ERGONOMIE Plan de travail Définitions COUT DE L

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Plan de travail
ERGONOMIE
„
„
„
PLAN DE TRAVAIL
„
Définitions
Plan d’analyse,
Réalisation d’une étude : les outils,
Exemples d’études
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Définitions
„
Ergonomie de conception,
„
Ergonomie de correction,
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COUT DE L’ERGONOMIE
3
Définitions
„
Ergonomie physiologique
„
Ergonomie cognitive
„
Ergonomie organisationnelle
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2
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4
ANALYSE DU FONCTIONNEMENT DU
SYSTEME HOMME - MACHINE
TACHES / CONTRAINTES/ASTREINTES
MODE OPERATOIRE
ASTREINTE PHYSIOLOGIQUE
ASTREINTE PSYCHOLOGIQUE
5
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6
1
DEFINITIONS
CONTRAINTE : tous les facteurs qui agissent
sur l’homme
ASTREINTE: réaction de l’homme à la
contrainte
ASTREINTE Physio: réaction énergétique,
musculaire et cardiaque dépendant de
l’organisme
ASTREINTE Psy: réaction de contentement ou
de manque d’intérêt mais avec la même réaction
physiologique dans les deux cas
„
„
„
„
Les contraintes
„
„
„
„
„
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„
„
„
ADERF Barette, Dufour, Maison
ADERF Barette, Dufour, Maison
C. Primaires
Définition
C’est le résultat sur l’organisme, des
contraintes émanant du travail .
La charge de W s’exprime par l’astreinte
physiologique et l’astreinte
psychologique.
9
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1.
Physiologiques
1.
2.
Interface
3.
4.
Espace
5.
6.
HOMME
7.
Environnement
10
Les astreintes
C. Secondaires
Tâche
(phys.et cognitive)
8
La charge de W
Revient à analyser le sentiment subjectif
dans la réalisation de la tâche
Productivité
Accidentologie
Taux d’erreur
Les contraintes
Logement, vie familiale,
transports, loisirs etc
7
ASTREINTE PSYCHOLOGIQUE
„
Facteurs d’ambiance
Tâche
« Ambiance
socioprofessionnelle ou
psychosociale »
Secondaires
„
MODE OPERATOIRE: comment l’homme se débrouille
pour éxecuter la tâche
„
Primaires
Vie sociale
Fréquence cardiaque (+ utilisée)
Consommation d’O²
Activité myoélectrique
Acuité visuelle:
expérience double tâche
Acuité auditive
perception contraste,
stratégie mouvements oculaires
Diminution performance (tâches de vigilance; mesure d’un temps de
réaction)
Analyse vectorielle et angulaire
L’interprétation des astreintes dépend de l’analyse des contraintes
2.
Psychologiques
Temps
Entreprise
(d’après B.Kapitaniak,Masson
1999)
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11
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12
2
Autre mode d’évaluation de la
charge de W :
Les astreintes
Psychologiques
2.
¾
¾
¾
¾
¾
Réponses à des questionnaires
Pénibilité
Peur / risque/ déni du risque/ culture de métier
Perception des ambiances (ex températures)
Idée que se fait l’opérateur de son propre travail
¾
¾
¾
¾
¾
¾
valeur du travail : économique, sociale
Rapports opérateur/poste
Contexte économique de l’entreprise
Statut social
Communication/coopération
Initiative?
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13
„
Productivité
„
Accidents
„
Erreurs
„
Rebus
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14
TACHE PRESCRITE versus TACHE REELLE
„
„
„
MODE OPERATOIRE
Le but à atteindre et les conditions dans lesquelles il doit
être atteint. ( certaines propositions ne servent à rien) 30%
d'illettrés
L’activité (mode opératoire) est ce qui est mis en oeuvre
par le sujet pour exécuter la tâche (façon dont il se
débrouille pour faire la tâche).
Dans certains cas, on parle de tâche effective ( ce que
l’opérateur pense avoir à faire est parfois différent de la
tâche prescrite)
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MODE OPERATOIRE AUTONOME
„
15
REGLES ETABLIES PAR L’OPERATEUR
DONT LA TÂCHE EST LE BUT.
„ L’opérateur fixe les règles pour aller au
but
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MODE OPERATOIRE
16
MODE OPERATOIRE
MODE OPERATOIRE HETERONOME
On définit le but, les conditions, les procédures.
1.
2.
.
3.
4.
Aucune liberté de l’opérateur
Ex: poste dans l’aciérie (3000 à 3500°)----> procédures de
sécurité infranchissables. Travail à la chaîne.
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5.
6.
17
Niveaux de discrétion
Niveaux de marge de liberté que possède l’opérateur (libre
dans l’exécution et pas la conception).
Plus le mode opératoire est libre, mieux il est accepté.
La chaîne est très mal acceptée mais la fiabilité y est
importante.
Cela ne marche qu’avec des gens sans formation.
Eléments d’analyse du travail sont essentiels
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18
3
CRITERES ERGONOMIQUES CONCERNANT
L’INTERFACE HOMME-MACHINE
VALEURS DU TRAVAIL
„
„
„
„
Economique: permettant d’accroître
l’efficacité de l’entreprise
Subjective: permettant une
valorisation de l’individu (salaire,
avantages, privilèges)
„
„
„
„
„
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19
RAPPORTS ENTRE L’OPERATEUR
ET SON POSTE
„
„
„
„
„
„
„
„
APTITUDE A LA TACHE
TRANSPARENCE
TRAVAIL EN EQUIPE
TRAVAIL EN CONTEXTE D’EQUIPE
ASSURANCE DE LA MAITRISE DU SYSTEME
CONFORMITE AUX ATTENTES DE
L’OPERATEUR
TOLERANCE AUX ERREURS
FLEXIBILITE (manutention lourde ou légère) ou
faire tourner les opérateurs
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Compatibilité: entre homme et machine
Guidage de la tâche : explication claire
Homogénéité: homogène par rapport à la
perception
Souplesse: adaptabilité individuelle
Controle explicite: par l’opérateur
Gestion des erreurs: tolérance
Concision
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La Machine
„
„
„
„
„
„
21
20
Peut recevoir,mémoriser et intégrer les
informations,
Fonctionne à grande vitesse,
Plus précise que l’homme,
Forces plus élevées,
Plus grande souplesse,
Adaptée aux tâches répétitives et aux
actions simultanées
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22
INTERFACE HOMME-MACHINE
„
„
Adaptée à l’homme,
Répond
„
„
„
ANALYSE DE LA TACHE
aux facultés humaines,
au mode de fonctionnement de l’homme,
Caractérisée par
„
„
Les signaux (signalétique)
Les commandes (action de l’homme sur la
machine)
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•L'analyse du travail va réaliser :
•une "photographie" de la situation de travail
•dans son ensemble, à partir de l'identification des 4 entités
23
4
Les 4 grandes entités de l'analyse
„
„
„
„
Les 4 grandes entités de l'analyse
- Opérateur (s)
- Tâche (s) que l'opérateur effectue.
- Activité (s) mise en oeuvre pour effectuer
une tâche.
- Contexte (s) dans lequel l'opérateur et sa
tâche vont évoluer.
L'analyse du travail comme une analyse des 4 entités :Opérateur, Tâche, Activité, Contexte
(© Nicole Lompré)
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25
„
„
„
L'organigramme de l'organisation,
Délimiter le système Hommes-Machines qui fera
l'objet de l'analyse
Niveau de pertinence
Délimiter le système permet:
„
„
„
„
de faire apparaître ses objectifs et ses grandes fonctions,
lister les différentes fonctions,
décrire les opérations sous forme de schémas ou
d'organigrammes,
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„
„
„
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28
LES OUTILS
Un système est toujours le soussystème d'un système plus vaste :
- un outil au sein d'un poste de travail
- un poste au sein d'un service ou d'un
atelier
- le service ou l'atelier au sein d'une
entreprise ou d'une administration
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"Un système homme-machine est une
organisation dont les composantes sont
des hommes et des machines, reliés
par un réseau de communication et
travaillant ensemble pour atteindre un
but commun (Kennedy, 1962), compte
tenu des contraintes d'un
environnement donné (JC Spérandio,
1984)".
27
SYSTEME HOMMEMACHINE
„
26
SYSTEME HOMMEMACHINE
Méthode Analyse du travail
„
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29
„
„
„
„
„
LA PHOTOGRAPHIE,
LA VIDEO,
LA CARDIOFREQUENCEMETRIE
L’EMG
AUTRES
„
„
PLAN,
QUESTIONNAIRE
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30
5
EXEMPLE DE PHOTOS
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31
Lingerie
Différents postes
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33
Différents postes
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34
Différents postes
35
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36
6
Analyse biomécanique du travail
„
„
ANALYSE ANGULAIRE
Déterminer
„
Technique d’analyse
„
Réaliser une photographie
„
1- les positions angulaires des principales
articulations lors d’un maintien postural,
„
„
„
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37
Technique d’analyse
„
Montrant le sujet entier,
Réalisé dans le plan sagittal et frontal,
Présentant un élément vertical proche du
sujet,
Montrant les différents appuis et prises du
sujet.
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38
Analyse angulaire
Agrandir la photographie de manière à :
„
„
„
„
Réaliser une silhouette,
Minorer les erreurs de placement,
Porter les différents centres instantanés de
rotation,
Déterminer les différents angles
articulaires
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39
Analyse angulaire
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ADERF Barette, Dufour, Maison
40
Analyse angulaire
41
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42
7
Technique d’analyse
„
Technique d’analyse
„
Comparaison avec les angles normaux
„
Notion de confort articulaire:
„
„
„
„
Plus petite contrainte articulaire,
Meilleure position de repos,
Situation permettant le geste le plus performant
tant en force qu’en vitesse,
Position permettent la liberté la plus ouverte
dans l’espace
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„
„
43
ANALYSE BIOMECANIQUE
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„
„
Technique d’analyse
„
Permet d’approcher grâce aux calculs les
comportements des forces, des contraintes
et d’équilibre d’un sujet,
„
„
„
„
„
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45
44
Analyse vectorielle
„
Analyse vectorielle
Déterminer si les forces
sont de type actif ou
passif,
Déterminer les
localisations possibles des
mobilités,
Rechercher les
complémentarités
angulaires-----> vidéo
Localisation des centres de masse (Dempster),
Calcul des barycentres
Position de la verticale du G par rapport à la base
de sustentation,
Répartition des appuis à partir de la détermination
du G du sujet,
Déterminer les CIR,
Déterminer la direction du muscle équivalent,
Calcul de la charge sur l’articulation.
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46
Différentes décompositions
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47
ADERF Barette, Dufour, Maison
48
8
ANALYSE VECTORIELLE
ADERF Barette, Dufour, Maison
ANALYSE VECTORIELLE
49
ANALYSE VECTORIELLE
ADERF Barette, Dufour, Maison
50
EXEMPLES
F
d
O
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51
EXEMPLES
I G
D P'
ADERF Barette, Dufour, Maison
52
EXEMPLES
R = 17,4%
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53
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54
9
Maintien de la posture
fonction
LES VIDEOS
effort
Visco-élastique
Plastique
ADERF Barette, Dufour, Maison
55
„
„
Mesure des temps de maintien,
Fréquence des répétitions de la position,
CONTEXTUALISER L’ACTIVITE ET LES
PRISES DE MESURE
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Etude de l’activité cardiaque lors de l’activité
physique ou mentale en analyse du travail.
57
Valeurs et variations de la fréquence
cardiaque
„
Fréquence de repos
„
„
„
Fréquence cardiaque et posture
„
Variable d’un individu à l’autre
Présente un rythme cicardien (< à 15
bts/mn durant le sommeil)
Augmente avec la prise de repas, le café
„
„
FC est sup en position assise que
couchée,
Changement de position modifie la FC
L’environnement modifie la FC:
„
„
„
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56
Le cœur au travail
Maintien de la posture
„
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59
La chaleur,
Le bruit,
Le stress.
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60
10
Fréquence cardiaque et variable
humaine
Fréquence cardiaque (FC)
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61
Fréquence cardiaque et travail physique
„
Travail dynamique (léger ou lourd), on
a:
„
„
„
„
Vs et FC qui augmentent,
Débit 35l/ mn au lieu de 5l/mn,
Relations entre fréquence cardiaque et
débit cardiaque, débit cardiaque et
consommation d’O2,
Consommation d’O2 et FC
ADERF Barette, Dufour, Maison
„
„
„
„
„
„
„
se
d’o
xy
gè
ne
ve
ine
u
ADERF Barette, Dufour, Maison
„
„
Manipulateur radio
„
„
„
„
Chaleur,
Bruit,
Activité psycho-sensorielle.
ADERF Barette, Dufour, Maison
Test ancien,
Étudiant la récupération cardiaque
Facilement utilisable,
« cardiofréquencemétrie du pauvre »,
Limites de la cardiofréquencemétrie
„
65
64
Le test de Brouha
„
Autres contraintes
„
Travail statique (> à 20 % de la force
maximale)
On a : une augmentaton progressive de
la Fc,
Augmentation de la PA
100 à 130 bt /mn
63
Postures incommodes
Changement permanent de postures
Renforcement de l’activité posturale
62
Fréquence cardiaque et travail physique
Contraintes posturales ajoutées
„
„
ADERF Barette, Dufour, Maison
„
Fréquence cardiaque et travail physique
Di
ffé
re n
ce
„
Débit cardiaque Q
rio
-
„
Pouls
d’oxygène
art
é
„
Varie de 50 à 90 bts/mn
Augmente avec l’âge (5 bt:mn entre 25
et 60 ans,
Plus élevée chez la femme que chez
l’homme,
Augmente chez la femme enceinte.
Volume systolique
„
Fréquence cardiaque et Métabolisme
À recontextualiser dans l’activité observée,
ADERF Barette, Dufour, Maison
66
11
Définition de la méthode
Résultats
„
„
„
„
Consiste à prendre le pouls lors de la
récupération qui suit immédiatement l’arrêt de
l’activité,
Pendant les 30 dernières secondes qui
suivent la première minute (P1), la seconde
(P2) et la troisième (P3)
À partir de ces trois résultats, on établit une
courbe de récupération cardiaque:
„
„
Indique la vitesse de récupération,
Validée par les travaux de Harding, Brouha et
Darling
ADERF Barette, Dufour, Maison
„
„
„
„
Différence entre P1 et P3 montre une décélération d’au
moins 10 p/mn ou si P3 est < à 90p/mn,
Absence de réaction si la décélération est inférieure à 10
p/mn entre la première minute et la troisième minute, ou si
P3 est supérieur à 90 p/mn,
Réaction inversée si P3 est supérieure à 90 p/mn et d’au
moins 10 pulsations par minute plus élevées que P1
„
apparaît chez les opérateurs passant de la position assise à debout
après un travail modérée en ambiance chaude et humide, n’existe
pas debout.
ADERF Barette, Dufour, Maison
TRAVAIL
P3
Très dur
110
Dur
100
Moyen
90
Léger
80
Très léger
70
69
Mesure de la fréquence cardiaque
Brouha
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La réaction est dite normale lorsque :
„
P1
„
P2
„
„
P3
1
2
3
71
70
TEST DE BROUHA
„
ADERF Barette, Dufour, Maison
68
Classification de la pénibilité du
travail à partir de P3
Si valeur moyenne du premier pouls de
récupération ne dépasse pas 110 p/mn,
Si décélération entre P1 et P3 est d’au moins
10 p/mn,
On n’observe pas d’augmentation de la
charge cardio-vasculaire au cours de la
journée à condition de respecter les plages
de travail et de repos
ADERF Barette, Dufour, Maison
„
„
67
Normes établies par Brouha
„
Réaction dite normale si:
Diff. Entre P1 et P 3 montre une décélération d’au
moins 10 pulsations et P3< 90
Absence de réaction lorsque décélération
cardiaque est inf. à 10p et P3 est > 90p/mn,
Réaction inverse : P3>90p et >10p que P1
On prend le pouls pendant les 30 dernières
secondes des P1, P2, P3 suivant l’arrêt
d’activité.
ADERF Barette, Dufour, Maison
72
12
TEST DE BROUHA
Coût cardiaque
110< P1 >110
„
90<P3>90
„
Le coût cardiaque correspond à la
somme des pulsations au-dessus du
niveau de repos, rapportée à la période
de travail considérée,
Exprimée en battement par minute.
10> P1-P3<10
CRITERE RESPECTE
CRITERE NON RESPECTE
ADERF Barette, Dufour, Maison
73
ADERF Barette, Dufour, Maison
Valeurs limites des coûts cardiaques
Définitions
Principale contrainte
„
„
„
„
74
FC max = 220 – âge
CC max = FC max- FC repos
CCr (%) = CC/CCmax x 100
Le CCr moyen observé pendant une
journée ne doit pas dépasser 30 % du
maximum.
ADERF Barette, Dufour, Maison
75
Dynamique
Statique
Stress
Valeurs
valeurs
Moyenne
Pic
35
Non applicable
20
50
25
50
ADERF Barette, Dufour, Maison
76
Evaluation de la charge de travail
Classifica
tion de
l'astreinte
cardiaque
continu 8
heures
classe
occasonniel <
30 mn
FC
CCr /
%
CC
FC
CCr /
%
CC
repos
80
0
0
80
0
0
faible
100
20
20
110
30
30
modér
é
115
35
30
130
50
50
élevé
130
50
45
150
70
65
très
élevé
150
70
60
170
90
75
ADERF Barette, Dufour, Maison
77
Fréquence ADERF
cardiaque
et stress
Barette, Dufour, Maison
78
13
FC et activités
professionnelles
Cardiofréquencemètre
ADERF Barette, Dufour, Maison
79
ADERF Barette, Dufour, Maison
80
CARDIOFREQUENCEMETRIE
Utilisation des données FC.
OP20FXAMNEIGE
FK OP2 AV MECA
160
OP20FXAMNEIGE
accrochage plateau
FK / AVION NON MECANISE
OP 16
140
FC + 40
8%
120
FC+30
16%
30<FC<40
18%
FC + 40
66%
30<FC<40
FC + 40
FC + 30
30<FC<40
FC + 40
FC+30
79%
100
FC
30<FC<40
13%
FC+30
80
60
Poussée plateau
Poussée palette
40
Poussée plateau
20
0
1
24 47 70 93 116 139 162 185 208 231 254 277 300 323 346 369 392 415 438 461 484 507 530 553 576 599 622 645 668 691 714 737 760 783 806 829 852
TEMPS
ADERF Barette, Dufour, Maison
81
CARDIOFREQUENCEMETRIE
ADERF Barette, Dufour, Maison
82
ADERF Barette, Dufour, Maison
84
EMG
Eclatement palette poissons par 2 opérateurs sur une même activité
avec une stratégie différente (prise d’information = 1 heure).
OP8ET9H2
160
140
120
100
80
60
OP8
OP9
40
20
OP8
622
649
676
703
514
541
568
ADERF Barette, Dufour, Maison
595
379
406
433
460
487
271
298
325
352
136
163
190
217
244
1
28
55
82
109
0
83
14
EMG
EMG
ADERF Barette, Dufour, Maison
85
AUTRES INFORMATIONS
86
Différentes charges évaluées
PLAN DES
LOCAUX
Répartition des poids de sacs
Poids des sacs en Kg
„
ADERF Barette, Dufour, Maison
40-45 :
6
35-40 :
6
30-35 :
6
25-30 :
9
Série1
20-25 :
16
15-20 :
14
10-15 :
18
5-10 :
18
0-5 :
10
0
5
10
15
20
Nombre de sacs dans chaque classe.
Poids sac moyen : 19,30 kg
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87
ADERF Barette, Dufour, Maison
88
15
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