Sujet 1. Anesthésie en médecine dentaire

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Sujet 1. Anesthésie en médecine dentaire
1.
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6.
7.
Le territoire oro-maxillo-facial est délimité par:
a) latéralement: un plan qui passe par la marge antérieure du muscle
sterno-cléido-mastoïdien, la marge postérieure de l’apophyse
mastoïde, entoure le pavillon de l’oreille et puis il passe
verticalement par le tragus en s’unissant au plan supérieur.
b) supérieurement: par un plan horizontal qui passe par les rebords
orbitaires inférieurs.
c) inférieurement: par le plan horizontal qui passe par la marge
basilaire de la mandibule.
d) latéralement: un plan qui passe par la marge antérieure du muscle
sterno-cléido-mastoïdien, la marge antérieure de l’ apophyse mastoïde,
entoure le pavillon de l’oreille et puis il passe verticalement par le tragus
en s’unissant au plan supérieur.
e)latéralement: un plan qui passe par la marge antérieure du muscle
sterno-cléido-mastoïdien,la marge antérieure de l’ apophyse ptérigoide,
entoure le pavillon de l’oreille et puis il passe verticalement par le tragus
en s’unissant au plan supérieur.
Le nerf maxillaire:
a) c’est un nerf mixte, sensitif et moteur.
b) il a une seule branche collatérale.
c) il présente une racine sensitive, volumineuse et une racine motrice
antéro-latérale
d) il se détache de la marge postérieure du ganglion Gasser.
e) c’est un nerf exclusivement sensitif.
Des régions superficielles latérales ne fait pas partie:
a) la région zigomatique.
b) la région massétérine.
c) la région infraorbitaire.
d) la région parotidienne.
e) la région labiale.
L’innervation sensitive de la muqueuse gingivale inférieure entre la
deuxième prémolaire et la dent de sagesse est assurée par:
a) les branches temporo-facial.
b) le nerf auriculo-temporal.
c) le nerf buccal, branche terminale du nerf mandibulaire.
d) le nerf milo-hyoïdien.
e) le nerf buccal, branche collatérale du nerf mandibulaire.
La triple infirmité physiologique” est caractérisée par:
a) des réserves réduites;
b) de grandes nécessités métaboliques;
c) des mécanismes de réglage imparfaits;
d) les variabilités anatomiques du viscéro-crâne;
e) la réactivité psycho-émotionnelle
Au cas du terrain physiologique chez le vieillard l’appareil respiratoire
présente une série de modifications:
a) l’atrophie du parenchyme pulmonaire;
b) la prolifération du tissu conjonctif qui détermine le scléroemphysème pulmonaire;
c) la diminution de la capacité de ventilation;
d) la croissance de la respiration abdominale;
e) la diminution de la rigidité de la boîte thoracique .
Chez le patient avec infarctus du myocarde on va tenir compte des choses
suivantes , à l’exception de:
d,
slide 3 ,cours –
systématisation
2011-2012
c, e
slide 13 ,cours
-techniques
e,
: slide 8, cours
systématisation
c
slide 26, courstechniques
a,b,c
slide 22, coursterrain
a, b.c,d
slide 27, coursterrain
d.
slide 42 ,coursterrain
8.
a) l’avis du cardiolog avant les procédures de stomatologie ou
chirurgicales;
b) la prémédication sédative obligatoire, une demi-heure avant le
début du traitement;
c) il représente une contre-indication pour les traitements de
stomatologie s’il a eu lieu les six derniers mois.
d) l’anesthésie locale par injection sans anesthésie de contact;
e) la médication coronaro-dilatatrice ne sera pas interrompue.
La pression artérielle est influencée par:
a, c,d,e
a) la capacitaté cardiaque;
b) le pouls;
c) le volume;
d) la viscosité du sang;
e) l’élasticité vasculaire.
slide 43, coursterrain
Sujet 2
Chapitre 2. L’éxtraction Dentaire
(pag. 43-44, 45-46, 58-59, 59-62, 62-65, 65-68, 68-70,70-75, 75-76
Nr
crt
1*
2*
3*
Raspuns Pag
Les énoncés suivants ne sont pas des indications pour l’extraction
A
dentaire:
A. tous les dents avec destruction coronaire
B. dents qui ont produit ou peuvent produire ou maintenir des
complications infectieuses locales, régionales ou générales
C. dents provenant des foyers de fracture osseuse qui empêchent ou
peuvent compliquer un traitement chirurgical
D. dents incluses ou surnuméraires ou dents ayant fait éruption qui
empêchent l'éruption;
E. dents qui empêchent un traitement prothétique adéquat
Les énoncés suivants ne sont pas des indications sur les extractions
C
dentaires des dents temporaires, à une exception près:
A. gangrène pulpaire
B. dents avec rhisalyse coronaire dans (ou après) la période normale de
leur remplacement par les dents permanentes.
C. dents avec lésions traumatiques ou en liaison avec des fractures
osseuses
D. dents temporaires qui permettent l'éruption normale
E. dents avec lésions traumatiques coronaire
L’extraction dentaire n’as pas les suivantes contre-indications généraux,
C
avec un seule l'exception:
A. maladies cardio-vasculaires, les syndromes hémorragiques, le diabète,
la leucémie aiguë, le traitement avec anticoagulants, les affections
hépatiques, infections dentaires aiguës, la néphropathie, l'infection VIH,
le traitement avec immunosuppresseurs, la chimio ou la radiothérapie, la
thérapie aux corticoides
B. les syndromes hémorragiques, le diabète, le traitement avec
anticoagulants, les affections hépatiques, la chimio ou la radiothérapie, la
thérapie aux corticoides, sinusite rhino-pharyngienne aiguë maladies
cardio-vasculaires, la néphropathie, l'infection VIH, le traitement avec
immunosuppresseurs
C. les affections hépatiques, la néphropathie, l'infection VIH, le traitement
avec immunosuppresseurs, la chimio ou la radiothérapie, la thérapie aux
43
43
43
4*
5
6
7
8
corticoides, maladies
cardio-vasculaires, les syndromes hémorragiques, le diabète, la leucémie
aiguë, le traitement avec anticoagulants
D. stomatite, herpès, parodontite apicale suppurée aiguë, sinusite rhinopharyngienne aiguë péricoronarite aiguë, abcès, suppuration
E. traitement irradiant local ou régional récent
L'extraction dentaire:
A. est une intervention chirurgicale planifiée
B. est une intervention chirurgicale d’urgence
C. est une intervention chirurgicale planifiée en régime d’urgence
D. est une intervention chirurgicale d’urgence donc l’évaluation complète
et complexe du patient e pas nécessaire
E. est une intervention chirurgicale qui en général impose le respect de le
chirurgien dentiste
L’ Instrumentation requis par l’extration des dents maxillaires est:
A. pricelle
B. miroir
C. élévateur droit
D. élévateur curbe
E. élévateur Lecluse
La technique d’extraction des dents maxillaires:
A. la syndesmotomie
B. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire
C. l'index de la main droite protège la lèvre
D. la luxation de la dent avec l'élévateur curbe
E. la syndesmotomie de l’incisive mandibulaire
La technique d'extraction des incisives latérales maxillaires requis:
A. le pouce est placé en palatin
B. syndesmotomie de l'incisive lateral maxillaire avec l’élévateur droit ou
courbe
C. pricelle, miroir, élévateur droit, davier pour dents maxillaires,curette
droite ou courbe
D. l'index de la main gauche est placé en palatin
E. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire, en même temps en
écarant et protégeant la lèvre
La technique de l'extraction des canines maxillaires requis le suivantes:
A. pricelle, miroir, élévateur droit, davier pour canines maxillaires, curette
droite
B. syndesmotomie de la canine maxillaire;
C. l'index de la main gauche est placé en vestibulaire, en même temps en
écartant et protegeant la lèvre
D. l'index de la main gauche est placé en palatin, en même temps en
écartant et protegeant la lèvre
E. le pouce est placé en vestibulaire
A
43
A,B,C
48
A,B
48
A,E
49
B,C
50
Sujet 3.
Chapitre 4. Les accidents de l’éruption des dents permanentes
(pag.111-114,114-115, 115-116, 121-131)
Nr
crt
1*
L’accident dynamique apparu pendant l’éruption de dents permanentes
est:
A. l’éruption précoce
Raspuns
Pag
D
111
2*
3*
4*
5
6
7
B. l’hétérotopie dentaire
C. l’éruption tardive
D. l’inclusion dentaire
E. les complications septique
L’accident infectieux le plus fréquent pendant l’éruption de la troisième
molaire mandibulaire est:
A. la gingivite
B. l’abcès vestibulaire
C. la péricoronarite
D. l’alvéolite postextractionnelle
E. l’ostéite périapicale
La symptomatologie de l’inclusion dentaire est dominée par les aspects
suivants, avec une exception:
A. les phénomènes inflammatoires de la péricoronarite
B. la présence de la dent sur l’arcade
C. la persistance de la dent temporaire
D. la corticale bombée
E. les douleurs diffuses irradiantes
Les plus frequents complications de l’inclusion dentaire sont les
suivantes, avec une exception :
A. la péricoronarite aigue de la prémolaire supérieure
B. la péricoronarite aigue de la 3.8
C. la péricoronarite de la 4.8
D. la péricoronarite de la 1.8
E. la péricoronarite de la 2.8
La gingivostomatite peut se compliquer:
A. par les infections cardiaques
B. par une angine ulceromembraneuse de Vincent homolatérale
C. par les infections articulaires
D. par les infections hépatiques
E. par les pharyngites
Le diagnostic de l’inclusion dentaire est établi le plus fréquemment par
l’examen radiologique grâce auquel on évalue les situations suivantes:
A. la position de la dent incluse
B. la relation avec les dents voisines
C. les éléments anatomiques de voisinage (canal alvéolaire inférieur, crête
temporale, sinus maxillaire)
D. les éventuelles complications kystiques ou tumorales
E. les éléments anatomiques de voisinage (les artères et les veines de la
mandibule et du maxillaire)
La classification ”PELL et GREGORY” utilise deux types de
classifications selon la position de la dent incluse:
A. position A: La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est au même niveau ou au dessus du plan
d’occlusion
B. position B: La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est en dessous du plan d’occlusion mais au-dessus
de la ligne cervicale de la deuxième molaire mandibulaire.
C. position A: La portion la plus importante de la première molaire
mandibulaire est au même niveau ou au-dessus du plan d’occlusion.
D. position C: La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est en dessous de la ligne cervicale de la deuxième
molaire mandibulaire.
E. position C: : La portion la plus importante de la troisième molaire
mandibulaire incluse est en dessous du plan d’occlusion mais au-dessus
C
112
B
114
A
114
B,E
113
A,B,C,D 114
A,B,D
115
8
de la ligne cervicale de la deuxième molaire mandibulaire
En prenant comme référence le ramus, les inclusions dentaires peuvent
être classifiées:
A. position I: aucune partie de la couronne de la troisième molaire
mandibulaire incluse n’est pas dans le ramus
B. position II: plus du quart de la couronne de la deuxième molaire est
dans le ramus
C. position III: aucune partie de la couronne n’est pas dans le ramus.
D. position II: le quart de la couronne de la deuxième molaire est au
moins dans le ramus.
E. position III: plus du quart de la couronne de la troisième molaire est
dans le ramus
A,E
116
Sujet 4.
Chapitre 3. La chirurgie endodontique
(pag. 81-103, 103-104, 105-108)
Nr
crt
1*
2*
3*
4*
5
6
Raspuns Pag
Les techniques de chirurgie endodontique ont comme objectif:
A. la suppression des tissus parodontaux pathologiques
B. l’enlèvement des tissus pathologiques périapicaux
C. l’enlèvement de la dent
D. le retrait de la marge gingivale en excès
E. aucune de ces réponses
L’indication de drainage transmaxillaire (l’ostéotomie maxillaire)
A. lorsque l'obturation de la dent peut être enlevée
B. lorsque l'obturation de la dent est incomplète
C. lorsque la dent est trop remplie
D. les poussées aiguës de parodontite apicale aiguë suppurée dans les
stades 2 et 3
E. toutes ces réponses
Les etapes d'une résection apicale sont:
A. l’incision, le décollage du lambeau, l'obturation endodontique
B. l’incision, le décollage du lambeau, l'obturation endodontique, la
suture
C. l’incision, le décollage du lambeau, la trépanation osseuse, la suture
D. l’incision, la trépanation osseuse, l'obturation endodontique, la suture
E. aucune de ces réponses
Les principales techniques de la chirurgie endodontique sont:
A. les implants dentaires
B. l’amputation radiculaire
C. le curetage parodontal
D. la résection gingivale
E. toutes ces réponses
Les principales techniques en chirurgie endodontique se réfèrent à:
A. la résection apicale
B. le curetage parodontal
C. le curetage périapical
D. le drainage transmaxillaire
E. toutes ces réponses
Les techniques de la chirurgie endodontique se réfèrent à:
A. l’amputation radiculaire
B. la réimplantation dentaire
B
81
D
103
E
83
B
81
A,C,D
82
A,B,D,E 82
7
8
C. l’extraction dentaire
D. le curetage périapical
E. la transplantation dentaire
La résection apicale se compose de:
A. l’exposition de la dent
B. l’exposition de la racine
C. le sectionnement chirurgical et l’enlèvement de l’apex d’une dent
D. la résection radiculaire
E. assurer l’étanchéité du canal radiculaire
Le but de la résection apicale est:
A. eradiquer l’inflammation de la zone périapicale
B. le retrait de l’inflammation et de l'infection de la bouche
C. stopper la diffusion bactérienne du canal radiculaire
D. obtenir une meilleure obturation
E. le remplissage composite de la couronne
C,E
82
A,C,D
82
Sujet 5.
Chapitre 5. Méthodes chirurgicales préprothétiques
(pag.135-144, 145-147)
Nr
crt
1*
2*
3*
4*
Raspuns Pag
La chirurgie préprothétique contient
A. les interventions chirurgicales qui ont comme but la création des
conditions nécessaires à l’établi¬ssement de la prothèse mobile totale
B. les interventions qui font les traitements des ostéites périapicales
C. les curetages des follicules dentaires
D. les préparations pour la chirurgie prothétique
E. la première partie de la chirurgie prothétique
Les interventions chirurgicales préprothétiques sur le plan osseux sont
indiquées dans :
A. la crête alvéolaire avec irrégularités
B. la fibromatose gingivale au niveau des tubérosités maxillaires
C. l’hypertrophie apparente de la muqueuse gingivale,
D. les freins labiaux ou linguaux courts ou volumineux,
E. l’hyperplasies épithélio-conjonctives ou fibromes de prothèse dus aux
microtraumatismes d’une prothèse incorrectement adaptée
C’est vrai que la résection modélante de l’apophyse géni hypertrophique
suppose
A. l’intervention chirurgicale qui commence par l’incision horizontale
sous la ligne muco-gingivale, d’une part et d’autre de la ligne médiane
B. le non-décollement du lambeau vers le lingual
C. la non-désinsertion des tendons des muscles génioglosses de
l’apophyse géni
D. la non-résection de l’apophyse géni avec la fraise diamantée ou la
pince à os
E. que l’intervention chirurgicale commence par l’incision verticale à la
ligne médiane.
La résection modélante de l’épine nasale antérieure
A. a comme étape opératoire l’incision horizontale le long de l’épine
nasale antérieure ou verticale sur la pointe de la crête alvéolaire
B. est une technique de chirurgie préprothétique des parties molles
C. a une étape de résection osseuse de la crête alvéolaire avec
l’instrumentaire rotatif ou le pince à os.
A
135
A
135
A
145
D
146
5
6
7
8
D. est associée très fréquemment avec la vestibuloplastie
E. s’appelle aussi Celesnik technique
Les méthodes chirurgicales préprothétiques au niveau des parties molles
sont indiquées dans les situations suivantes :
A. les torus proéminents
B. la fibromatose gingivale au niveau des tubérosités maxillaires
C. l’hypertrophie apparente de la muqueuse gingivale
D. les freins labiaux ou linguaux courts ou volumineux
E. la parodontitis marginalis
Le frein labial, supérieur ou inférieur
A. est formé du tissu fibreux
B. est couvert par la muqueuse
C. avec ulcération, est une indication pour la chirurgie préprothétique
D. s’insère au niveau de la lèvre et du périoste du processus alvéolaire
E. pathologiquement, peut descendre jusqu’au niveau du torus et peut
empêcher l’adaptation de la prothèse totale.
L’hyperplasie épithélio-conjonctive
A. est une formation pseudo-tumorale ou inflammatoire
B. est produite par l’irritation chronique d’une prothèse incorrectement
adaptée au niveau du fond du sac vestibulaire.
C. existe seulement au maxillaire supérieur
D. s’appelle aussi fibrome de prothèse
E. a besoin d’une intervention chirurgicale préprothétique
C’est vrai que l’hyperplasie gingivale
A. représente une croissance inflammatoire en volume de la gencive,
lente, progressive
B. d’étiologie infectieuse, mécanique, hormonale ou médicamenteuse,
localisée à une dent, à un groupe de dents ou généralisée
C. l’excision se fait en même temps que l’extraction des dents avec
grande mobilité, étant suivie par la suture
D. représente une croissance en volume du tissu osseux de la muqueuse
de la crête alvéolaire
E. est plus fréquemment dans la zone molaire maxillaire
B,C,D
135
A,B,D
135
A,B,D,E 139
A,B,C
141
Sujet 6. Infections oro-maxillo-faciale
1. Quels sont les facteurs favorisants anatomiques des infections d’origine dentaire ?
a) L'épaisseur et la structure de l'os par rapport à dents
b) La morphologie coronaire de dent
c) La structure de l'émail
d) La leucopénie
e) L'âge du patient
A
2. Les facteurs déterminants des infections d’origine dentaire sont :
a) Flore microbienne de la cavité orale et la flore apportée par l'alimentation ou par la
respiration
b) L'épaisseur et la structure de l'os par rapport à dents
c) Disposition des tissus mous, le contenu des loges, les tissus adipeux, conjonctif et
lymphatique
d) L'insertion de la muqueuse mobile par rapport aux apex des dents
e) La morphologie coronaire de dent
A
3. Entre les facteurs favorisants des infections d’origine dentaire on rencontre :
a) Flore microbienne de la cavité orale
b) Lésions dentaires-parodontales (gangrène, la parodontite aiguë purulente apical)
c) flore apporté par l'alimentation ou par la respiration
d) aérobies
e) anaérobies
B
4. Lequel des énoncés suivants n’est PAS une voie de propagation des infections dentaires ?
a) Voie transosseuse
b) Voie sous-muqueuse
c) Voie limfatique et veineuse
d) Voie directe (ponctions septiques)
e) Voie aérienne
E
5. Les suivantes ne sont pas des infections des espaces fasciales:
a) L’abcès vestibulaire, l’abcès migrateur
b) Infection de l’espace maseterin et sous-mandibulaire
c) de l’espace parotidienne, l’abcès palatin
d) l’abcès ”semi-lunaire”
e) abcès palatin
A, C, D, E
6. Le traitement chirurgical des ifections ne vise pas:
a) l’incision et le drainage de la collection et l'élimination de l'agent causal
b) le drainage endodontique
c) seulement l’extraction de dent causale
d) hydratation, nutrition
e) des sédatifs, AINS
B, C, D, E
7. Quel est l’administration correcte des antibiotiques ?
a) doses et intervalles efficaces
b) doses efficaces en intervalles inégales au moins 14 jours
c) données au moins 7 jours
d) spectre alléatoiare, intervales inégales, 7 jours
e) ils sont donnés au moins 30 jours
A, C
8. La parodontite apicale aiguë purulente stade périapicale n’ est pas caractérisée par :
a) dent mobile
b) tuméfaction, fluctuation, une douleur atroce
c) cellulite vestibulaire
d) douleur spontanée ou à la percussion dans l'axe de la dent
e) douleur à la percussion latérale
A, B, C, E
Sujet 7. Maladies d'origine dentaire du sinus maxillaire
1. Les symptômes suivants se trouvent dans le cas d'une vieille communication bucco-sinusienne, sauf pour:
a) Les symptômes de la sinusite maxillaire chronique
b) un saignement abondant de l'alvéole
c) fistuleuse ouverture dans la crête alvéolaire maxillaire
d) valsalva manoeuvre positive
e) les perturbations phonétique
B
2. Le traitement d'une grande taille (> 7 mm) communication bucco-sinusienne immédiate apres l’extractin
dentaire est représentée par:
a) suture directe de la muqueuse de l'alvéole
b) Clôture de la fistule en une ou deux couches
c) Application d'une gaze sur le dessus de l'alvéole à jour par utilisation d'un "8 ligature"
d) Aucun traitement chirurgical est nécessaire
e) Application d'une garde acrylique
B
3. La sinusite maxillaire chronique d'origine dentaire se caractérise par la déclaration suivante:
a) Une douleur intense dans la région du sinus maxillaire
b) Une douleur intense dans la région du sinus maxillaire surtout le matin
c) Une douleur modérée dans la région du sinus maxillaire surtout le matin
d) Une douleur modérée dans la région du sinus maxillaire surtout le soir
e) Une douleur modérée dans la région du sinus maxillaire surtout au printemps
C
4. Les principaux signes cliniques de la sinusite maxillaire aiguë d’ origine dentaire qui suit, sauf pour:
a) rhinorrhée purulente
b) Fièvre
c) L'obstruction nasale
d) unilatérale douleur des sinus
e) la douleur dentaire
E
5. Les dents maxillaires suivantes sont en étroite relation avec le sinus maxillaire:
a) Première molaire
b) Première prémolaire
c) Deuxième prémolaire
d) l'incisive latérale
e) Troisième molaire
A, B, C, E
6. Les déclarations suivantes sont remplies concernant le sinus maxillaire:
a) Il est présent dans le nouveau-né
b) Il ouvre dans le méat inférieur
c) Son développement est complète à l'âge de 25
d) Son développement est complète à l'âge de 7
e) Il ouvre dans le méat moyen
A, C, E
7. Les facteurs de la sinusite maxillaire sont:
a) Diminution de la sécrétion de mucus
b) Les facteurs locaux et généraux
c) L'inflammation chronique de la muqueuse sinusale
d) la thérapie vitamine
e) L'immunosuppression
B, C, E
8. Les facteurs déterminants de la sinusite maxillaire d'origine dentaire peuvent être:
a) la fistule oro-nasal
b) pulpite séreuse
c) ostéite periapicale
d) kystes radiculaires infectee
e) la maladie parodontale chronique
A, C, D
Sujet 8. Traumatologie oro-maxillo-faciale
1. Les zones de résistance élevé de la mandibule sont :
a) La symphyse mandibulaire et le bord basilaire
b) La symphyse et l’angle mandibulaire
c) Foramen mentalis
d) Zone du canine- courbure maximale
e) La coronoïde
A
2. Les zones de de faible résistance de la mandibule sont :
a) La symphyse mandibulaire
b) Le bord basilaire
c) Foramen mentalis, l’angle mandibulaire
d) La ligne oblique externe
e) La coronoïde et le bord basilaire
C
3. Quels sont des autres facteurs prédisposants des fractures mandibulaires ?
a) Nombre élevé d'accidents de la route
b) La malocclusion
c) Les bourgeons chez les enfants, les inclusions dentaires
d) Un menton proéminent
e) Le mode de vie du patient
C
4. Une fracture indirecte de la mandibule indique :
a) Fracture dans le point d'impact
b) fermeture ou ouverture de l’arc mandibulaire
c) une fracture unique
d) Fracture à distance du point d'impact
e) fracture comminutive
D
5. Les ecchymoses ne sont pas:
a) Accumulation de sang extravasée à la suite de la rupture de vaisseaux sanguins plus
profondes ou plus grandes
b) Le résultat d'extravasation du sang dans l'espace intercellulaire en raison de la rupture des
vaisseaux
c) Abrasions superficielles, interruption de la continuité des tissus ou une égratignure, abrasion
d) Épanchement lymphatique séreux, visqueux, jaune, en raison de l'action d'un agent violente
tangentiellement
e) Contusion musculaire
A, C, D, E
6. Les affirmations suivantes sont fausses en regard l’excoriation:
a) Il représente une plaie
b) Abrasions superficielles
c) Interruption de la continuité des tissus ou une égratignure, abrasion
d) Plaie profonde, interruption de la continuité des tissus ou une égratignure, abrasion
e) Accumulation de sang extravasée à la suite de la rupture de vaisseaux sanguins plus
profondes ou plus grandes
A, D, E
7. Les moyens chirurgicales de traitement des fractures de la mandibule n’inclut pas :
a) Ostéosynthèse par ligature métallique, miniplaques ou par gouttière
b) Blocage maxillomandibulaire
c) Ostéosynthèse par blocage maxillomandibulaire
d) Traitement endodontique
e) Traitement orthodontique
B, C, D, E
8. Les affirmations suivantes ne representent pas le traitement définitive des fractures mandibulaires:
a) antibiothérapie
b) corticothérapie
c) la réduction et l'immobilisation en position anatomique
d) c'est toujours chirurgical
e) c'est toujours orthopédique
A, B, D, E
Sujet 9. Kystes et tumeurs bénignes des tissus mous orale, de la tête et du cou
1. La déclaration suivante est pas vrai concernant tératome:
a) Il est composé de tissus éloignés de la place du développement
b) Il est originaire de toutes les couches germinatives
c) Dans la tête et du cou, il est souvent situé dans le plancher de la bouche
d) Il est fréquemment rencontré comme une tumeur de l'ovaire, généralement bénigne
e) Il est formé par l'augmentation du volume des cellules du tissu locale
E
2. La définition d'un kyste est:
a) Une cavité pathologique, délimitée par une membrane epitheliale, avec un contenu liquide ou
semi-solide
b) Une cavité pathologique qui ne sont pas délimitées par une membrane épithéliale, liquide ou
solide contenu
c) Une cavité avec un contenu solide
d) Une cavité physiologique sans une membrane et le contenu liquide ou semi-solide
e) Une cavité iatrogène délimitée par une membrane synthétique à teneur en liquide ou semi-solide
a
3. kystes salivaires sont représentés par:
a) kyste dermoïde
b) keratocyst
c) Grenouillette
d) kyste sébacé
e) kyste branchial
C
4. Les kystes originaires des structures épidermiques sont représentés par:
a) kyste dermoïde
b) keratocyst
c) kyste branchial
d) kyste sébacé
e) keratocyst
d
5. Epulis fissuratum:
a) Chez les patients âgés port de prothèses dentaires amovibles
b) l'apparence de chou-fleur
c) Habituellement situé dans le pli vestibulaire maxillaire
d) aspect fibreux, ferm cohérence
e) Situé sur le palais dur il est aussi appelé fibro-épithéliale polype
A, C, D, E
6. Le diagnostic différentiel de la grenouillette sublinguale est réalisé avec:
a) kyste sébacé
b) kyste tératoïde
c) Les tumeurs des glandes sublinguales
d) keratocyst
e) kyste dermoïde
B, C, E
7. Le sialocyst:
a) Ils ne sont jamais rencontrées dans les glandes salivaires principales
b) Elle est formée en raison de la dilatation du conduit salivaire due à l'obstruction et la salive
accumulation
c) Il est formé du fait de la perforation du canal salivaire et de l'accumulation de salive
d) Il peut suivre l'évolution chronique d'une mucocèle
e) Il forme un nodule sous-muqueux
B, D, E
8. Les mucocele:
a) Elle est associée à un traumatisme répété de la lèvre
b) Elle est formée en raison de la dilatation du conduit salivaire due à l'obstruction et la salive
accumulation
c) Il est formé du fait de la perforation du canal salivaire et de l'accumulation de salive
d) Il se décompose habituellement et guérit spontanément
e) Il fait en raison de l'évolution chronique d'un sialocyst
a, C
Sujet 10. Kystes, tumeurs bénignes et ostéopathies de l'os de la mâchoire
1. L'entité suivante représente un kyste odontogéne lies au developpment:
a) Kyste du canal naso-palatin
b) Kyste naso-labial
c) Kyste radiculaire
d) Kyste folliculaire
e) Kyste résiduel
D
2. Un des suivants est un kyste inflammatoire:
a) Kyste primordial [kératokyste]
b) kyste périapical
c) kyste dentigère
d) kyste du canal naso-palatin
e) kyste anévrismal
B
3. Les restes Malessez résultent par:
a) Désintégration de l'organe de l'émail
b) Désintégration de la lame dentaire
c) la désintégration de la gaine radiculaire Hertwig
d) Formation de la gaine radiculaire Hertwig
e) Formation de l'organe de l'émail
C
4. Le kyste du canal naso-palatin est:
a) Un kyste odontogéne lies au developpment
b) Un kyste non- odontogéne lies au developpment
c) Un kyste inflammatoire
d) Un pseudokyste
e) Un pseudokyste odontogene
B
5. Le diagnostic différentiel du tore palatine comprend:
a) L'abcès vestibulaire
b) L'abcès palatin
c) Le kyste radiculaire
d) Le carcinome adénoïde kystique de la petite palatines glandes salivaires
e) Epulis fissuratum
B, D
6. Les déclarations suivantes sont remplies concernant le tore mandibulaire:
a) Situé sur la face linguale du corps mandibulaire
b) Présent au les jeunes adultes
c) Associé avec bruxisme
d) Présent seulement dans les patiens âgées
e) Situé sur le côté vestibulaire du corps mandibulaire
A, B
7. Les tore palatines:
a) est situé sur la ligne médiane du palais dur
b) la cohérence osseuse
c) recouvrant la muqueuse ulcérée
d) sus-jacente muqueuse normale
e) fluctuante
A, B, D
8. Les déclarations suivantes sont remplies concernant la tumeur brune
a) Le traitement est représenté par l'ablation chirurgicale radicale
b) Il est associé à une hyperparathyroïdie primaire ou secondaire
c) Il est pathologiquement identique à la tumeur à cellules géantes central
d) Il est associé à une hyperthyroïdie primaire ou secondaire
e) Le traitement est représenté par la radiothérapie et la chirurgie radicale
B, C
Sujet 11. Tumeurs malignes bucco-maxillo-faciale
1. Quels lésions sont considérés comme potentiellement lésions malignes de la muqueuse buccale?
a) Erithroplasia
b) papillome oral
c) la candidose orale
d) Glossitis
e) fibromatose gingivale
a
2. Le mélanome malign:
a) Tumeur maligne dérivée de cellules basales
b) Tumeur maligne dérivée de mélanocytes
c) Il est pas localement agressive
d) Il ne se développe jamais sur des lésions préexistantes pigmentaires
e) n'a pas de potentiel de propagation lymphatique
B
3. cTNM se réfère à:
a) examen anatomopathologique de la biopsie
b) examen pathologique final de la pièce opératoire
c) Mise en scène d'une tumeur récidivante
d) Mise en scène d'une tumeur occulte
e) la mise en scène clinique après examen clinique attentif
E
4. pTNM est déterminée par la:
a) l'évaluation clinique attentive du patient
b) des études imagé en dynamique
c) examen anatomopathologique de la biopsie
d) examen pathologique final de la pièce opératoire
e) Mise en scène d'une tumeur récidivante
D
5. Les informations suivantes concernent le cancer du milieu du visage:
a) Le cancer de la mésostructurée implique le complexe ethmoïdo-orbito-maxillo-malaire
b) le cancer de la superstructure implique le complexe ethmoïdo-orbito-maxillo-malaire
c) Le cancer de la mésostructure implique que le cancer de rhinosinusien
d) Cancer de l'infrastructure est représenté par le cancer de la gencive-alvéolaire
e) le cancer de l'infrastructure est représenté par le cancer du rhinosinusien
B, C, D
6. Le debut intra-osseux de la tumeur mandibulaire est associée à des signes suivants:
a) la douleur névralgiforme
b) otalgie
c) douleur dentaire
d) Hypoesthésie
e) la mobilité dentaire
A, C, D, E
7. Le syndrome du plancher orbitaire dans le cancer de la superstructure est représentée par:
a) l'anesthésie orbitaire
b) oedème palpebral inférieure
c) épistaxis
d) La diplopie
e) exophtalmie
A, B, D, E
8. Les facteurs étiologiques de cancer mésostructuré comprennent ce qui suit:
a) Septal écart
b) l'exposition professionnelle facteurs- environnement
c) Fumeurs
d) la sinusite chronique
e) nasale polype
B, C, D, E
Sujet 12. Pathologie de l’articulation temporo-mandibulaire
1. Le test de morsure d’un bâtonnet de bois :
a) Si le bâtonnet est de côté douloureux - la douleur va diminuer- signe d’affectation musculaire
b) Si le bâtonnet est de côté douloureux - la douleur va diminuer- signe d’affectation articulaire
c) Si le bâtonnet est de côté douloureux- la douleur va augmenter- un signe d’affectation articulaire
d) Si le bâtonnet est de l’autre parte de côté douloureuse- la douleur va augmenter, est un signe
d’affectation musculaire
e) Si le bâtonnet est de l’autre parte de côté douloureuse la douleur va diminuer, est un signe
d’affectation articulaire
B
2. Les bruits articulaires sont représentés par :
a) Les claquements - problèmes de dysfonctionnement disco-condylien
b) Les craquements- frottement des extrémités osseuses dénudées
c) Les crissements- problèmes de dysfonctionnement disco-condylien
d) Les grincements- problèmes de dysfonctionnement musculaire
e) Les claquements- problèmes de dysfonctionnement psychologique
A
3. La motilité mandibulaire normale est représentée par :
a) Ouverture maximale de la bouche à 20 mm (± 5)
b) Ouverture maximale de la bouche à 70 mm (± 10)
c) Ouverture maximale de la bouche à 50 mm (± 6)
d) Propulsion à 27mm (± 2)
e) Propulsion à 37mm (± 2)
C
4. En regard des troubles de la motilité mandibulaire nous devons observer les suivantes moins
une :
a) L’amplitude d’ouverture buccale
b) Le trajet d’ouverture
c) Le type de déglutition
d) Les mouvements de propulsion
e) Les mouvements de latéralité
C
5. Les lésions dégénératives de l’ATM comprennent, SAUF :
a) Les arthroses « mécaniques »- le cartilage a une structure anormale et il est plus fragile
b) Les arthroses « structurales » le cartilage a une structure anormale et il est plus fragile
c) Les arthroses « structurales » le cartilage est normal à départ
d) Les arthroses « structurales » le cartilage est trop dur à départ
e) Les arthroses « mécaniques » le cartilage est trop dur à départ
A,C, D, E
6. L’ostéonécrose du condyle peut être déterminé des affections suivantes:
a) Le traitement orthodontique-chirurgical des anomalies dento-maxillaires
b) Le lupus érythémateux
c) Les traumatismes de l’ATM
d) Traitement orthodontique-chirurgical des jeunes filles avec ou sans béance articulaire
e) La thyroïdite auto-immune
A,B,C,D
7. Les facteurs prédisposants de la luxation condylodiscale antérieure sont, avec l’EXCEPTION :
a) L’existence des parafonctions manducatrices
b) L’existence des maladies auto-immunes
c) L’hypotonie musculaire
d) L’hypersialie nocturne
e) L’existence des maladies infectieuses
B,C,D,E
8. Lequel des éléments suivants sont un stade de la maladie SADAM ?
a) Luxation discale irréductible
b) Anomalies musculaires
c) Lésions discale
d) Anomalies synoviales
e) Anomalies osseuses
A,C,D,F
Sujet 13. Pathologie de la glande salivaire
1. Lequel des énoncés suivants concernant les oreillons est faux?
a) Le début est unilatérale, après bilatérale
b) La salive reste toujours claire
c) La salive est toujours purulente
d) La salive reste toujours claire
e) L’orchite est une complication possible
C
2. La parotidite aigue bactérienne:
a) La salive reste toujours d’aspect normal
b) L’ostium du canal Stenon congestif et turgescent avec de la salive mucopurulente
c) L’orchite est une complication possible
d) La sialorrhée est un facteur favorisant
e) L’ostium du canal Stenon congestif et turgescent avec de la salive claire, abondante
B
3. Les facteurs favorisants de la parotidite aigue bactérienne sont les suivantes sauf:
a) L’hyposialie
b) L’immunodépression
c) Le dysfonctionnement des enzymes salivaires
d) Locaux ou généraux
e) L’hypersialie
E
4. Le traitement préventif des parotidites aigues bactériennes est :
a) Traitement antibiotique par la voie générale
b)
c)
d)
e)
Lavages canalaires avec des antibiotiques
Favoriser une bonne sécrétion salivaire par réhydratation et atropine
Favoriser une bonne sécrétion salivaire par réhydratation et des sialagogues
Traitement cortisonique par la voie générale
D
5. Les signes cliniques de parotidite bactérienne aiguë est:
a) L'ouverture du canal de Sténon est congestive et turgescent avec le fluide salivaire muco-purulente
b) la fièvre associée à la douleur dans la région parotide et otalgie
c) Augmentation du flux de salive clair
d) Gonflement de la région parotide avec la peau recouvrant congestive
e) Rarement, nerf facial Paralisis
A, B, D, E
6. La caractéristique des oreillons sont:
A) apparaît particulièrement chez les enfants
b) Plus fréquente chez les personnes âgées
c) Initialement unilatérale, puis bilatérale
d) La salive reste clair
e) plus fréquent chez les garçons
A, C, D, E
7. Le syndrome de Sjogren est caractérisé par:
a) la sécheresse des cheveux
b) Sécheresse nasale
c) Mains sécheresse
d) la sécheresse oculaire
e) la sécheresse buccale
B, D, E
8. Les facteurs de parotidite bactérienne aiguë sont:
a) hyposialie
b) les vannes dysfonctionnement salivaire
c) L'échec des enzymes salivaires
d) locale ou générale
e) Hypersialia
A, C, D
Sujet 14. Chirurgie orthognatique
1 Les éléments suivants sont des indications de la chirurgie orthognathique à une exception près:
a. De graves anomalies
b. La durée a dépassé d'un traitement orthodontique
c. Chirurgie remplissage orthodontie
d. Orthodontie échoué
e. Courte durée du traitement orthodontique
e
2 Parmi les objectifs de la chirurgie orthognathique, nous trouvons ce qui suit à une exception près:
a. Équilibrer les arcades dentaires
b. L'optimisation des fonctions
c. Obtenir une harmonie du visage
d. Équilibrer l'occlusion
e. Créer un espace pour les implants dentaires
e
3 L'examen clinique pré-opératoire comprend:
a. Analyse céphalométrique, modèles de gypse, l'analyse des moulures
b. Le test sanguin;
c. Radiographie pulmonaire;
d. CBCT
e. CTx
a
4 Lors de l'examen extra-orale, le chirurgien prend une attention particulière à:
a. Visage, le menton, le nez,les arcades dentaires;
b. Menton, le nez, la lèvre inférieure et superieure;
c. Lèvre supérieure, le nez, le visage, l'occlusion;
d. Lèvre inférieure, le visage, le menton, dents
e. Visage, le menton, le nez, l'occlusion
b
5 L'analyse radiologique implique ce qui suit:
a. La radiographie panoramique, Les téléradiographies cranio-faciales (profil, le visage)
b. Radiographie pulmonaire;
c. CTx
d. Le test sanguin
e. Sinus radiographie
a
6 L'analyse céphalométrique consistent en ce qui suit avec une exception:
a. maxillaire et le crâne
b. mandibule et le crâne
c. mandibule et le nez
d. dents maxillaires et mandibulaires
e. proéminence du menton à la base de la mandibule arcade dentaire
c
7 Lors de l'examen extra-orale, le chirurgien prend une attention particulière à:
a. nez
b. menton,
c. La lèvre supérieure
d. Lèvre inférieure
e. occlusion
a,b,c,d
8 L'examen clinique pré-opératoire comprend:
a. Analyse céphalométrique
b. modèles de gypse
c. analyse des Moulures
d. CBCT
e. CTx
a,b,c
Sujet 15. Les fentes labio-alvéolo-vélo-palatines
1.
a)
b)
c)
d)
e)
Les fentes labio-alvéolo-vélo-palatines:
Elles sont les plus rares malformations congénitales de l’extrémité céphalique
Résultent d’un défaut de fusion des bourgeons faciaux
Elles sont des maladies acquises pendant l'enfance
Résultent d’un défaut d’accolement des bords d’une plaie post-opératoire
Elles sont toujours médianes
B
2.
a)
b)
c)
Le palais secondaire:
Défaut de fusion entre deux cloisons sagittales médianes et une cloison horizontale
Se forme entre la 5eme et 7eme semaine embryonnaire
Il représente la région labio-narinaire et la partie périphérique du palais située en avant de la papille
incisive
d) Commence par la papille incisive, d'avant en arrière jusqu'à la luette
e) Défaut de fusion du bourgeon maxillaire d'avec le bourgeon nasal interne
D
3.
a)
b)
c)
Le palais primaire:
Il se forme entre la 7eme et la 12eme semaine embryonnaire
Commence par la papille incisive, d'avant en arrière jusqu'à la luette
Il représente la région labio-narinaire et la partie périphérique du palais située derrière de la papille
incisive
d) Il se forme entre la 5eme et 7eme semaine embryonnaire
e) Il se forme après le palais secondaire
D
4.
a)
b)
c)
d)
e)
L’étiologie des fentes labio-alvéolo-vélo-palatines:
Implique des facteurs environnementaux et génétiques
Seulement des facteurs génétiques
Il y a toujours des antécédents familiaux de fentes labio-alvéolo-vélo-palatines
Parmi les facteurs environnementaux on ne trouve pas l’alcool
Est monofactorielle
A
5.
a)
b)
c)
d)
e)
Le traitement secondaire des fentes labio-alvéolo-vélo-palatines consist in avec EXCEPTION:
De 0 à 1 an
Fermeture précoce, simultanée ou successive de la lèvre et du palais
Surveillance, prévention et correction des séquelles fonctionnelles et esthétiques
Fermeture tardive, simultanée ou successive de la lèvre et du palais
Surveillance, prévention, sans correction des séquelles fonctionnelles et esthétiques
A,B,D,E
6.
a)
b)
c)
d)
e)
Pour une fente labiale isolée, le traitement inclut, avec EXEPTION :
Cheiloplastie à 3 mois
Véloplastie à 3 mois
Staphyloraphie à 3 mois
Chéilorhinoplastie à 3 ans
Cheiloplastie et staphyloraphie à 3 ans
B,C,D,E
7. Du traitement secondaire des fentes labio-maxillo-palatines fait partie:
a) Greffe osseuse alvéolaire (9–10 ans)
b) Chirurgie orthognatique (après 18 ans)
c) Chirurgie orthognatique (10- 18 ans)
d) Retouches esthétiques de la lèvre et du nez
e) Pharyngoplastie (pour corriger les défauts de prononciation)
A,B,D,E
8. Les pathologies associées avec FLP ne sont pas:
a. Syndrome de Frey
b. Trisomie 18
c. Trisomie 13
d. Le syndrome de Down
e. Syndrome de Treacher Collins
AD
Sujet 16. Douleur faciale
1. Parmi l'étiologie de la douleur oro-faciale, nous identifions les éléments suivants à une exception près:
a. Périphériques / centrale
b. Inflammation / irritation +/c. Démyélinisation +/d. Vasculaire ou nerveuse compression +/e. vaso-dilatation
e
2. Classification de la douleur orofaciale:
a. Phase aiguë, phase inflammatoire, le stade chronique (douleur persistant pour plus de mois de
than5)
b. stade subaigu, stade chronique (douleur persistant pour plus de mois de than6)
c. phase aiguë, subaiguë stade, stade chronique (douleur persistant pour plus de 6 mois)
d. rougeur, calor, dolor, stade subaigu, stade chronique (douleur dure plus than6 mois);
e. phase inflammatoire, subaiguë, stade chronique;
c
3. Classification de la douleur orofaciale: sélectionnez la réponse fausse:
a. Musculo-squelettiques et des tissus mous
b. Dento-alvéolaire
c. Neurologiques et vasculaires
d. Psychogène
e. Viscéral
e
4. Faites le bon corrélation:
a. La maladie de l'articulation temporo- rahitism aiguë
b. Les erreurs de réfraction -de nez et des sinus
c. L’hétérophorie - l'œil et l'orbite affections
d. Les oreilles- sinusite aiguë.
e. Les oreilles- rahitism aiguë
c
5.Le étiologie de la douleur oro-faciale est
a. Périphériques / centrale
b. Inflammation / irritation +/c. Démyélinisation +/d. Vasculaire ou nerveuse compression +/-
e. Vaso-dilatation
abcd
6. Classification de la douleur buccofaciale est:
a. Phase aiguë
b.Stade subaigu
c.Stade chronic (douleur persistant pendant plus de 6 mois)
d. Stade chronique (douleur persistant pendant plus de 9 mois)
e. Stade subaigu (douleur persistant pendant plus de 4 mois)
a, b, c
7. Classification de la douleur buccofaciale est:
a.Musculoskeletal et des tissus mous
b. dento-alvéolaire
c. Neurologiques et vasculaires
d.Psychogenic
e.Neurological et psychogène
abcd
8.Le évaluation diagnostiec est faite sur:
a. Dates général du patient
b. Les antécédents médicaux du patient
c. Les caractéristiques de la douleur
d. Les signes associés
e. Taille et le poids
a, b, c, d
Sujet 17.
Des méthodes locales de prévention de la carie dentaire dans les puits et fissures
Nr.
Crt.
1*
Enunț
Răspuns
Pag.
C
La dynamique
des particularités
psychocomportementale
s de l’enfant
pendant la
première et la
deuxième
enfance
S 46
Pratique
pédodontique,
p.258
Cours „La carie
simple des dents
permanentes
jeunes”, Slide
no.24
Parmi les caractéristiques de la période 3-6 ans NE sont PAS présentes les
suivantes:
A.
égocentrisme
B.
affectivité
C.
absence du caractère imitatif dans l’action et le
comportement
D.
négativisme excessif épisodique
E.
crainte auditive, optique, tactile
2*
3*
Aux jeunes dents permanentes, dans le cas des
étanchéités étendues où des cavités peu profondes, la protection de pâte dentine est assurée par:
A. épaisseur de la dentine
B. épaisseur de l'émail
C. épaisseur de l'émail et de la dentine
D. épaisseur de la couche de doublure (liner)
E. épaisseur du matériau de remplissage finale
Traitement des caries dentaires chez les incisives temporaires est
recommandé jusqu'à l'âge :
A.
7 années
B.
4 années
B
C
Pratique
pédodontique,
p.207
4*
5
6
7
8
C.
5 années
D.
6 années
E.
8 années
En ce qui concerne la préparation de la cavité proximale aux dents
temporaires, il faut d’éviter:
A.
angles arrondis au niveau proximal
B.
fragilité des parois linguales par l`orientation mauvais de l`axe de
la cavité vers vestibulaire
C.
la maintenance de l`email soutenu
D.
angles arrondis au niveau proximal
E.
aucune réponse n’est pas correcte
La IIIème classe de l’échelle des valeurs comportementales de Frankl se
caractérise par:
A. l’enfant a la bonne volonté d’entendre l’équipe des dentistes
B. l’enfant n’accepte pas le traitement
C. l’enfant accepte le traitement
D. l’enfant n’est pas coopérant
E. l’enfant n’a pas une attitude positive de plein gré
L’utilisation du méthode HOM (hand-over-mouth) n’est pas
recommandée chez:
A. les enfants trop petits
B. les enfants avec déficit psycho mental
C. les enfants trop grands
D. les adultes
E. les enfants sans déficit psycho mental
Les lésions carieux des dents permanentes jeunes sont fréquemment
localises au niveau des:
A. faces proximale
B. faces vestibulaires
C. faces orales
D. faces occlusales
E. faces palatinale
Les dents permanentes peuvent être protégées contre les dommages
causés par la carie dentaire par quatre étapes simples :
A. applications topiques de fluorure
B. contrôle de l'hygiène et de l'alimentation
C. rainures et les fissures d'étanchéité
D. obturations des faces vestibulaires
E. prévention des blessures
D
Pratique
pédodontique,
p.212
Cours„La carie
simple des dents
temporaires”,
Slide no.19
A, C, E
Développement
de l’enfant et
approche
comportementale
au cabinet
dentaire
S 17
Développement
de l’enfant et
approche
comportementale
au cabinet
dentaire
S 16
Pratique
pédodontique,
p.253
Cours„La carie
simple des dents
permanentes
jeunes ”, Slide
no.14
Pratique
pédodontique,
p.252
Cours„La carie
simple des dents
permanentes
jeunes ”, Slide
no.22
A, B
A, D
A, B, C,
E
Sujet 17.
Des méthodes locales de prévention de la carie dentaire dans les puits et fissures
1.
Lequel
1
des énoncés suivants est exact?
a
a) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces
dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risque
carieux haut;
b) Le scellement est une méthode pour les surfaces dentaires dures
proximales chez les patients à risque carieux haut;
c) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces
dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risque
2.
3.
4.
5.
carieux bas;
d) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces
dentaires dures occlusales avec des reliefs accentués chez les
patients à risque carieux bas;
e) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces
dentaires dures proximales avec des reliefs accentués chez les
patients à risque carieux haut.
Quel est l’objectif prioritaire du scellement des surfaces dentaire?
a) Fermer les reliefs rétentifs coronaires des dents qui ont récemment
fini leur éruption;
b) Fermer les reliefs rétentifs coronaires proximales qui ont
récemment fini leur éruption;
c) Fermer les reliefs coronaires des dents qui ne sont pas rétentifs qui
ont récemment fini leur éruption;
d) Fermer les reliefs rétentifs de la surface vestibulaire des dents qui
ont récemment fini leur éruption;
e) Aucune des réponses ci-dessus n’est correcte.
Laquelle des affirmations suivantes est fausse ?
a) Après le scellement 95% des microorganismes perdent leur
viabilité deux semaines par l’absence du substrat nutritif.
b) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces
dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risqué
carieux bas;
c) L’objectif prioritaire du scellement est de fermer les reliefs
rétentifs coronaires des dents;
d) En cas de diagnostic incertain de la carie il faut agir en fonction de
la formule ”en cas de doute scellez” au lieu de ”en cas de doute
obturez”, parce qu’il n’y a pas d’effets indésirables connus du
scellement;
e) Le scellement est une méthode d’immunisation des surfaces
dentaires dures avec des reliefs accentués chez les patients à risqué
carieux haut.
Laquelle des affirmations suivantes est fausse ?
a) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire
pour les patients à risqué carieux élevé;
b) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire
pour les fossés supra-cingulaires;
c) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire
pour les patients à risqué carieux bas;
d) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire
pour les fissures et les fosses occlusales des prémolaires;
e) Le scellement est indiqué comme méthode de prévention primaire
pour les fissures et les fosses occlusales, vestibulaires et orales des
molaires temporaires et permanents.
Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie
dentaire est indiqué dans les situations suivantes:
a) Patients à risqué carieux bas;
b) Les fissures et les fosses occlusales, vestibulaires et orales des
molaires temporaires et permanentes (de choix la surface occlusale
de la première molaire permanente immédiatement après
l’éruption);
c) Les fissures et les fosses occlusales des prémolaires;
d) Les fossés supra-cingulaires;
e) Les fissures et les fossés présentant des colorations intrinsèques de
l’émail où n’ont pas été mis en évidence des caries dentinaires
a
b
c
b,c,d,e,
sous-jacentes par l’examen clinique et radiologique.
6.
7.
8.
Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie dentaire d,e
est indiqué dans les situations suivantes:
a) Patients à risqué carieux bas;
b) Les fissures et les fosses proximale (de choix la surface proximale
de la première molaire permanente immédiatement après
l’éruption);
c) Les fissures et les fossés proximaux des prémolaires;
d) Les fossés supra-cingulaires;
e) Les fissures et les fossés avec email coloré et décalcifié, mais sans
des caries dentinaires.
Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie dentaire a,b,c
est indiqué dans les situations suivantes:
a) Les fissures et les fossés avec émail coloré et décalcifié, mais sans
des caries;
b) Patients avec une hygiène orale rigoureuse;
c) Patients coopérants;
d) Dents qui présentent concomitant des lésions carieuses proximales
;
e) Des fissures moins exprimées, qui sont évalués comme des zones
à risqué carieux bas.
Le scellement comme méthode de prévention primaire de la carie dentaire b, c
est indiqué dans les situations suivantes:
a) Patients à risqué carieux bas;
b) Les fissures et les fossés présentant des colorations intrinsèques de
l’émail sans caries dentinaires sous-jacentes;
c) Patients avec une hygiène orale rigoureuse;
d) Patients avec malocclusions;
e) Patients ayant une mauvaise hygiène orale et une mauvaise
alimentation.
Sujet 18 – Le rôle des facteurs fonctionnels dans la formation de l’appareil dentomaxillaire
Nr
1*
2*
3
Énoncé de la question
Le fort développement de la région angulaire de la mandibule se produit
grâce à l’activité intense des muscles
A. masséter et ptérygoïdien interne
B. masséter et ptérygoïdien externe
C. masséter et mylo-hyoidïen
D. masséter et mylo-hyoidïen
E. ptérygoïdien externe et interne
L’équilibre entre la morphologie du squelette et celle musculaire est :
A. immobile
B. temporaire
C. absolu
D. relatif
E. permanent
L’interposition de la lèvre inférieure peut conduire
à l’apparition de :
A. La prodontie supérieure
B. La prodontie inférieure
C. La rétrodentie supérieure
D. La rétrodentie inférieure
Réponse
A
Livre Page
Gh. Boboc, Pg.
405
D
Gh. Boboc, Pg.
411
A,D
Gh. Boboc, Pg.
443
4
5
6
E. La biprodontie
Les interpositions hétérotropes présupposent l’interposition entre les arcades dentaires :
A. Des éléments n’appartenant pas à l’appareil
dento-maxillaire
B. Des éléments appartenant à l’appareil
dento-maxillaire
C. Des doigts
D. Du crayon
E. De la langue
Pour qu’une anomalie dento-maxillaire se produise à cause des habitudes
vicieuses, plusieurs conditions doivent être remplies portant sur :
A. L’intensité de l’habitude vicieuse
B. La durée de l’habitude vicieuse
C. La fréquence de l’habitude vicieuse
D. Le facteur terrain- terrain déformable constitutionnellement
E. Aucune des réponses précédentes n’est correcte
Les zones faciales d’appui dans le contexte des attitudes anormales de
posture sont :
A. Le menton
B. La région bilabiale
C. Les zones latérales de la partie inférieure du visage
D. Le pavillon auriculaire
E. L’angle goniaque
A,C,D
Gh. Boboc,
Pg.437
A,B,C,D
Gh. Boboc, Pg
444
A, B, C
Gh. Boboc, Pg
436
Sujet 19– Le développement de l’occlusion dentaire
1.
2.
3.
4.
Pendant le développement de l’occlusion dentaire il se produit :
A. la première augmentation de l’occlusion
B. la première mésialisation de la mandibule
C. la troisième augmentation de l’occlusion
D. la seconde mésialisation de la mandibule
E. la seconde augmentation de l’occlusion
Lors de la période prédentaire il se produit normalement:
A. la seconde augmentation de l’occlusion
B. la seconde mésialisation de la mandibule
C. la troisième augmentation de l’occlusion
D. la première augmentation de l’occlusion
E. la première mésialisation de la mandibule
Laquelle des affirmations suivantes N’est pas vraie:
A. l’éruption dentaire se déroule dans un intervalle cyclique dont la
moyenne est de 12 mois
B. lors du premier an de vie les crêtes alvéolaires gagnent en grosseur et
en hauteur grâce au développement des bourgeons dentaires
C. au moment de l’éruption les incisives inférieures exécutent un
mouvement vers le lingual en diminuant le périmètre de l’arcade
D. l’attrition dentaire conduite à la seconde mésialisation de la mandibule
E. les incisives centrales inférieures poussent en position linguale par
rapport à celles temporaires
Le plan post-lactéal:
A. dans la marche mésiale conduit à un rapport mésialisé
B. dans la marche légèrement mésialisée offre un rapport cuspide dans le
fossé intercuspides
E
Dorobat,
Stanciu, pg. 45
E
Dorobat,
Stanciu,, pg 38
A, C
Dorobat,
Stanciu, pg.4042
A, B,D,E
Dorobat,
Stanciu, Pg. 43
5.
6.
7.
C. dans la marche mésiale offre un rapport cuspide à cuspide
D. en ligne droite offre un rapport cuspide à la cuspide de la molaire 1
E. dans la marche distalisée conduit à une relation occlusale distalisée au
niveau de la mollaire
L’éruption de la molaire 1 permanente:
A. produit la seconde augmentation de l’occlusion
B. modifie la forme de l’arcade
C. par la poussée mésialisante ne réduit pas l’espace primé
D. modifie la longueur de l’arcade
E. modifie la forme de l’arcade de demi-ellipse en demi-cercle
Sont vraies les affirmations suivantes relatives au développement de
l’occlusion de 6 mois à 30 mois:
A. l’incisive latérale pousse premièrement sur le maxillaire et ensuite sur
la mandibule
B. les dents poussent premièrement sur le maxillaire et ensuite sur la
mandibule
C. l’éruption des incisives inférieures et supérieures réalisent les
premières relations occlusales
D. l’éruption des molaires 1 déciduales détermine la première
augmentation de l’occlusion
E. l’éruption des dents temporaires se produit daans un intervalle cyclique
de 6 mois
Le plan post-lacteal (terminal) en escalier distale determine :
a) relation occlusale distale de M1
b) raport cuspid au cuspid pour M1
c) raport cuspid – sillon intercuspidien
d) raport molar neutral
e) relation occlusale mesiale de M1
A,B,D
Dorobat,
Stanciu, Pg 45
A,C,D,E
Dorobat,
Stanciu, Pg. 39
a
Dorobat, p43
Sujet 20– L’étiopathogénie des anomalies dento-maxillaires
1.
2.
3.
4.
Le syndrome de Pierre- Robin se caractérise par, sauf:
A. micro-rétrognathie mandibulaire
B. fentes palatines
C. inverse avant d'occlusion
D. ostéo- dystrophie musculaire
E. glossoptose
La perte prématurée des dents temporaires peut avoir les conséquences
suivantes, sauf:
A. Des troubles sévères tridimensionnels dans l’arcade dentaire
B. Des incongruences dento-alvéolaires
C. Des suréruptions des dents antagonistes
D. L’absence des engrenages inverses
E. Des contacts et des interférences occlusales
Dans les patients avec le syndrome de Turner on peut observer les aspects
suivants :
A. rétrognathisme mandibulaire
B. anomalies dentaire de nombre
C. occlusion mésialisée
D. anomalies dentaires de forme
E. prognathisme mandibulaire
Dans les patients avec le syndrome de Turner on peut observer les aspects
suivants :
C
Zegan, Pg.85
D
Dorobat,
Stanciu, Pg 74
A, B, D
Zegan, pg. 85
A, B, C,
E
Zegan, pg. 85
5.
6.
7.
A. rétrognathisme mandibulaire
B. hypertélorisme
C. facies rond
D. prognathisme mandibulaire
E. occlusion distalisée
Les retards dans l’éruption des dents permanentes peuvent être provoqués
par :
A. Des modèles génétiques
B. Des facteurs tératogènes
C. Des causes générales
D. Des barrières fibreuses
E. Des barrières osseuses
La perte prématurée des dents temporaires détermine :
A. La migration des dents permanentes en éruption
intramaxillaire ou orale
B. Des incongruences dento-alvéolaires
C. Des suréruptions des dents antagonistes
D. Des dilatations de l’arcade
E. Des engrenages inverses
Pendant les facteurs d’environnement qui influence la croissance et le
développement on énumère :
a)l’hérédité
b) le syndrome Langdon Down
c) les traumatismes
d) le syndrome Pierre-Robin
e) le syndrome Klinefelter
A,D,E
Dorobat,
Stanciu, Pg 75
A,B,C,E
Dorobat,
Stanciu, Pg 74
c
Dorobat, p 63
Sujet 21 – La classification des anomalies dento-maxillaires
1.
2.
3.
4.
La 1ère division de la classe II se caractérise par:
A. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde couverte
B. Rapport mésialisé bilatéral et occlusion profonde en couverture
C. Rapport distalisé bilatéral et occlusion ouverte
D. Rapport distalisé unilatéral et occlusion profonde en couverture
E. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde en couverture
La 2ème division de la classe II se caractérise par:
A. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde couverte
B. Rapport mésialisé bilatéral et occlusion profonde couverte
C. Rapport distalisé bilateral et occlusion ouverte
D. Rapport distalisé unilatéral et occlusion ouverte
E. Rapport distalisé bilatéral et occlusion profonde en couverture
Le syndrome à compression de maxillaire tel qu’il est classifié par l’école
allemande présente les variantes suivantes :
A. De conduite forcée
B. Protrusion avec écartement
C. Avec occlusion profonde couverte
D. Avec pressage
E. Protrusion sans écartement
L’école allemande classifie les malocclusions en :
A. Syndrome à compression du maxillaire
B. Disharmonies
C. Syndrome à l’occlusion croisée
D. Syndrome de progénie
E
Dorobat,
Stanciu, Pg. 78
A
DS, Pg. 78
B,D,E
Dorobat,
Stanciu, Pg. 79
A,C,D
Dorobat,
Stanciu, Pg.
79,80
5.
6.
7.
E. Syndrome d’occlusion profonde en couverture
Le syndrome de progénie tel que décrit par l’école allemande peut être :
A. De conduite condylienne
B. De conduite forcée
C. Faux (prognathisme mandibulaire)
D. Vrai
E. Faux (rétrognathisme maxillaire)
Les termes que l’école française utilise pour les noms des modifications
de l’occlusion au sens vertical sont:
A. infraposition
B. supraposition
C. infraocclusion
D. vestibuloposition
E. supraocclusion
La classification de l’école allemande comprise PAS :
a) le syndrome de compression maxillaire
b) le syndrome de l’occlusion croisée
c) le syndrome de l’occlusion distale
d) le syndrome de l’occlusion couverte
e) le syndrome de l’occlusion ouverte
B,D,E
Dorobat,
Stanciu, Pg. 80
C,E
Dorobat,
Stanciu, Pg. 82
c
Zegan, p94
Sujet 22– L’examen radiologique dans l’orthodontie
1.
2.
3.
4.
5.
La rotation mandibulaire postérieure se caractérise par :
A. étage inférieur augmenté
B. angle goniaque ouvert
C. étage inférieur diminué
D. condyle mandibulaire robuste, développé en haut et en avant
E. tendance d’occlusion profonde
Les plans de référence utilisés dans l’interprétation de la téléradiographie
de profil sont les suivantes:
A. Le plan de Frankfurt- Po-Or
B. Le plan de la base du crâne- Po-Or
C. Le plan basal mandibulaire- Nsa-Nsp
D. Le plan basal maxillaire- Nsa-Nsp
E. L’axe Y de croissance- S-N
Le point Gn (sur la téléradiographie de profil) est:
A. Le point le plus inférieur de la symphyse mentonnière
B. Le point le plus antérieur de la symphyse mentonnière
C. Le point le plus postérieur de la symphyse mentonnière
D. Le point le plus antérieur et inférieur de la symphyse mentonnière
E. Le point le plus inférieur et postérieur de la symphyse mentonnière
Dans l’analyse par téléradiographie de profil, les 3 côtés du triangle de
Tweed sont représentés par :
A. Le plan de Frankfurt
B. Le plan de Simon
C. L’axe de l’incisive supérieure
D. Le plan mandibulaire
E. L’axe de l’incisive inférieure
A propos de la distance Ao-Bo sont vraies les affirmations suivantes :
A. Représente le décalage interbasal sagittal absolu
B. Est en relation directe avec les angles SNA, SNB
C. Représente le décalage interbasal sagittal relatif
A, B
Zegan, Pg 61
A, D
Dorobat,
Stanciu, Pg155
D
Dorobat,
Stanciu, Pg154
A,D,E
Dorobat,
Stanciu, Pg163
A,B,E
Dorobat,
Stanciu, Pg164
6.
7.
D. Est inversement proportionnel par rapport à l’angle ANB
E. Complète la notion de classe squelettique
L’angle que forment le plan basal mandibulaire avec l’horizontale de
Frankfurt est représenté par :
A. FMIA
B. FMA
C. IMPA
D. IMFA
E. ANB
La rotation mandibulaire anteroposterieure il est caracterisee par :
a) la croissance condyliene en haut et en arriere
b) la position haute de l’articulation temporo-mandibulaire
c) l’angle goniaque ouvert
d) le developemment en exces de la hauteur alveolaire et dentaire
laterale
e) l’angle goniaque ferme
B
Dorobat,
Stanciu, Pg169
e
Zegan, p22
C
Zegan, pg 183
D
Zegan, pg 184
A, C
Dorobat,
Stanciu, pg.
385
A, C, D,
E
Dorobat,
Stanciu, pg.
383
A, C, D
Dorobat,
Stanciu, pg
385-386
Sujet 23– La malocclusion classe II/1
1.
2.
3.
4.
5.
La malocclusion de IIème classe de Angle division 1 se caractérise par un
rapport molaire bilatéral:
A. neutral et occlusion profonde
B. mésialise et occlusion inverse frontale
C. distalisé et occlusion profonde en couverture;
D. vestibularisé et occlusion profonde couverte
E. lingualisé et occlusion ouverte frontale
Le facteur étiopathogène dysfonctionnel de la malocclusion de IIème classe
division 1 est:
A. le rachitisme
B. le nanisme hypophysaire
C. le syndrome de Marfan
D. le syndrome lingual protrusif antérieur incomplet
E. la perte prématurée des dents temporaires dans la zone d’appui
Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème classe de Angle, subdivision
1 les modifications suivantes de la base alvéolaire par rapport à la base
coronaire de l’arcade se produisent:
A. La base apicale est petite
B. La base apicale est grande
C. La base coronaire est large
D. La base coronaire est étroite
E. Aucune des réponses n’est correcte
L’aspect facial dans l’anomalie de IIème classe de Angle, subdivision 1 se
caractérise par:
A. Des téguments pâles
B. La lèvre supérieure est grosse
C. La lèvre supérieure est mince
D. Fente labiale entrouverte
E. Mentalis hypertonique
Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème classe de Angle, subdivision
on observe:
A. L’hypotonie uni- ou bilatérale des muscles des narines
B. L’hypertonie uni- ou bilatérale des muscles des narines
C. L’hypertonie du muscle mentonnier
D. L’hypertonie de la lèvre inférieure
E. L’hypotonie de la lèvre inférieure
6.
7.
I Dans les anomalies dento-maxillaires de IIème classe de Angle,
subdivision 1, l’arcade dento-alvéolaire change de forme, selon le degré
de compression, en :
A. Oméga
B. ”V”
C. ”U”
D. ”M”
E. ”Z”
La malocclusion classe II Angle, division 1 il est caractérisée par :
a) arcade maxillaire en « trapeze »
b) encombrement anterieur
c) occlusion couverte en “couvercle de boite”
d) arcade maxillaire en « V »
e) activite musculaire normale
A, B, C,
D
Zegan, pg 185
d
Zegan, p92
C
Zegan, pg 189
A
Dorobat,
Stanciu, pg
396
A, B, E
Dorobat,
Stanciu, pg
398
D, E
Zegan, pg 190
B, D
Dorobat,
Stanciu, pg.
398
A, B, D,
E
Zegan, pg 190
Sujet 24– La malocclusion classe II/2
1.
2.
3.
4.
5.
6.
La malocclusion de IIème classe de Angle division 2 se caractérise par un
rapport molaire bilatéral:
A. neutral et occlusion profonde
B. mésialise et occlusion inverse frontale
C. distalisé et occlusion profonde en couverture;
D. vestibularisé et occlusion profonde couverte
E. lingualisé et occlusion ouverte frontale
Les facteurs étiologiques dysfonctionnels de la malocclusion de IIème
classe division 2 sont:
A. génétiques
B. fonctionnels
C. constitutionnels
D. généraux
E. locaux
Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut rencontrer:
A. La diminution des diamètres prémolaires et molaires
B . Rétrodontie avec surrecouvrement du groupe incisif
C. De différents degrés d’écartement dentaire
D. Occlusion ouverte
E. De différents degrés d’agglomération dentaire
Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut rencontrer les signes
cliniques suivants:
A. Fosse labiomentonnière effacée
B. L’étage inférieur du visage surdimensionné
C. Menton aplati
D. La fente labiale fermement fermée
E. Fosse labiomentonière accentuée
Dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut observer de divers
degrés d’abrasion sur :
A. La face vestibulaire des incisives supérieures
B. La face vestibulaire des incisives inférieures
C. La face linguale des incisives inférieures
D. La face palatinale des incisives supérieures
E. Toutes les réponses sont correctes
Lors de l’examen facial dans la malocclusion de classe II/2 Angle on peut
observer :
A. le modèle euriprosope
7.
B. la fente labiale fermement fermée
C. la lèvre supérieure grosse, éversée
D. la lèvre supérieure courte, mince
E. la fosse labio-mentonnière accentuée
La malocclusion classe II Angle, division 2 il est caractérisée par :
a) occlusion couverte en “couvercle de boite”
b) proclinaison de les incisifs superieurs
c) occlusion couverte en toit
d) occlusion frontale ouverte
e) activite musculaire anormale
a,
Zegan, p92
B
Dorobat,
Stanciu,
Pg.405
C
Dorobat,
Stanciu, Pg.
406
A,B,D
Dorobat,
Stanciu,
Pg.406
A, B
Dorobat,
Stanciu, Pg
408
A, B, C,
E
Zegan, pg 207
A, B, C,
Zegan, pg 211
Sujet 25 – La malocclusion de Classe III
1.
2.
3.
4.
5.
6.
La malocclusion de classe III se caractérise par:
A. des rapports distalisés et occlusion en couverture
B. des rapports mésialisés et occlusion inverse frontale
C. des rapports distalisés et occlusion couverte
D. des rapports normaux et agglomération frontale
E. aucune des réponses n’est correcte
Dans la malocclusion de III à l’examen par téléradiographie l’on met en
évidence:
A. l’angle SNA supérieur à 800
B. l’angle SNB inférieur à 780
C. l’angle SNA inférieur à 800
D. l’angle ANB positive
E. aucune des réponses n’est correcte
Lors de l’examen facial dans la malocclusion de classe III on observe:
A. le visage aplati
B. les joues foncées
C. le profil convexe
D. le profil concave
E. le profil droit
Dans la malocclusion de classe III avec voie de clôture dans la marche
mésialisée les secteurs dento-alvéolaires frontaux responsables du guidage
inverse se caractérisent par:
A. proalvéolodontie inférieure
B. rétroalvéolodontie supérieure
C. proalvéolodontie supérieure
D. rétroalvéolodontie inférieure
E. aucune des réponses n’est correcte
L’aspect facial dans le prognathisme mandibulaire anatomique se
caractérise par:
A. profil concave
B. la marche labiale inversée
C. l’aspect dur, volontaire du visage
D. profil convexe
E. facies aplati
L’aspect facial dans le rétrognathisme maxillaire se caractérise par:
A. profil concave
B. la région de la lèvre supérieure est enfoncée
7.
C. rétrocheilie supérieure
D. profil convexe
E. procheilie supérieure
La malocclusion classe III il est caracterisee par :
a) raports distale
b) inocclusion sagitale positive
c) raports mesiale
d) arcade maxillaire espacee
e) raports neutrale
c,
Dorobat, p 405
Sujet 26 – Le syndrome d’inoclusion verticale
1.
2.
3.
4.
5.
6.
Les phonèmes dentaux perturbés dans le syndrome d’inoclusion verticale
sont:
A. ‘’B’’
B. ‘’D’’ et ‘’T’’
C. ‘’M’’ et ‘’T’’
D. ‘’D’’
E. ‘’C’’ et ‘’T’’
Les troubles musculaires dans le syndrome d’occlusion ouverte
apparaissent le plus souvent au niveau du muscle :
A. ptérygoïdien interne
B. masséter
C. buccinateur
D. ptérygoïdien externe
E. aucune des réponses n’est correcte
Lesquelles des modifications physionomiques suivantes sont présentes
dans le syndrome d’occlusion ouverte :
A. facies hyperleptoprosope
B. fente labiale fermée sans effort
C. fosse labio-mentonnière effacée
D. fosse labio-mentonnière accentuée
E. profil disharmonieux caractéristique
Les troubles de développement du massif facial dans le syndrome
d’occlusion ouverte sont à trouver au niveau de :
A. la base du crâne
B. la mandibule
C. le maxillaire supérieur
D. les dents
E. les processus alvéolaires
Dans l’inocclusion verticale frontale l’action du facteur génétique apparait
dans :
A. le rachitisme
B. le syndrome de Down
C. les condrodystrophies
D. la persistance de la déglutition de type infantile
E. aucune des réponses n’est correcte
Lesquels des troubles suivants apparaissent dans le syndrome d’occlusion
ouverte :
A. fonctionnels
B. parodontaux
C. dentaires
D. musculaires
E. neurologiques
B
Dorobat,
Stanciu, Pg
431
D
Dorobat,
Stanciu, Pg
433
A, C, E
Dorobat,
Stanciu, Pg
434-435
A, B, C,
E
Dorobat,
Stanciu, Pg
436-438
B, C
Dorobat,
Stanciu, Pg
419
A, B, C,
D
Dorobat,
Stanciu, Pg
431
7.
Pour les patients avec syndrome d’inocclusion verticale :
a) l’etage facial inferieur est augumente
b) l’etage facial inferieur est diminue
c) l’etage facial inferieur est normal
d) la fante labiale est ouverte
e) la branche montante mandibulaire est longue
a
Dorobat, p 435
D
Zegan, Pg 168
D
Zegan, Pg 158
A, B, C,
E
Zegan, Pg 168
A,B,C,E
Zegan, Pg 168
A, B, C,
D
Zegan, Pg 167
A, B, D
Zegan, pg 162
a
Zegan, p99
Sujet 27 – Anomalies du système dentaire
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
La transposition dentaire complète implique:
A. l’inversement partiel sur l’arcade de deux dents voisines
B. l’éruption d’une dent loin de l’arcade dentaire
C. l’inversement partiel de la place sur l’arcade de deux dents
antagonistes
D. l’inversement total de la place sur l’arcade de deux dents voisines
E. la persistance à l’intérieur de l’os d’une dent avec la racine
complètement formée et l’apex fermé
Les dents surnuméraires poussées ne produisent pas :
A. l’inclusion des dents normales de série
B. des malpositions dentaires
C. des déséquilibres occlusaux
D. la rhizalyse radiculaire pathologique des dents antagonistes
E. le diastème pathologique
Dans l’étiopathogénie de la transposition dentaire les facteurs locaux
suivants sont impliqués :
A. des troubles de replacement de la dent temporaire
B. des troubles dans la formation des germes dentaires
C. des séquences d’éruption inversées
D. des traumatismes dentaires
E. des retards dans l’éruption dentaire
Le diagnostique différentiel de l’hétérotopie se fait par :
A. l’éruption dentaire tardive
B. l’inclusion dentaire
C. l’ectopie
D. l’extraction dentaire
E. l’hypodontie
Le traitement chirurgical–orthodontique de l’inclusion dentaire implique
:
A. créer de l’espace sur l’arcade
B. éliminer les causes étiologiques
C. mettre à découvert par chirurgie de la dent incluse
D. ancrer et tracter la dent vers l’arcade dentaire
E. réimplanter la dent
Les formes cliniques des anomalies dentaires de forme sont les suivantes :
A. le tubercule de Zuckerkandl- sur la face mésio-palatale des molaires
temporaires
B. le tubercule de Bolk- sur la face mésio-vestibulaire des deuxièmes
molaires permanentes ou de sagesse supérieures
C. le tubercule de Zuckerkandl- sur la face mésio-vestibulaire des
molaires permanentes
D. Sixtum- au niveau de la première molaire permanente inférieure
E. le tubercule de Bolk- sur la face mésio-linguale des deuxièmes
molaires permanentes inférieures
Les anomalies dentaires isolee comprise PAS :
a)
b)
c)
d)
e)
l’encombrement
l’anodontie
la transposition
l’ectopie
dentinogeneza imperfecta
Sujet 28– L’examen clinique dans l’orthodontie
1.
2.
3.
4.
5.
6.
L’examen clinique facial du patient évalue:
A. les maladies chroniques générales
B. l’indication générale du traitement orthodontique
C. l’égalité des étages du visage
D. le développement psychique
E. l’instauration de la puberté
L’examen clinique fonctionnel du patient:
A. détermine la normalité ou l’anormalité des fonctions de l’appareil
dento-maxillaire
B. dépiste des parafonctions
C. dépiste des habitudes vicieuses
D. toutes les réponses sont correctes
E. aucune des réponses n’est correcte
Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types faciaux
suivants :
A. Euryprosope
B. Mésocéphale
C. Mésoprosope
D. Brachycéphale
E. Leptoprosope
Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types céphaliques
suivants :
A. Euryprosope
B. Mésocéphale
C. Mésoprosope
D. Brachycéphale
E. Leptoprosope
La fonction respiratoire peut être évaluée à l’aide des tests fonctionnels
suivants :
A. Demander 35 inspirations rythmiques
B. Demander inspiration et expiration profondes
C. Pincer les narines
D. Demander 20 inspirations rythmiques
E. Le test du miroir
Lors de l’examen clinique facial on peut observer les types faciaux
suivants :
A. Euryprosope – bas visage
B. Leptoprosope – bas visage
C. Mésoprosope – visage moyen
D. Leptoprosope – haut visage
E. Euryprosope – haut visage
C
Zegan, pg 101
D
Zegan, pg 105
A, C, E
Zegan, pg 100
B, D
Zegan, pg 100
B, C, D,
E
Zegan, pg 105
A, C, D
Zegan, pg 100
Sujet 29– L’analyse du modèle d’étude dans l’orthodontie
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Les valeurs normales de la somme incisive varient entre:
A. 28-35 mm
B. 22-34 mm
C. 27-37 mm
D. 26-39 mm
E. 28-38 mm
Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, on calcule la somme incisive
par mesurer à l’aide du compasse la dimension la plus grande mésiodistale coronaire de :
A. Les quatre incisives inférieures
B. Les deux incisives centrales supérieures
C. Les deux incisives centrales inférieures
D. Les quatre incisives supérieures
E. Les quatre incisives inférieures et les quatre incisives supérieures
Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur antérieure maxillaire :
A. Représente la distance entre les points de repère des premières
molaires supérieures
B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80
C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes
molaires supérieures
D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64
E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/65
Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur postérieure maxillaire
:
A. Représente la distance entre les points de repère des premières
molaires supérieures
B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80
C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes
molaires supérieures
D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64
E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/85
Dans l’analyse Pont des modèles d’étude, la largeur postérieure
mandibulaire :
A. Représente la distance entre les points de repère des premières
molaires supérieures
B. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/80
C. Représente la distance entre les points de repère des deuxièmes
molaires supérieures
D. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/64
E. Est calculée à l’aide de la formule SIx100/85
Les points de référence pour l’analyse Pont sur le modèle d’étude sont les
suivants:
A. Le milieu de la fosse sagittale de la première prémolaire supérieure
B. La fossette centrale de la deuxième molaire supérieure
C. Le point de contact vestibulaire inter-prémolaires inférieur
D. L’axe de la cuspide distal-vestibulaire de la première molaire
inférieure
E. L’axe de la cuspide central-vestibulaire de la première molaire
inférieure
Dans la malocclusion classe III la curve Spee elle est :
a) diminuee
b) droit
c) accentue, par l’egresion des incisifs inferieurs et l’infraocclusion
A
Zegan, pg 111
D
Zegan, pg 111
A, B
Zegan, pg 111
A, D
Zegan, pg 111
C, D
Zegan, pg 111
A, C, E
Zegan, pg 111
c
Zegan, p158
molaire
d) accentue, par l’egresion des incisifs superieurs et l’infraocclusion
molaire
e) accentue, par l’ingresion des incisifs inferieurs et la supracclusion
molaire
Sujet 30– Principes dans la thérapie orthodontique
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
La classification du traitement orthodontique selon les moyens utilisés
inclut :
A. le traitement prophylactique, interceptif et curatif
B. le traitement biomécanique, fonctionnel et chirurgical
C. le traitement précoce, normal et tardif
D. le traitement étiologique et morpho-fonctionnel
E. le traitement morpho-fonctionnel et chirurgical
L’ingression est un déplacement dentaire :
A. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion
B. de translation de la dent
C. autour de l’axe long radiculaire
D. sur l’axe long, vers la base maxillaire
E. d’inclinaison de la dent :
Selon leur intensité on classifie les forces orthodontiques en :
A. Forces extraorales
B. Forces faibles
C. Forces intraorales
D. Forces moyennes
E. Forces intermittentes
Selon leur rythme d’application on classifie les forces orthodontiques en :
A. Forces extraorales
B. Forces continuelles
C. Forces intraorales
D. Forces moyennes
E. Forces intermittentes
La version est un déplacement dentaire :
A. d’inclinaison de la dent
B. de translation de la dent
C. où la couronne et la racine se déplacent simultanément, mais en des
sens contraires
D. sur l’axe long, vers la base maxillaire
E. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion
L’égression est un déplacement dentaire :
A. d’inclinaison de la dent
B. de translation de la dent
C. où la couronne et la racine se déplacent simultanément, mais en des
sens contraires
D. sur l’axe long, vers la base maxillaire
E. sur l’axe long, vers le plan d’occlusion
Le traitement orthodontique prophyfilactique comprise PAS :
a) l’extraction des dents temporaires
b) l’identification des habits
c) l’identification des disfonctions
d) le control de la position de M1 permanentes
e) le guidage de l’eruption des dents permanentes
B
Zegan, pg 226
D
Zegan, pg 249
B, D
Zegan, pg 246
B, E
Zegan, pg 246
A, C
Zegan, pg 248
A, C
Zegan, pg 250
e
Zegan, p234
Sujet 31– Appareils orthodontiques amovibles
1.
2.
3.
4.
5.
6.
L’arc de Coffin agit de la manière suivante :
A. Expansion radiale de l’arcade maxillaire
B. Expansion asymétrique de l’arcade maxillaire
C. Distalisation des dents du côté latéral maxillaire
D. Mésialisation des dents du côté latéral mandibulaire
E. La dérotation des dents du côté frontal maxillaire
La vis orthodontique développe des forces orthodontiques:
A. Moyennes et continuelles
B. Faibles et intermittentes
C. Moyennes et intermittentes
D. Faibles et continuelles
E. Faibles et moyennes
Les éléments d’ancrage des appareils biomécaniques amovibles sont :
A. Le crochet de Stahl
B. Le crochet de Adams
C. L’arc en croissant
D. L’écran vestibulaire
E. L’arc de Coffin
L’arc en double boucle est recommandé dans:
A. La palato-version de l’incisive
B. La vestibulo-version de l’incisive
C. La rotation de l’incisive
D. La mésialisation de l’incisive
E. L’ectopie de l’incisive
Les affirmations suivantes sur la plaquette de Schwarz sont vraies:
A. Est un appareil amovible mixe
B. Est indiquée dans la compression symétrique de maxillaire avec
rétroposition mandibulaire fonctionnelle
C. Est formée de la plaque palatine et d’un plan incliné vers l’avant
D. Est formée de la plaque linguale et d’un plateau rétroincisal
E. Est indiquée dans le prognathisme mandibulaire fonctionnel
L’arc en diapason est recommandé dans :
A. Le déplacement mésial d’une incisive
B. La vestibularisation d’une incisive
C. Le déplacement distal d’une incisive
D. L’occlusion du diastème
E. L’ectopie d’une incisive
A
Zegan, pg 267
C
Zegan, pg 267
A, B
Zegan, pg 264265
A, C
Zegan, pg 270
A, B, C
Zegan, pg 273
A, C, D
Zegan, pg 270
Sujet 32– Appareils orthodontiques fonctionnels
1.
2.
Les affirmations suivantes sur le régulateur Frankel de type III sont
vraies, à une seule exception:
A. est un activateur élastique
B. est recommandé pour corriger malocclusion de classe III par causes
fonctionnelles dans la dentition mixte
C. est recommandé pour corriger la malocclusion de classe II/2 par causes
fonctionnelles dans la dentition mixte
D. est un activateur myodynamique
E. son principe d’action a à la base le concept de récupération de l’espace
oral fonctionnel
Le monobloc de Robin présente les caractéristiques suivantes, à une seule
C
Zegan, pg 285
C
Zegan, pg 280
3.
4.
5.
6.
exception:
A. est un appareil fonctionnel amovible
B. est un appareil fonctionnel bimaxillaire
C. est un appareil fonctionnel élastique
D. est un appareil fonctionnel passif
E. est un appareil fonctionnel rigide
Selon les effets produits sur les groupes de muscles, on classifie les
appareils fonctionnels dans:
A. appareils myotoniques
B. appareils actifs
C. appareils passifs
D. appareils myodynamiques
E. appareils bimaxillaires
Selon leur siège, on classifie les appareils fonctionnels dans :
A. appareils myotoniques
B. appareils oraux
C. appareils passifs
D. appareils myodynamiques
E. appareils vestibulaires
Selon leur manière d’agir, on classifie les appareils fonctionnels dans:
A. appareils myotoniques
B. appareils actifs
C. appareils passifs
D. appareils myodynamiques
E. appareils bimaxillaires
Les indications cliniques des appareils fonctionnels sont les suivants :
A. dans le traitement étiologique
B. dans le traitement interceptif des anomalies dento-maxillaires par
causes fonctionnelles
C. dans le traitement actif des anomalies dento-maxillaires par causes
fonctionnelles
D. dans le traitement chirurgical-orthodontique
E. dans les patients dont la croissance est finalisée
A, D
Zegan, pg 278
B, E
Zegan, pg 278
B, C
Zegan, pg 277
A, B, C
Zegan, pg 277
Sujet 33– La contention et la récidive dans l’orthodontie
1.
2.
3.
La durée de la période de contention est influencée par plusieurs facteurs,
sauf:
A. Le type constitutionnel du patient
B. Le type de développement facial du patient
C. L’âge de traitement de la malocclusion
D. La durée du traitement actif orthodontique
E. Le sexe du patient
La durée de la période de contention est influencée par plusieurs facteurs,
sauf:
A. Le type constitutionnel du patient
B. Les antécédents hérédo-collatéraux
C. La durée du traitement actif orthodontique
D. Le type de développement facial du patient
E. L’âge de traitement de la malocclusion
Les causes générales de la récidive sont les suivantes:
A. Le type constitutionnel du patient
B. Le type facial du patient
C. L’éruption des molaires de sagesse
E
Zegan, pg 376
B
Zegan, pg 376
A, B, E
Zegan, pg 375
4.
5.
6.
D. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse
E. Les troubles endocrines du patient
Les causes générales de la récidive sont les suivantes:
A. Le type facial du patient
B. Le type de développement facial du patient
C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse
D. Le type constitutionnel du patient
E. L’hypocorrection de la malocclusion
Les causes locales de la récidive sont les suivantes:
A. Le type facial du patient
B. La modification de la distance entre les canines
C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse
D. Le type constitutionnel du patient
E. L’hypocorrection de la malocclusion
Les causes locales de la récidive sont les suivantes:
A. Le type facial du patient
B. La modification de la distance entre les canines
C. L’emplacement des dents à l’extérieur de la base osseuse
D. Le type constitutionnel du patient
E. Le manque de coïncidence de la relation centrique avec
l’intercuspidation maximale
A, B, D
Zegan, pg 375
B, C, E
Zegan, pg 375
B, C, E
Zegan, pg 375
Sujet 34. Traitement de la carie dentaire
Cours Traitement de la carie dentaire- Licence plateforme Elearning
Traitement de la carie dentaire TP- Licence plateforme Elearning
Enoncé question
Réponse
NR.
CRT.
1*.
L`écartement de la dentine infectée se fait par des méthodes:
A. rotatif
B. manuel
C. mécano-chimique
D. laser
E. toutes les variantes sont correctes
2.*
La réalisation de forme de rétention pour une cavité de classe I Black
afin de restaurer avec l`amalgame, se compose de:
A. la préparation de base de la cavité dans l'émail, chaque fois qu’il est
possible
B. les contours biseautés d'émail pour augmenter la surface de contact
C. les parois latérales divergentes vers occlusal
D. des parois latérales parallèles ou convergentes vers la face occlusale
E. les planchers convexes
3.
La forme d´adhésion des cavités afin de restaurer avec matériaux
composites est réalisée par :
A. le bisotement des marges de cavité
B. le conditionnement acide
C. application des adhésifs amélo-dentinaires
D. l'application des liners de Ca (OH) 2
E. application des vernis
4.
La forme de rétention de la cavité proximo-occlusale limité est obtenue
par:
A. des lieux proximaux de retentions
B. sillon gingivale
C. des sillons occlusaux
D. la convergence des parois vestibulaires et oraux vers occlusal,
Slide
E
Tp 2 slide 7,8
D
Tp2 slide 12
A, B, C
Tp2 slide 14
A,B,D
Tp2 slide 15
5.
6*.
7.
8.
E. réalisation d`une cavité occlusale en forme de « « queue
d’hirondelle »
Dans les cavités de classe II Black, une préparation conventionnelle
biseautée:
A. offre une plus grande surface d'adhésion, permettant le
conditionnement des têtes des prismes, augmentant la rétention
B. réduit la percolation marginale
C. augmente la résistance des parois et des dents en général
D. augmente la résistance d`obturation
E. empêche la contraction de la matérielle
Dans une cavité tunnelisée:
A. la crête marginale est interrompue seulement partiellement pour
créer un accès
B. l`un des inconvénients est la relative incapacité de contrôler
l'excision des tissus endommagés
C. utiliser des instruments à main seulement pour le préparé
D. la principale indication est représentée par la carie proximale
noncavitaire limitée à émail
E. l'amalgame est le matériau de choix pour l`obturation
Dans les cavités de classe III Black, la restauration avec ciments verreionomère modifiée avec de résine est indiquée dans les situations
suivantes:
A. des lésions cavitaires de faible amplitude
B. les patients avec un risque cariogène accru
C. requêtes occlusale minimale
D. lésions de grande amplitude
E. les zones d’augmentation du stress occlusal
La forme de rétention de la cavité de classe V Black pour une
restauration avec amalgame est constituée en :
A. les parois latérales sont légèrement convergentes vers l'extérieur
B. la réalisation des sillons au niveau de l’angle axio-occlusal et
l’angle axio-gingival
C. la réalisation d’un sillon circonférentiel à l'union des parois latérales
avec la paroi axiale
D. un biseau à la paroi gingivale
E. les parois latérales divergentes vers extérieur
A,B,C
Tp 8 slide 31
B
Tp 8 slide 50
A,B,C
Tp 9 slide 70
A,B,C
Tp 10 slide 86
Sujet 35. Etiopathogenie de la carie dentaire
NR.
Crt.
1.
2.
Cours Etiopathogénie de la Carie dentaire- Licence plateforme Elearning
Enoncé de la question
Réponse
La fonction antimicrobienne de la salive est donnée par :
A,B,C
A.
lysozyme
B.
lactoférine
C.
mucine
D.
phosphate
E.
amylase
Les systèmes tampon majeur tant pour la salive non stimulée que pour A,C,E
la salive stimulée sont:
A.
les ions bicarbonate
B.
histatine et mucine, cistatine,
C.
les ions phosphates
D.
peroxydase
Slide
COURS
CARIO
SLIDE 6
3
I
COURS
CARIO
SLIDE 6
3
I
3.
4.
5.
6.
7.
8.
E.
protéines
La taille de la couronne dentaire :
A.
n’influence pas la cariosusceptibilité
B.
influence la cariosusceptibilité à la suite des variations de
l'épaisseur de l'émail
C.
est inversement proportionnelle à la cariosusceptibilité
D.
influence la cariosusceptibilité par une surface exposée à
l`attaque
E.
influence la
cariosusceptibilité par le temps nécessaire
d`éruption dentaire
Les caractéristiques morphologiques dentaires qui déterminent la
cariosusceptibilité sont:
A.
des sillons et fissures avec abrasion
B.
des convexités coronaires lisses
C.
la jonction amélo-dentinaire ouverte
D.
le tubercule de Carabelli aux premières molaires mandibulaires
E.
des sillons et fissures étroites et profondes
Les micro-organismes impliqués dans la cariogenèse sont:
A.
Streptocoques mutans, lactobacilles
B.
Streptocoques sobrinus, mitis
C.
Lactobaciles
D.
Actinomyces
E.
Candida
La plaque bactérienne cariogène est caractérisée par:
A.
la concentration d'un grand nombre d'acides et les microorganismes acidogènes
B.
le pH de repas faible
C.
une perméabilité réduite à la salive
D.
la concentration faible des ions calcium et phosphate
E.
la concentration augmentée d'urée
Par catabolisme, les bactéries cariogènes dans la plaque bactérienne
produisent:
A.
acide phosphorique
B.
acide lactique
C.
acide propénoïque
D.
acide chlorhydrique
E.
acide pyruvique
Les Streptocoques mutans sont considérés comme les germes bactériens
les plus cariogènes parce que:
A.
développent l'acide à un pH compris entre 4,3 şi 3,8
B.
produisent la plus grande quantité d'acide / unité de temps quand
ils fournissent de la saccharose
C.
synthétisent les polysaccharides ainsi, même après l'arrêt du
carbohydrate alimentaire, peuvent survivre et produire des acides
D.
produisent de l'acide le plus nocif : l'acide carbonique
E.
ont une dose seuil très bas pour la colonisation
D,E
cours 4 cario I
slide 55
C,E,
cours 4 cario I
slide 56
A,B,C,D
cours 5 cario I
slide 91
A,B,C,D, cours 5 cario I
slide 92
B,C,E,
cours 5 cario I
slide 93
B,C
cours 5 cario I
slide 113
Sujet 36 - Formes anatomo-cliniques: pulpites réversibles et irréversibles
Nr
crt
1*
Raspuns
1. Dans la pulpite séreuse partielle :
a. la percussion en axe est douloureuse;
b. la percussion transversale est douloureuse;
e
Pag
73
2*
3*
4*
5
c. les tests de vitalité répondent seulement aux stimuli;
e. aux tests de vitalité la réponse d’intensité accrue est intensément
positive, avec une douleur prolongée.
La symptomatologie subjective dans la pulpite séreuse totale est
dominée par :
a. crises douloureuses violentes alternant avec des périodes de
rémissions;
b. la tendance d’irradier la douleur;
c. le caractère pulsatile de la douleur;
d. la percussion en axe positive;
e. la présence d’un processus carieux profond.
„La rage des dents‟ est une expression connue pour l’illustration de
l’intensité de la douleur dans :
a. la pulpite aiguë séreuse partielle;
b. la pulpite aiguë séreuse totale;
c. la parodontite apicale aiguë séreuse;
d. la pulpite aiguë purulente partielle;
e. la pulpite aiguë purulente totale.
Les tests de vitalité sont intensément positifs dans:
a. la carie simple;
b. pulpites aiguës séreuses;
c. pulpites aiguës purulentes;
d. pulpites chroniques ouvertes;
e. pulpites chroniques fermées.
11. Le diagnostic positif de l’hypérémie pré inflammatoire :
a. la persistance de la douleur pendant 30-40 min. après que l’excitant
cesse, localisée, provoquée surtout par la chaleur, l’existence d’un
processus carieux, non-pénétrant ou traitements récents sur la dent en
cause, tests de vitalité positifs ;
b. la persistance de la douleur quelques minutes avant que l’excitant
cesse, localisée, provoquée surtout au froid et au doux, l’existence d’un
processus carieux profond, non-pénétrant ou des traitements récents sur
la dent en cause, tests de vitalité positifs;
c. l’existence d’un processus carieux profond, non-pénétrant ou des
traitements récents sur la dent en cause, tests de vitalité positifs;
d. la persistance de la douleur 25-30 min, après l’arrêt de l’excitant,
localisée, provoquée surtout au chaud, l’existence d’un processus
carieux profond, pénétrant, percussion dans l’axe positive;
e. la persistance de la douleur tant que l’excitant agit, localisée,
provoquée surtout par le froid et douce, l’existence d’un processus
carieux profond, non-pénétrant ou des traitements récents sur la dent en
cause, tests de vitalité positifs.
b
75
b
75
b
72-81
b,c
71
6
Indications de traitement dans l’hyperémie pré inflammatoire:
a. le traitement de la carie dentaire et coiffage indirect;
b. le traitement de la carie dentaire et coiffage direct dans un temps, au
cas de l’ouverture accidentelle de la chambre pulpaire;
c. le traitement de la carie dentaire et coiffage direct en deux temps, au
cas de l’ouverture accidentelle de la chambre pulpaire;
d. amputation vitale;
e. extirpation vitale.
a,c,d,e
72
7
Le diagnostic différentiel de l’hyperémie préinflamatoire se fait
avec:
a. l’hypersensibilité et l’hyperesthésie dentinaire;
a,e
71
8
b. la gangrène pulpaire;
c. la pulpite chronique ouverte ulcéreuse;
d. la pulpite chronique fermée proprement dite;
e. pulpite aiguës coronaires.
Le diagnostic différentiel dans la pulpite séreuse partielle se fait
avec:
a. la carie simple dentaire;
b. l’hyperémie préinflamatoire;
c. la pulpite aiguë séreuse totale;
d. la pulpite purulente partielle;
e. la pulpite purulente totale.
b,c,d,e
74
Sujet 37 - Nécrose pulpaire aseptique et septique (gangrène)
Nr
crt
1*
2*
3*
4*
5
Raspuns
Les facteurs causaux à action favorisante dans la nécrose pulpaire
peuvent être:
a. traumatismes à intensité réduite, mais répétés;
b. luxations, intrusions;
c. diabète, hypertension artérielle;
d. températures supérieures à 75 ͦC;
e. températures sous 0 ͦC.
Les premiers éléments qui ont souffert dans l’évolution de la nécrose
pulpaire :
a. les cellules;
b. les fibres conjonctives;
c. les parois vasculaires;
d. les fibres nerveuses;
e. la substance fondamentale.
La nécrose humide :
a. c’est une forme de la gangrène pulpaire;
b. est produite sous action enzymatique;
c. est dominée par des phénomènes de coagulation du protoplasme;
d. fréquemment installée après l’application des pansements
arsenicaux;
e. peut être causée par des solutions antiseptiques du type
antiformine.
Ce qui suit est vrai pour la nécrose humide, exception faite :
a. c’est une mortification aseptique de la pulpe dentaire;
b. la dent a une couleur modifiée;
c. les tests biochimiques sont négatifs;
d. les tests de vitalité au stimulus électrique ne peuvent pas donner
une réponse faussement négative;
e. les tests de vitalité au courant électrique peuvent donner une
réponse faussement positive.
L’évolution et les complications de la gangrène pulpaire peuvent
être vers :
a. la parodontite apicale ;
Pag
c
94
a
97
b
98
d
98
a,c,d,e
6
7
8
b. la nécrose pulpaire ;
c. la fracture coronaire ;
d. la maladie de foyer ;
e. la fracture coronaire-radiculaire.
L’examen radiologique de la gangrène pulpaire :
a. est éloquent ;
b. peut relever une radiotransparence périapicale ;
c. peut relever un éventuel rétrécissement du canal radiculaire ;
d. peut mettre en évidence l’existence des denticules ;
e. peut parfois mettre en évidence une transparence augmentée du
canal radiculaire.
Des modifications de couleur de la dent peuvent être rencontrées
dans :
a. la nécrose pulpaire ;
b. la pulpite chronique ouverte ;
c. la gangrène pulpaire ;
d. la pulpite chronique fermée hyperplasique ;
e. la pulpite chronique fermée proprement-dite.
Les microorganismes impliqués dans la pathologie de la gangrène
pulpaire sont :
a. des streptocoques béta-hémolytiques ;
b. le staphyloccus blanc ;
c. le staphyloccus aureus ;
d. des gonocoques ;
e. des pneumocoques.
c,d,e
a,c,d
a,b,c,e
Sujet 38 - Parodontites apicales aiguë et chroniques
Nr
crt
1*
2*
3*
4*
Raspuns
La parodontite apicale aiguë au stade d’hyperémie :
a. représente la phase initiale de l’inflammation pulpaire ;
b. représente la phase initiale de l’inflammation de l’os ;
c. représente la phase initiale alvéolaire apicale ;
d. représente la phase initiale alvéolaire du septum interradiculaire ;
e. représente la phase initiale alvéolaire du septum interdentaire.
La deuxième phase dans l’évolution de l’inflammation du parodonte
dans la parodontite apicale aiguë au stade d’hyperémie :
a. est nommée „le temps muet‟ ;
b. est caractéristique par les manifestations vasculaires ;
c. est la phase d’altération tissulaire primaire cliniques ;
d. est une hypérémie de type passif ;
e. dure entre quelques heures et quelques jours.
Parmi les parodontites apicales chroniques à image contourée
peuvent être énumérées les suivantes à l’exception de :
a. la parodontite apicale chronique fibreuse ;
b. granulome simple conjonctif :
c. granulome épithélial ;
d. granulome de type kystique ;
e. la parodontite apicale chronique condensante.
La percussion dans l’axe est positive dans les parodontites apicales
chroniques :
a. en 90% des cas ;
b. en 20% des cas ;
Pag
c
104
b
106
e
114
b
114
5
6
7
8
c. en 100% des cas ;
d. en 70% des cas ;
e. en 50% des cas.
La douleur dans la parodontite apicale chronique peut revêtir les
aspects suivants :
a. absente ;
b. névralgiforme ;
c. sensation d’égression légère;
d. douleur à sensation de fatigue après la mastication ;
e. pulsatile.
À propos du granulome simple conjonctif on peut affirmer :
a. c’est une ostéite apicale chronique ;
b. c’est une parodontite apicale chronique ;
c. c’est aussi nommé granulome interne de Palazzi ;
d. morphopathologiquement présente 4 zones ;
e. le plus concluent est l’examen radiologique.
La symptomatologie de la parodontite :
a. est différente en fonction des facteurs étiologiques ;
b. la percussion latérale est positive ;
c. la percussion dans l’axe est négative ;
d. est dominée par la douleur à l’atteinte de la dent causale ;
e. la percussion dans l’axe est positive.
L’œdème de la parodontite apicale aiguë séreuse :
a. intéresse la livre supérieure pour les dents incisives supérieures;
b. intéresse l’aile du nez pour le group molaire ;
c. intéresse la région palpébrale pour les canines supérieures ;
d. intéresse la région mentonnière pour les incisives inférieures ;
e. intéresse la région de la joue (zygomatique) pour les molaires
inférieures.
b, c, d
a, b, d, e
a, d, e
a, c, d
Sujet 39 - Traitement des dents avec nécrose aseptique et septique (gangrène)
Nr
crt
1*
2*
3*
Raspuns
L’isolation de la dent pendant le traitement mécanique de la
gangrène pulpaire :
a. est obligatoire tout au long du traitement ;
b. est facultative tout au long du traitement ;
c. l’isolation de la dent n’est nécessaire qu’après le premier
pansement occlusif ;
d. est obligatoire dans la troisième séance ;
e. est obligatoire au moment de l’obturation radiculaire définitive.
Ne bénéficient pas de traitement conservateur les dents qui
présentent :
a. des racines en baïonnette ;
b. des racines aux courbures exagérées ;
c. fausses voies interradiculaires ;
d. implantation déficitaire ;
e. tous les éléments ci-dessus.
Le pH du hydroxyde de calcium est compris entre :
a. 10-11 ;
b. 11-12 ;
c. 12-13 ;
d. 7-9 ;
Pag
c
167
e
159
b
198
e. 8-10.
4*
5
6
7
8
Le traitement mécanique dans la gangrène pulpaire s’effectue :
a. jusqu’au foramen apical ;
b. jusqu’à la constriction apicale ;
c. jusqu’à la jointure des 2 /3 coronaire avec 1/3 apicale du canal ;
d. jusqu’à 1/2 du canal.
e. avec un léger dépassement de la constriction apicale.
Si l’on rencontre sur les canaux des obstacles formés des dépositions
calcaires, le traitement mécanique peut être associé aux suivantes
substances chimiques de perméabilisation:
a. le sel sodique d’EDTA solution 10% ;
b. acide sulfurique solution 20-30% ;
c. antiformine ;
d. la solution chlorhexidine 1% ;
e. eugénol.
Parmi les méthodes mécaniques de préparation du canal radiculaire
dans la gangrène pulpaire font partie les systèmes suivants :
a. le système Giromatique ;
b. canal Master U ;
c. la méthode de la conversion ;
d. canal Finder ;
e. le système des marches consécutives.
Dans le choix de la substance médicamenteuse utilisée dans le
traitement de la gangrène pulpaire, on peut se guider selon les
critères suivants :
a. la forme anatomo-clinique de la gangrène (humide ou
sèche) ;
b. la présence ou l’absence des complications du parodonte
apical ;
c. le type de réactivité du patient ;
d. la concentration de la solution ;
e. le manque de l’effet bactéricide de la substance.
Dans les traitements endodontiques, les antiseptiques sont utilisées
sous les suivantes formes ou procédures :
a. pansements endodontiques ;
b. irrigations ;
c. associées aux agents physiques ;
d. d’une manière différenciée aux monoradiculaires par rapport
aux pluriradiculaires ;
e. seulement chez les personnes âgées.
b
166
a,b,c
a,b,d
a,b,c
a,b,c
Sujet 40 - Obturation des canaux radiculaires.
Nr
crt
1*
Raspuns
A l’épreuve du master-cône, sans la technique de condensation
thermomécanique de la gutta percha (Mc Spadden) celui-ci doit
s’arrêter :
a. la constriction apicale ;
b. à 1 mm de la constriction apicale ;
c. à 1,5-2 mm de la constriction apicale ;
d. à 4-3 mm de la constriction apicale ;
e. à l’apex radiologique.
c
Pag
235
2*
3*
4*
5
6
7
8
Dans la technique d’injection de la gutta-percha ramollie par
réchauffement doivent être respectées les conditions suivantes, avec
une exception:
a. l’élargissement adéquat du canal radiculaire ;
b. le respect des règles de préparation des canaux radiculaires ;
c. l’utilisation de la cément de scellement pour la réalisation de
la cémentation apicale ;
d. le placement correct de la cime de la canule ;
e. l’élargissement excessif du canal radiculaire.
Les Finger spreaders présentent les suivants avantages vis-à-vis des
hand spreaders :
a. permettent l’écartement aisé du canal, avec la dislocation de
la gutta-percha ;
b. ne permettent pas la rotation du spreader autour de son axe ;
c. confèrent à l’opération une grande sensibilité tactile ;
d. la parte active a la forme cylindrique ;
e. la longueur de la partie active est d’environ 20 mm.
Si le stop apical dans la condensation latérale au chaud par la
technique Endotec manque, on recommande l’introduction du
master-cône :
a. jusqu’à la limite apicale établie par odontométrie ;
b. jusqu’à 1 mm de la limite apicale établie par odontométrie ;
c. jusqu’à 2 mm de la limite apicale établie par odontométrie ;
d. au-delà de la limite apicale ;
e. jusqu’au tiers moyen du canal.
Les avantages de la technique de condensation verticale à chaud de
la gutta-percha ne sont pas représentées par :
a. assure une obturation homogène des canaux ;
b. ne nécessite pas un élargissement excessif des canaux ;
c. ne nécessite beaucoup de temps ;
d. ne nécessite d’instruments spéciaux ;
e. petite fréquence des obturations comme dépassement par
rapport à d’autres techniques.
Les finger spreaders présentent les suivants avantages par rapport
aux spreaders :
a. utilisation plus légère dans les zones distales ;
b. permettent la rotation autour son propre axe dans tous les deux
sens ;
c. permettent le léger écartement du canal, sans la dislocation de la
gutta-percha ;
d. sont plus minces ;
e. confèrent une plus grande sensibilité tactile.
Dans la condensation verticale à chaud de la gutta-percha, le
coiffage du cône principal avec cément de scellement et sa
propulsion dans le canal ne se fait pas jusqu’à :
a. 1 mm de la constriction apicale ;
b. 2-3 mm de la constriction apicale ;
c. 4 mm de la constriction apicale ;
d. 5 mm de la constriction apicale ;
e. 10 mm de la constriction apicale.
Le ramollissement de la portion apicale de 2 mm de cône, par
l’introduction dans le chloroforme dure, ne se fait en:
a. 3-4 secondes ;
b. 3 minutes ;
c. 1 minute ;
e
237
c
223
c
223
b,c,d,e
b,c,e
b,c,d,e
b,c,d,e
d. 2 minutes ;
e. 20 minutes.
Sujet 41 - Traitement des parodontites apicales aiguë et chroniques
Nr
crt
1*
2*
3*
4*
5
6
Raspuns
Si la sécrétion se maintient aussi dans le canal après l’utilisation des
pansements médicamenteux, on peut recourir à l’obturation
provisoire du canal avec :
a. Dontisolon ;
b. Pâte Walkhoff ;
c. cément zinc oxyde eugénol ;
d. endométhasone ;
e. cément phosphate de zinc.
Le traitement de la parodontite apicale séreuse exsudative
nécessite :
a. irrigations endocanalaires aux solutions antiseptiques ;
b. la perméabilisation de l’apex ;
c. la dent est laissée ouverte ;
d. l’application de compresses froides ;
e. toutes les solutions ci-dessus.
Le traitement de la parodontite apicale arsenicale, la forme grave
consiste en :
a. l’extraction de la dent ;
b. le curetage de l’alvéole jusqu’à l’os sain ;
c. l’application dans l’alvéole de cônes aux antibiotiques ;
d. la protection de l’alvéole avec une mèche appliquée
superficiellement ;
e. toutes les solutions ci-dessus.
Les facteurs qui conditionnent la sévérité des manifestations
cliniques dans les dépassements apicaux NE sont pas représentés
par :
a. l’état de parodonte apical avant l’obturation ;
b. le volume de substance qui a dépassé l’apex ;
c. la qualité du matériel d’obturation ;
d. la forme sur section du canal radiculaire ;
e. le type de réactivité individuelle.
Le schéma de traitement dans les parodontites apicales aiguës
purulentes dans les stades endo-osseux comprend les étapes
suivantes:
a. drainage endodontique associé aux antibiotiques ;
b. drainage combinée, endodontique et par ostéotomie transmaxillaire ;
c. drainage alvéolaire par l’extraction de la dent ;
d. médication analgétique, tranquillisants ;
e. extraction et replantation.
L’administration des antibiotiques dans le traitement des
parodontites apicales aiguës exsudatives purulentes n’est pas
recommandée dans les circonstances suivantes :
a. dans la phase endosseuse lorsque le drainage n’est pas satisfaisant et
que l’état du patient est altéré ;
b. dans la phase endosseuse, lorsque le drainage n’est pas satisfaisant vu
de différentes causes ;
c. dans la phase sous-périostale ;
Pag
b
259
e
256
e
256
d
251-252
a,b,c,d
b,c,d,e
d. dans la phase sous-muqueuse ;
e. lorsqu’on ne peut pas faire un traitement correct endodontique.
Lequel des facteurs suivants ne conditionnent pas l’intensité des
manifestations chimiques dans les dépassements apicaux :
a. le volume de substance qui a dépassé l’apex ;
b. la qualité du matériel d’obturation ;
c. le voisinage de certaines formations nerveuses ;
d. le type de réactivité individuelle ;
e. toutes les possibilités ci-dessus.
14. Au cas de la sécrétion séreuse abondante sur le canal de la
parodontite apicale chronique on indique :
a. drainage endodontique ;
b. laisser l’ouverture de la dent ;
c. la création d’une fistule artificielle médicamenteuse ;
d. l’obturation provisoire avec la pâte à base d’hydroxyde de calcium ;
e. la cautérisation chimique avec acide trichloracétique.
7
8
a,b,c,d
a,b,c,d
Sujet 42: La morphophysiologie du parodonte marginal
1.
2.
3.
4.
5.
(Silvia Mârțu, Liliana Păsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide
pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014
Chapitre I : L’anatomie et la fonctionnalité du parodonte, pages 7-23)
La
Livre, page
réponse
*Le parodonte superficiel est formé par:
C
1, Pg.7
A. L’os alvéolaire
B. Le cément
C. La gencive libre
D. L’os mandibulaire
E. Le desmodonte
*Le parodonte profond est formé par :
A
1,Pg.7
A. Le cément
B. La gencive libre
C. La gencive attachée
D. La papille vestibulaire
E. La papille orale
*La gencive peut être divisée en :
D
1,Pg.8
A. Gencive alvéolaire
B. Gencive masticatoire
C. Gencive corticale
D. Gencive attachée
E. Gencive trabéculaire
*L’affirmation suivante regardant la gencive marginale est fausse :
E
1,Pg.8
A. La gencive marginale est la partie cervicale du tissu gingival
B. La gencive marginale n’est pas attachée mécaniquement à la
dent
C. La gencive marginale est fixée par simple adhérence
D. La gencive marginale a un aspect en lame de couteau
E. La largeur de la gencive libre est entre 0,5 et 5mm
Le parodonte superficiel est formé par :
BDE
1,Pg.7
A. La gencive alvéolaire
B. La gencive libre
C. La gencive corticale
D. La gencive attachée
E. Les papilles interdentaires
6.
7.
8.
Le parodonte profond est formé par :
A. La gencive attachée
B. L’os alvéolaire
C. Le cément
D. Le desmodonte
E. La gencive libre
La gencive peut être divisée en :
A. Gencive libre
B. Desmodonte
C. Gencive attachée
D. Gencive corticale
E. Gencive vestibulaire
La gencive marginale :
A. Est constituée par la partie cervicale du tissu gingival
B. Est constituée par la partie apicale du tissu gingival
C. Elle est attachée mécaniquement à la dent
D. Son aspect sain est régulier, avec une consistance ferme et
surface lisse
E. Son contour est festonné
BCD
1,Pg.7
AC
1,Pg.8
ADE
1,Pg.8
Sujet 43 : L’étiopathogénie des parodontites marginales chroniques
1.
2.
3.
4.
5.
(Silvia Mârțu, Liliana Păsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide
pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014
Chapitre II : L’éthiopathogénie des affections parodontales, pages 25-48)
*Le facteur déterminant dans la maladie parodontale est :
A
1,Pg.25
A. La plaque bactérienne
B. Le stress
C. Le diabète sucré
D. Les lésions carieuses
E. La composition de la salive
*La première étape de la formation du biofilm est représentée par :
C
1,Pg.26
A. La production d’exopolisaccharides
B. L’adaptation des bactéries a la vie en communauté
C. L’adhésion de bactéries planctoniques sur la surface
D. La croissance et la maturation du biofilm
E. La multiplication bactérienne
*Les bactéries G+ :
B
1,Pg.27
A. Sont les plus nombreuses dans le sujet avec maladie parodontale
B. Sont les plus nombreuses dans le sujet sain
C. La plupart des cocci sont représentés par Neisseria spp.
D. Les bacilles G+ sont représentés par A.actinomycetemcomitans
E. La plupart des bactéries G+ anaérobies strictes non-mobiles font
partie de la famille de Bacteriodaceae
*Le complexe rouge de Socranski présent :
D
1,Pg.28
A. Campylobacter rectus
B. Eikenella corrodens
C. Prevotella intermedia
D. Porphyromonas gingivalis
E. Fusobacterium nucleatum
Les bactéries principales impliquées dans la parodontite ulceroBC
1,Pg.28
nécrotique sont :
A. Aggregatibacter acinomycetemcomitans
B. Prevotella intermedia
6.
7.
8.
C. Treponema denticola
D. Campylobacter rectus
E. Porphyromonas gingivalis
Le complexe rouge de Socranski présente les bactéries suivantes :
A. Porphyromonas gingivalis
B. Tannerella forsythia
C. Treponema denticola
D. Fusobacterium nucleatum
E. Eikenella corrodens
Les mediateurs proinflammatoires dans la maladie parodontale sont
représentés par :
A. Ostéoprotegrin
B. Vitamine C
C. IL-1α
D. TNF-α
E. PGE2
Les facteurs de risque locaux pour la maladie parodontale sont
représentés par :
A. Le tartre dentaire
B. Les lésions carieuses
C. Les malocclusions
D. L’obésité
E. Le diabète sucré
ABC
1,Pg.28
CDE
1,Pg.31
ABC
1,Pg.32-36
Sujet 44: Le diagnostic des maladies gingivales-parodontales
1.
2.
3.
4.
(Silvia Mârțu, Liliana Păsărin, Irina Ursărescu – « Propédeutique parodontale – guide
pratique », ”Gr.T.Popa” Maison d’édition, Iași, 2014
Chapitre II : L’éthiopathogénie des affections parodontales, pages 25-29
Chapitre III : Les indices utilisés en parodontologie, pages 49-58
Chapitre IV : L’examen clinique du patient, pages 59-74
Chapitre V : Les examens complémentaires, pages 75-92
Chapitre VII : L’instrumentaire en parodontologie, pages 110-111)
*L’examen de la gencive comportera les caractéristiques suivantes à
D
1,pag 66-68
l’exception:
A. .Le changement de couleur, de texture de la gencive.
B. La tendance à saigner au sondage.
C. L’oedème, la rougeur de la gencive, l’hyperplasie, les lésions
érosives, les ulcérations, les desquamations.
D. Les atteintes de la furcation.
E. La perte d’attache.
*La profondeur de poche est la distance entre:
A
1, pag 68
A. Le sommet de la gencive marginale et le fond de la poche.
B. Le sommet de la gencive marginale et la base du sulcus.
C. La joction émail-cément et le fond de la poche.
D. La jonction émail-cément et le sommet de la gencive marginale.
E. La jonction émail-cément et jonction émail-cément.
*Le niveau d’attache est la distance entre:
E
1, pag 68
A. La jonction émail-cément et la base du sulcus.
B. La ligne muco-gingival et la jonction émail-cément.
C. La ligne muco-gingival et la base du sulcus.
D. La jonction émail-cément et la gencive attachée.
E. La jonction émail-cément et le fond de la poche.
*La sonde parodontale pour les furcations est:
C
1, pag 54
5
6
7
8
A. La sonde OMS.
B. La sonde Williams.
C. La sonde courbe de Nabers.
D. La sonde Williams et la sonde OMS.
E.L a sonde CPITN.
Les éléments de diagnostic sont:
A. L’anamnèse.
B. L’examen clinique.
C. Le sondage parodontal.
D. L’examen radiographique.
E. L’absence de saignement.
L’anamnèse inclut:
A. Les motifs de la consultation du patient.
B. Les maladies générales.
C. Les traitements médicamentaux.
D. Les facteurs de risque.
E. L’examen microbiologique.
Les motifs/les signes de présentation dans le cabinet dentaire sont:
A. Le saignement.
B. Les changements d’esthétique.
C. Les problèmes de mastication.
D.L’état de santé parodontale.
E.L’absence de saignement.
Ne sont pas les buts de sondage parodontal:
A. Evaluer la perte d’attache ;
B. Déterminer le degré d’atteinte des furcations ;
C. Evaluer la quantité de fluide gingival ;
D. Evaluer la couleur de la gencive attachée ;
E. Evaluer la texture de la gencive attachée ;
ABCD
1, pag 59-74
ABCD
1, pag 59-60
ABC
1, pag 59
CDE
1, pag 67-68
Sujet 45. Les formes cliniques – la symptomatologie en gingivites
(Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași,
2000
Chapitre: Les signes cliniques des gingivites, pages 90-102)
1
*Le plus commun type de maladie gingivale est :
A
2, Pg.90
A. L’inflammation simple, provoqué par la plaque bactérienne
B. L’inflammation influencée par les facteurs systémiques
C. La parodontite agressive généralisée (à la progression rapide)
D. La parodontite agressive localisée
E. La gingivite ulcéro-nécrotique
2
* La gingivite aigue est :
A
2, Pg.91
A. douloureuse, apparait brusque et a une durée courte ;
B. moins sévère ;
C. elle disparait spontanément et réapparait;
D. est le type plus commun ;
E. chez les plus âgés
3.
* La gingivite chronique bactérienne est :
A
2, Pg.91
A. A une évolution lente
B. De courte durée
C. Toujours douloureuse
D. Toujours associée à des maladies systémiques
E. Généralisée
4.
*La gingivite généralisée affecte:
E
2, Pg.91
5
6
7
8
A. La gencive marginale et moins ou pas du tout la gencive attachée
B. les papilles interdentaires, la gencive marginale et la gencive attachée
C. Une dent ou un petit nombre de dents
D. Le parodonte superficiel et profond
E. La gencive de toutes les dents
La gingivite hyperplasique apparait après la prise de quels types de
médicaments :
A. L' hydantoïne
B. Les antagonistes de calcium
C. La cyclosporine
D. La vitamine C
E. Les anticoagulants
Pendant la gingivite ulcéro-nécrotique le patient a:
A. De la fièvre;
B. L’état général affecté;
C. La douleur accentuée par les aliments froids ;
D. Lyse osseuse ;
E. Mauvaise haleine;
Quels facteurs locaux favorisent l’apparition de la gingivite ulcéronécrotique :
A. une mauvaise hygiène buccale;
B. le tabac;
C. L’âge;
D. Les saisons;
E. La prédominance des spirochètes et des bactéries fusiformes ;
Cliniquement, les gingivites se manifestent par:
A. modifications de forme;
B. modifications de couleur;
C. modifications de volume;
D. prurit gingival;
E. vraies poches parodontales
ABC
2, Pg.95
ABE
2, Pg.101
ABE
2, Pg.100
ABCD
2, Pg.125
Sujet 46. Les formes cliniques – la symptomatologie en parodontites
(Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași,
2000
Chapitres: Les signes cliniques des gingivites, pages 102 – 104
Les signes cliniques des parodontites marginales, pages 105-136)
1
*Histopathologique, les changements de couleur de la gencive
A
2, Pg.108
signifient :
A. Stase circulatoire ;
B. Œdème ;
C. Atrophie ;
D. Ulcérations ;
E. Inflammation ;
2
*Lesquelles des affirmations suivantes ne caractérisent pas une
C
2, Pg.106
parodontite marginale ?
A. Il y a une inflammation tissulaire ;
B. On peut trouver des poches parodontales ;
C. Le processus inflammatoire est situé par rapport à l’apex de la racine ;
D. La lyse osseuse peut apparaitre ;
E. On peut trouver mobilité dentaire ;
3
*La parodontite légère est caractérisée par :
E
2, Pg.106
A. Il n’y a pas de perte d’attache ;
B. La perte d’attache est la ½ de la longueur de la racine ;
4
5
6
7
8
C. La perte d’attache est supérieure à la ½ de la longueur de la racine ;
D. Poches parodontales de 5-6mm ;
E. Profondeur au sondage de 4-5mm.
*Les lésions inter-radiculaires :
A. Peuvent apparaitre au niveau des canines inférieures ;
B. Les plus touchées sont les premières molaires inférieures ;
C. En plan horizontal, la lésion de I degré consiste à faire passer la
sonde parodontale à travers la zone de furcation ;
D. Le IIIème degré est une lésion précoce ;
E. Ne peuvent pas être mesurées en plan vertical ;
La parodontite prepubértaire peut être associée avec:
A. Le syndrome DOWN
B. Le syndrome Papillon-Lefèvre
C. Le sarcome KAPOSI
D. Les infections virales à HPV(VPH)
E. Le syndrome PLUMMER-VINSON
La parodontite agressive localisée (juvénile) est :
A. Une maladie rare qui atteint 0,06-0,22% des enfants entre 14 et 25
ans ;
B. Une parodontite ulcéro-nécrotique ;
C. Une parodontite agressive ;
D. Une atrophie parodontale ;
E. Une forme de gingivite hyperplasique, secondaire à la prise des
médicaments ;
Les principaux signes de la parodontite agressive localisée ne sont pas :
A. La mobilité dentaire pathologique ;
B. Les fausses poches parodontales ;
C. La hypercroissance gingivale ;
D. L’inflammation gingivale ;
E. La diminution du support osseux ;
Les manifestations parodontales en SIDA sont associées à :
A. La gingivite VIH ;
B. La parodontite VIH ;
C. La candidose orale ;
D. Le sarcome Kaposi ;
E. La gingivite allergique ;
B
2, Pg.112-114
AB
2, Pg.125
AC
2, Pg.126
BC
2, Pg.126
ABCD
2, Pg.102
Sujet 47. L’évolution, le pronostic et les complications de la parodontite
(Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași,
2000
Chapitre IX : L’évolution, les complications et le pronostic de la maladie parodontale, pages 137-150)
1. *Un patient à risque est le patient qui:
A
2, Pg.148
A. En absence de traitement et diagnostic, il sera édenté avant l’âge de
50 ans
B. Est un grand fumeur
C. Est atteint d’une maladie systémique
D. A une gingivite ulcéro- nécrotique
E. A une gingivite chronique
2. *L’abcès parodontal se forme:
E
2, Pg.137
A. A côté de la poche parodontale;
B. Entre deux poches parodontales;
C. Au bord de la poche parodontale ;
D. A l'extérieur des poches parodontales ;
E. A l'intérieur des poches parodontales.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
*L’abcès parodontal marginal accompagnés par des phénomènes de
cellulite de la lèvre peut simuler l’œdème de Quincke quand il est
situé:
A. Entre les deux incisives inférieures ;
B. Entre les incisives et canines inférieures;
C. Entre les incisives et canines supérieures ;
D. Entre les deux incisives supérieures ;
E. Entre les deux incisives supérieures et entre les deux incisives
inférieures.
*L’abcès périapical peut être situé:
A. Au niveau de l’apex
B. Sur la gencive, au niveau de la racine
C. Au niveau de la gencive marginale
D. Dans la zone d’un traumatisme gingival
E. A côté d’une dent vivante
Les symptômes objectifs de l’abcès parodontal aigu sont:
A. Le gonflement de la gencive ovoïde ou ronde
B. Gencives douloureuses
C. La muqueuse est violette, brillante
D. Douleur à la percussion en axe de la dent
E. Gêne spontanée légère
Les affirmations suivantes ne sont pas vraies sur l’abcès
parodontal aigu:
A. N’est pas une complication de la parodontite marginale
chronique
B. Est situé seulement vestibulaire
C. S’accompagne des changements radiologiques de l'os
alvéolaire
D. Est produit par l’exacerbation de virulence des bactéries
dans les poches parodontales lorsque le drainage naturel est
réduit ou obstrué
E. Est situé seulement palatinal et lingual
L’ hypersensibilité est représentée par:
A. La sensation douloureuse au contact des agents physiques
B. La sensation douloureuse au contact des agents chimiques
C. La sensation douloureuse au contact des agents thermiques
D. Le saignement gingival
E. Les fausses poches parodontales
Le bon pronostic de la maladie parodontale est donné de par:
A. Le support osseux restant adéquat
B. La bonne coopération du patient
C. Aucune perte osseuse
D. Lésions inter radiculaire de 3eme degré
E. La mobilité accrue
D
2, Pg.139
A
2, Pg.140
AB
2, Pg.138
ABE
2, Pg.138-139
ABC
2, Pg.142
AB
2, Pg.148
Sujet 48: Le traitement des gingivites
(Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași,
2000
Chapitre XIII : L’étape éthologique de la thérapie de la maladie parodontale, pages 213-226)
1. *La thérapie initiale parodontale a comme but:
C
2, Pg.213
A. La rééquilibration occlusale
B. Le traitement orthodontique
C. La création d’une cavité orale sans plaque et tartre
D. La réalisation des restaurations dentaires
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
E. L’initiation des traitements de la bioactivation du parodonte
*Les moyens par lesquels le patient fait le nettoyage sont:
A. Le débridement
B. L’élimination de la plaque bactérienne par le brossage
C. Le traitement mécanique des surfaces radiculaires accessibles
D. Le détartrage sur-gingival
E. Le détartrage sous-gingival
*Une technique correcte de brossage doit éliminer:
A. Plus de 85% de plaque bactérienne
B. Toute la quantité de la plaque bactérienne
C. Jusqu’ à 50% de la quantité de plaque bactérienne
D. Plus de 90% de la quantité de plaque bactérienne
E. Plus de 50% de la quantité de plaque bactérienne
*Le patient doit appliquer à la maison le révélateur de plaque:
A. Après le diner/le repas du soir
B. Après le brossage
C. Après le brossage et le nettoyage interdentaire
D. Après le petit-déjeuner
E. Il n’est pas indiqué d’appliquer le révélateur de plaque à la maison
Les moyens individuels du contrôle de la plaque sont:
A. Le brossage professionnel
B. Les brosses dentaires
C. Les moyens d’hygiène interdentaire
D. Les moyens spéciaux d’hygiène buccale
E. Le détartrage sur-gingival
L’auto-contrôle de la plaque bactérienne à la maison se fait:
A. Toutes les deux semaines
B. Au début, tous les 2-3 jours
C. Une fois par semaine
D. Jusqu’à la correction du brossage dentaire
E. N’est pas nécessaire
Les brosses dentaires souples:
A. Sont plus flexibles
B. Sont moins traumatiques
C. Sont indiqués pour toutes les techniques de brossage
D. Sont indiquées pour le brossage du sillon gingival
E. Sont indiquées pour les zones inter-dentaires difficiles d'accès
La méthode de brossage BASS a les caractéristiques suivantes:
A. Elle est recommandée seulement pour les patients avec maladie
parodontale
B. Est une technique séquentielle
C. Facilite le nettoyage de la face distale de la dernière molaire
D. Utilise les mouvements vibratoires
E. Il est recommandé seulement pour les patients avec récessions
parodontales
B
2, Pg.214
A
2, Pg.215
C
2, Pg.214
BCD
2, Pg.214
BCD
2, Pg.214
ACD
2, Pg.215
BCD
2, Pg.216
Sujet 49. Le traitement des parodontites marginales. La contention des dents
parodontiques
(Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași,
2000
Chapitre XIII : L’étape éthologique de la thérapie des maladies parodontales, pages 222-245
Chapitre XIV : La phase corrective dans la thérapie parodontale, pages 258-260)
1.
*L’angle d’utilisation pour les curettes Gracey est :
D
2, Pg.224
A. 20°
B. Il n’ y a pas un certain angle
C. L’angle pour la meilleure adaptation des curettes
D. L’angle 45-90°
E. 10°
2.
*La contention des dents mobiles affectées par une maladie
A
2, Pg.229
parodontale :
A. Constitue un moyen thérapeutique d’équilibration fonctionnelle
dans le traitement complexe parodontal
B. Appartient au traitement prothétique curatif-correctif
C. Représente un moyen thérapeutique
D. Se réalise seulement chez les jeunes
E. Est contre-indiqué chez les personnes avec diabète sucré
3.
*La contention dans un seul plan se réalise :
A
2, Pg.232
A. Sur les dents latérales
B. Sur les dents frontales
C. A et B
D. En aucun cas
E. Dans tous les cas.
4.
*Pour la contention des dents frontales, dans le cas où les canines sont
A
2, Pg.234
bien implantées :
A. Ce n’est pas obligatoire, l'implication des autres dents
B. C’est obligatoire l'implication des autres dents
C. On doit impliquer les prémolaires
D. On n’implique pas les canines
E. Aucun des variantes.
5.
La tétracycline a les avantages suivants pour le traitement de la maladie ADE
2, Pg.239
parodontale :
A. Une concentration élevée dans le sérum et dans le fluide gingivale
B. Elle peut être administrée en lupus
C. Peut s’administrer pour les affections rénales
D. Inhibe la résorption osseuse
E. Effet anti-inflammatoire
6.
Les contre-indications de l’administration de la tétracycline sont :
ABCD
2, Pg.240
A. La grossesse
B. Les enfants sous 12 ans
C. Les affections rénales
D. Le lupus
E. La schizophrénie
7.
Le métronidazole est indiqué en :
ABC
2, Pg.241
A. GUNA (gingivite ulcéro-nécrotique aigue)
B. Infections avec plus de 50% spirochètes
C. Infections avec trichomonas
D. Pour le patient en traitement avec lithium
E. Pour le patient avec thérapie anticoagulante
8.
Les indications majeures de la contention dentaire provisoire sont :
ABCD
2, Pg.231
A. La stabilisation des dents avant et après la chirurgie parodontale
B. Pour la prévention de la migration pathologique des dents
C. Quand la mobilité ne peut pas être réduite après l’équilibration
occlusale
D. L’évaluation du pronostic
E. Pour le rétablissement de la fonction physionomique
Sujet 50. Les principales lignes thérapeutiques et schémas de traitement pour les
maladies parodontales
(Silvia Mârțu, Mocanu Constanta – « Parodontologie clinique», « Apollonia » Maison d’édition, Iași,
2000
Chapitre XVII : Protocoles et schémas de traitement, pages 306-320)
1. *Chez un patient souffrant d’une gingivite ulcéro-nécrotique:
C
2, Pg.307
A. L'administration d'antibiotiques systémiques n’est pas obligatoire;
B. Peut utiliser des antibiotiques locaux;
C. Les antibiotiques systémiques sont indiqués;
D. Les antibiotiques systémiques ne s’appliquent qu'aux suppléments
antibiotiques locaux,
E. L’antibiothérapie systémique n’est indiquée que chez les patients
traités en ambulatoire;
2. *En cas d'urgence chez un patient avec une gingivite ulcéro-nécrotiques C
2, Pg.308
traité en ambulatoire, nous recommandons:
A. De telles procédures comme les extractions et la chirurgie
parodontale faites dès que possible;
B. Toute la procédure dentaire est reportée jusqu'à ce que le patient
résolve le problème;
C. Le traitement est reporté jusqu'à ce que le patient ne présente plus
aucun symptôme de façon aiguë au moins quatre semaines;
D. Les extractions dentaires ne peuvent être atteintes ;
E. Le surfaçage parodontale n’est pas recommandé ;
3. *Dans les premières épisodes de gingivite ulcéro-nécrotique,
B
2, Pg.309
correctement traitée, on peut trouver :
A. Après la guérison, la papille a une dépression
B. La cicatrisation est en rétablissant le contour normal de la gencive
C. Une cicatrice sur la gencive attachée
D. Parfois peuvent persister plusieurs pseudo-membranes
E. La récupération rapide
4. *Dans le traitement de la gingivite ulcéro-nécrotique:
B
2, Pg.310
A. On peut utiliser seulement un traitement antibiotique
B. Un traitement local est recommandé
C. L’antibiotique recommandé comme première intention c’est la
rovamycine
D. On recommande dès la première séance le détartrage sous-gingivale
E. Il est recommandé d'utiliser la chlorure de zinc
5. *Le traitement de la gingivite ulcéro-nécrotique est composé par:
BCD
2, Pg.306
A. L’amendement de l'inflammation chronique
B. L’amendement de l'inflammation aiguë
C. L’amendement des symptômes toxiques généralisés
D. La correction de l’état général
E. La biostimulation parodontale
6. Les manifestations cliniques de la gingivite ulcéro-nécrotique peuvent
BCDE
2, Pg.307
être associés à:
A. Une grippe;
B. Le cycle menstruel;
C. Certains aliments;
7.
8.
D. Le stress psychique;
E. La fatigue;
Un patient avec une gingivite ulcéro-nécrotique est traité en ambulatoire
si:
A. L'état général est affecté
B. Le patient a de la fièvre;
C. Il présente une asthénie;
D. Il présente lymphadénopathie localisée;
E. Il a des complications systémiques,
Pendant la première séance, chez un patient avec une gingivite ulcéronécrotique, il est recommandé:
A. Le traitement est limité aux zones qui présentent une inflammation
aiguë;
B. D’enlever les pseudo-membranes nécrotiques avec une compresse
imbibée avec peroxyde d'hydrogène;
C. Le traitement visera toute la cavité buccale/orale;
D. Les antibiotiques systémiques;
E. Le rinçage de la bouche deux fois par jour;
ABC
2, Pg.307
ABD
2, Pg.307
Sujet 51. Occlusion dentaire
Bibliographie:
1. Occlusodontie pratique – J-D Othlieb, D. Bricard, J Schittly, A manière-Ezvan, Ed CdP Groupe
Liaisons, 2006
2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed. Gr. T.
Popa, UMF Iasi, 2014
No.
1.
2.
3.
4.
Question
Les cuspides d'appui normalement sont :
a. les cuspides vestibulaires à la mandibule
b. les cuspides linguales au maxillaire
c. les cuspides vestibulaires à la mandibule et les cuspides linguales
au maxillaire
d. les cuspides linguales à la mandibule et les cuspides palatines au
maxillaire
e. aucune réponse ci-dessus n'est correcte
Idéalement, la cuspide palatine de 1.4 contacte :
a) Fossette mésiale de 4.4
b) Fossette distale 4.4
c) Fossette mésiale 3.4
d) Fossette distale 3.4
e) Autre variante
L'overjet normal est :
a. 1/2
b. 0 mm
c. 0 – 2 mm
d. bout à bout
e. entre 0 et 1/3
Les contacts normaux de la dent 3.6 sont :
a. la cuspide MV contact avec la fossette centrale de 2.6, la cuspide
DV contact avec l'embrasure de 2.6 et 2.7
b. la cuspide MV contact avec la fossette centrale de 2.6, la cupide
CV contact avec la fossette distal de 2.5, la cuspide DV contact
avec l'embrasure de 2.6 et 2.7
c. la cuspide MV contact avec l'embrasure des 2.5 et 2.6, la cupide
Répons
Bibl.
Page
C
2
77-78
B
2
94
C
2
82
C
2
94
5.
6.
7.
8.
CV contact avec la fossette central de 2.6, la cuspide DV contact
avec la fossette distale de 2.6, la fossette centrale avec la cuspide
MP de 2.6 et la crête marginale distale avec la cuspide DP de 2.6
d. la cuspide MV contact avec l'embrasure des 2.6 et 2.7, la cupide
CV contact avec la fossette central de 2.6, la cuspide DV contact
avec la fossette distale de 2.6
e. la cuspide MV contact avec l'embrasure des 2.6 et 2.7, la cupide
CV contact avec la fossette central de 2.7, la cuspide DV contact
avec la fossette distale de 2.7, la fossette centrale avec la cuspide
MP de 2.7 et la crête marginale distale avec la cuspide DP de 2.7
Les points cutanés sur la ligne médiane de la face sont :
a. Nasion
b. Tragion
c. Point sous nasal
d. Menton
e. Gnation
Les paramètres de l'occlusion sont :
a. le plan Frankfurt
b. le déterminant antérieur de la dynamique mandibulaire
c. le guidage antérieur
d. le plan de l'occlusion
e. les cuspides de guidage
La valeur normale d’espace minimum de phonation est :
a. < 2mm
b. 2-4mm
c. > 4mm
d. 0-2 mm
e. 3 mm
Les facteurs passifs qui déterminent RP sont :
a. les récepteurs fusoriaux qui se trouvent dans les muscles
b. reflexes musculaires posturales
c. viscoélasticité des muscles et des ligaments
d. l'espace de Donders
e. le motoneurone α qui détermine le tonus musculaire
ACDE
2
52
CDE
2
72-73
BE
2
54, 57
CD
2
45
Sujet 52. Syndrome algo-dysfonctionnel de l'appareil manducateur
Bibliographie:
1. Occlusodontie pratique – J-D Othlieb, D. Bricard, J Schittly, A manière-Ezvan, Ed CdP Groupe
Liaisons, 2006
2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed. Gr. T.
Popa, UMF Iasi, 2014
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni,
Ed. Apollonia, 2001
No.
1.
Question
Dans quelles situations cliniques la dimension verticale inférieure (GNSN) peut être modifiée :
a. dans toutes les cas où l'évaluation de la relation de la posture
relève un „free-way space” moins de 3 mm
b. en l'absence de toutes incisives maxillaires
c. quand les stops occlusaux centriques sont perdus
d. édentassions multiple intercalés
e. dans la relation centrique si le patient présente wide – centrique
Répons
Bibl.
C
3
Page
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
L’hypothèse Ackermann soutient :
a. par la diminution de l’étage inférieur se produit une relaxation du
muscle géniogloss
b. par l’élévation de la mandibule le plan d’occlusion s’affaisse
c. par la chute distale des condyles se produit la perturbation de
l’innervation du ménisque articulaire
d. la chute distale des condyles produit des névralgies faciales
e. la fermeture exagérée de la bouche détermine des tics et des
parafonctions
Pour le polissage des contacts déflectifs qui produisent l’instabilité de
l’occlusion avec déplacement antérieur on polit les contacts placés:
a. versant cuspidienne mésial maxillaire et mésial lingual
b. versant cuspidienne distal maxillaire et mésial lingual
c. versant cuspidienne distal maxillaire et distal lingual
d. la pente vestibulaire de cuspide maxillaire et versant lingual de
cuspide vestibulaire mandibulaire
e. la pente palatine des cuspides maxillaires et versant vestibulaire
des cuspides mandibulaires
Pour le polissage des contacts prémûrs qui produisent le déplacement
postérieur de la mandibule on polit les contacts apparus
a. versant cuspidienne mésial maxillaire et distal lingual
b. versant cuspidienne distal maxillaire et mésial lingual
c. versant cuspidienne mésial maxillaire et mésial lingual
d. versant cuspidienne distal maxillaire et distal lingual
e. versant cuspidienne oral maxillaire et distal lingual
La paroi interne de la cavité glénoïde est mise en évidence en plan
frontal comme déterminant vertical et elle influence:
a. la hauteur des cuspides aussi bien que la profondeur des fossettes
b. la hauteur des cuspides
c. la profondeur des fossettes
d. la profondeur de la courbe sagittale
e. la valeur du guidage antérieur
La perturbation du mécanisme physiologique de la boucle gamma se
produit par:
a. la maladie psychosomatique
b. stress psychique
c. tics et habitudes vicieuses
d. occlusion traumatique
e. toutes les solutions ensemble
Les malrelations extra-posturales par la translation antérieure sont relies
avec un tonus musculaire :
a. augmenté pour les élévateurs
b. réduit pour les élévateurs
c. augmenté pour les abaisseurs
d. réduit pour les abaisseurs
e. augmenté pour les propulseurs
Le IIème degré d’abrasion dentaire est:
a. l'usure de l'émail
b. l'émergence des iles de dentine
c. l'émergence d'îles reliées par des ponts dentine
d. la dentine trouvée seulement limitée par un anneau d'émail
e. ouverture de la chambre pulpaire par usure
C
2
C
3
B
3
A
2
E
2
E
2
B
3
Sujet 53. Examens cliniques et paracliniques dans les lésions odontales coronaires et
l’édentation partiale réduite
Bibliographie:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni,
ed. Apollonia, 2001
No.
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Question
L’examen clinique pour EPR n’inclue pas :
a) l’examen facial
b) la palpation superficielle
c) les dates générales du patient
d) la palpation des muscles
e) l’examen oral
En plan sagittal, les dimensions de l’espace prothétique potentiel
peuvent être modifiées par :
a. abrasion généralisée
b. overbite augmenté
c. overjet >2mm
d. obturations incorrectes, débordantes
e. migrations corporelles des dents limitrophes sur direction V-O
La hauteur SPP est diminuée, à l’exception :
a. atrophies accentuées de la crête alvéolaire
b. l’abrasion des dents limitrophes de l’espace édenté
c. destructions coronaires des dents limitrophes de l’espace édenté
d. infra-occlusion des dents limitrophes
e. l’égression ou l’extension des dents limitrophes
L’évaluation de l’état de d’hygiène :
a. elle n’influence pas le plan de traitement prothétique
b. elle a un bout didactique
c. elle se fait en évaluant la présence et l’absence de tartre et de la
plaque bactérienne
d. elle nécessite l’investigation de la plaque bactérienne au niveau
de surfaces orales des 1.6 , 1.2 , 2.1 , 3.6 , 3.2 , 4.1
e. elle fait parte de les examens paracliniques
Les données personnelles du patient impliquent l'enquête:
a. de l'identité du patient
b. de l’histoire de la maladie et les antécédentes générales
personnelles et heredo-collatérale
c. les conditions de vie et de travail
d. les données d'identité, l'âge, le sexe, la résidence, la profession
du patient
e. de l'hygiène de la cavité buccale
Déficience fonctionnelle en EPR:
a. est déterminée par l’amplitude d'édentation
b. est influencée par la consistance des aliments
c. dépend de l'emplacement édentation
d. la nature subjective de l'évaluation de la déficience fonctionnelle
ne dépend pas de l'éducation
e. comporte la mise en évidence des troubles fonctionnels
objectives : masticateur, phonétique, esthétique et déglutition
Inspection de face envisage l'analyse:
a. de la mimique et la physionomie
b. de l'intégrité de la peau
c. du profil du visage
d. de la position du menton
Répons
Bibl.
Page
C
3
122128
D
3
138
A
3
138
C
3
152
AD
3
116117
ACE
3
117
ABE
3
123
8.
e. du type cranio-faciale
Palpation profonde implique:
a. L’évaluation de la température de la peau
b. L’évaluation de l'élasticité et de quantité des tissus sous-cutanée
c. la palpation musculaire
d. la palpation les groupes ganglionnaire
e. la palpation crête édentée
CD
3
125
Sujet 54. Les principes de traitement par prothèse unitaire et prothèse fixées plurielle
Références bibliographiques:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni,
Ed. Apollonia, 2001
4. Terapia protetic conjuncta unitara - Gabriela Ifteni, Vasile Burlui, Ed. Gama, 2002
No.
1.
2.
3.
4.
5.
Question
Le principe prophylactique exige:
a. la récupération morphologique par un modelage anatomique des
surfaces occlusales
b. la protection parodontale par des préparations sous-gingivales
pour les couronnes de recouvrement
c. d’éviter les principes biologiques sur l'économie tissulaire
d. que les actes thérapeutiques ne pas aggraver les lésions
existantes ou causer d'autres nouvelles lésions
e. connaitre les détails de stabilité biomécaniques de prothèses
La pose des prothèses provisoires a imposé le concept :
a. de thérapie prophylactique non-spécifique
b. de traitement prothétique temporise
c. de prophylaxie générale avec caractère spécifique
d. de prophylaxie primaire
e. de préparation minimum invasive
Comme des prothèses transitoires on peut utiliser:
a. les restaurations réalisées par la méthode Scutan ou celle des
conformateurs thermoformées sous vide
b. les ponts Maryland
c. les prothèses fixées métallo-acryliques parce qu'ils sont moins
chers
d. les facettes
e. aucune réponse n’est pas correcte
Pour la récupération morphologique par prothèses fixées n’est pas
permis :
a. la réduction vestibulo-oral du pontique par rapport à l’amplitude
d’espace édente
b. la réduction de la hauteur des cuspides quand on désire la
réduction de la charge occlusale
c. le modelage incomplète de la face orale du pontique pour obtenir
l’espace de auto-nettoyage
d. le sur- et sous-contour des couronnes de recouvrements utilisées
comme éléments d’agrégation
e. le sacrifice de la morphologie au but de respecter les principes
prophylactiques, biologiques et biomécaniques
Pour éviter la contamination croisée dans le cabinet dentaire on doit
viser:
a. le respect les règles de base d’asepsie et antisepsie
Répons
Bibl.
Page
D
2
202
B
2
205
A
2
204
D
2
215
ABE
2
210
6.
7.
8.
b. la maintenance des stérilisateurs
c. utilisez la stérilisation à froid quand on peut effectuer la
stérilisation à chaud
d. la réutilisation de matériel jetable, même stérilisé
e. l'utilisation de masques de protection
Prophylaxie générale:
a. a un caractère systémique spécifique au traitement prothétique
b. accorde une grande importance à éviter la contamination croisée
c. a un caractère systémique non spécifique
d. doit être considérée dans le contexte du caractère intégré du
système stomatognathique
e. toutes les réponses sont correctes
Les produits chlorés sont utilisés comme pour la pré-stérilisation
d’instrumentaire grâce aux avantages suivants:
a. odeur persistante
b. concentrations élevées qui ont une activité sporicide
c. large spectre
d. ne produit pas de corrosion des métaux
e. action lente dans le temps
Prophylaxie pré éruptive suit:
a. la prévention des maladies graves (syphilis congénitale, la
rubéole)
b. une bonne nutrition de la mère
c. la prévention des maladies endocriniennes
d. la prévention des troubles du rythme circadien
e. elle est aussi appelé la prophylaxie primaire locale
BCD
2
209
BE
2
211
ABC
2
213
Sujet 55. Restaurations unitaire intra coronaires et extra coronaires
Références bibliographiques:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni,
Ed. Apollonia, 2001
4. Prothese fixee unitaire. Cahier d’activite pratique au simulateur - Gabriela Ifteni, Norina Forna,
Ed. « Gr. T. Popa », U.M.F. Iasi, 2011
No.
1.
2.
3.
Question
Pour la préparation périphérique (au niveau du collet) pour une couronne
métallique on peut utiliser :
a. fraise cylindrique à bout arrondi
b. fraise fissure
c. fraise con-inverse
d. fraise boule
e. fraise roue
L’ouverture d’un processus carieux occlusal pour une cavité pour inlay
se fait avec :
a. des ciseaux et haches
b. fraise sphérique
c. fraise fissure
d. fraise roue
e. fraise congé
La préparation du bord incisif pour la couronne céramique se fait avec
une profondeur de :
a. 0,5 mm
b. 1 mm
c. 1,5 mm
Répons
Bibl.
Page
A
4
84
B
4
24
D
4
96
4.
5.
6.
7.
8.
d. 2 mm
e. 2,5 mm
La préparation périphérique pour la couronne céramique a une
profondeur de :
a. 0,5 mm
b. 1 mm
c. 1,5 mm
d. 2 mm
e. 2,5 mm
La cavité proximale pour l’inlay de classe II doit avoir :
a. la paroi para pulpaire droite
b. les parois latérales convergentes vers la dent voisine
c. rapport optimal largeur/profondeur
d. la profondeur minimale de 2 mm
e. les angles bien exprimés
Pour la préparation de la cavité d'inlay MOD classique on peut utiliser
des fraises :
a. effilées
b. cylindriques
c. ellipsoïdales
d. con-inverse
e. cylindro-coniques
Les limites de la préparation pour la couronne partielles 4/5 sont :
a. 0,5 mm vestibulaire ou oral des contacts avec les dents voisines
b. à l’union 1/3 V et 2/3 O des faces proximales
c. 0,5 mm de la face vestibulaire sur la cuspide vestibulaire
d. à 0,5 - 1 mm du collet sur les faces orales et proximales
e. 1,5 mm des faces proximales des dents voisines
On dit des rainures de rétention pour la couronne partielle 7/8 :
a. leurs profondeurs est de 0,5 mm
b. on trace 3 rainures dans la paroi linguale, parallèles à l’axe
d’insertion intentionné
c. les rainures verticales sont parallèles à l’axe d'insertion de la
restauration
d. la rainure proximale est placée à la jonction 1/3 L avec 2/3 V de
la face mésiale
e. la rainure vestibulaire est placée à la moitié de la face dentaire
B
4
98
ADE
4
34,35
BE
4
42
BCD
4
56
CE
4
64
Sujet 56. Eléments structurales des prothèses fixées
Références bibliographiques :
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni, Ed.
Apollonia, 2001
No.
1.
Question
La déformation plastique du pontique d’une prothèse fixée:
a. représente une déformation réversible produite par la force de
mastication
b. est une modification grave de la structure qui modifie la morphologie
initiale
c. peut-être évité par l’emploie des matériaux avec une déformation
plastique élevée
d. peut-être évité par l’emploie des matériaux avec une déformation
élastique supérieure au support dento-parodontal
Répons
Bibl.
Page
b
3
325
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
e. ne dépend pas de l'étendue du pontique
La hauteur du pontique d’une prothèse fixée sera conçue:
a. en rapport avec le diamètre V-O et le profil de la crête édentée
b. de sorte que si la hauteur de la prothèse potentiel est élevée, la largeur
du pontique peut être réduite
c. de sorte que si le diamètre de la crête édentée est grande, la largeur du
pontique peut être réduite
d. en fonction du diamètre V-O de la crête édentée, de l’espace édenté et de
même diamètre que les dents remplacées
e. selon le matériau utilisé
Le pontique suspendu:
a. est utilisé seulement pour le secteur antérieur de la mandibule
b. est utilisé uniquement lorsque l'édentation est unidentaire
c. est le plus souvent utilisé dans des conditions prophylactiques
d. est un nouveau concept dans la thérapie prothétique
e. est indiqué dans les secteurs latérales mandibulaires, quand il y a
d’espace prothétique d’amplitude et de largeur optimales.
La hauteur du pontique:
a. dépend des dents opposées (s’elles sont en extrusion ou égression)
b. dépend de la hauteur de l'espace prothétique potentiel et de la largeur de
la crête édentée
c. dépend uniquement de la hauteur de l'espace prothétique potentiel
d. dépend du diamètre V-O des dentes piliers
e. e) dépend uniquement de la hauteur des dents piliers
Dans l'ordre décroissant, les éléments d'agrégation les plus biologiques sont :
a. bridges collés, couronnes métalliques, couronnes céramiques
b. couronnes partielles, inlays, couronnes métalliques
c. couronnes partielles, bridges collés, couronnes mixtes métalloacryliques,
d. couronnes métalliques, couronnes mixtes, couronnes céramiques
e. couronnes céramiques, couronnes mixtes métallo- céramiques couronnes
de substitution
L'agrégation des éléments d’agrégation peut-être :
a. partiellement intrinsèque
b. partiellement extrinsèque
c. corono-radiculaire
d. occlusal
e. totalement extrinsèque
Le choix des éléments d'agrégation se fait selon les situations cliniques
suivantes:
a. secteur frontale ou latérale
b. l'axe d'insertion de la prothèse
c. L'intégrité des dents piliers
d. expérience clinique du médecin
e. les possibilités du laboratoire dentaire
Le pontique en contact partial avec la crête peut être:
a. partiellement suspendue
b. en contact en demi-selle
c. en contact punctiforme
d. en contact variable avec la surface
e. un contact linéaire tangentiel avec le bord de la crête
D
3
328
E
3
333
B
3
329
ABD
3
305
BCE
3
311
ABC
3
320
BCE
3
334
Sujet 57. Etape de la thérapie par prothèses fixées : L’empreinte
Références bibliographiques:
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni,
Ed. Apollonia, 2001
No.
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
Question
Les objectifs des empreintes dans l'édentation partiale réduite se réfèrent
à:
a. reproduire la forme et les détails des préparations
b. reproduire la forme, les dimensions et les détails des préparations
c. l'utilisation des matériaux fluides et fidèles
d. l’empreinte unitaire
e. l’existence des inclusions d’air
Les matériaux d’empreinte sont classés comme suit:
a. rigides et élastiques
b. rigides et plastiques
c. semi-rigides, rigides et élastiques
d. en fonction du temps nécessaire pour les manipuler
e. selon les matériaux accessoires utilisés dans l’empreinte
Choisir une empreinte globale ou segmentaire dépend de:
a. le matériau d’’empreinte utilisé
b. le modèle d'étude
c. l'expérience pratique du médecin et du prothésiste
d. la distribution des préparations sur l’arcade, la stabilité occlusale
et les critères esthétique
e. toutes les réponses sont fausses
L’empreinte globale avec guidage unitaire:
a. implique deux étapes d’empreinte
b. est la plus biologique
c. est la technique la plus largement utilisée dans la pratique
d. ne peut pas être utilisé que pour les préparations avec seuil
e. est effectuée uniquement pour les couronnes partielles
Pour le secteur postérieur de l’arcade, l’empreinte segmentaire est
indiquée dans les cas suivants:
a. restaurations unitaires sur prémolaires ou molaires
b. remplacement d'une molaire absente, juste au cas où l'occlusion
est stable
c. restaurations sur la prémolaire et la molaire successive
d. restaurations sur les prémolaires inférieures homologues
e. quand la situation clinique ne permet pas l'examen d'une
empreinte globale
Les conséquences cliniques du sur-contour :
a. sont moins nocifs que celles de sous- contour
b. sont représentés par des saignements
c. sont représentés par l'halitose
d. produisent en temps la rétraction gingivale
e. Ne porte pas atteinte fonctionnelle
La méthode optique d'empreinte:
a. est caractéristiques aux systèmes CAD-CAM
b. est caractéristiques pour la technologie classique des d'empreinte
avec des matériaux fidèles
c. est utilisé par le système Cerek
d. a l'avantage d’un prix bas
e. a l'avantage d'exécution très rapide de la restauration prothétique
L’empreinte globale présente les avantages suivants:
Répons
Bibl.
Page
B
3
478
C
3
479
D
3
480
A
3
480
ABC
3
504
BD
3
506
ACE
3
515
BCE
3
480
a.
b.
c.
d.
e.
la possibilité de la placer facilement dans une clé de plâtre
faire sur le même modèle les prothèses mixtes ou composites
évaluer simultanément toute l’arcade
évaluer la relation de la posture
permet l'utilisation d'un articulateur
Sujet 58. Etape de la thérapie par prothèses fixées : L’enregistrement des relations
mandibulo- crâniennes
Références bibliographiques:
2. L’examen clinique gnahtologique - Gabriela Ifteni, Alina Apostu, Oana Tanculescu, Ed. Gr. T.
Popa, UMF Iasi, 2014
3. Clinica si terapia edentatiei partiale intercalate – Vasile Burlui, Norina Forna, Gabriela Ifteni,
Ed. Apollonia, 2001
No.
1.
2.
3.
4.
5.
6.
Question
Une pente articulaire à petite inclinaison, présente une angulation vis-àvis du plan Frankfurt de :
a. 5-10°,
b. 5-25°
c. 25-40°
d. 40-55°
e. 60°.
Parmi les méthodes computationnelles d’examen des relations
mandibulo-crâniennes sont :
a. L’articulateur Gysi
b. Condylocomp LR 3
c. L’articulateur Denar
d. L’articulateur SAM
e. Aucune réponse correcte
La paroi interne de la cavité glénoïde est mise en évidence en plan
frontal comme déterminant vertical et elle influence:
a. la hauteur des incisives
b. la profondeur des courbures transversales
c. la hauteur des cuspides aussi bien que la profondeur des fossettes
d. la profondeur de la courbe sagittale
e. la valeur du guidage antérieur
Pour enregistrer, transférer et reproduire la distance entre les unités
odonto-parodontales et l'axe inter-condylienne sont nécessaires :
a. des systèmes composés de l’arc facial et simulateur
b. des articulateurs simples
c. des occluseurs
d. des articulateurs aux valeurs moyennes
e. des empreintes sectorielles
La clé d’occlusion:
a. est la plus ancienne méthode de simuler les mouvements de
l’ATM
b. ne peut pas être utilisée en l'absence d'un arc facial de transfert
c. ne peut pas simuler que les mouvements d'ouverture et fermeture
d. est également appelée occluseur
e. est indiquée pour les restaurations prothétiques fixées de grande
amplitude
En termes d’objectif d'utilisation, les arcs facials peuvent être:
Répons
Bibl.
Page
B
2
13
B
3
186
C
2
128
A
2
114
AC
3
184
ABD
3
185
7.
8.
a. pour déterminer l’axe charnière
b. de transfert
c. pour simuler la cinématique mandibulaire
d. pour investigation de la cinématique mandibulaire
e. pour déterminer le point suborbitar
Parmi les articulateurs entièrement programmable ne sont pas :
a. les clés d’occlusion
b. les articulateurs Hamann
c. les articulateurs Gysi Simplex
d. les articulateurs Denar Antoneark
e. e) les articulateurs Denar Denar D4 et D4-A-B
Dans une occlusion normale contacts dento- dentaires doivent répondre
à certains paramètres, notamment:
a. l'existence d'un over-jet de 0-2 mm
b. être multiples et uniformément réparties
c. overbite frontal de 1/3
d. être stables
e. être entre des surfaces lisses et convexes
ABCD
3
184185
BDE
3
146147
Sujet 59. Des examens cliniques et paracliniques dans l'édentation partielle etendue et
totale (edentation partielle etendue)
1.
2.
3.
4.
5.
Le tableau clinique de l'édentation partielle étendue est représenté par :
a) la douleur.
b) les symptômes subjectifs et objectifs.
c) l'hyperesthésie alvéolaire.
d) l'insuffisance fonctionnelle.
e) les troubles psychiques.
Les signes objectifs de l'édentation partielle étendue sont :
a) la marche labiale inversée.
b) l'invagination des joues.
c) le phénomène douloureux et l'insuffisance fonctionnelle.
d) la douleur fantôme.
e) l'hyperesthésie alvéolaire.
Définition de l'hyperesthésie alvéolaire :
a) syndrome douloureux apparu au toucher de la crête édentée.
b) douleur fantôme.
c) taxonomie.
d) douleur pathologique.
e) syndrome du moignon douloureux.
Lequel parmi les signes suivants représente un signe subjectif dans le
tableau clinique de l'EPI ?
a) Les signes faciaux.
b) L'insuffisance de la fonction physionomique.
c) Les troubles de la morphologie faciale.
d) Les modifications tissulaires faciales.
e) Les modification des dimensions des étages du visage.
Quelles sont les modifications d'adaptation de la mastication dans
l’EPI ?
a) La mastication “en frottant”.
b) La mastication “en coupant”.
c) L'accélération du rythme de mastication, l’allongement du
cycle de mastication et le prolongement du seuil de déglutition.
B
C
A
B
C
6.
7.
8.
1.
2.
3.
4.
d) L'impossibilité d'effectuer une mastication complète.
e) La mastication à l'aide du groupe incisif.
Dans les zones distales de l'arcade alvéolaire résiduelle mandibulaire on
retrouve deux formations osseuses appelées :
a) Les tubercules piriformes.
b) Les tubérosités.
c) Les apophyses coronoïdes.
d) Les apophyses styloïdes.
e) La ligne oblique interne.
Les tests de vitalité :
a) Sont des méthodes de détermination de la sensibilité osseuse.
b) Sont des méthodes de détermination de la sensibilité pulpaire
aux dents dont la vitalité peut être compromise.
c) peuvent se réaliser avec la percussion transversale.
d) l’évaluation se réalise en comparaison avec les dents voisines
ou homologues, considérées comme étant saines.
e) Toutes les réponses sont bonnes.
La relation centrique peut être induite par les méthodes suivantes :
a) Dawson ;
b) Lejoyeux, Kennedy ;
c) Lauritzen-Barelle ;
d) Jankelson ;
e) Ramfjord ;
A
B, D
A, C D,
E
SUJET 59: p. 32 -83
EXAMEN CLINIQUE ET DE LABORATOIRE DANS L’EDENTE PARTIEL ET EDENTE
TOTAL: EDENTATION TOTAL
Goniac angle a une valeur moyenne de:
b, c
a. 750-900 enfants d'âge préscolaire;
b. 1100 -1250 après 12 ans;
c. 1300-1400 chez les personnes âgées;
d. 1200 au femmes;
e. toutes les variantes sont correctes.
p. 37
L'inspection statique de l’ATM:
c, d, e
a. ne vise pas les modificationes des couleur pour les régions
pretragienne;
b. vise les excursions du menton d’avant;
c. vise la symétrie ou asymétrie des régions pretragyene;
d. est faite en comparaison gauche-droite;
e. est faite au niveau de la région du menton.
p. 41
L’inspction de profil:
a,b
a. poursuit le profil facial;
b. poursuit la posture des lèvres;
c. ne poursuit pas la position du menton;
d. ne poursuit pas l’angle nazo-labial;
e. toutes les variantes sont correctes.
p. 36
⃰ La zone fonctionnelle périphérique maxillaire la poche d’Eisenring est
c
examiné par:
a. la traction de la lèvre inférieure vers l’anterieur;
b. la traction de la lèvre supérieure vers l’anterieur;
c. palpation avec le fouloir étroitement ;
5.
6.
7.
8.
d. large ouverture de la bouche;
e. toutes les variantes sont correctes.
p. 43
Radiografia simplă a ATM:
a. ne fonctionne pas sous incidences différents;
b. est basé sur l'effet photochimique des radiations;
c. exposition aux radiations est 70% plus élevé;
d. permet la visualisation de change de l’interligne articulaire;
e. toutes les variantes sont correctes.
p. 68
La résonance magnétique nucléaire:
a. les images peut être obtenues dans des plans sagittal, frontal,
axiale;
b. a été imposée comme une méthode de choix non-invasive;
c. ne permet pas l'appréciation des surfaces osseuses;
d. est une méthode invasive;
e. aucune version correcte;
p. 71
La mandibuloquinesiographie:
a. est une méthode non-invasive;
b. permet l’enregistrement tridimensionnelle de la dynamique
mandibulaires;
c. permet l'évaluation fonctionnelle de tissu osseuse;
d. montre l'état des tissus mous;
e. utilise un amplificateur de luminescence;
p. 73
L’inspection du visage a en vue:
a. le type d’alimentation;
b. l'intégrité des téguments;
c. c.la symétrie faciale;
d. la rythmicité de repas;
e. toutes les variantes sont correctes.
p.35
b, d
a, b
a, b
b,c
Sujet 60. La prothèse partielle amovible acrylique. Composants.
1.
2.
Eléments de maintien, appui et stabilisation dans la prothèse partielle
amovible acrylique :
a)c'est le connecteur principal acrylique lingual
b) s’appelle “la plaque palatinale acrylique”
c)au maxillaire sont orientés transversalement au niveau de la
voûte palatine
d) c’est une plaque linguale en “U” ouverte postérieur
e)se sont les crochets
Le connecteur principal d'une prothèse partielle amovible acrylique
maxillaire:
a)se situe sur le versant oral de la crête alvéolaire dentaire
frontale
b) est orienté transversal au niveau de la voûte palatine
c)est une plaque linguale acrylique
d) le bord postérieur se place sur les dents restantes au niveau
supra-cingulaire ou équatorial
e)la face mucosale est situé ŕ distance des zones qui ne supporte pas des
pressions
E
E
3.
4.
5.
6.
7.
8.
Les crochets d'une prothèse partielle amovible acrylique sont:
a)le crochet Ackers;
b) le crochet Bonwill;
c)le crochet Roach;
d) les crochets simples acryliques dentaires
e)les crochets Ney
Les crochets cervico-occlusaux ouverts dental d'une prothèse partielle
amovible acrylique :
a)s'appellent également “crochets avec épaule”
b) font partie des crochets simples acryliques
c)font partie des crochets acryliques
d) sont indiqués quand sur l'arcade restent 2 dents voisines
e)sont indiqués sur des dents sans rétentivités
Le crochet métallique avec 3 bras d'une PPAA :
a)est confectionné à partir d'un fil en acier (vipla) de 0,6-0,8 mm
diamètre
b) ressemble au cochet Bonwill
c)n'assure pas rétention et appui
d) il s'appelle également “crochet avec boucle”
e)est recommandé dans la zone frontale
La loi biomécanique du Conod qui guide la réalisation d'une arcade
artificielle d'une PPAA parle de:
a)changer l'ordre des dents artificielles
b) modifier la morphologie des dents artificielles par rapport aux
dents naturelles
c)réduire le nombre des dents artificielles, notamment sur la selle
terminale
d) placer les forces de sollicitation occlusale au milieu de la selle,
au niveau du centre géométrique
e) placer les forces de solicitation occlusale au plus loin de la dent
limitrophe à l'édentation
Dans la prothèse acrylique on décrit :
a) selles acryliques, dents artificielles,
b) connecteur principal et éléments de maintien et stabilité
c)connecteurs secondaires
d) crochets coulés
e)éléments spéciaux de maintien et stabilité
Le crochet cervico-occlusal ouvert dentalement ou le crochet avec
épaule:
a) indiqué dans la situation quand sur l’arcade sont restantes
deux dents voisines ;
b) Il est indiqué sur des dents avec des rétentivités modérées ;
c) Il est indiqué sur les dents rétentives ;
d) Ne présentent pas rôle anti-basculant ;
e) a un diamètre de 0,2 à 0,3 mm.
D
A
A
D
A, B
B, D
Sujet 61. Les éléments de structure des prothèses partielles squelettes
1.
Caractéristiques du versant vestibulaire d'une PPA:
a) Ne s'étend pas jusqu'à la zone de réflexion de la muqueuse
mobile
b) Est modelé de façon à ce qu'il diminue la tonicité de la
musculature oro-faciale
c) Est modelé un bord très mince
d
2.
3.
4.
5.
6.
7.
d) Peut manquer de la selle frontale quand la crête edentée dans
cette zone est proéminente
e) Se trouve dans la continuité du connecteur principal par son
bord oral
Caractéristiques des selles d'une PPAA :
a) ne supportent pas les dents naturelles
b) ne transmettent pas les forces mastricatrices vers le support
dento-parodontal
c) ne sont pas en contact avec la crête édentée
d) transmettent les forces de solicitation vers le connecteur
secondaire
e) leur nombre corespond avec le nombre des éspaces
prothétiques potentiels
Caractéristiques des arcades artificielles d'une PPA :
a) contribuent essentiellement à la recupération des functions qui
n'ont pas été perdues par le système stomatognathique
b) le choix des dents artificielles doit se faire en concordance
avec la forme et la couleur des dents restantes, même si celles-ci
présentent des modifications de couleurs ou des caries
c) peuvent être en porcelaine
d) pour conserver la stabilité du rélief occlusal dans des situation
cliniques qui suppossent des solicitattions occlusales intenses, il
est préferable d'utiliser des faces occlusales en acrylate
e) les dents en porcelaine peuvent être préfabriqués ou réalisées
par décoration avec des pics
La loi biomecanique de Chayes:
a) La surface d'une selle doit ętre la plus grande possible pour ne
pas suprasoliciter
b) La surface d'une selle doit ętre au d'au moins le double de la
surface de sections au collet des dents qu'elle remplace
c) La surface d'une selle doit respecter strictement le rapport au
volume dentaire
d) La force de solicitation doit tomber au milieu de la selle
e) S'apparente à la loi des “3 H “
La loi du Ant parle de :
a) changer la position des dents artificielles
b) réduire le nombre des dents d'une prothèse
c) réduire la surface occlusale
d) diminer la surface occlusale avec 20% pour chaque dent
remplacée.
e) la force de sollicitation doit tomber au milieu de la selle
L'héteroposition :
a) c'est la synthèse par Ackers dans le cadre de la loi des “3H”
b) n'a pas pour but le changement des positions des dents
c) consiste à inverser les positions entre la prèmiere molaire et la
deuxième prémolaire
d) consiste à inverser les positions entre la prèmiere et la
deuxième molaire
e) aucune réponse
Le crochet circulaire Ackers :
a) s’applique sur les prémolaires et molaires avec rétentivités
vestibulaires et orales favorables ;
b) Le corps, l’épaule, la portion rigide du bras élastique se situe
dans le cône d’appui
c) nommé aussi crochet à trois bras ;
e
c
b
c
c
a, b, c
8.
d) nommé aussi crochet avec action réciproque de Bonwill ;
e) Il est un crochet à quatre bras
Le crochet circulaire Ackers
a) Le corps, l’épaule, la portion rigide du bras élastique se situe
dans le cône d’appui
b) Il est un crochet à quatre bras
c) Il présente un bras élastique ou rétentif ;
d) Il présente un bras rigide ou le contre-crochet
e) Il est un crochet à quatre bras
A, c, d
Sujet 62. Biodynamique des prothèses squelettes dans la cavité orale
1.
2.
3.
4.
5.
6.
Dans le cadre du principe biomécanique, pour établir le plan de
traitement, le diagramme statique sert à
a) Etablir la force de résistance
b) Etablir la force de pression
c) Vérifier la loi du polynome
d) Tracer les arcs de stabilisation
e) Orienter le vecteur RP
Dans le cadre du principe biomécanique, pour établir le plan de
traitement, le diagramme dynamique sert à
a) Tracer les arcs de stabilisation
b) Trouver le centre de stabilité maximal de la voûte palatine
c) Tracer le vecteur RP
d) Trouver le centre de gravité de la voûte palatine
e) Identifier les dents sur lesquelles on applique les éléments de
maintien et de stabilisation
Le pilier fronto-nasal ou incisif reçoit les pressions execercées au niveau
des dents suivantes :
a) Molaires 1 maxillaires;
b) Molaires 2 maxillaires;
c) Molaire 1,2 maxillaire, canine superieure;
d) Incisives, canines, premolaires;
e) Molaires, Incisives.
Les 3 pilliers verticaux du maxillaire supérieur (pilier fronto-nasal,
zigomatique et ptérygo-palatin) sont solidarisés par:
a) Les plateformes verticales osseuses formées par les os
maxillaires;
b) Les plateformes horizontales osseuses formées par les
apophyses palatines de l'os maxillaire et les apophyses
horizontales de l'os palatin, le plancher de l'orbite et la base du
crâne;
c) Les trabéculations osseuses;
d) La voûte palatine;
e) Les piliers de résistance au niveau cranien.
Les forces passives sont données par :
a) La musculature oro-faciale;
b) Le moment des forces;
c) Le poids de la prothèse amovible;
d) Les prothèses fixes et amovibles;
e) Le poids de la mandibule, le tonus de la musculature
antagoniste, le parodonte marginal des dents restantes , l'os
vestibulaire.
Le centre de gravité du maxillaire se trouve sur l'axe saggital au niveau
d
c
d
b
e
d
de:
7.
8.
a) L'union des 2/5 antérieurs avec les 3/5 postérieurs;
b) Au milieu de cet axe;
c) L'union du 1/3 postérieur avec les 2/3 antérieurs;
d) L'union des 2/5 posterieurs avec les 3/5 antérieurs;
e) L'union du 1/3 antérieur avec les 2/3 postérieurs.
En ce qui concerne l’annihilation des tendances de détachement au
A,b,c,d,e
niveau de prothese Les moyens non spécifiques sont :
a) L’adhésion ;
b) Les extrémités élastiques des crochets ;
c) Le prolongement des selles dans les zones retentives du
champ prothétique
d) Les mécanismes spéciaux qui agissent par friction ;
e) Le poids des prothèses dans le cas de l’édentement
mandibulaire représente un élément de stabilité de plus en
plus rarement utilisé.
Contre l’action de mésialisation des appareils gnatho-prothétiques on
B,c
utilise :
a) une courbe d’occlusion sagittale inverse ;
b) la reproduction d’une courbe d’occlusion sagittale légèrement
accentuée ;
c) le contact de la base de la prothèse avec la face distalo-orale
des dents restantes ;
d) L’adhésion ;
e) Toutes les variants A-D sont vraies.
Sujet 63. Etapes de la thérapie par des prothèses partiellement adjointes squelettisés:
l’empreinte
1. Lesquelles des affirmations suivantes représentent des caractéristiques de l’empreinte fonctionnelle
muco-dynamique:
A. Utilisent des port-empreintes standards
B. Utilisent des port-empreintes individuelles fonctionnalisées
C. On obtient des empreintes qui n’évitent pas les formations mobiles périphériques
D. On obtient des empreints non-fonctionnelles
E. On obtient des empreints avec des bordures trop courtes
(Réponse B)
2. Dans la thérapie prothétique par prothèse partielle squelettisé, les mouvements masticatoires
effectués dans le cadre de l’empreinte fonctionnelle du champs prothétique ne se réalisent par :
A. Modèles d’occlusion
B. Port-empreintes individuelles équipées avec des vagues d’occlusion
C. A l’aide d’une prothèse vieille
D. Avec de la cire d’occlusion
E. Réponses correctes A, D
(Réponse E)
3. Lesquels types de matériaux peut-on utiliser dans l’empreinte fonctionnelle du champs prothétique
avec édentation partielle étendue.
A. Des matériaux rigides
B. Des matériaux décoratifs
C. Des matériaux semi-rigides
D. Des matériaux solides
E. Réponses correctes A,D
(Réponse E)
4. L’empreinte documentaire est utilisée afin de :
A. Obtenir un modèle préliminaire
B. Obtenir le modèle fonctionnel
C. But médico-légal
D. Obtenir le modèle de studio
E. On ne l’utilise pas encore
Réponse C
5. L’adaptation des porte-empreintes standard se réalise:
A. a l’aide des appareils à ultrasons en
B. plan transversal, sagittal et vertical
C. par flexion sur la ligne médiane
D. en fonction du matériel d’empreinte
E. la réalisation de l’empreinte actuelle.
Réponse B
6. L’adaptation des porte-empreintes standard se réalise:
A. a l’aide des appareils à ultrasons en
B. plan transversal, sagittal et vertical
C. par flexion sur la ligne médiane
D. en fonction du matériel d’empreinte
E. la réalisation de l’empreinte actuelle.
Réponse B
7. A quelle distance doit-on situer les bordures d’une porte-empreinte standard du champs prothétique,
en plan transversal:
A. 1-2mm
B. 3-4mm
C. 4-5mm
D. 10mm
E. 15mm
Réponse C
8. 8.Quel est le rôle des mouvements non-fonctionnels effectués par le médecin pendant l’empreinte
préliminaire
A. la modélisation correcte des bordures de l’empreinte
B. l’enregistrement fidèle de la zone de la muqueuse passive-mobile
C. la détermination des relations intermaxillaires
D. le test de l’étage inférieur de la face
E. détermination de la zone neutre .
(Réponse A)
Sujet 64. Etapes de la thérapie par des prothèses partiellement adjointes squelettisés:
l'enregistrement de la relation intermaxillaire
1. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partielles adjointes, l’étape d’enregistrement de la
relation intra-maxillaire suivit après :
A. La preuve de la porte-empreinte standard
B. L’empreinte préliminaire
C. L’adaptation de l’empreinte individuelle
D. L’empreinte fonctionnelle et l’obtention du modèle fonctionnel
E. La preuve de la maquette à dents
Réponse:D
2. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partielles adjointes, dans le cas où les deux arcades
sont mutilées par édentation partielle, le problème fondamental de la prothésation est représenté par :
A. L’évaluation des dents support
B. L’empreinte préliminaire
C. La restauration de la relation de posture et de la relation centrique
D. La vérification du squelette métallique
E. Le scellage des selles terminales
Réponse:C
3. Dans le cadre de la thérapie par des prothèses partiellement mobilisables, l’enregistrement des
relations manibulo-crâniennes vise:
A. Le repositionnement de la mandibule en relation centrique correcte, le repositionnement de la
mandibule en position de posture
B. Le repositionnement de la mandibule dans la position de relation extrapostural
C. Intercuspidation maxime
D. Détermination du plan basal mandibulaire
E. Détermination du positionnement exact du plan medio-sagittal
Réponse:A
4. La méthode “homotropisme lingo-mandibulaire” de détermination de la relation centrique se base
sur le fait que :
A. La mandibule suivit la position de la voûte palatine
B. La mandibule suivit la langue dans son périple statique et dynamique
C. La compression du masséter bilatéral positionne la mandibule en relation centrique
D. On stimule les reflexes vestigiaux de positionnement centrique
E. La manouvre Valsalva positionne la mandibule en relation centrique
Réponse:B
5. La méthode de détermination de la relation centrique par stimulation du reflexe d’occlusion molaire
se base sur :
A. Le fait que la mandibule suivit la langue dans son périple statique et dynamique
B. Le réveil de vieux reflexes parodonto-musculaires de positionnement centrique
C. Une petite pression exercée pendant le mouvement d’ouverture-fermeture
D. Des contractions musculaires symétriques par des compressions sur le muscle temporal
E. La compression du masséter bilatéral.
Réponse:B
6. Dans le cas où sur l’un des maxillaires on réalise une prothèse partielle mobile et l’autre sera
prothésé par prothèse totale, pour l’enregistrement des relations intermaxillaires on a besoin de :
A. Un cadre de fil à support textile et pâte de zinc oxyde eugénol
B. Pellicules de cire d’occlusion
C. Deux modèles positionnés par le médecin en relation centrique par la méthode de la discrimination
tactile
D. Des retentions sur la surface orale de la bordure d’occlusion de la maquette du maxillaire
partiellement édenté
E. Deux maquettes d’occlusion
Réponse:E
7. Lesquelles positions mandibulo-crâniennes ont une importance primordiale dans l’évaluation de
l’état de normalité tout comme du degré d’affectation de la morphologie et fonctions du système
stomatognathique
A. Relation centrique
B. Relation de posture
C. Relation d’intercuspidation maxime
D. mouvement Bennett
E. position de protrusion tète à tête
Réponse:A,B
8. La vérification extra-orale des maquettes d’occlusion vise que :
A. la base soit rigide, non-déformable
B. la base soit élastique
C. les marges de la base soit arrondies
D. les marges de la base soient placées au niveau de la ligne blanche
E. les marges de la base soient placées au niveau de la muqueuse mobile.
Réponse:A, C,D
SUJET 65: p. 465-544
LES ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALE : LA PRISE
D’EMPREINTE
1.
2.
3.
4.
5.
Pâtes ZOE son indique en:
a. empreintes préliminaires dans l’édentation totale;
b. empreintes pour le regarnissage de prothèses dentaires;
c. dans toutes les techniques d'empreintes muco-dynamique;
d. dans toutes les techniques d'empreintes muco-statique;
e. aucune version correcte.
p. 535
⃰ La technique Lejoyeux consistent en:
a. la gravure du modèle sur une zone de 2-2,5 mm, entre la ligne de
flexion du voile du palais et le palais dur;
b. la réalisation de la port-empreinte individuelle sur le modèle
préliminaire en contact avec le zone gravée;
c. la gravure du modèle sur une zone de 2-5 mm, entre la ligne de
flexion du voile du palais et le palais dur;
d. la prise d'empreinte du champ prothétique avec des matériaux
résilientes;
e. toutes les variantes sont correctes
p.549
⃰ En lisant les repères anatomiques sur l'empreinte finale mandibulaire, la
zone vestibulaire laterale est:
a. évidée ou pliée vers l'extérieur;
b. plat et large;
c. comme une dépression qui se trouve près d'une retentivitate;
d. comme une dépression à l'extrémité distale du dépression
alvéolaire ;
e. toutes les variantes sont correctes;
p. 543
⃰ Polyéthers:
a. aucune loyauté particulière;
b. mauvaise odeur;
c. pas une bonne stabilité dimensionnelle.
d. Ils sont hydrophiles;
e. toutes les variantes sont correctes.
p. 536
Pour lempreinte avec matériau thermoplastique:
b, d
c
b
d
b, c
6.
7.
8.
a. vous pouvez utiliser port-empreintes plus grandes;
b. vous pouvez utiliser port-empreintes plus petites;
c. vous pouvez utiliser port-empreintes avec le profil moins évident;
d. le matériau utilisé ne doit pas se déformer après la prise;
e. aucune version correcte.
p. 476
Les repères anatomiques au niveau de champ prothètique maxillaire
sont:
a. le vestibule labial;
b. frein buccale;
c. le ligament pterygo-maxillaire;
d. papille incisive;
e. aucune version correcte.
p. 481
L'équipement nécessaire pour la prise d’empreintes préliminaires
comprende:
a. port-empreintes individuelle;
b. port-empreintes;
c. cire;
d. chronomètre;
e. toutes les variantes sont correctes.
p.482
Tirant les lignes de démarcation de la port-empreinte individuelle:
a. est fait avec un crayon d'aniline;
b. est fait avec un marker;
c. est faite a 2-3mm du fond sac vestibulaire;
d. est fait de à 1 mm distale de la ligne vibratoire et d'insertion du
ligament et pterygo-mandibulaire;
e. toutes les variantes sont correctes.
p.488
a, b, c, d
b, c, d
b, d
SUBJET 66 - p.550-564
ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALES : DETERMINER LES
RELATIONES INTERMAXILLAIRES
1.
2.
⃰ La méthode homotropysme linguo-mandibulaire consiste en :
a) positionnement de la mandibule dans la relation de posture par
l'éveil des réflexes parodontale musculaires
b) positionnement de la mandibule dans la relation de posture en
déglutition;
c) positionnement de la mandibule dans la relation centrique , en
fermant la bouche avec le somet de la langue sur les perles Walchoff;
d) positionnement de la mandibule dans la relation centrique par la
compression du menton;
e) aucune version correcte.
p. 558
⃰ La ligne de sourire:
a) est évaluée basée sur le frein de la lèvre supérieure;
b) est évaluée basée sur le filtre de la lèvre inférieure;
c) est le niveau auquel est plassé le bord incisale des dents
artificielles inférieure;
d) est la limitée de visibilité maximale du groupe central supérieure;
e) toutes les variantes sont correctes.
p. 563
c
d
3.
4.
5.
6.
7.
8.
L'analyse du modèle apres le Système Biofonctionnel Prothètique, le
moyenne de la crête résiduelle maxillaire:
a. est est marqué dans les zones latérales de la crête édentée;
b. est antérieurement délimitées par les points de positionnement du
sommets canines;
c. permettant au technicien dentaire à installer corrctement les dents
artificielles latérals ;
d. postérieur, est continuent avec le marquage de moyens
tubérositaires;
e. aucune version correcte.
p. 565
⃰ La analiza modelelor asamblate:
a. se analizeaza doar fornixul vestibular maxilar;
b.arcul frontal vestibular este distantat pe directie sagitala de papila
incisiva cu aproximativ 7cm ;
c. arcul frontal vestibular este distantat pe directie transversala de
papila incisiva cu aproximativ 7mm ;
d. coarda liniei maxilo-mandibulare frontale poarta denumirea de
arcul frontal vestibular;
e. aucune version correcte.
p. 568
Pour le modèle maxillaire,la hauteur de l'assemblage de la base plus les
dents artificielles est en moyenne de:
a. 8 -10 mm;
b.1 - 3 mm;
c. 20 - 22 mm.
d.18 - 20 mm;
e. 2 - 3 mm.
p. 568
Le contrôle extraorale des maquettes d'occlusion:
a. est faite dans la présence du patient;
b. est faite dans l'absence du patient;
c. vérifier leur réalisation dans le laboratoire, comme les indiquations
dans la feuille de laboratoire;
d. est une méthode complexe qui utilise la méthode de saisie
graphique;
e. toutes les variantes sont correctes
p. 550
Quelques méthodes simples pour la détermination de R.C. inclure:
a. manoeuvre condylienne
b. la mémoire occlusale Lejoyeux;
c. la méthode Robinson;
d. la méthode Paterson;
e. toutes les variantes sont correctes
p. 558-559
⃰ Le tubercule piriform:
a. pas une zone biostatique;
b. est utilisé sur le modèle comme référence pour l'interférence des
plans;
c. est utilisé sur le modèle comme référence pour des lignes
dinamiques;
d. est utilisé sur le modèle comme référence pour l'interférence des
lignes statiques;
e. toutes les variantes sont correctes
p.564
a, b, c, d
d
c
b, c
a, c
d
SUBJET 67: p. 568 -582
ÉTAPES DE THÉRAPIE EN PROTHESES TOTALES: LA PREUVE DES
MAQUETTES
1.
2.
3.
4.
5.
6.
⃰ Le contrôle phonétique:
a. si phonème F ressemblent au V les dents supérieures sont trop
vestibularisée
b. si phonème V ressemblent au F les dents inférieures sont trop
allongers
c. si T est entendu comme D les dents inférieures sont oralisée
d. si D est entendu que T prothèse est trop épais dans la zone des
prières du palais.
e. toutes les variantes sont correctes
p. 579
Les orifices de déchargement:
a. sont des zones localisées par design sur le modèle
b. parmi eux sont les exostosses
c. leur épaisseur est transmis dans le laboratoire à travers la trappe sur
le modèled.gradul de foliere nu variază
e. technicien fixé par du modèle le dechargement
p. 581
⃰ Les dents artificielles latérale de la maquette en cire: .
a. peut être mis sur la tubérosité et tubercules si nécessaires;
b. doit être monté sur le millieu de la crête;
c. leur courbure vestibulaire doit être symétrique;
d. les dents supérieures doivent respecter la loy de Pound;
e. toutes les variantes sont correctes
p. 569
⃰ Le test de Buchmann/Ismail:
a. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales supérieure et atteindre certains déglutition;
b. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales inférieure et effectuer la manœuvre de Valsalva plusieurs
fois;
c. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales supérieure et effectuer la manœuvre de Valsalva plusieurs
fois;
d. consiste en dégoulinant de cire sur la face occlusale des dents
latérales inférieure et atteindre certains déglutition;
e. aucune version correcte.
p. 576
La gravure du modèle:
a. est réalisé par le technicien;
b. est faite par le médecin en présence du patient;
c. est faite par le médecin en absence du patient;
d. il est plus élevé pour les voiles horizontaux;
e. il est plus élevé pour les voiles verticales;
p. 581
⃰ Le test positif de la spatule signifient:
a. l’engrenage des dents frontales et latérales est correct
b. l’engrenage des dents latérales est faux
c. l’engrenage des dents latérales est tête a tête
d. l’engrenage des dents latérales est invers.
d
a, b, c
b
d
b, e
b
7.
8.
e. aucune version correcte
p. 577
L'examen du patient avec la bouche entrouverte avec les modèles de la
cavité buccale:
a. vise que la face occlusale des dents latérales supérieure etre pas
visible;
b. vise à encadré être les 6 frontales supérieures entre les lignes des
canines
c. vise à encadré être les 6 frontales supérieures entre les lignes
incisifs médio-sagittal
d. n'etre pas un espace entre les faces vestibulaires des prémolaires
et des joues
e. aucune version correcte.
p. 575
⃰ Si le mantient de la maquette supérieure en cire avec les dents est
pauvre :
a. est indique l'insertion des deux maquettes et de leur solidarisation
avec les boucles de fil métallique.
b. indiqué dans un premier temps, l'insertion de la maquette
mandibulaire;
c. reprendre les preuves à partir de l'empreinte fonctionnelle;
d. indiqué a refaire la maquette;
e. toutes les variantes sont correctes.
p. 571
a, b
b
SUBJET 68 - P. 583-593
LA VERIFICATION ET L'ADAPTATION DE LA PROTHESE TOTALE
1.
2.
3.
4.
Pour réduire les sentiments de nausées:
a. il est recommandé L'anesthésie tronculaire périphérique;
b. vous rincer la bouche avec de l'eau tiède
c. vous rincer la bouche avec de l'eau chaude;
d. recommandé tirant genou fléchi avec les deux mains vers la poitrine
e. est recommandé fde laisser fortement les épaules vers le bas
p. 588
Le traitement pour la xérostomie peut être effectué avec:
a. articaine
b.novocaine;
c. substances cholérétiques
d. pilocarpine
e. toutes les variantes sont correctes
p. 588
Les porteurs de prothèses dentaires:
a. devrait éviter les aliments mous
b. ils doivent faire le premier contrôle à 48 heures après l'insertion des
prothèses dentaires
c. peut avoir la bouche pleine et la salivation abondante
d. doit utiliser la pâte pour le lavage de la prothèse , le savon et l'eau ne
sont pas indiques
e. ne devraient pas porter des prothèses pendant la nuit, que seulement a
l'indications du médecin
p. 591-592
Le traitement pour la xérostomie peut être effectué avec:
a. lidocaïne;
b. cholérétiques de type sulfaren;
d, e
c, d
c, e
b, e
5.
6.
7.
8.
c.adrenaline;
d.articaine;
e. salive artificielle
p. 588
Les zones de suprapression :
a. identifié par examen clinique;
b. sont identifiés par un silicone de contrôle;
c. sont identifiés par une pâte indicatrice de pression;
d. apparaissent comme zones de muqueuse sur lesquelles la pâtes
indicateur estcomplètement enlevé
e. aucune version correcte
p.586
Le contrôle phonétique:
a. prononcé "Mississippi" pour vérifier le couloir neutre
b. sont faites les premiers preuves phonétiques;
c. prononcé "Mississippi" pour vérifier l’espace minimum vocal;
d. vérifiez la prononciation des siflantes F et V
e. aucune version correcte.
p. 589
Le contrôle phonétique avec deux prothèses dans la cavité buccale:
a. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound Z
si les dentes frontales supérieurs sont oralisees
b. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound Z
si les dentes frontales supérieurs sont oralisées
c. peut que la émission de la phonème S se produite comme le sound Z
si les dentes frontales supérieurs sont vestibularisées
d. est vérifie l’espace minimum vocal
e. toutes les variantes sont correctes
p. 590
La vérification de maintien de la prothèse totale maxillaire
a. peut être fait quand le patient garde sa bouche légèrement ouverte
b. peut être fait quand le patient garde sa bouche maximum ouverte
c. vise l'adhérence de la prothèse maxillaire
d. vise la stabilité de la prothèse maxillaire
e. toutes les variantes sont correctes
p. 588-589
b, c
b, c
a, d
a, c
SUBJET 69. – P. 593-601
LES STOMATOPATHIES PROTHETIQUE ET
1.
2.
Les réactions immédiates basale:
a. sont la conséquence d'erreurs dans les empreintes
b. sont la conséquence de la technologie inadéquates de laboratoire
c. sont le résultat de la réalisations inadéquate de la face interne de la
prothèse
d. sont le résultat de la structure irrégulière du champ prothétique
e. leur traitement est différente de celle des lésions marginaux
p. 596
⃰ Les réactions tardives marginales:
a. sont la conséquence d'erreurs dans les empreintes
b. sont le résultat de la réalisations inadéquate de la face interne de la
prothèse
c. peut être causée par l'encrassement des prothèses usés pendant une
longue période
d. ne nécessite pas de diagnostic différentiel avec les lésions buccales
c, d
c
3.
4.
5.
6.
7.
8.
malignes
e. se produire plus fréquemment dans les tubercules piriformes
p. 596
⃰ Hyperplasies marginales:
a. se manifeste à travers différentes formes pathologiques
b. le traitement consiste en l'excision de la tumeur et biposie
c. sont dues à l'action irritative tandis que les marges dela prothese
d. comme une forme peut être les epulides
e. toutes les variantes sont correctes
p. 597
L'hyperplasie épithéliale conjonctive:
a. peut apparaître comme franges
b. Ils sont de nature allergique
c. peut être causée par maladies générales
d. sont produites principalement au niveau lingual
e. chez le maxillaire apparaît au droit du vestibule
p. 598
La candidose chronique atrophique:
a. réagissant à la suite d'une irritation chronique
b. son apparence est pas lié à l'existence de facteurs locaux ou généraux
prédisposant
c. du point de vue clinique ne montre pas varié
d. est une maladie rare
e. montre les formes aiguës et chroniques avec des degrés divers de
gravité
p. 599
Stomatites:
a. leurs lésions pathologiques se manifestent en plusieurs stades
b. ne nécessite pas de diagnostic différentiel
c. ne sont pas des processus inflammatoires
d. leur première étape est érythémateuxe.
e. la deuxième étape est érythémateux
p.601
Les facteurs locaux sont impliqués dans l'apparition de stomatopathies
sont
a. hémopathies
b. Les maladies vasculaires
c. la vieillesse
d. autonettoyant
e. défauts d'exécution de la prothèse
p.593-594
⃰ Stomatites:
a. la première étape est caractérisée par la hyperémie;
b. la deuxième étape est ulcéreuse;
c. La troisième étape est exsudative;
d. Leur première étape est caractérisée par des phénomènes de
dégénérescence épithéliales
e. aucune réponse correcte
p.601
e
a,e
d,e
a,d
d,e
a
SUJET 70 - P.693-703
RÉOPTIMISATION DES PROTHÈSES AMOVIBLES
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Les temps opérateurs de rembourré direct sont:
a. enlèvement d'une couche de 0,5-1mm la face interne de la selle
b. embrochait avec monomère la surface de fraisage
c. modélisation de bord de la prothèse même que pour l’empreinte
fonctionnelle
d. modélisation de bord de la prothèse par le médecin
e. toutes les variantes sont correctes
p.694-695
Le garnissage définitive:
a. est seulement directe
b. est seulement indirecte
c. les matériaux utilisés sont de consistance élastique
d. les matériaux utilisés ont degré de porosité augmenté
e. aucune réponse correcte
p.696
⃰ Préparation des fragments de la prothèse pour la rétention d'acrylate:
a. il est une étape dans le garnissage directe
b. il est une étape dans le garnissage indirecte
c. il comprend l'étape consistant à créer un espace entre les fragments de
4.3 mm
d. il comprend l'étape consistant à réduire l'épaisseur de 5-7 mm
fragments parallèle à la fracture
e. toutes les variantes sont correctes.
p.699-700
Si complétant une ou plusieurs dents dans une prothèse partielle
acrylique:
a. dans la prothèsene sont pas faites des rétention pour les dents à
remplacer
b. pâte acrylique sera applicable à la partie des dents dans la position clé
c. le montage des dents sera faite sans la clé vestibulo-occlusale
d. le montage des dents sera faite avec la clé vestibulo-occlusale
e. aucune réponse correcte
p.702
Le garnissage indirecte:
a. est réalisée dans le laboratoire;
b. aucun risque d'irritation pour la muqueuse buccale;
c. est rapide;
d. Il a une faible consommation de matières;
e. aucune réponse correcte
p.695
En cas de réparation d'une fracture simple de la prothèse avec deux
fragments.
a. la réparation est faite avec acrylate fotopolymérisable
b. la réparation est faite avec acrylate autopolymérisable
c. si le fragment est petit ont faite une empreinte en alginate
d. si le fragment est petit ont faite une empreinte avec matériaux
élastiques
e. aucune réponse correcte
p.700
Les objectifs du garnissage sont:
a. une adhérence accrue;
b. freinage des déplacements horizontaux;
a, b, c
c,d
d
b,d
a, b
b, d.
a,b
8.
c. diminution de la sensibilité de la muqueusse couvrante
d. rééquilibrage occlusal
e. aucune réponse correcte
p.693-694
Lors du remplacement d'un fil crochets:
a. ont faite une empreinte en alginate
b. il crée un lieu dans la plaque prothétique où le conseil va entrer la
queue du crochet
c. le crochet est fait de fil de vipla élastique
d. généralement la queue vieux du crochet déterminées exactement où
est la demeure de la plaque prothétique
e. toutes les variantes sont correctes
p.701-702
b,c,d
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