CAHIER DE TEXTE 1ERE ES 1

CAHIER DE TEXTE 1ERE ES 1
Date
Séance
Capacités /Attitudes travaillées
Connaissances acquises
A préparer pour la séance suivante
THEME 1 : REPRESENTATION VISUELLE
CHAPITRE 1 : LE FONCTIONNEMENT DE L’ŒIL
PROBLEME : COMMENT LE FONCTIONNEMENT DE L’ŒIL PERMET DE CAPTER DES INFORMATIONS VISUELLES DU MONDE EXTERIEUR ?
Objectif 1 : Comprendre l’organisation de l’œil pour approcher son fonctionnement
09/09
S1 : L’œil : organe
sensible aux
stimulations
lumineuses
I- Recenser, extraire et organiser
l’information
L'œil est l'organe des sens sensible aux stimulations lumineuses.
Chez les Vertébrés, il est constitué de plusieurs enveloppes concentriques entourant un
milieu transparent. La lumière entre dans l'œil par la cornée, puis la pupille, traverse
l’humeur vitrée vient stimuler la rétine. L'iris peut se modifier pour agrandir la pupille et
laisser entrer plus de lumière. Le cristallin peut se bomber grâce aux muscles ciliaires pour
former sur la rétine l'image d'un objet proche ou éloigné. C’est le phénomène
d’accommodation.
La rétine est en continuité avec le nerf optique.
Pour lundi 16/09 :
Finir le tableau
Objectif 2 : Mettre en évidence la structure et le fonctionnement de la rétine
16/09
S2: La naissance du
message nerveux
dans l’œil
I- Recenser, extraire et organiser
l’information
L'œil est l'organe récepteur des stimuli lumineux. Grâce à sa structure, il y a formation
d'images sur la rétine. Cette membrane interne de l'œil comporte des cellules sensibles à la
lumière, appelée photorécepteurs. Stimulés par la lumière, ils sont à l'origine du message
nerveux qui est transmis cerveau par des nerfs.
23/09
S3 : Les propriétés
des
photorécepteurs de
la rétine
I- Recenser, extraire et organiser
l’information
Il existe deux types de cellule photoréceptrices, appelés cônes et bâtonnets.
Les bâtonnets sont extrêmement sensibles à la lumière : ils permettent ainsi la vision sous
faible éclairement. Ils sont principalement localisés en périphérie de la rétine.
Les cônes, responsable de la vision des couleurs sous éclairement normal, sont
particulièrement concentrés en un point central de la rétine appelée fovéa. On distingue
trois types de cônes, sensibles chacun des radiations différentes : rouge, verte et bleue. Ces
différences sont dues à une différence dans les pigments photorécepteurs contenus dans
les cellules.
Pour lundi 30/09 :
Faire l’exercice : L’expérience de
Mariotte
07/10
S4 : Les pigments
rétiniens
I- Recenser, extraire et organiser
l’information
Les pigments des photorécepteurs des cônes, appelés opsine, proviennent de l'expression
de gènes.
L'étude comparée de ces gènes montre que l'Homme partage le caractère de la vision
trichromatique avec certains autres Primates. Cette étude permet de placer l'Homme parmi
les Primates.
Pour lundi 14/10 :
- Faire l’exercice : La tête dans les
étoiles
- Evaluation (chapitre 1)
THEME 1 : REPRESENTATION VISUELLE
CHAPITRE 2 : L’ELABORATION D’UNE PERCEPTION VISUELLE DU MONDE
PROBLEME : COMMENT SE REALISE NOTRE PERCEPTION VISUELLE ?
14/10
Evaluation n°1
S5 : De l’œil au
cerveau :
l’organisation des
voies visuelles
I- Recenser, extraire et organiser
l’information
P- Proposer des hypothèses et les tester
grâce à l’étude de cas cliniques
Le message nerveux visuel généré par la rétine est véhiculé par le nerf optique jusqu'au
cerveau où il aboutit à une zone dénommée cortex au sein de laquelle on distingue diverses
aires spécialisées, dont les aires visuelles.
Pour lundi 04/11 :
- Finir la séance 5

04/11
Fin de la séance S5
Méthodologie : Le
commentaire
rédigé (Partie 1 de
l’épreuve de BAC)
Pour vendredi 15/11 :
- Préparer la séance 6 et répondre au
QCM sur Internet.
Pour vendredi 08/11 :
- Préparer le Commentaire Rédiger
n°1 et le déposer dans mon casier.
Pour lundi 18/11 :
- Evaluation (chapitre 1 et 2)
11/11
Correction de la
séance 6
I- Recenser, extraire et organiser
l’information
Le cortex visuel est composé d’aires visuelles. Ces aires sont spécialisées dans la
reconnaissance des couleurs, ou des mouvements, ou des formes.
A partir des informations perçues par les différentes aires, le cerveau élabore une
perception visuelle unifiée.
L’interprétation d’une image par le cerveau nécessite l’intervention d’autres zones du
cerveau notamment des zones responsables de la mémoire et du langage (exemple de la
lecture).
La plasticité cérébrale est une réorganisation des connexions nerveuses dans le cerveau
c’est un phénomène permanent et naturel.
La vision dépend donc à la fois des propriétés et de l’état des photorécepteurs mais aussi
des particularités cérébrales de chacun. Au cours du temps, certaines connexions peuvent
évoluer et permettre de nouveaux apprentissages. C’est la plasticité cérébrale. Ainsi la
représentation visuelle du monde est propre à chaque individu.
Evaluation n°2
THEME 1 : REPRESENTATION VISUELLE
CHAPITRE 3 : LA CHIMIE DE LA VISION
PROBLEME : DE QUELLES FAÇONS DES ESPECES CHIMIQUES PEUVENT-ELLES ENTRAINER DES TROUBLES DE LA VISION PLUS OU MOINS IMPORTANTS ?
18/11
Séance 7 : LSD :
mode d’action et
dangers associes a
cette substance
I- Recenser, extraire et organiser
l’information
La transmission synaptique
La perception repose sur la transmission de messages nerveux, de nature électrique, entre
neurones, au niveau de synapses, par l’intermédiaire de substances chimiques : les
neurotransmetteurs.
Les perturbations chimiques de la perception
Certaines substances hallucinogènes perturbent la perception visuelle. Leur action est due à
la similitude de leur structure moléculaire avec celle de certains neurotransmetteurs du
cerveau auxquels elles se substituent.
Leur consommation entraîne des troubles du fonctionnement général de l’organisme, une
forte accoutumance ainsi que des « flash-back » imprévisibles.
Pour lundi 02/12 :
Préparer les réponses aux questions
pour être prêts à la rédaction du
commentaire rédigé.
02/12
C - Communiquer et argumenter à l’écrit
et à l’oral sur des questions scientifiques
et de société.
Pour vendredi 06/12 :
BAC BLANC n°1
(Thème 1 : Représentation visuelle)
06/12
BAC BLANC n°1

THEME 2 : NOURRIR L’HUMANITE
CHAPITRE 4 : AGRICULTURE, SANTE ET ENVIRONNEMENT
PROBLEME : COMMENT AMELIORER NOS CULTURES ET CONTINUER A PRODUIRE SUFFISAMMENT DE FAÇON A NOURRIR L’HUMANITE EN PERPETUELLE AUGMENTATION?
09/12
Séance 8 :
L’agrosystème : un
écosystème modifié
I- Recenser, extraire et
organiser l’information
C – Communiquer des
informations dans un
tableau
Dans un écosystème naturel on observe un flux d'énergie, avec une entrée d'énergie solaire lors de la
photosynthèse et une sortie d'énergie par respiration à chaque niveau trophique, ainsi qu'un cycle de la
matière car les ions minéraux sont en permanence recyclés, grâce à l'action des décomposeurs.
Un agrosystème est construit ou modifié par l'Homme afin de prélever une partie de la matière organique
végétale (production primaire) ou animale (production secondaire) qu'il produit. Il est généralement
monospécifique (ce qui entraîne une perte de biodiversité) et permet de fournir des produits nécessaires à
l'humanité : nourriture, matières premières (coton, bois...) ou combustibles (agrocarburants).
16/12
Séance 9 : La
production animale:
une rentabilité
énergétique réduite
I- Recenser, extraire et
organiser l’information
A – Etre conscient de sa
responsabilité en
matière
d’environnement
Dans tout écosystème la biomasse végétale est consommée par des herbivores, eux-mêmes consommés par
des carnivores, etc. D'un niveau trophique au suivant, la plus grande partie de la matière organique (90 %)
est perdue soit parce qu'elle n'est pas consommée, soit parce qu'elle n'est pas assimilée soit surtout parce
qu'elle sert de substrat respiratoire.
Dans un agrosystème, le rendement global de la production par rapport aux consommations de matière et
d'énergie dépend de la place du produit exporté dans la pyramide de productivité. Ainsi, consommer de la
viande (consommation secondaire) a un coût énergétique beaucoup plus élevé que de consommer un
produit végétal (consommation primaire).
Pour 06/01 :
- Finir de rédiger la réponse à la
Séance 9 : La production animale :
une rentabilité énergétique réduite
- Préparer la Séance 10 (exposé oral
en groupe (voir la liste des sujets et
des groupes)
06/01
Séance 10 :
Augmenter la
productivité
C – Communiquer à
l’oral les résultats d’une
recherche.
Dans un agrosystème l'exportation de la récolte constitue un flux sortant de matière d'autant plus important
que la productivité est importante. Il doit être compensé par un flux entrant d'eau et surtout d'ions minéraux
car la matière n'est pas recyclée. Ce flux de matière vient s'ajouter au flux d'énergie qui est lui-même
augmenté par l'activité agricole (carburants et coût énergétique des intrants).
On appelle intrants agricoles les produits apportés aux cultures. Ce sont notamment les semences, les
engrais, qui compensent les pertes d'ions minéraux du sol, et les produits phytosanitaires (ou pesticides), qui
protègent les plantes. Par extension on peut y rajouter tout ce que l'agriculteur doit se procurer comme le
carburant, l'eau d'irrigation, le matériel agricole, les compléments nutritifs des animaux d'élevage, etc.
13/01
Suite séance 10
Préparer séance 11
Séance 11 :
Pratiques agricoles,
santé et
environnement
I- Recenser, extraire et
organiser l’information
A – Etre conscient de sa
responsabilité en
matière
d’environnement
Dans une perspective de développement durable, et pour satisfaire les besoins de l’humanité entière,
l’équilibre entre une alimentation d’origine animale et une alimentation d’origine végétale, est une
dimension à prendre en compte.
Certaines méthodes de culture et d’élevage peuvent nuire à l’environnement ou à la santé des
consommateurs. La prise de conscience de ces problèmes est à l’origine de pratiques intégrant une gestion
agricole durable, avec notamment un usage raisonné des engrais et des pesticides, une production de
meilleur qualité et limitant les nuisances pour l’environnement et la santé.
THEME 2 : NOURRIR L’HUMANITE
CHAPITRE 5 : ASPECTS BIOLOGIQUES DE LA CONSERVATION DES ALIMENTS
PROBLEME : EN QUOI LA MAITRISE DE LA BIOLOGIE DES MICROORGANISMES PERMET LA REDUCTION DES RISQUES ALIMENTAIRES ?
COMMENT LES TECHNIQUES DE CONSERVATION PEUVENT ALLIER PRESERVATION DES ALIMENTS, APPETENCE ALIMENTAIRE ET SANTE ?
20/01
Introduction
Séance 12 :
Conservation et
qualité des aliments
Les microorganismes (bactérie, champignon, protozoaires..) sont des êtres vivants de taille microscopiques
qui peuvent se multiplier dans les aliments et en altérer la qualité gustative ou sanitaire. Dans ce cas, ils sont
dits pathogènes et peuvent entraîner une toxicité pour l’Homme. Certains microorganismes sont utilisés
pour certaines fabrications agroalimentaires. La maîtrise de la prolifération des microorganismes est donc
essentielle dans l’industrie agroalimentaire.
Pour se développer les microorganismes ont besoins d’éléments nutritifs qu’ils trouvent facilement dans les
aliments. Le développement des microorganismes est optimal dans certaines conditions de température,
d’oxygénation, d’humidité et de pH, conditions propres à chaque espèce de microorganisme. La
multiplication des microorganismes peut alors être très rapide. La connaissance des conditions des
microorganismes a permis de mettre au point des techniques limitant leur croissance.
Pour lundi 27/01 :
Evaluation Chapitre 4
Pour lundi 03/02 :
Préparer la séance 12 : Conservation
et qualité des aliments
03/02

27/01
EVALUATION CHAPITRE 4
THEME 3 : FEMININ/MASCULIN
CHAPITRE 6 : COMPRENDRE ET MAITRISER SA SEXUALITE
PROBLEME : COMMENT LA CONNAISSANCE DES FONCTIONS DE REPRODUCTION A6T6ELLE PERMIS DE MAITRISER ET DE FAIRE EVOLUER NOTRE SEXUALITE ?
03/03
Séance 13 :
Sexualité et IST
I - Relier les conseils
d'hygiène, de
dépistage, de
vaccination et
d'utilisation du
préservatif aux modes
de contamination et de
propagation des IST.
Les IST, causes de stérilité, et leur propagation au sein de la population peuvent être évitées par des
comportements individuels adaptés.
Pour lundi 17/03 :
Préparer la séance 14