!"#$%&'(%)*+, -./01.2/34+56,5 Hadaly scénographie François CAMOES Copyright Février 2012 Tous droits réservés -./01.2/34+56,5 07--.3/8 ,°+9:;&:'"<+)"=:;(>+Page 4 Le Gobelin Vapeur 5°+2%>%)*>+2%='*(:>+Page 6 «Le Pantin sans Visage» ?°+2%>%)*>+@%AB:>+Page 8 Formes brèves, autres, 25 au Frac Lorraine I’ve dreamt about, Børre Saethre, Conrad Shawcross, Sarah Sze au MUDAM C°+DE:>+F:;;%G;:+$'+>&G*:+Page 13 Michèle Meftah H°+DE:>+F:;;%G;:+$I%E'A:+Page 15 Kévin Wandrol J°+$)A:+K;%=B:+Page 17 Les projets en cours. Prochaines dates. L°+&)**:<%)*>+Page 18 © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 2 :M3N7 ! Bonjour à tous. Laissez-moi vous présenter «Loge n°7» la publication d’Hadaly scénographie. J’ai préféré le terme «publication» à celui de «revue» afin d’éviter la confusion avec un document qui se prétendrait promotionnel, critique, ou autre. Cette publication n’a pas vocation à découvrir de nouveaux artistes, définir qui a sa place sur la scène culturelle ou encore en définir les meilleurs acteurs. Il s’agit simplement de présenter des réactions, impressions et ressentis sur des expériences artistiques variées. ! Pour ce premier opus, j’ai décidé de m’attacher avant toute chose à des interventions artistiques qui ont suscité mon intérêt, et par intérêt je parle bien de sensibilité à un dispositif plastique ou scénique et non un engouement de spectateur. Il est possible que certaines oeuvres ne correspondent pas à mes goûts habituels et se retrouve à l’intérieur de cette publication. Aimer une image et apprécier son système de fonctionnement sont deux choses différentes. ! J’ajouterai que je n’ai pas pour objectif de présenter les oeuvres de façon savante, je souhaite écrire comme l’on peut se soulager d’un mal quelconque, extérioriser un ressenti que les mots sont parfois inaptes à définir. Aussi je tiens à m’excuser par avance de l’incohérence de certains propos, l’incohérence est mère du génie et les oeuvres que je souhaite présenter n’en manqueront pas. Pour ceux qui définiront mes articles de vomissure pseudo-culturelle ou de diarrhée verbale, je dirai qu’il s’agit de cela précisément. Si écrire n’était qu’un vecteur d’informations objectives, que pourrions-nous apprécier ou déprécier ? ! Ce premier opus vous propose donc de découvrir un lieu culturel, un spectacle, une exposition, un artiste de scène, un plasticien, les projets en cours d’Hadaly scénographie ainsi qu’un agenda culturel. Cet agenda ne tend pas à recenser l’ensemble des évènements sur le territoire. Apparaîtront sur celui-ci les lieux culturels qui accepteront de me faire parvenir trois semaines avant la publication leur programmation des deux prochains mois. Pour les lieux intéressés, merci de contacter Loge n°7 à l’adresse suivante : [email protected] Bonne lecture François CAMOES © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 3 ,°+9:;&:'"<+)"=:;(> 4:+O)#:$%*+2.!8P/Q 2)R'A:+'"+&:*(;:+F:+$'+(:;;: ! Situé rue du Grand Wad à Metz, au sous-sol de la boutique La caverne du Gobelin, le «Gobelin Vapeur» est avant tout un café-jeux. Mais depuis quelques temps, l’homme derrière la machine, Nicolas Chattou-Coumbil développe des activités plus culturelles. L’intervention de conteurs, magiciens, ayant déjà fait mouche par le passé, désormais le Gobelin Vapeur offre la possibilité à des petits spectacles de se produire et à des expositions d’y faire un passage. Pour ne citer que les plus récents : Mock, Sales fées, Aalehx, SnailShow, Gypsy Nomads, Association ACT, Kévin Wandrol... Le lieu est étroit, peu de surface, un éclairage catastrophique pour de la scène et pour couronner le tout, l’espace est bas de plafond. Mais le Gobelin Vapeur est avant tout un lieu de rassemblement pour les fans de SteamPunk (ou Rétro-Futur) et son aspect «salon de jeux» en fait un espace original, convivial, sans doute peu enclin à mettre en valeur oeuvres plastiques ou scéniques mais très prompt aux dialogues entre le public et les auteurs. Des tables, des canapés et une lumière blafarde presque intimiste en font sans doute l’un des pires lieux où se produire d’un point de vue esthétique et pourtant, la proximité des spectateurs en fait une véritable machine à dialogues. Et là se situe le petit plus du Gobelin. ! ! Avec sa jauge limitée, il permet aux artistes de se confronter réellement à la portée de leurs oeuvres, recueillir des impressions, recevoir des commentaires, bref, tester l’effet d’une oeuvre sur des personnes vivantes et non sur une salle pleine d’un public déjà conquis. Impossible de fuir les spectateurs après une prestation, il faut nécessairement les croiser pour accéder à l’escalier qui mène à la surface. Le public du Café-Jeux et celui des soirées culturelles n’étant pas le même, il n’est pas rare d’assister à des représentations en petit comité. Cependant, l’avantage © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 4 par rapport à un café (servant de l’alcool) ou une médiathèque, se situe dans le fait que le public se déplace pour le spectacle ou l’exposition et uniquement pour cela. Il serait assez juste de parler de qualité du public faute de quantité... ! D’un point de vue professionnel, il est très logique de considérer le Gobelin Vapeur comme LE lieu idéal pour la première d’un spectacle ou d’une exposition car les retombées seront live et directes. De plus, en cas d’oeuvres insoutenables, vous n’échapperez pas au public... ! Si le style victorien vous exaspère, que le Steampunk n’est pas votre tasse de thé, sachez que le dirigeant de ce vaisseau accepte volontiers de décrocher sa déco’ pour permettre aux artistes de présenter leur travaux. Et si vous manquez d’espace, c’est lui qui vous tendra la perceuse à percussion pour vous épanouir ! ! Le Gobelin est une sorte de Nautilus et avant d’échapper au Capitaine «Nico’», il vous faudra accepter que cet espace de rencontre risque de devenir une cellule bien confortable pour croupir artistiquement en attendant la pieuvre... Plus d’infos : www.nicolaschattoucoumbil.fr/gobelinvapeur © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 5 5°+2%>%)*>+=%='*(:> S4:+K'*(%*+>'*>+=%>'A:T U"%+:>(+$:+K'*(%*+F"+K'*(%*+V ! «Le Pantin sans visage» par Aalehx est un spectacle présenté sous l’appellation «BD-Concert» et quoi de plus justifié puisqu’il s’agit d’un spectacle musical proposant comme décor les personnages, l’ambiance, bref les images de la bande dessinée éponyme. Par les images projetées, les sons et paroles qu’Aalehx profère sur scène comme une complainte magique, un voyage assez glauque s’opère sur scène, tantôt enchanté, tantôt grinçant, mais toujours pénétrant. Outre la faiblesse du décor qui pourrait passer pour de la scénographie promotionnelle car composée de Pop-Up, c’est avant toute chose la présence perturbante du musicien qui crée l’ambiance. Recroquevillé comme coincé au milieu de ses personnages en carton, ses instruments, son équipement technique, il apparaît comme un aliéné enfermé dans son monde et s’appliquant avec frénésie à nous faire entrer dans cet univers décalé. Les sons sont ambigus, flirtant parfois avec une atmosphère expérimentale. Visuellement : une sorte de «Waterwalk» de John Cage mais dans une cellule de contention. Auditivement : Un voyage dans une capsule avec un unique hublot pour voir le monde. La beauté des images semble figée mais la mouvance du son les habite comme une âme dans un corps mécanique. © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 6 ! Il est vrai que la plaquette à l’allure parfois trop commerciale laisse supposer que le spectacle ne sera ni plus ni moins qu’un outil de promotion de la bande dessinée. Il n’en est rien, «Le pantin sans visage» reste une oeuvre scénique pluri-disciplinaire qui existe et tend à exister seule. C’est un tout, image et son, qui nécessiterait sans doute d’être vendu sous la forme d’un long métrage musical plutôt que sous sa forme actuelle : un album / une BD... ! Aalehx définit ce spectacle comme un «Conte ! Polymorphe» et c’est bien là l’intérêt premier de cette expérience : faire découvrir une histoire sans mot, une vision sans amarre, un pantin sans visage, un conteur qui ne conte pas mais qui subit son histoire... Plus d’infos : www.aalehx.com © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 7 ?°+2%>%)*>+W%AB:> @);E:>+#;G=:>Q+'"(;:>Q+5H+ @/.X+47//.3Y8Q+"*+KI(%(+E)(+&;)%>B+V ! Ne vous est-il jamais arrivé de jeter un coup d’oeil sur le site d’un lieu culturel avant de vous y rendre ? Pourquoi ? Pour savoir si cela en vaut la peine. Et bien cette exposition est l’exemple même de l’évènement qui rebute sur le net par ses visuels. Et pourtant... Le Frac Lorraine vous propose du 27 Janvier au 8 Avril, de découvrir un projet intéressant autour de la lecture. «Entrer dans un livre en trois dimensions». Tel est le pari lancé par la curatrice Anja Isabel Schneider. Comme la plupart des expositions du Frac Lorraine, vous ne serez pas subjugués par la totalité des oeuvres, certaines paraissant plus anecdotiques qu’artistiques comme l’oeuvre de Claire MOREL qui tente de rendre illisible le manuscrit original du «Livre» de Mallarmé. Mais l’ensemble est cohérent et très vite l’exposition devient un mécanisme, une forme d’immersion excessive par un recours abusif au mot. L’apothéose de cette «torture masochiste» se trouve au sommet de l’exposition : l’installation de Charles Sandison propose une projection, sur les murs de la pièce, de mots, répétés, clignotants, se déplaçant comme une pensée qui tente de se ranger. Une oppression agréable, voilà ce que provoque cette expérience. ! En outre, il est nécessaire de s’attarder sur le côté conceptuel de cette initiative car au delà, la matière en est bien faible, il faut l’avouer. Pas de «Ouh ! Ah !» mais plutôt un intéressement et un zeste de poésie qu’il manque assez souvent aux expositions d’art contemporain : «une lecture en soi» comme le précise Anja Isabel. Le travail d’Helen Mirra fait écho presque «plagiatiquement» à celui de Jan Mancuska : un texte à lire, oui, mais au fil du voyage dans l’espace. Et cette oeuvre est à même d’illustrer à elle seule le fonctionnement conceptuel de l’expositiondispositif. De loin, il semblerait que la pellicule d’un film a été tendue entre les murs comme un parcours du combattant. Mais très vite, la confrontation prend la forme d’un dialogue © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 8 et le ruban à lire propose au spectateur d’interagir avec le texte en existant physiquement dans cet espace, au delà de la réalité narrative. ! Petit clin d’oeil à la vidéo proposée au rez-de-chaussée présentant une fausse publicité pour «un objet révolutionnaire d’apprentissage des données par voix rétinienne portant le nom commercial de «Book»» : sorte de contrepied aux tablettes numériques présenté avec une pointe d’humour. Mais celui-ci est bien peu de chose au milieu de toute cette matérialité-immatérialité des mots. ! On y retrouve également une série de propositions prêtées par l’artiste Fabio Kacero, une archive de mots qu’il a luimême inventée. Un petit bijoux pour les fans d’art conceptuel et de ces artistes qui proposaient de présenter précisément des «archives», aussi farfelues qu’invraisemblables, pour justifier de leur démarche théorique. On y regrette presque une intervention du performer Davide Napoli. Mais au delà de l’exposition de mots, textes, écrits et paroles, «Formes brèves, autres, 25» propose d’explorer «le changement de comportement des lecteurs à l’ère du numérique». ! Ainsi, le Frac a décidé de remplacer le sempiternel fascicule de présentation des oeuvres par des Ipads, placés sur des pupitres et contenant les infos nécessaires. Plus qu’un coup de jeune, il s’agit surtout d’une façon tout à fait intelligente d’illustrer par la scénographie ce changement de comportement vis-à-vis de la lecture. Et pour les «bouffeurs de papiers» qui auraient du mal à glisser leurs doigts moites sur les écrans numériques, le Frac a tout de même fait imprimer quelques fascicules. Pourquoi ? Parce que le changement n’est pas encore effectué, il est en pleine progression, et c’est la raison pour laquelle cette exposition semble avoir un goût de «projet en cours». Formes brèves, autres et 25 façons de détourner le lecteur de la narration en le faisant lire en visitant ! Plus d’infos : www.fraclorraine.org © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 9 8<K)>%(%)*+'"+E"F'E+ /Z=:>+[:*+:(+E'&\%*:>+%*W:;*'$:> ! Le MUDAM est avant tout un musée Zen. Le temps y est différent, les oeuvres prennent souvent une dimension spatiale particulière mais le contenu de cette exposition n’avait nul besoin des qualités d’architectes de Pei pour exister. L’installation de Conrad Shawcross installée sous la grande Nef vous accueille, aussi impressionnante que fascinante. Concrètement, c’est une machine à coudre géante, tissant lentement une sorte d’énorme tricotin. L’installation est praticable et l’accès aux plates-formes supérieures permet d’admirer son génie. D’une part, la précision des machines manipulent les bobines de fils géantes à coup de rouages profilés, d’autre part, le corps, en s’y déplaçant, ressent la tension de cette structure, équilibrée et suspendue comme une machine volante avec pour seul amarre un énorme fil. The Nervous Systems (Inverted), puisque tel est le nom de ce dispositif, cherche à interroger la notion d’imagination scientifique en créant une oeuvre qui ne cesse de grandir puisque la machine ne s’arrête jamais, et ce, sur des fondements aussi instables que la science, d’où cette structure à l’apparence très fragile. ! La visite passe par de multiples installations aussi conceptuelles que plastiques. Le travail de l’artiste newyorkaise Sarah Sze trône au sommet de l’aile Charlotte. Cette accroc de l’in-situ et de l’objet de pacotille investit les lieux dans lesquels elle expose en créant des structures composées d’objets récupérés, de constructions faites à partir de matériaux pauvres (allumettes, fils, papier, etc). Etrangement, cette accumulation de bric et de broc n’est pas composée au hasard, le placement est savamment étudié par l’artiste, un peu à l’image d’une partition musicale. Mais étrangement, c’est le méli-mélo à l’apparence incongru qui © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 10 crée dans l’esprit du spectateur des formes de petites mises en scène. On croit assister à des associations surréalistes d’éléments. Certains objets sont même mis en mouvement par des ventilateurs, des lampes viennent en éclairer certains, en masquer d’autres, offrant une dimension poétique à la structure. L’artiste questionne «le rapport d’échelle, le grand, le petit, le lourd, le léger, le lointain et le proche», et c’est spécifiquement ce questionnement de l’objet dans l’espace et de l’espace autour de l’objet qui donne à cette installation sa dimension plurielle. ! Dans ce mélange assez hétéroclite de constructions, vous pourrez également faire une expérience fascinante avec le travail de Børre Saethre. Une installation complexe, mélange de sons, lumières et exploitations de surfaces miroitantes, s’offre à vous comme une cellule, une sorte de manège sensoriel dans lequel sa scénographie tend à faire du pénétrant un acteur de sa propre histoire. Car il est bel et bien question d’offrir un décor aux spectateurs et non pas une oeuvre finie. L’artiste propose une piste, une sorte de point de départ au récit un peu comme pour annoncer : «le décor est ici, les accessoires également, bienvenue à vous, acteurs, maintenant jouez !» Une expérience fascinante... ! L’étage du MUDAM est occupé par l’exposition I’ve dreamt about jusqu’au 4 mars, vous ne pourrez donc plus l’apprécier lorsque vous lirez cette publication. Proposer des «utopies réalistes», tel fut le défi lancé aux artistes participants. Offrir une vision du monde idyllique n’est pas chose aisé si l’on souhaite garder les pieds sur terre. Et pourtant les oeuvres proposées sont autant de propositions écologiques et © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 11 songeuses. C’est une sorte de voyage zen dans un monde en création. Un dispositif sonore de Muadhib proposant la construction d’une île virtuelle, les habitations modulables gonflables de Tomas Saraceno ou encore le projet The Land sont autant d’images rêvées mais également réelles. Ce dernier projet, présenté sous la forme d’une vidéo, presque cachée derrière des cimaises invisibles, a réuni trois artistes : François Roche, Philippe Parreno et Rirkrit Tiravanija. Le projet consiste en un espace de création et de vie en Thaïlande : une structure transparente, ouverte et alimentée en électricité par un buffle en mouvement. Les images sont magiques, il semblerait presque qu’un songe en couleur ait été capté par la pellicule de la caméra, et pourtant, à l’apparition du buffle, les images prennent toute leur réalité. Un voyage fantastique dans une dimension un peu oubliée de l’Art contemporain : faire voyager l’esprit. ! Et de ce voyage, celui-ci ne peut rester inchangé, en témoignent les formes résinées de François Roche intitulées I’ve heard about sans doute bien faible (en signification) en comparaison à celle d’un Matthew Barney, mais présentées d’une façon étonnante. Des structures porteuses composées de tiges élèvent à hauteur adéquat les sculptures de l’artiste. Plus qu’une scénographie esthétique, il s’agit surtout d’une façon plutôt savante de signifier ce fil ténu qui lie rêve et réalité, fil que les artistes n’ont pas hésité à saisir, à développer pour tisser leurs utopies... Plus d’infos : www.mudam.lu © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 12 C°+DE:>+F:;;%G;:+ $'+>&G*: -%&\G$:+-:W('\Q+ 4:+K$">+K:(%(+)%>:'"+F'*>+"*:+&'A: ! Qui a dit que l’expérience faisait coexister passé et présent ? Lorsque l’on s’intéresse au travail de Michèle Meftah, il en sort avant tout l’impression d’une créatrice contemporaine, intenable, un pied dans le présent et un autre dans l’avenir. Chorégraphe hyperactive, Michèle Meftah s’applique avant tout à faire coexister les genres. Ses créations alliant danse, théâtre, musique et plasticité, il n’est pas nécessaire d’être expert en la matière pour comprendre son travail. Elle est avant tout une narratrice de l’image scénique : « J’ai toujours beaucoup de choses à raconter». Regarder un de ses spectacles, c’est avant tout expérimenter, via divers moyens, une façon d’appréhender la danse sans artifices, sans discours pré-établis. ! Ses oeuvres les plus significatives sont «Le temps de l’innocence» et «Le temps de la chute». Dans une scénographie inspirée de l’Oeuvre de Louise Bourgeois, Michèle Meftah s’applique à faire coexister au sein d’un espace confiné des acteurs-mouvants, et non pas de simples danseurs. Parce que l’esthétique à l’apparence austère des costumes et des images ne risque pas de séduire, c’est la richesse du contenu qu’il faudra ressentir. Et ressentir est le mot, car son travail ne se regarde pas, il se ressent, à travers tous les sens. Un art brut pourrait-on dire, du tissu et de la ferraille, du bois et des corps, une façon de noyer la culture usinière dans une mélasse de corporéité. Car c’est au sein du triangle Villing Faulquemont Stiring-Wendel, ancien bassin du charbon, que Michèle Meftah a fait ses armes. Elle a maintes fois traité cet aspect non négligeable de l’histoire des mines notamment dans «Usines» en 2000. Une démarche politique culturelle ? No comment. ! Mais Michèle Meftah s’applique surtout à rendre la danse © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 13 accessible, à désacraliser une discipline souvent victime de sa surintellectualisation. Au delà de son implication pédagogique ou son intérêt pour l’utilisation d’amateurs dans ses spectacles, son oeuvre reflète avant tout cette volonté maladive d’exposer la technique de la danse plutôt que la danse elle-même, ce qui finit tout de même par exacerber cette vision de la danse hermétique qu’elle tente d’éviter. On assiste alors à l’exhibition d’un corps écartelé, un corps plastique, tantôt maladroit, tantôt expert, qui montre sans limite le côté humain de la danse. Un corps en devenir, marqué par son espace de vie (ou de scène), un oiseau dans une cage qui bat de l’aile gauche faute de pouvoir battre de la droite, pose ses pattes sur ce qu’il reste de terre et en fait son espace de jeu. ! Michèle Meftah est aujourd’hui une femme d’un certain âge, d’une expérience toute aussi certaine mais qui cependant continue de déborder de créativité. «Je n’ai jamais été en manque d’idées.» Pourquoi ? Parce que l’inspiration n’a pas d’âge, parce que l’imagination n’a pas besoin de la mémoire pour exister, elle n’a besoin que d’un corps, et un corps nouveau, Michèle Meftah l’a déjà trouvé en celui de sa fille qu’elle met en scène dans ses dernières oeuvres. Malgré un discours parfois simpliste à l’égard de celles-ci, Michèle crée, sans s’arrêter, sans doute pour exister... Un peu comme tous les artistes. La vision de cette chorégraphe aux cents idées ne s’arrêtera pas, parce que si le corps porte en lui nos expériences, les expériences, elles, peuvent changer de corps pour perdurer... Plus d’infos : www.compagniedelatelier.com © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 14 ++++H°+DE:>+F:;;%G;:+$I%E'A: ]B=%*+^.YM/74Q+ .+$'+;:&\:;&\:+F"+(;'%(+K';W'%( ! Un veston, un pantalon empire, une redingote et derrière lui une carrière artistique peu reconnue. Kévin Wandrol se définit avant tout comme un créateur d’Art. Sous ce terme un peu égocentrique se cache un dessinateur, revendiquant avant tout la notion «d’originalité». Passionné d’enluminure et d’iconographie, deux pratiques sont au centre de son Oeuvre : la peinture sur plaque d’aluminium et les encres sur toiles. Les deux techniques dépendent de démarches opposées mais qui se complètent. «La toile, pour moi reste une base pour le paysage, tantôt fantômatique, tantôt industriel, mais cette pratique évolue en p e r m a n e n c e . L’architecture de ville de mes premiers tableaux présentait des espaces urbains avec un fond industriel, l’industriel s’est peu à peu retrouvé au premier plan.» Passionné de Bauhaus, il développe frénétiquement une esthétique du trait. ! Mais derrière ces analyses presque trop cartésiennes se cache un intérêt quasiobsessionnel pour la perspective, la ligne droite, «à la recherche du trait parfait» comme il le dit lui-même. Ses toiles sont avant toute chose une étude, une recherche d’évolution permanente. Mais c’est surtout la finesse excessive des détails et de la netteté que le regardeur remarque : des paysages, certes, mais avec une précision tantôt maîtrisée, tantôt maladroite qui dépasse souvent la réalité architecturale avec des structures aériennes, des usines démesurées, des villes inhabitables. ! Et inhabitable est le mot puisqu’aucun personnage ne vient habiter ses architectures. Kévin Wandrol s’en défend, en expliquant qu’il s’agit d’un point de vue plus intime, «de créer un environnement maîtrisé, mon univers, ce qui n’empêche pas au public de se projeter dedans». Il est vrai que laisser des paysages aussi déserts se présenter devant un © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 15 regard ne donne envie que de s’y plonger. La machine fonctionne. L’absence de personnage»s dans ses paysages laisse une place au public, une brèche, une ouverture pour entrer dans son univers. Lui s’y projette en le créant : «c’est moi qui me ballade là-dedans, sauf que je le construis en m’y déplaçant.» Le spectateur n’a plus qu’à y flâner pour découvrir qui est Kévin Wandrol. ! Concernant les plaques d’aluminium, il les définit comme un «exutoire». La technique est simple puisqu’il s’agit de développer de manière frénétique le test Rorschach. Les pigments sont projetés sur la plaque et l’image qui va y apparaître sera développée par l’artiste pour en créer une image figurative. «Je laisse le hasard créer la base, il m’arrive parfois de laisser une plaque ‘pourrir’ pendant deux mois avant d’y développer une image». Etrangement, et Kévin Wandrol l’a également remarqué, les formes qui apparaissent sur ses plaques sont la plupart du temps des visages, ou des corps. Il s’agit avant tout d’une pratique «défouloir» vis-àvis de la pratique des toiles : «c’est une technique rapide, qui offre des visions colorées, informelles». Il faut savoir qu’au départ, sa pratiques sur plaques d’aluminium ne servait qu’à produire des oeuvres abstraites. Mais cet artiste, à la base technicien dessinateur, s’est très vite rendu compte que l’abstrait ne lui correspondait pas : «j’ai pris du plaisir à faire de l’abstrait, mais ce fut un plaisir éphémère». Ce retour au figuratif n’est pas une régression mais le travail abstrait à servi de base aux travaux actuels, toujours dans cette idée d’Art-Etude. ! Kévin Wandrol est avant-tout un puriste, qui aime l’architecture industrielle pour son efficacité, le noir et blanc pour sa capacité à mettre en valeur la ligne, le travail minutieux pour défouler une hyper-activité artistique. Attaché à l’architecture type 1920, l’esthétique de son travail se retrouve sur lui, un look particulier, une scénographie spécifique. Mais à ceux qui penseront que son originalité tend à compenser la banalité de sa pratique, Kévin Wandrol répondra : «je ne veux pas ressembler à mes oeuvres, j’essaie de créer des oeuvres qui me ressemblent !». Egocentrique ? Juste assez pour être un artiste... Plus d’infos : www.wandrolcreationsdart.com © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 16 J°+4)A:+!;%=B: ! Découvrez le 23 mars au sein du Gobelin Vapeur la dernière création scénique d’Hadaly scénographie : «Pomme ou les Mystères du Pédoncule». Il s’agit d’un spectacle loufoque, dans la lignée de Bananarama avec Julien CHAIX, Emilie SALATA et Rebecca NOEL sur un texte de François CAMOES. Le spectacle nous présente les aventures de Pomme, artiste incompris, qui doit faire face malgré lui à une farce de genèse. ! «Pomme», c’est l’histoire d’un homme parti dans l’espace à la recherche d’oeufs pour sauver la Terre de l’apocalypse. Il débarque sur une planète en pleine genèse. Il y rencontre Adam et Eve, deux femmes capables de pondre des oeufs mais incapables de se reproduire... Humour, réflexions, un peu de «phalosophie» et un zeste de sensualité font de cette création une curiosité scénique à découvrir et redécouvrir à travers des représentations toujours plus loufoques. L’ensemble est présenté dans un décor original et tout aussi décalé. Le spectacle sera accompagné par l’exposition «Amazones» de l’association ACT, sur le thème de la femme. «Pomme et les Mystères du Pédoncule», vendredi 23 mars 20h30 Au Gobelin Vapeur rue du Grand Wad Metz. Réservez dès maintenant vos places, pré-vente à 8" via Facebook «Hadaly scénographie» ou « Au Gobelin Vapeur» , par mail [email protected] ou par téléphone au 06 45 14 60 95. Attention places limitées ! ! Hadaly propose également en ce moment l’exposition Flots avec l’association ACT, avec Projection de l’Oeuf de l’Ange en ouverture (Performance vidéo par François CAMOES) ! Hadaly scénographie travaille actuellement sur le nouveau décor de «Mock, I met the sleepwalker...» avec Fabien Bertrand et Rebecca Noël, mise en scène Joanna Bertrand. Le spectacle recommencera courant 2012. Un nouveau site verra le jour pour le lancement du nouveau décor. ! Hadaly scénographie travaille sur un projet de performance scénique à représentation limitée l’adaptation d’une tragédie grec dans un décor évolutif... A suivre. ! © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 17 L°+X)**:<%)*> Secteur METZ Exposition de Lidylia Faust au Gobelin Vapeur Metz à partir du 6 mars Vernissage le 6 mars 19h30 Entrée libre lidyliafaust.com Spectacle «Pomme ou les Mystères du Pédoncule» au Gobelin Vapeur Metz le vendredi 23 mars à 20h30 Accompagné par l’exposition «Amazones» de l’association ACT du 23 au 30 mars 10" (8" prévente) Plus d’infos : www.nicolaschattoucoumbil.fr/gobelinvapeur.html Atelier ados de sous la avril – d’improvisations et matchs «Droit de réponse» pour les 12 à 17 ans. Insertion des jeunes par la culture. Théatre pluie, espace Mazenod Augny samedis 17mars – 31 mars –14 28 avril -# de 15H00 à 17H00 Plus d’infos : http://jeanmarie.leroy3.free.fr Spectacle jeune public# "MOMO"# par le théâtre du petit pois, d'après le roman de Michael Ende, mis en scène par Claudia CalvierPrimus à Metz Au Centre G. Lacour le 21 mars à 15h Plus d’infos : www.theatredupetitpois.net Spectacle «Chagrin d’humour / Les patates à l’eau#? / Félix Lobo» Avec : Pat Pandolfino, Hélène Schwartz et Félix Lobo, trio d’humoristes, Cie Les patates à l'eau à la salle Braun rue Mozart Metz le vendredi 9 mars, samedi 10 mars et dimanche 11 mars 20h30 Spectacle jeune public «Blanche comme la neige», Cie les Bestioles, par et avec Martine Waniowski A partir de 6 ans à la salle Braun, rue Mozart Metz, le mardi 13 à 10h et 14h30, le mercredi 14 à 15h et le jeudi 15 à 10h et 14h30 Spectacle «Gainsbourg Forever» d’après les textes des chansons de Serge Gainsbourg, Cie Théâtre Lumière, mise en scène par Christophe Feltz, avec Anne-Laure Hagenmuller, Christophe Feltz et Francesco Rees à la salle Braun rue Mozart Metz, le dimanche 31 mars à 20h30 15" © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 18 Spectacle «Drôle de nuit à l’Opéra» Cie Théâtral’ Ambic, mise en scène et adaptation# par Patrick Barbelin, comédie et chant lyrique# : Gaëlle Ott à la salle Braun rue Mozart Metz le mardi 24 à 14h30, le mercredi 25 à 15h, le jeudi 26 à 10h et 14h30 et le vendredi 27 à 10h. http://droledenuitalopera.webhop.net Plus d’informations : www.sallebraun.com Secteur THIONVILLE Concert Orelsan avec en première partie TBC au 112 Terville le vendredi 9 mars 20h 25" (18-21" prévente) Orelsan#: www.youtube.com/user/orelsan Concert Da Silva avec en première partie TBC au 112 Terville le vendredi 30 mars à 20h 22" (15-18" prévente) Da Silva#: www.youtube.com/watch?v=kLzBe45vYns&feature=relmfu Concert Earth Wind en Fire au 112 Terville le vendredi 16 mars à 20h 28" (21-24" prévente) Earth Wind & Fire#: www.youtube.com/watch?v=hy-huQAMPQA&feature=relmfu Concert Lofofora avec en première partie Crucified Barbara au 112 Terville le samedi 7 avril à 20h 22" (15-18" prévente) Lofofora: www.youtube.com/watch?v=EecAKOpRzPQ&feature=related Crucified Barbara#: www.youtube.com/watch?v=fZGP4oabVFY Concerts Festival Ska avec La Ruda / Jim Murple Memorial / The Moon Invaders / The Upsessions / Bobby Sixkiller au 112 Terville le 5 mai à partir de 18h 22" (15-18" prévente) La Ruda : www.youtube.com/watch?v=ZLdnMoWHDgA Jim Murple Memorial : www.youtube.com/watch?v=hTCeyM48zac&feature=fvwrel The Moon Invaders : www.youtube.com/user/prosceniumfr#p/u/4/lsxv4yqriyQ The Upsessions#: www.youtube.com/user/prosceniumfr#p/u/1/wK1fJseGsXo Bobby Sixkiller#: www.youtube.com/watch?v=vZKkrYfo2Zw Plus d’infos : www.le-112.fr Concert «Carte blanche à Vincent Thékal» Thionville le mardi 13 mars 2011 à 20h30 www.myspace.com/thekalvincent Concert «Shani Diluka joue Mendelssohn» Thionville le mardi 20 mars à 20h30 www.shanidiluka.com (Jazz) à l’Adagio (Prestige) à l’Adagio © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 19 Concert Emmanuel Teutsch – 3 quatuors pour Hautbois, violon, alto et violoncelle Quatuor de Mozart K370 en 3 mouvements, «Fantaisie quartet# » Op.2 de B. Britten, ainsi qu'une création de François Narboni#à l’Adagio Thionville le 1er avril à 11h Concert (Prestige)/Danse «# Faire des pieds et des mains# »Lucile Guin / Julien Pauly avec Elodie Sicard et Sayaka Shoji à l’Adagio Thionville le 24 avril à 20h30 Concert «Tigran – à Fable» (Jazz) à l’Adagio Thionville le jeudi 26 avril à 20h30 www.tigranhamasyan.com Concert «SAX4» (Tangos) Quatuor de Saxophones, Pièces de Goran Bregovic, Thierry Escaich, Claude Georgel, Tomás Gubitsch, Astor Piazzolla, Paquito D'Rivera, Kurt Weill... à l’Adagio Thionville le 29 avril 2012 à 11h http://sax4.fr Concert «Evasion, du vent dans les voix» Musique du monde Méditerranée (chants espagnol, cubain, africain, andalou, tzigane, portugais, catalan, tunisien, arabe, brésilien…) avec Laurence Giorgi, Anne-Marie et Nathalie Ferreira, Soraya Esseid, Gwénaëlle Baudin)à l’Adagio Thionville le vendredi 4 mai à 20h30 www.evasion-vocal26.com Plus d’infos : www.thionville.fr/agendas/index/lieu:3# Secteur NANCY Exposition «Métamorphose» (Photographie)Une étude idyllique de la forêt jusqu’au 23 mars Institut Goethe NANCY Exposition «Traits et Caricatures» (images satiriques) Site Stanislas NANCY jusqu’au 23 mars Exposition «le Monde des Contes» (Autour des contes de Grimm) à la bibliothèque Gérard Thirion LAXOU jusqu’au 31 mars Exposition Passionnément Beatles Jusqu’au 1er avril Site Manufacture NANCY © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 20 Exposition «de Crépuscule en Crépuscule» Photo Vincent Munier au Muséum Aquarium de NANCY jusqu’au 30 avril Plus d’infos : www.ot-nancy.fr Secteur VOSGES Danse Jeune public «Cuisses de grenouille» Danse# jeune public à partir de 5 ans par la compagnie Sagna à l’auditorium de la Louvière à Epinal le mercredi 7 mars à 15h, le mardi 16 mars à 10h et 14h30 3-4"###################################################### Concert «Arthur H» au théâtre de la Rotonde à Thaon-les-Vosges le vendredi 16 mars à 20h30 9-19" Spectacle «Violet» par la compagnie Trois-six-trente, mise en scène par Bérangère Vantusso à l’autidorium de la Louvière à Epinal le mardi 20 mars à 20h30 6-14" Spectacle «Désidéria» par la compagnie La Torpille Scènes Vosges, CCAM scène nationale de Vandoeuvre et Théâtre de Verdun, mise en scène par Sandrine Gironde, à partir de 13 ans, à l’auditorium de la Louvière à Epinal le mardi 27 mars à 14h30 et 20h30 6-14" Spectacle «Le Carré Curieux» par la compagnie Le Carré Curieux, Cirque Vivant# au théâtre de la Rotonde à Thaon-les-Vosges le samedi 31 mars à 20h30 6-14" Spectacle «Moi, dans ma tête#!» théâtre, marionnettes jeune public à partir de 8 ans par la compagnie En Verre et contre Tout à l’Auditorium de la Louvière à Epinal le mardi 3 avril à 10h et 14h30, le mercredi 4 avril à 15h 3-4 Concert «Catherine Major» Concert Piano d’Epinal le jeudi 5 avril à 20h30 6-14" au théâtre municipal Spectacle Danse «En Piste» par la compagnie Astrakan / Daniel Larrieu avec Dominique Boivin, Pascale Houbin et Daniel Larrieu à l’Auditorium de la Louvière à Epinal le mardi 24 avril à 20h30 6-14" # Spectacle «At Home» par la compagnie Acronote, Danse, musique, peinture et arts de la rue présenté par le Floréal Musical et Scènes Vosges au théâtre de la Rotonde à Thaon-les-Vosges le jeudi 3 mai à 20h30 # Plus d’informations :!www.scenes-vosges.com © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 21 Autres Secteurs Spectacle jeune public# «MOMO»# par le théâtre du petit pois, d'après le roman de Michael Ende, mis en scène par Claudia Calvier-Primus à Rodemack dans le Festival Catt'mômes le 25 mars à 15h / au Centre Socio-culturel de Sarreguemines le 28 mars à 15h / à la Maison de quartier de la Côte des Roses de Thionville le 30 mars à 17h30 / Foyer socioculturel R. Schuman à Roussy le village pour l'Association Phloème le 31 mars à 15h. 11" Adhérents 8" Plus d’infos : www.theatredupetitpois.net Spectacle jeune public «UNE BELLE, UNE BETE» création De Florence Lavaud Compagnie Chantier Théâtre - Aquitaine théâtre visuel tout public dès 9 ans – 55 mn adultes dès 9 ans au centre culturel Pablo Picasso d’Homécourt le vendredi 30 mars à 20h30 11" Adhérents 8" Spectacle jeune public «LE LABORATORIUM» Compagnie Succursale 101 - Champagne Ardenne théâtre - marionnettes tout public dès 8 ans – 45 mn au centre culturel Pablo Picasso d’Homécourt le jeudi 5 avril à 20h30 11" Adhérents 8" Spectacle «TABOULARAZA» Damien Bouvet / Compagnie Voix Off théâtre marionnettes tout public dès 5 ans – 45 mn au centre culturel Pablo Picasso d’Homécourt le mercredi 25 avril 2012 à 10h30 11" Exposition «Galerie Picasso» exposition de Brigitte Kull(peintures) au centre culturel Pablo Picasso d’Homécourt, du 28 mars au 2 mai 11" Adhérents 8" Plus d’infos : http://ccpicasso.free.fr Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan» Concert voix et harpe avec Thérèse Crimi-Siebert Soprano et Céline Manet harpe à l’Eglise de Berg sur Moselle le dimanche 11 mars à 17h. Entrée libre Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan» Concert d’ouverture du festival avec le Chœur du pays Mosellan et l’orchestre du festival, œuvres de Schubert, Mozart et Mendelssohn à l’église de Sentzich le samedi 10 mars à 20h30. Entrée libre © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 22 Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan» Les 100 saxophonistes de Moselle pour un spécial «# big band# » et le groupe Sligo concert de musique Irlandaise à l’occasion de la St Patrick. Gymnase de Cattenom le vendredi 16 mars à 20h30. Entrée libre. Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan» Equinoxe présente «# de Dancing Queen… à Waterloo# » adaptation de la comédie musicale Mamma Mia au gymnase de Cattenom le samedi 17 mars à 20h30. Entrée#: 15". Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan» L’harmonie CLC et les chœurs du CLC opéra opérette, final avec l’ensemble de cuivre de Metz au gymnase de Cattenom le dimanche 18 mars à 20h30. Entrée libre. Concert «6ème édition du Printemps Musical en Pays Mosellan» Final du Festival : "Concert des Familles" avec Le Quatuor du Luxembourg à l’église de Fixem le dimanche 25 mars à 17h. Entrée libre. Plus d’informations : www.printempsmusical.fr Spectacle Théâtre d’objet «# L’affaire Poucet# » Tout public, à partir de 8 ans. Au centre Europa Hettange Grande le 9 mars à 20h30 Entrée payante. Plus d’informations : http://www.centre-europa.asso.fr Spectacle Théâtre «#Burn Out#». Soirée organisée par la troupe de théâtre «# les Z’Allumés# » de Rodemack Comédie en 3 actes de Charles ISTACE à Rodemack le 24 mars à 20h30 / à Cattenom le 1er avril à 15h Entrée libre Plus d’informations : www.leszallumesrodemack.free.fr Concert «ALBA» voix et musique de Corse à l’espace René Cassin à Bitche le vendredi 30 mars 12" Spectacle «# Dernier Jour d’un Condamn é# » , d ’ a p r è s V i c t o r H u g o p a r l a Compagnie Ici Théâtre, mise en scène François Bourcier, à partir de 14 ans à l’espace René Cassin Bitche le Vendredi 27 avril 15" Plus d’informations : [email protected] © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 23 Concert «Thomas Dutronc» mercredi 14 mars à 20h30 au Casino d’Amnéville le Spectacle «Les Amis du Placard» Pièce de théâtre avec Didier Bénureau et Romane Bohringer au Casino d’Amnéville, mardi 27 mars à 20h30 Spectacle «Pizza pour 3» Pièce de théâtre avec Jean Roucas, Yves Pujol et Macha Orlova au Casino d’Amnéville le mercredi 4 avril à 20h30 Spectacle «Ma belle-mère et moi» Pièce de théâtre avec Franck Leboeuf et Katia Tchenko au Casino d’Amnéville le mercredi 18 avril à 20h30 Plus d’informations : www.casino-amneville.com Exposition «Nos villages d’Hier à Aujourdhui» exposition photo, à la médiathèque de Delme, salle St Germain, les 10-11 mars et 17-18 mars 10h-12h / 14h-19h Plus d’infos : www.mediathequededelme.fr © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 24 07P/X80 www.nicolaschattoucoumbil.fr/gobelinvapeur Visuels fournis par Nicolas Chattou-Coumbil dans le cadre de la création de l’agenda du Gobelin Vapeur www.aalehx.com Plaquette de présentation Aalehx, Le pantin sans visage Visuels tirés de la plaquette www.fraclorraine.org Visuels de l’exposition : http://the202cool.blogspot.com www.mudam.lu Documentations fournies sur place au MUDAM Luxembourg Visuels de l’exposition : photos par François CAMOES www.compagniedelatelier.com Article Républicain Lorrain Michèle Meftah 22/10/2011 Interview de Kévin Wandrol réalisée par François CAMOES pour Loge n°7 Février 2012. Visuels tirés de l’exposition de Kévin Wandrol à la Nuit Blanche Metz 2011, photos par François CAMOES Remerciements : Théâtre sous la pluie, Boris KUFFLER, Florence DOSSMANN, Cathy ROHR, Babette WOLSKI, Jean-Serge KUHN, Freddy VANWEDINGGEN, Joséphine VUILLEMENOT, Céline SCHMITT, Sophie SPIELMANN, Elodie ARKER et Amélie Thomassin pour leur participation à l’agenda «Connexions». LOGE n°7 HADALY SCENOGRAPHIE METZ WWW.HADALYSCENO.COM/LOGE7 © Hadaly scénographie François CAMOES Février 2012 Tous droits réservés 25