Sujet 1. Anesthésie en médecine dentaire 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Le territoire oro-maxillo-facial est délimité par: a) latéralement: un plan qui passe par la marge antérieure du muscle sterno-cléido-mastoïdien, la marge postérieure de l’apophyse mastoïde, entoure le pavillon de l’oreille et puis il passe verticalement par le tragus en s’unissant au plan supérieur. b) supérieurement: par un plan horizontal qui passe par les rebords orbitaires inférieurs. c) inférieurement: par le plan horizontal qui passe par la marge basilaire de la mandibule. d) latéralement: un plan qui passe par la marge antérieure du muscle sterno-cléido-mastoïdien, la marge antérieure de l’ apophyse mastoïde, entoure le pavillon de l’oreille et puis il passe verticalement par le tragus en s’unissant au plan supérieur. e)latéralement: un plan qui passe par la marge antérieure du muscle sterno-cléido-mastoïdien,la marge antérieure de l’ apophyse ptérigoide, entoure le pavillon de l’oreille et puis il passe verticalement par le tragus en s’unissant au plan supérieur. Le nerf maxillaire: a) c’est un nerf mixte, sensitif et moteur. b) il a une seule branche collatérale. c) il présente une racine sensitive, volumineuse et une racine motrice antéro-latérale d) il se détache de la marge postérieure du ganglion Gasser. e) c’est un nerf exclusivement sensitif. Des régions superficielles latérales ne fait pas partie: a) la région zigomatique. b) la région massétérine. c) la région infraorbitaire. d) la région parotidienne. e) la région labiale. L’innervation sensitive de la muqueuse gingivale inférieure entre la deuxième prémolaire et la dent de sagesse est assurée par: a) les branches temporo-facial. b) le nerf auriculo-temporal. c) le nerf buccal, branche terminale du nerf mandibulaire. d) le nerf milo-hyoïdien. e) le nerf buccal, branche collatérale du nerf mandibulaire. La triple infirmité physiologique” est caractérisée par: a) des réserves réduites; b) de grandes nécessités métaboliques; c) des mécanismes de réglage imparfaits; d) les variabilités anatomiques du viscéro-crâne; e) la réactivité psycho-émotionnelle Au cas du terrain physiologique chez le vieillard l’appareil respiratoire présente une série de modifications: a) l’atrophie du parenchyme pulmonaire; b) la prolifération du tissu conjonctif qui détermine le scléroemphysème pulmonaire; c) la diminution de la capacité de ventilation; d) la croissance de la respiration abdominale; e) la diminution de la rigidité de la boîte thoracique . Chez le patient avec infarctus du myocarde on va tenir compte des choses suivantes , à l’exception de: d, slide 3 ,cours – systématisation 2011-2012 c, e slide 13 ,cours -techniques e, : slide 8, cours systématisation c slide 26, courstechniques a,b,c slide 22, coursterrain a, b.c,d slide 27, coursterrain d. slide 42 ,coursterrain 8. a) l’avis du cardiolog avant les procédures de stomatologie ou chirurgicales; b) la prémédication sédative obligatoire, une demi-heure avant le début du traitement; c) il représente une contre-indication pour les traitements de stomatologie s’il a eu lieu les six derniers mois. d) l’anesthésie locale par injection sans anesthésie de contact; e) la médication coronaro-dilatatrice ne sera pas interrompue. La pression artérielle est influencée par: a, c,d,e a) la capacitaté cardiaque; b) le pouls; c) le volume; d) la viscosité du sang; e) l’élasticité vasculaire. slide 43, coursterrain Sujet 2 Chapitre 2. L’éxtraction Dentaire (pag. 43-44, 45-46, 58-59, 59-62, 62-65, 65-68, 68-70,70-75, 75-76 Nr crt 1* 2* 3* Raspuns Pag Les énoncés suivants ne sont pas des indications pour l’extraction A dentaire: A. tous les dents avec destruction coronaire B. dents qui ont produit ou peuvent produire ou maintenir des complications infectieuses locales, régionales ou générales C. dents provenant des foyers de fracture osseuse qui empêchent ou peuvent compliquer un traitement chirurgical D. dents incluses ou surnuméraires ou dents ayant fait éruption qui empêchent l'éruption; E. dents qui empêchent un traitement prothétique adéquat Les énoncés suivants ne sont pas des indications sur les extractions C dentaires des dents temporaires, à une exception près: A. gangrène pulpaire B. dents avec rhisalyse coronaire dans (ou après) la période normale de leur remplacement par les dents permanentes. C. dents avec lésions traumatiques ou en liaison avec des fractures osseuses D. dents temporaires qui permettent l'éruption normale E. dents avec lésions traumatiques coronaire L’extraction dentaire n’as pas les suivantes contre-indications généraux, C avec un seule l'exception: A. maladies cardio-vasculaires, les syndromes hémorragiques, le diabète, la leucémie aiguë, le traitement avec anticoagulants, les affections hépatiques, infections dentaires aiguës, la néphropathie, l'infection VIH, le traitement avec immunosuppresseurs, la chimio ou la radiothérapie, la thérapie aux corticoides B. les syndromes hémorragiques, le diabète, le traitement avec anticoagulants, les affections hépatiques, la chimio ou la radiothérapie, la thérapie aux corticoides, sinusite rhino-pharyngienne aiguë maladies cardio-vasculaires, la néphropathie, l'infection VIH, le traitement avec immunosuppresseurs C. les affections hépatiques, la néphropathie, l'infection VIH, le traitement avec immunosuppresseurs, la chimio ou la radiothérapie, la thérapie aux 43 43 43 4* 5 6 7 8 corticoides, maladies cardio-vasculaires, les syndromes hémorragiques, le diabète, la leucémie aiguë, le traitement avec anticoagulants D. stomatite, herpès, parodontite apicale suppurée aiguë, sinusite rhinopharyngienne aiguë péricoronarite aiguë, abcès, suppuration E. traitement irradiant local ou régional récent L'extraction dentaire: A. est une intervention chirurgicale planifiée B. est une intervention chirurgicale d’urgence C. est une intervention chirurgicale planifiée en régime d’urgence D. est une intervention chirurgicale d’urgence donc l’évaluation complète et complexe du patient e pas nécessaire E. est une intervention chirurgicale qui en général impose le respect de le chirurgien dentiste L’ Instrumentation requis par l’extration des dents maxillaires est: A. pricelle B. miroir C. élévateur droit D. élévateur curbe E. élévateur Lecluse La technique d’extraction des dents maxillaires: A. la syndesmotomie B. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire C. l'index de la main droite protège la lèvre D. la luxation de la dent avec l'élévateur curbe E. la syndesmotomie de l’incisive mandibulaire La technique d'extraction des incisives latérales maxillaires requis: A. le pouce est placé en palatin B. syndesmotomie de l'incisive lateral maxillaire avec l’élévateur droit ou courbe C. pricelle, miroir, élévateur droit, davier pour dents maxillaires,curette droite ou courbe D. l'index de la main gauche est placé en palatin E. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire, en même temps en écarant et protégeant la lèvre La technique de l'extraction des canines maxillaires requis le suivantes: A. pricelle, miroir, élévateur droit, davier pour canines maxillaires, curette droite B. syndesmotomie de la canine maxillaire; C. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire, en même temps en écartant et protegeant la lèvre D. l'index de la main gauche est placé en palatin, en même temps en écartant et protegeant la lèvre E. le pouce est placé en vestibulaire A 43 A,B,C 48 A,B 48 A,E 49 B,C 50 Sujet 3. Chapitre 4. Les accidents de l’éruption des dents permanentes (pag.111-114,114-115, 115-116, 121-131) Nr crt 1* L’accident dynamique apparu pendant l’éruption de dents permanentes est: A. l’éruption précoce Raspuns Pag D 111 2* 3* 4* 5 6 7 B. l’hétérotopie dentaire C. l’éruption tardive D. l’inclusion dentaire E. les complications septique L’accident infectieux le plus fréquent pendant l’éruption de la troisième molaire mandibulaire est: A. la gingivite B. l’abcès vestibulaire C. la péricoronarite D. l’alvéolite postextractionnelle E. l’ostéite périapicale La symptomatologie de l’inclusion dentaire est dominée par les aspects suivants, avec une exception: A. les phénomènes inflammatoires de la péricoronarite B. la présence de la dent sur l’arcade C. la persistance de la dent temporaire D. la corticale bombée E. les douleurs diffuses irradiantes Les plus frequents complications de l’inclusion dentaire sont les suivantes, avec une exception : A. la péricoronarite aigue de la prémolaire supérieure B. la péricoronarite aigue de la 3.8 C. la péricoronarite de la 4.8 D. la péricoronarite de la 1.8 E. la péricoronarite de la 2.8 La gingivostomatite peut se compliquer: A. par les infections cardiaques B. par une angine ulceromembraneuse de Vincent homolatérale C. par les infections articulaires D. par les infections hépatiques E. par les pharyngites Le diagnostic de l’inclusion dentaire est établi le plus fréquemment par l’examen radiologique grâce auquel on évalue les situations suivantes: A. la position de la dent incluse B. la relation avec les dents voisines C. les éléments anatomiques de voisinage (canal alvéolaire inférieur, crête temporale, sinus maxillaire) D. les éventuelles complications kystiques ou tumorales E. les éléments anatomiques de voisinage (les artères et les veines de la mandibule et du maxillaire) La classification ”PELL et GREGORY” utilise deux types de classifications selon la position de la dent incluse: A. position A: La portion la plus importante de la troisième molaire mandibulaire incluse est au même niveau ou au dessus du plan d’occlusion B. position B: La portion la plus importante de la troisième molaire mandibulaire incluse est en dessous du plan d’occlusion mais au-dessus de la ligne cervicale de la deuxième molaire mandibulaire. C. position A: La portion la plus importante de la première molaire mandibulaire est au même niveau ou au-dessus du plan d’occlusion. D. position C: La portion la plus importante de la troisième molaire mandibulaire incluse est en dessous de la ligne cervicale de la deuxième molaire mandibulaire. E. position C: : La portion la plus importante de la troisième molaire mandibulaire incluse est en dessous du plan d’occlusion mais au-dessus C 112 B 114 A 114 B,E 113 A,B,C,D 114 A,B,D 115 8 de la ligne cervicale de la deuxième molaire mandibulaire En prenant comme référence le ramus, les inclusions dentaires peuvent être classifiées: A. position I: aucune partie de la couronne de la troisième molaire mandibulaire incluse n’est pas dans le ramus B. position II: plus du quart de la couronne de la deuxième molaire est dans le ramus C. position III: aucune partie de la couronne n’est pas dans le ramus. D. position II: le quart de la couronne de la deuxième molaire est au moins dans le ramus. E. position III: plus du quart de la couronne de la troisième molaire est dans le ramus A,E 116 Sujet 4. Chapitre 3. La chirurgie endodontique (pag. 81-103, 103-104, 105-108) Nr crt 1* 2* 3* 4* 5 6 Raspuns Pag Les techniques de chirurgie endodontique ont comme objectif: A. la suppression des tissus parodontaux pathologiques B. l’enlèvement des tissus pathologiques périapicaux C. l’enlèvement de la dent D. le retrait de la marge gingivale en excès E. aucune de ces réponses L’indication de drainage transmaxillaire (l’ostéotomie maxillaire) A. lorsque l'obturation de la dent peut être enlevée B. lorsque l'obturation de la dent est incomplète C. lorsque la dent est trop remplie D. les poussées aiguës de parodontite apicale aiguë suppurée dans les stades 2 et 3 E. toutes ces réponses Les etapes d'une résection apicale sont: A. l’incision, le décollage du lambeau, l'obturation endodontique B. l’incision, le décollage du lambeau, l'obturation endodontique, la suture C. l’incision, le décollage du lambeau, la trépanation osseuse, la suture D. l’incision, la trépanation osseuse, l'obturation endodontique, la suture E. aucune de ces réponses Les principales techniques de la chirurgie endodontique sont: A. les implants dentaires B. l’amputation radiculaire C. le curetage parodontal D. la résection gingivale E. toutes ces réponses Les principales techniques en chirurgie endodontique se réfèrent à: A. la résection apicale B. le curetage parodontal C. le curetage périapical D. le drainage transmaxillaire E. toutes ces réponses Les techniques de la chirurgie endodontique se réfèrent à: A. l’amputation radiculaire B. la réimplantation dentaire B 81 D 103 E 83 B 81 A,C,D 82 A,B,D,E 82 7 8 C. l’extraction dentaire D. le curetage périapical E. la transplantation dentaire La résection apicale se compose de: A. l’exposition de la dent B. l’exposition de la racine C. le sectionnement chirurgical et l’enlèvement de l’apex d’une dent D. la résection radiculaire E. assurer l’étanchéité du canal radiculaire Le but de la résection apicale est: A. eradiquer l’inflammation de la zone périapicale B. le retrait de l’inflammation et de l'infection de la bouche C. stopper la diffusion bactérienne du canal radiculaire D. obtenir une meilleure obturation E. le remplissage composite de la couronne C,E 82 A,C,D 82 Sujet 5. Chapitre 5. Méthodes chirurgicales préprothétiques (pag.135-144, 145-147) Nr crt 1* 2* 3* 4* Raspuns Pag La chirurgie préprothétique contient A. les interventions chirurgicales qui ont comme but la création des conditions nécessaires à l’établi¬ssement de la prothèse mobile totale B. les interventions qui font les traitements des ostéites périapicales C. les curetages des follicules dentaires D. les préparations pour la chirurgie prothétique E. la première partie de la chirurgie prothétique Les interventions chirurgicales préprothétiques sur le plan osseux sont indiquées dans : A. la crête alvéolaire avec irrégularités B. la fibromatose gingivale au niveau des tubérosités maxillaires C. l’hypertrophie apparente de la muqueuse gingivale, D. les freins labiaux ou linguaux courts ou volumineux, E. l’hyperplasies épithélio-conjonctives ou fibromes de prothèse dus aux microtraumatismes d’une prothèse incorrectement adaptée C’est vrai que la résection modélante de l’apophyse géni hypertrophique suppose A. l’intervention chirurgicale qui commence par l’incision horizontale sous la ligne muco-gingivale, d’une part et d’autre de la ligne médiane B. le non-décollement du lambeau vers le lingual C. la non-désinsertion des tendons des muscles génioglosses de l’apophyse géni D. la non-résection de l’apophyse géni avec la fraise diamantée ou la pince à os E. que l’intervention chirurgicale commence par l’incision verticale à la ligne médiane. La résection modélante de l’épine nasale antérieure A. a comme étape opératoire l’incision horizontale le long de l’épine nasale antérieure ou verticale sur la pointe de la crête alvéolaire B. est une technique de chirurgie préprothétique des parties molles C. a une étape de résection osseuse de la crête alvéolaire avec l’instrumentaire rotatif ou le pince à os. A 135 A 135 A 145 D 146 5 6 7 8 D. est associée très fréquemment avec la vestibuloplastie E. s’appelle aussi Celesnik technique Les méthodes chirurgicales préprothétiques au niveau des parties molles sont indiquées dans les situations suivantes : A. les torus proéminents B. la fibromatose gingivale au niveau des tubérosités maxillaires C. l’hypertrophie apparente de la muqueuse gingivale D. les freins labiaux ou linguaux courts ou volumineux E. la parodontitis marginalis Le frein labial, supérieur ou inférieur A. est formé du tissu fibreux B. est couvert par la muqueuse C. avec ulcération, est une indication pour la chirurgie préprothétique D. s’insère au niveau de la lèvre et du périoste du processus alvéolaire E. pathologiquement, peut descendre jusqu’au niveau du torus et peut empêcher l’adaptation de la prothèse totale. L’hyperplasie épithélio-conjonctive A. est une formation pseudo-tumorale ou inflammatoire B. est produite par l’irritation chronique d’une prothèse incorrectement adaptée au niveau du fond du sac vestibulaire. C. existe seulement au maxillaire supérieur D. s’appelle aussi fibrome de prothèse E. a besoin d’une intervention chirurgicale préprothétique C’est vrai que l’hyperplasie gingivale A. représente une croissance inflammatoire en volume de la gencive, lente, progressive B. d’étiologie infectieuse, mécanique, hormonale ou médicamenteuse, localisée à une dent, à un groupe de dents ou généralisée C. l’excision se fait en même temps que l’extraction des dents avec grande mobilité, étant suivie par la suture D. représente une croissance en volume du tissu osseux de la muqueuse de la crête alvéolaire E. est plus fréquemment dans la zone molaire maxillaire B,C,D 135 A,B,D 135 A,B,D,E 139 A,B,C 141 Sujet 6. Infections oro-maxillo-faciale 1. Quels sont les facteurs favorisants anatomiques des infections d’origine dentaire ? a) L'épaisseur et la structure de l'os par rapport à dents b) La morphologie coronaire de dent c) La structure de l'émail d) La leucopénie e) L'âge du patient A 2. Les facteurs déterminants des infections d’origine dentaire sont : a) Flore microbienne de la cavité orale et la flore apportée par l'alimentation ou par la respiration b) L'épaisseur et la structure de l'os par rapport à dents c) Disposition des tissus mous, le contenu des loges, les tissus adipeux, conjonctif et lymphatique d) L'insertion de la muqueuse mobile par rapport aux apex des dents e) La morphologie coronaire de dent A 3. Entre les facteurs favorisants des infections d’origine dentaire on rencontre : a) Flore microbienne de la cavité orale b) Lésions dentaires-parodontales (gangrène, la parodontite aiguë purulente apical) c) flore apporté par l'alimentation ou par la respiration d) aérobies e) anaérobies B 4. Lequel des énoncés suivants n’est PAS une voie de propagation des infections dentaires ? a) Voie transosseuse b) Voie sous-muqueuse c) Voie limfatique et veineuse d) Voie directe (ponctions septiques) e) Voie aérienne E 5. Les suivantes ne sont pas des infections des espaces fasciales: a) L’abcès vestibulaire, l’abcès migrateur b) Infection de l’espace maseterin et sous-mandibulaire c) de l’espace parotidienne, l’abcès palatin d) l’abcès ”semi-lunaire” e) abcès palatin A, C, D, E 6. Le traitement chirurgical des ifections ne vise pas: a) l’incision et le drainage de la collection et l'élimination de l'agent causal b) le drainage endodontique c) seulement l’extraction de dent causale d) hydratation, nutrition e) des sédatifs, AINS B, C, D, E 7. Quel est l’administration correcte des antibiotiques ? a) doses et intervalles efficaces b) doses efficaces en intervalles inégales au moins 14 jours c) données au moins 7 jours d) spectre alléatoiare, intervales inégales, 7 jours e) ils sont donnés au moins 30 jours A, C 8. La parodontite apicale aiguë purulente stade périapicale n’ est pas caractérisée par : a) dent mobile b) tuméfaction, fluctuation, une douleur atroce c) cellulite vestibulaire d) douleur spontanée ou à la percussion dans l'axe de la dent e) douleur à la percussion latérale A, B, C, E Sujet 7. Maladies d'origine dentaire du sinus maxillaire 1. Les symptômes suivants se trouvent dans le cas d'une vieille communication bucco-sinusienne, sauf pour: a) Les symptômes de la sinusite maxillaire chronique b) un saignement abondant de l'alvéole c) fistuleuse ouverture dans la crête alvéolaire maxillaire d) valsalva manoeuvre positive e) les perturbations phonétique B 2. Le traitement d'une grande taille (> 7 mm) communication bucco-sinusienne immédiate apres l’extractin dentaire est représentée par: a) suture directe de la muqueuse de l'alvéole b) Clôture de la fistule en une ou deux couches c) Application d'une gaze sur le dessus de l'alvéole à jour par utilisation d'un "8 ligature" d) Aucun traitement chirurgical est nécessaire e) Application d'une garde acrylique B 3. La sinusite maxillaire chronique d'origine dentaire se caractérise par la déclaration suivante: a) Une douleur intense dans la région du sinus maxillaire b) Une douleur intense dans la région du sinus maxillaire surtout le matin c) Une douleur modérée dans la région du sinus maxillaire surtout le matin d) Une douleur modérée dans la région du sinus maxillaire surtout le soir e) Une douleur modérée dans la région du sinus maxillaire surtout au printemps C 4. Les principaux signes cliniques de la sinusite maxillaire aiguë d’ origine dentaire qui suit, sauf pour: a) rhinorrhée purulente b) Fièvre c) L'obstruction nasale d) unilatérale douleur des sinus e) la douleur dentaire E 5. Les dents maxillaires suivantes sont en étroite relation avec le sinus maxillaire: a) Première molaire b) Première prémolaire c) Deuxième prémolaire d) l'incisive latérale e) Troisième molaire A, B, C, E 6. Les déclarations suivantes sont remplies concernant le sinus maxillaire: a) Il est présent dans le nouveau-né b) Il ouvre dans le méat inférieur c) Son développement est complète à l'âge de 25 d) Son développement est complète à l'âge de 7 e) Il ouvre dans le méat moyen A, C, E 7. Les facteurs de la sinusite maxillaire sont: a) Diminution de la sécrétion de mucus b) Les facteurs locaux et généraux c) L'inflammation chronique de la muqueuse sinusale d) la thérapie vitamine e) L'immunosuppression B, C, E 8. Les facteurs déterminants de la sinusite maxillaire d'origine dentaire peuvent être: a) la fistule oro-nasal b) pulpite séreuse c) ostéite periapicale d) kystes radiculaires infectee e) la maladie parodontale chronique A, C, D Sujet 8. Traumatologie oro-maxillo-faciale 1. Les zones de résistance élevé de la mandibule sont : a) La symphyse mandibulaire et le bord basilaire b) La symphyse et l’angle mandibulaire c) Foramen mentalis d) Zone du canine- courbure maximale e) La coronoïde A 2. Les zones de de faible résistance de la mandibule sont : a) La symphyse mandibulaire b) Le bord basilaire c) Foramen mentalis, l’angle mandibulaire d) La ligne oblique externe e) La coronoïde et le bord basilaire C 3. Quels sont des autres facteurs prédisposants des fractures mandibulaires ? a) Nombre élevé d'accidents de la route b) La malocclusion c) Les bourgeons chez les enfants, les inclusions dentaires d) Un menton proéminent e) Le mode de vie du patient C 4. Une fracture indirecte de la mandibule indique : a) Fracture dans le point d'impact b) fermeture ou ouverture de l’arc mandibulaire c) une fracture unique d) Fracture à distance du point d'impact e) fracture comminutive D 5. Les ecchymoses ne sont pas: a) Accumulation de sang extravasée à la suite de la rupture de vaisseaux sanguins plus profondes ou plus grandes b) Le résultat d'extravasation du sang dans l'espace intercellulaire en raison de la rupture des vaisseaux c) Abrasions superficielles, interruption de la continuité des tissus ou une égratignure, abrasion d) Épanchement lymphatique séreux, visqueux, jaune, en raison de l'action d'un agent violente tangentiellement e) Contusion musculaire A, C, D, E 6. Les affirmations suivantes sont fausses en regard l’excoriation: a) Il représente une plaie b) Abrasions superficielles c) Interruption de la continuité des tissus ou une égratignure, abrasion d) Plaie profonde, interruption de la continuité des tissus ou une égratignure, abrasion e) Accumulation de sang extravasée à la suite de la rupture de vaisseaux sanguins plus profondes ou plus grandes A, D, E 7. Les moyens chirurgicales de traitement des fractures de la mandibule n’inclut pas : a) Ostéosynthèse par ligature métallique, miniplaques ou par gouttière b) Blocage maxillomandibulaire c) Ostéosynthèse par blocage maxillomandibulaire d) Traitement endodontique e) Traitement orthodontique B, C, D, E 8. Les affirmations suivantes ne representent pas le traitement définitive des fractures mandibulaires: a) antibiothérapie b) corticothérapie c) la réduction et l'immobilisation en position anatomique d) c'est toujours chirurgical e) c'est toujours orthopédique A, B, D, E Sujet 9. Kystes et tumeurs bénignes des tissus mous orale, de la tête et du cou 1. La déclaration suivante est pas vrai concernant tératome: a) Il est composé de tissus éloignés de la place du développement b) Il est originaire de toutes les couches germinatives c) Dans la tête et du cou, il est souvent situé dans le plancher de la bouche d) Il est fréquemment rencontré comme une tumeur de l'ovaire, généralement bénigne e) Il est formé par l'augmentation du volume des cellules du tissu locale E 2. La définition d'un kyste est: a) Une cavité pathologique, délimitée par une membrane epitheliale, avec un contenu liquide ou semi-solide b) Une cavité pathologique qui ne sont pas délimitées par une membrane épithéliale, liquide ou solide contenu c) Une cavité avec un contenu solide d) Une cavité physiologique sans une membrane et le contenu liquide ou semi-solide e) Une cavité iatrogène délimitée par une membrane synthétique à teneur en liquide ou semi-solide a 3. kystes salivaires sont représentés par: a) kyste dermoïde b) keratocyst c) Grenouillette d) kyste sébacé e) kyste branchial C 4. Les kystes originaires des structures épidermiques sont représentés par: a) kyste dermoïde b) keratocyst c) kyste branchial d) kyste sébacé e) keratocyst d 5. Epulis fissuratum: a) Chez les patients âgés port de prothèses dentaires amovibles b) l'apparence de chou-fleur c) Habituellement situé dans le pli vestibulaire maxillaire d) aspect fibreux, ferm cohérence e) Situé sur le palais dur il est aussi appelé fibro-épithéliale polype A, C, D, E 6. Le diagnostic différentiel de la grenouillette sublinguale est réalisé avec: a) kyste sébacé b) kyste tératoïde c) Les tumeurs des glandes sublinguales d) keratocyst e) kyste dermoïde B, C, E 7. Le sialocyst: a) Ils ne sont jamais rencontrées dans les glandes salivaires principales b) Elle est formée en raison de la dilatation du conduit salivaire due à l'obstruction et la salive accumulation c) Il est formé du fait de la perforation du canal salivaire et de l'accumulation de salive d) Il peut suivre l'évolution chronique d'une mucocèle e) Il forme un nodule sous-muqueux B, D, E 8. Les mucocele: a) Elle est associée à un traumatisme répété de la lèvre b) Elle est formée en raison de la dilatation du conduit salivaire due à l'obstruction et la salive accumulation c) Il est formé du fait de la perforation du canal salivaire et de l'accumulation de salive d) Il se décompose habituellement et guérit spontanément e) Il fait en raison de l'évolution chronique d'un sialocyst a, C Sujet 10. Kystes, tumeurs bénignes et ostéopathies de l'os de la mâchoire 1. L'entité suivante représente un kyste odontogéne lies au developpment: a) Kyste du canal naso-palatin b) Kyste naso-labial c) Kyste radiculaire d) Kyste folliculaire e) Kyste résiduel D 2. Un des suivants est un kyste inflammatoire: a) Kyste primordial [kératokyste] b) kyste périapical c) kyste dentigère d) kyste du canal naso-palatin e) kyste anévrismal B 3. Les restes Malessez résultent par: a) Désintégration de l'organe de l'émail b) Désintégration de la lame dentaire c) la désintégration de la gaine radiculaire Hertwig d) Formation de la gaine radiculaire Hertwig e) Formation de l'organe de l'émail C 4. Le kyste du canal naso-palatin est: a) Un kyste odontogéne lies au developpment b) Un kyste non- odontogéne lies au developpment c) Un kyste inflammatoire d) Un pseudokyste e) Un pseudokyste odontogene B 5. Le diagnostic différentiel du tore palatine comprend: a) L'abcès vestibulaire b) L'abcès palatin c) Le kyste radiculaire d) Le carcinome adénoïde kystique de la petite palatines glandes salivaires e) Epulis fissuratum B, D 6. Les déclarations suivantes sont remplies concernant le tore mandibulaire: a) Situé sur la face linguale du corps mandibulaire b) Présent au les jeunes adultes c) Associé avec bruxisme d) Présent seulement dans les patiens âgées e) Situé sur le côté vestibulaire du corps mandibulaire A, B 7. Les tore palatines: a) est situé sur la ligne médiane du palais dur b) la cohérence osseuse c) recouvrant la muqueuse ulcérée d) sus-jacente muqueuse normale e) fluctuante A, B, D 8. Les déclarations suivantes sont remplies concernant la tumeur brune a) Le traitement est représenté par l'ablation chirurgicale radicale b) Il est associé à une hyperparathyroïdie primaire ou secondaire c) Il est pathologiquement identique à la tumeur à cellules géantes central d) Il est associé à une hyperthyroïdie primaire ou secondaire e) Le traitement est représenté par la radiothérapie et la chirurgie radicale B, C Sujet 11. Tumeurs malignes bucco-maxillo-faciale 1. Quels lésions sont considérés comme potentiellement lésions malignes de la muqueuse buccale? a) Erithroplasia b) papillome oral c) la candidose orale d) Glossitis e) fibromatose gingivale a 2. Le mélanome malign: a) Tumeur maligne dérivée de cellules basales b) Tumeur maligne dérivée de mélanocytes c) Il est pas localement agressive d) Il ne se développe jamais sur des lésions préexistantes pigmentaires e) n'a pas de potentiel de propagation lymphatique B 3. cTNM se réfère à: a) examen anatomopathologique de la biopsie b) examen pathologique final de la pièce opératoire c) Mise en scène d'une tumeur récidivante d) Mise en scène d'une tumeur occulte e) la mise en scène clinique après examen clinique attentif E 4. pTNM est déterminée par la: a) l'évaluation clinique attentive du patient b) des études imagé en dynamique c) examen anatomopathologique de la biopsie d) examen pathologique final de la pièce opératoire e) Mise en scène d'une tumeur récidivante D 5. Les informations suivantes concernent le cancer du milieu du visage: a) Le cancer de la mésostructurée implique le complexe ethmoïdo-orbito-maxillo-malaire b) le cancer de la superstructure implique le complexe ethmoïdo-orbito-maxillo-malaire c) Le cancer de la mésostructure implique que le cancer de rhinosinusien d) Cancer de l'infrastructure est représenté par le cancer de la gencive-alvéolaire e) le cancer de l'infrastructure est représenté par le cancer du rhinosinusien B, C, D 6. Le debut intra-osseux de la tumeur mandibulaire est associée à des signes suivants: a) la douleur névralgiforme b) otalgie c) douleur dentaire d) Hypoesthésie e) la mobilité dentaire A, C, D, E 7. Le syndrome du plancher orbitaire dans le cancer de la superstructure est représentée par: a) l'anesthésie orbitaire b) oedème palpebral inférieure c) épistaxis d) La diplopie e) exophtalmie A, B, D, E 8. Les facteurs étiologiques de cancer mésostructuré comprennent ce qui suit: a) Septal écart b) l'exposition professionnelle facteurs- environnement c) Fumeurs d) la sinusite chronique e) nasale polype B, C, D, E Sujet 12. Pathologie de l’articulation temporo-mandibulaire 1. Le test de morsure d’un bâtonnet de bois : a) Si le bâtonnet est de côté douloureux - la douleur va diminuer- signe d’affectation musculaire b) Si le bâtonnet est de côté douloureux - la douleur va diminuer- signe d’affectation articulaire c) Si le bâtonnet est de côté douloureux- la douleur va augmenter- un signe d’affectation articulaire d) Si le bâtonnet est de l’autre parte de côté douloureuse- la douleur va augmenter, est un signe d’affectation musculaire e) Si le bâtonnet est de l’autre parte de côté douloureuse la douleur va diminuer, est un signe d’affectation articulaire B 2. Les bruits articulaires sont représentés par : a) Les claquements - problèmes de dysfonctionnement disco-condylien b) Les craquements- frottement des extrémités osseuses dénudées c) Les crissements- problèmes de dysfonctionnement disco-condylien d) Les grincements- problèmes de dysfonctionnement musculaire e) Les claquements- problèmes de dysfonctionnement psychologique A 3. La motilité mandibulaire normale est représentée par : a) Ouverture maximale de la bouche à 20 mm (± 5) b) Ouverture maximale de la bouche à 70 mm (± 10) c) Ouverture maximale de la bouche à 50 mm (± 6) d) Propulsion à 27mm (± 2) e) Propulsion à 37mm (± 2) C 4. En regard des troubles de la motilité mandibulaire nous devons observer les suivantes moins une : a) L’amplitude d’ouverture buccale b) Le trajet d’ouverture c) Le type de déglutition d) Les mouvements de propulsion e) Les mouvements de latéralité C 5. Les lésions dégénératives de l’ATM comprennent, SAUF : a) Les arthroses « mécaniques »- le cartilage a une structure anormale et il est plus fragile b) Les arthroses « structurales » le cartilage a une structure anormale et il est plus fragile c) Les arthroses « structurales » le cartilage est normal à départ d) Les arthroses « structurales » le cartilage est trop dur à départ e) Les arthroses « mécaniques » le cartilage est trop dur à départ A,C, D, E 6. L’ostéonécrose du condyle peut être déterminé des affections suivantes: a) Le traitement orthodontique-chirurgical des anomalies dento-maxillaires b) Le lupus érythémateux c) Les traumatismes de l’ATM d) Traitement orthodontique-chirurgical des jeunes filles avec ou sans béance articulaire e) La thyroïdite auto-immune A,B,C,D 7. Les facteurs prédisposants de la luxation condylodiscale antérieure sont, avec l’EXCEPTION : a) L’existence des parafonctions manducatrices b) L’existence des maladies auto-immunes c) L’hypotonie musculaire d) L’hypersialie nocturne e) L’existence des maladies infectieuses B,C,D,E 8. Lequel des éléments suivants sont un stade de la maladie SADAM ? a) Luxation discale irréductible b) Anomalies musculaires c) Lésions discale d) Anomalies synoviales e) Anomalies osseuses A,C,D,F Sujet 13. Pathologie de la glande salivaire 1. Lequel des énoncés suivants concernant les oreillons est faux? a) Le début est unilatérale, après bilatérale b) La salive reste toujours claire c) La salive est toujours purulente d) La salive reste toujours claire e) L’orchite est une complication possible C 2. La parotidite aigue bactérienne: a) La salive reste toujours d’aspect normal b) L’ostium du canal Stenon congestif et turgescent avec de la salive mucopurulente c) L’orchite est une complication possible d) La sialorrhée est un facteur favorisant e) L’ostium du canal Stenon congestif et turgescent avec de la salive claire, abondante B 3. Les facteurs favorisants de la parotidite aigue bactérienne sont les suivantes sauf: a) L’hyposialie b) L’immunodépression c) Le dysfonctionnement des enzymes salivaires d) Locaux ou généraux e) L’hypersialie E 4. Le traitement préventif des parotidites aigues bactériennes est : a) Traitement antibiotique par la voie générale b) c) d) e) Lavages canalaires avec des antibiotiques Favoriser une bonne sécrétion salivaire par réhydratation et atropine Favoriser une bonne sécrétion salivaire par réhydratation et des sialagogues Traitement cortisonique par la voie générale D 5. Les signes cliniques de parotidite bactérienne aiguë est: a) L'ouverture du canal de Sténon est congestive et turgescent avec le fluide salivaire muco-purulente b) la fièvre associée à la douleur dans la région parotide et otalgie c) Augmentation du flux de salive clair d) Gonflement de la région parotide avec la peau recouvrant congestive e) Rarement, nerf facial Paralisis A, B, D, E 6. La caractéristique des oreillons sont: A) apparaît particulièrement chez les enfants b) Plus fréquente chez les personnes âgées c) Initialement unilatérale, puis bilatérale d) La salive reste clair e) plus fréquent chez les garçons A, C, D, E 7. Le syndrome de Sjogren est caractérisé par: a) la sécheresse des cheveux b) Sécheresse nasale c) Mains sécheresse d) la sécheresse oculaire e) la sécheresse buccale B, D, E 8. Les facteurs de parotidite bactérienne aiguë sont: a) hyposialie b) les vannes dysfonctionnement salivaire c) L'échec des enzymes salivaires d) locale ou générale e) Hypersialia A, C, D Sujet 14. Chirurgie orthognatique 1 Les éléments suivants sont des indications de la chirurgie orthognathique à une exception près: a. De graves anomalies b. La durée a dépassé d'un traitement orthodontique c. Chirurgie remplissage orthodontie d. Orthodontie échoué e. Courte durée du traitement orthodontique e 2 Parmi les objectifs de la chirurgie orthognathique, nous trouvons ce qui suit à une exception près: a. Équilibrer les arcades dentaires b. L'optimisation des fonctions c. Obtenir une harmonie du visage d. Équilibrer l'occlusion e. Créer un espace pour les implants dentaires e 3 L'examen clinique pré-opératoire comprend: a. Analyse céphalométrique, modèles de gypse, l'analyse des moulures b. Le test sanguin; c. Radiographie pulmonaire; d. CBCT e. CTx a 4 Lors de l'examen extra-orale, le chirurgien prend une attention particulière à: a. Visage, le menton, le nez,les arcades dentaires; b. Menton, le nez, la lèvre inférieure et superieure; c. Lèvre supérieure, le nez, le visage, l'occlusion; d. Lèvre inférieure, le visage, le menton, dents e. Visage, le menton, le nez, l'occlusion b 5 L'analyse radiologique implique ce qui suit: a. La radiographie panoramique, Les téléradiographies cranio-faciales (profil, le visage) b. Radiographie pulmonaire; c. CTx d. Le test sanguin e. Sinus radiographie a 6 L'analyse céphalométrique consistent en ce qui suit avec une exception: a. maxillaire et le crâne b. mandibule et le crâne c. mandibule et le nez d. dents maxillaires et mandibulaires e. proéminence du menton à la base de la mandibule arcade dentaire c 7 Lors de l'examen extra-orale, le chirurgien prend une attention particulière à: a. nez b. menton, c. La lèvre supérieure d. Lèvre inférieure e. occlusion a,b,c,d 8 L'examen clinique pré-opératoire comprend: a. Analyse céphalométrique b. modèles de gypse c. analyse des Moulures d. CBCT e. CTx a,b,c Sujet 15. Les fentes labio-alvéolo-vélo-palatines 1. a) b) c) d) e) Les fentes labio-alvéolo-vélo-palatines: Elles sont les plus rares malformations congénitales de l’extrémité céphalique Résultent d’un défaut de fusion des bourgeons faciaux Elles sont des maladies acquises pendant l'enfance Résultent d’un défaut d’accolement des bords d’une plaie post-opératoire Elles sont toujours médianes B 2. a) b) c) Le palais secondaire: Défaut de fusion entre deux cloisons sagittales médianes et une cloison horizontale Se forme entre la 5eme et 7eme semaine embryonnaire Il représente la région labio-narinaire et la partie périphérique du palais située en avant de la papille incisive d) Commence par la papille incisive, d'avant en arrière jusqu'à la luette e) Défaut de fusion du bourgeon maxillaire d'avec le bourgeon nasal interne D 3. a) b) c) Le palais primaire: Il se forme entre la 7eme et la 12eme semaine embryonnaire Commence par la papille incisive, d'avant en arrière jusqu'à la luette Il représente la région labio-narinaire et la partie périphérique du palais située derrière de la papille incisive d) Il se forme entre la 5eme et 7eme semaine embryonnaire e) Il se forme après le palais secondaire D 4. a) b) c) d) e) L’étiologie des fentes labio-alvéolo-vélo-palatines: Implique des facteurs environnementaux et génétiques Seulement des facteurs génétiques Il y a toujours des antécédents familiaux de fentes labio-alvéolo-vélo-palatines Parmi les facteurs environnementaux on ne trouve pas l’alcool Est monofactorielle A 5. a) b) c) d) e) Le traitement secondaire des fentes labio-alvéolo-vélo-palatines consist in avec EXCEPTION: De 0 à 1 an Fermeture précoce, simultanée ou successive de la lèvre et du palais Surveillance, prévention et correction des séquelles fonctionnelles et esthétiques Fermeture tardive, simultanée ou successive de la lèvre et du palais Surveillance, prévention, sans correction des séquelles fonctionnelles et esthétiques A,B,D,E 6. a) b) c) d) e) Pour une fente labiale isolée, le traitement inclut, avec EXEPTION : Cheiloplastie à 3 mois Véloplastie à 3 mois Staphyloraphie à 3 mois Chéilorhinoplastie à 3 ans Cheiloplastie et staphyloraphie à 3 ans B,C,D,E 7. Du traitement secondaire des fentes labio-maxillo-palatines fait partie: a) Greffe osseuse alvéolaire (9–10 ans) b) Chirurgie orthognatique (après 18 ans) c) Chirurgie orthognatique (10- 18 ans) d) Retouches esthétiques de la lèvre et du nez e) Pharyngoplastie (pour corriger les défauts de prononciation) A,B,D,E 8. Les pathologies associées avec FLP ne sont pas: a. Syndrome de Frey b. Trisomie 18 c. Trisomie 13 d. Le syndrome de Down e. Syndrome de Treacher Collins AD Sujet 16. Douleur faciale 1. Parmi l'étiologie de la douleur oro-faciale, nous identifions les éléments suivants à une exception près: a. Périphériques / centrale b. Inflammation / irritation +/c. Démyélinisation +/d. Vasculaire ou nerveuse compression +/e. vaso-dilatation e 2. Classification de la douleur orofaciale: a. Phase aiguë, phase inflammatoire, le stade chronique (douleur persistant pour plus de mois de than5) b. stade subaigu, stade chronique (douleur persistant pour plus de mois de than6) c. phase aiguë, subaiguë stade, stade chronique (douleur persistant pour plus de 6 mois) d. rougeur, calor, dolor, stade subaigu, stade chronique (douleur dure plus than6 mois); e. phase inflammatoire, subaiguë, stade chronique; c 3. Classification de la douleur orofaciale: sélectionnez la réponse fausse: a. Musculo-squelettiques et des tissus mous b. Dento-alvéolaire c. Neurologiques et vasculaires d. Psychogène e. Viscéral e 4. Faites le bon corrélation: a. La maladie de l'articulation temporo- rahitism aiguë b. Les erreurs de réfraction -de nez et des sinus c. L’hétérophorie - l'œil et l'orbite affections d. Les oreilles- sinusite aiguë. e. Les oreilles- rahitism aiguë c 5.Le étiologie de la douleur oro-faciale est a. Périphériques / centrale b. Inflammation / irritation +/c. Démyélinisation +/d. Vasculaire ou nerveuse compression +/- e. Vaso-dilatation abcd 6. Classification de la douleur buccofaciale est: a. Phase aiguë b.Stade subaigu c.Stade chronic (douleur persistant pendant plus de 6 mois) d. Stade chronique (douleur persistant pendant plus de 9 mois) e. Stade subaigu (douleur persistant pendant plus de 4 mois) a, b, c 7. Classification de la douleur buccofaciale est: a.Musculoskeletal et des tissus mous b. dento-alvéolaire c. Neurologiques et vasculaires d.Psychogenic e.Neurological et psychogène abcd 8.Le évaluation diagnostiec est faite sur: a. Dates général du patient b. Les antécédents médicaux du patient c. Les caractéristiques de la douleur d. Les signes associés e. Taille et le poids a, b, c, d Sujet 17. Des méthodes locales de prévention de la carie dentaire dans les puits et fissures Nr. Crt. 1* Enunț Răspuns Pag. C La dynamique des particularités psychocomportementale s de l’enfant pendant la première et la deuxième enfance S 46 Pratique pédodontique, p.258 Cours „La carie simple des dents permanentes jeunes”, Slide no.24 Parmi les caractéristiques de la période 3-6 ans NE sont PAS présentes les suivantes: A. égocentrisme B. affectivité C. absence du caractère imitatif dans l’action et le comportement D. négativisme excessif épisodique E. crainte auditive, optique, tactile 2* 3* Aux jeunes dents permanentes, dans le cas des étanchéités étendues où des cavités peu profondes, la protection de pâte dentine est assurée par: A. épaisseur de la dentine B. épaisseur de l'émail C. épaisseur de l'émail et de la dentine D. épaisseur de la couche de doublure (liner) E. épaisseur du matériau de remplissage finale Traitement des caries dentaires chez les incisives temporaires est recommandé jusqu'à l'âge : A. 7 années B. 4 années B C Pratique pédodontique, p.207 4* 5 6 7 8 C. 5 années D. 6 années E. 8 années En ce qui concerne la préparation de la cavité proximale aux dents temporaires, il faut d’éviter: A. angles arrondis au niveau proximal B. fragilité des parois linguales par l`orientation mauvais de l`axe de la cavité vers vestibulaire C. la maintenance de l`email soutenu D. angles arrondis au niveau proximal E. aucune réponse n’est pas correcte La IIIème classe de l’échelle des valeurs comportementales de Frankl se caractérise par: A. l’enfant a la bonne volonté d’entendre l’équipe des dentistes B. l’enfant n’accepte pas le traitement C. l’enfant accepte le traitement D. l’enfant n’est pas coopérant E. l’enfant n’a pas une attitude positive de plein gré L’utilisation du méthode HOM (hand-over-mouth) n’est pas recommandée chez: A. les enfants trop petits B. les enfants avec déficit psycho mental C. les enfants trop grands D. les adultes E. les enfants sans déficit psycho mental Les lésions carieux des dents permanentes jeunes sont fréquemment localises au niveau des: A. faces proximale B. faces vestibulaires C. faces orales D. faces occlusales E. faces palatinale Les dents permanentes peuvent être protégées contre les dommages causés par la carie dentaire par quatre étapes simples : A. applications topiques de fluorure B. contrôle de l'hygiène et de l'alimentation C. rainures et les fissures d'étanchéité D. obturations des faces vestibulaires E. prévention des blessures D Pratique pédodontique, p.212 Cours„La carie simple des dents temporaires”, Slide no.19 A, C, E Développement de l’enfant et approche comportementale au cabinet dentaire S 17 Développement de l’enfant et approche comportementale au cabinet dentaire S 16 Pratique pédodontique, p.253 Cours„La carie simple des dents permanentes jeunes ”, Slide no.14 Pratique pédodontique, p.252 Cours„La carie simple des dents permanentes jeunes ”, Slide no.22 A, B A, D A, B, C, E Sujet 17. Des méthodes locales de prévention de la carie dentaire dans les puits et fissures 1. Lequel 1 des énoncés suivants est exact? a a) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risque carieux haut; b) Le scellement est une méthode pour les surfaces dentaires dures proximales chez les patients à risque carieux haut; c) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risque 2. 3. 4. 5. carieux bas; d) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces dentaires dures occlusales avec des reliefs accentués chez les patients à risque carieux bas; e) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces dentaires dures proximales avec des reliefs accentués chez les patients à risque carieux haut. Quel est l’objectif prioritaire du scellement des surfaces dentaire? a) Fermer les reliefs rétentifs coronaires des dents qui ont récemment fini leur éruption; b) Fermer les reliefs rétentifs coronaires proximales qui ont récemment fini leur éruption; c) Fermer les reliefs coronaires des dents qui ne sont pas rétentifs qui ont récemment fini leur éruption; d) Fermer les reliefs rétentifs de la surface vestibulaire des dents qui ont récemment fini leur éruption; e) Aucune des réponses ci-dessus n’est correcte. Laquelle des affirmations suivantes est fausse ? a) Après le scellement 95% des microorganismes perdent leur viabilité deux semaines par l’absence du substrat nutritif. b) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risqué carieux bas; c) L’objectif prioritaire du scellement est de fermer les reliefs rétentifs coronaires des dents; d) En cas de diagnostic incertain de la carie il faut agir en fonction de la formule ”en cas de doute scellez” au lieu de ”en cas de doute obturez”, parce qu’il n’y a pas d’effets indésirables connus du scellement; e) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risqué carieux haut. Laquelle des affirmations suivantes est fausse ? a) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire pour les patients à risqué carieux élevé; b) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire pour les fossés supra-cingulaires; c) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire pour les patients à risqué carieux bas; d) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire pour les fissures et les fosses occlusales des prémolaires; e) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire pour les fissures et les fosses occlusales, vestibulaires et orales des molaires temporaires et permanents. Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie dentaire est indiqué dans les situations suivantes: a) Patients à risqué carieux bas; b) Les fissures et les fosses occlusales, vestibulaires et orales des molaires temporaires et permanentes (de choix la surface occlusale de la première molaire permanente immédiatement après l’éruption); c) Les fissures et les fosses occlusales des prémolaires; d) Les fossés supra-cingulaires; e) Les fissures et les fossés présentant des colorations intrinsèques de l’émail où n’ont pas été mis en évidence des caries dentinaires a b c b,c,d,e, sous-jacentes par l’examen clinique et radiologique. 6. 7. 8. Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie dentaire d,e est indiqué dans les situations suivantes: a) Patients à risqué carieux bas; b) Les fissures et les fosses proximale (de choix la surface proximale de la première molaire permanente immédiatement après l’éruption); c) Les fissures et les fossés proximaux des prémolaires; d) Les fossés supra-cingulaires; e) Les fissures et les fossés avec email coloré et décalcifié, mais sans des caries dentinaires. Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie dentaire a,b,c est indiqué dans les situations suivantes: a) Les fissures et les fossés avec émail coloré et décalcifié, mais sans des caries; b) Patients avec une hygiène orale rigoureuse; c) Patients coopérants; d) Dents qui présentent concomitant des lésions carieuses proximales ; e) Des fissures moins exprimées, qui sont évalués comme des zones à risqué carieux bas. Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie dentaire b, c est indiqué dans les situations suivantes: a) Patients à risqué carieux bas; b) Les fissures et les fossés présentant des colorations intrinsèques de l’émail sans caries dentinaires sous-jacentes; c) Patients avec une hygiène orale rigoureuse; d) Patients avec malocclusions; e) Patients ayant une mauvaise hygiène orale et une mauvaise alimentation. Sujet 18 – Le rôle des facteurs fonctionnels dans la formation de l’appareil dentomaxillaire Nr 1* 2* 3 Énoncé de la question Le fort développement de la région angulaire de la mandibule se produit grâce à l’activité intense des muscles A. masséter et ptérygoïdien interne B. masséter et ptérygoïdien externe C. masséter et mylo-hyoidïen D. masséter et mylo-hyoidïen E. ptérygoïdien externe et interne L’équilibre entre la morphologie du squelette et celle musculaire est : A. immobile B. temporaire C. absolu D. relatif E. permanent L’interposition de la lèvre inférieure peut conduire à l’apparition de : A. La prodontie supérieure B. La prodontie inférieure C. La rétrodentie supérieure D. La rétrodentie inférieure Réponse A Livre Page Gh. Boboc, Pg. 405 D Gh. Boboc, Pg. 411 A,D Gh. Boboc, Pg. 443 4 5 6 E. La biprodontie Les interpositions hétérotropes présupposent l’interposition entre les arcades dentaires : A. Des éléments n’appartenant pas à l’appareil dento-maxillaire B. Des éléments appartenant à l’appareil dento-maxillaire C. Des doigts D. Du crayon E. De la langue Pour qu’une anomalie dento-maxillaire se produise à cause des habitudes vicieuses, plusieurs conditions doivent être remplies portant sur : A. L’intensité de l’habitude vicieuse B. La durée de l’habitude vicieuse C. La fréquence de l’habitude vicieuse D. Le facteur terrain- terrain déformable constitutionnellement E. Aucune des réponses précédentes n’est correcte Les zones faciales d’appui dans le contexte des attitudes anormales de posture sont : A. Le menton B. La région bilabiale C. Les zones latérales de la partie inférieure du visage D. Le pavillon auriculaire E. L’angle goniaque A,C,D Gh. Boboc, Pg.437 A,B,C,D Gh. Boboc, Pg 444 A, B, C Gh. Boboc, Pg 436 Sujet 19– Le développement de l’occlusion dentaire 1. 2. 3. 4. Pendant le développement de l’occlusion dentaire il se produit : A. la première augmentation de l’occlusion B. la première mésialisation de la mandibule C. la troisième augmentation de l’occlusion D. la seconde mésialisation de la mandibule E. la seconde augmentation de l’occlusion Lors de la période prédentaire il se produit normalement: A. la seconde augmentation de l’occlusion B. la seconde mésialisation de la mandibule C. la troisième augmentation de l’occlusion D. la première augmentation de l’occlusion E. la première mésialisation de la mandibule Laquelle des affirmations suivantes N’est pas vraie: A. l’éruption dentaire se déroule dans un intervalle cyclique dont la moyenne est de 12 mois B. lors du premier an de vie les crêtes alvéolaires gagnent en grosseur et en hauteur grâce au développement des bourgeons dentaires C. au moment de l’éruption les incisives inférieures exécutent un mouvement vers le lingual en diminuant le périmètre de l’arcade D. l’attrition dentaire conduite à la seconde mésialisation de la mandibule E. les incisives centrales inférieures poussent en position linguale par rapport à celles temporaires Le plan post-lactéal: A. dans la marche mésiale conduit à un rapport mésialisé B. dans la marche légèrement mésialisée offre un rapport cuspide dans le fossé intercuspides E Dorobat, Stanciu, pg. 45 E Dorobat, Stanciu,, pg 38 A, C Dorobat, Stanciu, pg.4042 A, B,D,E Dorobat, Stanciu, Pg. 43 5. 6. 7. C. dans la marche mésiale offre un rapport cuspide à cuspide D. en ligne droite offre un rapport cuspide à la cuspide de la molaire 1 E. dans la marche distalisée conduit à une relation occlusale distalisée au niveau de la mollaire L’éruption de la molaire 1 permanente: A. produit la seconde augmentation de l’occlusion B. modifie la forme de l’arcade C. par la poussée mésialisante ne réduit pas l’espace primé D. modifie la longueur de l’arcade E. modifie la forme de l’arcade de demi-ellipse en demi-cercle Sont vraies les affirmations suivantes relatives au développement de l’occlusion de 6 mois à 30 mois: A. l’incisive latérale pousse premièrement sur le maxillaire et ensuite sur la mandibule B. les dents poussent premièrement sur le maxillaire et ensuite sur la mandibule C. l’éruption des incisives inférieures et supérieures réalisent les premières relations occlusales D. l’éruption des molaires 1 déciduales détermine la première augmentation de l’occlusion E. l’éruption des dents temporaires se produit daans un intervalle cyclique de 6 mois Le plan post-lacteal (terminal) en escalier distale determine : a) relation occlusale distale de M1 b) raport cuspid au cuspid pour M1 c) raport cuspid – sillon intercuspidien d) raport molar neutral e) relation occlusale mesiale de M1 A,B,D Dorobat, Stanciu, Pg 45 A,C,D,E Dorobat, Stanciu, Pg. 39 a Dorobat, p43 Sujet 20– L’étiopathogénie des anomalies dento-maxillaires 1. 2. 3. 4. Le syndrome de Pierre- Robin se caractérise par, sauf: A. micro-rétrognathie mandibulaire B. fentes palatines C. inverse avant d'occlusion D. ostéo- dystrophie musculaire E. glossoptose La perte prématurée des dents temporaires peut avoir les conséquences suivantes, sauf: A. Des troubles sévères tridimensionnels dans l’arcade dentaire B. Des incongruences dento-alvéolaires C. Des suréruptions des dents antagonistes D. L’absence des engrenages inverses E. Des contacts et des interférences occlusales Dans les patients avec le syndrome de Turner on peut observer les aspects suivants : A. rétrognathisme mandibulaire B. anomalies dentaire de nombre C. occlusion mésialisée D. anomalies dentaires de forme E. prognathisme mandibulaire Dans les patients avec le syndrome de Turner on peut observer les aspects suivants : C Zegan, Pg.85 D Dorobat, Stanciu, Pg 74 A, B, D Zegan, pg. 85 A, B, C, E Zegan, pg. 85 5. 6. 7. A. rétrognathisme mandibulaire B. hypertélorisme C. facies rond D. prognathisme mandibulaire E. occlusion distalisée Les retards dans l’éruption des dents permanentes peuvent être provoqués par : A. Des modèles génétiques B. Des facteurs tératogènes C. Des causes générales D. Des barrières fibreuses E. Des barrières osseuses La perte prématurée des dents temporaires détermine : A. La migration des dents permanentes en éruption intramaxillaire ou orale B. Des incongruences dento-alvéolaires C. Des suréruptions des dents antagonistes D. Des dilatations de l’arcade E. Des engrenages inverses Pendant les facteurs d’environnement qui influence la croissance et le développement on énumère : a)l’hérédité b) le syndrome Langdon Down c) les traumatismes d) le syndrome Pierre-Robin e) le syndrome Klinefelter A,D,E Dorobat, Stanciu, Pg 75 A,B,C,E Dorobat, Stanciu, Pg 74 c Dorobat, p 63 Sujet 21 – La classification des anomalies dento-maxillaires 1. 2. 3. 4. La 1ère division de la classe II se caractérise par: A. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde couverte B. Rapport mésialisé bilatéral et occlusion profonde en couverture C. Rapport distalisé bilatéral et occlusion ouverte D. Rapport distalisé unilatéral et occlusion profonde en couverture E. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde en couverture La 2ème division de la classe II se caractérise par: A. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde couverte B. Rapport mésialisé bilatéral et occlusion profonde couverte C. Rapport distalisé bilateral et occlusion ouverte D. Rapport distalisé unilatéral et occlusion ouverte E. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde en couverture Le syndrome à compression de maxillaire tel qu’il est classifié par l’école allemande présente les variantes suivantes : A. De conduite forcée B. Protrusion avec écartement C. Avec occlusion profonde couverte D. Avec pressage E. Protrusion sans écartement L’école allemande classifie les malocclusions en : A. Syndrome à compression du maxillaire B. Disharmonies C. Syndrome à l’occlusion croisée D. Syndrome de progénie E Dorobat, Stanciu, Pg. 78 A DS, Pg. 78 B,D,E Dorobat, Stanciu, Pg. 79 A,C,D Dorobat, Stanciu, Pg. 79,80 5. 6. 7. E. Syndrome d’occlusion profonde en couverture Le syndrome de progénie tel que décrit par l’école allemande peut être : A. De conduite condylienne B. De conduite forcée C. Faux (prognathisme mandibulaire) D. Vrai E. Faux (rétrognathisme maxillaire) Les termes que l’école française utilise pour les noms des modifications de l’occlusion au sens vertical sont: A. infraposition B. supraposition C. infraocclusion D. vestibuloposition E. supraocclusion La classification de l’école allemande comprise PAS : a) le syndrome de compression maxillaire b) le syndrome de l’occlusion croisée c) le syndrome de l’occlusion distale d) le syndrome de l’occlusion couverte e) le syndrome de l’occlusion ouverte B,D,E Dorobat, Stanciu, Pg. 80 C,E Dorobat, Stanciu, Pg. 82 c Zegan, p94 Sujet 22– L’examen radiologique dans l’orthodontie 1. 2. 3. 4. 5. La rotation mandibulaire postérieure se caractérise par : A. étage inférieur augmenté B. angle goniaque ouvert C. étage inférieur diminué D. condyle mandibulaire robuste, développé en haut et en avant E. tendance d’occlusion profonde Les plans de référence utilisés dans l’interprétation de la téléradiographie de profil sont les suivantes: A. Le plan de Frankfurt- Po-Or B. Le plan de la base du crâne- Po-Or C. Le plan basal mandibulaire- Nsa-Nsp D. Le plan basal maxillaire- Nsa-Nsp E. L’axe Y de croissance- S-N Le point Gn (sur la téléradiographie de profil) est: A. Le point le plus inférieur de la symphyse mentonnière B. Le point le plus antérieur de la symphyse mentonnière C. Le point le plus postérieur de la symphyse mentonnière D. Le point le plus antérieur et inférieur de la symphyse mentonnière E. Le point le plus inférieur et postérieur de la symphyse mentonnière Dans l’analyse par téléradiographie de profil, les 3 côtés du triangle de Tweed sont représentés par : A. Le plan de Frankfurt B. Le plan de Simon C. L’axe de l’incisive supérieure D. Le plan mandibulaire E. L’axe de l’incisive inférieure A propos de la distance Ao-Bo sont vraies les affirmations suivantes : A. Représente le décalage interbasal sagittal absolu B. Est en relation directe avec les angles SNA, SNB C. Représente le décalage interbasal sagittal relatif A, B Zegan, Pg 61 A, D Dorobat, Stanciu, Pg155 D Dorobat, Stanciu, Pg154 A,D,E Dorobat, Stanciu, Pg163 A,B,E Dorobat, Stanciu, Pg164 6. 7. D. Est inversement proportionnel par rapport à l’angle ANB E. Complète la notion de classe squelettique L’angle que forment le plan basal mandibulaire avec l’horizontale de Frankfurt est représenté par : A. FMIA B. FMA C. IMPA D. IMFA E. ANB La rotation mandibulaire anteroposterieure il est caracterisee par : a) la croissance condyliene en haut et en arriere b) la position haute de l’articulation temporo-mandibulaire c) l’angle goniaque ouvert d) le developemment en exces de la hauteur alveolaire et dentaire laterale e) l’angle goniaque ferme B Dorobat, Stanciu, Pg169 e Zegan, p22 C Zegan, pg 183 D Zegan, pg 184 A, C Dorobat, Stanciu, pg. 385 A, C, D, E Dorobat, Stanciu, pg. 383 A, C, D Dorobat, Stanciu, pg 385-386 Sujet 23– La malocclusion classe II/1 1. 2. 3. 4. 5. La malocclusion de IIème classe de Angle division 1 se caractérise par un rapport molaire bilatéral: A. neutral et occlusion profonde B. mésialise et occlusion inverse frontale C. distalisé et occlusion profonde en couverture; D. vestibularisé et occlusion profonde couverte E. lingualisé et occlusion ouverte frontale Le facteur étiopathogène dysfonctionnel de la malocclusion de IIème classe division 1 est: A. le rachitisme B. le nanisme hypophysaire C. le syndrome de Marfan D. le syndrome lingual protrusif antérieur incomplet E. la perte prématurée des dents temporaires dans la zone d’appui Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème classe de Angle, subdivision 1 les modifications suivantes de la base alvéolaire par rapport à la base coronaire de l’arcade se produisent: A. La base apicale est petite B. La base apicale est grande C. La base coronaire est large D. La base coronaire est étroite E. Aucune des réponses n’est correcte L’aspect facial dans l’anomalie de IIème classe de Angle, subdivision 1 se caractérise par: A. Des téguments pâles B. La lèvre supérieure est grosse C. La lèvre supérieure est mince D. Fente labiale entrouverte E. Mentalis hypertonique Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème classe de Angle, subdivision on observe: A. L’hypotonie uni- ou bilatérale des muscles des narines B. L’hypertonie uni- ou bilatérale des muscles des narines C. L’hypertonie du muscle mentonnier D. L’hypertonie de la lèvre inférieure E. L’hypotonie de la lèvre inférieure 6. 7. I Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème classe de Angle, subdivision 1, l’arcade dento-alvéolaire change de forme, selon le degré de compression, en : A. Oméga B. ”V” C. ”U” D. ”M” E. ”Z” La malocclusion classe II Angle, division 1 il est caractérisée par : a) arcade maxillaire en « trapeze » b) encombrement anterieur c) occlusion couverte en “couvercle de boite” d) arcade maxillaire en « V » e) activite musculaire normale A, B, C, D Zegan, pg 185 d Zegan, p92 C Zegan, pg 189 A Dorobat, Stanciu, pg 396 A, B, E Dorobat, Stanciu, pg 398 D, E Zegan, pg 190 B, D Dorobat, Stanciu, pg. 398 A, B, D, E Zegan, pg 190 Sujet 24– La malocclusion classe II/2 1. 2. 3. 4. 5. 6. La malocclusion de IIème classe de Angle division 2 se caractérise par un rapport molaire bilatéral: A. neutral et occlusion profonde B. mésialise et occlusion inverse frontale C. distalisé et occlusion profonde en couverture; D. vestibularisé et occlusion profonde couverte E. lingualisé et occlusion ouverte frontale Les facteurs étiologiques dysfonctionnels de la malocclusion de IIème classe division 2 sont: A. génétiques B. fonctionnels C. constitutionnels D. généraux E. locaux Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut rencontrer: A. La diminution des diamètres prémolaires et molaires B . Rétrodontie avec surrecouvrement du groupe incisif C. De différents degrés d’écartement dentaire D. Occlusion ouverte E. De différents degrés d’agglomération dentaire Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut rencontrer les signes cliniques suivants: A. Fosse labiomentonnière effacée B. L’étage inférieur du visage surdimensionné C. Menton aplati D. La fente labiale fermement fermée E. Fosse labiomentonière accentuée Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut observer de divers degrés d’abrasion sur : A. La face vestibulaire des incisives supérieures B. La face vestibulaire des incisives inférieures C. La face linguale des incisives inférieures D. La face palatinale des incisives supérieures E. Toutes les réponses sont correctes Lors de l’examen facial dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut observer : A. le modèle euriprosope 7. B. la fente labiale fermement fermée C. la lèvre supérieure grosse, éversée D. la lèvre supérieure courte, mince E. la fosse labio-mentonnière accentuée La malocclusion classe II Angle, division 2 il est caractérisée par : a) occlusion couverte en “couvercle de boite” b) proclinaison de les incisifs superieurs c) occlusion couverte en toit d) occlusion frontale ouverte e) activite musculaire anormale a, Zegan, p92 B Dorobat, Stanciu, Pg.405 C Dorobat, Stanciu, Pg. 406 A,B,D Dorobat, Stanciu, Pg.406 A, B Dorobat, Stanciu, Pg 408 A, B, C, E Zegan, pg 207 A, B, C, Zegan, pg 211 Sujet 25 – La malocclusion de Classe III 1. 2. 3. 4. 5. 6. La malocclusion de classe III se caractérise par: A. des rapports distalisés et occlusion en couverture B. des rapports mésialisés et occlusion inverse frontale C. des rapports distalisés et occlusion couverte D. des rapports normaux et agglomération frontale E. aucune des réponses n’est correcte Dans la malocclusion de III à l’examen par téléradiographie l’on met en évidence: A. l’angle SNA supérieur à 800 B. l’angle SNB inférieur à 780 C. l’angle SNA inférieur à 800 D. l’angle ANB positive E. aucune des réponses n’est correcte Lors de l’examen facial dans la malocclusion de classe III on observe: A. le visage aplati B. les joues foncées C. le profil convexe D. le profil concave E. le profil droit Dans la malocclusion de classe III avec voie de clôture dans la marche mésialisée les secteurs dento-alvéolaires frontaux responsables du guidage inverse se caractérisent par: A. proalvéolodontie inférieure B. rétroalvéolodontie supérieure C. proalvéolodontie supérieure D. rétroalvéolodontie inférieure E. aucune des réponses n’est correcte L’aspect facial dans le prognathisme mandibulaire anatomique se caractérise par: A. profil concave B. la marche labiale inversée C. l’aspect dur, volontaire du visage D. profil convexe E. facies aplati L’aspect facial dans le rétrognathisme maxillaire se caractérise par: A. profil concave B. la région de la lèvre supérieure est enfoncée 7. C. rétrocheilie supérieure D. profil convexe E. procheilie supérieure La malocclusion classe III il est caracterisee par : a) raports distale b) inocclusion sagitale positive c) raports mesiale d) arcade maxillaire espacee e) raports neutrale c, Dorobat, p 405 Sujet 26 – Le syndrome d’inoclusion verticale 1. 2. 3. 4. 5. 6. Les phonèmes dentaux perturbés dans le syndrome d’inoclusion verticale sont: A. ‘’B’’ B. ‘’D’’ et ‘’T’’ C. ‘’M’’ et ‘’T’’ D. ‘’D’’ E. ‘’C’’ et ‘’T’’ Les troubles musculaires dans le syndrome d’occlusion ouverte apparaissent le plus souvent au niveau du muscle : A. ptérygoïdien interne B. masséter C. buccinateur D. ptérygoïdien externe E. aucune des réponses n’est correcte Lesquelles des modifications physionomiques suivantes sont présentes dans le syndrome d’occlusion ouverte : A. facies hyperleptoprosope B. fente labiale fermée sans effort C. fosse labio-mentonnière effacée D. fosse labio-mentonnière accentuée E. profil disharmonieux caractéristique Les troubles de développement du massif facial dans le syndrome d’occlusion ouverte sont à trouver au niveau de : A. la base du crâne B. la mandibule C. le maxillaire supérieur D. les dents E. les processus alvéolaires Dans l’inocclusion verticale frontale l’action du facteur génétique apparait dans : A. le rachitisme B. le syndrome de Down C. les condrodystrophies D. la persistance de la déglutition de type infantile E. aucune des réponses n’est correcte Lesquels des troubles suivants apparaissent dans le syndrome d’occlusion ouverte : A. fonctionnels B. parodontaux C. dentaires D. musculaires E. neurologiques B Dorobat, Stanciu, Pg 431 D Dorobat, Stanciu, Pg 433 A, C, E Dorobat, Stanciu, Pg 434-435 A, B, C, E Dorobat, Stanciu, Pg 436-438 B, C Dorobat, Stanciu, Pg 419 A, B, C, D Dorobat, Stanciu, Pg 431 7. Pour les patients avec syndrome d’inocclusion verticale : a) l’etage facial inferieur est augumente b) l’etage facial inferieur est diminue c) l’etage facial inferieur est normal d) la fante labiale est ouverte e) la branche montante mandibulaire est longue a Dorobat, p 435 D Zegan, Pg 168 D Zegan, Pg 158 A, B, C, E Zegan, Pg 168 A,B,C,E Zegan, Pg 168 A, B, C, D Zegan, Pg 167 A, B, D Zegan, pg 162 a Zegan, p99 Sujet 27 – Anomalies du système dentaire 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. La transposition dentaire complète implique: A. l’inversement partiel sur l’arcade de deux dents voisines B. l’éruption d’une dent loin de l’arcade dentaire C. l’inversement partiel de la place sur l’arcade de deux dents antagonistes D. l’inversement total de la place sur l’arcade de deux dents voisines E. la persistance à l’intérieur de l’os d’une dent avec la racine complètement formée et l’apex fermé Les dents surnuméraires poussées ne produisent pas : A. l’inclusion des dents normales de série B. des malpositions dentaires C. des déséquilibres occlusaux D. la rhizalyse radiculaire pathologique des dents antagonistes E. le diastème pathologique Dans l’étiopathogénie de la transposition dentaire les facteurs locaux suivants sont impliqués : A. des troubles de replacement de la dent temporaire B. des troubles dans la formation des germes dentaires C. des séquences d’éruption inversées D. des traumatismes dentaires E. des retards dans l’éruption dentaire Le diagnostique différentiel de l’hétérotopie se fait par : A. l’éruption dentaire tardive B. l’inclusion dentaire C. l’ectopie D. l’extraction dentaire E. l’hypodontie Le traitement chirurgical–orthodontique de l’inclusion dentaire implique : A. créer de l’espace sur l’arcade B. éliminer les causes étiologiques C. mettre à découvert par chirurgie de la dent incluse D. ancrer et tracter la dent vers l’arcade dentaire E. réimplanter la dent Les formes cliniques des anomalies dentaires de forme sont les suivantes : A. le tubercule de Zuckerkandl- sur la face mésio-palatale des molaires temporaires B. le tubercule de Bolk- sur la face mésio-vestibulaire des deuxièmes molaires permanentes ou de sagesse supérieures C. le tubercule de Zuckerkandl- sur la face mésio-vestibulaire des molaires permanentes D. Sixtum- au niveau de la première molaire permanente inférieure E. le tubercule de Bolk- sur la face mésio-linguale des deuxièmes molaires permanentes inférieures Les anomalies dentaires isolee comprise PAS : a) b) c) d) e) l’encombrement l’anodontie la transposition l’ectopie dentinogeneza imperfecta Sujet 28– L’examen clinique dans l’orthodontie 1. 2. 3. 4. 5. 6. L’examen clinique facial du patient évalue: A. les maladies chroniques générales B. l’indication générale du traitement orthodontique C. l’égalité des étages du visage D. le développement psychique E. l’instauration de la puberté L’examen clinique fonctionnel du patient: A. détermine la normalité ou l’anormalité des fonctions de l’appareil dento-maxillaire B. dépiste des parafonctions C. dépiste des habitudes vicieuses D. toutes les réponses sont correctes E. aucune des réponses n’est correcte Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types faciaux suivants : A. Euryprosope B. Mésocéphale C. Mésoprosope D. Brachycéphale E. Leptoprosope Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types céphaliques suivants : A. Euryprosope B. Mésocéphale C. Mésoprosope D. Brachycéphale E. Leptoprosope La fonction respiratoire peut être évaluée à l’aide des tests fonctionnels suivants : A. Demander 35 inspirations rythmiques B. Demander inspiration et expiration profondes C. Pincer les narines D. Demander 20 inspirations rythmiques E. Le test du miroir Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types faciaux suivants : A. Euryprosope – bas visage B. Leptoprosope – bas visage C. Mésoprosope – visage moyen D. Leptoprosope – haut visage E. Euryprosope – haut visage C Zegan, pg 101 D Zegan, pg 105 A, C, E Zegan, pg 100 B, D Zegan, pg 100 B, C, D, E Zegan, pg 105 A, C, D Zegan, pg 100 Sujet 29– L’analyse du modèle d’étude dans l’orthodontie 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Les valeurs normales de la somme incisive varient entre: A. 28-35 mm B. 22-34 mm C. 27-37 mm D. 26-39 mm E. 28-38 mm Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, on calcule la somme incisive par mesurer à l’aide du compasse la dimension la plus grande mésiodistale coronaire de : A. Les quatre incisives inférieures B. Les deux incisives centrales supérieures C. Les deux incisives centrales inférieures D. Les quatre incisives supérieures E. Les quatre incisives inférieures et les quatre incisives supérieures Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur antérieure maxillaire : A. Représente la distance entre les points de repère des premières molaires supérieures B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80 C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes molaires supérieures D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64 E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/65 Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur postérieure maxillaire : A. Représente la distance entre les points de repère des premières molaires supérieures B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80 C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes molaires supérieures D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64 E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/85 Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur postérieure mandibulaire : A. Représente la distance entre les points de repère des premières molaires supérieures B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80 C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes molaires supérieures D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64 E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/85 Les points de référence pour l’analyse Pont sur le modèle d’étude sont les suivants: A. Le milieu de la fosse sagittale de la première prémolaire supérieure B. La fossette centrale de la deuxième molaire supérieure C. Le point de contact vestibulaire inter-prémolaires inférieur D. L’axe de la cuspide distal-vestibulaire de la première molaire inférieure E. L’axe de la cuspide central-vestibulaire de la première molaire inférieure Dans la malocclusion classe III la curve Spee elle est : a) diminuee b) droit c) accentue, par l’egresion des incisifs inferieurs et l’infraocclusion A Zegan, pg 111 D Zegan, pg 111 A, B Zegan, pg 111 A, D Zegan, pg 111 C, D Zegan, pg 111 A, C, E Zegan, pg 111 c Zegan, p158 molaire d) accentue, par l’egresion des incisifs superieurs et l’infraocclusion molaire e) accentue, par l’ingresion des incisifs inferieurs et la supracclusion molaire Sujet 30– Principes dans la thérapie orthodontique 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. La classification du traitement orthodontique selon les moyens utilisés inclut : A. le traitement prophylactique, interceptif et curatif B. le traitement biomécanique, fonctionnel et chirurgical C. le traitement précoce, normal et tardif D. le traitement étiologique et morpho-fonctionnel E. le traitement morpho-fonctionnel et chirurgical L’ingression est un déplacement dentaire : A. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion B. de translation de la dent C. autour de l’axe long radiculaire D. sur l’axe long, vers la base maxillaire E. d’inclinaison de la dent : Selon leur intensité on classifie les forces orthodontiques en : A. Forces extraorales B. Forces faibles C. Forces intraorales D. Forces moyennes E. Forces intermittentes Selon leur rythme d’application on classifie les forces orthodontiques en : A. Forces extraorales B. Forces continuelles C. Forces intraorales D. Forces moyennes E. Forces intermittentes La version est un déplacement dentaire : A. d’inclinaison de la dent B. de translation de la dent C. où la couronne et la racine se déplacent simultanément, mais en des sens contraires D. sur l’axe long, vers la base maxillaire E. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion L’égression est un déplacement dentaire : A. d’inclinaison de la dent B. de translation de la dent C. où la couronne et la racine se déplacent simultanément, mais en des sens contraires D. sur l’axe long, vers la base maxillaire E. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion Le traitement orthodontique prophyfilactique comprise PAS : a) l’extraction des dents temporaires b) l’identification des habits c) l’identification des disfonctions d) le control de la position de M1 permanentes e) le guidage de l’eruption des dents permanentes B Zegan, pg 226 D Zegan, pg 249 B, D Zegan, pg 246 B, E Zegan, pg 246 A, C Zegan, pg 248 A, C Zegan, pg 250 e Zegan, p234 Sujet 31– Appareils orthodontiques amovibles 1. 2. 3. 4. 5. 6. L’arc de Coffin agit de la manière suivante : A. Expansion radiale de l’arcade maxillaire B. Expansion asymétrique de l’arcade maxillaire C. Distalisation des dents du côté latéral maxillaire D. Mésialisation des dents du côté latéral mandibulaire E. La dérotation des dents du côté frontal maxillaire La vis orthodontique développe des forces orthodontiques: A. Moyennes et continuelles B. Faibles et intermittentes C. Moyennes et intermittentes D. Faibles et continuelles E. Faibles et moyennes Les éléments d’ancrage des appareils biomécaniques amovibles sont : A. Le crochet de Stahl B. Le crochet de Adams C. L’arc en croissant D. L’écran vestibulaire E. L’arc de Coffin L’arc en double boucle est recommandé dans: A. La palato-version de l’incisive B. La vestibulo-version de l’incisive C. La rotation de l’incisive D. La mésialisation de l’incisive E. L’ectopie de l’incisive Les affirmations suivantes sur la plaquette de Schwarz sont vraies: A. Est un appareil amovible mixe B. Est indiquée dans la compression symétrique de maxillaire avec rétroposition mandibulaire fonctionnelle C. Est formée de la plaque palatine et d’un plan incliné vers l’avant D. Est formée de la plaque linguale et d’un plateau rétroincisal E. Est indiquée dans le prognathisme mandibulaire fonctionnel L’arc en diapason est recommandé dans : A. Le déplacement mésial d’une incisive B. La vestibularisation d’une incisive C. Le déplacement distal d’une incisive D. L’occlusion du diastème E. L’ectopie d’une incisive A Zegan, pg 267 C Zegan, pg 267 A, B Zegan, pg 264265 A, C Zegan, pg 270 A, B, C Zegan, pg 273 A, C, D Zegan, pg 270 Sujet 32– Appareils orthodontiques fonctionnels 1. 2. Les affirmations suivantes sur le régulateur Frankel de type III sont vraies, à une seule exception: A. est un activateur élastique B. est recommandé pour corriger malocclusion de classe III par causes fonctionnelles dans la dentition mixte C. est recommandé pour corriger la malocclusion de classe II/2 par causes fonctionnelles dans la dentition mixte D. est un activateur myodynamique E. son principe d’action a à la base le concept de récupération de l’espace oral fonctionnel Le monobloc de Robin présente les caractéristiques suivantes, à une seule C Zegan, pg 285 C Zegan, pg 280 3. 4. 5. 6. exception: A. est un appareil fonctionnel amovible B. est un appareil fonctionnel bimaxillaire C. est un appareil fonctionnel élastique D. est un appareil fonctionnel passif E. est un appareil fonctionnel rigide Selon les effets produits sur les groupes de muscles, on classifie les appareils fonctionnels dans: A. appareils myotoniques B. appareils actifs C. appareils passifs D. appareils myodynamiques E. appareils bimaxillaires Selon leur siège, on classifie les appareils fonctionnels dans : A. appareils myotoniques B. appareils oraux C. appareils passifs D. appareils myodynamiques E. appareils vestibulaires Selon leur manière d’agir, on classifie les appareils fonctionnels dans: A. appareils myotoniques B. appareils actifs C. appareils passifs D. appareils myodynamiques E. appareils bimaxillaires Les indications cliniques des appareils fonctionnels sont les suivants : A. dans le traitement étiologique B. dans le traitement interceptif des anomalies dento-maxillaires par causes fonctionnelles C. dans le traitement actif des anomalies dento-maxillaires par causes fonctionnelles D. dans le traitement chirurgical-orthodontique E. dans les patients dont la croissance est finalisée A, D Zegan, pg 278 B, E Zegan, pg 278 B, C Zegan, pg 277 A, B, C Zegan, pg 277 Sujet 33– La contention et la récidive dans l’orthodontie 1. 2. 3. La durée de la période de contention est influencée par plusieurs facteurs, sauf: A. Le type constitutionnel du patient B. Le type de développement facial du patient C. L’âge de traitement de la malocclusion D. La durée du traitement actif orthodontique E. Le sexe du patient La durée de la période de contention est influencée par plusieurs facteurs, sauf: A. Le type constitutionnel du patient B. Les antécédents hérédo-collatéraux C. La durée du traitement actif orthodontique D. Le type de développement facial du patient E. L’âge de traitement de la malocclusion Les causes générales de la récidive sont les suivantes: A. Le type constitutionnel du patient B. Le type facial du patient C. L’éruption des molaires de sagesse E Zegan, pg 376 B Zegan, pg 376 A, B, E Zegan, pg 375 4. 5. 6. D. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse E. Les troubles endocrines du patient Les causes générales de la récidive sont les suivantes: A. Le type facial du patient B. Le type de développement facial du patient C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse D. Le type constitutionnel du patient E. L’hypocorrection de la malocclusion Les causes locales de la récidive sont les suivantes: A. Le type facial du patient B. La modification de la distance entre les canines C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse D. Le type constitutionnel du patient E. L’hypocorrection de la malocclusion Les causes locales de la récidive sont les suivantes: A. Le type facial du patient B. La modification de la distance entre les canines C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse D. Le type constitutionnel du patient E. Le manque de coïncidence de la relation centrique avec l’intercuspidation maximale A, B, D Zegan, pg 375 B, C, E Zegan, pg 375 B, C, E Zegan, pg 375 Sujet 34. Traitement de la carie dentaire Cours Traitement de la carie dentaire- Licence plateforme Elearning Traitement de la carie dentaire TP- Licence plateforme Elearning Enoncé question Réponse NR. CRT. 1*. L`écartement de la dentine infectée se fait par des méthodes: A. rotatif B. manuel C. mécano-chimique D. laser E. toutes les variantes sont correctes 2.* La réalisation de forme de rétention pour une cavité de classe I Black afin de restaurer avec l`amalgame, se compose de: A. la préparation de base de la cavité dans l'émail, chaque fois qu’il est possible B. les contours biseautés d'émail pour augmenter la surface de contact C. les parois latérales divergentes vers occlusal D. des parois latérales parallèles ou convergentes vers la face occlusale E. les planchers convexes 3. La forme d´adhésion des cavités afin de restaurer avec matériaux composites est réalisée par : A. le bisotement des marges de cavité B. le conditionnement acide C. application des adhésifs amélo-dentinaires D. l'application des liners de Ca (OH) 2 E. application des vernis 4. La forme de rétention de la cavité proximo-occlusale limité est obtenue par: A. des lieux proximaux de retentions B. sillon gingivale C. des sillons occlusaux D. la convergence des parois vestibulaires et oraux vers occlusal, Slide E Tp 2 slide 7,8 D Tp2 slide 12 A, B, C Tp2 slide 14 A,B,D Tp2 slide 15 5. 6*. 7. 8. E. réalisation d`une cavité occlusale en forme de « « queue d’hirondelle » Dans les cavités de classe II Black, une préparation conventionnelle biseautée: A. offre une plus grande surface d'adhésion, permettant le conditionnement des têtes des prismes, augmentant la rétention B. réduit la percolation marginale C. augmente la résistance des parois et des dents en général D. augmente la résistance d`obturation E. empêche la contraction de la matérielle Dans une cavité tunnelisée: A. la crête marginale est interrompue seulement partiellement pour créer un accès B. l`un des inconvénients est la relative incapacité de contrôler l'excision des tissus endommagés C. utiliser des instruments à main seulement pour le préparé D. la principale indication est représentée par la carie proximale noncavitaire limitée à émail E. l'amalgame est le matériau de choix pour l`obturation Dans les cavités de classe III Black, la restauration avec ciments verreionomère modifiée avec de résine est indiquée dans les situations suivantes: A. des lésions cavitaires de faible amplitude B. les patients avec un risque cariogène accru C. requêtes occlusale minimale D. lésions de grande amplitude E. les zones d’augmentation du stress occlusal La forme de rétention de la cavité de classe V Black pour une restauration avec amalgame est constituée en : A. les parois latérales sont légèrement convergentes vers l'extérieur B. la réalisation des sillons au niveau de l’angle axio-occlusal et l’angle axio-gingival C. la réalisation d’un sillon circonférentiel à l'union des parois latérales avec la paroi axiale D. un biseau à la paroi gingivale E. les parois latérales divergentes vers extérieur A,B,C Tp 8 slide 31 B Tp 8 slide 50 A,B,C Tp 9 slide 70 A,B,C Tp 10 slide 86 Sujet 35. Etiopathogenie de la carie dentaire NR. Crt. 1. 2. Cours Etiopathogénie de la Carie dentaire- Licence plateforme Elearning Enoncé de la question Réponse La fonction antimicrobienne de la salive est donnée par : A,B,C A. lysozyme B. lactoférine C. mucine D. phosphate E. amylase Les systèmes tampon majeur tant pour la salive non stimulée que pour A,C,E la salive stimulée sont: A. les ions bicarbonate B. histatine et mucine, cistatine, C. les ions phosphates D. peroxydase Slide COURS CARIO SLIDE 6 3 I COURS CARIO SLIDE 6 3 I 3. 4. 5. 6. 7. 8. E. protéines La taille de la couronne dentaire : A. n’influence pas la cariosusceptibilité B. influence la cariosusceptibilité à la suite des variations de l'épaisseur de l'émail C. est inversement proportionnelle à la cariosusceptibilité D. influence la cariosusceptibilité par une surface exposée à l`attaque E. influence la cariosusceptibilité par le temps nécessaire d`éruption dentaire Les caractéristiques morphologiques dentaires qui déterminent la cariosusceptibilité sont: A. des sillons et fissures avec abrasion B. des convexités coronaires lisses C. la jonction amélo-dentinaire ouverte D. le tubercule de Carabelli aux premières molaires mandibulaires E. des sillons et fissures étroites et profondes Les micro-organismes impliqués dans la cariogenèse sont: A. Streptocoques mutans, lactobacilles B. Streptocoques sobrinus, mitis C. Lactobaciles D. Actinomyces E. Candida La plaque bactérienne cariogène est caractérisée par: A. la concentration d'un grand nombre d'acides et les microorganismes acidogènes B. le pH de repas faible C. une perméabilité réduite à la salive D. la concentration faible des ions calcium et phosphate E. la concentration augmentée d'urée Par catabolisme, les bactéries cariogènes dans la plaque bactérienne produisent: A. acide phosphorique B. acide lactique C. acide propénoïque D. acide chlorhydrique E. acide pyruvique Les Streptocoques mutans sont considérés comme les germes bactériens les plus cariogènes parce que: A. développent l'acide à un pH compris entre 4,3 şi 3,8 B. produisent la plus grande quantité d'acide / unité de temps quand ils fournissent de la saccharose C. synthétisent les polysaccharides ainsi, même après l'arrêt du carbohydrate alimentaire, peuvent survivre et produire des acides D. produisent de l'acide le plus nocif : l'acide carbonique E. ont une dose seuil très bas pour la colonisation D,E cours 4 cario I slide 55 C,E, cours 4 cario I slide 56 A,B,C,D cours 5 cario I slide 91 A,B,C,D, cours 5 cario I slide 92 B,C,E, cours 5 cario I slide 93 B,C cours 5 cario I slide 113 Sujet 36 - Formes anatomo-cliniques: pulpites réversibles et irréversibles Nr crt 1* Raspuns 1. Dans la pulpite séreuse partielle : a. la percussion en axe est douloureuse; b. la percussion transversale est douloureuse; e Pag 73 2* 3* 4* 5 c. les tests de vitalité répondent seulement aux stimuli; e. aux tests de vitalité la réponse d’intensité accrue est intensément positive, avec une douleur prolongée. La symptomatologie subjective dans la pulpite séreuse totale est dominée par : a. crises douloureuses violentes alternant avec des périodes de rémissions; b. la tendance d’irradier la douleur; c. le caractère pulsatile de la douleur; d. la percussion en axe positive; e. la présence d’un processus carieux profond. „La rage des dents‟ est une expression connue pour l’illustration de l’intensité de la douleur dans : a. la pulpite aiguë séreuse partielle; b. la pulpite aiguë séreuse totale; c. la parodontite apicale aiguë séreuse; d. la pulpite aiguë purulente partielle; e. la pulpite aiguë purulente totale. Les tests de vitalité sont intensément positifs dans: a. la carie simple; b. pulpites aiguës séreuses; c. pulpites aiguës purulentes; d. pulpites chroniques ouvertes; e. pulpites chroniques fermées. 11. Le diagnostic positif de l’hypérémie pré inflammatoire : a. la persistance de la douleur pendant 30-40 min. après que l’excitant cesse, localisée, provoquée surtout par la chaleur, l’existence d’un processus carieux, non-pénétrant ou traitements récents sur la dent en cause, tests de vitalité positifs ; b. la persistance de la douleur quelques minutes avant que l’excitant cesse, localisée, provoquée surtout au froid et au doux, l’existence d’un processus carieux profond, non-pénétrant ou des traitements récents sur la dent en cause, tests de vitalité positifs; c. l’existence d’un processus carieux profond, non-pénétrant ou des traitements récents sur la dent en cause, tests de vitalité positifs; d. la persistance de la douleur 25-30 min, après l’arrêt de l’excitant, localisée, provoquée surtout au chaud, l’existence d’un processus carieux profond, pénétrant, percussion dans l’axe positive; e. la persistance de la douleur tant que l’excitant agit, localisée, provoquée surtout par le froid et douce, l’existence d’un processus carieux profond, non-pénétrant ou des traitements récents sur la dent en cause, tests de vitalité positifs. b 75 b 75 b 72-81 b,c 71 6 Indications de traitement dans l’hyperémie pré inflammatoire: a. le traitement de la carie dentaire et coiffage indirect; b. le traitement de la carie dentaire et coiffage direct dans un temps, au cas de l’ouverture accidentelle de la chambre pulpaire; c. le traitement de la carie dentaire et coiffage direct en deux temps, au cas de l’ouverture accidentelle de la chambre pulpaire; d. amputation vitale; e. extirpation vitale. a,c,d,e 72 7 Le diagnostic différentiel de l’hyperémie préinflamatoire se fait avec: a. l’hypersensibilité et l’hyperesthésie dentinaire; a,e 71 8 b. la gangrène pulpaire; c. la pulpite chronique ouverte ulcéreuse; d. la pulpite chronique fermée proprement dite; e. pulpite aiguës coronaires. Le diagnostic différentiel dans la pulpite séreuse partielle se fait avec: a. la carie simple dentaire; b. l’hyperémie préinflamatoire; c. la pulpite aiguë séreuse totale; d. la pulpite purulente partielle; e. la pulpite purulente totale. b,c,d,e 74 Sujet 37 - Nécrose pulpaire aseptique et septique (gangrène) Nr crt 1* 2* 3* 4* 5 Raspuns Les facteurs causaux à action favorisante dans la nécrose pulpaire peuvent être: a. traumatismes à intensité réduite, mais répétés; b. luxations, intrusions; c. diabète, hypertension artérielle; d. températures supérieures à 75 ͦC; e. températures sous 0 ͦC. Les premiers éléments qui ont souffert dans l’évolution de la nécrose pulpaire : a. les cellules; b. les fibres conjonctives; c. les parois vasculaires; d. les fibres nerveuses; e. la substance fondamentale. La nécrose humide : a. c’est une forme de la gangrène pulpaire; b. est produite sous action enzymatique; c. est dominée par des phénomènes de coagulation du protoplasme; d. fréquemment installée après l’application des pansements arsenicaux; e. peut être causée par des solutions antiseptiques du type antiformine. Ce qui suit est vrai pour la nécrose humide, exception faite : a. c’est une mortification aseptique de la pulpe dentaire; b. la dent a une couleur modifiée; c. les tests biochimiques sont négatifs; d. les tests de vitalité au stimulus électrique ne peuvent pas donner une réponse faussement négative; e. les tests de vitalité au courant électrique peuvent donner une réponse faussement positive. L’évolution et les complications de la gangrène pulpaire peuvent être vers : a. la parodontite apicale ; Pag c 94 a 97 b 98 d 98 a,c,d,e 6 7 8 b. la nécrose pulpaire ; c. la fracture coronaire ; d. la maladie de foyer ; e. la fracture coronaire-radiculaire. L’examen radiologique de la gangrène pulpaire : a. est éloquent ; b. peut relever une radiotransparence périapicale ; c. peut relever un éventuel rétrécissement du canal radiculaire ; d. peut mettre en évidence l’existence des denticules ; e. peut parfois mettre en évidence une transparence augmentée du canal radiculaire. Des modifications de couleur de la dent peuvent être rencontrées dans : a. la nécrose pulpaire ; b. la pulpite chronique ouverte ; c. la gangrène pulpaire ; d. la pulpite chronique fermée hyperplasique ; e. la pulpite chronique fermée proprement-dite. Les microorganismes impliqués dans la pathologie de la gangrène pulpaire sont : a. des streptocoques béta-hémolytiques ; b. le staphyloccus blanc ; c. le staphyloccus aureus ; d. des gonocoques ; e. des pneumocoques. c,d,e a,c,d a,b,c,e Sujet 38 - Parodontites apicales aiguë et chroniques Nr crt 1* 2* 3* 4* Raspuns La parodontite apicale aiguë au stade d’hyperémie : a. représente la phase initiale de l’inflammation pulpaire ; b. représente la phase initiale de l’inflammation de l’os ; c. représente la phase initiale alvéolaire apicale ; d. représente la phase initiale alvéolaire du septum interradiculaire ; e. représente la phase initiale alvéolaire du septum interdentaire. La deuxième phase dans l’évolution de l’inflammation du parodonte dans la parodontite apicale aiguë au stade d’hyperémie : a. est nommée „le temps muet‟ ; b. est caractéristique par les manifestations vasculaires ; c. est la phase d’altération tissulaire primaire cliniques ; d. est une hypérémie de type passif ; e. dure entre quelques heures et quelques jours. Parmi les parodontites apicales chroniques à image contourée peuvent être énumérées les suivantes à l’exception de : a. la parodontite apicale chronique fibreuse ; b. granulome simple conjonctif : c. granulome épithélial ; d. granulome de type kystique ; e. la parodontite apicale chronique condensante. La percussion dans l’axe est positive dans les parodontites apicales chroniques : a. en 90% des cas ; b. en 20% des cas ; Pag c 104 b 106 e 114 b 114 5 6 7 8 c. en 100% des cas ; d. en 70% des cas ; e. en 50% des cas. La douleur dans la parodontite apicale chronique peut revêtir les aspects suivants : a. absente ; b. névralgiforme ; c. sensation d’égression légère; d. douleur à sensation de fatigue après la mastication ; e. pulsatile. À propos du granulome simple conjonctif on peut affirmer : a. c’est une ostéite apicale chronique ; b. c’est une parodontite apicale chronique ; c. c’est aussi nommé granulome interne de Palazzi ; d. morphopathologiquement présente 4 zones ; e. le plus concluent est l’examen radiologique. La symptomatologie de la parodontite : a. est différente en fonction des facteurs étiologiques ; b. la percussion latérale est positive ; c. la percussion dans l’axe est négative ; d. est dominée par la douleur à l’atteinte de la dent causale ; e. la percussion dans l’axe est positive. L’œdème de la parodontite apicale aiguë séreuse : a. intéresse la livre supérieure pour les dents incisives supérieures; b. intéresse l’aile du nez pour le group molaire ; c. intéresse la région palpébrale pour les canines supérieures ; d. intéresse la région mentonnière pour les incisives inférieures ; e. intéresse la région de la joue (zygomatique) pour les molaires inférieures. b, c, d a, b, d, e a, d, e a, c, d Sujet 39 - Traitement des dents avec nécrose aseptique et septique (gangrène) Nr crt 1* 2* 3* Raspuns L’isolation de la dent pendant le traitement mécanique de la gangrène pulpaire : a. est obligatoire tout au long du traitement ; b. est facultative tout au long du traitement ; c. l’isolation de la dent n’est nécessaire qu’après le premier pansement occlusif ; d. est obligatoire dans la troisième séance ; e. est obligatoire au moment de l’obturation radiculaire définitive. Ne bénéficient pas de traitement conservateur les dents qui présentent : a. des racines en baïonnette ; b. des racines aux courbures exagérées ; c. fausses voies interradiculaires ; d. implantation déficitaire ; e. tous les éléments ci-dessus. Le pH du hydroxyde de calcium est compris entre : a. 10-11 ; b. 11-12 ; c. 12-13 ; d. 7-9 ; Pag c 167 e 159 b 198 e. 8-10. 4* 5 6 7 8 Le traitement mécanique dans la gangrène pulpaire s’effectue : a. jusqu’au foramen apical ; b. jusqu’à la constriction apicale ; c. jusqu’à la jointure des 2 /3 coronaire avec 1/3 apicale du canal ; d. jusqu’à 1/2 du canal. e. avec un léger dépassement de la constriction apicale. Si l’on rencontre sur les canaux des obstacles formés des dépositions calcaires, le traitement mécanique peut être associé aux suivantes substances chimiques de perméabilisation: a. le sel sodique d’EDTA solution 10% ; b. acide sulfurique solution 20-30% ; c. antiformine ; d. la solution chlorhexidine 1% ; e. eugénol. Parmi les méthodes mécaniques de préparation du canal radiculaire dans la gangrène pulpaire font partie les systèmes suivants : a. le système Giromatique ; b. canal Master U ; c. la méthode de la conversion ; d. canal Finder ; e. le système des marches consécutives. Dans le choix de la substance médicamenteuse utilisée dans le traitement de la gangrène pulpaire, on peut se guider selon les critères suivants : a. la forme anatomo-clinique de la gangrène (humide ou sèche) ; b. la présence ou l’absence des complications du parodonte apical ; c. le type de réactivité du patient ; d. la concentration de la solution ; e. le manque de l’effet bactéricide de la substance. Dans les traitements endodontiques, les antiseptiques sont utilisées sous les suivantes formes ou procédures : a. pansements endodontiques ; b. irrigations ; c. associées aux agents physiques ; d. d’une manière différenciée aux monoradiculaires par rapport aux pluriradiculaires ; e. seulement chez les personnes âgées. b 166 a,b,c a,b,d a,b,c a,b,c Sujet 40 - Obturation des canaux radiculaires. Nr crt 1* Raspuns A l’épreuve du master-cône, sans la technique de condensation thermomécanique de la gutta percha (Mc Spadden) celui-ci doit s’arrêter : a. la constriction apicale ; b. à 1 mm de la constriction apicale ; c. à 1,5-2 mm de la constriction apicale ; d. à 4-3 mm de la constriction apicale ; e. à l’apex radiologique. c Pag 235 2* 3* 4* 5 6 7 8 Dans la technique d’injection de la gutta-percha ramollie par réchauffement doivent être respectées les conditions suivantes, avec une exception: a. l’élargissement adéquat du canal radiculaire ; b. le respect des règles de préparation des canaux radiculaires ; c. l’utilisation de la cément de scellement pour la réalisation de la cémentation apicale ; d. le placement correct de la cime de la canule ; e. l’élargissement excessif du canal radiculaire. Les Finger spreaders présentent les suivants avantages vis-à-vis des hand spreaders : a. permettent l’écartement aisé du canal, avec la dislocation de la gutta-percha ; b. ne permettent pas la rotation du spreader autour de son axe ; c. confèrent à l’opération une grande sensibilité tactile ; d. la parte active a la forme cylindrique ; e. la longueur de la partie active est d’environ 20 mm. Si le stop apical dans la condensation latérale au chaud par la technique Endotec manque, on recommande l’introduction du master-cône : a. jusqu’à la limite apicale établie par odontométrie ; b. jusqu’à 1 mm de la limite apicale établie par odontométrie ; c. jusqu’à 2 mm de la limite apicale établie par odontométrie ; d. au-delà de la limite apicale ; e. jusqu’au tiers moyen du canal. Les avantages de la technique de condensation verticale à chaud de la gutta-percha ne sont pas représentées par : a. assure une obturation homogène des canaux ; b. ne nécessite pas un élargissement excessif des canaux ; c. ne nécessite beaucoup de temps ; d. ne nécessite d’instruments spéciaux ; e. petite fréquence des obturations comme dépassement par rapport à d’autres techniques. Les finger spreaders présentent les suivants avantages par rapport aux spreaders : a. utilisation plus légère dans les zones distales ; b. permettent la rotation autour son propre axe dans tous les deux sens ; c. permettent le léger écartement du canal, sans la dislocation de la gutta-percha ; d. sont plus minces ; e. confèrent une plus grande sensibilité tactile. Dans la condensation verticale à chaud de la gutta-percha, le coiffage du cône principal avec cément de scellement et sa propulsion dans le canal ne se fait pas jusqu’à : a. 1 mm de la constriction apicale ; b. 2-3 mm de la constriction apicale ; c. 4 mm de la constriction apicale ; d. 5 mm de la constriction apicale ; e. 10 mm de la constriction apicale. Le ramollissement de la portion apicale de 2 mm de cône, par l’introduction dans le chloroforme dure, ne se fait en: a. 3-4 secondes ; b. 3 minutes ; c. 1 minute ; e 237 c 223 c 223 b,c,d,e b,c,e b,c,d,e b,c,d,e d. 2 minutes ; e. 20 minutes. Sujet 41 - Traitement des parodontites apicales aiguë et chroniques Nr crt 1* 2* 3* 4* 5 6 Raspuns Si la sécrétion se maintient aussi dans le canal après l’utilisation des pansements médicamenteux, on peut recourir à l’obturation provisoire du canal avec : a. Dontisolon ; b. Pâte Walkhoff ; c. cément zinc oxyde eugénol ; d. endométhasone ; e. cément phosphate de zinc. Le traitement de la parodontite apicale séreuse exsudative nécessite : a. irrigations endocanalaires aux solutions antiseptiques ; b. la perméabilisation de l’apex ; c. la dent est laissée ouverte ; d. l’application de compresses froides ; e. toutes les solutions ci-dessus. Le traitement de la parodontite apicale arsenicale, la forme grave consiste en : a. l’extraction de la dent ; b. le curetage de l’alvéole jusqu’à l’os sain ; c. l’application dans l’alvéole de cônes aux antibiotiques ; d. la protection de l’alvéole avec une mèche appliquée superficiellement ; e. toutes les solutions ci-dessus. Les facteurs qui conditionnent la sévérité des manifestations cliniques dans les dépassements apicaux NE sont pas représentés par : a. l’état de parodonte apical avant l’obturation ; b. le volume de substance qui a dépassé l’apex ; c. la qualité du matériel d’obturation ; d. la forme sur section du canal radiculaire ; e. le type de réactivité individuelle. Le schéma de traitement dans les parodontites apicales aiguës purulentes dans les stades endo-osseux comprend les étapes suivantes: a. drainage endodontique associé aux antibiotiques ; b. drainage combinée, endodontique et par ostéotomie transmaxillaire ; c. drainage alvéolaire par l’extraction de la dent ; d. médication analgétique, tranquillisants ; e. extraction et replantation. L’administration des antibiotiques dans le traitement des parodontites apicales aiguës exsudatives purulentes n’est pas recommandée dans les circonstances suivantes : a. dans la phase endosseuse lorsque le drainage n’est pas satisfaisant et que l’état du patient est altéré ; b. dans la phase endosseuse, lorsque le drainage n’est pas satisfaisant vu de différentes causes ; c. dans la phase sous-périostale ; Pag b 259 e 256 e 256 d 251-252 a,b,c,d b,c,d,e d. dans la phase sous-muqueuse ; e. lorsqu’on ne peut pas faire un traitement correct endodontique. Lequel des facteurs suivants ne conditionnent pas l’intensité des manifestations chimiques dans les dépassements apicaux : a. le volume de substance qui a dépassé l’apex ; b. la qualité du matériel d’obturation ; c. le voisinage de certaines formations nerveuses ; d. le type de réactivité individuelle ; e. toutes les possibilités ci-dessus. 14. Au cas de la sécrétion séreuse abondante sur le canal de la parodontite apicale chronique on indique : a. drainage endodontique ; b. laisser l’ouverture de la dent ; c. la création d’une fistule artificielle médicamenteuse ; d. l’obturation provisoire avec la pâte à base d’hydroxyde de calcium ; e. la cautérisation chimique avec acide trichloracétique. 7 8 a,b,c,d a,b,c,d Sujet 42: La morphophysiologie du parodonte marginal 1. 2. 3. 4. 5. (Silvia Mârțu, Liliana Păsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014 Chapitre I : L’anatomie et la fonctionnalité du parodonte, pages 7-23) La Livre, page réponse *Le parodonte superficiel est formé par: C 1, Pg.7 A. L’os alvéolaire B. Le cément C. La gencive libre D. L’os mandibulaire E. Le desmodonte *Le parodonte profond est formé par : A 1,Pg.7 A. Le cément B. La gencive libre C. La gencive attachée D. La papille vestibulaire E. La papille orale *La gencive peut être divisée en : D 1,Pg.8 A. Gencive alvéolaire B. Gencive masticatoire C. Gencive corticale D. Gencive attachée E. Gencive trabéculaire *L’affirmation suivante regardant la gencive marginale est fausse : E 1,Pg.8 A. La gencive marginale est la partie cervicale du tissu gingival B. La gencive marginale n’est pas attachée mécaniquement à la dent C. La gencive marginale est fixée par simple adhérence D. La gencive marginale a un aspect en lame de couteau E. La largeur de la gencive libre est entre 0,5 et 5mm Le parodonte superficiel est formé par : BDE 1,Pg.7 A. La gencive alvéolaire B. La gencive libre C. La gencive corticale D. La gencive attachée E. Les papilles interdentaires 6. 7. 8. Le parodonte profond est formé par : A. La gencive attachée B. L’os alvéolaire C. Le cément D. Le desmodonte E. La gencive libre La gencive peut être divisée en : A. Gencive libre B. Desmodonte C. Gencive attachée D. Gencive corticale E. Gencive vestibulaire La gencive marginale : A. Est constituée par la partie cervicale du tissu gingival B. Est constituée par la partie apicale du tissu gingival C. Elle est attachée mécaniquement à la dent D. Son aspect sain est régulier, avec une consistance ferme et surface lisse E. Son contour est festonné BCD 1,Pg.7 AC 1,Pg.8 ADE 1,Pg.8 Sujet 43 : L’étiopathogénie des parodontites marginales chroniques 1. 2. 3. 4. 5. (Silvia Mârțu, Liliana Păsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014 Chapitre II : L’éthiopathogénie des affections parodontales, pages 25-48) *Le facteur déterminant dans la maladie parodontale est : A 1,Pg.25 A. La plaque bactérienne B. Le stress C. Le diabète sucré D. Les lésions carieuses E. La composition de la salive *La première étape de la formation du biofilm est représentée par : C 1,Pg.26 A. La production d’exopolisaccharides B. L’adaptation des bactéries a la vie en communauté C. L’adhésion de bactéries planctoniques sur la surface D. La croissance et la maturation du biofilm E. La multiplication bactérienne *Les bactéries G+ : B 1,Pg.27 A. Sont les plus nombreuses dans le sujet avec maladie parodontale B. Sont les plus nombreuses dans le sujet sain C. La plupart des cocci sont représentés par Neisseria spp. D. Les bacilles G+ sont représentés par A.actinomycetemcomitans E. La plupart des bactéries G+ anaérobies strictes non-mobiles font partie de la famille de Bacteriodaceae *Le complexe rouge de Socranski présent : D 1,Pg.28 A. Campylobacter rectus B. Eikenella corrodens C. Prevotella intermedia D. Porphyromonas gingivalis E. Fusobacterium nucleatum Les bactéries principales impliquées dans la parodontite ulceroBC 1,Pg.28 nécrotique sont : A. Aggregatibacter acinomycetemcomitans B. Prevotella intermedia 6. 7. 8. C. Treponema denticola D. Campylobacter rectus E. Porphyromonas gingivalis Le complexe rouge de Socranski présente les bactéries suivantes : A. Porphyromonas gingivalis B. Tannerella forsythia C. Treponema denticola D. Fusobacterium nucleatum E. Eikenella corrodens Les mediateurs proinflammatoires dans la maladie parodontale sont représentés par : A. Ostéoprotegrin B. Vitamine C C. IL-1α D. TNF-α E. PGE2 Les facteurs de risque locaux pour la maladie parodontale sont représentés par : A. Le tartre dentaire B. Les lésions carieuses C. Les malocclusions D. L’obésité E. Le diabète sucré ABC 1,Pg.28 CDE 1,Pg.31 ABC 1,Pg.32-36 Sujet 44: Le diagnostic des maladies gingivales-parodontales 1. 2. 3. 4. (Silvia Mârțu, Liliana Păsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014 Chapitre II : L’éthiopathogénie des affections parodontales, pages 25-29 Chapitre III : Les indices utilisés en parodontologie, pages 49-58 Chapitre IV : L’examen clinique du patient, pages 59-74 Chapitre V : Les examens complémentaires, pages 75-92 Chapitre VII : L’instrumentaire en parodontologie, pages 110-111) *L’examen de la gencive comportera les caractéristiques suivantes à D 1,pag 66-68 l’exception: A. .Le changement de couleur, de texture de la gencive. B. La tendance à saigner au sondage. C. L’oedème, la rougeur de la gencive, l’hyperplasie, les lésions érosives, les ulcérations, les desquamations. D. Les atteintes de la furcation. E. La perte d’attache. *La profondeur de poche est la distance entre: A 1, pag 68 A. Le sommet de la gencive marginale et le fond de la poche. B. Le sommet de la gencive marginale et la base du sulcus. C. La joction émail-cément et le fond de la poche. D. La jonction émail-cément et le sommet de la gencive marginale. E. La jonction émail-cément et jonction émail-cément. *Le niveau d’attache est la distance entre: E 1, pag 68 A. La jonction émail-cément et la base du sulcus. B. La ligne muco-gingival et la jonction émail-cément. C. La ligne muco-gingival et la base du sulcus. D. La jonction émail-cément et la gencive attachée. E. La jonction émail-cément et le fond de la poche. *La sonde parodontale pour les furcations est: C 1, pag 54 5 6 7 8 A. La sonde OMS. B. La sonde Williams. C. La sonde courbe de Nabers. D. La sonde Williams et la sonde OMS. E.L a sonde CPITN. Les éléments de diagnostic sont: A. L’anamnèse. B. L’examen clinique. C. Le sondage parodontal. D. L’examen radiographique. E. L’absence de saignement. L’anamnèse inclut: A. Les motifs de la consultation du patient. B. Les maladies générales. C. Les traitements médicamentaux. D. Les facteurs de risque. E. L’examen microbiologique. Les motifs/les signes de présentation dans le cabinet dentaire sont: A. Le saignement. B. Les changements d’esthétique. C. Les problèmes de mastication. D.L’état de santé parodontale. E.L’absence de saignement. Ne sont pas les buts de sondage parodontal: A. Evaluer la perte d’attache ; B. Déterminer le degré d’atteinte des furcations ; C. Evaluer la quantité de fluide gingival ; D. Evaluer la couleur de la gencive attachée ; E. Evaluer la texture de la gencive attachée ; ABCD 1, pag 59-74 ABCD 1, pag 59-60 ABC 1, pag 59 CDE 1, pag 67-68 Sujet 45. Les formes cliniques – la symptomatologie en gingivites (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași, 2000 Chapitre: Les signes cliniques des gingivites, pages 90-102) 1 *Le plus commun type de maladie gingivale est : A 2, Pg.90 A. L’inflammation simple, provoqué par la plaque bactérienne B. L’inflammation influencée par les facteurs systémiques C. La parodontite agressive généralisée (à la progression rapide) D. La parodontite agressive localisée E. La gingivite ulcéro-nécrotique 2 * La gingivite aigue est : A 2, Pg.91 A. douloureuse, apparait brusque et a une durée courte ; B. moins sévère ; C. elle disparait spontanément et réapparait; D. est le type plus commun ; E. chez les plus âgés 3. * La gingivite chronique bactérienne est : A 2, Pg.91 A. A une évolution lente B. De courte durée C. Toujours douloureuse D. Toujours associée à des maladies systémiques E. Généralisée 4. *La gingivite généralisée affecte: E 2, Pg.91 5 6 7 8 A. La gencive marginale et moins ou pas du tout la gencive attachée B. les papilles interdentaires, la gencive marginale et la gencive attachée C. Une dent ou un petit nombre de dents D. Le parodonte superficiel et profond E. La gencive de toutes les dents La gingivite hyperplasique apparait après la prise de quels types de médicaments : A. L' hydantoïne B. Les antagonistes de calcium C. La cyclosporine D. La vitamine C E. Les anticoagulants Pendant la gingivite ulcéro-nécrotique le patient a: A. De la fièvre; B. L’état général affecté; C. La douleur accentuée par les aliments froids ; D. Lyse osseuse ; E. Mauvaise haleine; Quels facteurs locaux favorisent l’apparition de la gingivite ulcéronécrotique : A. une mauvaise hygiène buccale; B. le tabac; C. L’âge; D. Les saisons; E. La prédominance des spirochètes et des bactéries fusiformes ; Cliniquement, les gingivites se manifestent par: A. modifications de forme; B. modifications de couleur; C. modifications de volume; D. prurit gingival; E. vraies poches parodontales ABC 2, Pg.95 ABE 2, Pg.101 ABE 2, Pg.100 ABCD 2, Pg.125 Sujet 46. Les formes cliniques – la symptomatologie en parodontites (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași, 2000 Chapitres: Les signes cliniques des gingivites, pages 102 – 104 Les signes cliniques des parodontites marginales, pages 105-136) 1 *Histopathologique, les changements de couleur de la gencive A 2, Pg.108 signifient : A. Stase circulatoire ; B. Œdème ; C. Atrophie ; D. Ulcérations ; E. Inflammation ; 2 *Lesquelles des affirmations suivantes ne caractérisent pas une C 2, Pg.106 parodontite marginale ? A. Il y a une inflammation tissulaire ; B. On peut trouver des poches parodontales ; C. Le processus inflammatoire est situé par rapport à l’apex de la racine ; D. La lyse osseuse peut apparaitre ; E. On peut trouver mobilité dentaire ; 3 *La parodontite légère est caractérisée par : E 2, Pg.106 A. Il n’y a pas de perte d’attache ; B. La perte d’attache est la ½ de la longueur de la racine ; 4 5 6 7 8 C. La perte d’attache est supérieure à la ½ de la longueur de la racine ; D. Poches parodontales de 5-6mm ; E. Profondeur au sondage de 4-5mm. *Les lésions inter-radiculaires : A. Peuvent apparaitre au niveau des canines inférieures ; B. Les plus touchées sont les premières molaires inférieures ; C. En plan horizontal, la lésion de I degré consiste à faire passer la sonde parodontale à travers la zone de furcation ; D. Le IIIème degré est une lésion précoce ; E. Ne peuvent pas être mesurées en plan vertical ; La parodontite prepubértaire peut être associée avec: A. Le syndrome DOWN B. Le syndrome Papillon-Lefèvre C. Le sarcome KAPOSI D. Les infections virales à HPV(VPH) E. Le syndrome PLUMMER-VINSON La parodontite agressive localisée (juvénile) est : A. Une maladie rare qui atteint 0,06-0,22% des enfants entre 14 et 25 ans ; B. Une parodontite ulcéro-nécrotique ; C. Une parodontite agressive ; D. Une atrophie parodontale ; E. Une forme de gingivite hyperplasique, secondaire à la prise des médicaments ; Les principaux signes de la parodontite agressive localisée ne sont pas : A. La mobilité dentaire pathologique ; B. Les fausses poches parodontales ; C. La hypercroissance gingivale ; D. L’inflammation gingivale ; E. La diminution du support osseux ; Les manifestations parodontales en SIDA sont associées à : A. La gingivite VIH ; B. La parodontite VIH ; C. La candidose orale ; D. Le sarcome Kaposi ; E. La gingivite allergique ; B 2, Pg.112-114 AB 2, Pg.125 AC 2, Pg.126 BC 2, Pg.126 ABCD 2, Pg.102 Sujet 47. L’évolution, le pronostic et les complications de la parodontite (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași, 2000 Chapitre IX : L’évolution, les complications et le pronostic de la maladie parodontale, pages 137-150) 1. *Un patient à risque est le patient qui: A 2, Pg.148 A. En absence de traitement et diagnostic, il sera édenté avant l’âge de 50 ans B. Est un grand fumeur C. Est atteint d’une maladie systémique D. A une gingivite ulcéro- nécrotique E. A une gingivite chronique 2. *L’abcès parodontal se forme: E 2, Pg.137 A. A côté de la poche parodontale; B. Entre deux poches parodontales; C. Au bord de la poche parodontale ; D. A l'extérieur des poches parodontales ; E. A l'intérieur des poches parodontales. 3. 4. 5. 6. 7. 8. *L’abcès parodontal marginal accompagnés par des phénomènes de cellulite de la lèvre peut simuler l’œdème de Quincke quand il est situé: A. Entre les deux incisives inférieures ; B. Entre les incisives et canines inférieures; C. Entre les incisives et canines supérieures ; D. Entre les deux incisives supérieures ; E. Entre les deux incisives supérieures et entre les deux incisives inférieures. *L’abcès périapical peut être situé: A. Au niveau de l’apex B. Sur la gencive, au niveau de la racine C. Au niveau de la gencive marginale D. Dans la zone d’un traumatisme gingival E. A côté d’une dent vivante Les symptômes objectifs de l’abcès parodontal aigu sont: A. Le gonflement de la gencive ovoïde ou ronde B. Gencives douloureuses C. La muqueuse est violette, brillante D. Douleur à la percussion en axe de la dent E. Gêne spontanée légère Les affirmations suivantes ne sont pas vraies sur l’abcès parodontal aigu: A. N’est pas une complication de la parodontite marginale chronique B. Est situé seulement vestibulaire C. S’accompagne des changements radiologiques de l'os alvéolaire D. Est produit par l’exacerbation de virulence des bactéries dans les poches parodontales lorsque le drainage naturel est réduit ou obstrué E. Est situé seulement palatinal et lingual L’ hypersensibilité est représentée par: A. La sensation douloureuse au contact des agents physiques B. La sensation douloureuse au contact des agents chimiques C. La sensation douloureuse au contact des agents thermiques D. Le saignement gingival E. Les fausses poches parodontales Le bon pronostic de la maladie parodontale est donné de par: A. Le support osseux restant adéquat B. La bonne coopération du patient C. Aucune perte osseuse D. Lésions inter radiculaire de 3eme degré E. La mobilité accrue D 2, Pg.139 A 2, Pg.140 AB 2, Pg.138 ABE 2, Pg.138-139 ABC 2, Pg.142 AB 2, Pg.148 Sujet 48: Le traitement des gingivites (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași, 2000 Chapitre XIII : L’étape éthologique de la thérapie de la maladie parodontale, pages 213-226) 1. *La thérapie initiale parodontale a comme but: C 2, Pg.213 A. La rééquilibration occlusale B. Le traitement orthodontique C. La création d’une cavité orale sans plaque et tartre D. La réalisation des restaurations dentaires 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. E. L’initiation des traitements de la bioactivation du parodonte *Les moyens par lesquels le patient fait le nettoyage sont: A. Le débridement B. L’élimination de la plaque bactérienne par le brossage C. Le traitement mécanique des surfaces radiculaires accessibles D. Le détartrage sur-gingival E. Le détartrage sous-gingival *Une technique correcte de brossage doit éliminer: A. Plus de 85% de plaque bactérienne B. Toute la quantité de la plaque bactérienne C. Jusqu’ à 50% de la quantité de plaque bactérienne D. Plus de 90% de la quantité de plaque bactérienne E. Plus de 50% de la quantité de plaque bactérienne *Le patient doit appliquer à la maison le révélateur de plaque: A. Après le diner/le repas du soir B. Après le brossage C. Après le brossage et le nettoyage interdentaire D. Après le petit-déjeuner E. Il n’est pas indiqué d’appliquer le révélateur de plaque à la maison Les moyens individuels du contrôle de la plaque sont: A. Le brossage professionnel B. Les brosses dentaires C. Les moyens d’hygiène interdentaire D. Les moyens spéciaux d’hygiène buccale E. Le détartrage sur-gingival L’auto-contrôle de la plaque bactérienne à la maison se fait: A. Toutes les deux semaines B. Au début, tous les 2-3 jours C. Une fois par semaine D. Jusqu’à la correction du brossage dentaire E. N’est pas nécessaire Les brosses dentaires souples: A. Sont plus flexibles B. Sont moins traumatiques C. Sont indiqués pour toutes les techniques de brossage D. Sont indiquées pour le brossage du sillon gingival E. Sont indiquées pour les zones inter-dentaires difficiles d'accès La méthode de brossage BASS a les caractéristiques suivantes: A. Elle est recommandée seulement pour les patients avec maladie parodontale B. Est une technique séquentielle C. Facilite le nettoyage de la face distale de la dernière molaire D. Utilise les mouvements vibratoires E. Il est recommandé seulement pour les patients avec récessions parodontales B 2, Pg.214 A 2, Pg.215 C 2, Pg.214 BCD 2, Pg.214 BCD 2, Pg.214 ACD 2, Pg.215 BCD 2, Pg.216 Sujet 49. Le traitement des parodontites marginales. La contention des dents parodontiques (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași, 2000 Chapitre XIII : L’étape éthologique de la thérapie des maladies parodontales, pages 222-245 Chapitre XIV : La phase corrective dans la thérapie parodontale, pages 258-260) 1. *L’angle d’utilisation pour les curettes Gracey est : D 2, Pg.224 A. 20° B. Il n’ y a pas un certain angle C. L’angle pour la meilleure adaptation des curettes D. L’angle 45-90° E. 10° 2. *La contention des dents mobiles affectées par une maladie A 2, Pg.229 parodontale : A. Constitue un moyen thérapeutique d’équilibration fonctionnelle dans le traitement complexe parodontal B. Appartient au traitement prothétique curatif-correctif C. Représente un moyen thérapeutique D. Se réalise seulement chez les jeunes E. Est contre-indiqué chez les personnes avec diabète sucré 3. *La contention dans un seul plan se réalise : A 2, Pg.232 A. Sur les dents latérales B. Sur les dents frontales C. A et B D. En aucun cas E. Dans tous les cas. 4. *Pour la contention des dents frontales, dans le cas où les canines sont A 2, Pg.234 bien implantées : A. Ce n’est pas obligatoire, l'implication des autres dents B. C’est obligatoire l'implication des autres dents C. On doit impliquer les prémolaires D. On n’implique pas les canines E. Aucun des variantes. 5. La tétracycline a les avantages suivants pour le traitement de la maladie ADE 2, Pg.239 parodontale : A. Une concentration élevée dans le sérum et dans le fluide gingivale B. Elle peut être administrée en lupus C. Peut s’administrer pour les affections rénales D. Inhibe la résorption osseuse E. Effet anti-inflammatoire 6. Les contre-indications de l’administration de la tétracycline sont : ABCD 2, Pg.240 A. La grossesse B. Les enfants sous 12 ans C. Les affections rénales D. Le lupus E. La schizophrénie 7. Le métronidazole est indiqué en : ABC 2, Pg.241 A. GUNA (gingivite ulcéro-nécrotique aigue) B. Infections avec plus de 50% spirochètes C. Infections avec trichomonas D. Pour le patient en traitement avec lithium E. Pour le patient avec thérapie anticoagulante 8. Les indications majeures de la contention dentaire provisoire sont : ABCD 2, Pg.231 A. La stabilisation des dents avant et après la chirurgie parodontale B. Pour la prévention de la migration pathologique des dents C. Quand la mobilité ne peut pas être réduite après l’équilibration occlusale D. L’évaluation du pronostic E. Pour le rétablissement de la fonction physionomique Sujet 50. Les principales lignes thérapeutiques et schémas de traitement pour les maladies parodontales (Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași, 2000 Chapitre XVII : Protocoles et schémas de traitement, pages 306-320) 1. *Chez un patient souffrant d’une gingivite ulcéro-nécrotique: C 2, Pg.307 A. L'administration d'antibiotiques systémiques n’est pas obligatoire; B. Peut utiliser des antibiotiques locaux; C. Les antibiotiques systémiques sont indiqués; D. Les antibiotiques systémiques ne s’appliquent qu'aux suppléments antibiotiques locaux, E. L’antibiothérapie systémique n’est indiquée que chez les patients traités en ambulatoire; 2. *En cas d'urgence chez un patient avec une gingivite ulcéro-nécrotiques C 2, Pg.308 traité en ambulatoire, nous recommandons: A. De telles procédures comme les extractions et la chirurgie parodontale faites dès que possible; B. Toute la procédure dentaire est reportée jusqu'à ce que le patient résolve le problème; C. Le traitement est reporté jusqu'à ce que le patient ne présente plus aucun symptôme de façon aiguë au moins quatre semaines; D. Les extractions dentaires ne peuvent être atteintes ; E. Le surfaçage parodontale n’est pas recommandé ; 3. *Dans les premières épisodes de gingivite ulcéro-nécrotique, B 2, Pg.309 correctement traitée, on peut trouver : A. Après la guérison, la papille a une dépression B. La cicatrisation est en rétablissant le contour normal de la gencive C. Une cicatrice sur la gencive attachée D. Parfois peuvent persister plusieurs pseudo-membranes E. La récupération rapide 4. *Dans le traitement de la gingivite ulcéro-nécrotique: B 2, Pg.310 A. On peut utiliser seulement un traitement antibiotique B. Un traitement local est recommandé C. L’antibiotique recommandé comme première intention c’est la rovamycine D. On recommande dès la première séance le détartrage sous-gingivale E. Il est recommandé d'utiliser la chlorure de zinc 5. *Le traitement de la gingivite ulcéro-nécrotique est composé par: BCD 2, Pg.306 A. L’amendement de l'inflammation chronique B. L’amendement de l'inflammation aiguë C. L’amendement des symptômes toxiques généralisés D. La correction de l’état général E. La biostimulation parodontale 6. Les manifestations cliniques de la gingivite ulcéro-nécrotique peuvent BCDE 2, Pg.307 être associés à: A. Une grippe; B. Le cycle menstruel; C. Certains aliments; 7. 8. D. Le stress psychique; E. La fatigue; Un patient avec une gingivite ulcéro-nécrotique est traité en ambulatoire si: A. L'état général est affecté B. Le patient a de la fièvre; C. Il présente une asthénie; D. Il présente lymphadénopathie localisée; E. Il a des complications systémiques, Pendant la première séance, chez un patient avec une gingivite ulcéronécrotique, il est recommandé: A. Le traitement est limité aux zones qui présentent une inflammation aiguë; B. D’enlever les pseudo-membranes nécrotiques avec une compresse imbibée avec peroxyde d'hydrogène; C. Le traitement visera toute la cavité buccale/orale; D. Les antibiotiques systémiques; E. Le rinçage de la bouche deux fois par jour; ABC 2, Pg.307 ABD 2, Pg.307 Sujet 51. Occlusion dentaire Bibliographie: 1. Occlusodontie pratique – J-D Othlieb, D. Bricard, J Schittly, A manière-Ezvan, Ed CdP Groupe Liaisons, 2006 2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed. Gr. T. Popa, UMF Iasi, 2014 No. 1. 2. 3. 4. Question Les cuspides d'appui normalement sont : a. les cuspides vestibulaires à la mandibule b. les cuspides linguales au maxillaire c. les cuspides vestibulaires à la mandibule et les cuspides linguales au maxillaire d. les cuspides linguales à la mandibule et les cuspides palatines au maxillaire e. aucune réponse ci-dessus n'est correcte Idéalement, la cuspide palatine de 1.4 contacte : a) Fossette mésiale de 4.4 b) Fossette distale 4.4 c) Fossette mésiale 3.4 d) Fossette distale 3.4 e) Autre variante L'overjet normal est : a. 1/2 b. 0 mm c. 0 – 2 mm d. bout à bout e. entre 0 et 1/3 Les contacts normaux de la dent 3.6 sont : a. la cuspide MV contact avec la fossette centrale de 2.6, la cuspide DV contact avec l'embrasure de 2.6 et 2.7 b. la cuspide MV contact avec la fossette centrale de 2.6, la cupide CV contact avec la fossette distal de 2.5, la cuspide DV contact avec l'embrasure de 2.6 et 2.7 c. la cuspide MV contact avec l'embrasure des 2.5 et 2.6, la cupide Répons Bibl. Page C 2 77-78 B 2 94 C 2 82 C 2 94 5. 6. 7. 8. CV contact avec la fossette central de 2.6, la cuspide DV contact avec la fossette distale de 2.6, la fossette centrale avec la cuspide MP de 2.6 et la crête marginale distale avec la cuspide DP de 2.6 d. la cuspide MV contact avec l'embrasure des 2.6 et 2.7, la cupide CV contact avec la fossette central de 2.6, la cuspide DV contact avec la fossette distale de 2.6 e. la cuspide MV contact avec l'embrasure des 2.6 et 2.7, la cupide CV contact avec la fossette central de 2.7, la cuspide DV contact avec la fossette distale de 2.7, la fossette centrale avec la cuspide MP de 2.7 et la crête marginale distale avec la cuspide DP de 2.7 Les points cutanés sur la ligne médiane de la face sont : a. Nasion b. Tragion c. Point sous nasal d. Menton e. Gnation Les paramètres de l'occlusion sont : a. le plan Frankfurt b. le déterminant antérieur de la dynamique mandibulaire c. le guidage antérieur d. le plan de l'occlusion e. les cuspides de guidage La valeur normale d’espace minimum de phonation est : a. < 2mm b. 2-4mm c. > 4mm d. 0-2 mm e. 3 mm Les facteurs passifs qui déterminent RP sont : a. les récepteurs fusoriaux qui se trouvent dans les muscles b. reflexes musculaires posturales c. viscoélasticité des muscles et des ligaments d. l'espace de Donders e. le motoneurone α qui détermine le tonus musculaire ACDE 2 52 CDE 2 72-73 BE 2 54, 57 CD 2 45 Sujet 52. Syndrome algo-dysfonctionnel de l'appareil manducateur Bibliographie: 1. Occlusodontie pratique – J-D Othlieb, D. Bricard, J Schittly, A manière-Ezvan, Ed CdP Groupe Liaisons, 2006 2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed. Gr. T. Popa, UMF Iasi, 2014 3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed. Apollonia, 2001 No. 1. Question Dans quelles situations cliniques la dimension verticale inférieure (GNSN) peut être modifiée : a. dans toutes les cas où l'évaluation de la relation de la posture relève un „free-way space” moins de 3 mm b. en l'absence de toutes incisives maxillaires c. quand les stops occlusaux centriques sont perdus d. édentassions multiple intercalés e. dans la relation centrique si le patient présente wide – centrique Répons Bibl. C 3 Page 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. L’hypothèse Ackermann soutient : a. par la diminution de l’étage inférieur se produit une relaxation du muscle géniogloss b. par l’élévation de la mandibule le plan d’occlusion s’affaisse c. par la chute distale des condyles se produit la perturbation de l’innervation du ménisque articulaire d. la chute distale des condyles produit des névralgies faciales e. la fermeture exagérée de la bouche détermine des tics et des parafonctions Pour le polissage des contacts déflectifs qui produisent l’instabilité de l’occlusion avec déplacement antérieur on polit les contacts placés: a. versant cuspidienne mésial maxillaire et mésial lingual b. versant cuspidienne distal maxillaire et mésial lingual c. versant cuspidienne distal maxillaire et distal lingual d. la pente vestibulaire de cuspide maxillaire et versant lingual de cuspide vestibulaire mandibulaire e. la pente palatine des cuspides maxillaires et versant vestibulaire des cuspides mandibulaires Pour le polissage des contacts prémûrs qui produisent le déplacement postérieur de la mandibule on polit les contacts apparus a. versant cuspidienne mésial maxillaire et distal lingual b. versant cuspidienne distal maxillaire et mésial lingual c. versant cuspidienne mésial maxillaire et mésial lingual d. versant cuspidienne distal maxillaire et distal lingual e. versant cuspidienne oral maxillaire et distal lingual La paroi interne de la cavité glénoïde est mise en évidence en plan frontal comme déterminant vertical et elle influence: a. la hauteur des cuspides aussi bien que la profondeur des fossettes b. la hauteur des cuspides c. la profondeur des fossettes d. la profondeur de la courbe sagittale e. la valeur du guidage antérieur La perturbation du mécanisme physiologique de la boucle gamma se produit par: a. la maladie psychosomatique b. stress psychique c. tics et habitudes vicieuses d. occlusion traumatique e. toutes les solutions ensemble Les malrelations extra-posturales par la translation antérieure sont relies avec un tonus musculaire : a. augmenté pour les élévateurs b. réduit pour les élévateurs c. augmenté pour les abaisseurs d. réduit pour les abaisseurs e. augmenté pour les propulseurs Le IIème degré d’abrasion dentaire est: a. l'usure de l'émail b. l'émergence des iles de dentine c. l'émergence d'îles reliées par des ponts dentine d. la dentine trouvée seulement limitée par un anneau d'émail e. ouverture de la chambre pulpaire par usure C 2 C 3 B 3 A 2 E 2 E 2 B 3 Sujet 53. Examens cliniques et paracliniques dans les lésions odontales coronaires et l’édentation partiale réduite Bibliographie: 3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, ed. Apollonia, 2001 No. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Question L’examen clinique pour EPR n’inclue pas : a) l’examen facial b) la palpation superficielle c) les dates générales du patient d) la palpation des muscles e) l’examen oral En plan sagittal, les dimensions de l’espace prothétique potentiel peuvent être modifiées par : a. abrasion généralisée b. overbite augmenté c. overjet >2mm d. obturations incorrectes, débordantes e. migrations corporelles des dents limitrophes sur direction V-O La hauteur SPP est diminuée, à l’exception : a. atrophies accentuées de la crête alvéolaire b. l’abrasion des dents limitrophes de l’espace édenté c. destructions coronaires des dents limitrophes de l’espace édenté d. infra-occlusion des dents limitrophes e. l’égression ou l’extension des dents limitrophes L’évaluation de l’état de d’hygiène : a. elle n’influence pas le plan de traitement prothétique b. elle a un bout didactique c. elle se fait en évaluant la présence et l’absence de tartre et de la plaque bactérienne d. elle nécessite l’investigation de la plaque bactérienne au niveau de surfaces orales des 1.6 , 1.2 , 2.1 , 3.6 , 3.2 , 4.1 e. elle fait parte de les examens paracliniques Les données personnelles du patient impliquent l'enquête: a. de l'identité du patient b. de l’histoire de la maladie et les antécédentes générales personnelles et heredo-collatérale c. les conditions de vie et de travail d. les données d'identité, l'âge, le sexe, la résidence, la profession du patient e. de l'hygiène de la cavité buccale Déficience fonctionnelle en EPR: a. est déterminée par l’amplitude d'édentation b. est influencée par la consistance des aliments c. dépend de l'emplacement édentation d. la nature subjective de l'évaluation de la déficience fonctionnelle ne dépend pas de l'éducation e. comporte la mise en évidence des troubles fonctionnels objectives : masticateur, phonétique, esthétique et déglutition Inspection de face envisage l'analyse: a. de la mimique et la physionomie b. de l'intégrité de la peau c. du profil du visage d. de la position du menton Répons Bibl. Page C 3 122128 D 3 138 A 3 138 C 3 152 AD 3 116117 ACE 3 117 ABE 3 123 8. e. du type cranio-faciale Palpation profonde implique: a. L’évaluation de la température de la peau b. L’évaluation de l'élasticité et de quantité des tissus sous-cutanée c. la palpation musculaire d. la palpation les groupes ganglionnaire e. la palpation crête édentée CD 3 125 Sujet 54. Les principes de traitement par prothèse unitaire et prothèse fixées plurielle Références bibliographiques: 3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed. Apollonia, 2001 4. Terapia protetic conjuncta unitara - Gabriela Ifteni, Vasile Burlui, Ed. Gama, 2002 No. 1. 2. 3. 4. 5. Question Le principe prophylactique exige: a. la récupération morphologique par un modelage anatomique des surfaces occlusales b. la protection parodontale par des préparations sous-gingivales pour les couronnes de recouvrement c. d’éviter les principes biologiques sur l'économie tissulaire d. que les actes thérapeutiques ne pas aggraver les lésions existantes ou causer d'autres nouvelles lésions e. connaitre les détails de stabilité biomécaniques de prothèses La pose des prothèses provisoires a imposé le concept : a. de thérapie prophylactique non-spécifique b. de traitement prothétique temporise c. de prophylaxie générale avec caractère spécifique d. de prophylaxie primaire e. de préparation minimum invasive Comme des prothèses transitoires on peut utiliser: a. les restaurations réalisées par la méthode Scutan ou celle des conformateurs thermoformées sous vide b. les ponts Maryland c. les prothèses fixées métallo-acryliques parce qu'ils sont moins chers d. les facettes e. aucune réponse n’est pas correcte Pour la récupération morphologique par prothèses fixées n’est pas permis : a. la réduction vestibulo-oral du pontique par rapport à l’amplitude d’espace édente b. la réduction de la hauteur des cuspides quand on désire la réduction de la charge occlusale c. le modelage incomplète de la face orale du pontique pour obtenir l’espace de auto-nettoyage d. le sur- et sous-contour des couronnes de recouvrements utilisées comme éléments d’agrégation e. le sacrifice de la morphologie au but de respecter les principes prophylactiques, biologiques et biomécaniques Pour éviter la contamination croisée dans le cabinet dentaire on doit viser: a. le respect les règles de base d’asepsie et antisepsie Répons Bibl. Page D 2 202 B 2 205 A 2 204 D 2 215 ABE 2 210 6. 7. 8. b. la maintenance des stérilisateurs c. utilisez la stérilisation à froid quand on peut effectuer la stérilisation à chaud d. la réutilisation de matériel jetable, même stérilisé e. l'utilisation de masques de protection Prophylaxie générale: a. a un caractère systémique spécifique au traitement prothétique b. accorde une grande importance à éviter la contamination croisée c. a un caractère systémique non spécifique d. doit être considérée dans le contexte du caractère intégré du système stomatognathique e. toutes les réponses sont correctes Les produits chlorés sont utilisés comme pour la pré-stérilisation d’instrumentaire grâce aux avantages suivants: a. odeur persistante b. concentrations élevées qui ont une activité sporicide c. large spectre d. ne produit pas de corrosion des métaux e. action lente dans le temps Prophylaxie pré éruptive suit: a. la prévention des maladies graves (syphilis congénitale, la rubéole) b. une bonne nutrition de la mère c. la prévention des maladies endocriniennes d. la prévention des troubles du rythme circadien e. elle est aussi appelé la prophylaxie primaire locale BCD 2 209 BE 2 211 ABC 2 213 Sujet 55. Restaurations unitaire intra coronaires et extra coronaires Références bibliographiques: 3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed. Apollonia, 2001 4. Prothese fixee unitaire. Cahier d’activite pratique au simulateur - Gabriela Ifteni, Norina Forna, Ed. « Gr. T. Popa », U.M.F. Iasi, 2011 No. 1. 2. 3. Question Pour la préparation périphérique (au niveau du collet) pour une couronne métallique on peut utiliser : a. fraise cylindrique à bout arrondi b. fraise fissure c. fraise con-inverse d. fraise boule e. fraise roue L’ouverture d’un processus carieux occlusal pour une cavité pour inlay se fait avec : a. des ciseaux et haches b. fraise sphérique c. fraise fissure d. fraise roue e. fraise congé La préparation du bord incisif pour la couronne céramique se fait avec une profondeur de : a. 0,5 mm b. 1 mm c. 1,5 mm Répons Bibl. Page A 4 84 B 4 24 D 4 96 4. 5. 6. 7. 8. d. 2 mm e. 2,5 mm La préparation périphérique pour la couronne céramique a une profondeur de : a. 0,5 mm b. 1 mm c. 1,5 mm d. 2 mm e. 2,5 mm La cavité proximale pour l’inlay de classe II doit avoir : a. la paroi para pulpaire droite b. les parois latérales convergentes vers la dent voisine c. rapport optimal largeur/profondeur d. la profondeur minimale de 2 mm e. les angles bien exprimés Pour la préparation de la cavité d'inlay MOD classique on peut utiliser des fraises : a. effilées b. cylindriques c. ellipsoïdales d. con-inverse e. cylindro-coniques Les limites de la préparation pour la couronne partielles 4/5 sont : a. 0,5 mm vestibulaire ou oral des contacts avec les dents voisines b. à l’union 1/3 V et 2/3 O des faces proximales c. 0,5 mm de la face vestibulaire sur la cuspide vestibulaire d. à 0,5 - 1 mm du collet sur les faces orales et proximales e. 1,5 mm des faces proximales des dents voisines On dit des rainures de rétention pour la couronne partielle 7/8 : a. leurs profondeurs est de 0,5 mm b. on trace 3 rainures dans la paroi linguale, parallèles à l’axe d’insertion intentionné c. les rainures verticales sont parallèles à l’axe d'insertion de la restauration d. la rainure proximale est placée à la jonction 1/3 L avec 2/3 V de la face mésiale e. la rainure vestibulaire est placée à la moitié de la face dentaire B 4 98 ADE 4 34,35 BE 4 42 BCD 4 56 CE 4 64 Sujet 56. Eléments structurales des prothèses fixées Références bibliographiques : 3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed. Apollonia, 2001 No. 1. Question La déformation plastique du pontique d’une prothèse fixée: a. représente une déformation réversible produite par la force de mastication b. est une modification grave de la structure qui modifie la morphologie initiale c. peut-être évité par l’emploie des matériaux avec une déformation plastique élevée d. peut-être évité par l’emploie des matériaux avec une déformation élastique supérieure au support dento-parodontal Répons Bibl. Page b 3 325 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. e. ne dépend pas de l'étendue du pontique La hauteur du pontique d’une prothèse fixée sera conçue: a. en rapport avec le diamètre V-O et le profil de la crête édentée b. de sorte que si la hauteur de la prothèse potentiel est élevée, la largeur du pontique peut être réduite c. de sorte que si le diamètre de la crête édentée est grande, la largeur du pontique peut être réduite d. en fonction du diamètre V-O de la crête édentée, de l’espace édenté et de même diamètre que les dents remplacées e. selon le matériau utilisé Le pontique suspendu: a. est utilisé seulement pour le secteur antérieur de la mandibule b. est utilisé uniquement lorsque l'édentation est unidentaire c. est le plus souvent utilisé dans des conditions prophylactiques d. est un nouveau concept dans la thérapie prothétique e. est indiqué dans les secteurs latérales mandibulaires, quand il y a d’espace prothétique d’amplitude et de largeur optimales. La hauteur du pontique: a. dépend des dents opposées (s’elles sont en extrusion ou égression) b. dépend de la hauteur de l'espace prothétique potentiel et de la largeur de la crête édentée c. dépend uniquement de la hauteur de l'espace prothétique potentiel d. dépend du diamètre V-O des dentes piliers e. e) dépend uniquement de la hauteur des dents piliers Dans l'ordre décroissant, les éléments d'agrégation les plus biologiques sont : a. bridges collés, couronnes métalliques, couronnes céramiques b. couronnes partielles, inlays, couronnes métalliques c. couronnes partielles, bridges collés, couronnes mixtes métalloacryliques, d. couronnes métalliques, couronnes mixtes, couronnes céramiques e. couronnes céramiques, couronnes mixtes métallo- céramiques couronnes de substitution L'agrégation des éléments d’agrégation peut-être : a. partiellement intrinsèque b. partiellement extrinsèque c. corono-radiculaire d. occlusal e. totalement extrinsèque Le choix des éléments d'agrégation se fait selon les situations cliniques suivantes: a. secteur frontale ou latérale b. l'axe d'insertion de la prothèse c. L'intégrité des dents piliers d. expérience clinique du médecin e. les possibilités du laboratoire dentaire Le pontique en contact partial avec la crête peut être: a. partiellement suspendue b. en contact en demi-selle c. en contact punctiforme d. en contact variable avec la surface e. un contact linéaire tangentiel avec le bord de la crête D 3 328 E 3 333 B 3 329 ABD 3 305 BCE 3 311 ABC 3 320 BCE 3 334 Sujet 57. Etape de la thérapie par prothèses fixées : L’empreinte Références bibliographiques: 3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed. Apollonia, 2001 No. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Question Les objectifs des empreintes dans l'édentation partiale réduite se réfèrent à: a. reproduire la forme et les détails des préparations b. reproduire la forme, les dimensions et les détails des préparations c. l'utilisation des matériaux fluides et fidèles d. l’empreinte unitaire e. l’existence des inclusions d’air Les matériaux d’empreinte sont classés comme suit: a. rigides et élastiques b. rigides et plastiques c. semi-rigides, rigides et élastiques d. en fonction du temps nécessaire pour les manipuler e. selon les matériaux accessoires utilisés dans l’empreinte Choisir une empreinte globale ou segmentaire dépend de: a. le matériau d’’empreinte utilisé b. le modèle d'étude c. l'expérience pratique du médecin et du prothésiste d. la distribution des préparations sur l’arcade, la stabilité occlusale et les critères esthétique e. toutes les réponses sont fausses L’empreinte globale avec guidage unitaire: a. implique deux étapes d’empreinte b. est la plus biologique c. est la technique la plus largement utilisée dans la pratique d. ne peut pas être utilisé que pour les préparations avec seuil e. est effectuée uniquement pour les couronnes partielles Pour le secteur postérieur de l’arcade, l’empreinte segmentaire est indiquée dans les cas suivants: a. restaurations unitaires sur prémolaires ou molaires b. remplacement d'une molaire absente, juste au cas où l'occlusion est stable c. restaurations sur la prémolaire et la molaire successive d. restaurations sur les prémolaires inférieures homologues e. quand la situation clinique ne permet pas l'examen d'une empreinte globale Les conséquences cliniques du sur-contour : a. sont moins nocifs que celles de sous- contour b. sont représentés par des saignements c. sont représentés par l'halitose d. produisent en temps la rétraction gingivale e. Ne porte pas atteinte fonctionnelle La méthode optique d'empreinte: a. est caractéristiques aux systèmes CAD-CAM b. est caractéristiques pour la technologie classique des d'empreinte avec des matériaux fidèles c. est utilisé par le système Cerek d. a l'avantage d’un prix bas e. a l'avantage d'exécution très rapide de la restauration prothétique L’empreinte globale présente les avantages suivants: Répons Bibl. Page B 3 478 C 3 479 D 3 480 A 3 480 ABC 3 504 BD 3 506 ACE 3 515 BCE 3 480 a. b. c. d. e. la possibilité de la placer facilement dans une clé de plâtre faire sur le même modèle les prothèses mixtes ou composites évaluer simultanément toute l’arcade évaluer la relation de la posture permet l'utilisation d'un articulateur Sujet 58. Etape de la thérapie par prothèses fixées : L’enregistrement des relations mandibulo- crâniennes Références bibliographiques: 2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed. Gr. T. Popa, UMF Iasi, 2014 3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed. Apollonia, 2001 No. 1. 2. 3. 4. 5. 6. Question Une pente articulaire à petite inclinaison, présente une angulation vis-àvis du plan Frankfurt de : a. 5-10°, b. 5-25° c. 25-40° d. 40-55° e. 60°. Parmi les méthodes computationnelles d’examen des relations mandibulo-crâniennes sont : a. L’articulateur Gysi b. Condylocomp LR 3 c. L’articulateur Denar d. L’articulateur SAM e. Aucune réponse correcte La paroi interne de la cavité glénoïde est mise en évidence en plan frontal comme déterminant vertical et elle influence: a. la hauteur des incisives b. la profondeur des courbures transversales c. la hauteur des cuspides aussi bien que la profondeur des fossettes d. la profondeur de la courbe sagittale e. la valeur du guidage antérieur Pour enregistrer, transférer et reproduire la distance entre les unités odonto-parodontales et l'axe inter-condylienne sont nécessaires : a. des systèmes composés de l’arc facial et simulateur b. des articulateurs simples c. des occluseurs d. des articulateurs aux valeurs moyennes e. des empreintes sectorielles La clé d’occlusion: a. est la plus ancienne méthode de simuler les mouvements de l’ATM b. ne peut pas être utilisée en l'absence d'un arc facial de transfert c. ne peut pas simuler que les mouvements d'ouverture et fermeture d. est également appelée occluseur e. est indiquée pour les restaurations prothétiques fixées de grande amplitude En termes d’objectif d'utilisation, les arcs facials peuvent être: Répons Bibl. Page B 2 13 B 3 186 C 2 128 A 2 114 AC 3 184 ABD 3 185 7. 8. a. pour déterminer l’axe charnière b. de transfert c. pour simuler la cinématique mandibulaire d. pour investigation de la cinématique mandibulaire e. pour déterminer le point suborbitar Parmi les articulateurs entièrement programmable ne sont pas : a. les clés d’occlusion b. les articulateurs Hamann c. les articulateurs Gysi Simplex d. les articulateurs Denar Antoneark e. e) les articulateurs Denar Denar D4 et D4-A-B Dans une occlusion normale contacts dento- dentaires doivent répondre à certains paramètres, notamment: a. l'existence d'un over-jet de 0-2 mm b. être multiples et uniformément réparties c. overbite frontal de 1/3 d. être stables e. être entre des surfaces lisses et convexes ABCD 3 184185 BDE 3 146147 Sujet 59. Des examens cliniques et paracliniques dans l'édentation partielle etendue et totale (edentation partielle etendue) 1. 2. 3. 4. 5. Le tableau clinique de l'édentation partielle étendue est représenté par : a) la douleur. b) les symptômes subjectifs et objectifs. c) l'hyperesthésie alvéolaire. d) l'insuffisance fonctionnelle. e) les troubles psychiques. Les signes objectifs de l'édentation partielle étendue sont : a) la marche labiale inversée. b) l'invagination des joues. c) le phénomène douloureux et l'insuffisance fonctionnelle. d) la douleur fantôme. e) l'hyperesthésie alvéolaire. Définition de l'hyperesthésie alvéolaire : a) syndrome douloureux apparu au toucher de la crête édentée. b) douleur fantôme. c) taxonomie. d) douleur pathologique. e) syndrome du moignon douloureux. Lequel parmi les signes suivants représente un signe subjectif dans le tableau clinique de l'EPI ? a) Les signes faciaux. b) L'insuffisance de la fonction physionomique. c) Les troubles de la morphologie faciale. d) Les modifications tissulaires faciales. e) Les modification des dimensions des étages du visage. Quelles sont les modifications d'adaptation de la mastication dans l’EPI ? a) La mastication “en frottant”. b) La mastication “en coupant”. c) L'accélération du rythme de mastication, l’allongement du cycle de mastication et le prolongement du seuil de déglutition. B C A B C 6. 7. 8. 1. 2. 3. 4. d) L'impossibilité d'effectuer une mastication complète. e) La mastication à l'aide du groupe incisif. Dans les zones distales de l'arcade alvéolaire résiduelle mandibulaire on retrouve deux formations osseuses appelées : a) Les tubercules piriformes. b) Les tubérosités. c) Les apophyses coronoïdes. d) Les apophyses styloïdes. e) La ligne oblique interne. Les tests de vitalité : a) Sont des méthodes de détermination de la sensibilité osseuse. b) Sont des méthodes de détermination de la sensibilité pulpaire aux dents dont la vitalité peut être compromise. c) peuvent se réaliser avec la percussion transversale. d) l’évaluation se réalise en comparaison avec les dents voisines ou homologues, considérées comme étant saines. e) Toutes les réponses sont bonnes. La relation centrique peut être induite par les méthodes suivantes : a) Dawson ; b) Lejoyeux, Kennedy ; c) Lauritzen-Barelle ; d) Jankelson ; e) Ramfjord ; A B, D A, C D, E SUJET 59: p. 32 -83 EXAMEN CLINIQUE ET DE LABORATOIRE DANS L’EDENTE PARTIEL ET EDENTE TOTAL: EDENTATION TOTAL Goniac angle a une valeur moyenne de: b, c a. 750-900 enfants d'âge préscolaire; b. 1100 -1250 après 12 ans; c. 1300-1400 chez les personnes âgées; d. 1200 au femmes; e. toutes les variantes sont correctes. p. 37 L'inspection statique de l’ATM: c, d, e a. ne vise pas les modificationes des couleur pour les régions pretragienne; b. vise les excursions du menton d’avant; c. vise la symétrie ou asymétrie des régions pretragyene; d. est faite en comparaison gauche-droite; e. est faite au niveau de la région du menton. p. 41 L’inspction de profil: a,b a. poursuit le profil facial; b. poursuit la posture des lèvres; c. ne poursuit pas la position du menton; d. ne poursuit pas l’angle nazo-labial; e. toutes les variantes sont correctes. p. 36 ⃰ La zone fonctionnelle périphérique maxillaire la poche d’Eisenring est c examiné par: a. la traction de la lèvre inférieure vers l’anterieur; b. la traction de la lèvre supérieure vers l’anterieur; c. palpation avec le fouloir étroitement ; 5. 6. 7. 8. d. large ouverture de la bouche; e. toutes les variantes sont correctes. p. 43 Radiografia simplă a ATM: a. ne fonctionne pas sous incidences différents; b. est basé sur l'effet photochimique des radiations; c. exposition aux radiations est 70% plus élevé; d. permet la visualisation de change de l’interligne articulaire; e. toutes les variantes sont correctes. p. 68 La résonance magnétique nucléaire: a. les images peut être obtenues dans des plans sagittal, frontal, axiale; b. a été imposée comme une méthode de choix non-invasive; c. ne permet pas l'appréciation des surfaces osseuses; d. est une méthode invasive; e. aucune version correcte; p. 71 La mandibuloquinesiographie: a. est une méthode non-invasive; b. permet l’enregistrement tridimensionnelle de la dynamique mandibulaires; c. permet l'évaluation fonctionnelle de tissu osseuse; d. montre l'état des tissus mous; e. utilise un amplificateur de luminescence; p. 73 L’inspection du visage a en vue: a. le type d’alimentation; b. l'intégrité des téguments; c. c.la symétrie faciale; d. la rythmicité de repas; e. toutes les variantes sont correctes. p.35 b, d a, b a, b b,c Sujet 60. La prothèse partielle amovible acrylique. Composants. 1. 2. Eléments de maintien, appui et stabilisation dans la prothèse partielle amovible acrylique : a)c'est le connecteur principal acrylique lingual b) s’appelle “la plaque palatinale acrylique” c)au maxillaire sont orientés transversalement au niveau de la voûte palatine d) c’est une plaque linguale en “U” ouverte postérieur e)se sont les crochets Le connecteur principal d'une prothèse partielle amovible acrylique maxillaire: a)se situe sur le versant oral de la crête alvéolaire dentaire frontale b) est orienté transversal au niveau de la voûte palatine c)est une plaque linguale acrylique d) le bord postérieur se place sur les dents restantes au niveau supra-cingulaire ou équatorial e)la face mucosale est situé ŕ distance des zones qui ne supporte pas des pressions E E 3. 4. 5. 6. 7. 8. Les crochets d'une prothèse partielle amovible acrylique sont: a)le crochet Ackers; b) le crochet Bonwill; c)le crochet Roach; d) les crochets simples acryliques dentaires e)les crochets Ney Les crochets cervico-occlusaux ouverts dental d'une prothèse partielle amovible acrylique : a)s'appellent également “crochets avec épaule” b) font partie des crochets simples acryliques c)font partie des crochets acryliques d) sont indiqués quand sur l'arcade restent 2 dents voisines e)sont indiqués sur des dents sans rétentivités Le crochet métallique avec 3 bras d'une PPAA : a)est confectionné à partir d'un fil en acier (vipla) de 0,6-0,8 mm diamètre b) ressemble au cochet Bonwill c)n'assure pas rétention et appui d) il s'appelle également “crochet avec boucle” e)est recommandé dans la zone frontale La loi biomécanique du Conod qui guide la réalisation d'une arcade artificielle d'une PPAA parle de: a)changer l'ordre des dents artificielles b) modifier la morphologie des dents artificielles par rapport aux dents naturelles c)réduire le nombre des dents artificielles, notamment sur la selle terminale d) placer les forces de sollicitation occlusale au milieu de la selle, au niveau du centre géométrique e) placer les forces de solicitation occlusale au plus loin de la dent limitrophe à l'édentation Dans la prothèse acrylique on décrit : a) selles acryliques, dents artificielles, b) connecteur principal et éléments de maintien et stabilité c)connecteurs secondaires d) crochets coulés e)éléments spéciaux de maintien et stabilité Le crochet cervico-occlusal ouvert dentalement ou le crochet avec épaule: a) indiqué dans la situation quand sur l’arcade sont restantes deux dents voisines ; b) Il est indiqué sur des dents avec des rétentivités modérées ; c) Il est indiqué sur les dents rétentives ; d) Ne présentent pas rôle anti-basculant ; e) a un diamètre de 0,2 à 0,3 mm. D A A D A, B B, D Sujet 61. Les éléments de structure des prothèses partielles squelettes 1. Caractéristiques du versant vestibulaire d'une PPA: a) Ne s'étend pas jusqu'à la zone de réflexion de la muqueuse mobile b) Est modelé de façon à ce qu'il diminue la tonicité de la musculature oro-faciale c) Est modelé un bord très mince d 2. 3. 4. 5. 6. 7. d) Peut manquer de la selle frontale quand la crête edentée dans cette zone est proéminente e) Se trouve dans la continuité du connecteur principal par son bord oral Caractéristiques des selles d'une PPAA : a) ne supportent pas les dents naturelles b) ne transmettent pas les forces mastricatrices vers le support dento-parodontal c) ne sont pas en contact avec la crête édentée d) transmettent les forces de solicitation vers le connecteur secondaire e) leur nombre corespond avec le nombre des éspaces prothétiques potentiels Caractéristiques des arcades artificielles d'une PPA : a) contribuent essentiellement à la recupération des functions qui n'ont pas été perdues par le système stomatognathique b) le choix des dents artificielles doit se faire en concordance avec la forme et la couleur des dents restantes, même si celles-ci présentent des modifications de couleurs ou des caries c) peuvent être en porcelaine d) pour conserver la stabilité du rélief occlusal dans des situation cliniques qui suppossent des solicitattions occlusales intenses, il est préferable d'utiliser des faces occlusales en acrylate e) les dents en porcelaine peuvent être préfabriqués ou réalisées par décoration avec des pics La loi biomecanique de Chayes: a) La surface d'une selle doit ętre la plus grande possible pour ne pas suprasoliciter b) La surface d'une selle doit ętre au d'au moins le double de la surface de sections au collet des dents qu'elle remplace c) La surface d'une selle doit respecter strictement le rapport au volume dentaire d) La force de solicitation doit tomber au milieu de la selle e) S'apparente à la loi des “3 H “ La loi du Ant parle de : a) changer la position des dents artificielles b) réduire le nombre des dents d'une prothèse c) réduire la surface occlusale d) diminer la surface occlusale avec 20% pour chaque dent remplacée. e) la force de sollicitation doit tomber au milieu de la selle L'héteroposition : a) c'est la synthèse par Ackers dans le cadre de la loi des “3H” b) n'a pas pour but le changement des positions des dents c) consiste à inverser les positions entre la prèmiere molaire et la deuxième prémolaire d) consiste à inverser les positions entre la prèmiere et la deuxième molaire e) aucune réponse Le crochet circulaire Ackers : a) s’applique sur les prémolaires et molaires avec rétentivités vestibulaires et orales favorables ; b) Le corps, l’épaule, la portion rigide du bras élastique se situe dans le cône d’appui c) nommé aussi crochet à trois bras ; e c b c c a, b, c 8. d) nommé aussi crochet avec action réciproque de Bonwill ; e) Il est un crochet à quatre bras Le crochet circulaire Ackers a) Le corps, l’épaule, la portion rigide du bras élastique se situe dans le cône d’appui b) Il est un crochet à quatre bras c) Il présente un bras élastique ou rétentif ; d) Il présente un bras rigide ou le contre-crochet e) Il est un crochet à quatre bras A, c, d Sujet 62. Biodynamique des prothèses squelettes dans la cavité orale 1. 2. 3. 4. 5. 6. Dans le cadre du principe biomécanique, pour établir le plan de traitement, le diagramme statique sert à a) Etablir la force de résistance b) Etablir la force de pression c) Vérifier la loi du polynome d) Tracer les arcs de stabilisation e) Orienter le vecteur RP Dans le cadre du principe biomécanique, pour établir le plan de traitement, le diagramme dynamique sert à a) Tracer les arcs de stabilisation b) Trouver le centre de stabilité maximal de la voûte palatine c) Tracer le vecteur RP d) Trouver le centre de gravité de la voûte palatine e) Identifier les dents sur lesquelles on applique les éléments de maintien et de stabilisation Le pilier fronto-nasal ou incisif reçoit les pressions execercées au niveau des dents suivantes : a) Molaires 1 maxillaires; b) Molaires 2 maxillaires; c) Molaire 1,2 maxillaire, canine superieure; d) Incisives, canines, premolaires; e) Molaires, Incisives. Les 3 pilliers verticaux du maxillaire supérieur (pilier fronto-nasal, zigomatique et ptérygo-palatin) sont solidarisés par: a) Les plateformes verticales osseuses formées par les os maxillaires; b) Les plateformes horizontales osseuses formées par les apophyses palatines de l'os maxillaire et les apophyses horizontales de l'os palatin, le plancher de l'orbite et la base du crâne; c) Les trabéculations osseuses; d) La voûte palatine; e) Les piliers de résistance au niveau cranien. Les forces passives sont données par : a) La musculature oro-faciale; b) Le moment des forces; c) Le poids de la prothèse amovible; d) Les prothèses fixes et amovibles; e) Le poids de la mandibule, le tonus de la musculature antagoniste, le parodonte marginal des dents restantes , l'os vestibulaire. Le centre de gravité du maxillaire se trouve sur l'axe saggital au niveau d c d b e d de: 7. 8. a) L'union des 2/5 antérieurs avec les 3/5 postérieurs; b) Au milieu de cet axe; c) L'union du 1/3 postérieur avec les 2/3 antérieurs; d) L'union des 2/5 posterieurs avec les 3/5 antérieurs; e) L'union du 1/3 antérieur avec les 2/3 postérieurs. En ce qui concerne l’annihilation des tendances de détachement au A,b,c,d,e niveau de prothese Les moyens non spécifiques sont : a) L’adhésion ; b) Les extrémités élastiques des crochets ; c) Le prolongement des selles dans les zones retentives du champ prothétique d) Les mécanismes spéciaux qui agissent par friction ; e) Le poids des prothèses dans le cas de l’édentement mandibulaire représente un élément de stabilité de plus en plus rarement utilisé. Contre l’action de mésialisation des appareils gnatho-prothétiques on B,c utilise : a) une courbe d’occlusion sagittale inverse ; b) la reproduction d’une courbe d’occlusion sagittale légèrement accentuée ; c) le contact de la base de la prothèse avec la face distalo-orale des dents restantes ; d) L’adhésion ; e) Toutes les variants A-D sont vraies. Sujet 63. Etapes de la thérapie par des prothèses partiellement adjointes squelettisés: l’empreinte 1. Lesquelles des affirmations suivantes représentent des caractéristiques de l’empreinte fonctionnelle muco-dynamique: A. Utilisent des port-empreintes standards B. Utilisent des port-empreintes individuelles fonctionnalisées C. On obtient des empreintes qui n’évitent pas les formations mobiles périphériques D. On obtient des empreints non-fonctionnelles E. On obtient des empreints avec des bordures trop courtes (Réponse B) 2. Dans la thérapie prothétique par prothèse partielle squelettisé, les mouvements masticatoires effectués dans le cadre de l’empreinte fonctionnelle du champs prothétique ne se réalisent par : A. Modèles d’occlusion B. Port-empreintes individuelles équipées avec des vagues d’occlusion C. A l’aide d’une prothèse vieille D. Avec de la cire d’occlusion E. Réponses correctes A, D (Réponse E) 3. Lesquels types de matériaux peut-on utiliser dans l’empreinte fonctionnelle du champs prothétique avec édentation partielle étendue. A. Des matériaux rigides B. Des matériaux décoratifs C. Des matériaux semi-rigides D. Des matériaux solides E. Réponses correctes A,D (Réponse E) 4. L’empreinte documentaire est utilisée afin de : A. Obtenir un modèle préliminaire B. Obtenir le modèle fonctionnel C. But médico-légal D. Obtenir le modèle de studio E. On ne l’utilise pas encore Réponse C 5. L’adaptation des porte-empreintes standard se réalise: A. a l’aide des appareils à ultrasons en B. plan transversal, sagittal et vertical C. par flexion sur la ligne médiane D. en fonction du matériel d’empreinte E. la réalisation de l’empreinte actuelle. Réponse B 6. L’adaptation des porte-empreintes standard se réalise: A. a l’aide des appareils à ultrasons en B. plan transversal, sagittal et vertical C. par flexion sur la ligne médiane D. en fonction du matériel d’empreinte E. la réalisation de l’empreinte actuelle. Réponse B 7. A quelle distance doit-on situer les bordures d’une porte-empreinte standard du champs prothétique, en plan transversal: A. 1-2mm B. 3-4mm C. 4-5mm D. 10mm E. 15mm Réponse C 8. 8.Quel est le rôle des mouvements non-fonctionnels effectués par le médecin pendant l’empreinte préliminaire A. la modélisation correcte des bordures de l’empreinte B. l’enregistrement fidèle de la zone de la muqueuse passive-mobile C. la détermination des relations intermaxillaires D. le test de l’étage inférieur de la face E. détermination de la zone neutre . (Réponse A) Sujet 64. Etapes de la thérapie par des prothèses partiellement adjointes squelettisés: l'enregistrement de la relation intermaxillaire 1. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partielles adjointes, l’étape d’enregistrement de la relation intra-maxillaire suivit après : A. La preuve de la porte-empreinte standard B. L’empreinte préliminaire C. L’adaptation de l’empreinte individuelle D. L’empreinte fonctionnelle et l’obtention du modèle fonctionnel E. La preuve de la maquette à dents Réponse:D 2. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partielles adjointes, dans le cas où les deux arcades sont mutilées par édentation partielle, le problème fondamental de la prothésation est représenté par : A. L’évaluation des dents support B. L’empreinte préliminaire C. La restauration de la relation de posture et de la relation centrique D. La vérification du squelette métallique E. Le scellage des selles terminales Réponse:C 3. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partiellement mobilisables, l’enregistrement des relations manibulo-crâniennes vise: A. Le repositionnement de la mandibule en relation centrique correcte, le repositionnement de la mandibule en position de posture B. Le repositionnement de la mandibule dans la position de relation extrapostural C. Intercuspidation maxime D. Détermination du plan basal mandibulaire E. Détermination du positionnement exact du plan medio-sagittal Réponse:A 4. La méthode “homotropisme lingo-mandibulaire” de détermination de la relation centrique se base sur le fait que : A. La mandibule suivit la position de la voûte palatine B. La mandibule suivit la langue dans son périple statique et dynamique C. La compression du masséter bilatéral positionne la mandibule en relation centrique D. On stimule les reflexes vestigiaux de positionnement centrique E. La manouvre Valsalva positionne la mandibule en relation centrique Réponse:B 5. La méthode de détermination de la relation centrique par stimulation du reflexe d’occlusion molaire se base sur : A. Le fait que la mandibule suivit la langue dans son périple statique et dynamique B. Le réveil de vieux reflexes parodonto-musculaires de positionnement centrique C. Une petite pression exercée pendant le mouvement d’ouverture-fermeture D. Des contractions musculaires symétriques par des compressions sur le muscle temporal E. La compression du masséter bilatéral. Réponse:B 6. Dans le cas où sur l’un des maxillaires on réalise une prothèse partielle mobile et l’autre sera prothésé par prothèse totale, pour l’enregistrement des relations intermaxillaires on a besoin de : A. Un cadre de fil à support textile et pâte de zinc oxyde eugénol B. Pellicules de cire d’occlusion C. Deux modèles positionnés par le médecin en relation centrique par la méthode de la discrimination tactile D. Des retentions sur la surface orale de la bordure d’occlusion de la maquette du maxillaire partiellement édenté E. Deux maquettes d’occlusion Réponse:E 7. Lesquelles positions mandibulo-crâniennes ont une importance primordiale dans l’évaluation de l’état de normalité tout comme du degré d’affectation de la morphologie et fonctions du système stomatognathique A. Relation centrique B. Relation de posture C. Relation d’intercuspidation maxime D. mouvement Bennett E. position de protrusion tète à tête Réponse:A,B 8. La vérification extra-orale des maquettes d’occlusion vise que : A. la base soit rigide, non-déformable B. la base soit élastique C. les marges de la base soit arrondies D. les marges de la base soient placées au niveau de la ligne blanche E. les marges de la base soient placées au niveau de la muqueuse mobile. Réponse:A, C,D SUJET 65: p. 465-544 LES ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALE : LA PRISE D’EMPREINTE 1. 2. 3. 4. 5. Pâtes ZOE son indique en: a. empreintes préliminaires dans l’édentation totale; b. empreintes pour le regarnissage de prothèses dentaires; c. dans toutes les techniques d'empreintes muco-dynamique; d. dans toutes les techniques d'empreintes muco-statique; e. aucune version correcte. p. 535 ⃰ La technique Lejoyeux consistent en: a. la gravure du modèle sur une zone de 2-2,5 mm, entre la ligne de flexion du voile du palais et le palais dur; b. la réalisation de la port-empreinte individuelle sur le modèle préliminaire en contact avec le zone gravée; c. la gravure du modèle sur une zone de 2-5 mm, entre la ligne de flexion du voile du palais et le palais dur; d. la prise d'empreinte du champ prothétique avec des matériaux résilientes; e. toutes les variantes sont correctes p.549 ⃰ En lisant les repères anatomiques sur l'empreinte finale mandibulaire, la zone vestibulaire laterale est: a. évidée ou pliée vers l'extérieur; b. plat et large; c. comme une dépression qui se trouve près d'une retentivitate; d. comme une dépression à l'extrémité distale du dépression alvéolaire ; e. toutes les variantes sont correctes; p. 543 ⃰ Polyéthers: a. aucune loyauté particulière; b. mauvaise odeur; c. pas une bonne stabilité dimensionnelle. d. Ils sont hydrophiles; e. toutes les variantes sont correctes. p. 536 Pour lempreinte avec matériau thermoplastique: b, d c b d b, c 6. 7. 8. a. vous pouvez utiliser port-empreintes plus grandes; b. vous pouvez utiliser port-empreintes plus petites; c. vous pouvez utiliser port-empreintes avec le profil moins évident; d. le matériau utilisé ne doit pas se déformer après la prise; e. aucune version correcte. p. 476 Les repères anatomiques au niveau de champ prothètique maxillaire sont: a. le vestibule labial; b. frein buccale; c. le ligament pterygo-maxillaire; d. papille incisive; e. aucune version correcte. p. 481 L'équipement nécessaire pour la prise d’empreintes préliminaires comprende: a. port-empreintes individuelle; b. port-empreintes; c. cire; d. chronomètre; e. toutes les variantes sont correctes. p.482 Tirant les lignes de démarcation de la port-empreinte individuelle: a. est fait avec un crayon d'aniline; b. est fait avec un marker; c. est faite a 2-3mm du fond sac vestibulaire; d. est fait de à 1 mm distale de la ligne vibratoire et d'insertion du ligament et pterygo-mandibulaire; e. toutes les variantes sont correctes. p.488 a, b, c, d b, c, d b, d SUBJET 66 - p.550-564 ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALES : DETERMINER LES RELATIONES INTERMAXILLAIRES 1. 2. ⃰ La méthode homotropysme linguo-mandibulaire consiste en : a) positionnement de la mandibule dans la relation de posture par l'éveil des réflexes parodontale musculaires b) positionnement de la mandibule dans la relation de posture en déglutition; c) positionnement de la mandibule dans la relation centrique , en fermant la bouche avec le somet de la langue sur les perles Walchoff; d) positionnement de la mandibule dans la relation centrique par la compression du menton; e) aucune version correcte. p. 558 ⃰ La ligne de sourire: a) est évaluée basée sur le frein de la lèvre supérieure; b) est évaluée basée sur le filtre de la lèvre inférieure; c) est le niveau auquel est plassé le bord incisale des dents artificielles inférieure; d) est la limitée de visibilité maximale du groupe central supérieure; e) toutes les variantes sont correctes. p. 563 c d 3. 4. 5. 6. 7. 8. L'analyse du modèle apres le Système Biofonctionnel Prothètique, le moyenne de la crête résiduelle maxillaire: a. est est marqué dans les zones latérales de la crête édentée; b. est antérieurement délimitées par les points de positionnement du sommets canines; c. permettant au technicien dentaire à installer corrctement les dents artificielles latérals ; d. postérieur, est continuent avec le marquage de moyens tubérositaires; e. aucune version correcte. p. 565 ⃰ La analiza modelelor asamblate: a. se analizeaza doar fornixul vestibular maxilar; b.arcul frontal vestibular este distantat pe directie sagitala de papila incisiva cu aproximativ 7cm ; c. arcul frontal vestibular este distantat pe directie transversala de papila incisiva cu aproximativ 7mm ; d. coarda liniei maxilo-mandibulare frontale poarta denumirea de arcul frontal vestibular; e. aucune version correcte. p. 568 Pour le modèle maxillaire,la hauteur de l'assemblage de la base plus les dents artificielles est en moyenne de: a. 8 -10 mm; b.1 - 3 mm; c. 20 - 22 mm. d.18 - 20 mm; e. 2 - 3 mm. p. 568 Le contrôle extraorale des maquettes d'occlusion: a. est faite dans la présence du patient; b. est faite dans l'absence du patient; c. vérifier leur réalisation dans le laboratoire, comme les indiquations dans la feuille de laboratoire; d. est une méthode complexe qui utilise la méthode de saisie graphique; e. toutes les variantes sont correctes p. 550 Quelques méthodes simples pour la détermination de R.C. inclure: a. manoeuvre condylienne b. la mémoire occlusale Lejoyeux; c. la méthode Robinson; d. la méthode Paterson; e. toutes les variantes sont correctes p. 558-559 ⃰ Le tubercule piriform: a. pas une zone biostatique; b. est utilisé sur le modèle comme référence pour l'interférence des plans; c. est utilisé sur le modèle comme référence pour des lignes dinamiques; d. est utilisé sur le modèle comme référence pour l'interférence des lignes statiques; e. toutes les variantes sont correctes p.564 a, b, c, d d c b, c a, c d SUBJET 67: p. 568 -582 ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALES: LA PREUVE DES MAQUETTES 1. 2. 3. 4. 5. 6. ⃰ Le contrôle phonétique: a. si phonème F ressemblent au V les dents supérieures sont trop vestibularisée b. si phonème V ressemblent au F les dents inférieures sont trop allongers c. si T est entendu comme D les dents inférieures sont oralisée d. si D est entendu que T prothèse est trop épais dans la zone des prières du palais. e. toutes les variantes sont correctes p. 579 Les orifices de déchargement: a. sont des zones localisées par design sur le modèle b. parmi eux sont les exostosses c. leur épaisseur est transmis dans le laboratoire à travers la trappe sur le modèled.gradul de foliere nu variază e. technicien fixé par du modèle le dechargement p. 581 ⃰ Les dents artificielles latérale de la maquette en cire: . a. peut être mis sur la tubérosité et tubercules si nécessaires; b. doit être monté sur le millieu de la crête; c. leur courbure vestibulaire doit être symétrique; d. les dents supérieures doivent respecter la loy de Pound; e. toutes les variantes sont correctes p. 569 ⃰ Le test de Buchmann/Ismail: a. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents latérales supérieure et atteindre certains déglutition; b. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents latérales inférieure et effectuer la manœuvre de Valsalva plusieurs fois; c. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents latérales supérieure et effectuer la manœuvre de Valsalva plusieurs fois; d. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents latérales inférieure et atteindre certains déglutition; e. aucune version correcte. p. 576 La gravure du modèle: a. est réalisé par le technicien; b. est faite par le médecin en présence du patient; c. est faite par le médecin en absence du patient; d. il est plus élevé pour les voiles horizontaux; e. il est plus élevé pour les voiles verticales; p. 581 ⃰ Le test positif de la spatule signifient: a. l’engrenage des dents frontales et latérales est correct b. l’engrenage des dents latérales est faux c. l’engrenage des dents latérales est tête a tête d. l’engrenage des dents latérales est invers. d a, b, c b d b, e b 7. 8. e. aucune version correcte p. 577 L'examen du patient avec la bouche entrouverte avec les modèles de la cavité buccale: a. vise que la face occlusale des dents latérales supérieure etre pas visible; b. vise à encadré être les 6 frontales supérieures entre les lignes des canines c. vise à encadré être les 6 frontales supérieures entre les lignes incisifs médio-sagittal d. n'etre pas un espace entre les faces vestibulaires des prémolaires et des joues e. aucune version correcte. p. 575 ⃰ Si le mantient de la maquette supérieure en cire avec les dents est pauvre : a. est indique l'insertion des deux maquettes et de leur solidarisation avec les boucles de fil métallique. b. indiqué dans un premier temps, l'insertion de la maquette mandibulaire; c. reprendre les preuves à partir de l'empreinte fonctionnelle; d. indiqué a refaire la maquette; e. toutes les variantes sont correctes. p. 571 a, b b SUBJET 68 - P. 583-593 LA VERIFICATION ET L'ADAPTATION DE LA PROTHESE TOTALE 1. 2. 3. 4. Pour réduire les sentiments de nausées: a. il est recommandé L'anesthésie tronculaire périphérique; b. vous rincer la bouche avec de l'eau tiède c. vous rincer la bouche avec de l'eau chaude; d. recommandé tirant genou fléchi avec les deux mains vers la poitrine e. est recommandé fde laisser fortement les épaules vers le bas p. 588 Le traitement pour la xérostomie peut être effectué avec: a. articaine b.novocaine; c. substances cholérétiques d. pilocarpine e. toutes les variantes sont correctes p. 588 Les porteurs de prothèses dentaires: a. devrait éviter les aliments mous b. ils doivent faire le premier contrôle à 48 heures après l'insertion des prothèses dentaires c. peut avoir la bouche pleine et la salivation abondante d. doit utiliser la pâte pour le lavage de la prothèse , le savon et l'eau ne sont pas indiques e. ne devraient pas porter des prothèses pendant la nuit, que seulement a l'indications du médecin p. 591-592 Le traitement pour la xérostomie peut être effectué avec: a. lidocaïne; b. cholérétiques de type sulfaren; d, e c, d c, e b, e 5. 6. 7. 8. c.adrenaline; d.articaine; e. salive artificielle p. 588 Les zones de suprapression : a. identifié par examen clinique; b. sont identifiés par un silicone de contrôle; c. sont identifiés par une pâte indicatrice de pression; d. apparaissent comme zones de muqueuse sur lesquelles la pâtes indicateur estcomplètement enlevé e. aucune version correcte p.586 Le contrôle phonétique: a. prononcé "Mississippi" pour vérifier le couloir neutre b. sont faites les premiers preuves phonétiques; c. prononcé "Mississippi" pour vérifier l’espace minimum vocal; d. vérifiez la prononciation des siflantes F et V e. aucune version correcte. p. 589 Le contrôle phonétique avec deux prothèses dans la cavité buccale: a. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound Z si les dentes frontales supérieurs sont oralisees b. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound Z si les dentes frontales supérieurs sont oralisées c. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound Z si les dentes frontales supérieurs sont vestibularisées d. est vérifie l’espace minimum vocal e. toutes les variantes sont correctes p. 590 La vérification de maintien de la prothèse totale maxillaire a. peut être fait quand le patient garde sa bouche légèrement ouverte b. peut être fait quand le patient garde sa bouche maximum ouverte c. vise l'adhérence de la prothèse maxillaire d. vise la stabilité de la prothèse maxillaire e. toutes les variantes sont correctes p. 588-589 b, c b, c a, d a, c SUBJET 69. – P. 593-601 LES STOMATOPATHIES PROTHETIQUE ET 1. 2. Les réactions immédiates basale: a. sont la conséquence d'erreurs dans les empreintes b. sont la conséquence de la technologie inadéquates de laboratoire c. sont le résultat de la réalisations inadéquate de la face interne de la prothèse d. sont le résultat de la structure irrégulière du champ prothétique e. leur traitement est différente de celle des lésions marginaux p. 596 ⃰ Les réactions tardives marginales: a. sont la conséquence d'erreurs dans les empreintes b. sont le résultat de la réalisations inadéquate de la face interne de la prothèse c. peut être causée par l'encrassement des prothèses usés pendant une longue période d. ne nécessite pas de diagnostic différentiel avec les lésions buccales c, d c 3. 4. 5. 6. 7. 8. malignes e. se produire plus fréquemment dans les tubercules piriformes p. 596 ⃰ Hyperplasies marginales: a. se manifeste à travers différentes formes pathologiques b. le traitement consiste en l'excision de la tumeur et biposie c. sont dues à l'action irritative tandis que les marges dela prothese d. comme une forme peut être les epulides e. toutes les variantes sont correctes p. 597 L'hyperplasie épithéliale conjonctive: a. peut apparaître comme franges b. Ils sont de nature allergique c. peut être causée par maladies générales d. sont produites principalement au niveau lingual e. chez le maxillaire apparaît au droit du vestibule p. 598 La candidose chronique atrophique: a. réagissant à la suite d'une irritation chronique b. son apparence est pas lié à l'existence de facteurs locaux ou généraux prédisposant c. du point de vue clinique ne montre pas varié d. est une maladie rare e. montre les formes aiguës et chroniques avec des degrés divers de gravité p. 599 Stomatites: a. leurs lésions pathologiques se manifestent en plusieurs stades b. ne nécessite pas de diagnostic différentiel c. ne sont pas des processus inflammatoires d. leur première étape est érythémateuxe. e. la deuxième étape est érythémateux p.601 Les facteurs locaux sont impliqués dans l'apparition de stomatopathies sont a. hémopathies b. Les maladies vasculaires c. la vieillesse d. autonettoyant e. défauts d'exécution de la prothèse p.593-594 ⃰ Stomatites: a. la première étape est caractérisée par la hyperémie; b. la deuxième étape est ulcéreuse; c. La troisième étape est exsudative; d. Leur première étape est caractérisée par des phénomènes de dégénérescence épithéliales e. aucune réponse correcte p.601 e a,e d,e a,d d,e a SUJET 70 - P.693-703 RÉOPTIMISATION DES PROTHÈSES AMOVIBLES 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Les temps opérateurs de rembourré direct sont: a. enlèvement d'une couche de 0,5-1mm la face interne de la selle b. embrochait avec monomère la surface de fraisage c. modélisation de bord de la prothèse même que pour l’empreinte fonctionnelle d. modélisation de bord de la prothèse par le médecin e. toutes les variantes sont correctes p.694-695 Le garnissage définitive: a. est seulement directe b. est seulement indirecte c. les matériaux utilisés sont de consistance élastique d. les matériaux utilisés ont degré de porosité augmenté e. aucune réponse correcte p.696 ⃰ Préparation des fragments de la prothèse pour la rétention d'acrylate: a. il est une étape dans le garnissage directe b. il est une étape dans le garnissage indirecte c. il comprend l'étape consistant à créer un espace entre les fragments de 4.3 mm d. il comprend l'étape consistant à réduire l'épaisseur de 5-7 mm fragments parallèle à la fracture e. toutes les variantes sont correctes. p.699-700 Si complétant une ou plusieurs dents dans une prothèse partielle acrylique: a. dans la prothèsene sont pas faites des rétention pour les dents à remplacer b. pâte acrylique sera applicable à la partie des dents dans la position clé c. le montage des dents sera faite sans la clé vestibulo-occlusale d. le montage des dents sera faite avec la clé vestibulo-occlusale e. aucune réponse correcte p.702 Le garnissage indirecte: a. est réalisée dans le laboratoire; b. aucun risque d'irritation pour la muqueuse buccale; c. est rapide; d. Il a une faible consommation de matières; e. aucune réponse correcte p.695 En cas de réparation d'une fracture simple de la prothèse avec deux fragments. a. la réparation est faite avec acrylate fotopolymérisable b. la réparation est faite avec acrylate autopolymérisable c. si le fragment est petit ont faite une empreinte en alginate d. si le fragment est petit ont faite une empreinte avec matériaux élastiques e. aucune réponse correcte p.700 Les objectifs du garnissage sont: a. une adhérence accrue; b. freinage des déplacements horizontaux; a, b, c c,d d b,d a, b b, d. a,b 8. c. diminution de la sensibilité de la muqueusse couvrante d. rééquilibrage occlusal e. aucune réponse correcte p.693-694 Lors du remplacement d'un fil crochets: a. ont faite une empreinte en alginate b. il crée un lieu dans la plaque prothétique où le conseil va entrer la queue du crochet c. le crochet est fait de fil de vipla élastique d. généralement la queue vieux du crochet déterminées exactement où est la demeure de la plaque prothétique e. toutes les variantes sont correctes p.701-702 b,c,d