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au féminin
du 5 au 11 mars 2009
Dans le cadre de la journée de la femme
L'histoire
du 5 au 11 mars
2009
• L’exposition L’histoire au féminin
> samedi 7 et dimanche 8
de 10h à 18h, les autres jours de 16h à 18h,
salle Maria Callas, entrée libre
La journée de la femme
à La Ville-aux-Dames, c’est aussi :
• Une Conférence : « Laure de Surville,
la sœur…d’Honoré de Balzac et la place des femmes
dans la littérature au XIXe siècle » par Edith Marois,
docteure en lettres, auteure d’une thèse
sur la danse au XIXe siècle.
> samedi 7 mars, à 15h, salle Maria Callas, entrée libre
• Un Concert «Choeur de Dames»
avec la soprano Christiane Sansonetti.
> samedi 7 mars, à 20 heures 30, salle Maria Callas,
entrée 5 euros
• Une Soirée «Journée de la femme»
> dimanche 8 mars, 18 heures 30,
salle George Sand, entrée 25 euros
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Exposition réalisé e
à La Ville-aux-Dames
par les archive s
dépa rtementales
d'Indre-et-Loire
Exposition réalisé e
à La Ville-aux-Dames
par les archive s
dépa rtementales
d'Indre-et-Loire
au féminin
du 5 au 11 mars 2009
L’affiche
L'histoire
du 5 au 11
mars 2009
Dans le cadre
de la journée
de la femme
Exposition réalisée
par les Archives
départementales
d'Indre-et-Loire
au féminin
La Ville-aux-Dames
Salle Maria-Callas
Samedi 7 et dimanche 8 de 10h à 18h
les autres jours de 16h à 18h
Entrée libre
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w w w. c v l . f r • Po r t r a i t d ’ O ly m p e d e G o u g e s , d e s s i n d e M a r t i n e L e C o z • I m p r i m é s u r p ap i e r re c y c l é
L'histoire
au féminin
du 5 au 11 mars 2009
L’exposition
L'histoire
Exposition réalisé e
à La Ville-aux-Dames
par les archive s
dépa rtementales
d'Indre-et-Loire
Afin de célébrer de manière originale la journée internationale des femmes,
qui a lieu chaque année le 8 mars, la Délégation départementale aux droits des femmes
et à l’égalité a eu l’initiative de confier aux Archives départementales d’Indre-et-Loire
(Conseil Général d’Indre-et-Loire), la conception d’une exposition consacrée aux femmes.
Elle sera présentée à La Ville-aux-Dames, non seulement pour son nom évocateur,
mais pour le choix unique en France, qui a été fait par cette commune, en 1974,
de donner aux rues uniquement des noms de femmes.
Pourquoi ?
•
latin Villa Dominarum, littéralement domaine des maîtresses (au sens féodal de seigneurs) et
qui désignait le fief de l’abbaye des religieuses de Saint-Loup, situé sur le territoire de l’actuelle
commune et dont Hildegarde fut abbesse en 941.
• Seulement une trentaine de femmes parmi les 90 noms existant actuellement à La Ville-aux-Dames,
ont été retenues dans le cadre de cette exposition. Elles ont été choisies pour le rôle qu’elles ont
joué dans l’émancipation des femmes, dans leur désir de tenir une place équivalente à celle
des hommes dans la société.
• Comme le souligne l’historienne Michelle Perrot, auteure de l’Histoire des femmes.«Parler de
l’histoire des femmes,c’est présenter leur place, leur «condition», leur rôle et leur pouvoir, les formes
de leur action, leur parole mais aussi leur silence, enfin la diversité de leurs représentations».
• De par leur naissance et leur rôle, certaines femmes prirent une «part» du politique, Aliénor
d’Aquitaine (1122-1204) reine de France puis d’Angleterre, d’Anne de Beaujeu (1460-1522),
fille aînée de Louis XI qui assura la régence avant l’avènement de Charles VIII et d’Anne de
Bretagne, deux fois reine.
• Il est temps de sortir l’histoire des femmes de cour du côté réducteur et anecdotique des histoires d’alcôve, le rôle des favorites Agnès Sorel (1420-1449),
Diane de Poitiers (1499-1566), Gabrielle d’Estrées (1570-1599), Louise
de la Vallière (1644-1710) peut être analysé en terme de fonctionnement politique d’une société de Cour.
• Participant aux débats intellectuels du siècle des Lumières au 18e
siècle, Emilie du Châtelet (1706-1749) fut la première femme
française à publier à l’Académie des Sciences la traduction en
français et les commentaires des Principes, traité scientifique
d’Isaac Newton. Sophie Condorcet (1764-1822) a tenu à
Paris à l’hôtel des Monnaies un salon philosophique et a dû
inspirer son mari le philosophe Nicolas Condorcet dans l’ouvrage
qu’il écrivit, intitulé «Sur l’admission des femmes au droit de cité»
(3 juillet 1790).
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Anne de Bretagne
Les femmes dans l’Histoire
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du 5 au 11 mars 2009
L’exposition
L'histoire
Exposition réalisé e
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Les femmes dans l’Histoire (suite)
• Sous la Révolution Olympe de Gouges (1748-1793) auteur de nombreux romans et pièces de
théâtre, s’engage politiquement en écrivant la Déclaration des droits de la femme et de la
citoyenne (septembre 1791). Elle y affirme que «la femme naît et demeure égale en droits» et
doit participer en tant que citoyenne à la vie politique et au suffrage universel.
• Si George Sand (1804-1876) est aussi connue pour ses œuvres littéraires que pour son
engagement dans la société, qui se souvient de Marguerite Durand (1864-1936) qui fonda le
premier grand journal uniquement rédigé par des femmes, et écrivit : «Le féminisme n’est pas la
lutte contre l’homme, ce n’est pas la bataille des sexes, mais nous ne voulons pas que la femme
représentant une valeur sociale égale à celle de son compagnon en tant qu’ouvrière, soit sa
subordonnée et soit traitée en accessoire par les lois et par les hommes».
• D’autres femmes comme les aviatrices Maryse Bastié (1898-1952), Adrienne Bolland
(1895-1975), Jacqueline Auriol (1917-2000) ont montré qu’elles avaient aussi leur place dans
des secteurs d’habitude réservés aux hommes.
• Certaines ont aussi joué un rôle dans des combats communs pour une société plus juste
comme Raymonde Meunier (1906- 1981), résistante pendant la Seconde Guerre mondiale et
militante dans de nombreuses associations.
• S’il fut un combat plus pacifique, ce fut celui de la conquête du droit de vote et l’élection des
femmes. Il est incarné par Louise Weiss (1893-1983), journaliste et auteur de plusieurs ouvrages
pour l’égalité politique des femmes et Marie–Madeleine Dienesch (1934-1998) professeure de
lettres, première femme députée des Côtes d’Armor en 1946, qui siégea 36 ans à l’Assemblée
nationale jusqu’en 1981.
• Associée à Maria Callas, dont le nom fut donné à la salle qui accueille l’exposition, les
cantatrices Bernadette Delprat (1910-1971), Mado Robin (1918-1960), la violoniste Ginette
Neveu (1919-1949 seront également évoquées.
• Autres voix évoquées, celles des femmes qui pendant 20 ans s’adressèrent à Ménie
Grégoire. Grâce aux archives de ses émissions sur RTL, déposées aux Archives
départementales d’Indre-et-Loire, on pourra réentendre certaines de ses
émissions de radio, et voir quelques exemples des lettres envoyées par
milliers à la journaliste.
• Reines, favorites révolutionnaires, journalistes, artistes, aviatrices,
elles ont mis l’histoire au féminin. Si certains noms appartiennent
à l’histoire de France, d’autres noms sont méconnus. Cette
exposition est aussi l’occasion de leur rendre hommage.
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Baronne Delaroche
• Engagées au service des autres, Jeanne Jugan ( 1792-1879), fondatrice des «Petites sœurs
des Pauvres» vint à Tours vers 1850, fonder une maison d’accueil, Lucie Coutaz (1899-1982),
assistante sociale, soutint, l’abbé Pierre, dans le développement d’Emmaüs de 1943 à 1982.
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La ville des Dames
L'histoire
Exposition réalisé e
à La Ville-aux-Dames
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La Ville
• Commune de l’est tourangeau, La Ville-aux-Dames compte aujourd’hui plus de 5300 habitants
qui résident et vivent sur un territoire du Val de Loire classée au patrimoine mondiale de
l’Humanité par l’Unesco.
• Aux portes de Tours, située entre la Loire et le Cher, la commune bénéficie d’une vraie qualité de
vie grâce à des espaces naturels préservés et à un caractère agri-urbain affirmé.
• Les Gynépolitains disposent également d’un patrimoine historique typique des varennes
ligériennes. Sorte de figure de proue patrimoniale, l’église Notre-Dame, inscrite à l’inventaire des
monuments historiques, sert encore de point de repère dans le bourg. Datant du XVe siècle,
l’édifice s’appuye sur les vestiges de l’église romane édifiée au XIe siècle. Elle se distingue par la
finesse et le style épuré de son portique d’entrée ornée d’une vierge à l’enfant.
• La commune offre également un aspect charmant et unique en France en ce qui concerne
la dénomination des rues. A quelques exceptions, l’ensemble des voies et des édifices
publics porte le nom de femmes célèbres.
L’Histoire
• L’histoire de La Ville-aux-Dames trouve ses racines au Moyen-Age. A cette époque, les terres qui
forment actuellement le territoire de la commune furent concédées en fief aux religieuses de
l’abbaye de femmes de Saint-Loup (commune de Saint-Pierre-des-Corps actuellement).
• Cet espace, embryon de la commune d’aujourd’hui, prit alors le nom de villa dominarum,
c’est-à-dire La Ville-aux-Dames.
• En 1845, l’arrivée du chemin de fer modifia la morphologie de la commune. Les habitants
l’accuillirent avec enthousiasme et crainte. Si celui-ci était un signe de modernité dont les
Gynépolitains furent tous fiers, il coupa malheureusement la commune en deux. Ce fait est ainsi
à l’origine de l’existence d’un secteur nommé «Bourg» (partie nord de la commune) et d’un
autre appelé «Grand village» (partie sud de la commune).
La Ville-aux-Dames et les femmes
• La commune de La Ville-aux-Dames est d’autant plus heureuse
d’accueillir l’exposition «L’histoire au féminin», qu’elle peut s’enorgueillir
depuis 1974 d’avoir une relation intime avec les femmes. Cela fait
aujourd’hui plus de trente ans que les rues rendent hommage
aux noms les plus illustres.
• Qu’elles soient inscrites dans notre mémoire collective comme
Jeanne d’Arc ou Anne de Bretagne, qu’elles soient drapées de
légendes noires comme Catherine de Médicis, qu’elles soient
passées à la postérité pour avoir intimement accompagné les
rois de France comme Madame de Pompadour ou Gabrielle
d’Estrées, qu’elles surent mener leur destin de femme avec une
conscience exceptionnelle comme Louise Weiss, toutes ont
leur place à La Ville-aux-Dames.
• A travers les rues, s’offrent aux visiteurs des rencontres
intéressantes, souvent originales, parfois passionnées mais
toutes uniques.
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Diane de Poitiers
• Au XIXe siècle, les habitants de La Ville-aux-Dames sont connus sous le nom de «caillons»,
sobriquet imaginé autour un fromage de lait caillé que les habitants vendaient à Tours et dans
les environs.
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Droits des femmes et égalité
L'histoire
Exposition réalisé e
à La Ville-aux-Dames
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Dimanche 8 mars
Journée internationale de la femme
• C’est en 1910 à Copenhague, lors de la Conférence internationale des femmes socialistes,
sur l’idée d’une «Journée internationale des femmes» est décidée, sur une proposition de
Clara Zetkin, représentante du Parti Socialiste d’Allemagne.
• La date du 8 mars a été choisie en 1921 par Lénine pour commémorer le jour où en 1917, des
ouvrières de Saint-Petersbourg manifestèrent dans la rue pour demander du pain et le retour des
hommes du Front. Dans les années 1970, le Mouvement de libération de la femme s’empare de
cette date pour la mettre au service du combat des femmes.
• Depuis, cette journée se traduit, à travers le monde, par des débats, colloques, expositions ou
manifestations. C’est en 1982, qu’en France, le gouvernement décide de célébrer officiellement
la journée internationale des femmes, le 8 mars de chaque année.
Historique de la structure gouvernementale
chargée des droits de la femme
• 1974 : un secrétariat d’Etat à la condition féminine, placée auprès du Premier ministre est crée.
C’est Françoise Giroud qui occupera le poste de secrétaire d’Etat qui nommera les premières
déléguées régionales.
• 1978 : après la nomination de Nicole Pasquier, secrétaire d’Etat à l’emploi féminin, placée
auprès du ministère du travail, un ministère délégué à la condition féminine est créé. La ministre
déléguée, Monique Pelletier, nomme les premières chargées de missions départementales.
• 1985 : Yvette Roudy devient ministre des droits de la femme. Pour la première fois, le décret
d’attribution mentionne l’existence de services centraux placés sous son autorité.
• 1986 : les attributions du ministre des droits des femmes sont alors dévolues au ministre des
affaires sociales et de l’emploi ; Hélène Gisserot est nommée déléguée à la condition féminine.
• 1991 et jusqu’à nos jours : le secrétariat d’Etat qui a en charge le droit des femmes est placé
auprès du ministre du travail.
Les services départementaux
des droits des femmes et de l’égalité
Depuis 1978, sous la tutelle du ministère du travail et des affaires sociales, est créé
dans chaque département un Service des droits des femmes et de l’égalité. Ce
service met en œuvre au plan départemental, la politique gouvernementale
à l’égard des femmes, dont les cinq objectifs majeurs ont été définis dans la
Charte de l’égalité entre les hommes et les femmes :
• la parité
• l’égalité professionnelle
• le droit et la dignité
• l’ articulation des temps de vie
• l’information et la communication
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Mado Robin
• Aujourd’hui, ce secrétariat d’Etat s’intitule «chargé de la solidarité» ; ce poste est occupé par
Valérie Létard.
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Quelques repères
L'histoire
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Chronologie de la lutte pour l’égalité
homme/femme en France
• 1861 : Julie Daubié est la première femme autorisée à se présenter au baccalauréat
• 1900 : La loi du 1er décembre ouvre le Barreau aux femmes :
Jeanne Chauvin devient la première femme avocate.
• 1901 : Clémence Royer est la première femme à recevoir la Légion d’Honneur pour ses travaux scientifiques.
• 1920 : Une femme mariée peut adhérer à un syndicat sans en demander l’autorisation à son mari.
• 1928 : Obtention du congé de maternité, à plein salaire, de 2 mois dans la fonction publique.
• 1936 : Trois femmes sont nommées dans le gouvernement de Léon Blum.
• 1944 : L’ordonnance du 21 Avril 1944 accorde le droit de vote aux femmes françaises
• 1945 : La loi sur le congé maternité indemnisé est promulguée (obligation d’indemnisation
à 50% 2 semaines avant l’accouchement et 6 semaines après l’accouchement).
• 1946 : Le principe de l’égalité entre les hommes et les femmes
dans tous les domaines est inscrit dans le préambule de la Constitution.
• 1947 : Germaine Poinso-Chapuis est la première femme nommée ministre.
• 1965 : Les femmes peuvent gérer leurs biens propres et exercer une activité professionnelle
sans le consentement de leur mari.
• 1967 : La contraception est autorisée.
• 1970 : Le congé de maternité est indemnisé à 90 %.
• 1972 : L’école Polytechnique devient mixte : huit femmes sont reçues et l’une d’elles
deviendra major de sa promotion.
• 1975 : Légalisation de l’avortement
• 1986 : Circulaire ministérielle favorisant la féminisation des noms de métiers.
• 1989 : Les pouvoirs publics affirment leur volonté de lutter contre les violences faites aux femmes.
• 1992 : Loi contre le harcèlement sexuel.
• 1995 : Création de l’Observatoire de la parité entre les hommes et les femmes qui a un rôle très important
en matière d’intégration des femmes dans les domaines politique, économique et social.
Dernières avancées législatives relatives à la parité
• La loi du 6 juin 2000 favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux
et fonctions électives. Elle contraint les partis politiques à présenter un nombre égal de
femmes et d’hommes pour les régionales et municipales (dans les communes
de 3500 habitants et plus).
• La loi du 23 mars 2006 impose aux branches professionnelles et aux
entreprises de négocier des mesures de suppression des écarts de
rémunération avant la fin de l’année 2010.
• La loi du 4 avril 2006 renforce la prévention et la répression des
violences faites aux femmes et prévoit des mesures relatives à la
prévention et la répression des mutilations sexuelles féminines et
du mariage forcé. L’âge du mariage pour les filles est fixé à 18 ans
(et non plus 15 ans), comme les garçons.
• La loi du 26 février 2008 facilite l’égal accès des femmes et des
hommes au mandat de conseiller général.
• La loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 modifie l’article 1er
de la Constitution, désormais ainsi rédigé : «La loi favorise l’égal
accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions
électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales».
Malgré ces évolutions positives, les femmes demeurent encore peu
présentes dans les fonctions politiques et les postes à responsabilité et
on constate encore de grandes inégalités entre les femmes et les hommes sur le marché du travail tant en termes d’accès à l’emploi, que de
déroulement de carrière ou de conditions salariales.
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Louise de la Vallière
• 2006 : En cas de violence conjugale, c’est le conjoint qui doit quitter le domicile familial (et non plus la victime).
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Informations pratiques
L'histoire
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à La Ville-aux-Dames
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d'Indre-et-Loire
Contacts
• Conseil général d’Indre-et-Loire :
Direction des Archives de Touraine
Luc Forlivesi, directeur des Archives départementales – 02 47 60 88 88
Anne Debal-Morche, chargée de mission pour l’action culturelle – 02 47 80 89 00
• Préfecture d’Indre-et-Loire :
Délégation départementale aux droits des femmes et à l’égalité
Nadine Lorin, déléguée départementale – 02 47 33 10 37
• Mairie de La Ville-aux-Dames :
Sébastien Martin, maire-adjoint chargé de la communication – 02 47 44 36 46
Sandrine Deschamps, service communication – 02 47 44 36 46
Localisation
•
Signature d’Olympe de Gouges
Rue Madeleine Renaud
37700 LA VILLE-AUX-DAMES
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