femmessontleursmères." et (XXXIII, 27) ainsi que (XXXIII, 47) : "Oprophète!ilt'estpermisd'épouser
lesfemmesquetuaurasdotées,lescaptivesqueDieuafaittomberentretesmains,lesfillesdetesonclesetde
tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui livrera son cœur au
Prophète,sileProphèteveutl'épouser.".
Le machisme musulman ne se limite pas à établir une supériorité homme - femme mais
prévoit aussi la réprimande violente et l'exprime avec la plus grande clarté (IV, 38) : "Vous
[leshommes]réprimanderezcellesdontvousavezàcraindrel'inobéissance;vouslesrelèguerezdansdeslitsà
part, vous les battrez; mais aussitôt qu'elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et
grand.". Le Coran montre ici son vrai visage de religion rétrograde et agressive, qui ne
survit que par la terreur qu'il inspire aux unes et par l'attribution d'une supériorité factice à
des hommes dépourvus de raison. De même en (IV, 19) : "Si vos femmes commettent l'action
infâme(l'adultère),appelezquatretémoins.Sileurstémoignagesseréunissentcontreelles,enfermez&lesdansdes
maisonsjusqu'à ceque la mortles visite ouque Dieu leurprocureunmoyen desalut.". La mort pour les
femmes adultères, seul remède pour un islam brutal qui, par contre, n'envisage pas le cas
de l'homme adultère. Autre exemple d'infidélité conjugale à la charge des épouses en
(LXVI, 10), avec toujours la mort comme issue pour une religion de la domination
masculine. Appeler à la mort de l'autre, de celui qui est différent, n'est pas la marque
d'une réflexion particulièrement élaborée comme voudraient nous en persuader les
théologiens.
La psychose musulmane sur la nocivité de toute forme de coquetterie féminine trouve son
origine en (XXIV, 31) et a, depuis, donné lieu à une généralisation délirante. Le point
culminant en est le port du voile, prescrit dans le cas d'une conversation avec les femmes
de Mahomet (XXXIII, 51) : "Sivousavezquelquedemandeàfaireàsesfemmes,faites&laàtraversunvoile;
c'estainsiquevoscœursetlesleursseconserverontenpureté." De même en (XXXIII, 57) : "Oprophète!
prescris à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, d'abaisser un voile sur leur visage. Il sera la
marquedeleurvertuetunfreincontrelesproposdeshommes.". Remarquer que le port du voile par les
hommes aurait le même effet "protecteur", mais cette suggestion n'est probablement que
blasphème. La femme soumise et devant fuir les regards masculins n'a pas à espérer
d'émancipation au paradis (XXXVII, 52) : "Auprèsd'eux[les justesauparadis] seront desfemmesau
regard modeste, et leurs égales en âge.". Enfin, les femmes ne sont qu'une marchandise dont la
valeur dépend de leur soumission à l'islam (LX, 10).
Le Coran réduit donc la femme au rang de spectatrice et domestique de l'homme. Elle
peut être échangée ou rejetée comme pour tout produit de consommation courante; elle
est à la charge du mari au même titre que le bétail. Le maître peut disposer d'elle comme
il l'entend et user de la force à son encontre. L'adultère semble être une exclusivité
féminine, le mâle n'étant pas redevable envers son sujet. Parler ici de misogynie est trop
faible pour exprimer le mépris et la soumission dont les femmes sont l'objet. On ne peut
que constater que le monde musulman actuel est resté fidèle à ces préceptes
préhistoriques. L'Iran l'a rappelé en 1995 à la conférence de Pékin sur la condition
féminine (même attitude inacceptable de la part du Vatican).
Le port du voile, commandé par le Coran, est adopté à des degrés divers: foulard qui se
limite à la couverture de la chevelure, tissu qui ne laisse que les yeux comme unique
appel au secours, grilles infligées par les Talibans, ou encore couverture complète du
visage. Officiellement un rempart contre les regards masculins déplacés, ce voile protège
plus efficacement les sociétés musulmanes contre leur propre barbarie en soumettant au
silence la moitié de leur population.
Viande halal : la loi du silenc e
Rédacteur : Damien le 23 février 2012 à 18:19
Fil Info
Marne. Les rayons sont bien là, le circuit existe, mais le sujet déplaît Dans
la Marne comme ailleurs, une partie des animaux est pourtant abattue
selon les pratiques rituelles islamiques. (…) Dans la région, on ne se
bouscule pas au portillon pour évoquer le sujet jugé « trop sensible ».
Veut-on ainsi éviter la récupération politique ? Protéger la filière ? Un peu
les deux à la fois. Mais pour le consommateur, la question demeure :