6/12/2004
COMMUNIQUE DE PRESSE
Pour faire suite à l’article paru dans « LIBERATION » du lundi 29 novembre 2004 « VEOLIA : La
Cgt se dévoile devant la justice » sur l’audience en correctionnelle du 26 novembre, nous ne pouvons
que regretter que le journaliste n’ait pas pris la peine de retenir les réponses formulées par la CGT aux
questions qu’il met en avant dans son article, car si chacun a pu s’exprimer devant le tribunal, en
répondant notamment aux questions des juges, cet article n’en fait pas mention.
Pour ce qui est de la situation de Jean Luc TOULY, il est en même temps élu sur la liste des
prud’hommes CGT du Val de Marne et sur la liste FORCE OUVRIERE dans la Générale des Eaux, que
doit-on en penser ?
Dans tous les cas, il n’est adhérent à aucun syndicat CGT de l’UES Générale des Eaux.
D’autre part, nous rappelons que c’est Jean Luc TOULY qui est accusé dans cette affaire dont le
jugement aura lieu le 14 janvier 2005. La CGT s’est opposée à son licenciement qui a d’ailleurs été rejeté
depuis un mois.
Pour ce qui concerne les révélations de Christophe MONGERMONT (F.O), ce n’est qu’un témoignage
sans preuve qui essaie d’étayer les dires de Jean Luc TOULY (sans fournir de preuve non plus), le
tribunal n’a pas pu être dupe.
Pour mémoire Christophe MONGERMONT a été condamné deux fois pour diffamations suite à la plainte
de la Secrétaire de la CGT de Rennes, cela malgré le témoignage en sa faveur de Jean Luc TOULY, déjà
à ses côtés à l’époque.
En ce qui concerne la page de publicité achetée pour le journal « La Vie Ouvrière » dont nous ne
connaissons pas le montant, cela n’a aucun rapport avec la phrase tirée du compte rendu de notre instance,
qui lorsque le trésorier parle des versements effectués par la Direction, parle d’une somme annuelle
versée à chaque Organisation Syndicale (dont FO), son montant étant fixé en fonction des sultats aux
élections professionnelles, tout cela étant consigné dans l’accord de droit syndical.
Pour ce qui est de la rémunération des délégués syndicaux, il s’agit de l’application de la loi
(revendication de la CGT) qui consiste pour ces délégués à garder la rémunération et les indemnités liées
à leur fonction lors de leur détachement partiel ou complet pour le travail syndical, ce calcul s’effectue
sur la base des douze mois qui précèdent.
Le tribunal s’en est inquiété, l’article du journal aurait pu en faire mention.
Quant au témoignage de Daniel GUERRIER (SNJ.CGT) Journaliste, il n’a rien à voir avec la Générale
des Eaux, il parle certainement du Comité de Groupe VIVENDI UNIVERSAL, dans lequel il était
représentant syndical CGT pour toutes les fédérations concernées.
Contact : Franck Le Roux 06.23.06.58.00
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