1) suite à une lésion de la moelle cervicale, l'activité locomotrice (marche) de
base est maintenue
2) une lésion de la projection corticospinale altère la capacité de dextérité
manuelle fine
3) la vitesse de la locomotion (marche, course) dépend d'un centre
mésencéphalique
4) lorsqu'on imagine que l'on effectue un mouvement sans l'exécuter, il n'y a pas
d'activation des aires motrices corticales
12) Type k prim Concernant les cellules réceptrices:
1) dans un certain domaine, l'amplitude d'une stimulation tactile cutanée est
représentée par le nombre de potentiels d'action produit par le récepteur
correspondant
2) la concentration d'une molécule peut faire varier le nombre de potentiels
d'action observés dans une cellule réceptrice gustative
3) en réponse aux sons, les cellules ciliées de la cochlée sont dépolarisées
4) en réponse à la lumière, les bâtonnets sont dépolarisés
13) Type K prim Concernant la somatotopie du cortex somesthésique
primaire (S1):
1) Un aveugle lisant couramment le braille présente une augmentation de la
représentation du doigt utilisé dans S1, par rapport à un sujet normal.
2) La représentation de la face dans S1 est située plus médialement que la
représentation de l'épaule.
3) Suite à une amputation d'un doigt, sa représentation dans S1 est diminuée, au
profit de la représentation d'autres doigts.
4) Les cellules d'une même colonne corticale de S1 ont des champs récepteurs
proches les uns des autres sur la surface de la peau.
14) Type A Les thermorécepteurs cutanés:
A. ne signalent que les variations de température.
B. au chaud sont activés lors d'une augmentation de la température.
C. au froid ne signalent des changements de température que dans la direction
d'une diminution de celle-ci.
D. au chaud et au froid ont des domaines de température auxquels ils sont
sensibles qui ne se recouvrent pas.
E. ne s'adaptent pas
15) Type A Concernant les récepteurs cutanés tactiles:
A. Un neurone tactile primaire répond à une déformation de la peau par un
potentiel générateur qui est une dépolarisation.
B. Le potentiel générateur des neurones tactiles primaires est indépendant de
l'amplitude du stimulus.
C. Le potentiel générateur des neurones tactiles résulte d'une modification de la
perméabilité des ions potassium.
D. La réponse d'un neurone tactile primaire est d'amplitude constante quelle que
soit la position du stimulus dans le champ récepteur.
E. les récepteurs tactiles ont une adaptation lente
16) Type A Qu'est-ce qui caractérise les récepteurs cutanés ?
A. Les champs récepteurs cutanés ne se superposent pas
B. L'information douloureuse n'est pas transmise au cortex cérébral
C. On ne peut pas définir de champ récepteur pour les nocicepteurs
D. La transduction au niveau des récepteurs tactiles se fait par une sortie du ion
chlore
E. Il existe une relation entre la taille d'un champ récepteur et les propriétés
d'adaptation du récepteur au toucher correspondant
17) Type K prim Une diminution de la sensation de douleur peut être
obtenue par:
1) Une stimulation des prostaglandines dans la zone lésée
2) Par la libération de bradykinine dans la zone de tissu lésé.
3) Une stimulation de neurones enképhalinergiques dans la région concernée de
la corne dorsale de la moelle épinière.
4) Une stimulation électrique de la matière grise péri-acqueductale.
18) Type K prim Concernant la douleur:
1) La douleur lente et la douleur rapide sont véhiculées par les mêmes fibres
nerveuses.
2) Dans la corne dorsale, une libération d'enképhaline par des interneurones
augmentera la transmission de l'information douloureuse des neurones primaires
aux neurones secondaires.
3) Une stimulation électrique du cortex somesthésique primaire peut entraîner
une réduction de sensation de douleur.
4) On trouve des récepteurs aux opiacées au niveau des neurones nociceptifs
primaires et secondaires.