d) Les tomates aux qualités recherchées obtenues par ces croisements sont des lignées pures
e) Les gamètes de la F1 sont (p+,mat0) ; (p, matN) ; (p, mat0) ; (p+, matN)
L’énoncé ci-dessous s’applique à la Q2
Doc2 – La couleur des yeux des drosophiles
La drosophile a des yeux composites faits de centaines d’unités visuelles individuelles appelées
‘’ommatidies’’. Les drosophiles ‘’sauvages’’ ont des yeux rouge sombre. Cette couler est due à la
présence simultanée de 2 pigments : l’un rouge vif, l’autre brun. Il existe des variétés de
drosophiles mutantes qui possèdent des yeux roue vif, bruns ou blancs (lorsqu’aucun des 2
pigments n’est synthétisé)
Doc3 – La synthèse des pigments oculaires de la drosophile
La synthèse des 2 pigments s’effectue à partir d’un précurseur : le tryptophane.
La synthèse du pigment rouge vif est sous la dépendance d’un gène porté par le K2, dont in
connait 2 allèles : C (dominant) qui code pour une enzyme E1 fonctionnelle, et c (récessif) qui
code une protéine non fonctionnelle
La synthèse du pigment brun se déroule en 2 étapes, catalysées par les enzymes E2 et E3, dont
les ènes sont situés respectivement sur les K2 et K3.
Les 2 allèles dominants, codant des enzymes fonctionnelles, sont notés A et B (respectivement
pour les enzymes 2 et 3). Les 2 allèles récesif, codant des protéines non fonctionnelles, sont
notés a et b (respectivement pour les enzymes 2 et 3)
Doc4 – Un exemple de croisement
On croise une drosophile mâle de génotype (ca//ca ; B//B) avec une drosophile femelle de
génotype (Ca//cA ; b//b)
2]
a) La femelle du croisement du Doc4 a les yeux bruns
b) La couleur des yeux des drosophiles est le résultat de l’expression de plusieurs gènes
c) On obtient 8 phénotypes différents avec le croisement du Doc4
d) Avec le même croisement on peut obtenir des drosophiles à yeux blancs
e) On peut obtenir un drosophile à yeux rouge vif uniquement si les 3 gènes sont présents sous
leur forme allélique dominante
L’énoncé ci-dessous s’applique aux Q3-4-5
On considère les données réunies dans le Doc5, ci-dessous, représentant deux croisements au
cours desquels aucune mutation ne s’est produite