VÍCTOR
COUSIN
E
THÉODORE
JOUFFROY:
PSICOLOGIA
E
HISTÓRIA
DA
FILOSOFIA1
Ubirajara
Rancan de
Azevedo
Marques
Departamento de
Filosofia
da Faculdade de
Filosofia
e
Ciências
-Unesp, campus de
Marília
A
valorização contínua, teórica
e
institucional
da
história
da
filosofia
na
França,
empreendida por
Victor
Cousin, recebeu, a partir de certo
momento2,
a
contraposição
de ampla maioria da comunidade interessada,
convertendo-se aos poucos em sorte de antimodelo preferencial.
Por outro lado,
além
da
crítica
de materialistas,
ideólogos
e
sensua-
listas -
adversários
de primeira hora da nova
tendência eclético-espiritua-
lista
-, ou de positivistas,
filósofos, psicólogos
e historiadores da
filosofia
- vários
dos quais
então
às voltas com os mesmos problemas e em
busca
de outras
soluções
para
eles
-,
diferenças
no
interior3
da
própria
"escola"
1
Parte
das
pesquisas
em torno do tema
deste
artigo
deveu-se
a bolsa de
estágio
pós-
-doutoral
concedida pela
Fundação
de Amparo à
Pesquisa
do Estado deo Paulo.
2
Um tal momento
poderá
preferencialmente situar-se em 1867, ano de
publicação
do
Rapport
de
Félix
Ravaisson. Cf.
RAVA1SSON,
F. La philosophie en
France
an
XIXe
siè-
cle (1867),
suivie
du rapport sur le
prix Victor Cousin
(Le scepticisme dans
1'antiquité).
Paris: Hachette, 1885; p. 33-4:
"(...) 1'éclectisme
avait
annoncé,
avait
contribué
à en
faire
beaucoup attendre. Dc plus en plus on devait
reconnaítre,
dans
le philosophe qui
avait
fait
naTtre tant
d'esperances,
un orateur auqucl, comme aux orateurs en
général,
s'il
faut
en croire
Aristote,
le vraisemblable, à
défaut
du
vrai,
suffisait. (...) D'autres temps
étaient vénus;
ont
préféré désormais
sous
des formes moins brillantes, s'il le
fallait,
un fond
plus riche, moins de
littérature peut-être,
et plus de doctrine".
3
Cf.
DAMIRON,
Ph.
Essai
sur
Vhisioire
de la philosophie en
France,
au
XIXe siècle.
Paris: Hachette, 1846 (Tome Premier); p.
XII
(...) il y a le plus grand
intérêt
à les ["les
systèmcs
du
passé"] étudier
avec
soin; mais il ne faudrait pas cependant
s'arreter
à cette
étude,
qui est un excellent commencement, mais non le lerme de nos recherches, et qui,
à
proprement parler, si elle donne
1'expérience,
ne
fait
pas la science. La science, en
effet,
ne va pas
sans
quelquc
effort
de
fibre
investigation et de
pensée
personnelle" (a
primeira
edição
é de 1828);
JANET,
Paul. Les
problèmes
du
XIXe siècle.
Paris:
Michel
Levy,
1872 (a primeira
edição
é dc 1867); p. 356:
"L'histoire,
plus
libre,
moins preoc-
cupéc
d'arrivcr à une conclusion dogmatique,
sera
moins
tentée
d'alterer le caractere des
Philosophies 28,
Lisboa,
2006, pp. 165-188
166 Ubirajara Ranean de
Azevedo
Marques
deixam
transparecer que um outro percurso poderia ter sido seguido por
ela, outro papel, presumivelmente menor, ter sido
atribuído
à
história
da
filosofia.
Neste contexto interno, certos textos de
Théodore
Jouffroy
ganham merecido
destaque.
Sem nunca ter sido
crítico sistemático
da
orientação (filosófica,
metodológica, universitária)
praticada por Cousin4, a particularidade de
sua
posição está
justo no fato de ele
quase
o se ter ocupado com o
filão
histórico-filosófico
-
então emblemático
-, mas preferencialmente com o
psicológico.
De qualquer modo, tal como afirma
Jean-Jacques
Goblot:
"(...)
il s'agit de divergences
réelles,
durables et nullement mineures,
bien
qu'elles aient toujours été
três discrètement exprimées.
A
Tintérieur
d'un courant de
pensée,
qui par la suite, se
réduira
à la
rigidité
d'une
oitho-
doxie
scolaire, une telle
diversité mérite assurément
d'etre
soulignée."5
*
No "Prefácio"
à
segunda
edição
de
seus
Fragments philosophiques,
obra que é uma sorte de
exposição "destinée
à donner une
idée
du
systè-
me
général
auquel ils se rapportent"6, Cousin recorda a
crítica adversária,
doctrines; et la philosophic, moins
subordonnée
à 1'histoire,
sera
plus
porléc
à des recher-
ches
nouvelles et approfondies";
SIMON,
J. "Une
revolution
dans
un verre
d'eau"
(1888).
In:
DOUAILLER,
S. La philosophic
saisie
par
Vétat.
Petits
écrits
sur 1'enseigncincnt
philo-
sophique en France (1789/1900) [abreviadamente:
PhÉtat}.
Paris: Aubier, 1988; p. 359-80:
"(...)
je ne
pensais
en aucun
façon
à combattre Cousin. Je voulais rester son
élcve três
res-
pectueux, son admirateur
três
sincere;
j'étais
seulement
résolu
à ne pas
êlre
son
écho.
Je
trouvais
humiliant
de ne pas
être
philosophe quand on
était
professeur dc philosophie".
4
A
crítica
mais direta que Jouffroy faz a Cousin
parece
encontrar-se no
final
de seu "Pre-
fácio"
à
tradução
das
obras
dc Thomas Reid; JOUFFROY, Th. "Preface du traducteur".
In:
REID,
Th.
(Euvres
completes de Thomas
Reid, chef de 1'école écossaise, publiées
par
M.
Th.
Jouffroy,
avec des fragments de M.
Royer-Collard
et une introduction de
Véditeur
[abreviadamente:
Préf.-Reid].
Paris: Saulelct, 1836; p.
exeij:
L'errcur
des philosophes de la
période cartésienne
est excusable, eile
était même
nécessaire,
car il
fallait
toutes ces tentatives pour
dégager
Ia question, pour la
réduire
en ses vrais termes, et pour metlre à nu 1'impossibilite radicale oú est
1'esprit humain de la
résoudre;
mais lorsque cette
impossibilite
a etc
proclamée
par 1'école
écossaise,
lorsqu'elle a été
posée
d'une
manière invincible
et
avec
une admirable
précision
par Kant, on ne
conçoit
plus 1'illusion de la
période
allcmande, et on en est
réduit
à admirer,
sans
concevoir comment eiles ont pu
satisfaire un moment des esprits aussi
éminents,
les
ingénieuses
mais impuissan-
tes
théories
au moyen dcsquelles Fichte, Schelling, Hegel et M. Cousin parmi
nous, ont
pensé
sauver la
connaissance
humaine de 1'incontestable
arrêt
de la
philosophie
critique,
ct dissiper par 1'esprit humain un doute qui, frappant
1'esprit humain
lui-même,
ne saurait jamais ctre
détruit.
5 Cf.
GOBLOT,
J.-J. "Jouffroy et Cousin". In:
FAUQUET,
É. (éd.)
Victor Cousin
homo
theologico-politicus.
Philologie,
philosophie,
histoire
litléraire.
Paris:
Kimé,
1997; p. 81.
6 COUSIN,
V.
"Préface
de la
dcuxième édition
des Fragments philosophiques" [abrevia-
damente:
PrFrPh].
In:
DOUAILLER
S.
(éd.), Philosophie, France, XIXe siècle. Écrits
et
Opuscules [abreviadamente:
PhÉcrOp].
Paris:
Librairie Générale Française,
1994; p. 77.
Victor Cousin e Theodore Jouffroy:
psicologia
e
história
da
filosofia
167
para a qual
esta
tentativao seria mais do que "le
rêve
d'un esprit mala¬
de qui demande à 1'histoire un
système,
faute de pouvoir en produire un
(...)"7-
Decerto,
porém,
que a
inexistência
de um novo sistemao é no
caso
o resultado
obrigatório
da
falta
de
gênio,
pois o ecletismo sempre
supõe
que "la philosophie est toute
faite"8.
A escola
eclética
jamais
plei-
teou
o suposto
benefício
da novidade. Rejeitado de
antemão,
et pour
cau-
se,
ela propunha
tão-só
o rearranjo parcial das
verdades
existentes, ao
mesmo tempo que seu "ineditismo" se resumia a
esta
própria operação.
Dados os
sistemas
historicamente dispostos, o sistema
eclético,
todavia,
pressupõe
ainda outros dois: o que resulta do recolhimento das
"vérités
éparses
dans
les
différents systèmes",
e, portanto, a construir, mas, sobre-
tudo,
"un
système
pour juger tous les
systèmes";
pois, "pour
reconnaítre
que telle
opinion
est vraie ou
fausse,
il faut savoir
soi-même
oü est la
vérité;
il faut donc
être
ou se croire
déjà
en possession de la
vérité.. ."9,
e,
assim, um sistema do qual partir torna-se
exigência inarredável.
Tratada de forma lateral e
ambígüa,
a
questão
da sistematicidade ins-
trumental,
seja a
pressuposta,
seja a proposta, dissolve-se na
intenção
reguladora de um todo
generosamente
harmonioso.
7 Id., ibid.,
p. 119. Conforme os editores
dessa
preciosa
coletânea
-
Stephane
Douailler,
Roger-Pol
Droit
e Patrice Vermeren -,"le
métaphysicien
Daub, de Heidelberg, jugeait le
système
dc
Victor
Cousin 'bon tout au plus pour
amuser
un dimanche un pensionnat de
demoiselles'" (cf. "Eux et nous". In:
DOUAILLER, PhÉcrOp,
p. 5).
8
Eis o trecho completo da
citação:
"La philosophie est toute
faitc,
car la
pensée
dc
l'homme est.
I!
n'y a point et il ne peut y avoir de philosophie absolumment
fausse;
car l'auteur
d'une
pareille philosophie aurait du se placer hors de sa propre
pensée,
c'cst-à-dirc
hors de
1'humanité.
Cette
puissance
n'a été
donnée
à aucun homme"
[COU-
SIN,
Fragments philosophiques (abreviadamente:
FragPh).
Bruxelles: Hauman, 1840;
t.I,
p. 303].
Essa
espécie
de
justificativa
material de todo e qualquer ecletismo
será
mais
tarde retomada por Lachelier, cm carta
dirigida
a Boutroux: "Quant au chemin à suivre,
je
n'en coimais qu'un, que je vous ai indique bien de fois à l'Ecole,
c'est
1'étudc directe,
patiente et docile, des
maítres
grecs,
français
et allemands. (...) La philosophie n'cst
plus une
chose
à inventer, eile est faite, eile est tout
entière
dans
leurs ouvrages, et ce
que chacun de
nous
peut appeler sa philosophie n'cst que sa
manière
de les interpreter"
[cf.
LACHELIER,
J. "Lettre a
Émile
Boutroux (2.10.1868)". In:
Bulletin
de la
Société
française
de Philosophie ("Cenlenaire dc la
natssance
de J. Lachelier" -
"Séance
du 28
Mai
1932"). Paris: Armand
Colin,
1932; p. 130]. Cf.
COUSIN, Leçons
sur la philosophie
de Kant (abreviadamente:
PliKant).
Paris: Ladrange, 1844; p.
III-TV:
"(...)
nous
faisons
profession de n'avoir
aueune
opinion
particulière
cn philosophie, et notre
prétention
est
de
nous
tenir fermement
dans
la grande route oü marche l'humanitc tout
entière,
bien
convaineus que tous les
sentiers
détournés
oü se
laisse
entraíner
le genie
lui-même
n'aboutisscnl qu'a des
précipices. L'originalité
de notre philosophie consisle precise-
ment à ne rechercher
aueune
originalité."
Cf.
DAMIRON, Cours
de philosophie. Paris:
Hachctte, 1831; p.
xvj: "L'éclectisme,
ou en
d'autres
termes
l'esprit de recherche ct
d'examen,
d'imparcialité
et d'exactitude, est
sans
contredit la condition
prcmière
et
indispensable de toute
élude
philosophique".
9 Id.,
PrFrPh,
p. 121.
168 Ubirajara Ranean de
Azevedo
Marques
Os dois "sistemas" em
questão
o constituem
sistemas
no mesmo
sentido das
várias
doutrinas nas quais operam. Com efeito, o "sistema"
pressuposto do qual se parte nunca pode
pôr-se
a
questão
da
própria
ver-
dade,
sob
pena
de sucumbir à autofagia, vendo
então
aniquilar-se a siste-
maticidade que pode pleitear. Sua
função,
preliminarmente
temporária,
confronta
com a imagem do sistema
filosófico
tout court, por
definição
imperecível.
Cousin
propõe,
assim, um instrumento de combate à parcia-
lidade
originária
dos
sistemas
historicamente dados, o qualo pode dis-
por
dos atributos (complementares, de resto) que mais distinguem
estas
"doctrines exclusives"10: a verdade fundada e a
permanência
resultante,
devendo conter,
porém,
justo o atributo que ele deve abolir, ou seja, a
sistematicidade, que,
responsável
pelo desejo de "domination exclusi-
ve""
dos sistemas, é
naqueles
considerada
fanática,
injusta, intolerante12.
Por outro lado, tampouco o "sistema" que resulta
deste
recolhimento de
filosofemas
conterá
a verdade no mesmo sentido das verdades, que,
absorvidas parcialmente, ele
elimina.
A
"verdade verdadeira", por assim dizer,
resultará
das
verdades
par-
ciais
obtidas, retiradas do meio que garante a
cada
uma
esta
espécie
de
domínio virtual
sobre
todas
as outras. A
filosofia
pode e deve chegar à
verdade. O erroo se encontra em seu conceito ou em
suas
doutrinas,
mas na
imposição totalitária
dos
sistemas
ou em sua veracidade exclusi-
vista;
numa palavra, o erro é da parte dos
filósofos
e de sua metodologia
inadequada. Contra ambos, é preciso percorrer o caminho oposto, pro-
pondo a
conjunção
de
todas
as "verdades" pela
supressão
de
cada
uma.
Cousin
o oferece, contudo, uma
argumentação
mais
sólida
que
fundamente o ponto de vista
eclético.
o
sabemos
por que as "verdades"
sejam parciais nem conhecemos a
razão
de sua veracidade interna ou de
sua
íntima
falsidade. Tem-se
então
a imagem de um
quebra-cabeça.
As
peças
queo se encaixarem no conjunto
serão
consideradas "falsas"; as
que se encaixarem, ao
contrário, formarão
o todo "verdadeiro", cujo
desenho,
formalmente pressuposto,
apresentará
um
conteúdo
presumi-
velmente coerente e pleno de sentido
filosófico.
Que a
"tolerância"
- elevada à
condição
de
princípio metodológico
-
seja
preferível,
ora,
este
juízo
vale o mesmo que a
defesa
da unidade para
uma
única
doutrina. Todavia, pela densidade
associada
à
expressão,
o
"argumento da
tolerância"
- se de fato existe um -, resulta "popular",
pois faz do
método eclético
o contraveneno de uma
espécie
de jacobinis-
mo filosófico, lembrança
recente e igualmente repudiada.
10
Id.,
"Préface".
In:
TENNEMANN,
W. G. Manuel de
Vkistoire
de la philosophie [abre-
viadamente:
"Préf.-Tennemann"}.
Paris: Sautelet, 1829; p.
xiij.
11 Id.,
ibid.,
p. xiv.
12
Dizendo, pois, com
Condillac,
o ao "esprit de Systeme" e, sim, ao "esprit
systémati-
que".
Victor Cousin e Theodore Jouffroy: psicologia e
história
da filosofia 169
Pressupondo que a
filosofia
o somente
possa
encontrar a verdade,
como que já a tenha encontrado, diante da multiplicidade de
sistemas
Cousin
está
no extremo oposto em
relação
ao
cético pirrônico,
por exem-
plo.
o é mais preciso continuar a busca, a
sképsis,
pois "la philosophie
est toute
faite".
Todavia, como dar conta
desta
multiplicidade
de verda-
des?
Como alargar o
"espaço-de-verdade"
no qual coubessem
todas
elas,
se nele há
espaço
para uma? Se se optar por uma em detrimento das
demais, o argumento
cético prevalecerá.
Assim,
a
resolução
do problema
o
pode vir da
aceitação
incondicional do
inteiro
conteúdo
das
doutri-
nas, mas da
reavaliação
preliminar
do
"espaço-de-verdade"
que
cada
uma
pretende ocupar exclusivamente.
Solidário
com tal
espaço
é a
noção
de
um
"tempo-de-verdade" absoluto de todo sistema.
O
que faz Cousin, sem
criticar
a possibilidade de a
filosofia
aceder
ao conhecimento, é reformular a
noção
de um
"espaço"
e de um "tempo-
-de-verdade" peculiares à
filosofia,
e, portanto, ao sistema
filosófico
tra-
dicional.
Doravante, o
"espaço-tempo"
do sistema resultante da
avaliação
eclética será,
do ponto de vista
formal,
o exclusivo e absoluto quanto o
era
antes;
mas, do ponto de vista do
conteúdo,
sua verdade se
imporá
naturalmente por ser a
máxima representação
do
saber
humano em todo o
espaço
e em todo o tempo,
enfim
compartilhados. O sistema
filosófico
superior se
tornará então
uma
espécie
de parlamento
democrático,
amplamente representativo do mosaico de doutrinas,
escolas
e
sistemas
filosóficos
existentes. Sua
máxima
representatividade, resultante da
máxima participação possível,
é a garantia de que
será
incondicionalmen-
te aceito13.
Se retornarmos à sistematicidade instrumental prevista pelo ecletis-
mo,
perguntando-nos por sua origem, jamais podendo
provir
de um
determinado sistema, de alguns deles, ou, por
exclusão,
de todos (pois
então
já teria
concluído
a tarefa
antes
mesmo de
começá-la),
a
resposta
será
a de que ela
provém
do
próprio
trabalho de
crítica
e
interpretação
a
que deve dedicar-se o historiador
eclético
(e com ele o
psicólogo
espiri-
tualista).
Atividade,
como se, de gradual e
contínua aquisição,
e,
nesta
medida, de pura e simples
análise,
o por
acaso
o procedimento metodo-
lógico
prescrito por Cousin, em confronto com a
síntese dogmática.
A sis-
tematicidade instrumental
resultará
ainda da
obrigatória referência
ao "sen-
13
Nas palavras de
Damiron:
"L'éclectisme
est
dans
la science une sorte de
régime
consti-
tutionnel
qui, autant
qu'il
est possible, tend à en bannir Parbitraire.
L'égale
admission
de tous les faits
dans
íes
théories scientifíques,
le respect religieux de tous ees faits
dans
leurs circonstances essentielles sont en effet
dans
l'ordre logique deux
grandes
régies
de
vérité,
qui
répondent
et
équivalent
à celles qui
dans
l'ordre social
assurent
à
chacun
l'égalité
et la
liberté
devant la
loi;
de
même
que celles-ci donnent à la
politique
une excellente
direction,
de
même celles-là
mettent la philosophie
dans
une voie pleine
de
sagesse"
(DAMIRON, Cours
de philosophie, ed. cit, p. xv).
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