
1939 -1945 Plan Marshall
Durant les 30 glorieuses, l’Etat lance pleins de gros projet comme le nucléaire avec EDF, les missions
spatiales Arianes etc…
1929 - Krach boursier
Dans les années 20, tout va bien, surtout à Wall Street, car c’est le décollage industriel des Etats-Unis à la fin
de la 1ere guerre mondiale. Donc les actions des entreprises montent donc l’actionnaire est content. Par
contre celui qui n’est pas actionnaire n’est pas content, donc celui qui n’est pas actionnaire décide de
devenir actionnaire lui-même. Plus il y a de gens qui veulent devenir actionnaires, plus la demande d’action
augment, plus l’offre de vente diminue. Donc l’action monte encore plus ! Au bout d’un certains temps, les
américains se disent, au lieu de placer 1000€, je les claque et j’emprunte 10000€ à la banque et je les place.
En dépensant 1000€, les entreprises vont mieux et donc les actions placés vont encore mieux ! Donc la
bourse augmente encore plus vite que prévu !
Un produit financier est un multiple de ce qu’il rapporte. Même si on achète qqch à 100€ par ex et que ca en
vaut 20€, ca vaut le coup d’acheter à 100€ si ca continue à monter. Les actions sont surévalués, mais un
jour, la FED a monté ses taux d’intérêt et sont passé de 4% à 6%. Au total ce n’est pas très grave mais ca a
plutôt un effet négatif. Ce qui s’est passé, c’est que les acheteurs ont pensé « aujourd’hui il ne fait pas
beau » et les acheteurs n’ont pas acheté. S’il y a plus de vendeurs que d’acheteur, alors il y a une baisse des
cours. Et là ce qui se passe, tout le monde constate que les courbes baissent. Les gens décident donc de
vendre car ils comprennent qu’ils sont arrivés au sommet de la courbe. Là encore, il n’y a pratiquement pas
d’ordre d’achat, et que des ordres de vente. Et là c’est le Krach boursier. Le lendemain, il y a une masse
colossale de vente et pratiquement pas d’achat. Ce qui fait un Krach, ce n’est pas la baisse des courbes, c’est
que dans un Krach, on ne peut pas vendre même à un prix bas. Et là les cours tombent à 2$. Et là, le
banquier téléphone, « tu sais les 10 000$ que je t’ai prêté, bin faut me les rendre. Mais ca ne presse pas,
disons 17h. »
Dans un krach, l’actionnaire est ruiné mais le banquier aussi est ruiné ! Et si une banque perd son capitale,
elle fait faillite car elle n’a plus l’argent de ceux qui l’ont déposé. Et là Joe est content ! Il invite toute sa
famille à un repas et va à la banque chercher ses 100 000€, la garde nationale lui dit, non tu n’entre pas la
banque a fait faillite. Les gens se retrouvent avec ce qu’ils ont dans leur poche.
Et là, les entreprises aussi ont plus d’argent, ils ne peuvent pas rembourser les fournisseurs, donc les
entreprises font faillite et les fournisseurs aussi. Et les ouvriers se retrouvent tous à la rue. Il y a 1 millions de
personnes qui se retrouvent à la rue. Et là tous les américains ont peur, donc tout le monde épargne. Et les
gens commencent à reporter leurs achats et donc les industriels se retrouvent avec des stocks et donc ils
licencient donc ce n’est pas 1 millions de gens à la rue mais 2 millions. Donc les gens épargnent encore plus
donc encore plus de licenciement, le chômage augmente etc... On arrive à 3 millions. Plus c’est grave, plus ça
s’aggrave. Et là on rentre en déflation. On a une spirale terrible en 1934. Bilan, les banques sont mortes, les
entreprises sont en très mauvaises état, la population ce n’est pas mieux. Et l’Etat est fauché. Les liens
monétaires sont cassés. En 1934, on a 30 millions de SDF, l’économie américaine est bloqué et elle
redémarre pas. Et là arrive Keynes, il est connu pour avoir épousé la femme la plus belle de sa génération. Et
il dit : « Vous avez un diagnostique de la crise que je ne partage pas. » Il dit : « Crise = déséquilibre =
situation pire possible, C’est la pensée libéral ! » Les libéraux pensaient comme ca. Quelque chose
d’instable et au plus bas ne peut que remonter, il faut attendre.