Nina, c`est autre chose

publicité
Nina, c'est autre chose
de Michel Vinaver
Mise en scène - Baptiste Guiton
Avec Olivier Borle*, Jérôme Quintard*
et Tiphaine Rabaud Fournier
*comédiens de la troupe du TNP
Scénographie et costumes - Gaëlle Viémont
Dramaturgie - Adrien Cornaggia
Musique originale - Sébastien Quencez
Chorégraphie - Pauline Laidet
Lumières - Vincent Boute
Régie son - Clément Aubry
En coproduction avec Le Théâtre National
Populaire de Villeurbanne et L’École Nationale
des Arts et Techniques du Théâtre de Lyon
© Cyril Guiton
Présentation
Fondé par Baptiste Guiton en 2011, Le Théâtre Exalté est mu
par la ferveur d’un théâtre de métiers où dramaturge, scénographe, costumier, éclairagiste, créateur sonore, constructeurs, graphiste, acteurs, administrateur, metteur en scène
ont la possibilité d’entreprendre un dessein collectif, au
service d’un projet, d’une œuvre, du public.
Exalté
par cette volonté d’expérimenter, d’accepter le risque, d’aborder
la création théâtrale comme une pensée en mouvement,
une remise en cause perpétuelle. Exalté par les rencontres
artistiques et intellectuelles, les échanges dramaturgiques,
les
rendez-vous
frénétiques
avec
un
public.
Exalté par le désir de travailler et de créer ensemble avec
la force des aspirations, avec la ferveur d’une vive appétence théâtrale. Exalté par l’assemblage de nos expériences,
par la combinaison d’horizons et de savoir-faire.
Exalté par l’excès de détails, réfléchi et sensible.
Exalté par le vertige.
Exalté par la langue.
Exalté pour ne pas déchanter, exalté pour ne pas sommeiller,
exalté
pour
ne
pas
cavaler.
Ardent, attisé, avivé, débridé, déchaîné, échauffé, emballé,
embrasé, énergumène, enflammé, enivré, enthousiasmé,
fébrile,
fiévreux,
galvanisé,
grisé,
impétueux,
inspiré,
lyrique,
passionné,
tête
brûlée,
vivifié.
Adrien Cornaggia
Baptiste Guiton
Valentine Guiton
Sébastien Quencez
Tiphaine Rabaud Fournier
Gaëlle Viémont
Nous revendiquons la fonction poétique du théâtre : Replacer
la poésie au cœur du dispositif théâtral - puisqu’elle en est la
justification première - en solidifier la dimension scénographique, costumée, sonore, lumineuse etc. dans un souci de
cohérence et de pertinence.
« Et qu’est-ce qu’un théâtre sans langue » ? S’interroge JeanPierre Siméon, «Rien d’autre que lui-même : La démonstration de ses moyens. Une vanité.»1
Le projet du Théâtre Exalté est de dédramatiser la relation
à l’œuvre d’art, rendre cette relation libre, induire un plaisir
naïf du spectateur, créer une audience collective, une forme
communautaire exemplaire.
« Le théâtre est la forme esthétique de la fraternité »2
Le Théâtre Exalté propose en tournée pour 2012-2013 Nina,
c’est autre chose de Michel Vinaver, créée au Théâtre National
Populaire de Villeurbanne en février 2012 en coproduction
avec l’ENSATT et le TNP de Villeurbanne.
1
2
Jean-Pierre Siméon, Quel théâtre pour aujourd’hui ?, Ed. Les Solitaires intempestifs, 2007
Alain Badiou, Éloge de l’amour, Ed. Flammarion, 2009
3
Nina, c’est autre chose
de Michel Vinaver
Mise en scène - Baptiste Guiton
avec Olivier Borle*, Jérôme Quintard*
et Tiphaine Rabaud Fournier
* comédiens de la troupe du TNP
Dramaturgie - Adrien Cornaggia
Scénographie et costumes - Gaëlle Viémont
Lumières - Vincent Boute
Musique originale - Sébastien Quencez
Régie son - Clément Aubry et Clément-Marie Mathieu
Régie lumières - Ariana Thöni
Chorégraphie - Pauline Laidet
Création 2012
Production Le Théâtre Exalté
En coproduction avec Le Théâtre National Populaire de Villeurbanne et L’École Nationale des Arts et Techniques du Théâtre de Lyon
5
Entre Nina.
NINA. Quelle odeur délicieuse ça vous prend vraiment aux
narines
CHARLES. Sébastien nous prépare un petit salé aux choux
NINA. Un baiser Sébastien et pardon pour le retard vous voulez savoir d’où je viens ? Chut j’ai une surprise pour nous trois
vous savez ce qui manquait le plus dans cette maison ? Une
baignoire j’en ai trouvé une
CHARLES. Quoi ?
NINA. Sur un chantier de démolition elle a de petites pattes
mais Sébastien ça n’a pas l’air d’aller ?
CHARLES. Il a des débats de conscience
NINA. Elle est profonde il manque un peu d’émail
CHARLES. Il a licencié l’Algérien
NINA. C’est jamais simple le boulot
CHARLES. Sébastien on pourrait manger
SEBASTIEN. Non d’abord il faut lui parler
CHARLES. Bien
SEBASTIEN. Nina
NINA. Vous savez je ne vais pas m’incruster
SEBASTIEN. Charles n’est plus le même depuis que vous êtes
ici il bat de l’aile lui et moi on a bien réfléchi
CHARLES. C’est Sébastien pour qui ça tourne pas rond la
façon dont on vit
SEBASTIEN. Non moi ça va mais Charles il ne supporte pas
CHARLES. Moi j’ai pas de problèmes
NINA. Vous en avez tous les deux je vais vous aider à les
résoudre
Elle s’est saisie d’un escabeau, décroche les tentures qui
tombent au sol, elle ouvre grand la fenêtre et les jette au dehors.
SEBASTIEN. Les housses
NINA. Les housses aussi
(...)
SEBSATIEN. Vous n’avez pas faim ?
NINA. Je meurs
CHARLES. A table
Nina, c’est autre chose, Morceau VI. (extraits)
Leur mère est morte et ils habitent ensemble, deux frères,
quarante ans passés, célibataires, une vie réglée et endeuillée.
Sébastien, qui travaille dans une usine, est passionné par la
comparaison entre les différentes nationalités et entretient
la maison maternelle, Charles ouvrier coiffeur est moins profond, ils s’entendent bien, ça pourrait continuer comme ça.
Mais Charles introduit de force Nina, sa petite amie, dans leur
vie commune. Dès lors, sans préméditation, Nina opère une «
révolution » - ironique lorsqu’elle le dit ? - et leur trio trouve un
équilibre toujours susceptible d’être détruit.
(L’Arche)
Michel Vinaver est né en 1927, à Paris, de parents originaires
de Russie. Avant de se consacrer au théâtre, il aura affûté sa plume à la traduction de The Waste Land de
T.S. Eliot (1947), mais aussi à l'écriture de romans.
En 1953, il est embauché comme cadre stagiaire par la société Gilette France, puis nommé chef du service administratif. De
1969 à 1978, il sera PDG de cette société. Le théâtre de Vinaver est d'ailleurs marqué par ces occupations professionnelles ;
on y retrouve une récurrence thématique du monde du travail.
En 1969, il signe Par-dessus bord, pièce qui contient soixante personnages, vingt-cinq lieux pour un total de sept heures de représentation.
En 1978, il publie Dissident, il va sans dire et Nina, c’est
autre chose dans un recueil intitulé Théâtre de chambre.
Michel Vinaver quitte la société Gilette en 1982, date à partir de laquelle il devient professeur associé à l'Institut d'études théâtrales de
Paris III. Le dramaturge a également écrit des essais, dont Écrits sur le
théâtre I et II, publiés à L'Arche en 1998. En 2002, il écrit 11 Septembre
2001 ainsi que Les Troyennes, d'après la célèbre tragédie d'Euripide.
7
Michel Vinaver écrit Nina, c’est autre chose en 1976, précisément l’année dans laquelle se déroule la pièce. Elle rend
compte, à travers le prisme de l’intime, d’une époque précisément complexe, originelle quant à nos problématiques
de 2012 : c’est une période giscardienne baignée de luttes
sociales et de revendications groupusculaires qui voit se
développer les germes du chômage, de la précarité, dominée
par une pensée capitaliste de plus en plus toute-puissante et
aveugle.
Bien loin cependant d’un simple récit d’un moment historique, il s’agit plutôt d’une chronique – comme le dit l’auteur
– qui en son temps, et aujourd’hui encore, dépasse la notion
même de contemporanéité : L’écriture, musicale, fragmentaire, saisit « l’ordinaire », les aspérités du temps qui passe,
et convoque le mythe de Pandore à tel point qu’il est possible
d’envisager la pièce comme une réécriture de la Théogonie
d’Hésiode.
Le mythe transparaît en effet et structure dans ses fondations
intimes, comme un plaisir latent, les situations modernes de
Nina, c’est autre chose. Nina, dont on ne sait quasiment rien,
est l’arrivée brute du changement, emmenée par un CharlesÉpiméthée, coiffeur inquiet, opportuniste et libéral, dans son
foyer où rumine un Sébastien-Prométhée ouvrier syndiqué,
roublard et réfléchi, amoureux des peuples souffrants. «Elle
se fera toute petite» prévoit Charles dans la première scène,
alors que son frère envisage une catastrophe, une «pagaille
indescriptible» au détour d’une pensée sur un tremblement
de terre en France. L’intime s’en trouve bouleversé, révélant
dans ses banalités une profonde humanité.
Adrien Cornaggia et Baptiste Guiton
8
L’équipe du Théâtre Exalté travaille de concert, à chaque
instant de la création ; nous croyons à la troupe au sens large,
comme une micro société où chacun influencerait le travail de l’autre. La langue de Michel Vinaver résonne dans le
décor, fragmenté et métonymique, dans les costumes, simple
citation d’une époque, dans la création musicale, céleste et
ritualisée, dans les lumières, comme une focale cinématographique. Mettre en scène Nina, c’est s’engager dans une écriture visionnaire, dans une économie de mots scrupuleusement choisie, c’est mêler les règles classiques de la prosodie à
la contemporanéité d’un souffle singulier, c’est écrire, à notre
tour, au plateau, pour révéler ce qui se cache dans chaque
intention, c’est ouvrir, sans cesse, le champ (chant) des possibles, c’est aimer le théâtre pour ce qu’il est, la simultanéité,
la poésie, l’intime et le monde.
Baptiste Guiton
9
Ils ont écrit...
«33 ans après sa création, en 1976, le Théâtre Exalté fait de
nouveau entendre la pièce de Michel Vinaver. C’est par cet acte
fondateur que cette compagnie naissante choisit de se structurer, se présenter. L’enjeu est donc, pour elle, tour à tour, symbolique et terriblement concret.
Comment s’emparer de l’esprit de modernité véhiculé par
l’écriture, tout en rupture et césure, sans se réfugier dans le formalisme du seul respect de la partition de l’auteur ? Comment
creuser les relations complexes des trois personnages sans
basculer dans le psychologisme ? Comment déployer la poésie,
si singulière, de cette pièce sans placer les protagonistes dans
l’univers sociologique des années de l’écriture ? Bref, comment
faire acte de sensibilité et offrir un acte théâtral ouvert à la
rencontre, à l’émotion, à la fugacité ?
Est-ce pour y parvenir que la scène de théâtre prend des
allures de plateau de cinéma ? Est-ce pour cela que le metteur
en scène, pendant les échanges, oriente notre regard comme un
focal de caméra ?
Il y a, dans ce spectacle, une douceur et un sourire qui en renforcent l’énigme. Au contraire de lutter entre elles, l’évidence
et l’opacité semblent jouer à cache-cache. Par cette proposition, Vinaver sort du laboratoire de recherche contemporaine
pour entrer dans l’air de l’écoute, du plaisir des résonances et
des équilibres fragiles. Tout sera accompli, dans la pudeur, la
retenue, chacun dans sa violence dont il ne sait que faire, tant il
craint de blesser l’autre. Ainsi, une nouvelle fois, nous assistons
à la formation, déformation du Couple, pour lequel le chiffre 3
est bien une fatalité. Fatalité que ses interprètes saisissent dans
le quotidien, la romance des jours qui passent.»
Jean-Pierre Jourdain,
directeur artistique du TNP de Villeurbanne
«[cette] mise en scène de Nina, c’est autre chose opère une fusion peu courante : elle allie les vertus de la jeunesse - l’ardeur,
la fraîcheur - et les marques d’un travail de maturité : rien de
trop mais tout y est, l’ampleur (les grands horizons du monde
dans le petit intérieur), l’acuité. Tout cela aboutit à la justesse
de l’ensemble, et partant, à un charme profond. Les interprètent forment un trio magistral. Scénographie, costumes,
lumières, musique, concourent à cette réussite.»
Michel Vinaver, lettre du 28 mai 2012
«Toute la partition dessinée par l’auteur est reçue sans mal, le
trio d’interprètes mettant un soin particulier à faire entendre
cette musique de chambre. On assiste à une patiente révolution
du désir de soi chez deux frères coincés dans l’image de leur
mère décédée, image que vient bousculer sans mal Nina, la
jeune amoureuse du premier. C’est un trio balancé entre actualisation des rites et appel aux morts qui s’élance alors dans les
méandres du vivre, du sentir et du faire. Il émane une belle tendresse du jeu des comédiens, une forte impression de cohérence
au plateau.»
Critique par Guillaume Malvoisin, Le Bien public, 29 mai 2012
11
Baptiste Guiton est originaire de Lons-le-Saunier, il participe à différents stages organisés par le
Théâtre National de Strasbourg puis intègre La Scène
sur Saône en 2004 et l’école nationale de la Comédie de St Etienne en 2005 : Au sein de la promotion
U, il travaille notamment avec François Rancillac,
Jean-Claude Berutti, Redjep Mitrovitsa, Jean-Paul
Wenzel, Ivica Buljan, Philippe Boulay, Christine Joly,
Antoine Caubet, Michel Archimbaud, Geoffrey Carey.
En 2007, il crée Souffles de tolérance, adapté de Rimbaud et Shéhérazade
d’Abdellatif Laâbi, à Casablanca avec des acteurs marocains et français
en langue arabe et en langue française ; Fragments, adaptés de plusieurs
textes de Roland Barthes, Romain Gary et Stefan Zweig avec la collaboration de Michel Archimbaud, éditeur; Le Misanthrope de Molière avec les
élèves de la promotion U et les acteurs permanents de la Comédie de St
Etienne et en mai 2008, Les Adieux d’Elfriede Jelinek au CDN de Montreuil
en collaboration artistique avec Ivica Buljan, metteur en scène croate.
Durant la saison 2008-2009, Il joue dans L’Opéra de quat’sous
de Bertold Brecht mis en scène par Johanny Bert et crée
Le Groenland de Pauline Sales à la Comédie de St Etienne.
En septembre 2009, il intègre la promotion « mise en scène » de
l’Ensatt nouvellement dirigée par Alain Françon et Christian Schiaretti et travaille avec Jean-Pierre Vincent, André Markowicz,
Christophe Maltot, Guillaume Lévêque, et Philippe Delaigue.
Depuis 2010, Il mêle son parcours d’acteur et de metteur en scène : il
joue Oreste dans Andromaque mise en scène par Anne Théron, et interprète Donn dans la mise en espace de Jour de Nicolas Doutey mis en œuvre
par Alain Françon à Théâtre Ouvert. Il assiste Christian Schiaretti sur la
création du « Siècle d’or » au TNP, et de Mademoiselle Julie et Créanciers
d’August Strindberg au Théâtre de La Colline ; durant l’été 2011, il participe à l’enregistrement public de The power of yes de David Hare réalisé
par Alexandre Plank (France Culture) au Théâtre de la ville et collabore
à la mise en espace des Heures sèches de Naomi Wallace mise en oeuvre
par Guillaume Lévêque pour les 40 ans de Théâtre Ouvert en Avignon.
En juin 2011, il fonde Le Théâtre Exalté. Durant la saison
2011-2012, il travaille en tant que conseiller littéraire à la fiction de France Culture dans l’équipe de Blandine Masson.
12
Tiphaine Rabaud Fournier est formée en
premier lieu au conservatoire régional d’art
dramatique de Nantes, dont elle est originaire, elle pratique en parallèle la danse
contemporaine et africaine, notamment avec
Flora Théfaine. Elle suit ensuite les cours
du conservatoire du XIème arrondissement de Paris et joue dans Yeul
le jeune, écrit et mis en scène par Joël Jouanneau. C’est en 2005 qu’elle
intègre la promotion U de l’école de La Comédie de Saint Etienne. Elle y
rencontre Baptiste Guiton qui l’a met en scène dans Souffles de tolérance
d’après des textes d’Abdellatif Lâabi, Le Misanthrope de Molière en 2007
et Le Groenland de Pauline Sales en 2009. Elle joue Jackie d’Elfriede Jelinek, mis en scène par Ivica Buljan, en juin 2008 au CDN de Montreuil. Elle
a par la suite travaillé avec Elise Hénault qui met en symbiose le théâtre
contemporain et la pratique du « butô », et Véronique Chattard sur Pacamambo de Wajdi Mouawad. Durant les saisons 2009-2010 et 2010-2011,
elle est comédienne associée au Théâtre de l’Aquarium à la Cartoucherie
de Vincennes sous la direction de François Rancillac et Antoine Caubet
et participe à la création du Bout de la route de Jean Giono. En parallèle,
elle travaille avec la Cie La Quincaillerie Moderne, notamment sur Jeudi
Soir écrit par Myriam Boudenia et mis en scène par Charlotte Duran.
Olivier Borle, d’abord formé à l’École du Théâtre
National de Chaillot dans les classes de Madeleine
Marion, Pierre Vial et Jean-Claude Durand, il a fait
parti de la 62e promotion de l’ENSATT, où il a étudié sous la direction de Christophe Perton, Christian Schiaretti, Enzo Cormann, Philippe Delaigue.
Il fait parti de la troupe du TNP et a
joué dans L’Opéra de quat’sous de Bertolt Brecht et Kurt Weill, Père de August Strindberg, Le Petit Ordinaire de Jean-Pierre Siméon, L’Annonce faite à Marie de Paul Claudel,
13
Coriolan de William Shakespeare, Par-dessus bord de Michel Vinaver, 7
Farces et Comédies de Molière, Philoctète de Jean-Pierre Siméon, Siècle d’or:
Don Quichotte de Cervantès, La Célestine de Fernando de Rojas et Don Juan
de Tirso de Molina, mises en scène Christian Schiaretti. Au printemps 2007,
il a mis en scène Premières Armes de David Mambouch au TNP–Villeurbanne. Il a joué dans Noires Pensées, Mains Fermes de David Mambouch, mis
en scène par l’auteur, Figures de Musset: La Coupe et les lèvres, Les Marrons
du feu et On ne badine pas avec l’amour, feuilleton de Christophe Maltot.
Il a mis en espace Mon Père ma guerre de Ricardo Monserrat et
STE de Sabryna Pierre, avec les comédiens de la troupe du TNP
et de La Nouvelle Fabrique, dans le cadre du Cercle des lecteurs.
Jérôme Quintard a suivi les cours de l’École
du Théâtre National de Chaillot et a intégré la
63e promotion de l’ENSATT, où il a suivi les
cours de Philippe Delaigue, Christian Schiaretti, Michel Raskine, Sergueï Golomazov...
Il fait parti de la troupe du TNP. Il a joué dans L’Opéra
de quat’sous de Bertolt Brecht et Kurt Weill, Père de
August Strindberg, Le Petit Ordinaire de Jean-Pierre
Siméon, Don Cristobal de Federico Garcia Lorca, L’Annonce faite à Marie de
Paul Claudel, Coriolan de William Shakespeare, Par-dessus bord de Michel Vinaver, 7 Farces et Comédies de Molière, Siècle d’or: Don Quichotte de Cervantès, La Célestine de Fernando de Rojas et Don Juan de Tirso de Molina, mises
en scène Christian Schiaretti. Il a travaillé avec Olivier Borle dans Premières
Armes de David Mambouch, et avec Christophe Maltot dans Figures de Musset: La Coupe et les lèvres, Les Marrons du feu et On ne badine pas avec l’amour.
En 2010 il crée avec Ophélie Kern la compagnie du Vieux singe et présente en 2011 au TNP «La soupe et les nuages et autres poèmes
en prose de Charles Baudelaire» mise en scène par Ophélie Kern.
14
Couverture : Affiche du spectacle par Sébastien Quencez
Page 6 : Maquette de Nina, c’est autre chose, morceau III. par Gaëlle Viémont
Page 9 :© Cyril Guiton, Morceau XII.
Page 15 : idem, croquis, Morceau I.
15
Responsable artistique
Baptiste Guiton 04 26 02 78 64
Contact administration
Julie Lapalus et Coralie Guibert
email [email protected]
contact diffusion
email [email protected]
17 cours d’Herbouville
69004 LYON
SIRET : 534 441 423 00025 – APE : 9001Z /
LICENCE : 2-1051722 / 3-1051723
Téléchargement