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recherche, Juan-Luis Klein, professeur au Département de géographie de l’UQAM et
directeur du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES), pour avoir
orienté cette thèse. Durant la réalisation de cette recherche, j’ai été témoin de sa
sagesse pédagogique, de sa rigueur conceptuelle et de son dévouement au travail
scientifique, des attributs qui sont primordiaux pour faire avancer la recherche dans le
domaine des sciences sociales. Avec son savoir, sa pratique pédagogique et son
expertise dans le domaine de la recherche, monsieur Klein a renforcé mes
connaissances ainsi que mon intérêt pour le développement socioéconomique des
collectivités menacées par la pauvreté et l’exclusion. En plus de ses orientations
méthodologiques et conceptuelles, le professeur Klein m’a soutenue financièrement
durant la réalisation de mes études en me faisant participer à plusieurs projets de
recherche. Merci infiniment!
Je remercie également les professeures Sylvie Paré et Michelle Vatz Laaroussi ainsi
que le professeur Victor Armony, qui ont formé, avec M. Klein, le jury d’évaluation
de cette thèse et dont les commentaires m’ont permis d’y apporter des améliorations
significatives.
Mes remerciements vont aussi aux professeurs et au personnel du Département
d’Études urbaines de l’UQAM, ainsi que de l’INRS-Urbanisation, lesquels m’ont
soutenue dans les différentes étapes de ce projet. Je mentionne spécialement les
professeures Winnie Frohn et Annick Germain, ainsi que le professeur Richard
Morin, qui ont eu une forte influence sur ma formation. Également, je tiens à
remercier Madeleine, Mélanie et Léa, trois femmes qui, de différentes manières, ont
contribué à mener à terme ce projet.
Mes remerciements vont aussi au Centre N A Rive pour m’avoir ouvert ses portes et
m’avoir fourni la documentation nécessaire pour mener cette étude. Particulièrement,
je veux dire merci à Mme Ninette Piou et son équipe de collaborateurs, représentés