The mechanism underlying the « fly or fight » response in the heart

The mechanism underlying the « fly or fight » response in the heart : how does adrenaline
accelerate the heart ?
Cardiac automaticity is generated in the sino-atrial node by the activity oh ion channels. The
autonomic nervous system regulates heart rate by a still poorly understood mechanism tuning the
activity of ion channels. We are worldwide leaders in the field of cardiac pacemaker activity and
posses unique mouse lines sympathetic or parasympathetic regulation of pacemaking. Solid
preliminary evidence indicate that the mechanisms underlying the generation of automaticity, as
well as that of most pathologies of heart automaticity can be explained by the interplay of only two
ion channels forming the primary functional backbone of pacemaker activity. The candidate will use
these mouse models to investigate, for the first time, the pathophysiological bases of the pacemaker
mechanism and its regulation by the autonomic nervous system and indicate news potential
therapeutic targets to handle disease of heart automaticity.
The candidate should hold a PhD in physiology, biophysics, pharmacology or related disciplines.
She/he should have knowledge of electrophysiology techniques, including patch-clamp and/or
intracellular electrode recording. Previous practice or knowledge of imaging techniques would be
welcomed. The candidate should also have some experience with basic techniques of molecular
biology and cell immunohistochemistry (PCR, western blots and immunohistochemistry).
Le mécanisme de réponse « fly or fight » dans le cœur ou comment l’adrénaline accélère la
fréquence cardiaque
L’automatisme cardiaque est généré dans le nœud sinusal par l’activité des canaux ioniques. Le
système nerveux autonome régule la fréquence cardiaque en modulant l’activité des canaux ioniques
responsables de l’automatisme par un mécanisme qui n’a pas été entièrement compris. Nous
sommes la seule équipe au monde à posséder une collection unique de souris transgéniques qui
montrent une perte totale de la régulation sympathique et parasympathique de la fréquence
cardiaque. Nous disposons de résultats préliminaires solides qui montrent que le mécanisme à la
base de la régulation de l’automatisme peut-être expliqués par l’action concertée de seulement deux
canaux ioniques qui forment la « structure fonctionnelle » primaire de l’activité pacemaker. Le
candidat pourra étudier, pour la première fois, le mécanisme de l’automatisme en indiquant des
cibles thérapeutiques potentielles pour la maladie de l’automatisme.
Le(a) candidat(e) devra être titulaire d’un doctorat ou équivalent en physiologie, biophysique,
pharmacologie ou en une discipline proche. Elle (il) devrait avoir des connaissances sur les
techniques d’électrophysiologie (technique du patch-clamp, microélectrode intracellulaire). Une
connaissance des techniques d’imagerie sur cellule isolée ou tissu constituerait un atout
supplémentaire. Le(a) candidat(e) devrait aussi avoir de l’expérience avec les techniques de base de
biologie moléculaire et de l’immunocytochimie (PCR, western blots, immunomarquages).