Dix raisons pour lesquelles vous allez échouer au bac de français

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Dix raisons pour lesquelles vous allez échouer au bac de français
(et dix façons d'y remédier)
Vous êtes candidat au bac de français ? Découvrez dans cet article, les dix
raisons qui peuvent vous faire échouer et les moyens d’y remédier.
1. Vous n’avez pas travaillé pendant l’année :
Peu importe combien de temps il vous reste avant le bac, une seule solution
s’offre à vous :
mettre les bouchées doubles ! Ne cédez pas au découragement,
bien au contraire et donnezvous les moyens de rattraper le temps perdu.
Deux conditions sont néanmoins indispensables pour réussir en si peu de
temps :
-
Organisez-vous pour être efficace ! Si possible engagez un professeur
particulier qualifié qui vous proposera un programme intensif. Sinon suivez
avec assiduité nos envois par mail, regardez nos vidéos et exercez-vous. Le
programme complet dure 12H et peut tout à fait être réalisé sur trois jours !
-
Ne prenez pas sur vos heures de sommeil ! Vous avez besoin d’être en pleine
forme le jour de l’épreuve, ce n’est vraiment pas le moment de veiller.
2. Vous avez des lacunes importantes en français :
Sachez que vous n’êtes pas le seul dans ce cas. S’il vous reste peu de temps,
il ne s’agit pas de vous mettre à niveau partout.
Vous allez au contraire cibler vos manques et réviser uniquement ce qui va
vous servir à l’examen.
Comment savoir ce qui est prioritaire ? Révisez en priorité les outils d’analyse
littéraire listés dans nos modules. Par exemple, vous aurez besoin de savoir
identifier le temps et le mode d’un verbe conjugué.
3. Vous êtes très anxieux et cela vous paralyse pendant les examens :
Votre priorité n°1 doit être d’apprendre à gérer cette anxiété. Le stress lié à
une situation d’examen est normal et peut-être un bon stimulant à condition
qu’il ne vous paralyse pas.
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Si c’est le cas, travaillez votre respiration abdominale, la visualisation positive
et offrez-vous des séances d’auto-hypnose, comme suggéré dans notre article
sur la gestion du stress à l’examen (voir sur le site).
4. Vous n’avez pas de méthode :
C’est la cause la plus fréquente d’échec. Là, pas de secret, il faut vous
exercer. Recommencez les quiz d’entraînement jusqu’à les maîtriser parfaitement
et reportez-vous aux cours en
vidéo si vous ne comprenez pas vos erreurs.
5. Vous ne comprenez pas les textes littéraires que vous lisez :
Il n’est pas nécessaire de connaître tous les mots d’un texte pour le
comprendre. Comme lorsqu’on lit un texte en anglais, vous pouvez déduire le
sens d’un mot inconnu grâce au contexte. Il peut être utile de repérer d’abord
la nature du mot dont il s’agit : nom, verbe, adjectif…
Vous pouvez aussi vous aider des racines étymologiques. En apprendre
quelques-unes peut vous être utile et vous aidera à deviner le sens de
beaucoup de mots nouveaux.
Enfin, si c’est le sens global du texte qui vous échappe, établissez toujours la
situation d’énonciation du texte avant de l’analyser (qui parle à qui ?
Pourquoi ? Dans quel contexte ?) et efforcez-vous de résumer le texte en une
phrase après la lecture.
6. Vous ne savez pas exprimer vos idées :
Il est indispensable de vous faire comprendre de votre correcteur si vous
voulez qu’il valide vos idées. Entraînez-vous et demandez à un ami ou un
parent de relire vos textes en vous disant s’ils ont compris votre propos.
Prenez conscience que le correcteur est un être réel, avec sa fatigue, son
volumineux paquet de copies, … Facilitez-lui la tâche au maximum, il vous en
sera reconnaissant.
Enfin vous trouverez dans nos modules d’entraînement des amorces de
phrases de commentaire que vous pourrez reprendre lors de vos explications.
7. Votre écriture est illisible :
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Le correcteur ne peut évaluer que ce qu’il peut déchiffrer. Soignez vraiment
votre graphie en n’oubliant pas qu’un correcteur ne fera pas forcément l’effort
de deviner un mot illisible.
Si votre écriture, malgré vos efforts, ne s’améliore pas, des séances chez un
graphothérapeute peuvent être bénéfiques.
Enfin, si vous êtes réellement dysgraphique, vous pourrez bénéficier d’un
aménagement lors de l’examen : un tiers-temps ou l’utilisation d’un ordinateur
pourront vous être accordés si votre dossier déposé auprès de la MDPH vous
y donne droit.
8. Vous ne savez pas comment on présente une copie :
La présentation de votre copie fera apparaître l’organisation de votre devoir :
sans cette présentation spécifique votre correcteur peut considérer que vous
ne respectez pas les contraintes de l’exercice et votre note s’en ressentira.
Suivez nos modules d’entraînement pour apprendre à présenter un devoir.
9. Affronter un examinateur à l’oral vous terrorise :
Filmez-vous. Devant votre webcam, exposez pendant dix minutes une
explication de texte. Ecoutez la vidéo et corrigez les défauts de posture,
d’élocution, de contenu…
Vous vous habituerez peu à peu à votre image et vous apprendrez à simuler
l’aisance et l’assurance.
Sachez aussi que les examinateurs sont bienveillants : vous n’avez à craindre
aucune réaction désagréable de leur part. Ils sont bien conscients qu’il s’agit
de votre premier examen et ils feront tout pour vous mettre à l’aise.
10. Vous ne parvenez pas à trouver une motivation pour travailler :
Si c’est votre cas, vous ne parviendrez pas à fournir l’effort important que ces
révisions exigent.
Prenez un papier et établissez la liste des conséquences : d’une mise au
travail sérieuse d’un côté et d’une absence de travail de l’autre. Vous prendrez
ainsi votre décision en toute connaissance de cause.
Réfléchissez aussi à votre orientation : trouver quel métier vous intéresse
peut-être une bonne raison de se mettre au travail.
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