SANTE PUBLIQUE
QCM 1 : Les valeurs prédictives : Afin de diagnostiquer la présence d'une tumeur chez des
patients présentant des douleurs abdominales, on réalise une échographie. Parmi les 400
patients chez lesquels l'échographie était positive, 300 patients présentaient effectivement une
tumeur. Cependant, 75 des 375 patients dont l'échographie était négative présentaient
également une tumeur :
A. La valeur prédictive positive est de 0,8.
B. La valeur prédictive négative est de 0,8.
C. Il y a donc 80 % de chance qu'un patient pour lequel l'échographie est négative ne présente pas
de tumeur.
D. Il y a donc 80% de chance qu'un patient pour lequel l'échographie est positive présente une
tumeur.
E. La valeur prédictive positive dépend de la prévalence mais pas la valeur prédictive négative.
QCM 2 : A propos de l’état de santé en France :
A. Les nouveaux cas par an de cancers du sein en France s'élève à 62 000.
B. Le nombre de nouveaux cas d'AVC par an est de 130 000.
C. Le nombre de nouveaux cas par an de maladies dégénératives est plus élevé que le nombre de
nouveaux cas par an d'infarctus du myocarde.
D. La loi relative à la politique de Santé Publique (mars 2002) a défini des objectifs de santé
quantifiés susceptibles d’être atteints.
E. L’état de santé en France est bon mais les situations sont très différentes entre les hommes et les
femmes.
QCM 3 : A propos de l’état de santé en France :
A. Le suivi des maladies chroniques tel qu’il est prévu dans la loi concerne la description des
pathologies, leur prise en charge mais par leurs répercussions.
B. Entre 20 et 30% des personnes de 18 ans ou plus déclarent, à domicile, des limitations
fonctionnelles.
C. Avec l’avancée en âge, ces limitations deviennent multidimensionnelles associant des problèmes
physiques, sensoriels et cognitifs.
D. La qualité de vie des patients atteints de maladies chroniques est considéré de façon spécifiques.
E. Les taux de décès augmentent pour les accidents (de transports).
QCM 4 : Concernant la santé au travail :
A. La définition des accidents du travail est consignée dans le code pénal.
B. La reconnaissance en maladies professionnelles indemnisables dépend avant tout du régime
social auquel le patient ou le salarié a souscrit.
C. Les deux critères nécessaires pour être reconnu maladies professionnelles indemnisables sont la
présomption d'origine et le délai de prise en charge.
D. Dans le cas où ces critères ne sont pas respectés, le travailleur ne pourra pas être indemnisé.
E. La MPI la plus fréquente est celle répertoriée dans le tableau 57 soit celui concernant les
affections péri-articulaires.
QCM 5 : À propos des risques professionnelles :
A. Le syndrome du canal carpien est secondaire à des gestes d'abduction.
B. Les lésions du rachis lombaire représentent 5,5% des maladies professionnelles indemnisables.
C. Le tableau 42 des maladies professionnelles concerne les pathologies hématologiques.
D. On dénombre plus d'un million de maladies professionnelles indemnisables en 2010.
E. Le stress au travail ou la dépression sont pris en charge par le tableau 35 des maladies
professionnelles indemnisables.
QCM 6 : A propos de la scolarisation de l’enfant handicapé.
A. La MDPH dispose d’une équipe de suivi spécialisée qui détermine le projet personnel de
scolarisation et oriente vers la structure adaptée.
B. La CDAPH (Commission de Droit et Autonomie de la Personne Handicapée délivre une carte
d’invalidité et une allocation d’éducation enfant handicapé.
C. Les structures éducatives se font en milieu ordinaire, en classe d’intégration scolaire, en unité
pédagogique d’intégration ou en section d’enseignement général et professionnel.
D. Les institutions d’éducation motrice et sensorielle font partie des structures médico-éducatives.
E. La scolarisation de l’enfant handicapé à domicile existe et se nomme Service d’Education
Spéciale et de Soins à Domicile (SESSAD).
QCM 7 : Au sujet du handicap :
A. Selon la CIF les structures anatomiques désignent les parties anatomiques du corps tel que les
organes et les membres.
B. Selon la CIF, les limitations d'activités désignent les problèmes qu'une personne handicapée peut
rencontrer en s'impliquant dans une situation de vie réelle.
Au sujet des soins de suite et de réadaptation :
C. Ils ne se font que dans des centres spécialisés.
D. Un des buts de la rééducation est de réduire les déficiences.
E. Le programme de rééducation est réévalué après sa mise en oeuvre pour aboutir à différentes
suite selon l'avancé de la personne handicapée.
QCM 8 : La maîtrise des dépenses de santé est un équilibre entre les 3 « E » qui sont :
A. Efficience.
B. Economie.
C. Equité.
D. Efficacité.
E. Equilibre.
QCM 9 : Concernant les méthodes pour maîtriser les dépenses :
A. Des éducations thérapeutiques sont mises en place dans le but de modifier les comportements de
consommation.
B. Le numerus clausus des professionels de santé est augmenté.
C. L'ONDAM (loi de finance de la sécurité sociale) permet de fixer l'objectif national des dépenses
d'assurance maladie.
D. Il faut inciter la populatiO n à la consommation de médicament générique.
E. Eviter d'utiliser les techniques innovantes car elles sont trop coûteuses.
QCM 10 : A propos des méthodes de régulation des dépenses de santé.
A. La régulation budgétaire fonctionne selon une logique de moyens.
B. La régulation budgétaire fixe un budget à ne pas dépasser et prévoit des sanctions en cas de
dépassement.
C. L'objectif principal de la régulation médicalisée est de diminuer les dépenses inutiles.
D. Pour réguler les dépenses de santé, les dépenses globales sont fixées par l'ONDAM et sont
calculées en fonctions des recettes prévisibles.
E. Les dépenses globales sont calculées selon une logique de besoins et non de moyens.
QCM 11 : La santé dans l'économie nationale :
A. Les dépenses courantes de santé représente l’ensemble des dépenses consenties par la nation
pour couvrir tous les besoins dans le domaine de la santé à l’exception des dépenses en capital.
B. La CSBM (consommation de soins et de bien médicaux) est très élevée mais reste cependant
largement inférieur à 75% des dépenses de santé.
C. La CSBM est en majorité due à la médecine préventive avec une faible part curative.
D. Un des objectifs du système de santé est la prise en charge la plus efficace possible de la santé.
E. Les organismes complémentaires permettent le financement majoritaire du système de santé car
ce système est non solidaire.
QCM 12 : La santé dans l'économie nationale :
A. Le système de comptabilité international est établi par l'OMS.
B. Le système de comptabilité international mesure les dépenses courantes de santé.
C. En 2011, en France les dépenses totales de santé représentaient 11,6% dy PIB, ce qui le place en
2e place derrière les USA.
D. Les ménages participent pour une part de 9,6 % au financement des soins, c'est ce qu'on appelle
le reste à charge (ticket modérateur pour moduler les dépenses de santé des individus).
E. Le Principe de précaution permet la prise en charge la plus efficiente possible de la santé.
QCM 13 : A propos de la santé et de l'environnement :
A. La prise de conscience des effets de l'environnement sur la santé est ancienne.
B. Le premier plan national santé environnement s'étend sur la période 2009/2013.
C. La prise de conscience des risques environnementaux est d'origine plurifactorielle.
D. Le 2ème PNSE se donne pour mission la mise en oeuvre de 68 missions.
E. Les produits de construction, substituant l'amiante, peuvent être à l'origine d'irritations ou de
cancers.
QCM 14 : A propos de la santé et de l'environnement :
A. Nous sommes plus protégés à l'intérieur d'une habitation qu'à l'extérieur.
B. L'alimentation peut subir une contamination biologique par des bactéries comme la salmonelle,
listeria et le toxoplasme.
C. Concernant la qualité des solsn on a affaire à un problème de rémanence, c'est à dire qu'à cause
de la stabilité chimique des polluants, la pollution s'étend a long terme.
D. Le saturnisme infantile est une conséquence d'une intoxication au monoxyde de carbone.
E. Les phénomènes climatiques hors-normes ont des conséquences différentes en fonction des
régions.
QCM 15 : Définition et fonctionnement de la protection sociale :
A. La déclaration universelle des Droits de l'Homme pose dans tout pays le principe d'une
protection sociale pour tous.
B. L'organisation internationnale du travail définie 10 grands risques.
C. Parmi ces risques,on a notamment le chômage qui pèse lourd sur la protection sociale.
D. Concernant le poids de ces risques sur la protection sociale, on remarque un poids plus important
de la santé par rapport à la vieillesse.
E. Un risque social est un évènement plus ou moins prévisible lié à la condition humaine et au
déroulement de la vie qui modifie les besoins des individus.
QCM 16 : Définition et fonctionnement de la protection sociale :
A. Le poids de la protection sociale est en légère diminution dans les dernières décennies.
B. Le financement de la protection sociale en France se fait essentiellement par les impôts.
C. Le taux de prélèvement obligatoire a tendance à se stabiliser.
D. Entre les pays de l'OCDE, la France occupe la 4ème place concernant le pourcentage des
cotisations sociales dans le coût du travail.
E. Tous les risques ont un poids équivalent sur la protection sociale.
QCM 17 : Concernant la loi HPST, on peut dire que :
A. C'est une loi promulguée le 21 juillet 2009.
B. C'est une loi structurelle au niveau de l'organisation et de la coordination. De plus elle est centrée
sur le financement.
C. Elle comprend 4 grands chapitres et 33 articles.
D. Le titre 2 concerne la mise en place d'une autorité unique au niveau régional chargée du pilotage
du système de santé.
E. Elle permet d'associer avec un objectif commun des acteurs et des moyens du secteur privé et
public, on parle de groupement de coopération sanitaire.
QCM 18 : Concernant la loi HPST, on peut dire que :
A. Elle a modifié les missions des établissements de santé.
B. Elle a modifé le fonctionnement des établissements privé de santé.
C. Elle précède le plan hopital et donc la T2A.
D. L'ARS se substitue aux ARH, DRASS, DDASS...
E. L'ARS constitue une tutelle unique pour la ville, l'hôpital et la prise en charge médico-sociale.
QCM 19 : Concernant le systeme hospitalier depuis la loi HPST :
A. La loi HPST met l'accent sur la réflexion éthique de l'accueil et la prise en charge des patients.
B. La politique d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins, le développement de la
gestion des risques date de la loi T2A.
C. Les services privés a but lucratif ne peuvent pas assurer la mise en oeuvre des missions de
service public.
D. Les séjours psychiatriques se font majoritairement dans des établissements publics.
E. La rééducation se fait majoritairement dans le secteur privé.
QCM 20 : A propos du système hospitalier :
A. Les ESPIC ont un statut commercial.
B. Dans les établissements privés, le conseil d'administration est composé du président et des
administrateurs.
C. Le financement des Missions d'intérêt général (MIG) entre dans un cadre fixé par le parlement.
D. Les urgences ont un mode de financement uniquement journalier.
E. Dans les établissements privés, les honoraires des médecins ne sont pas compris dans le prix de
l'acte.
QCM 21 : A propos du droit à la protection de la santé, quelles sont les réponses justes :
A. Le besoin de santé est primaire : il est lié au besoin de vie qui est indissociable de l'être humain.
B. Le besoin de santé est primaire : il implique des droits non opposables.
C. La demande de santé est liée au niveau culturel.
D. Le besoin de santé est lié à l'offre de santé.
E. Le droit à la protection de la santé n'offre pas de prérogative à revendication.
QCM 22 : A propos de l'article L1110-1 du Code de la Santé Publique, quelles sont les
réponses justes :
A. Les usagers du système de santé n'ont pas à développer la prévention.
B. La loi garantit l'égal accès de chaque personne à tous types de soins.
C. Le ministère de la Santé n'a aucun rôle défini dans cette loi.
D. Les professionnels de santé participent à assurer la continuité des soins.
E. Le droit à la protection de la santé doit être mis en oeuvre par tout les moyens pour toutes les
personnes.
QCM 23 : Concernant la CIH 1 :
A. La déficience correspond à la perte de substance ou altération d'une fonction ou d'une structure
psychologique, physiologique ou anatomique.
B. Il existe 9 types de déficiences.
C. La CIH 1 expose le modèle de WOOD avec 9 niveaux qui traitent des déficiences, des
incapacités et des désavantages.
D. La déficience se trouve au niveau d'un acte de la vie quotidienne.
E. L'incapacité se trouve au niveau d'un acte de la vie quotidienne.
QCM 24 : Concernant l'organisation du système de santé.
A. Il existe quatre niveaux de prévention.
B. L'état n'exerce pas de contrôle sur la politique du médicament et sa distribution.
C. La CMU (couverture maladie universelle) a été mise en place en 2000.
D. Le financement du système de santé en France se fait à 25% pas les cotisations sociales.
E. Le système de santé se base sur l'offre et la demande de soin.
QCM 25 : Concernant l'organisation du système de santé.
A. La France se situe au 3ème rang des DTS les plus élevées.
B. L'exercice d'une profession est suffisant pour l'accès au soin dans le système français.
C. Le parlement vote chaque années, les objectifs de dépenses et les réformes.
D. La HAS surveille l'état de santé de la population.
E. Le système français étant peu complexe, il est facile à réformer.
QCM 26 : Concernant le droit à la protection de la santé, quelles sont les réponses exactes :
A. Le droit d'accès à la prévention existe seulement pour les personnes affiliées à une mutuelle.
B. Ce droit fondamental est corollaire du droit à la vie.
C. Ce droit est relatif, contingent et illimité.
D. Ce droit n'engendre des obligations que pour les professionnels de santé.
E. Ce droit fondamental est un "droit-créance".
QCM 27 : Concernant l'organisation du système de santé.
A. Le système de santé Français n'est ni Bismarkien ni Beveridgien.
B. Les services de promotion et d'éducation pour la santé ne font pas partie de l'offre de santé en
France.
C. L'un des objectifs du système de santé est de réduire les risques auxquels est exposée la
population.
D. Les indicateurs de santé ne permettent pas de connaître les besoins d'une population en matière
de santé.
E. Tout patient ne peut pas forcément bénéficier d'une ouverture de droits au système de santé.
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