EXERCICE 3
Transforme ce texte en le mettant au passé ; utilise le passé simple ou l'imparfait quand il le faut.
Écris, sur les pointillés, les verbes au temps qui convient.
Tous les jours, la jeune femme se lève en chantant. Ensuite, elle va se promener dans le jardin.
Hélas, un jour, ayant ouvert par mégarde une porte secrète, elle réveille une sorcière qui se cache là
depuis des siècles. La vieille femme vient vers elle et lui jette un sort.
Tous les jours, la jeune femme se …...........................en chantant. Ensuite, elle …....................se
promener dans le jardin. Hélas, un jour, ayant ouvert par mégarde une porte secrète, elle …..............
une sorcière qui …................là depuis des siècles.
La vieille femme ….....................vers elle et lui …...................un sort.
Item 4 Item 5
1 9 0 1 9 0
EXERCICE 4
Complète le tableau suivant, en conjuguant chaque verbe donné à l'infinitif aux temps demandés
et à la personne indiquée par le pronom personnel.
Verbe PARLER Verbe ALLER
Passé simple
ils.................................................................
Passé simple
ils …............................................................
Passé composé
il …..............................................................
Passé composé
il …..............................................................
Item 6 Item 7
1 9 0 1 9 0
EXERCICE 5
Dans les phrases suivantes, trouve deux verbes au passé simple et deux verbes à l'impératif.
Écris-les dans le tableau à la place qui convient.
C'était un lundi soir. Alors que nous franchissions le seuil de la boulangerie, un chaton gris jaillit de
dessous un présentoir de gâteaux et se jeta dans nos jambes. Son humeur joyeuse, sa délicieuse
maladresse, sa façon de zigzaguer en crabe à travers la boutique, nous attendrirent. Accroupies sur
le carreau, nos cartables dans nos jambes, nous passâmes un long moment à le caresser et à nous le
disputer.
La boulangère, beaucoup moins sentimentale, nous déclara froidement que cette bestiole traînait
devant chez elle depuis le matin, et qu'elle ne parvenait pas à s'en débarrasser...
Elle était sur le point d'appeler la fourrière.
Et comme nous protestions, indignées, elle ajouta:
- Que voulez-vous que j'en fasse de cette bête sans collier ? … Adoptez-le puisque vous le trouvez
si mignon !
Nous nous regardâmes, embarrassées. Dominique murmura :