Poly d`entrainement de Santé Publique

UE2 - Santé Société Humanité
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Année universitaire 2014-2015
Poly d’entrainement de Santé Publique

UE2 - Santé Société Humanité
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Année universitaire 2014-2015
Table des matières
Cours du Dr Maxime Gignon ...................................................................................... 3
La médecine basée sur les preuves ......................................................................................................3
L’éducation pour la santé ................................................................................................................5
Information, consentement et qualité des soins .........................................................................7
Organisation du système de soins ........................................................................................9
Cours du Pr Olivier Ganry ....................................................................................... 12
Mesure de l’état de santé de la population ........................................................................................12
Interprétation d'une enquête épidémiologique ..............................................................................15

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La médecine basée sur les preuves
QROC 1 : Citez par ordre de pertinence scientifique croissante, les différents types
d’articles, habituellement publiés dans les revues médicales
QROC 2 : Citez deux exemples de données acquises par la science.
QROC 3 : Il existe 7 sources d’informations sur internet, en donner au moins 3.
QCM 1 : Quelles est (sont) la (les) proposition (s) exacte (s) ?
A. La médecine basée sur les preuves consiste à utiliser les meilleures données
scientifiques du moment dans la décision concernant le soin de patient
spécifique.
B. La décision médicale va prendre en compte les données actuelles de la science
mais doit se passer des préférences du patient.
C. La médecine basée sur les preuves n’est pas soumise à des pressions
financières.
D. Le code de la déontologie impose au médecin d’assurer des soins basés sur les
données acquises par la science.
E. Les données acquises par la science ne sont jamais remises en cause.
QCM 2 : Quelles est (sont) la (les) proposition (s) exacte (s) ?
A. La médecine basée sur les preuves permet de rationnaliser la pratique médicale.
B. Les guides de bonnes pratiques peuvent être un frein à l’innovation.
C. Les guides de bonnes pratiques permettent une évaluation critique de
l’information professionnelle.
D. Un désavantage des guides de bonnes pratiques réside dans le fait qu’il donne le
plus souvent priorité aux stratégies les plus coûteuses.
E. La Haute Autorité de Santé (HAS), l’Institut National du Cancer (INCA) ou
l’Agence National de Sécurité du Médicament (ANSM) ont pour mission de
fournir des recommandations dans la prise de décision médicale.
QCM 3 : Les méta-analyses et leurs résultats permettent de mettre au point des grades
de recommandation.
Concernant ces derniers, quelles est (sont) la (les) proposition (s) exacte (s) ?
A. Un grade A correspond à un faible niveau de preuve scientifique.

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B. Les études cas-témoin appartiennent au grade C.
C. Les essais comparatifs randomisés sont exclusivement de grade B.
D. Les études rétrospectives appartiennent au grade A.
E. Aucune des propositions précédentes n’est exacte.
QCM 4 : Par lequel (lesquels) des items suivants le niveau 1 de preuve scientifique
fourni par la littérature peut-il être caractérisé ?
A. Etudes de cohortes.
B. Etudes comparatives avec biais importants.
C. Méta-analyse d’essais comparatifs randomisés.
D. Analyse de décisions fondées sur des études bien menées.
E. Etudes comparatives non-randomisées.
QCM 5 : Quelles est (sont) la (les) proposition (s) exacte (s) ?
A. En médecine, il peut exister une variabilité biopsychosociale d’une personne à
l’autre.
B. La décision médicale prend en compte le contexte clinique.
C. L’adhérence du patient au traitement proposé par le médecin optimise la prise
en charge de la maladie.
D. Les guides de bonnes pratiques permettent une protection des malades.
E. Aucune des propositions précédentes n’est exacte.
QCM 6 : Concernant la méta-analyse, quelles est (sont) la (les) proposition (s) exacte
(s) ?
A. Les résultats ne peuvent être divergents.
B. Elles font la synthèse de plusieurs études.
C. Le risque α est le risque de conclure que des traitements sont différents alors
qu’ils sont équivalents.
D. Le risque β est le risque de conclure que des traitements sont équivalents alors
qu’ils sont différents.
E. Aucune des propositions précédentes n’est exacte.

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Education pour la santé
QROC 1 : Donner un exemple de prévention primaire.
QROC 2 : Donner les 3 objectifs d’éducation pour la santé fixés par l’OMS
QROC 3 : Les programmes d'éducation pour la santé comportent des actions de trois
natures différentes. Lesquelles ?
QROC 4 : Dans une population ciblée, celle des étudiants en médecine, on sait que
seuls 20% pratiquent une activité physique. On souhaite augmenter ce nombre.
Expliquer quelles peuvent-être les mesures mises en place.
QROC 5 : Un patient de 18 ans et possédant un IMC à 34.5 vient vous voir en
consultation. Quelles sont les éléments à renseigner pour une bonne prise en charge de
son obésité ?
QCM 1 : Quelles est (sont) la (les) proposition (s) exacte (s) ?
A. L’éducation pour la santé permet à chacun de promouvoir sa santé et sa qualité
de vie ainsi que celle de la collectivité.
B. L’éducation pour la santé comporte 3 axes éducatifs nécessaires : l’apport de
savoir, l’acquisition de savoir-faire et de savoir-être, la capacité de pouvoir
faire.
C. L’éducation thérapeutique est une action de prévention tertiaire visant de
permettre à un patient de gérer sa pathologie.
D. Les actions d’éducation pour la santé sont partout les mêmes.
E. Les campagnes de communication ont pour objectif de sensibiliser une
population à de grandes causes de santé et de contribuer à modifier
progressivement les représentations et les normes sociales.
QCM 2 : Quelles est (sont) la (les) proposition (s) exacte (s) ?
A. Les acteurs politiques en matière d’éducation pour la santé ont pour rôle de
mettre en place les programmes d’éducation.
B. L’INPES est une instance publique, acteur d’éducation pour la santé.
C. Les instances doivent contribuer à l'information et à l'éducation du public en
matière sanitaire et sociale.
D. Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles,
les collèges et les lycées