def-pv entreprise 2010-03-23

publicité
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010
CONSEIL D’ENTREPRISE n° 25
PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU
23 MARS 2010
___________________________________________________________
SOMMAIRE
TITRE I - QUESTIONS D’INTERET GENERAL
I.1.
Approbation du projet de procès-verbal de la séance du 23 février
2010
(voir annexe n° 68)
p. 484
I.2.
De la proposition des fiches de salaires en développement dans le
cadre du projet de gestion intégrée SMILEY
(point de suivi 24.01 de la séance du 23.02.10)
(voir annexe n° 73)
p. 485
I.3.
Comité restreint des Œuvres sociales : projet de Règlement d’ordre
intérieur
(point de suivi 24.03 de la séance du 23.02.10)
(voir annexe n° 69 présentant la proposition patronale)
(voir annexe n° 70 présentant le projet de texte de la CGSP)
(voir annexe n° 75 présentant le texte définitif)
p. 486
I.4.
Information sur les engagements non-statutaires dans le PATGS
- nombre actuel de postes dans cette situation
- nombre d’engagements de ce type opérés les cinq dernières années
- ventilation de ces engagements dans et en dehors du projet SMILEY
(point inscrit à la demande de la CGSP)
(voir annexe n° 74)
p. 488
I.5.
Des règles suivies en matière de recrutement
(point inscrit à la demande de la CGSP, indiquant que cette matière relève
de la prérogative du Conseil d’entreprise)
p. 490
I.6.
Suivi des décisions du Conseil d’administration du 15 mars 2010
p. 490
I.6.1. Point d’information relatif au budget des Cliniques universitaires de
Bruxelles – Hôpital Erasme pour l’exercice 2010
(annexe n° 76 reprenant un extrait de l’annexe n° 107 du CA du 15.03.10,
point I.3.1)
p. 490
I.6.2. Point d’information relatif au budget initial de l’Université pour l’exercice
2010
p. 492
I.6.3. Règlement en matière de définition de la charge des membres du corps
académique
(point I.6 du CA du 15.03.10, annexe n° 114bis)
p. 493
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010
I.7.
Demande d’information relative à un projet de restructuration de la
Cellule Langues du Centre des technologies au service de
l’enseignement (CTE) du Département de Supports aux activités
académiques
(point inscrit à la demande de la CGSP)
p. 494
TITRE V - POINTS RELATIFS A LA COMPETENCE D’INFORMATION
V.1.
Suivi de la Commission administrative du 16 mars 2010
p. 495
V.1.1. Restructuration de la Faculté de Philosophie et Lettres en 17 services :
2 services administratifs, 5 départements d’enseignement et 10 centres de
recherche
(voir annexes n° 1, n° 2, n° 3 et n° 4 de la Commission administrative du
16.03.10)
p. 495
V.1.2. Faculté des Sciences sociales et politiques/Solvay Brussels School of
Economics and Management : dissolution du Centre de psycho-sociologie
d’étude de l’opinion (sous-service et unité de recherche de l’Institut de
Sociologie)
p. 496
V.1.3. Faculté des Sciences : transfert du Service de Physiologie et génétique
moléculaire des plantes (FN110) du Département de Biologie des
organismes vers l’Ecole interfacultaire des Bioingénieurs
(voir annexe n° 5 de la Commission administrative du 16.03.10)
p. 496
V.1.4. Faculté des Sciences : suppression du Service de Biologie
développement (FH060)
(voir annexe n° 6 de la Commission administrative du 16.03.10)
du
p. 496
V.1.5. Faculté des Sciences : suppression du Service de Morphologie
fonctionnelle (FN090)
(voir annexe n° 7 de la Commission administrative du 16.03.10)
p. 496
V.2.
Information trimestrielle relative aux intérimaires engagés à l’Université
p. 496
V.3.
Modifications et changements d’affectation
(voir annexe n° 71)
p. 497
Nouveaux engagés à l’Université
(voir annexe n° 72)
p. 497
V.4.
TITRE VI – DIVERS
VI.1. Du bilan du Plan Langues pour le personnel
p. 497
VI.2. Du Plan de déplacements d’entreprise de l’ULB
p. 497
VI.3. Des négociations avec la Commission bancaire, financière et des
assurances dans le cadre du dossier de la pension extra-légale
p. 498
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010
VI.4. De la mise à jour de l’organigramme du Service de la Surveillance
générale du Département des Infrastructures
p. 498
VI.4. De la mise à jour de l’organigramme du Service de la Surveillance
générale du Département des Infrastructures
p. 498
VI.5. De la renégociation du contrat d’assurance hospitalisation
p. 499
VI.6. De l’organigramme du Département des Infrastructures
p. 500
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010
CONSEIL D’ENTREPRISE n° 25
PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU
23 MARS 2010
PRESENTS :
DÉLÉGATION PATRONALE
M. J.L. VANHERWEGHEM, Président ;
M. P. VAN ANTWERPEN, Mme T. BIANCO, MM. A. ANTONIOL,
G. KARNAS, Y. PIETRONS, K. DAOUD et J.P. THIEBAUT.
DÉLÉGATION DU PERSONNEL
Délégation des cadres
CGSP
Mmes A. MORELLI et E. OLIVARES.
Délégation des travailleurs
CNE CSC
MM. P. RESIER (loco M. D. BAJURA), Th. DELVAUX et
J.P. VAN TUYKOM.
CGSLB
M. M. FRIEDMANN (loco M. P. MINNE).
CGSP
MM. H. MARICQ, Y. SIMON (loco Mme M. BRUYNDONCKX),
E. MARTINEZ GARCIA, Mme A. BINGEN et M. A. MVUDI.
Invitées permanentes
Mmes I. COULOUBARITSIS et M. TAVERNIER.
EXCUSES :
M. F. BUCELLA, Vice-président du Conseil d’administration ; M. Ph. VINCKE, Recteur,
M. P. de MARET, Pro-Recteur ; Mme C. DEHON, MM. G. LEWKOWICZ, J. LECHIEN,
Mme A. SCHAUS, MM. Fr. RENIERS, P. GOBLET, R. NAJI, P. MARAGE,
M. EL MZAMZI EL IDRISSI, Mme J. BATTISTELLA, MM. D. BAJURA, P. MINNE,
Mmes A. BAKOUNINE, M. BRUYNDONCKX et M. J.L. MAHIEU.
*
*
*
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 484. -
La séance est présidée par M. J.L. VANHERWEGHEM, Président du Conseil
d’administration.
Le secrétariat de la séance est assuré par Mme. V. GREGOIRE sous la responsabilité de
M. H. MARICQ, Secrétaire du Conseil d’Entreprise.
Pour rappel : le procès-verbal, assorti des indications chiffrées de suivi dans la marge de droite, fait office de
note d’exécution, étant entendu que pour :
1. Les instructions de « suivi », celles-ci se limitent à l’étude d’une question en vue d’une éventuelle
décision ultérieure par l’organe compétent ;
2. Les instructions d’exécution, celles-ci sont différées jusqu’à l’écoulement du délai de recours compté
après ratification par le Conseil d’administration.
Les deux premiers chiffres des indications de suivi dans la marge de droite reprennent le numéro de la
séance du Conseil d’Entreprise où le point a été abordé.
Les points de suivi en attente de leur préparation, ou de la disponibilité des données requises, sont repris
dans le tableau de synthèse reproduit à la dernière page des procès-verbaux.
*
M. le PRESIDENT demande d’excuser l’absence de M. le RECTEUR, retenu par d’autres
obligations.
*
TITRE I – QUESTIONS D’INTERET GENERAL
I.1.
Approbation du projet de procès-verbal de la séance du 23 février 2010
Le projet de procès-verbal est approuvé à l’unanimité, ne varietur.
I.1.1. Suivi de la séance du 23 février 2010
(point ajouté en séance)
En suivi du point V.I - Liste actualisée au 17 février 2010 des caméras installées sur les
campus, M. le PRESIDENT explique que la caméra placée dans le couloir du Service des
Inscriptions dont s’était enquis M. RESIER n’était pas reprise dans la liste présentée au
Conseil d’Entreprise car il s’agissait d’une caméra reliée à un moniteur mais non à un
enregistreur. En outre, elle est désactivée depuis plusieurs années.
M. MARICQ rappelle que le Conseil d’Entreprise doit être informé préalablement avant
toute nouvelle installation de caméras sur les campus. Or, il semble que des
installations soient en cours à l’heure actuelle, qui ne sont néanmoins pas reprises à
l’annexe n° 67 du Conseil d’Entreprise du 23 février 2010.
M. RESIER ajoute que même les caméras fictives doivent être renseignées dans la liste
des caméras présentée au Conseil d’Entreprise.
M. le PRESIDENT prend note de ces interventions.
Dont acte.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 485. -
I.2.
De la proposition des fiches de salaires en développement dans le cadre du
projet de gestion intégrée SMILEY
(point de suivi 24.01 de la séance du 23.02.10)
(voir annexe n° 73)
M. le PRESIDENT rappelle que les Autorités de l’Université avaient décidé de ne pas
réaliser les développements informatiques que nécessiterait PERSO afin d’éditer les
fiches de salaire demandées par les organisations syndicales. En effet, elles ont
souhaité intégrer d’emblée cet aspect dans les développements de SMILEY SUP et de
consacrer les efforts des équipes au nouveau système plutôt que de tenter des
améliorations incertaines du système existant. La mise en route du nouveau système
est prévue en janvier 2011.
L’annexe n° 73 présente une note sur cette problématique, visant à informer les
organisations syndicales. Elle a été rédigée par M. THIEBAUT, Directeur-Coordinateur
du Bureau d’Etudes.
M. THIEBAUT confirme que la décision d’éviter tout développement sur les anciens
systèmes a été prise à sa demande. A l’heure actuelle, tous les agents impliqués sont
mobilisés pour mettre en place le nouveau système (tant au niveau des inscriptions, de
la paye que de la gestion du personnel). C’est pour cette raison que la fiche de salaire
n’a pas été développée sur PERSO. Le projet SMILEY SUP a démarré sur la base d’un
cahier des charges, dans lequel il était spécifié que le programme acquis par l’Université
devait publier la fiche de salaire. Le contractant de l’ULB est ainsi tenu de développer
un système qui produise tous les éléments papiers résultant de la paye des personnels
(documents mensuels, trimestriels et annuels).
Des groupes de travail ont été créés pour vérifier des blocs de fonctionnalités ; la fiche
de salaire s’y trouve. Le Groupe de travail qui examine cette problématique devrait
remettre ses conclusions sous peu par rapport aux éléments qui seront repris sur la
fiche et la manière dont elle sera publiée. Ces conclusions devraient être disponibles en
avril 2010, date prévue pour le début des développements. Pour rappel, l’objectif final
est d’éteindre PERSO en terme de système opérationnel au 1er janvier 2011. Ainsi, la
publication de la fiche de salaire pour le mois de janvier 2011 devrait se faire sur le
nouveau système.
L’ULB est toujours à la merci de dérapages, met en garde M. THIEBAUT. Pour le
moment, les plannings sont respectés.
Tout retard pris aura cependant des
conséquences à trois mois. En effet, il n’est pas possible de reprendre un système de
paye au cours d’un trimestre.
Certains points doivent encore être réglés. Il ne s’agit pas de la publication de la fiche
de salaire mais de sa diffusion. Plusieurs voies sont envisageables :
1. La voie traditionnelle, qui consiste à envoyer les fiches de salaire par courrier.
Cette méthode soulève diverses questions, comme par exemple à quelle adresse
se fait l’envoi : s’agit-il de l’adresse privée de l’agent ? A l’Hôpital Erasme, la
diffusion se fait par le courrier interne. A l’Université, cette procédure pose
problème pour les campus plus éloignés (Biopark Charleroi) ainsi que pour les
personnes qui ont des activités sur plusieurs campus.
2. Pour remédier aux difficultés soulevées par la méthode 1, une externalisation de
la diffusion a été envisagée. Ce système ne correspond toutefois pas aux
principes de l’ULB ni à ce qui avait été demandé de le cadre de l’ERP. Il a été
rejeté. Un autre type d’externalisation existe : il s’agit du système zoomit, qui
permet d’utiliser un système bancaire pour publier des documents. Un tel outil a
un coût, tout comme n’importe quelle forme d’externalisation.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 486. -
3. Afin d’utiliser au mieux les ressources financières de l’Université, une troisième
possibilité est étudiée. Elle consiste à mettre les fiches de salaire (du dernier
mois ainsi que des mois antérieurs) sur un portail (outil informatique). Cette
solution est la moins onéreuse mais pose un problème d’accessibilité dans la
mesure où tous les agents n’ont pas accès à un ordinateur dans le cadre de leur
fonction. A ce stade des réflexions, ce système semble être celui qui doit être
retenu par défaut, étant entendu que des solutions doivent être trouvées pour les
cas posant problème. Un accès à des ordinateurs pourrait être prévu pour les
agents qui n’en disposent pas dans le cadre de leur fonction. La question des
pensionnés doit également être abordée. L’idée a été émise d’un envoi courrier
pour ces personnes.
La discussion est toujours ouverte. Il s’agit d’un problème d’organisation et de coût.
En avril, des propositions seront faites, couvrant tous les cas de figure, de manière à
assurer à la grande majorité des agents un accès très facile et à tous les agents un
accès certain à leur fiche de salaire. Dans ce cadre, la mise en œuvre du portail
pourrait être accélérée.
M. FRIEDMANN remercie M. THIEBAUT pour ces informations. Il rappelle que les
organisations syndicales réclament les fiches de salaire depuis un certain temps. Il est
regrettable que leur demande n’ait pas été prise en compte plus tôt. Dans ce dossier, la
CGSLB avait toujours été attentive au coût de la procédure. Pour cette raison, elle
n’avait plus insisté pour la mise en place de développements basés sur l’ancien système.
Néanmoins, la présentation de M. THIEBAUT et la note reprise à l’annexe n° 73 posent
certaines difficultés.
Le problème d’accessibilité évoqué pour M. THIEBAUT est
important ; tous les agents ne sont pas en mesure de consulter leurs fiches de salaire
sur un ordinateur. Pour éviter des discriminations à ce niveau, en ce compris en ce qui
concerne les pensionnés, la demande est de procéder à un envoi papier pour tous les
agents, malgré le coût impliqué. Cette procédure est la seule susceptible de satisfaire
toutes les personnes. Une distribution trimestrielle serait envisageable pour diminuer
les dépenses, étant entendu que si quelqu’un a besoin d’une fiche mensuelle, il pourra
toujours l’obtenir auprès du Service des Traitements.
Par ailleurs, M. FRIEDMANN indique que les agents souhaitent que les informations
figurant actuellement sur les relevés bancaires soient conservées.
M. le PRESIDENT enregistre ces remarques et clôt le point.
Dont acte.
I.3.
Comité restreint des Œuvres sociales : projet de Règlement d’ordre
intérieur
(point de suivi 24.03 de la séance du 23.02.10)
(voir annexe n° 69 présentant la proposition patronale)
(voir annexe n° 70 présentant le projet de texte de la CGSP)
(voir annexe n° 75 présentant le texte définitif)
M. le PRESIDENT rappelle que, lors de la séance du 23 février 2010 (point I.3), un débat
a eu lieu sur la question de la définition des prérogatives et compétences du Comité
restreint des Œuvres sociales. Ces discussions ont été ouvertes à la demande des
organisations syndicales, qui souhaitaient revoir le fonctionnement et la composition de
cette instance.
Deux documents sont joints en annexe pour ce dossier : l’annexe n° 70 reprend la
proposition de règlement d’ordre intérieur du Comité restreint des Œuvres sociales
émise par la CGSP ; l’annexe n° 69 présente la proposition patronale. Cette dernière
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 487. -
diffère de celle de la CGSP en ce qu’elle propose que la présidence et le secrétariat
reviennent au Département des Ressources humaines. Cette liaison fonctionnelle
devrait garantir un suivi efficace des dossiers, ce qui correspond aux demandes
syndicales. Pour le reste, les deux propositions respectent les mêmes principes.
M. MARICQ note que cette proposition a le mérite de clarifier la situation du Comité
restreint des Œuvres sociales. Il marque son accord sur le texte repris à l’annexe n° 69.
Il demande cependant que, s’agissant d’un groupe de travail, les suppléants soient
autorisés à participer aux réunions même en présence de leur effectif.
Pour la CNE, M. DELVAUX demande que la Responsable des Services sociaux soit
accompagnée d’une assistante sociale pour assister aux réunions.
M. le PRESIDENT remarque que cette présence est sous-entendue dans la
mention : « Selon le contenu de l’ordre du jour, des experts de l’administration de
l’Université seront invités à siéger, éventuellement accompagnés des collègues en charge
du dossier concerné » (annexe n° 69, page 2, point 2.a, dernier paragraphe). Il confirme
à M. DELVAUX que, lorsque cela sera nécessaire, une assistante sociale sera présente
en qualité d’expert.
M. FRIEDMANN indique que la CGSLB souhaite également que les suppléants puissent
assister aux réunions afin de garantir la continuité du traitement des dossiers pour les
organisations syndicales. Les réunions ne font en effet l’objet que d’aide-mémoire et
non de procès-verbaux complets.
Selon l’objet du débat, M. PIETRONS indique qu’une deuxième Responsable de service
du Département des Ressources humaines pourrait être présente (Service du Personnel
enseignant et scientifique - SPES). Le Directeur-coordinateur serait alors accompagné
de deux adjointes.
M. RESIER remarque que, selon les termes de la loi, le Comité restreint des Œuvres
sociales n’est pas un groupe de travail mais une « section » du Conseil d’Entreprise.
Ceci devrait apparaître dans le document.
M. le PRESIDENT note alors que seuls des membres du Conseil d’Entreprise pourraient
y siéger, ce qui ne correspond pas à la réalité. Il semble plus opportun de conserver une
certaine souplesse au niveau de la composition du Comité restreint des Œuvres
sociales.
M. RESIER suggèrant que les personnes non membres du Conseil d’Entreprise soient
invitées au Comité restreint des Œuvres sociales, comme cela se fait pour d’autres
instances, M. le PRESIDENT relève que certains suppléants au niveau des organisations
syndicales ne sont pas membres du Conseil d’Entreprise.
Dans tous les cas, le plus important est de trouver un accord au niveau du Conseil
d’Entreprise pour la composition du Comité restreint des Œuvres sociales ; il s’agit d’un
règlement interne au Conseil d’Entreprise, dont les membres acceptent de fonctionner
avec un CROS formé, défini et dont les missions sont précisées. En outre, toute mise en
application de mesures adoptées par le Comité est d’abord soumise au Conseil
d’Entreprise. Ainsi, si la remarque de M. RESIER peut être notée au niveau formel, elle
n’a pas d’influence sur la pratique. Il faut conserver de la flexibilité au niveau du
fonctionnement du CROS.
Pour la CGSLB, M. FRIEDMANN marque son accord sur l’annexe n° 69, compte tenu
des demandes déjà exprimées. Il se fait par ailleurs confirmer par M. PIETRONS qu’au
moins une réunion sera organisée par trimestre.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 488. -
M. le PRESIDENT conclut que la proposition patronale est acceptée, étant entendu que
les suppléants seront autorisés à siéger et compte tenu des éclaircissements donnés en
séance.
Le texte définitif du Règlement d’ordre intérieur du Comité restreint des Œuvres
sociales sera joint au projet de procès-verbal.
Dont acte.
M. MARTINEZ demande, au point 2.a. de l’annexe n° 69, ce que signifie la mention
« Cinq représentants syndicaux (…) avec au minimum un par délégation ».
Un par organisation syndicale, répond M. le PRESIDENT.
En l’absence d’autres commentaires, il clôt le point.
CONCLUSION
Le Conseil d’Entreprise approuve le Règlement d’ordre intérieur du Comité
restreint des Œuvres sociales tel que repris à l’annexe n° 75 jointe au procèsverbal.
I.4.
Information sur les engagements non-statutaires dans le PATGS
- nombre actuel de postes dans cette situation
- nombre d’engagements de ce type opérés les cinq dernières années
- ventilation de ces engagements dans et en dehors du projet SMILEY
(point inscrit à la demande de la CGSP)
(voir annexe n° 74)
M. le PRESIDENT présente l’annexe n° 74, qui fournit l’information demandée par les
organisations syndicales par rapport aux engagements non statutaires. Un total de
52,3 ETP sont concernés :
-
24,8 ETP travaillent dans le cadre du projet SMILEY, soit pour participer
directement au projet, soit pour remplacer dans leur service d’origine les agents
mobilisés ;
-
6 ETP concernent des personnes à qui l’Université ne peut pas donner de contrat
statutaire pour des raisons administratives. En revanche, lorsqu’elles obtiennent
les documents nécessaires, elles deviennent automatiquement statutaires ;
-
9,4 ETP sont des personnes dans des contrats de remplacement d’agents
bénéficiant de différents types de congé (« compensations ») ;
-
12,1 ETP sont des personnes engagées pour des projets particuliers, qui
quitteront l’Université au terme de ces missions (intégration de l’Architecture,
TVA, 175e anniversaire de l’Université, appui au Bureau des Etudiants
administrateurs, etc.).
En ce qui concerne les « compensations » (9,4 ETP), M. PIETRONS précise que les
personnes en question ne bénéficient pas de contrats de remplacement mais de contrats
à durée indéterminée. En effet, le cumul de divers aménagements du temps de travail
d’agents de l’ULB permet de leur offrir des contrats au minimum mi-temps et le plus
souvent à temps plein.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 489. -
Les « vrais » contrats de remplacement pour des absences définies dans le temps
(maternité, congés maladie dont le terme est connu, etc.) émargent en revanche au
cadre consolidé. Il ne s’agit pas de personnels contractuels.
Quelle est la différence entre du « personnel de direction et attachés » et du personnel de
cadre, s’enquiert M. MVUDI.
Le « personnel de direction et attachés », tel que mentionné en haut de l’annexe n° 74,
est composé de l’ensemble des agents de niveau 1 à l’exception des agents spécialisés,
dont les carrières sont particulières (ingénieurs industriels, ingénieurs civils,
informaticiens, etc.) répond M. PIETRONS. Ces personnels se retrouvent, à l’annexe
n° 74, dans la partie « Personnel spécialisé ».
M. MVUDI explique qu’il faisait en réalité référence à la mention qui apparaît dans le
programme Outlook au niveau du « titre » dans la liste des adresses. La phrase
« personnel de cadre » est indiquée.
Il s’agit simplement d’un programme informatique, relève M. PIETRONS. Dans l’annexe
n° 74, la mention « attachés » se réfère à l’ensemble des personnels de niveau 1 des trois
premiers grades (attaché, premier attaché et attaché principal). Au-delà, il s’agit du
personnel de direction.
A un tout autre égard, M. SIMON aborde le problème du niveau barémique à
l’engagement. Les barèmes statutaires sont-ils toujours respectés ?
M. PIETRONS le renvoie à ce sujet au point 6.2 de la Délégation syndicale du 5 mars
2010, où il a expliqué que le poste de Responsable de la Surveillance générale pourrait
être attribué sur la base d’un contrat non statutaire.
Parmi les ETP contractuels dont il est fait mention à l’annexe n° 74, trois personnes ont
été recrutées dans des conditions non équivalentes aux conditions statutaires. Pour
toutes les autres, la barémisation appliquée à l’ULB a été respectée. C’est également le
cas pour les personnels de la recherche contractuelle. Les conditions d’octroi de ces
barèmes sont également respectées, à savoir les règles du niveau du diplôme et de
l’ancienneté (valorisation des expériences antérieures).
Il arrive que, dans certains domaines particuliers, la formation et l’expérience exigée ne
permettent pas à l’Université d’offrir une rémunération décente aux candidats. Dans ce
cas, les personnes sont recrutées contractuellement hors barème.
M. PIETRONS rappelle par ailleurs que tous les engagements sur contrat à durée
indéterminée donnent lieu au bénéfice d’une pension extra-légale du niveau de celle
offerte au personnel de la recherche contractuelle.
M. SIMON demande confirmation que la volonté de l’Université est de procéder aux
engagements non statutaires au même niveau que les engagements statutaires, sauf
exceptions limitées.
M. le PRESIDENT abonde dans ce sens.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 490. -
M. PIETRONS note par ailleurs que l’annexe n° 74 présente l’évolution effective du
recrutement au cadre consolidé entre 2005 et 2009. Le nombre d’agents statutaires est
resté stable malgré la légère augmentation du nombre d’engagements contractuels. Les
trois ETP en moins correspondent à un cadre d’extinction. Ces personnes n’étaient
d’ailleurs plus rémunérées par l’institution (maladie de longue durée). Il n’existe pas
d’érosion du nombre d’agents statutaires par rapport au nombre d’agents contractuels à
l’Université.
Dont acte.
I.5.
Des règles suivies en matière de recrutement
(point inscrit à la demande de la CGSP, indiquant que cette matière relève
de la prérogative du Conseil d’entreprise)
M. SIMON indique qu’il a été répondu à l’interrogation de la CGSP au point précédent
(point I.4).
M. MARICQ s’enquiert néanmoins des vacances d’emploi au sein du Département de
l’Administration financière publiées récemment pour des Gradués en comptabilité. Il
est précisé que ces emplois sont « statutaires et non statutaires ». Pour quelle raison ?
M. PIETRONS explique qu’il s’agit essentiellement de postes vacants dans le but de
remplacer des agents mobilisés dans le cadre du projet SMILEY.
Il rappelle que l’Université a du mal à être attractive sur le marché de l’emploi pour ce
type d’emploi administratif spécialisé.
Dont acte.
I.6.
Suivi des décisions du Conseil d’administration du 15 mars 2010
M. le PRESIDENT indique que, bien que les points relatifs aux budgets soient
légalement réservés à la séance du Conseil d’Entreprise consacrée aux informations
annuelles du mois d’octobre, il propose d’informer les organisations syndicales dès
maintenant des grandes lignes des budgets 2010 de l’Hôpital Erasme (point I.6.1) et de
l’Université (point I.6.2).
Dont acte.
I.6.1. Point d’information relatif au budget des Cliniques universitaires de
Bruxelles – Hôpital Erasme pour l’exercice 2010
(annexe n° 76 reprenant un extrait de l’annexe n° 107 du CA du 15.03.10,
point I.3.1)
M. le PRESIDENT commente le budget de l’Hôpital Erasme pour l’exercice 2010 repris à
l’annexe n° 107 du Conseil d’administration du 15 mars 2010. Il rappelle que le Conseil
d’Entreprise avait largement débattu de la situation financière de l’Hôpital en 2008 dans
la mesure où l’ULB devait prendre des décisions importantes à cet égard.
M. le PRESIDENT se réfère au tableau de la page 5 de l’annexe. Les colonnes « 2005 »,
« 2006 », « 2007 » et « 2008 » reprennent les comptes de l’Hôpital pour ces différentes
années. La colonne « B2009e » présente le budget initial approuvé par le Conseil
d’administration le 12 février 2009 (point I.3) alors que la colonne « CB2009-oct2009 »
correspond au contrôle budgétaire d’octobre 2009. Il devrait donner des résultats très
proches de ce que seront les comptes 2009. La dernière colonne, « B2010 », est le projet
de budget 2010.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 491. -
Il souligne les montants des postes principaux :
-
Les honoraires médicaux (poste I.A.5), qui constituent un reflet de l’activité de
l’Hôpital, sont en croissance de manière significative. Cette augmentation est un
bon signe ;
-
Poste III : Perte d’exploitation ou bénéfice d’exploitation
Ce poste correspond aux recettes et dépenses de l’année en cours. Le budget 2010
prévoit un bénéfice de 1,5 million d’euros. Ce montant est en ligne avec le contrôle
budgétaire d’octobre 2009 (2,1 millions d’euros de bénéfice) et contraste avec la réalité
des années 2006 et 2007, où les comptes d’exploitation approchaient un déficit de
20 millions d’euros. Cette évolution est le témoin de l’efficacité des plans financiers mis
en œuvre par l’Hôpital Erasme ;
-
Poste VI : Perte courante ou bénéfice courant
La différence avec la rubrique précédente est que les produits et charges financières
sont intégrés. L’Hôpital bénéficie à l’heure actuelle de taux d’intérêts peu élevés.
Compte tenu de la situation financière des années antérieures, ses charges sont
néanmoins lourdes : 6,6 millions d’euros. Il faut en effet assumer les déficits passés à
travers les crédits de caisse et les emprunts. Le budget 2010 prévoit un déficit courant
de 3,4 millions d’euros. A ce niveau également, le contraste est très important avec la
perte courante de 25,3 millions d’euros que connaissait l’Hôpital en 2007.
-
Poste IX : Perte de l’exercice ou bénéfice de l’exercice
Par rapport au poste « courant », cette rubrique intègre les recettes et les dépenses
exceptionnelles. Il s’agit souvent de charges ou de recettes du passé, telles que des
rattrapages sur les journées d’entretien. Avec ces produits exceptionnels, le déficit de
l’exercice 2010 est ramené à 2 millions d’euros. Il contraste fortement avec les déficits
des années précédentes : 8 millions d’euros en 2009, 21,6 millions d’euros en 2006 et
19,1 millions d’euros en 2007. En 2005, si le déficit semble peu élevé (2,5 millions
d’euros), les produits exceptionnels se montaient toutefois à 14,6 millions d’euros. Le
déficit de l’année par rapport à l’activité aurait en réalité dû être de plus 16 millions
d’euros. En comptabilité cependant, les recettes doivent être enregistrées, même si elles
ne sont pas liées à l’activité de l’année considérée.
Le budget établi pour 2010 est prudent, remarque M. le PRESIDENT. En effet, des
mesures sont prévues au niveau de la Santé publique, notamment en termes de prise
en charge par l’INAMI de certains soins et de certains examens (Imagerie et Biologie
clinique notamment). Les recettes de l’Hôpital risquent de diminuer pour ces postes.
En tout état de cause, les résultats sont rassurants par rapport aux enjeux et aux
menaces qui pesaient sur l’Hôpital Erasme et indirectement l’Université en 2008. Ce
point sera bien sûr abordé de nouveau à l’occasion de la séance du Conseil d’Entreprise
consacrée aux informations annuelles.
M. RESIER remarque qu’il n’a pas reçu l’annexe que commente M. le PRESIDENT.
Mme le SECRETAIRE explique que l’annexe en question (annexe n° 107
d’administration du 15 mars 2010) n’a pas été jointe à l’ordre du jour
d’Entreprise car ce point a été inscrit pour information uniquement.
néanmoins été reçue par les organisations syndicales avec les documents
d’administration.
M. SIMON demande qu’elle soit jointe au projet de procès-verbal.
du Conseil
du Conseil
L’annexe a
du Conseil
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 492. -
M. le PRESIDENT marque son accord : le tableau qu’il a commenté le sera.
Dont acte.
I.6.2. Point d’information relatif au budget initial de l’Université pour l’exercice
2010
M. le PRESIDENT explique que le budget initial de l’Université pour l’exercice 2010
prévoit un quasi équilibre avec un déficit budgétaire de 30.000 euros environ. Malgré
tout, dans le cadre de ce budget, des postes sont augmentés pour financer divers
projets, à savoir par exemple :
1. + 150.000 euros pour l’aide à l’enseignement ;
2. + 160.000 euros pour l’aide à la recherche (budget Mini-Arcs et mandats postdoct) ;
3. + 100.000 euros pour le désamiantage (le budget global est ainsi désormais de
300.000 euros) ;
4. + 500.000 euros pour la capitalisation nécessaire aux pensions extralégales.
Pour rappel, 2 millions d’euros supplémentaires doivent être budgétés d’ici 2013 ;
5. Continuation du
25.000 euros.
Plan
Langues
pour le
personnel
avec un
budget
de
Par ailleurs, le budget général de l’Université a dû intégrer les dépenses qui ne sont plus
prises en charge par le budget des œuvres sociales, à savoir les frais administratifs liés
à la distribution des titres-repas et la participation de l’Institution au coût du minerval
des enfants du personnel.
Le budget initial 2010 respecte les engagements pris par rapport au personnel. Des
actions ponctuelles modestes sont également ajoutées.
M. VAN TUYKOM remarque qu’au niveau des œuvres sociales, un crédit de trois ans
couvrait le coût des titres-repas. Qu’adviendra-t-il au delà de cette période ?
Les frais de distribution ont été repris dans le budget général de l’Université, répond
M. le PRESIDENT. Or, si le budget initial 2010 est à l’équilibre alors qu’il intègre cette
dépense, cela signifie que ce montant sera repris les années à venir.
Comme M. VAN TUYKOM précise sa question, M. le PRESIDENT indique que le Comité
restreint des Œuvres sociales vit à l’heure actuelle sur ses réserves pour assurer le
financement des titres-repas. La dotation annuelle fixée par la convention collective de
travail d'entreprise relative à la méthode de calcul du budget des œuvres sociales du
personnel de l'ULB est en effet insuffisante. Or, en 2012, les réserves financières seront
épuisées.
Il faudra examiner comment financer les titres-repas avec le budget
disponible.
M. PIETRONS relève que cette question sera débattue lors de la prochaine réunion du
Comité restreint des Œuvres sociales. Les dépenses prévues pour les titres-repas en
2010 seront annoncées. Il faudra également discuter du budget pour maintenir cette
mesure à l’avenir, lorsque l’épargne des années antérieures sera épuisée.
A un tout autre égard, M. SIMON remarque que, le budget étant positif, l’enveloppe
budgétaire réservée aux avancements et aux promotions pourrait être augmentée,
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 493. -
comme les organisations syndicales le demandent depuis plusieurs années. Le nombre
d’étudiants étant en augmentation, la charge de travail du personnel croît également.
Le personnel est de plus en plus sollicité. Si les bons résultats de l’ULB sont
réjouissants, il faut aussi penser à récompenser le personnel.
M. le PRESIDENT note que le budget permet plusieurs actions en faveur du personnel :
aide à l’enseignement et à la recherche (engagements), œuvres sociales, pensions extralégales, etc. L’Université ne peut cependant pas tout faire.
Par ailleurs, la prudence s’impose compte tenu de la teneur des discussions menées au
niveau de la Table ronde sur l’enseignement supérieur organisée par le Ministre
MARCOURT. Un débat sur le financement des Universités est en effet en cours. Sa
régionalisation est notamment évoquée.
En outre, si le nombre d’étudiants augmente, ce qui accroît de fait la charge de travail
des personnels, il n’en va pas nécessairement de même des financements octroyés par
la Communauté française puisqu’il s’agit d’une enveloppe fermée. La part de l’ULB
dans l’enveloppe augmente mais de manière marginale.
Dont acte.
I.6.3. Règlement en matière de définition de la charge des membres du corps
académique
(point I.6 du CA du 15.03.10, annexe n° 114bis)
M. le PRESIDENT indique que la question de la définition de la charge du corps
académique a donné lieu à un long débat au Conseil d’administration du 15 mars 2010.
In fine, il a résulté de ces discussions que l’annexe n° 114bis restait ouverte à la
discussion et devait être amendée. Aucune décision n’a été prise sur ce point.
Mme MORELLI se réjouit de la décision du Conseil d’administration. En effet, en l’état,
l’annexe n° 114bis consiste à appliquer aux enseignants un encadrement de type
managérial, ce qui serait très difficile à réaliser. Elle prévoit de fait l’encadrement et la
surveillance de plus en plus étroite des professeurs, considérés a priori comme des
fraudeurs et des paresseux. En réalité, Mme MORELLI connaît très peu de membres du
corps académique qui prestent moins que leurs heures ; la plupart travaillent plutôt 60
à 70 heures par semaine. Dans ces conditions, ces personnes seront dans l’obligation
de « frauder » pour déclarer leurs charges d’enseignement (E), de recherche (R) et de
service à la communauté (S) et entrer dans les 100 % théoriques basés sur une charge
de travail de 38 heures par semaine. La répartition E-R-S ainsi obtenue sera
nécessairement fausse et fictive. En sciences humaines, une telle répartition serait en
réalité impossible à réaliser.
Qui plus est, elle pousserait à une bureaucratisation accrue du travail des membres du
corps académique, assortie de mécanismes de contrôle de plus en plus complexes, pour
lesquels les enseignants devraient fournir des masses de documents, remplir des
tableaux, etc. Par exemple, au niveau du contrôle du temps de travail et des congés,
comment mesurer le temps de travail presté chez soi pour la correction de mémoires ou
la composition du manuscrit d’une future publication ? Quelles sont les heures
consacrées à ces activités ? Qu’en est-il par ailleurs de la participation à des colloques :
s’agit-il de travail ou de vacances ? Il a été précisé à cet égard que le corps académique
n’aurait plus que quatre semaines de congé par an. Cette durée est bien moindre que
celle dont bénéficient les membres du PATGS de l’Université ou les autres personnels de
l’enseignement en Belgique. Comment vérifier ces périodes de vacances ? Va-t-on en
outre considérer la participation à des colloques ou à des fouilles à l’étranger comme des
vacances ?
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 494. -
Le système de surveillance et de calcul imaginé à l’annexe n°114bis est impossible à
mettre en œuvre sur le terrain. Il s’agit d’un délire administratif, qui nourrit un ogre
bureaucratique. S’il est appliqué, l’essentiel du temps de travail des membres du corps
académique ne sera plus consacré, ni à la recherche, ni à l’enseignement, ni au service
à la communauté. Il sera, au contraire, dévolu aux obligations liées au contrôle
bureaucratique des enseignants alors que le principe de leur charge est basé sur la
confiance, l’autonomie et la liberté académique des intéressés.
M. le PRESIDENT indique que les représentants élus du corps académique ont fait des
interventions similaires au cours de la séance du Conseil d’administration du 15 mars
2010. Ces remarques expliquent en partie le fait que l’annexe n’ait pas été adoptée en
l’état. L’intervention de Mme MORELLI sera transmise aux personnes en charge de la
réflexion sur ce dossier.
Mme MORELLI souligne que la CGSP s’oppose à ce système.
M. le PRESIDENT répond qu’il avait bien compris son intervention dans ce sens.
Dont acte.
I.7.
Demande d’information relative à un projet de restructuration de la Cellule
Langues du Centre des technologies au service de l’enseignement
(point inscrit à la demande de la CGSP)
M. MARICQ indique que des rumeurs courent relativement à un démantèlement de la
Cellule Langues (ex-Institut des langues vivantes et de phonétique - ILVP) du Centre des
Technologies au service de l’Enseignement (CTE) du Département de Supports aux
activités académiques. Les agents seraient dispersés entre les différentes Facultés.
Qu’en est-il ?
M. le PRESIDENT rappelle que, lorsque l’ILVP avait été dissout (Conseil d’administration
du 13 juin 2006, point I.11), les membres des corps académique et scientifique qui y
travaillaient (ATLV) avaient été répartis entre les différentes facultés. Par ailleurs, les
agents appartenant à la partie technico-administrative de l’Institut avaient été intégrés
au CTE du Département de Supports aux activités académiques. Ce schéma n’est pas
remis en cause. Les discussions actuelles portent sur la répartition des ATLV entre les
deux facultés qui résulteront de la scission de la Faculté des Sciences sociales et
politiques - Solvay Brussels School of Economics and Management. Rien ne sera
modifié au niveau de la mission de ces personnes.
Au niveau du PATGS de la Cellule Langues, un agent part à la pension anticipée au
31 janvier 2011. Son remplacement sera discuté à la Commission administrative.
L’intention de la Directrice-Coordinatrice du Département est de demander ce
remplacement, en modifiant légèrement le profil du poste. Il s’agirait de fonctions de
support technique d’infographie et production audiovisuelle, toujours au sein du CTE
mais pour l’ensemble de la communauté universitaire et plus uniquement au bénéfice
des ATLV. Il n’est cependant pas possible de présumer des résultats des discussions de
la Commission administrative par rapport au pot commun du PATGS.
Dont acte.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 495. -
TITRE V - POINTS RELATIFS A LA COMPETENCE D’INFORMATION
V.1.
Suivi de la Commission administrative du 16 mars 2010
V.1.1. Restructuration de la Faculté de Philosophie et Lettres en 17 services : 2 services
administratifs, 5 départements d’enseignement et 10 centres de recherche
(voir annexes n° 1, n° 2, n° 3 et n° 4 de la Commission administrative du
16.03.10)
M. le PRESIDENT présente la restructuration de la Faculté de Philosophie et Lettres
telle que reprise aux annexes n° 1, 2, 3 et 4 de la Commission administrative du
16 mars 2010. Elle a reçu un avis favorable de cette instance.
La Faculté comptait 29 services, 20 filières d’enseignement et 56 unités de recherche.
L’organisation se fera désormais en 17 services répartis entre deux services
administratifs généraux (décanat et secrétariat facultaire), cinq départements
d’enseignement et dix centres de recherche.
La Faculté a réalisé un travail d’envergure, dont le détail est présenté en annexe, en ce
compris la répartition nominative des personnes entre ces services administratifs et
académiques. Chaque membre du corps académique sera rattaché à un département
d’enseignement et jusqu’à deux centres de recherche. Il sera possible en outre de
participer à d’autres travaux de recherche transdisciplinaires.
Une fois encore, M. le PRESIDENT souligne l’ampleur du travail réalisé par la Faculté.
Cette restructuration a reçu un avis favorable de la Commission administrative et du
Conseil de la Recherche (séance du 16 mars 2010) ; elle sera également présentée à la
Commission de l’Enseignement (séance du 30 mars 2010) avant d’être approuvée par le
Bureau.
M. MARTINEZ s’inquiète à la lecture de la phrase : « La Faculté propose ainsi un nouvel
organigramme qui réduit le nombre total de services et s’adapte aux exigences du projet
SMILEY ». Quelles seraient ces exigences par rapport à l’organisation des facultés ?
M. le PRESIDENT précise qu’il ne s’agit aucunement d’exigences académiques,
scientifiques, d’enseignement et de recherche. En revanche, le projet SMILEY impose
une réflexion sur l’organisation générale de l’Université. Des questions telles que
« qu’est ce qu’un département d’enseignement ? », « quel niveau de multiplication d’unités
doit-il être opéré ? », etc. se posent. Il convient d’établir une matrice de l’organisation,
permettant notamment de connaître les « logettes » de l’ULB. En effet, c’est au sein de
ces « logettes » que les agents doivent s’inscrire pour pouvoir être payés, disposer d’un
numéro de téléphone et d’un local, recevoir leur courrier, etc. Il faut savoir où sont les
agents et procéder à une mise en ordre quasi en temps réel des situations changeantes
au sein de l’Institution.
Mme MORELLI remarque que cette restructuration ne consiste en réalité pas à une
simplification.
Une même personne dépend d’une filière d’enseignement, d’un
département et d’un centre de recherche mais ces entités ne correspondent pas entre
elles.
M. le PRESIDENT le confirme. Il relève néanmoins que, compte tenu de la complexité de
la Faculté de Philosophie et Lettres, il n’existait pas d’alternative. Dans certaines
Facultés, des superpositions pourront probablement être opérées entre des centres de
recherche et des filières d’enseignement ou des disciplines. Or, au niveau de la Faculté
de Philosophie et Lettres, les domaines d’études sont très variables, tant au niveau de la
recherche que de l’enseignement. Dans cet ordre d’idée, la Faculté a accepté d’avoir
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 496. -
deux centres de recherche officiels pour une même personne. Dans d’autres Facultés,
un centre de recherche devrait être suffisant.
Appartenir à deux centres de recherche implique de ne pas avoir d’ambition par rapport
à leur direction, note Mme MORELLI.
M. le PRESIDENT en convient. Il remarque qu’il en va de même pour un membre du
corps académique qui souhaiterait être Doyen. Il doit choisir une faculté d’attachement
principal.
L’effort réalisé par la Faculté pour se réorganiser est d’autant plus important qu’elle a la
particularité d’avoir une très grande diversité.
Dont acte.
V.1.2. Faculté des Sciences sociales et politiques/Solvay Brussels School of Economics
and Management : dissolution du Centre de psycho-sociologie d’étude de
l’opinion (sous-service et unité de recherche de l’Institut de Sociologie)
M. le PRESIDENT note que ce point et les points V.1.3 à V.1.5 concernent la Faculté des
Sciences. Il précise que chaque fois qu’un service est supprimé, le personnel ATGS est
réattribué à d’autres unités.
Dont acte.
V.1.3. Faculté des Sciences : transfert du Service de Physiologie et génétique
moléculaire des plantes (FN110) du Département de Biologie des organismes vers
l’Ecole interfacultaire des Bioingénieurs
(voir annexe n° 5 de la Commission administrative du 16.03.10)
Dont acte.
V.1.4. Faculté des Sciences : suppression du Service de Biologie du développement
(FH060)
(voir annexe n° 6 de la Commission administrative du 16.03.10)
Dont acte.
V.1.5. Faculté des Sciences : suppression du Service de Morphologie fonctionnelle
(FN090)
(voir annexe n° 7 de la Commission administrative du 16.03.10)
Dont acte.
V.2.
Information trimestrielle relative aux intérimaires engagés à l’Université
M. PIETRONS explique qu’à l’heure actuelle, un agent assure à l’ULB des prestations
dans un régime intérimaire, c’est-à-dire via une société d’intérim. Il travaille au Service
Cérémonies et conférences / Marketing du Département des Relations extérieures et
remplace un agent en incapacité de travail. M. PIETRONS vient de recevoir à cet égard
une demande de renouvellement du contrat d’intérim, suite à la prolongation de
l’incapacité de travail du titulaire du poste.
Comme la CNE l’avait déjà souligné (Conseil d’Entreprise du 24 novembre 2009,
point I.11.3), M. RESIER indique que d’autres personnes travaillent en intérim à
l’Université. Elles devraient être identifiées auprès des services concernés et via le
Département de l’Administration financière, qui règle les factures des sociétés d’intérim.
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 497. -
M. PIETRONS explique que le Département des Ressources humaines n’a pas
connaissance de ces autres contrats, qui ne transitent pas par lui. Ils sont passés dans
les services directement. Il confirme cependant que le Conseil d’Entreprise doit être
informé de tous les intérimaires présents à l’Université.
Il s’agit bien du sens de la remarque de M. RESIER. D’autres services font appel à des
personnes extérieures. Un manque de suivi est constaté à ce niveau.
M. le PRESIDENT prend note de cette intervention.
Dont acte.
V.3.
Modifications et changements d’affectation
(voir annexe n° 71)
M. PIETRONS présente ses excuses pour certaines informations tardives reprises à
l’annexe n° 71.
Par ailleurs, il explique que M. Frédéric SCHMITZ, auparavant affecté à l’appui
administratif du Bureau des Etudiants administrateurs, est dans la catégorie du
personnel à réaffecter. A l’heure actuelle, il est en mission en Faculté des Sciences.
Son affectation est cependant à 75 % et non à 100 %.
Dont acte.
V.4.
Nouveaux engagés à l’Université
(voir annexe n° 72)
M. PIETRONS indique que la liste des nouveaux engagés reprise à l’annexe n° 72 a été
adressée aux organisations syndicales. Elles ont demandé qu’elle soit présentée au
Conseil d’Entreprise.
Dont acte.
TITRE VI – DIVERS
VI.1. Du bilan du Plan Langues pour le personnel
(point de suivi 23.02 de la séance du 26 janvier 2010)
M. PIETRONS indique que ce bilan sera présenté lors de la prochaine séance du Conseil
d’Entreprise, en ce compris les actions qui seront menées grâce à la reconduction du
budget de 25.000 euros.
Dont acte.
VI.2. Du plan de déplacements d’entreprise de l’ULB
(voir annexe n° 75)
M. PIETRONS indique que l’annexe n° 75 distribuée en séance présente le rapport
définitif que l’ULB doit transmettre à la Région de Bruxelles-Capitale. Les informations
ont été complétées suite au débat du Conseil d’Entreprise du 23 février 2010 (point I.6).
La page 10 de l’annexe n° 75 détaille les objectifs de report modal. A cet égard, la plus
grande modification par rapport à la situation actuelle se situe au niveau du
covoiturage.
D’ici 2015, il est envisagé d’augmenter le recours à ce mode de
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 498. -
déplacement, qui reflète une tendance effective. Les agents se rendent compte du coût
induit par l’utilisation d’un véhicule privé et le partagent.
A cet égard, la convention collective relative au covoiturage sera discutée lors d’une
prochaine Délégation syndicale. Par ailleurs, lors de la Délégation syndicale du 31 mars
2010, une proposition sera faite par rapport au remboursement des frais de transport
en commun et à la question du stage d’attente de deux ans. Ces discussions vont dans
le sens du développement des formes alternatives de transport. Les objectifs de report
modal sont conformes à ceux annoncés lors de la séance du Conseil d’Entreprise du
23 février 2010.
Dont acte.
VI.3. Des négociations avec la Commission bancaire, financière et des assurances
dans le cadre du dossier de la pension extra-légale
M. MARICQ indique que des représentants de la CGSP ont rencontré les gestionnaires
de la Commission bancaire, financière et des assurances (CBFA) en charge du dossier
des pensions extra-légales de l’ULB. Ils ont désormais une série de questions, qu’ils
transmettront à la Délégation syndicale.
M. le PRESIDENT note que les Autorités émettent les plus profondes réserves par
rapport à ces démarches. Ce sujet est extrêmement difficile. L’ULB doit solliciter des
dérogations aux législations. La négociation avec la CBFA à cet égard est très délicate.
Elle pourrait être mise en péril par des interventions multilatérales. Si un durcissement
de position était constaté suite à ces démarches, la CBFA n’osant plus prendre
publiquement de positions dérogatoires pour l’ULB, c’est tout le système envisagé par
l’ULB qui pourrait s’effondrer. Cette initiative est extrêmement dangereuse. Une autre
organisation syndicale ayant annoncé qu’elle accomplirait cette démarche.
M. le PRESIDENT émet des réserves à ce sujet. La responsabilité des organisations
syndicales sera engagée si les dérogations nécessaires ne sont pas obtenues. L’ULB
devra alors trouver 180 millions d’euros.
M. SIMON note que la question principale est celle de savoir ce qui a amené la CGSP à
aller voir la CBFA. Les organisations syndicales, dans ce dossier, ne disposaient que
d’une information filtrée par les Autorités et ses représentants.
Seule une
communication directe avec la CBFA pourrait remédier à cet état de fait. Si tous les
représentants de l’ULB allaient ensemble voir le même interlocuteur, ils auraient le
même niveau d’information. Il s’agit d’une responsabilité partagée entre les Autorités et
les organisations syndicales.
Cette initiative est un signe de défiance par rapport aux représentants de l’Université,
rétorque M. le PRESIDENT.
L’objectif est d’avoir un niveau d’information équivalent, réitère M. SIMON.
Ce qui est fait est fait, conclut M. le PRESIDENT. Il souligne cependant que ce type de
démarche est dangereux.
Dont acte.
VI.4. De la mise à jour de l’organigramme du Service de la Surveillance générale
du Département des Infrastructures
M. SIMON rappelle le point pour mémoire 21.01 de la séance du 24 novembre 2009.
M. MAHIEU s’était engagé à donner le nouvel organigramme du Service de la
Surveillance générale du Département des Infrastructures. Qu’en est-il ?
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 499. -
M. le PRESIDENT se renseignera à ce sujet.
Dont acte.
VI.5. De la renégociation du contrat d’assurance hospitalisation
M. FRIEDMANN demande une information sur l’assurance hospitalisation de l’ULB. Un
groupe technique avait été constitué sur ce thème. Par ailleurs, le bruit court que
l’Université aurait mis fin au contrat actuel. Quelles sont les informations à ce sujet ?
Les statuts actuels prévoient la gratuité des soins pour le personnel de l’ULB. Pour
cette raison, les agents qui ont dû faire appel à l’assurance hospitalisation se sont
étonnés de devoir s’acquitter d’une franchise au niveau de l’Hôpital Erasme.
M. le PRESIDENT répond que la question de la franchise a été éclaircie au cours du
Conseil d’Entreprise du 23 février 2010, point I.1bis.3. Des explications ont été
données. La franchise concerne l’hospitalisation. Les garanties de gratuité portent
uniquement sur l’ambulatoire et l’hospitalisation en chambre commune. Dans les
autres cas, la franchise n’est pas couverte par l’assurance et reste à charge des agents.
En ce qui concerne le contrat d’assurance, il n’a pas été dénoncé par l’ULB mais par
l’assureur. Un nouveau contrat devra être négocié. Le groupe technique s’est réuni à
plusieurs reprises afin de recevoir des informations de l’assureur et du courtier de l’ULB
indiquant la raison pour laquelle la dénonciation du contrat était annoncée, explique
M. PIETRONS.
Des informations sur les transformations des couvertures de primes par les assurances
ont également été fournies. Une nouvelle réunion est prévue après les vacances de
printemps avec ces personnes et les responsables compétents du Département de
l’Administration financière.
M. FRIEDMANN demande que les organisations syndicales soient informées rapidement
à l’issue de la prochaine réunion. Il rappelle que, si l’ULB paye les cotisations de son
personnel, d’autres affiliés (conjoints, enfants) peuvent également cotiser. Or, la
législation prévoit que, quand quelqu’un participe au paiement de l’assurance, il doit
pouvoir discuter de ce qui va se passer et donner son avis. Il en va de même pour les
pensionnés. Au fil des années, ils ont vu le montant de leurs cotisations augmenter de
manière significative. En outre, les domaines couverts par l’assurance hospitalisation
ont fortement diminués avec le temps. A l’heure actuelle, des affiliations individuelles
pourraient peut-être s’avérer moins onéreuses. La piste selon laquelle l’Université
verserait l’argent qu’elle consacre à l’assurance hospitalisation de ces affiliés aux agents
pourrait à cet égard être examinée. Les pensionnés vont être en grande difficulté si les
coûts des cotisations devaient encore augmenter. Plus on attend pour cotiser, plus cela
coûte cher.
M. le PRESIDENT remarque que l’assurance hospitalisation pour les personnels de
l’ULB, qui est une initiative de l’employeur, fait l’objet d’une négociation globale puisque
les cotisations sont payées par l’Université. En ce qui concerne les autres affiliés,
M. le PRESIDENT réfute l’idée selon laquelle, légalement, ils pourraient intervenir dans
les négociations.
Lorsqu’une personne s’assure à titre individuel, elle négocie
uniquement avec son assureur.
Au niveau des pensionnés, les cotisations, même si elles ont déjà augmenté lors de la
dernière négociation du contrat, restent nettement plus avantageuses que le marché
pour les personnes individuelles. Les individus sont captifs de ces assurances.
Changer d’assureur est encore plus problématique et devient inabordable à partir d’un
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 500. -
certain âge. Les assureurs fixent les prix sur la base des facteurs risques. Ils ne sont
pas des mécènes et rompent les contrats lorsqu’ils constatent qu’ils sont déficitaires.
Les Autorités tiendront les organisations syndicales informées de l’évolution de ce
dossier.
Dont acte.
25.01
VI.6. De l’organigramme du Département des Infrastructures
Lors de la journée d’accueil des nouveaux engagés, un organigramme du Département
des Infrastructures a été présenté, indique M. MARICQ. Il n’était cependant pas passé
préalablement au Conseil d’Entreprise pour information, alors même qu’il avait été
demandé que la hiérarchie soit définie pour chaque fonction.
Sur le terrain,
l’organisation n’est pas claire. L’organigramme reprend en outre une case « Ressources
humaines et gestion administrative » qui pose question.
M. le PRESIDENT indique que cette demande est enregistrée.
Dont acte.
*
La séance est levée. Il est 10 heures 05.
*
*
*
Le Secrétaire
du Conseil d’Entreprise
H. MARICQ
Le Président
du Conseil d’Entreprise
J.-L. VANHERWEGHEM
Conseil d’Entreprise n° 25 du 23 mars 2010, page 501. -
Pour mémoire (à l’issue de la séance n° 25 du 23 mars 2010)
N° du pt
Objet
Échéance
Concerne
31.02
Réductions de prestations, absences et interruptions de
carrière. Conséquences sur la carrière pour le corps
scientifique. Réponses de l’Administration des pensions
Selon les
informations
disponibles
D.R.H.
15.03
Information sur les poursuites judiciaires dans le cadre
Selon les
des dégradations commises sur le Campus du Solbosch au informations
mois d’avril 2009
disponibles
M. le
PRESIDENT
17.01
De l’organisation des informaticiens dans le cadre du
projet SMILEY
Périodiquement
à dater de
septembre 2009
M.
THIEBAUT
18.03
Traduction en anglais des documents sur le nouveau site
Web de l’Université
Selon les
informations
disponibles
M. le
RECTEUR
21.01
Organisation du Service de la Surveillance générale suite à Selon les
l’obtention de l’agrément ministériel
informations
disponibles
M. MAHIEU
21.03
Information relative au plan médical de l’Hôpital Erasme
Selon les
informations
disponibles
M. le
PRESIDENT
22.01
Relations entre l’ASPUB et l’Ecole de Sports ASBL dans le
cadre de la nouvelle organisation des activités sportives de
loisir à partir de janvier 2011
Selon les
informations
disponibles
M.
MEDHOUNE
23.02
Bilan du Plan Langues pour le personnel
Avril 2010
D.R.H.
23.03
Examen de la notion de « Chef de Service » et de
Selon les
l’opportunité de rédiger un vade-mecum du Chef de Service informations
disponibles
D.R.H.
23.04
Informations relatives à la carrière des informaticiens et à
ses spécificités par rapport aux agents de niveau 1
Selon les
informations
disponibles
D.R.H.
24.02
Informations sur le détournement de fonds au Service
social étudiants
Décembre 2010
M. le
PRESIDENT
24.05
Mise à jour de l’organigramme du Département des
Infrastructures
Selon les
informations
disponibles
M. MAHIEU
25.01
Assurance hospitalisation : informations relatives à la
renégociation du contrat de l’Université
Selon les
informations
disponibles
M. GOBLET
*
*
*
Téléchargement