Lire, débattre, dire, écrire - L’intrépide soldat de plomb I LIRE et répondre à des questions 1* 2* 3* 4* 5** 6** 7*** 8*** 9. Cette première partie du conte pourrait-elle être une histoire vraie ? Justifie ta réponse en t’aidant du texte et de tes connaissances. Lignes 40 à 42, il est écrit : « Elle se tenait toujours sur la pointe du pied, les bras étendus ; lui intrépidement sur son unique jambe, et sans cesser de l’épier. » Par quel synonyme (mot ou expression de même sens) pourrait-on remplacer le verbe épier dans cette phrase ? Qu’ordonne le sorcier au soldat de plomb ? Dans cet extrait, lignes 54 - 55 : « (...) ils l’auraient bien trouvé (...), que remplace ils ? Que remplace l’ ? Est-ce un handicap pour l’intrépide soldat de plomb de n’avoir qu’une jambe ? Justifie ta réponse en t’aidant du texte. Que s’imagine l’intrépide soldat de plomb parce qu’il ne voit pas entièrement la demoiselle ? Par l’emploi de quel mot, Andersen nous fait-il comprendre que la pluie tombe très fort, en bas de la page 105 ? D’après toi, la famille dans laquelle se passe cette histoire est-elle plutôt aisée ou plutôt pauvre ? Justifie ta réponse en t’aidant du texte. Si tu en as le temps, invente à ton tour des questions sur le texte. DÉBATTRE • • • • D’après vous, pourquoi le sorcier exige-t-il que le soldat de plomb porte ses regards ailleurs que sur la danseuse ? Si le sorcier est amoureux de la danseuse, cela lui donne-t-il le droit d’interdire aux autres de la regarder ? Justifiez votre point de vue. Si le sorcier est amoureux de la danseuse, le soldat de plomb doit-il cesser de regarder la demoiselle, comme le lui ordonne le sorcier ? Justifiez votre point de vue. Et si le sorcier et la danseuse étaient en couple, le soldat de plomb devrait-il cesser de regarder la demoiselle ? Justifiez votre point de vue. DIRE Dans le texte ci-dessous, surligne ou souligne les paroles du sorcier. Qu’est-ce qui n’est pas surligné (ou souligné) ? Sépare les groupes de souffle par un ou deux slashs (/ ou //) suivant le temps de pause entre deux groupes. Entraîne-toi à lire cet extrait à haute voix en adoptant le ton qui convient. Minuit sonna, et crac ! voilà le couvercle de la tabatière qui saute ; mais, au lieu de tabac, il y avait un petit sorcier noir. C’était un jouet à surprise. – Soldat de plomb, dit le sorcier, tâche de porter ailleurs tes regards ! Mais le soldat fit semblant de ne pas entendre – Attends jusqu’à demain, et tu verras ! reprit le sorcier. ÉCRIRE À la manière d’Andersen, écris comment, le soir venu, lorsque tout le monde dort chez toi, tes jouets prennent vie et s’amusent entre eux. • Observe les lignes 33 à 36. À quels temps les verbes sont-ils conjugués ? Quel emploi chacun de ces temps de conjugaison a-t-il dans le récit ? • À quels objets Andersen donne-t-il vie, lignes 33 à 47 ? N’y a-t-il vraiment que des « joujoux » ? N’y a-t-il que des objets ? • Tu pourras donc, toi aussi, si tu le souhaites, donner vie à d’autres objets de la maison qu’à tes jouets, et tu pourras, si tu le souhaites, faire participer les animaux de la maison. Écris ton texte, à la suite de ceci : Aussitôt les joujoux commencèrent à s’amuser tout seuls :