Loge_numero_7_Cycle1_files/LOGE N°7 EP1

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Hadaly scénographie François CAMOES Copyright Février 2012 Tous droits réservés
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Le Gobelin Vapeur
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«Le Pantin sans Visage»
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Formes brèves, autres, 25 au Frac Lorraine
I’ve dreamt about, Børre Saethre, Conrad Shawcross, Sarah Sze au MUDAM
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Michèle Meftah
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Kévin Wandrol
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Les projets en cours. Prochaines dates.
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!
Bonjour à tous. Laissez-moi vous présenter «Loge n°7» la
publication d’Hadaly scénographie. J’ai préféré le terme
«publication» à celui de «revue» afin d’éviter la confusion
avec un document qui se prétendrait promotionnel, critique,
ou autre. Cette publication n’a pas vocation à découvrir de
nouveaux artistes, définir qui a sa place sur la scène
culturelle ou encore en définir les meilleurs acteurs. Il
s’agit simplement de présenter des réactions, impressions et
ressentis sur des expériences artistiques variées.
!
Pour ce premier opus, j’ai décidé de m’attacher avant
toute chose à des interventions artistiques qui ont suscité
mon intérêt, et par intérêt je parle bien de sensibilité à un
dispositif plastique ou scénique et non un engouement de
spectateur. Il est possible que certaines oeuvres ne
correspondent pas à mes goûts habituels et se retrouve à
l’intérieur de cette publication. Aimer une image et
apprécier son système de fonctionnement sont deux choses
différentes.
!
J’ajouterai que je n’ai pas pour objectif de présenter
les oeuvres de façon savante, je souhaite écrire comme l’on
peut se soulager d’un mal quelconque, extérioriser un
ressenti que les mots sont parfois inaptes à définir. Aussi
je tiens à m’excuser par avance de l’incohérence de certains
propos, l’incohérence est mère du génie et les oeuvres que je
souhaite présenter n’en manqueront pas. Pour ceux qui
définiront mes articles de vomissure pseudo-culturelle ou de
diarrhée verbale, je dirai qu’il s’agit de cela précisément.
Si écrire n’était qu’un vecteur d’informations objectives,
que pourrions-nous apprécier ou déprécier ?
!
Ce premier opus vous propose donc de découvrir un lieu
culturel, un spectacle, une exposition, un artiste de scène,
un plasticien, les projets en cours d’Hadaly scénographie
ainsi qu’un agenda culturel. Cet agenda ne tend pas à
recenser l’ensemble des évènements sur le territoire.
Apparaîtront sur celui-ci les lieux culturels qui accepteront
de me faire parvenir trois semaines avant la publication leur
programmation des deux prochains mois.
Pour les lieux intéressés, merci de contacter Loge n°7 à
l’adresse suivante : [email protected]
Bonne lecture
François CAMOES
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!
Situé rue du Grand Wad à Metz, au sous-sol de la boutique
La caverne du Gobelin, le «Gobelin Vapeur» est avant tout un
café-jeux. Mais depuis quelques temps, l’homme derrière la
machine, Nicolas Chattou-Coumbil développe des activités plus
culturelles. L’intervention de conteurs, magiciens, ayant
déjà fait mouche par le passé, désormais le Gobelin Vapeur
offre la possibilité à des petits spectacles de se produire
et à des expositions d’y faire un passage. Pour ne citer que
les plus récents : Mock, Sales fées, Aalehx, SnailShow, Gypsy
Nomads, Association ACT, Kévin Wandrol...
Le lieu est étroit, peu
de surface, un éclairage
catastrophique pour de la
scène et pour couronner le
tout, l’espace est bas de
plafond. Mais le Gobelin
Vapeur est avant tout un
lieu de rassemblement pour
les fans de SteamPunk (ou
Rétro-Futur) et son aspect
«salon de jeux» en fait un
espace original, convivial,
sans doute peu enclin à
mettre en valeur oeuvres plastiques ou scéniques mais très
prompt aux dialogues entre le public et les auteurs. Des
tables, des canapés et une lumière blafarde presque intimiste
en font sans doute l’un des pires lieux où se produire d’un
point de vue esthétique et pourtant, la proximité des
spectateurs en fait une véritable machine à dialogues. Et là
se situe le petit plus du Gobelin. !
!
Avec sa jauge limitée, il permet aux artistes de se
confronter réellement à la portée de leurs oeuvres,
recueillir des impressions, recevoir des commentaires, bref,
tester l’effet d’une oeuvre sur des personnes vivantes et non
sur une salle pleine d’un public déjà conquis. Impossible de
fuir les spectateurs après une prestation, il faut
nécessairement les croiser pour accéder à l’escalier qui mène
à la surface. Le public du Café-Jeux et celui des soirées
culturelles n’étant pas le même, il n’est pas rare d’assister
à des représentations en petit comité. Cependant, l’avantage
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par rapport à un café (servant de l’alcool) ou une
médiathèque, se situe dans le fait que le public se déplace
pour le spectacle ou l’exposition et uniquement pour cela. Il
serait assez juste de parler de qualité du public faute de
quantité...
!
D’un point de vue professionnel, il est très logique de
considérer le Gobelin Vapeur comme LE lieu idéal pour la
première d’un spectacle ou d’une exposition car les retombées
seront live et directes. De plus, en cas d’oeuvres
insoutenables, vous n’échapperez pas au public...
!
Si le style victorien vous exaspère, que le Steampunk
n’est pas votre tasse de thé, sachez que le dirigeant de ce
vaisseau accepte volontiers de décrocher sa déco’ pour
permettre aux artistes de présenter leur travaux. Et si vous
manquez d’espace, c’est lui qui vous tendra la perceuse à
percussion pour vous épanouir !
!
Le Gobelin est une sorte de Nautilus et avant d’échapper
au Capitaine «Nico’», il vous faudra accepter que cet espace
de rencontre risque de devenir une cellule bien confortable
pour croupir artistiquement en attendant la pieuvre...
Plus d’infos : www.nicolaschattoucoumbil.fr/gobelinvapeur
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!
«Le Pantin sans visage» par Aalehx est un spectacle
présenté sous l’appellation «BD-Concert» et quoi de plus
justifié puisqu’il s’agit d’un spectacle musical proposant
comme décor les personnages, l’ambiance, bref les images de
la bande dessinée éponyme. Par les images projetées, les sons
et paroles qu’Aalehx profère sur scène comme une complainte
magique, un voyage assez glauque s’opère sur scène, tantôt
enchanté, tantôt grinçant, mais toujours pénétrant. Outre la
faiblesse du décor qui pourrait passer pour de la
scénographie promotionnelle car composée de Pop-Up, c’est
avant toute chose la présence perturbante du musicien qui
crée l’ambiance. Recroquevillé comme coincé au milieu de ses
personnages en carton, ses instruments, son équipement
technique, il apparaît comme un aliéné enfermé dans son monde
et s’appliquant avec frénésie à
nous faire entrer dans cet
univers décalé. Les sons sont
ambigus, flirtant parfois avec
une atmosphère expérimentale.
Visuellement : une sorte de
«Waterwalk» de John Cage mais
dans une cellule de contention.
Auditivement : Un voyage dans
une capsule avec un unique
hublot pour voir le monde. La beauté des images semble figée
mais la mouvance du son les habite comme une âme dans un
corps mécanique.
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!
Il est vrai que la plaquette à l’allure parfois trop
commerciale laisse supposer que le spectacle ne sera ni plus
ni moins qu’un outil de promotion de la bande dessinée. Il
n’en est rien, «Le pantin sans visage» reste une oeuvre
scénique pluri-disciplinaire qui existe et tend à exister
seule. C’est un tout, image et son, qui nécessiterait sans
doute d’être vendu sous la forme d’un long métrage musical
plutôt que sous sa forme actuelle : un album / une BD...
!
Aalehx définit ce spectacle comme un «Conte ! Polymorphe»
et c’est bien là l’intérêt premier de cette expérience :
faire découvrir une histoire sans mot, une vision sans
amarre, un pantin sans visage, un conteur qui ne conte pas
mais qui subit son histoire...
Plus d’infos : www.aalehx.com
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!
Ne vous est-il jamais arrivé de jeter un coup d’oeil sur
le site d’un lieu culturel avant de vous y rendre ?
Pourquoi ? Pour savoir si cela en vaut la peine. Et bien
cette exposition est l’exemple même de l’évènement qui rebute
sur le net par ses visuels. Et pourtant... Le Frac Lorraine
vous propose du 27 Janvier au 8 Avril, de découvrir un projet
intéressant autour de la lecture. «Entrer dans un livre en
trois dimensions». Tel est le pari lancé par la curatrice
Anja Isabel Schneider. Comme la plupart des expositions du
Frac Lorraine, vous ne serez pas subjugués par la totalité
des oeuvres, certaines paraissant plus anecdotiques qu’artistiques comme l’oeuvre de Claire MOREL qui tente de rendre
illisible le manuscrit
original du «Livre» de
Mallarmé. Mais l’ensemble est
cohérent et très vite
l’exposition devient un
mécanisme, une forme d’immersion excessive par un
recours abusif au mot.
L’apothéose de cette «torture
masochiste» se trouve au
sommet de l’exposition :
l’installation de Charles
Sandison
propose
une
projection, sur les murs de la
pièce, de mots, répétés, clignotants, se déplaçant comme une
pensée qui tente de se ranger. Une oppression agréable, voilà
ce que provoque cette expérience.
!
En outre, il est nécessaire de s’attarder sur le côté
conceptuel de cette initiative car au delà, la matière en est
bien faible, il faut l’avouer. Pas de «Ouh ! Ah !» mais
plutôt un intéressement et un zeste de poésie qu’il manque
assez souvent aux expositions d’art contemporain : «une
lecture en soi» comme le précise Anja Isabel. Le travail
d’Helen Mirra fait écho presque «plagiatiquement» à celui de
Jan Mancuska : un texte à lire, oui, mais au fil du voyage
dans l’espace. Et cette oeuvre est à même d’illustrer à elle
seule le fonctionnement conceptuel de l’expositiondispositif. De loin, il semblerait que la pellicule d’un film
a été tendue entre les murs comme un parcours du combattant.
Mais très vite, la confrontation prend la forme d’un dialogue
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et le ruban à lire propose au spectateur d’interagir avec le
texte en existant physiquement dans cet espace, au delà de la
réalité narrative.
!
Petit clin d’oeil à la vidéo proposée au rez-de-chaussée
présentant une fausse publicité pour «un objet
révolutionnaire d’apprentissage des données par voix
rétinienne portant le nom commercial de «Book»» : sorte de
contrepied aux tablettes numériques présenté avec une pointe
d’humour. Mais celui-ci est bien peu de chose au milieu de
toute cette matérialité-immatérialité des mots.
!
On y retrouve également une série de propositions prêtées
par l’artiste Fabio Kacero, une archive de mots qu’il a luimême inventée. Un petit bijoux pour les fans d’art conceptuel
et de ces artistes qui proposaient de présenter précisément
des «archives», aussi farfelues qu’invraisemblables, pour
justifier de leur démarche théorique. On y regrette presque
une intervention du performer Davide Napoli. Mais au delà de
l’exposition de mots, textes, écrits et paroles, «Formes
brèves, autres, 25» propose d’explorer «le changement de
comportement des lecteurs à l’ère du numérique».
!
Ainsi, le Frac a décidé de remplacer le sempiternel
fascicule de présentation des oeuvres par des Ipads, placés
sur des pupitres et contenant les infos nécessaires. Plus
qu’un coup de jeune, il s’agit surtout d’une façon tout à
fait intelligente d’illustrer par la scénographie ce
changement de comportement vis-à-vis de la lecture. Et pour
les «bouffeurs de papiers» qui auraient du mal à glisser
leurs doigts moites sur les écrans numériques, le Frac a tout
de même fait imprimer quelques fascicules. Pourquoi ? Parce
que le changement n’est pas encore effectué, il est en pleine
progression, et c’est la raison pour laquelle cette
exposition semble avoir un goût de «projet en cours». Formes
brèves, autres et 25 façons de détourner le lecteur de la
narration en le faisant lire en visitant !
Plus d’infos : www.fraclorraine.org
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!
Le MUDAM est avant tout un
musée Zen. Le temps y est
différent, les oeuvres prennent
souvent une dimension spatiale
particulière mais le contenu de
cette exposition n’avait nul besoin
des qualités d’architectes de Pei
pour exister. L’installation de
Conrad Shawcross installée sous la
grande Nef vous accueille, aussi
impressionnante que fascinante.
Concrètement, c’est une machine à
coudre géante, tissant lentement
une sorte d’énorme tricotin.
L’installation est praticable et
l’accès aux plates-formes
supérieures permet d’admirer son
génie. D’une part, la précision des
machines manipulent les bobines de fils géantes à coup de
rouages profilés, d’autre part, le corps, en s’y déplaçant,
ressent la tension de cette structure, équilibrée et
suspendue comme une machine volante avec pour seul amarre un
énorme fil. The Nervous Systems (Inverted), puisque tel est
le nom de ce dispositif, cherche à interroger la notion
d’imagination scientifique en créant une oeuvre qui ne cesse
de grandir puisque la machine ne s’arrête jamais, et ce, sur
des fondements aussi instables que la science, d’où cette
structure à l’apparence très fragile.
!
La visite passe par de multiples installations aussi
conceptuelles que plastiques. Le travail de l’artiste newyorkaise Sarah Sze trône au sommet de l’aile Charlotte. Cette
accroc de l’in-situ et de l’objet de pacotille investit les
lieux dans lesquels elle expose en créant des structures
composées d’objets récupérés, de constructions faites à
partir de matériaux pauvres (allumettes, fils, papier, etc).
Etrangement, cette accumulation de bric et de broc n’est pas
composée au hasard, le placement est savamment étudié par
l’artiste, un peu à l’image d’une partition musicale. Mais
étrangement, c’est le méli-mélo à l’apparence incongru qui
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crée dans l’esprit du spectateur des formes de petites mises
en scène. On croit assister à des associations surréalistes
d’éléments. Certains objets
sont même mis en mouvement
par des ventilateurs, des
lampes viennent en éclairer
certains, en masquer
d’autres, offrant une
dimension poétique à la
structure. L’artiste
questionne «le rapport
d’échelle, le grand, le
petit, le lourd, le léger,
le lointain et le proche»,
et c’est spécifiquement ce questionnement de l’objet dans
l’espace et de l’espace autour de l’objet qui donne à cette
installation sa dimension plurielle.
!
Dans ce mélange assez hétéroclite de constructions, vous
pourrez également faire une expérience fascinante avec le
travail de Børre Saethre. Une installation complexe, mélange
de sons, lumières et
exploitations de surfaces
miroitantes, s’offre à
vous comme une cellule,
une sorte de manège
sensoriel dans lequel sa
scénographie tend à faire
du pénétrant un acteur de
sa propre histoire. Car il
est bel et bien question
d’offrir un décor aux
spectateurs et non pas une
oeuvre finie. L’artiste propose une piste, une sorte de point
de départ au récit un peu comme pour annoncer : «le décor est
ici, les accessoires également, bienvenue à vous, acteurs,
maintenant jouez !» Une expérience fascinante...
!
L’étage du MUDAM est occupé par l’exposition I’ve dreamt
about jusqu’au 4 mars, vous ne pourrez donc plus l’apprécier
lorsque vous lirez cette publication. Proposer des «utopies
réalistes», tel fut le défi lancé aux artistes participants.
Offrir une vision du monde idyllique n’est pas chose aisé si
l’on souhaite garder les pieds sur terre. Et pourtant les
oeuvres proposées sont autant de propositions écologiques et
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songeuses. C’est une sorte de voyage zen dans un monde en
création. Un dispositif sonore de Muadhib proposant la
construction d’une île virtuelle,
les habitations modulables
gonflables de Tomas Saraceno ou
encore le projet The Land sont
autant d’images rêvées mais
également réelles. Ce dernier
projet, présenté sous la forme
d’une vidéo, presque cachée
derrière des cimaises invisibles,
a réuni trois artistes : François
Roche, Philippe Parreno et Rirkrit Tiravanija. Le projet
consiste en un espace de création et de vie en Thaïlande :
une structure transparente, ouverte et alimentée en
électricité par un buffle en mouvement. Les images sont
magiques, il semblerait presque qu’un songe en couleur ait
été capté par la pellicule de la caméra, et pourtant, à
l’apparition du buffle, les images prennent toute leur
réalité. Un voyage fantastique dans une dimension un peu
oubliée de l’Art contemporain : faire voyager l’esprit.
!
Et de ce voyage, celui-ci ne peut rester inchangé, en
témoignent les formes
résinées de François Roche
intitulées I’ve heard about
sans doute bien faible (en
signification) en comparaison à celle d’un
Matthew Barney, mais
présentées d’une façon
étonnante. Des structures
porteuses composées de
tiges élèvent à hauteur
adéquat les sculptures de
l’artiste. Plus qu’une scénographie esthétique, il s’agit
surtout d’une façon plutôt savante de signifier ce fil ténu
qui lie rêve et réalité, fil que les artistes n’ont pas
hésité à saisir, à développer pour tisser leurs utopies...
Plus d’infos : www.mudam.lu
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!
Qui a dit que l’expérience faisait coexister passé et
présent ? Lorsque l’on s’intéresse au travail de Michèle
Meftah, il en sort avant tout l’impression d’une créatrice
contemporaine, intenable, un pied dans le présent et un autre
dans l’avenir. Chorégraphe hyperactive, Michèle Meftah
s’applique avant tout à faire coexister les genres. Ses
créations alliant danse, théâtre, musique et plasticité, il
n’est pas nécessaire d’être expert en la matière pour
comprendre son travail. Elle est avant tout une narratrice de
l’image scénique : « J’ai toujours beaucoup de choses à
raconter». Regarder un de ses spectacles, c’est avant tout
expérimenter, via divers moyens, une façon d’appréhender la
danse sans artifices, sans discours pré-établis.
!
Ses oeuvres les plus significatives sont «Le temps de
l’innocence» et «Le temps de la chute». Dans une scénographie
inspirée de l’Oeuvre de Louise Bourgeois, Michèle Meftah
s’applique à faire coexister au sein d’un espace confiné des
acteurs-mouvants, et non pas de
simples danseurs. Parce que
l’esthétique à l’apparence
austère des costumes et des
images ne risque pas de séduire,
c’est la richesse du contenu
qu’il faudra ressentir. Et
ressentir est le mot, car son
travail ne se regarde pas, il se
ressent, à travers tous les
sens. Un art brut pourrait-on
dire, du tissu et de la ferraille, du bois et des corps, une
façon de noyer la culture usinière dans une mélasse de
corporéité. Car c’est au sein du triangle Villing Faulquemont
Stiring-Wendel, ancien bassin du charbon, que Michèle Meftah
a fait ses armes. Elle a maintes fois traité cet aspect non
négligeable de l’histoire des mines notamment dans «Usines»
en 2000. Une démarche politique culturelle ? No comment.
!
Mais Michèle Meftah s’applique surtout à rendre la danse
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accessible, à désacraliser une discipline souvent victime de
sa surintellectualisation. Au delà de son implication
pédagogique ou son intérêt pour l’utilisation d’amateurs dans
ses spectacles, son oeuvre reflète avant tout cette volonté
maladive d’exposer la technique de la danse plutôt que la
danse elle-même, ce qui finit tout de même par exacerber
cette vision de la danse hermétique qu’elle tente d’éviter.
On assiste alors à l’exhibition d’un corps écartelé, un corps
plastique, tantôt maladroit, tantôt expert, qui montre sans
limite le côté humain de la danse. Un corps en devenir,
marqué par son espace de vie (ou de scène), un oiseau dans
une cage qui bat de l’aile gauche faute de pouvoir battre de
la droite, pose ses pattes sur ce qu’il reste de terre et en
fait son espace de jeu.
!
Michèle Meftah est aujourd’hui une femme d’un certain
âge, d’une expérience toute aussi certaine mais qui cependant
continue de déborder de créativité. «Je n’ai jamais été en
manque d’idées.» Pourquoi ? Parce que l’inspiration n’a pas
d’âge, parce que l’imagination n’a pas besoin de la mémoire
pour exister, elle n’a besoin que d’un corps, et un corps
nouveau, Michèle Meftah l’a déjà trouvé en celui de sa fille
qu’elle met en scène dans ses dernières oeuvres. Malgré un
discours parfois simpliste à l’égard de celles-ci, Michèle
crée, sans s’arrêter, sans doute pour exister... Un peu comme
tous les artistes. La vision de cette chorégraphe aux cents
idées ne s’arrêtera pas, parce que si le corps porte en lui
nos expériences, les expériences, elles, peuvent changer de
corps pour perdurer...
Plus d’infos : www.compagniedelatelier.com
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Un veston, un pantalon empire, une redingote et derrière
lui une carrière artistique peu reconnue. Kévin Wandrol se
définit avant tout comme un créateur d’Art. Sous ce terme un
peu égocentrique se cache un dessinateur, revendiquant avant
tout la notion «d’originalité». Passionné d’enluminure et
d’iconographie, deux pratiques sont au centre de son Oeuvre :
la peinture sur plaque d’aluminium et les encres sur toiles.
Les deux techniques dépendent de démarches opposées mais qui
se complètent. «La toile, pour moi reste une base pour le
paysage, tantôt fantômatique, tantôt industriel, mais cette
pratique évolue en
p e r m a n e n c e .
L’architecture de ville
de mes premiers tableaux
présentait des espaces
urbains avec un fond
industriel, l’industriel
s’est peu à peu retrouvé
au premier plan.»
Passionné de Bauhaus, il
développe frénétiquement
une esthétique du trait.
! Mais derrière ces
analyses presque trop
cartésiennes se cache un
intérêt
quasiobsessionnel pour la perspective, la ligne droite, «à la
recherche du trait parfait» comme il le dit lui-même. Ses
toiles sont avant toute chose une étude, une recherche
d’évolution permanente. Mais c’est surtout la finesse
excessive des détails et de la netteté que le regardeur
remarque : des paysages, certes, mais avec une précision
tantôt maîtrisée, tantôt maladroite qui dépasse souvent la
réalité architecturale avec des structures aériennes, des
usines démesurées, des villes inhabitables.
!
Et inhabitable est le mot puisqu’aucun personnage ne
vient habiter ses architectures. Kévin Wandrol s’en défend,
en expliquant qu’il s’agit d’un point de vue plus intime, «de
créer un environnement maîtrisé, mon univers, ce qui
n’empêche pas au public de se projeter dedans». Il est vrai
que laisser des paysages aussi déserts se présenter devant un
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regard ne donne envie que de s’y plonger. La machine
fonctionne. L’absence de personnage»s dans ses paysages
laisse une place au public, une brèche, une ouverture pour
entrer dans son univers. Lui s’y projette en le créant :
«c’est moi qui me ballade là-dedans, sauf que je le construis
en m’y déplaçant.» Le spectateur n’a plus qu’à y flâner pour
découvrir qui est Kévin Wandrol.
!
Concernant les plaques d’aluminium, il
les définit comme un «exutoire». La technique
est simple puisqu’il s’agit de développer de
manière frénétique le test Rorschach. Les
pigments sont projetés sur la plaque et
l’image qui va y apparaître sera développée
par l’artiste pour en créer une image
figurative. «Je laisse le hasard créer la
base, il m’arrive parfois de laisser une
plaque ‘pourrir’ pendant deux mois avant d’y
développer une image». Etrangement, et Kévin
Wandrol l’a également remarqué, les formes qui
apparaissent sur ses plaques sont la plupart
du temps des visages, ou des corps. Il s’agit
avant tout d’une pratique «défouloir» vis-àvis de la pratique des toiles : «c’est une
technique rapide, qui offre des visions colorées,
informelles». Il faut savoir qu’au départ, sa pratiques sur
plaques d’aluminium ne servait qu’à produire des oeuvres
abstraites. Mais cet artiste, à la base technicien
dessinateur, s’est très vite rendu compte que l’abstrait ne
lui correspondait pas : «j’ai pris du plaisir à faire de
l’abstrait, mais ce fut un plaisir éphémère». Ce retour au
figuratif n’est pas une régression mais le travail abstrait à
servi de base aux travaux actuels, toujours dans cette idée
d’Art-Etude.
!
Kévin Wandrol est avant-tout un puriste, qui aime
l’architecture industrielle pour son efficacité, le noir et
blanc pour sa capacité à mettre en valeur la ligne, le
travail minutieux pour défouler une hyper-activité
artistique. Attaché à l’architecture type 1920, l’esthétique
de son travail se retrouve sur lui, un look particulier, une
scénographie spécifique. Mais à ceux qui penseront que son
originalité tend à compenser la banalité de sa pratique,
Kévin Wandrol répondra : «je ne veux pas ressembler à mes
oeuvres, j’essaie de créer des oeuvres qui me ressemblent !».
Egocentrique ? Juste assez pour être un artiste...
Plus d’infos : www.wandrolcreationsdart.com
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!
Découvrez le 23 mars au sein du
Gobelin Vapeur la dernière création
scénique d’Hadaly scénographie : «Pomme
ou les Mystères du Pédoncule». Il
s’agit d’un spectacle loufoque, dans la
lignée de Bananarama avec Julien CHAIX,
Emilie SALATA et Rebecca NOEL sur un
texte de François CAMOES. Le spectacle
nous présente les aventures de Pomme,
artiste incompris, qui doit faire face
malgré lui à une farce de genèse.
!
«Pomme», c’est l’histoire d’un
homme parti dans l’espace à la
recherche d’oeufs pour sauver la Terre
de l’apocalypse. Il débarque sur une
planète en pleine genèse. Il y
rencontre Adam et Eve, deux femmes
capables de pondre des oeufs mais
incapables de se reproduire... Humour, réflexions, un peu de
«phalosophie» et un zeste de sensualité font de cette création
une curiosité scénique à découvrir et redécouvrir à travers des
représentations toujours plus loufoques. L’ensemble est
présenté dans un décor original et tout aussi décalé. Le
spectacle sera accompagné par l’exposition «Amazones» de
l’association ACT, sur le thème de la femme.
«Pomme et les Mystères du Pédoncule», vendredi 23 mars 20h30
Au Gobelin Vapeur rue du Grand Wad Metz.
Réservez dès maintenant vos places, pré-vente à 8"
via Facebook «Hadaly scénographie» ou « Au Gobelin Vapeur» ,
par mail [email protected] ou par téléphone au 06 45 14 60 95.
Attention places limitées !
!
Hadaly propose également en ce moment l’exposition Flots
avec l’association ACT, avec Projection de l’Oeuf de l’Ange en
ouverture (Performance vidéo par François CAMOES)
!
Hadaly scénographie travaille actuellement sur le nouveau
décor de «Mock, I met the sleepwalker...» avec Fabien Bertrand
et Rebecca Noël, mise en scène Joanna Bertrand. Le spectacle
recommencera courant 2012. Un nouveau site verra le jour pour
le lancement du nouveau décor.
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Hadaly scénographie travaille sur un projet de performance
scénique à représentation limitée l’adaptation d’une tragédie
grec dans un décor évolutif... A suivre.
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Secteur METZ
Exposition de Lidylia Faust au Gobelin Vapeur Metz à partir du 6
mars Vernissage le 6 mars 19h30 Entrée libre
lidyliafaust.com
Spectacle «Pomme ou les Mystères du Pédoncule» au Gobelin Vapeur
Metz le vendredi 23 mars à 20h30 Accompagné par l’exposition
«Amazones» de l’association ACT du 23 au 30 mars 10" (8" prévente)
Plus d’infos : www.nicolaschattoucoumbil.fr/gobelinvapeur.html
Atelier
ados de
sous la
avril –
d’improvisations et matchs «Droit de réponse» pour les
12 à 17 ans. Insertion des jeunes par la culture. Théatre
pluie, espace Mazenod Augny samedis 17mars – 31 mars –14
28 avril -# de 15H00 à 17H00
Plus d’infos : http://jeanmarie.leroy3.free.fr
Spectacle jeune public# "MOMO"# par le théâtre du petit pois, d'après le roman de Michael Ende, mis en scène par Claudia CalvierPrimus à Metz Au Centre G. Lacour le 21 mars à 15h
Plus d’infos : www.theatredupetitpois.net
Spectacle «Chagrin d’humour / Les patates à l’eau#? / Félix Lobo»
Avec : Pat Pandolfino, Hélène Schwartz et Félix Lobo, trio
d’humoristes, Cie Les patates à l'eau à la salle Braun rue Mozart
Metz le vendredi 9 mars, samedi 10 mars et dimanche 11 mars 20h30
Spectacle jeune public «Blanche comme la neige», Cie
les Bestioles, par et avec Martine Waniowski A
partir de 6 ans à la salle Braun, rue Mozart Metz,
le mardi 13 à 10h et 14h30, le mercredi 14 à 15h et
le jeudi 15 à 10h et 14h30
Spectacle «Gainsbourg Forever»
d’après les textes des chansons de
Serge Gainsbourg, Cie Théâtre Lumière, mise en
scène par Christophe Feltz, avec Anne-Laure
Hagenmuller, Christophe Feltz et Francesco Rees à
la salle Braun rue Mozart Metz, le dimanche 31
mars à 20h30 15"
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Spectacle «Drôle de nuit à l’Opéra» Cie Théâtral’
Ambic, mise en scène et adaptation# par Patrick
Barbelin, comédie et chant lyrique# : Gaëlle Ott à la
salle Braun rue Mozart Metz le mardi 24 à 14h30, le
mercredi 25 à 15h, le jeudi 26 à 10h et 14h30 et le
vendredi 27 à 10h.
http://droledenuitalopera.webhop.net
Plus d’informations : www.sallebraun.com
Secteur THIONVILLE
Concert Orelsan avec en première partie TBC au 112 Terville le
vendredi 9 mars 20h 25" (18-21" prévente)
Orelsan#: www.youtube.com/user/orelsan
Concert Da Silva avec en première partie TBC au 112 Terville le
vendredi 30 mars à 20h 22" (15-18" prévente)
Da Silva#: www.youtube.com/watch?v=kLzBe45vYns&feature=relmfu
Concert Earth Wind en Fire au 112 Terville le vendredi 16 mars à
20h 28" (21-24" prévente)
Earth Wind & Fire#: www.youtube.com/watch?v=hy-huQAMPQA&feature=relmfu
Concert Lofofora avec en première partie Crucified Barbara au 112
Terville le samedi 7 avril à 20h 22" (15-18" prévente)
Lofofora: www.youtube.com/watch?v=EecAKOpRzPQ&feature=related
Crucified Barbara#: www.youtube.com/watch?v=fZGP4oabVFY
Concerts Festival Ska avec La Ruda / Jim Murple Memorial / The
Moon Invaders / The Upsessions / Bobby Sixkiller au 112 Terville
le 5 mai à partir de 18h 22" (15-18" prévente)
La Ruda : www.youtube.com/watch?v=ZLdnMoWHDgA
Jim Murple Memorial : www.youtube.com/watch?v=hTCeyM48zac&feature=fvwrel
The Moon Invaders : www.youtube.com/user/prosceniumfr#p/u/4/lsxv4yqriyQ
The Upsessions#: www.youtube.com/user/prosceniumfr#p/u/1/wK1fJseGsXo
Bobby Sixkiller#: www.youtube.com/watch?v=vZKkrYfo2Zw
Plus d’infos : www.le-112.fr
Concert «Carte blanche à Vincent Thékal»
Thionville le mardi 13 mars 2011 à 20h30
www.myspace.com/thekalvincent
Concert «Shani Diluka joue Mendelssohn»
Thionville le mardi 20 mars à 20h30
www.shanidiluka.com
(Jazz)
à
l’Adagio
(Prestige)
à
l’Adagio
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Concert Emmanuel Teutsch – 3 quatuors pour Hautbois, violon, alto
et violoncelle Quatuor de Mozart K370 en 3 mouvements, «Fantaisie
quartet# » Op.2 de B. Britten, ainsi qu'une création de François
Narboni#à l’Adagio Thionville le 1er avril à 11h
Concert (Prestige)/Danse «# Faire des pieds et des mains# »Lucile
Guin / Julien Pauly avec Elodie Sicard et Sayaka Shoji à l’Adagio
Thionville le 24 avril à 20h30
Concert «Tigran – à Fable» (Jazz) à l’Adagio Thionville le jeudi
26 avril à 20h30
www.tigranhamasyan.com
Concert «SAX4» (Tangos) Quatuor de Saxophones, Pièces de Goran
Bregovic, Thierry Escaich, Claude Georgel, Tomás Gubitsch, Astor
Piazzolla, Paquito D'Rivera, Kurt Weill... à l’Adagio Thionville
le 29 avril 2012 à 11h
http://sax4.fr
Concert «Evasion, du vent dans les voix» Musique du monde
Méditerranée (chants espagnol, cubain, africain, andalou, tzigane,
portugais, catalan, tunisien, arabe, brésilien…) avec Laurence
Giorgi, Anne-Marie et Nathalie Ferreira, Soraya Esseid, Gwénaëlle
Baudin)à l’Adagio Thionville le vendredi 4 mai à 20h30
www.evasion-vocal26.com
Plus d’infos : www.thionville.fr/agendas/index/lieu:3#
Secteur NANCY
Exposition «Métamorphose» (Photographie)Une
étude idyllique de la forêt jusqu’au 23 mars
Institut Goethe NANCY
Exposition «Traits et Caricatures» (images
satiriques) Site Stanislas NANCY jusqu’au 23
mars
Exposition «le Monde des Contes» (Autour des
contes de Grimm) à la bibliothèque Gérard
Thirion LAXOU jusqu’au 31 mars
Exposition Passionnément Beatles
Jusqu’au 1er avril Site Manufacture NANCY
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Exposition «de Crépuscule en Crépuscule» Photo Vincent Munier au
Muséum Aquarium de NANCY jusqu’au 30 avril
Plus d’infos : www.ot-nancy.fr
Secteur VOSGES
Danse Jeune public «Cuisses de grenouille» Danse# jeune public à
partir de 5 ans par la compagnie Sagna à l’auditorium de la
Louvière à Epinal le mercredi 7 mars à 15h, le mardi 16 mars à 10h
et 14h30 3-4"######################################################
Concert «Arthur H» au théâtre de la Rotonde à Thaon-les-Vosges le
vendredi 16 mars à 20h30 9-19"
Spectacle «Violet» par la compagnie Trois-six-trente, mise en
scène par Bérangère Vantusso à l’autidorium de la Louvière à
Epinal le mardi 20 mars à 20h30 6-14"
Spectacle «Désidéria» par la compagnie La Torpille Scènes Vosges,
CCAM scène nationale de Vandoeuvre et Théâtre de Verdun, mise en
scène par Sandrine Gironde, à partir de 13 ans, à l’auditorium de
la Louvière à Epinal le mardi 27 mars à 14h30 et 20h30 6-14"
Spectacle «Le Carré Curieux» par la compagnie Le Carré Curieux,
Cirque Vivant# au théâtre de la Rotonde à Thaon-les-Vosges le
samedi 31 mars à 20h30 6-14"
Spectacle «Moi, dans ma tête#!» théâtre, marionnettes jeune public
à partir de 8 ans par la compagnie En Verre et contre Tout à
l’Auditorium de la Louvière à Epinal le mardi 3 avril à 10h et
14h30, le mercredi 4 avril à 15h 3-4
Concert «Catherine Major» Concert Piano
d’Epinal le jeudi 5 avril à 20h30 6-14"
au
théâtre
municipal
Spectacle Danse «En Piste» par la compagnie Astrakan / Daniel
Larrieu avec Dominique Boivin, Pascale Houbin et Daniel Larrieu à
l’Auditorium de la Louvière à Epinal le mardi 24 avril à 20h30
6-14"
#
Spectacle «At Home» par la compagnie Acronote, Danse, musique,
peinture et arts de la rue présenté par le Floréal Musical et
Scènes Vosges au théâtre de la Rotonde à Thaon-les-Vosges le jeudi
3 mai à 20h30
#
Plus d’informations :!www.scenes-vosges.com
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Autres Secteurs
Spectacle jeune public# «MOMO»# par le théâtre du petit pois,
d'après le roman de Michael Ende, mis en scène par Claudia
Calvier-Primus à Rodemack dans le Festival Catt'mômes le 25 mars à
15h / au Centre Socio-culturel de Sarreguemines le 28 mars à 15h /
à la Maison de quartier de la Côte des Roses de Thionville le 30
mars à 17h30 / Foyer socioculturel R. Schuman à Roussy le village
pour l'Association Phloème le 31 mars à 15h. 11" Adhérents 8"
Plus d’infos : www.theatredupetitpois.net
Spectacle jeune public «UNE BELLE, UNE BETE»
création De Florence Lavaud
Compagnie Chantier Théâtre - Aquitaine théâtre
visuel tout public dès 9 ans – 55 mn adultes dès
9 ans au centre culturel Pablo Picasso
d’Homécourt le vendredi 30 mars à 20h30 11"
Adhérents 8"
Spectacle jeune public
«LE LABORATORIUM»
Compagnie Succursale
101 - Champagne Ardenne
théâtre - marionnettes
tout public dès 8 ans –
45
mn
au
centre
culturel Pablo Picasso d’Homécourt le
jeudi 5 avril à 20h30 11" Adhérents 8"
Spectacle «TABOULARAZA» Damien Bouvet / Compagnie Voix Off théâtre
marionnettes tout public dès 5 ans – 45 mn
au centre culturel
Pablo Picasso d’Homécourt le mercredi 25 avril 2012 à 10h30 11"
Exposition «Galerie Picasso» exposition de
Brigitte Kull(peintures) au centre culturel
Pablo Picasso d’Homécourt, du 28 mars au 2
mai 11" Adhérents 8"
Plus d’infos : http://ccpicasso.free.fr
Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan»
Concert voix et harpe avec Thérèse Crimi-Siebert Soprano et Céline
Manet harpe à l’Eglise de Berg sur Moselle le dimanche 11 mars à
17h. Entrée libre
Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan»
Concert d’ouverture du festival avec le Chœur du pays Mosellan et
l’orchestre du festival, œuvres de Schubert, Mozart et Mendelssohn
à l’église de Sentzich le samedi 10 mars à 20h30. Entrée libre
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Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan»
Les 100 saxophonistes de Moselle pour un spécial «# big band# » et
le groupe Sligo concert de musique Irlandaise à l’occasion de la
St Patrick. Gymnase de Cattenom le vendredi 16 mars à 20h30.
Entrée libre.
Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan»
Equinoxe présente «# de Dancing Queen… à Waterloo# » adaptation de
la comédie musicale Mamma Mia au gymnase de Cattenom le samedi 17
mars à 20h30. Entrée#: 15".
Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan»
L’harmonie
CLC et les chœurs du CLC opéra opérette, final avec
l’ensemble de cuivre de Metz au
gymnase de Cattenom le dimanche 18 mars à 20h30. Entrée libre.
Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan» Final
du Festival : "Concert des Familles" avec Le Quatuor du Luxembourg
à l’église de Fixem le dimanche 25 mars à 17h. Entrée libre.
Plus d’informations : www.printempsmusical.fr
Spectacle Théâtre d’objet «# L’affaire Poucet# » Tout public, à
partir de 8 ans. Au centre Europa Hettange Grande le 9 mars à
20h30 Entrée payante.
Plus d’informations : http://www.centre-europa.asso.fr
Spectacle Théâtre «#Burn Out#».
Soirée organisée par la troupe de théâtre «# les Z’Allumés# » de
Rodemack Comédie en 3 actes de Charles ISTACE à Rodemack le 24
mars à 20h30 / à Cattenom le 1er avril à 15h Entrée libre
Plus d’informations : www.leszallumesrodemack.free.fr
Concert «ALBA» voix et musique de Corse
à l’espace René Cassin à Bitche le
vendredi 30 mars 12"
Spectacle «# Dernier Jour d’un Condamn é# » , d ’ a p r è s V i c t o r H u g o p a r l a
Compagnie Ici Théâtre, mise en scène
François Bourcier, à partir de 14 ans à
l’espace René Cassin Bitche le Vendredi
27 avril 15"
Plus d’informations : [email protected]
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Concert «Thomas Dutronc»
mercredi 14 mars à 20h30
au
Casino
d’Amnéville
le
Spectacle «Les Amis du Placard» Pièce de théâtre avec
Didier Bénureau et Romane Bohringer au Casino
d’Amnéville, mardi 27 mars à 20h30
Spectacle «Pizza pour 3» Pièce de théâtre
avec Jean Roucas, Yves Pujol et Macha
Orlova au Casino d’Amnéville le mercredi
4 avril à 20h30
Spectacle «Ma belle-mère et moi» Pièce de théâtre avec
Franck Leboeuf et Katia Tchenko au Casino d’Amnéville
le mercredi 18 avril à 20h30
Plus d’informations : www.casino-amneville.com
Exposition «Nos villages d’Hier à Aujourdhui» exposition photo, à
la médiathèque de Delme, salle St Germain, les 10-11 mars et 17-18
mars 10h-12h / 14h-19h
Plus d’infos : www.mediathequededelme.fr
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07P/X80
www.nicolaschattoucoumbil.fr/gobelinvapeur
Visuels fournis par Nicolas Chattou-Coumbil dans le cadre de
la création de l’agenda du Gobelin Vapeur
www.aalehx.com
Plaquette de présentation Aalehx, Le pantin sans visage
Visuels tirés de la plaquette
www.fraclorraine.org
Visuels de l’exposition : http://the202cool.blogspot.com
www.mudam.lu
Documentations fournies sur place au MUDAM Luxembourg
Visuels de l’exposition : photos par François CAMOES
www.compagniedelatelier.com
Article Républicain Lorrain Michèle Meftah 22/10/2011
Interview de Kévin Wandrol réalisée par François CAMOES pour
Loge n°7 Février 2012.
Visuels tirés de l’exposition de Kévin Wandrol à la Nuit
Blanche Metz 2011, photos par François CAMOES
Remerciements : Théâtre sous la pluie, Boris KUFFLER, Florence
DOSSMANN, Cathy ROHR, Babette WOLSKI, Jean-Serge KUHN, Freddy
VANWEDINGGEN, Joséphine VUILLEMENOT, Céline SCHMITT, Sophie
SPIELMANN, Elodie ARKER et Amélie Thomassin pour leur participation
à l’agenda «Connexions».
LOGE n°7
HADALY SCENOGRAPHIE
METZ
WWW.HADALYSCENO.COM/LOGE7
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