J’étais une rêveuse, je rêvais de grands espaces, d’océan et de voyage, allongée sur mon lit. Quand soudain, ma
mère entra dans la chambre, franchit le seuil assez en colère. En effet, je n’avais pas rangé ma chambre. Des
morceaux de papier déchirés jonchaient le sol, les vêtements étaient éparpillés parterre. L’étagère n’était pas
favorisée. En bref, il fallait faire quelque chose, trouver une excuse, dire que j’avais trop de fièvre pour
travailler. Maman ne crut pas mon mensonge et je dus être courageuse pour ranger tout mon bazar.
Exercices sur la dictée préparée n°27 :
I / Souligne les verbes au passé simple et leur sujet :
Une rêveuse
J’étais une rêveuse, je rêvais de grands espaces, d’océan et de voyage, allongée sur mon lit. Quand soudain, ma
mère entra dans la chambre, franchit le seuil assez en colère. En effet, je n’avais pas rangé ma chambre. Des
morceaux de papier déchirés jonchaient le sol, les vêtements étaient éparpillés parterre. L’étagère n’était pas
favorisée. En bref, il fallait faire quelque chose, trouver une excuse, dire que j’avais trop de fièvre pour
travailler. Maman ne crut pas mon mensonge et je dus être courageuse pour ranger tout mon bazar.
II/ Souligne les compléments circonstanciels de lieu en vert.
Exercices sur la dictée préparée n°27 : Correction
I / Souligne les verbes au passé simple et leur sujet :
Une rêveuse
J’étais une rêveuse, je rêvais de grands espaces, d’océan et de voyage, allongée sur mon lit. Quand soudain, ma
mère entra dans la chambre, franchit le seuil assez en colère. En effet, je n’avais pas rangé ma chambre. Des
morceaux de papier déchirés jonchaient le sol, les vêtements étaient éparpillés parterre. L’étagère n’était pas
favorisée. En bref, il fallait faire quelque chose, trouver une excuse, dire que j’avais trop de fièvre pour
travailler. Maman ne crut pas mon mensonge et je dus être courageuse pour ranger tout mon bazar.
II/ Souligne les compléments circonstanciels de lieu en vert.
Dictée non préparée semaine 30 :
Dictée n°28 : Mars
Nous nous promenions en lisère du bois sans bruit, plongés dans nos pensées. Soudain un petit bruit dans les
fougères nous indiqua que nous avions dérangé un lièvre qui s’empressa de disparaître dans son terrier. Nous
observions les bourgeons qui commençaient à éclore en cette fin mars. Puis tout à coup, le temps changea, il se
refroidit et nous pressâmes le pas pour regagner au plus vite la voiture. Heureusement, car les premières
giboulées de mars venaient de faire leur apparition.
Exercices sur la dictée non préparée n°28 :