La Petite Soldate américaine conte sans fée mais avec moralité texte & mise en scène Jean-Michel Rabeux avec Corinne Cicolari & Eram Sobhani entre le 14 et le 17 janvier 2014 en Seine-Saint-Denis contact presse Dorothée Duplan et Flore Guiraud assistées d’Eva Dias 21 rue du Grand Prieuré - 75011 Paris 01 48 06 52 27 [email protected] www.planbey.com www.planbey.com - où vous pouvez télécharger dossier de presse, visuels et extraits sonores La Petite Soldate américaine Conte sans fée mais avec moralité Texte et mise en scène Jean-Michel Rabeux Avec Corinne Cicolari & Eram Sobhani Peintures Bérengère Vallet Musiques Guillaume Bosson Régie générale Denis Arlot Assistanat à la mise en scène (en alternance) Vincent Brunol, Geoffrey Coppini & Elise Lahouassa Durée estimée 50 minutes Production La Compagnie / Avec le soutien de la région Ile-de-France, au titre de la résidence d’écrivain de Jean-Michel Rabeux au lycée Berthelot de Pantin / Créé le 31 mai 2013 au lycée Le Corbusier, Aubervilliers. La Compagnie est subventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication - Drac Ile-de-France. La Compagnie est soutenue par la Région Ile-de-France au titre de la permanence artistique et culturelle et par le Département de la Seine-Saint-Denis. Réprésentations 2013 / 2014 le lundi 18 novembre 2013 à 14h30 et à 19h à la salle Louis Méret - Drancy 16 rue de la République 93 700 M5 Bobigny Pablo Picasso le jeudi 21 novembre 2013 à 10h à la bibliothèque Elsa Triolet - Bobigny 4 rue de l’Union 93 000 M5 Bobigny Pablo Picasso à 14h30 à la maison de quartier Hoche - Pantin Allée Alfred de Musset 93 500 M5 Hoche le lundi 25 novembre 2013 à 10h au collège Doisneau - Clichy-sous-Bois Chemin de la Vieille Montagne 93 390 M3 Gallieni à 14h00 au lycée Hénaff - Bagnolet 55 avenue Raspail 93 170 M3 Gallieni le jeudi 16 janvier 2014 deux représentations - Bondy le mardi 14 janvier 2014 / le vendredi 17 janvier 2014 en Seine-Saint-Denis (option) Dorothée Duplan & Flore Guiraud assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / [email protected] / www.planbey.com P 2 Notes d’intention Conte sans fée mais avec moralité, conte cruel mais avec tendresse. C’est l’histoire d’une petite soldate américaine qui chante très bien les belles chansons américaines. Mais un jour, hop, elle perd sa voix. Elle part à la guerre, et un jour, en faisant les horreurs de la guerre, hop, elle retrouve sa voix. Elle est contente, alors elle chante sans s’arrêter. Mais à trop vouloir chanter, elle est punie par ses victimes, elle est même punie par ses chefs qui la condamnent à mort, non pas parce qu’elle a fait les horreurs que la guerre lui demandait, mais parce qu’elle les a photographiées et que le monde entier les a vues de trop près. Alors elle chante. Hop. Le but c’est que le spectacle soit multiple, simple, profond, gouleyant. Qu’il désaltère les solitudes, qu’il exaspère les sensibilités, qu’il confère de la pensée. Le but c’est qu’il adoucisse les mœurs. Alors on chante. Et quand je dis qu’on chante, on chante. Du jazz, de toutes les sortes, des chansons américaines, arabes, perses, même françaises, même suisses. On joue de la musique, guitare électrique, clarinette, percussions. On danse, on crie, on rit, on pleure, une vraie comédie musicale. Le but c’est un théâtre didactique, mais opéré en douce. Ou comment faire ressentir un propos politique sans même que le spectateur ne repère qu’une question lui est posée. Le but c’est de poser une question magique, une question subliminale, la poser là, sur notre minuscule plateau, la poser dans le corps des acteurs, la poser avec le corps des acteurs, leurs cordes vocales, leur transpiration, leur fragilité, leur humour, leurs douceurs, leur humanité, quoi. Le but c’est que s’adressent aux spectateurs des personnes, des vraies, en chair et en os, pas des virtualités. Que cette chair et ces os les emmènent là où ils n’imaginent même pas que ça existe. Le but c’est que quelqu’un de très proche raconte une histoire plutôt pas très rigolote, et que bizarrement on rigole, une histoire plutôt dure, mais avec une telle douceur qu’on soit saisi de tremblements. Le but c’est de s’adresser à tout le monde, ou plutôt à n’importe qui, ou plutôt, à chacun. Aux spectateurs les plus avertis, aux spectateurs les plus naïfs (ce sont parfois les mêmes), aux non-spectateurs aussi, à des gens qui ne sont jamais venus au théâtre. Le but c’est d’en faire, justement, des spectateurs, et qu’ils s’envolent avec nous sur les ailes du rêve. Qu’ils partagent tous les plaisirs de ce rêve qu’est le théâtre. Le but c’est un théâtre qui peut se jouer partout, dans les théâtres évidemment, mais aussi ailleurs, dans les endroits les plus excentrés, les plus excentriques. Le but c’est qu’ils se disent, étonnés, on n’a pas perdu son temps, mais on ne sait pas pourquoi, parce qu’on avait l’air de le perdre, on est content, mais on ne sait pas pourquoi, parce que ça avait l’air triste. Du théâtre vous dis-je. Jean-Michel Rabeux Dorothée Duplan & Flore Guiraud assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / [email protected] / www.planbey.com P 3 Un conte politique Ce spectacle est né à la lumière de deux autres “formes légères” jouées près de deux cents fois dans toutes sortes de lieux non théâtraux, et destinées à faire venir des personnes qui, parfois, ne savaient même pas que le mot théâtre existait, mais dont les silences, les écoutes, les rires ou les incompréhensions me bouleversaient. J’ai eu envie d’inventer du théâtre pour eux, qui n’en avaient jamais vu ni entendu, mais dont l’attention pendant la représentation, ou les réflexions après, m’obligeaient. Mais à quoi ? À un théâtre qui devait être simple d’accès, mais ne pas reculer d’un pouce devant la complexité humaine, la mienne, la leur, la même, qu’ils vivent évidemment, comme vous et moi. Je voulais un théâtre pour vous, moi, et eux aussi, les écartés du théâtre par les seules et sales raisons de désastre culturel. Le conte a été la porte d’entrée. “Il était une fois une petite soldate américaine…” C’est simple, un conte, et c’est profond, aussi simple, profond et terrifiant qu’un visage de Michel-Ange. C’est cruel, c’est doux, c’est plaisant, ça fait rire, ça fait peur, ça fait pleurer. C’est pour tout le monde, c’est-à-dire aussi pour vous et moi, les intellos du théâtre. Tout y est tout à fait faux, tout y est tout à fait vrai. Ça connaît la dureté, la malignité du réel, mais ça connaît aussi les portes de sortie, les échappées belles. Ce conte, comme tous les contes, aborde l’énigme de l’humain, il en joue, certes, mais il ne la simplifie pas. Les mots sont simples, les références culturelles appartiennent à tout le monde, mais le propos est singulier, puissant, paradoxal. Donc, avec un peu de chance, ça va être vraiment du théâtre. Pour ce projet politique je voulais un sujet politique, qui lui aussi puisse parler à tout le monde, avec la force de l’évidence. Avant d’écrire j’ai tourné longtemps autour de la peine de mort, j’ai été voir chez Hugo, chez Camus, et puis ce conte m’est venu sous la plume, qui en fait parle surtout de guerre, de ses délires banals et terrifiants. Il n’y a pas plus politique, non ? Le décor est simple, mais il y a un décor. Les lumières sont simples mais il y a des lumières, des costumes, des maquillages, des accessoires. Il y a une image. C’est bien l’étymologie du mot théâtre, image, non ? Et il y a de la musique, évidemment, puisque la chanson fait partie de l’histoire. La comédienne est chanteuse et le comédien est chanteur et instrumentiste. C’est un conte, mais pas pour enfants, puisqu’il est politique. Les enfants n’ont que faire du politique, les adultes oui, même quand ils l’ignorent. Le politique, lui, ne les ignore pas. On se mêle de ça, du politique qui se mêle de nous, mais pas dans la généralité, non, non, dans la singularité du conte : une certaine petite soldate, évidemment américaine puisqu’elle chante des chansons américaines, va se livrer au pire. Et va en être punie par le pire. Et elle n’est pas antipathique, elle n’est pas le Mal, un monstre, une monstresse, elle n’est pas quelqu’un d’absolument étranger à nous. On sent bien que cette petite soldate ça peut être nous. Nous, capables du pire. Ou plutôt, écrire avec un point d’interrogation : nous, capables du pire? Car le théâtre ne répond pas, il questionne. Jean-Michel Rabeux Dorothée Duplan & Flore Guiraud assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / [email protected] / www.planbey.com P 4 Extrait Le conteur Il était une fois une petite soldate américaine. Il rit. Une petite soldate américaine. Il rit. Qui aimait beaucoup chanter des chansons, parce que quand elle chantait des chansons elle pouvait faire tout ce qu’elle voulait. Sans penser à rien d’autre que chanter des chansons. Toutes les soldates du monde entier aiment chanter des chansons, mais les soldates américaines, elles, elles les chantent bien. Elles chantent des chansons américaines, et il y en a de très jolies. Elles chantent des chansons françaises aussi, quand elles sont en France. La petite soldate, elle chante un début de chanson française : « J’ai deux amours / Mon pays et Paris / Par eux toujours / Mon coeur est ravi… » Le conteur Ou des chansons allemandes quand elles sont en Allemagne. Ou des chansons italiennes quand elles sont en Italie. La petite soldate, elle chante un début de chanson italienne : « Ti amo, ti volio, ti amo… » Le conteur Ou des chansons anglaises quand elles sont en Angleterre. Ou des chansons espagnoles quand elles sont en Espagne. Ou même des chansons belges quand elles sont en Belgique. La petite soldate, elle chante un début de chanson belge : « Bruxelles ma belle / Je te rejoins bientôt / Aussitôt que Paris me trahit… » Le conteur Mais les soldates américaines ne chantent pas des chansons de là-bas quand elles sont là-bas. La petite soldate chante « Just a Gigolo ». Le conteur Donc elle aimait beaucoup chanter pendant qu’elle faisait son travail de soldate en Amérique. Et les autres soldats aimaient beaucoup l’écouter parce que dès qu’elle commençait à chanter ils dansaient sans même sans rendre compte. Ils lui disaient tu as le rythme dans la peau. Ils dansent tous les deux pendant qu’elle chante. Et puis un beau jour elle perdit sa voix de chant. Stop chant. Bouche grande ouverte. Elle avait beau essayer de pousser sa voix entre ses lèvres en toussant. Elle tousse. De la tirer avec ses doigts en criant. Elle crie. Sa voix ne sortait plus pour chanter. Elle était partie on ne savait pas où. Pour la retrouver elle décida de faire de mieux en mieux son travail de soldate. Elle marcha beaucoup au pas en criant : La petite soldate YES SIR ! Le conteur Elle mit tous les vêtements de soldate qu’elle pouvait mettre. Elle s’entraîna à ramper au sol. À sauter par-dessus les précipices. À boire trop de bière en disant des bêtises. Elle s’entraîna à piloter son tank. À tirer à la mitraillette. Au fusil mitrailleur. Au pistolet mitrailleur. Au bazooka. Et au lance-flammes. Mais sa voix ne marchait toujours pas. Alors elle demanda à aller à la guerre. On l’envoya à la guerre dans le désert d’Arabie. Dans le désert d’Arabie, elle habitait un baraquement en tôle ondulée, elle mangeait des rations lyophilisées, elle portait quatre épaisseurs de vêtements, plus un gilet pare-balles, plus un casque en acier, plus une cagoule sur le visage. Elle avait très chaud, elle avait très soif, parce que dans le désert il fait quarante degré à l’ombre. Et il n’y a pas d’ombre. Elle ne trouvait pas d’arbre pour se mettre à son ombre et faire un somme, alors sous sa peau qui était sous son harnachement, qui était sous le soleil, il faisait quatre-vingt degrés et plus. Il lui pose deux parpaings sur le dos. C’était très dur. Au micro. Quand elle dormait dans le baraquement de tôle ondulée elle rêvait qu’elle dormait à l’ombre d’un chêne du Missouri qui avait poussé par miracle dans le désert. Et ça c’était très bon. Il ôte les deux parpaings. Et puis un beau jour elle tua un prisonnier que les soldats avaient fait… La petite soldate PAN !! Le conteur Et juste après le coup de pistolet qu’elle donna au prisonnier pour lui mettre une balle dans la tête elle retrouva sa voix. La petite soldate chante de nouveau « Just a Gigolo ». Dorothée Duplan & Flore Guiraud assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / [email protected] / www.planbey.com P 5 Biographies Jean-Michel Rabeux À l’origine, je viens de la philosophie, j’ai une licence de philo. Les raisons qui m’ont poussé vers la philosophie sont les mêmes que celles qui m’ont poussé à faire du théâtre : dire non à un état des choses. Mon théâtre, ainsi que le théâtre que j’aime, disent souvent non. Bon, c’est juste dit vite, comme ça. Toutes mes créations, et j’y inclus le montage des textes classiques, toutes sont une recherche en moi pour trouver l’autre, le spectateur, le concitoyen, mon frère, mon ennemi. L’utopie : aller chercher en lui des secrets qui le stupéfient, le mettent en doute sur lui-même et le monde, le rendent plus tolérant, plus amoureux des autres, plus intransigeant contre les Pouvoirs. Bon. C’est dit vite. Mon parcours théâtral, comme on dit, peut se lire de plusieurs façons, l’une d’elles est la volonté de m’associer à des théâtres, sur une longue durée, pour pouvoir acquérir cette liberté de proposer des formes nouvelles devant des publics les plus nombreux et les plus divers possible. J’ai été successivement associé à la Scène nationale des Gémeaux, à Sceaux, puis à celle de Cergy-Pontoise, et pour finir, à celle de Villeneuve d’Ascq, dans la banlieue de Lille. La complicité avec cette maison a été très riche et m’a beaucoup appris sur l’articulation entre création et publics. Je travaille à présent régulièrement et en grande connivence avec la MC93, à Bobigny. Ce n’est pas totalement un hasard si toutes ces maisons se trouvent en banlieue. Je suis banlieusard, j’aime la banlieue parce qu’elle offre un espace humain où le théâtre me paraît pouvoir servir concrètement à quelque chose, de l’ordre de la réconciliation. Faire battre du sang dans ce tissu urbain, voilà un but ! J’ai une autre très grande et très ancienne complicité avec le Théâtre de la Bastille, dont j’ai d’ailleurs été conseiller artistique pendant deux saisons, et où je joue beaucoup de mes spectacles. Depuis plus de trente ans que je suis metteur en scène et auteur, jamais l’envie de diriger un théâtre ne m’est venue. Je suis plutôt nomade de tempérament. Je n’ai jamais voulu être encombré par la fonction directoriale au détriment de mon travail artistique. Corinne Cicolari Corinne Cicolari est comédienne et musicienne. Au théâtre, elle a principalement travaillé avec Jean-Michel Rabeux : on a pu la voir dans Tentative de Piéta d’après L’Ennemi déclaré de Jean Genet ; Les Enfers Carnavals de Jean-Michel Rabeux; Arlequin poli par l’amour de Marivaux, Le Sang des Atrides d’après Eschyle, Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, Le Corps furieux de Jean-Michel Rabeux, la Nuit Trans Erotic ou encore La Nuit des Rois d’après William Shakespeare. Elle a également joué au Théâtre du Jarnizy sous la direction de Bernard Beuvelot dans les textes de Didier Patard (Fantômas, La Dernière ordonnance et Après la pluie le beau temps), d’Eugène Labiche (La Cagnotte), de Georges Feydeau (Le Dindon) ou encore de Marivaux (Le Legs). Elle joue également dans CRAVE (Manque) de Sarah Kane mis en scène par Sophie Lagier. En musique, elle a interprété plusieurs « tours de chant » créés avec la compagnie Rabeux et a participé au spectacle Carte Blanche à Pierre Grosz au Théâtre du Campagnol. Elle a également travaillé avec Axel Bauer, et a été la chanteuse du groupe Philéas Frog de 1994 à 1999. Au cinéma, elle a travaillé avec Jean-Pierre Marchand et Jean-Pierre Mocky. Elle a créé et monté en 2006 Janis Joplin / Jim Morrison, un tour de chant a capella autour des chansons de Janis Joplin, en tournée cette saison. Elle prépare actuellement avec Bérengère Vallet un spectacle dans lequel dialogueront chant et peinture. Eram Sobhani Eram Sobhani est comédien, metteur en scène, auteur et professeur d’art dramatique. Il se forme à l’Ecole Florent dans les classes de Stéphane Auvray-Nauroy, Jean-Damien Barbin, Christian Croset, Sabine Quiriconi et Michel Fau. Il travaille au théâtre sous la direction de Frédéric Aspisi (Europe Tragedy d’après Ovide et La Bible et Keep your Distance, Festival Tanz Zone), Stéphane Auvray-Nauroy (On purge bébé de Georges Feydeau ; Je suis trop vivant et les larmes sont proches ; Hamlet acte 1), Séverine Chavrier (Chat en Poche de Georges Feydeau), Guillaume Clayssen (Monstres philosophes d’après Diogène Laerce), Xavier Hollebecq (Der Lauf der Dinge), Julien Kosellek (Psyché de Molière et Corneille ; Marion de Lorme de Victor Hugo, Germania Mort à Berlin de Heiner Muller, et La Nuit des Rois de Skakespeare), Cédric Orain (Le Mort de Georges Bataille), Maxime Pecheteau (La nuit de Madame Lucienne de Copi), Philippe Person (Esther de Jean Racine), Jean-Michel Rabeux (Nuit Trans Erotique ; La Nuit des Rois de Shakespeare) ou encore Sylvie Reteuna (Phèdre pauvre folle, d‘après Jean Racine et Eugène Durif ; Blanche-Neige de Robert Walser). Directeur de La nouvelle compagnie, il met en scène Lucrèce Borgia de Victor Hugo (Festival Avignon Off 1998), L’Espèce humaine spectacle interdit d’après Robert Antelme (Etoile du Nord 2006), Alladine et Palomides de Maurice Maeterlinck, Une petite douleur de Harold Pinter (Studio Le Regard du Cygne et Théâtre des Feuillants 2008), Les cent vingt journées de Sodome, extrait, du Marquis de Sade, Les Chants d’Omar Khayyam, Le Roi de La Tour du Grand Horloge de William Butler Yeats, Un Monsieur qui n’aime pas les monologues de Georges Feydeau, Hamlet acte V de William Shakespeare. Il écrit et met en scène La Boue, spectacle jeune public (Centre Curial, 2001), Négatif (Studio de l’Albatros, 2005), Under Stemmen, création en norvégien avec le soutien de la fondation Cultiva Ekspress et de la Ville de Kristiansand. Il écrit par ailleurs deux récits : Les rêves et les jours (2004) et Carnaval (2007). Depuis septembre 2008, il est professeur d’interprétation à l’Ecole Auvray-Nauroy, école de formation de l’acteur qu’il co-dirige depuis septembre 2009 avec Stéphane Auvray-Nauroy. Il est également intervenant professionnel à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense depuis septembre 2012. Prochainement, Eram jouera sous la direction de Cédric Orain dans The Scottish Play – librement inspirée de Macbeth de William Shakespeare. La pièce sera créée le 13 novembre 2013 au Phénix de Valenciennes puis en tournée. Dorothée Duplan & Flore Guiraud assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / [email protected] / www.planbey.com P 6 Spectacles de La Compagnie depuis 2000 2014 Au Bord de Claudine Galea 2013 Les Fureurs d’Ostrowsky de Jean-Michel Rabeux et Gilles Ostrowsky 2013 La Petite Soldate américaine de Jean-Michel Rabeux 2013 R.&J. Tragedy de Jean-Michel Rabeux 2012 Peau d’âne d’après Charles Perrault, de Jean-Michel Rabeux 2012 Les Quatre Jumelles de Copi 2011 La Nuit des rois d’après William Shakespeare 2010 La Nuit des fous d’après La Nuit des rois de William Shakespeare 2010 La Barbe bleue d’après Charles Perrault, de Jean-Michel Rabeux 2009 Le Cauchemar de Jean-Michel Rabeux 2009 Le Corps furieux spectacle sans texte 2008 Onanisme avec troubles nerveux chez deux petites filles d’après le Dr Zambaco (reprise) 2007 Le Songe d’une nuit d’été d’après William Shakespeare 2007 Le Songe de Juliette d’après William Shakespeare mis en scène par Sophie Rousseau 2005 Le Sang des Atrides d’après Eschyle 2005 Emmène-moi au bout du monde de Blaise Cendrars 2004 Feu l’amour avec trois pièces de Georges Feydeau (On purge bébé, Léonie est en avance, Hortense a dit « j’m’en fous ») 2004 Ne te promène donc pas toute nue 2003 Déshabillages (comédie mortelle) 2002 L’homosexuel ou la difficulté de s’exprimer 2001 Arlequin poli par l’amour 2000 Le Labyrinthe de Georges Feydeau de Jean-Michel Rabeux de Copi de Marivaux spectacle sans texte, mis en scène par Jean-Michel Rabeux et Sylvie Reteuna Adaptations 2011 2007 2007 2006 2005 La Nuit des rois Roméo et Juliette Le Songe d’une nuit d’été Le Roi Lear Le Sang des Atrides d’après William Shakespeare d’après William Shakespeare d’après William Shakespeare d’après William Shakespeare d’après L’Orestie d’Eschyle Textes 2013 2013 2012 2009 2003 1997 1996 1995 1991 1988 La Petite Soldate américaine R.&J. Tragedy Peau d’âne Le Cauchemar Déshabillages (comédie mortelle) Nous nous aimons tellement L’Indien Médée Légèrement sanglant L’Éloge de la pornographie Textes publiés 2010 2008 2002 2002 1984 La Barbe bleue Les Nudités des filles Les Charmilles et les morts Le Ventre Déshabillages l’avant-scène théâtre éditions du Rouergue éditions du Rouergue les solitaires intempestifs l’avant-scène théâtre Dorothée Duplan & Flore Guiraud assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / [email protected] / www.planbey.com P 7 Calendrier saison 2013-2014 Octobre 2013 du 10 au 13 oct.EPCC - Le Quai, Angers du 15 au 18 oct. La Comédie de Picardie, Amiens les 18 et 19 oct. La Scène - Musée du Louvre Lens Peau d’âne Les Fureurs d’Ostrowsky La Barbe bleue Novembre 2013 les 18, 21 et 25 nov. Dans plusieurs villes de Seine-Saint-Denis les 21 et 22 nov.Théâtre de Chelles le 26 nov.Théâtre Edwige Feuillère, Vesoul les 27, 28 et 29 nov. Le Théâtre, Saint-Nazaire le 29 nov.Espace culturel du Parc, Drancy La Petite Soldate américaine Peau d’âne Peau d’âne Janis Joplin / Jim Morrison Peau d’âne Décembre 2013 le 3 déc.Théâtre Brétigny les 17 et 18 déc.Théâtres Sorano / Jules Julien, Toulouse Peau d’âne Peau d’âne Janvier 2014 du 7 au 10 janv.Théâtre du Beauvaisis, Beauvais du 14 au 17 janv. Dans plusieurs villes de Seine-Saint-Denis les 16 et 17 janv. Le Rayon vert, Saint-Valéry-en-Caux du 20 au 24 janv. Dans plusieurs villes de Seine-Saint-Denis du 21 au 25 janv. La Ferme du Buisson, Noisiel le 28 janv. Le Radiant-Bellevue, Caluire-et-Cuire le 31 janv. Hirson * les 31 janv. et 1er fév. La Grange Dîmière, Fresnes Peau d’âne La Petite Soldate américaine Peau d’âne La Mère et la jeune fille sans main Peau d’âne Peau d’âne Les Fureurs d’Ostrowsky Peau d’âne Février 2014 les 4 et 5 fév.Communauté de Communes du Plateau Picard * le 6 fév.Tergnier * le 7 fév.Communauté de Communes du Sud-Ouest Amiénois * du 9 au 12 fév. Le Figuier blanc, Argenteuil les 13 et 14 fév.Théâtre du Fil de l’eau, Pantin les 18 et 19 fév. Le Mail, Soissons * le 20 fév.Communauté de Communes du Doullennais * le 21 fév.Territoire de la Picardie Verte * Les Fureurs d’Ostrowsky Les Fureurs d’Ostrowsky Les Fureurs d’Ostrowsky Peau d’âne Les Fureurs d’Ostrowsky Les Fureurs d’Ostrowsky Les Fureurs d’Ostrowsky Les Fureurs d’Ostrowsky Mars 2014 les 20 et 21 mars Le Salmanazar, Epernay le 28 marsThéâtre Victor Hugo, Bagneux du 31 mars au 15 avr. MC93, Bobigny Peau d’âne Les Fureurs d’Ostrowsky Au Bord Avril 2014 le 1er avr. Festival Cornegidouille, Chartres le 4 avr. Maison des Arts et Loisirs, Laon les 10 et 11 avr.Salle Gérard Philippe, Bonneuil-sur-Marne le 15 avr. Le Mail, Soissons le 16 avr. Le Vivat, Armentières du 24 au 26 avr. L’Archipel, Perpignan Peau d’âne Peau d’âne Peau d’âne Peau d’âne Les Fureurs d’Ostrowsky Peau d’âne Mai 2014 les 15 et 16 mai Le Carré, Château-Gontier * en tournée décentralisée avec La Comédie de Picardie Peau d’âne Dorothée Duplan & Flore Guiraud assistées d’Eva Dias / 01 48 06 52 27 / [email protected] / www.planbey.com P 8