10 août 258, on connaît les Perséides aussi sous une expression romantique, « Les larmes de Saint-Laurent ». Dossier de presse Nuit des Etoiles 2005 : l’évènement Les précédentes éditions Atelier de découverte des constellations Conférence en extérieur Observation du ciel avec nos télescopes Dossier de presse Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes Attention, Perséides en vue ! Fantasmagorie céleste Du 17 juillet au 24 août la Terre croisera, comme chaque été, la trajectoire d’un essaim de poussières qui se sont échappées de la comète Swift-Tuttle (du nom de ses découvreurs, Lewis Swift et Horace P. Tuttle le 15 juillet 1862). Le maximum d'intensité sera le 12 août entre 12:00 et 12:30 donc en pleine journée. Cependant, elles pourront être observées le lendemain ou la veille en particulier vers 22 heures. Lorsqu’elles entrent dans l’atmosphère terrestre, ces poussières sont visibles sous forme de traînées lumineuses très brillantes : ce sont les étoiles filantes, appelées « météores » par les astronomes. Dans le ciel, par un effet de perspective, elles semblent provenir d’un point ! Ciel&Espace, image téléchargeable : www.cieletespace.fr/presse de fuite, le « radiant », dans la constellation de Persée, d’où le nom poétique de « Perséides ». Petits objets solides, cailloux rocheux ou poussières minuscules, les météores voyagent parfois en essaims, espacés, entre eux, de quelques dizaines à quelques centaines de kilomètres. Ils déboulent à une vitesse de l’ordre de 210 000 km à l’heure dans l’atmosphère terrestre et se consument alors. En une année, 100 000 tonnes de poussières brûlent ainsi dans l’atmosphère. Les Perséides sont parmi les plus anciennes repérées. Des relevés ont été établis en Chine dès l’année 36 et les premiers rapports européens connus datent de 811. La mort de Saint Laurent recoupant leur venue, le 10 août 258, on les connaît aussi sous une expression romantique, « Les larmes de Saint-Laurent ». Poussières de comètes Les comètes, qualifiées de « grosses boules de neige sale » par l’astronome Fred Wipple, sont constituées de 80% d’eau congelée et principalement de dioxyde et monoxyde de carbone. Rajoutez à cela un mélange d’hydrogène, de carbone, d’oxygène et d’azote et d’une matière pierreuse composée de magnésium, silicium, fer, oxygène. A l’approche du Soleil, la glace fond et laisse échapper la matière. Vingt tonnes de gaz et près de dix tonnes de poussières sont ainsi éjectées chaque seconde. On estime qu’au total, cent millions de tonnes de matières sont ainsi perdues par une comète à chaque passage dans les zones intérieures du Système solaire. En pénétrant dans l’atmosphère, leur température s’élève à 2000°C, produisant les traînées lumineuses, les micrométéorites, que l’on peut admirer à l’œil nu. Les Perséides s’illuminent vers 115 km d’altitude pour s’éteindre vers 90 km en moyenne. Comment observer les Perséides ? Avis aux amateurs de farniente : un transat et vos yeux suffisent… L’observation des étoiles filantes ne requiert pas d’autre instrument, jumelles et télescopes sont inutiles à moins de vouloir suivre en particulier les traînées les plus brillantes. Seul l’œil offre une vision « grand angle » qui restituera l’ampleur du phénomène. Choisissez un endroit dégagé, à l’écart des fortes lumières des zones urbaines. On devrait pouvoir voir des étoiles filantes sur presque toute la voûte céleste. Contrairement aux éclipses, l’intensité est difficile à prévoir. L’activité, c’est-à-dire le nombre d’étoiles filantes auquel l’essaim donne lieu, est variable selon les années. En période ordinaire, on signale 4 à 10 météores à l’heure dans un lieu donné. Les spécialistes attendent entre 100 et 120 météores à l’heure en août prochain, le soir du maximum. Mais quelle que soit l’activité, on aura toujours le loisir d’admirer les magnifiques constellations du ciel d’été. Dossier de presse Dossier de presse Nuits des étoiles 2005 Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes Courses poursuites dans le Système solaire Etude des comètes, les missions Les archives du ciel Les comètes présentent un intérêt scientifique majeur : vestiges de la « nébuleuse primitive », le vaste nuage de gaz et de poussières dans lequel s’est formé le Système solaire, elles renferment les composants présents à l’origine de la formation et gardent probablement la trace des conditions physiques et chimiques dans lesquelles les planètes se sont formées. Maintenues à des températures très basses et à l’abri des collisions majeures, elles ont très peu évolué. L’étude de noyaux cométaires permettrait donc de remonter à la composition élémentaire, physique, chimique, moléculaire et minéralogique de la nébuleuse primitive. Ce qui donnerait aux scientifiques de précieuses indications sur l’origine de la Terre et de la vie. L’étude de leur comportement donne aussi des indices importants pour envisager des systèmes de défense en cas de risque avéré de collision, comme cela s’est produit entre la comète Shoemaker-Levy 9 et la planète Jupiter en 1994. Vagabondes sous autopsie : les missions Flottille spatiale extraordinaire en 1986 : pas moins de 5 sondes se sont approchées de la comète de Halley (2 soviétiques, 2 japonaises et Giotto, européenne), dans le cadre d’un programme sans précédent coordonné au plan mondial. Les caméras des sondes ont définitivement confirmé la théorie de Whipple, dévoilé l’aspect du noyau (de forme plutôt rectangulaire) et collecté des informations sur la structure des différentes parties de la comète et sur ses interactions avec le rayonnement solaire. La sonde américaine Contour (Comet Nucleus Tour) a décollé en juillet 2002 à destination des comètes Encke et Schwassmann-Wachmann 3. Elle devait livrer les images les plus détaillées possible du noyau cométaire. Cela devait permettre d’analyser la composition et la structure du noyau. La sonde a été perdue en décembre 2002. Stardust. La première mission américaine uniquement dédiée à l’exploration d’une comète a été lancée en février 1999 par la Nasa. Son but : collecter des particules de poussière et des échantillons à base de carbone sur la comète Wild 2. Elle a atteint l’objet le 2 janvier 2004 et a pu prélever des milliers de particules de poussière éjectées de la surface de la comète les heures précédant son arrivée. Elle a commencé son voyage de retour vers la Terre, qu’elle devrait atteindre en janvier 2006. Rosetta, la mission de l’ESA (Agence spatiale européenne), est ambitieuse : déposer un laboratoire miniaturisé sur le noyau d’une comète pour analyser in situ sa composition. La sonde lancée le 2 mars 2004 de Kourou (Guyane) devrait atteindre la comète Wirtanen en novembre 2014. La sonde devra aller se placer en orbite autour d’elle à une altitude d’1 km environ et larguer un atterrisseur sur la comète. Rosetta emporte 21 expériences fournies par des consortiums scientifiques constitués par des instituts européens et américains. La mission de l’année : Deep impact Cette navette américaine doit aller à la rencontre de la comète Tempel 1 le 4 juillet, la trouer par un impact (un spectaculaire cratère de la taille d’un terrain de football) et en étudier les débris. En explorant ainsi l’intérieur de l’objet, on espère trouver des indices sur la formation du Système solaire. Dossier de presse Nuits des étoiles 2005 Dossier de presse Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes Exploration du Système solaire Les missions Les Européens savent être ambitieux ! Aurora est un programme d'exploration du Système solaire à 30 ans. Le projet culminant en est la visite d'astronautes Européens sur Mars d'ici 2030 avec un passage sur la Lune entre-temps. Approuvé en 2001, le plan conduit par l'Agence spatiale européenne (ESA) est actuellement dans sa phase préparatoire. L'exploration donne la priorité aux planètes qui pourraient abriter ou avoir abrité une forme de vie. D'ici 2015, Aurora doit envoyer des robots sur la Lune et sur Mars, en préparation des vols humains vers ces destinations. Le contenu scientifique du programme Aurora et de sa première mission a été défini à l’issue d’une vaste enquête menée en 2001 auprès des chercheurs européens. Elle a conduit à la sélection d’une mission d’exobiologie, ExoMars, suivie ultérieurement par une mission de retour d’échantillons martiens. Mars est une planète jumelle de la Terre. Une géologie complexe, une mince atmosphère, des particularités morphologiques singulièrement semblables à celles de notre planète. Tout ceci en fait une destination à comprendre, à conquérir et un jour, peut-être, à coloniser. Mais elle n’est pas si simple à atteindre. L’histoire de sa conquête est ponctuée de succès fascinants comme les missions Viking 1 et 2 ou celle de Pathfinder ou Mars Express. La liste d’échecs, tant du côté russe qu’américain, est bien plus longue encore. Avant les années 2030, époque à ! Ciel&Espace, image téléchargeable : www.cieletespace.fr/presse laquelle on espère voir l’homme fouler du pied la planète rouge, on devra résoudre d’épineux problèmes techniques : la propulsion et la production d’énergie. La mission ExoMars devra, elle, mener une analyse détaillée de l’environnement martien et chercher des traces de vie, passée ou présente. Elle effectuera également un repérage en vue des missions humaines à venir. Le lancement à bord d’un lanceur Soyouz prévu en juin 2011, sera suivi à un voyage de 2 ans avec arrivée sur la planète rouge prévue en juin 2013. Les scientifiques participeront ensuite à la mission internationale de retours d’échantillons martiens en 2016. Les missions vers Mars sont nombreuses L’exploration spatiale, la conquête de nouveaux territoires, restent une aventure humaine dont le champ n’a aujourd’hui aucune autre limite que celles de nos connaissances, de notre soif de « savoir » et des ressources de l'imagination pour mettre en œuvre les moyens de nouvelles recherches - et trouver leur financement -. Mars, par les thèmes qui lui sont liés, l’eau, la vie, la connaissance de nos origines, touche à un profond questionnement humain. S'intéresser à ses mystères, c'est partir pour un long voyage, jalonné d'indices, vers une planète qui a, à une époque, ressemblé comme une sœur à la Terre et qui aurait pu réunir les conditions d'une présence de vie. D’où les nombreuses missions de ses dernières années, lancées à la faveur de rapprochements entre Mars et la Terre, phénomène particulièrement intéressant car il facilite le voyage des sondes. Les Mars Exploration Rovers de la Nasa étudient la composition du sol et cherchent les stigmates d'une présence d'eau dans l'histoire martienne. Les deux orbiteurs américains Mars Global Surveyor, sont chargés d'examiner l'atmosphère et la surface, et Mars Odyssey étudie la minéralogie, la morphologie et la composition de la surface martienne. Deux robots, Spirit et Opportunity explorent actuellement la planète. Dossier de presse Dossier de presse Nuits des étoiles 2005 Nuit des Etoiles 2005 : les thèmes La Terre et Mars sont en route pour un époustouflant rendez-vous : le 31 octobre à 3h19 TU (temps universel), les deux planètes seront au plus près l’une de l’autre, à une distance de 69 millions de km (distance moyenne de 250 millions). La Nasa saisit l’opportunité pour lancer la mission MRO (Mars Reconnaissance Orbiter) le 10 août 2005. La sonde devrait se placer en orbite de la planète rouge en mars 2006 pour réaliser une mission de cartographie à haute résolution qui devrait durer deux ans. La sonde européenne Mars Express, elle, observe la surface de la planète, étudie son atmosphère et son sous-sol et recherche des traces de vie. L’objectif de la mission est aussi d’étudier la topographie et la géologie de la surface martienne et d’en dresser une carte minéralogique, globale et à haute résolution. Parmi les multiples instruments embarqués, MARSIS, qui a commencé à se déployer en mai 2005, doit étudier la distribution de l'eau et de la glace dans la croûte martienne, sachant que la sonde Mars Odyssey y a déjà détecté de grandes quantités de glace. Ce radar devrait permettre de valider les principales hypothèses relatives à la problématique de l'eau sur Mars. Il dressera également une carte topographique avec une résolution inférieure à 10 km. Cassini Huygens, à la recherche de la vie dans les mondes extraterrestres. Après 7 ans de voyage accroché à la sonde américaine Cassini, le module européen Huygens s’est enfoncé seul dans les brumes de Titan le 14 janvier 2005. A plus de 1,25 milliards de km de la Terre, la sonde part à la recherche des secrets de l’apparition de la vie. Après la Lune, Mars et Vénus, Titan est le 4ème monde extraterrestre exploré par l’homme. C’est aussi le seul satellite du Système solaire doté d’une atmosphère. Sa chimie complexe s’est peut-être avancée sur le terrain de la vie. Objectif de travail de Huygens : analyser cette atmosphère et découvrir le niveau de complexité de sa chimie. Car pour les planétologues, Titan a de nombreux points communs avec la Terre primitive. Son atmosphère est riche en méthane, par exemple, et chimiquement active. Tout comme l’était celle de la Terre avant l’apparition de la vie. Or cette chimie dite « prébiotique » aurait joué un rôle essentiel dans l’arrivée de la vie. Les clichés reçus de Titan dévoilent des lits de rivières. Certaines images évoquent une grande plage à marée basse, avec des galets ronds, à priori érodés par un liquide. Probablement du méthane. Les roches sont sans doute de la glace d’eau, les poussières des agrégats de molécules organiques et la pluie est faite de méthane. Les scientifiques analysent les données d’un monde encore largement mystérieux, sans doute pas exempt de surprises à venir. ! Ciel&Espace, image téléchargeable : www.cieletespace.fr/presse Pour en savoir plus Sur Titan : Ciel & Espace, numéros de janvier et février 2005 Sur Mars : site de l’Agence spatiale européenne : www.esa.int et Ciel & Espace numéro de juillet 2005, en kiosque le 25 juin. Comprend des photos exclusives de Mars. Dossier de presse Dossier de presse Nuits des étoiles 2005 Nuit des Etoiles 2005 : les organisateurs Club d’Astronomie de Lyon Ampère Centre d’Animation Lyonnais en Astronomie Association de Culture Scientifique et Technique Association loi 1901, agréée Education Populaire Jeunesse et Sports Le Club d’Astronomie de Lyon Ampère est une association regroupant plus de 130 adhérents sur la région lyonnaise. Notre vocation est de rassembler toutes les personnes ayant un intérêt pour l’observation et la compréhension de notre univers, du plus jeune au plus âgé, du simple curieux au passionné… Nous proposons: -des ateliers scientifiques toute l’année pour les enfants et les jeunes; -des formations théoriques et pratiques pour les adultes; - des projets scientifiques pour les passionnés; -des conférences, des rencontres, des animations, des voyages, des stages -de nombreuses opérations grand public … Nous disposons d’un observatoire à proximité de Lyon, avec hébergement, du matériel d’observation performant, lunettes, télescopes, caméras électroniques, matériels photographiques, etc.... Le Centre d’Animation Lyonnais en Astronomie est constitué d’animateurs professionnels du CALA à la disposition des écoles, collèges, lycées, centres sociaux… Nous disposons d’outils pédagogiques uniques comme un planétarium itinérant, des valises d’animation, des ateliers scientifiques, un parc de matériel d’observation... Nous organisons des classes d’astronomie, des projets éducatifs, des soirées d’observations, des animations à la carte. Le centre touche plus de 8000 scolaires par an, des maternelles jusqu’aux universités, et les animateurs se déplacent sur toute la région! Pour tout renseignement et complément d’information, n’hésitez pas à nous contacter: Club d’Astronomie de Lyon Ampère - Centre d’Animation Lyonnais en Astronomie 37, rue Paul Cazeneuve 69008 Lyon - Tél / fax: 04- 78- 01- 29- 05 E- mail: cala@ cala. asso. fr - http:// www. cala. asso. fr Dossier de presse Nuit des Etoiles 2005 : les organisateurs L’Association française d'astronomie Faire aimer la nuit Pour diffuser largement le savoir lié aux sciences de l’Univers, l’Afa imagine et développe une grande variété d’actions qui mobilisent un public de plus en plus large. En organisant ces nouveaux rendez-vous, elle persiste et signe : l’astronomie doit être ouverte à tous. Pour le partage des connaissances, pour l’accès de chacun à l’information, à la culture, aux sciences. L’Association française d’astronomie est reconnue d’utilité publique. Les Nuits des étoiles, Eclipseinfo 99, les Rencontres du ciel et de l’espace… Association loi de 1901 née en 1947, l’Afa est à l’origine de la plupart des opérations de mobilisation et de sensibilisation liées à l’astronomie. Elle rassemble au fil de ses événements un public de plus en plus nombreux et entend promouvoir ainsi le partage des savoirs et l'accès pour tous à la culture scientifique. Au programme en 2005 Stations de Nuit Nouvelle fenêtre sur le tourisme scientifique, le réseau « Stations de Nuit » regroupe des lieux qui proposent des activités de loisirs d’animations d’astronomie (stages, observation, veillées aux étoiles, week-end découverte…). Il garantit un accueil permanent et professionnel pour prolonger tout au long de l’année le plaisir de la découverte astronomique. Les @teliers ciel et espace Un réseau d’ateliers pour les juniors. Le ciel, formidable support d’activité pédagogique : lancé en 2000, le programme se met en place dans tout l’Hexagone avec les structures d’accueil des jeunes (établissements scolaires, maisons de quartier, municipalités etc.). Les Nuits des étoiles : la 15è édition de la manifestation aura lieu les 11, 12 et 13 août, partout en France, et dans plusieurs pays Européens et du Maghreb. Explor’espace à Mandelieu (06). Trois jours de découverte de l’espace : 14 conférences sur l’exploration du Système solaire, rencontres techniques, projections, stands, expositions, braderie de matériel, soirée d’observation. Les 11, 12 et 13 novembre 2005 – Palais des congrès Europa. Renseignements au siège ou par e-mail : [email protected] Conférences, cours, débats, voyages, expositions, et toutes les activités en cours sont consultables sur www.cieletespace.fr Dossier de presse Dossier de presse Nuits des étoiles 2005 Nuit des Etoiles 2005 : les organisateurs Les sciences et techniques de 7 à 25 ans… Planète Sciences, une aventure pour les jeunes ! L'Association est née en 1962 (sous le nom d’ANCS), à l’initiative d’enseignants et de scientifiques proches des activités du Palais de la Découverte et des clubs Jean Perrin, notamment pour encadrer les constructions de fusées de jeunes avec le soutien du CNES (Centre national d'études spatiales). Le développement de projets en équipes, propre aux activités spatiales, a ensuite été appliqué à d'autres domaines d'expérimentation : l'astronomie, l'environnement, la météorologie, l'énergie, l'informatique, la robotique et la télédétection. Plus d'un million de jeunes ont déjà participé à nos activités ! PLANETE SCIENCES et ses 10 délégations ou antennes territoriales (Atlantique, Bretagne, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Méditerranée, Midi Pyrénées, Normandie, Picardie, Rhône et Sarthe), fortes de leurs 1 000 animateurs spécialisés, soutiennent près de 700 clubs scientifiques, interviennent auprès de plus de 350 établissements scolaires et organisent des séjours et des animations durant les vacances pour plus de 20 000 jeunes. Elles s'attachent également à développer la culture scientifique et technique par la formation d'animateurs et d'enseignants. Avec plus de 100 000 participants chaque année, PLANETE SCIENCES poursuit son objectif : rendre la pratique des sciences et des techniques accessible au plus grand nombre. Plusieurs rendez-vous annuels sont aujourd'hui devenus des manifestations importantes dans le domaine de l'animation scientifique : opérations "Un Ballon Pour l'Ecole", "Une Fusée Au Collège", "Collèges et Lycées de Nuit ", "Un bon plan pour l’Air", Festival européen de l'espace, Nuits des Etoiles, Coupe de France de Robotique, Eurobot, Trophées de Robotique e=m6, Rencontres Météo Jeunes, Rencontres nationales sciences & techniques de l’environnement, Expo-Sciences,... PLANETE SCIENCES et ses délégations sont des associations ; outre une équipe composée de plus de soixante permanents, ce sont les adhérents et les bénévoles qui en font un réseau dynamique : nous comptons sur vous tous ! Toutes les infos sur le site www.planete-sciences.org Dossier de presse