Journal de la Fédération Suisse des Sociétés
Théâtrales d’Amateurs (F.S.S.T.A.)
Bimestriel, distribué à tous les membres des
compagnies affiliées, aux théâtres, centres de loisirs
et culturels
Edition: Marco Polli, secrétaire général
Rédaction & Administration: Jacques Maradan
Adresse postale:Case postale 36 - 1553 Châtonnaye
Tél: 026 658.18.33 - Fax 026 658.18.34
Natel: 076 318.08.33 - [email protected]
Rédacteur responsable: Jacques Maradan
Comité de rédaction: Comité central FSSTA
Graphisme (logos): Corinne Andrey
Composition & Mise en page:
Agence Le Moulin à Poivre, Châtonnaye
Impression: Imprimerie Moser S.A., Neuchâtel
Expédition: Dactyle-Service, Vevey
Publicité et annonces:
Agence Le Moulin à Poivre
CP 36 - 1553 Châtonnaye
Tél. 026 658.18.45 - Fax 026 658.18.34
(tarifs publicitaires sur simple demande téléphonique)
Délais publicitaires, rédactionnels
& dates de parution:
2/2004 Mai 23.04 26.04 12.05
3/2004 Juin 11.06 14.06 30.06
4/2004 Septembre 13.08 16.08 01.09
5/2004 Octobre 08.10 11.10 27.10
6/2004 Décembre 26.11 29.11 15.12
Comité central
Jean-Paul OBERSON
Président
Rue du Vieux Pont 68
1630 BULLE
tél. + fax: 026 912.31.22
e-mail:
Marco POLLI
Secrétaire général
Rue Chabrey 37
1202 GENEVE
tél. + fax: 022 734.07.94
Portable: 079 745.44.89
Aline WYSS
Vice-présidente,
Bibliothèque & archives
Rue de l’Abbé-Monnin 53
2854 BASSECOURT
Tél. + fax : 032 426.65.68
Janine CONSTANTIN TORREBLANCA
Déléguée Neuchâtel & Resp. Formation
Rue de l’Evole 17 - 2000 NEUCHATEL
tél.: 032 724.01.20 - 076 420.84.00
fax: 032 322.75.29 - e-mail: [email protected]
Josiane GILLIOZ
Déléguée Genève
Rue du Conseil-Général 6
1205 GENEVE
tél. : 079 240.50.77 - 022 328.44.30
Francine PIN-MULLER
Déléguée Vaud
Combe-Valière - 1268 BEGNINS
tél. : 022 366.14.90
079 750.54.69
Secrétariat permanent:
Jacques MARADAN
Case postale 36
1553 CHATONNAYE
026 658.18.33 - 076 318.08.33
fax : 026 658.18.34
ou
Jean-Paul OBERSON
Délégué Fribourg
(voir ci-dessus)
Aline WYSS
Déléguée Jura & Berne
(voir ci-dessus)
La Théâtrale de La Chaux-de-Fonds Sans Temps (cabaret)
Les Baladins de l’Abbaye (Bevaix) Virage dangereux (J.B. Priestley)
La Ramée - Atelier-théâtre Banc Public (Rudin)
La Marée (Marin-Epagnier)
La Colombière (Colombier) Le bourgeois gentilhomme
(Molière)
Théâtre de la Dernière Minute La veuve convoitée (V. Haïm)
(Epesses)
La Birolande (Bière) Tout bascule (O. Lejeune)
Théâtre de la Cité (Fribourg) De quoi s’agit-il? (Tardieu)
Ludimania (Domdidier) Délits mineurs (E. Delez)
Cie du Vide-Poche (Lausanne) Les amoureux (d’après Goldoni)
Jean-Marie LACHAT
Délégué Valais
Chemin de la Piscine 7
1870 MONTHEY
tél. : 024 468.22.02 - 079 284.61.20
Fax: 024 468.22.22
Marco POLLI
Délégué Genève
(voir ci-dessus)
ECJ 2/04: Parution Mercredi 12 mai 2004
Dernier délai pour vos annonces, articles, etc.: Lundi 26 avril 2004
Le Comité central a vu... en décembre 2003 & janvier 2004
Natacha ASTUTO LAUBSCHER
Déléguée Neuchâtel-Jura-Jura bernois
Malvilliers 24 - 2043 BOUDEVILLIERS
tél. : 032 857.21.11 - 079 214.33.09
Marco Alessandro STREBEL
Délégué Vaud
& Responsable Festivals
CP 1540 - 1820 MONTREUX
tél. : 079 637.94.13
prof.: 021 315.86.97
Patrick FRANCEY
Trésorier (& Délégué Vaud)
Rte de la Muraz
1844 VILLENEUVE
tél. : 021 960.17.14
fax : 021 967.35.30
Cercle Littéraire d’Yverdon Cinq pièces dans une chambre à
coucher (Labiche-Feydeau-Obaldia
Courteline-Roussin)
Tréteaux de Chalamala Le songe d’une nuit d’été
(Bulle) - Troupe des jeunes (Shakespeare)
Les Amis de la Scène (Boudry) Palace lasse pas (G. William)
Compagnons de la Tulipe La jarre (Pirandello) & Tailleur
Noire (Genève) pour dames (Feydeau)
La Comédillienne (Val-d’Illiez) A la monnaie du pape (L. Velle)
N’oubliez pas d’annoncer vos spectacles, si vous souhaitez recevoir la visite d’un
représentant du comité central. Pour ce faire, envoyez vos infos à
[email protected] ou par fax au 026 658.18.34.
1/04 Février
p. 4-5
Les Compagnons de la Tulipe
Noire ont fêté leur 50 ans
Photo 1e page:
Un mouton à l’entresol
d’Eugène Labiche par les
Perd-Vers
d’Attalens/FR (Mise en scène: Georges
Chevalley - 1997) (photo: Jean-Marie Almonte)
Aline Wyss, vice-présidente
& resp. de la bibliothèque FSSTA
p. 6-7
Tréteaux du Parvis et Perd-vers:
20 ans d’existence!
p. 15-16
Votre Agenda des spectacles
p. 14 Les P’tits Nouveaux
p. 8 Festivals:
du passé récent au futur proche
p. 9 enJEUpublic
p. 10 Du côté de la SSA
p. 11
Festival de Chisaz & Biennale 2004
p. 12-13
Le comédien et son jeu (4e partie)
Eh oui! Ce qui semblait réservé aux structures professionnelles est aujourd’hui à
la portée du théâtre amateur. Votre fédération a la possibilité de développer dans
les mois à venir, grâce au concours de l’entreprise
Malera.com
de St-Légier
(conceptrice de notre site web), un système de réservation de places de spectacle,
modulable et adaptable à chacun de vos besoins particuliers (comme par exem-
ple la jauge de votre salle), accessible depuis l’agenda des spectacles de
www.fssta.ch.
Grâce à un tel système, il vous serait par exemple possible d’ouvrir les réserva-
tions jusqu’à la dernière minute. A tout moment, vous pourriez connaître l’état des
locations de votre spectacle, depuis n’importe quel ordinateur connecté à internet,
et ce grâce à un simple code d’accès. Bref, un outil performant, pratique et surtout
bon marché. Génial, n’est-ce pas?
Mais avant d’aller plus loin dans ce projet, nous avons besoin de connaître votre
avis. Les présidents des troupes membres recevront prochainement un question-
naire à ce sujet. Nous les remercions d’ores et déjà du bon accueil qu’ils voudront
bien réserver à cette enquête. Chaque lecteur d’ECJ peut cependant nous faire
part de son opinion à ce sujet par courriel à l’adresse habituelle ( webmaster
@fssta.ch). Merci d’avance pour vos réponses.
La FSSTA à votre service, c’est peut-être (aussi) cela. A vous la parole.
Jacques Maradan
’Entre nous soit dit’
le billet de votre rédacteur
Et que diriez-vous d’une billetterie
électronique pour votre spectacle?
Vous avez sans doute remarqué dans quel sens les médias ont «évolué» ces
dernières années. Ils me donnent l’impression de chanter à l’unisson dans
l’empire de la superficialité, de l’éphémère et de l’illusoire. A l’heure du
cinquantième anniversaire de la TSR, on va bien sûr fouiller dans les archives
et ressortir les plus belles pièces de la collection et cela pour notre plus grand
plaisir. Un plaisir certes, mais aussi une certaine nostalgie, - à moins qu’il
s’agisse de sénilité précoce de ma part! - en réalisant que tant les documentai-
res que les divertissements avaient plus de corps, de consistance et d’audace,
ainsi qu’un goût de protestation et de remise en question. En cela, la télévision
jouait un rôle culturel important. Cet état d’esprit fondé sur l’analyse me semble
avoir glissé vers une forme de fatalisme que je trouve pour ma part inquiétante.
Qu’en est-il de l’expression artistique, plus précisément du cinéma et de la
musique? Ici encore, j’ai le sentiment que cette même règle du nivellement par le
bas fait trop souvent école dans ces domaines d’expression.
Peut être plus libre de l’obsession du marketing et de la rentabilité que les
autres médias au sens large du terme, le théâtre me semble être encore le moyen
le plus adéquat pour jouer une carte médiatique forte. Que l’on songe à des
auteurs tels que Daniel Besse et ses Directeurs avec son message dans le do-
maine économique, ou encore à Ben Elton et son PopCorn dans le domaine
social; tous deux ont, sous une apparente légèreté, le mérite de générer une
réflexion critique chez le spectateur.
Cela ne remet bien entendu pas en question le penchant du public des troupes
d’amateurs pour des spectacles où l’on rit. Et de leur côté, ces troupes rempli-
ront toujours leur mission en répondant à ce type d’attente. Toutefois, un
théâtre engagé n’est pas forcément une alternative à un théâtre comique tant il
est vrai que souvent l’humour a été un puissant vecteur de critique sociale ou
politique (voyez Molière par exemple).
Aussi, je vous en conjure, Chères Troupes, continuez de sélectionner des textes
où le rire ne dissimule pas la responsabilité que nous avons tous de ne pas
devenir des êtres passifs et fatalistes.. A.W.
1953, Service des Parcs et Promenades
de la Ville de Genève: dans le cadre de
leurs loisirs, les employés du service
créent une section «théâtre». De la cul-
ture des fleurs à la culture littéraire, il n’y
avait qu’un pas, et ils l’ont franchi! Cin-
quante ans plus tard, les «jardiniers-
comédiens» sont toujours là, fidèles au
poste et plus actifs que jamais. Votre ECJ
tenait à marquer l’événement; voici donc
un reflet de ce parcours original, reflet
tiré essentiellement de la plaquette
éditée à l’occasion de leur jubilé.
La
Tulipe Noire
était l’une des seules
troupes corporatives en Suisse ro-
mande, peut-être même du pays. Beau-
coup de spectateurs ignorent qu’à l’ori-
gine il s’agissait du groupe théâtral des
jardiniers de la Ville de Genève, et que
l’équipe n’était composée que de repré-
sentants de la gent masculine.
Les temps ont changé, l’époque n’est
plus tellement à l’envie de partager des
loisirs avec ses collègues de travail.
Depuis longtemps déjà, la troupe a été
renforcée par des membres venant
d’autres horizons, apportant connais-
sance et expérience dans tous les do-
maines inhérents au bon déroulement
d’un spectacle.
Pourquoi la
Tulipe Noire
?
Baptiser la troupe la
Tulipe Noire,
(les
compagnons
seront ajoutés ultérieure-
ment), dénotait une belle originalité. Une
trouvaille, quoi! Ils réussirent ainsi un
joli coup d’éclat, peut-être le premier
coup de théâtre de la compagnie! Pour-
tant le choix de ce nom en intrigue plus
d’un parfois encore. Certes, le lien en-
tre une plante largement cultivée par nos
jardiniers et l’art (une œuvre célèbre en
l’occurrence) se faisait naturellement.
Mais est-ce vraiment pour cette raison
que les pionniers optèrent pour cette
appellation?
L’idée avait mis un certain temps à ger-
mer. (N’oublions pas qu’il a fallu beau-
coup de patience avant d’obtenir la cou-
leur de cette fameuse tulipe). Ce n’est
donc qu’en 1959, six ans après la créa-
tion du petit collectif théâtral alors
nommé
Groupement des loisirs
, qu’un
concours fut lancé pour trouver un nom
moins conventionnel.
C’est grâce à l’imagination de Bernard
Roduit, comédien d’alors, que l’on doit
ce choix jamais contesté. Pourquoi
La
Tulipe Noire?
Certainement parce que
la culture de cette plante, bien connue
et présente dans les plates-bandes
genevoises, a toujours passionné nos
hommes de la terre. La corrélation avec
le roman de Dumas en fournissait peut-
être aussi le prétexte. Mais l’inventeur
de cette «raison sociale» était subtil;
un coloris si difficile à obtenir pour la
fleur, n’est-ce pas aussi l’enjeu et le pari
devant lesquels est confrontée toute
troupe de théâtre au moment de mon-
ter un spectacle?
Les
Compagnons
Ce vocable quelque peu désuet dans le
monde théâtral d’aujourd’hui ne perd
pourtant rien de sa valeur. Songeons au
compagnonnage, (c’était peut-être un
rêve idéalisé des fondateurs?). Mais le
mot en soi, par tout ce qu’il peut déga-
ger, a son sens. Certes, on parlera plu-
tôt maintenant de ses partenaires de
scène, de ceux des décors, de l’équipe
technique. Et tant pis si les dictionnai-
res nous disent: «personne qui partage
habituellement ou occasionnellement
les occupations d’autres personnes par
rapport à elles».
Nous restons des
compagnons,
depuis
fort longtemps des deux sexes; nous
sommes heureux d’appartenir à quel-
que chose de si précieux, telle cette
tulipe tant enviée au dix-septième siè-
cle déjà! Ainsi l’on transpose. Nous
cultivons l’amitié et le travail sur de longs
mois, et sommes fiers -entre autres- de
faire partie de cette troupe au nom à la
fois énigmatique et évocateur.
Philippe Léchaire
La troupe est actuellement en tournée
(jusqu’au 21 mars) avec
La Jarre
de Pi-
randello et
Tailleur pour dames
de Fey-
deau. Pour plus de détails, voir Agenda
des spectacles en Page 16.
Quelques étapes marquantes
1954 Soirées familiales à la Salle de Sécheron. L’année
précédente, des jardiniers du Service des Parcs et prome-
nades de la Ville de Genève ont créé une section «théâtre»
dans le cadre de l’organisation des loisirs.
1955 Arrivée de Claude Charles Babel, qui va prendre
en charge les destinées artistiques et assurer les mises
en scène jusqu’en 1976. Première pièce de théâtre:
Mimile
. A cette époque, il faut jouer dans des décors
hideux de salle communale. Alors les «jardiniers-comé-
diens» décident de les fabriquer eux-mêmes. Et voici que
naît aussi une équipe technique: elle fabrique même des
projecteurs !
1959 Date marquante: le groupement des loisirs prend
le nom de
La tulipe Noire.
C’est aussi cette saison que
Les
Compagnons de la Tulipe Noire
ont fêté cinquante ans d’existence
Le Théâtre côté Jardin...
l’on joue pour la première fois de grands auteurs: Georges Courteline
(Les Boulingrin)
et René Morax
(Les 4 doigts et le pouce)
. Et enfin on bannit le travestissement! Une
première femme entre dans le groupe. Dorénavant, la troupe est mixte.
1960 La troupe se produit en dehors de son cadre habituel, et joue pour la chorale
La
Voix des Chênes.
C’est un signe annonciateur: dorénavant, elle ne cessera de jouer pour
des sociétés, des soirées communales, et devient aussi itinérante.
1961 Un des grands succès de l’histoire de la troupe,
Rendez-vous sur le banc
de
Raymond Souplex. Le spectacle dure trois heures trente (serait-ce encore possible
aujourd’hui ?). Quatre changements de décors sont nécessaires.
1962 Jean Guérin, qui avait rejoint le groupe en 1956, est nommé président, succé-
dant à René Bovy. Nouvelle première: la troupe se produit pour la
Société genevoise
d’horticulture
. Un «mariage» qui dure toujours. La représentation a lieu à la salle du
Faubourg. Un lieu vétuste, inadapté au théâtre actuellement.
1966 La
Tulipe Noire
s’affilie à l’immense famille de la FSSTA. Elle participe aussi
au festival du Théâtre de l’Atelier à Genève, sous la houlette de François Rochaix.
1967 On ajoute
Les compagnons
au nom de la troupe.
1968 Participation au premier Festival de la Fédération suisse de théâtre amateur à
Bienne, à l’époque sous forme de concours. Elle se lance pour la première fois dans
le registre dramatique avec
L’ombre de la ravine
(J.M. Synge), et reçoit un challenge.
C’est également la première d’une démarche qui deviendra plus tard traditionnelle:
jouer dans des maisons de retraite. Souvent la pièce est présentée
dans des conditions extrêmement précaires. En revanche, depuis
quelques années, l’équipe des décors et celle de la technique sont
capables d’installer le spectacle dans n’importe quelle salle à
manger d’EMS, et la pièce se déroule (presque) dans les mêmes
conditions qu’au théâtre.
1972 La
Tulipe
a le privilège d’organiser, avec la participation des
troupes genevoises, le 2ème Festival de la FSSTA (concours entre troupes).
1978 Ironie du sort, c’est l’année du 25e anniversaire que dispa-
raît celui à qui la
Tulipe Noire
doit tant, Claude Charles Babel. Pour-
suivre en dépit de tout, selon la loi du spectacle, est le meilleur
hommage qu’elle puisse rendre à son dévouement.
1983 30e anniversaire. La troupe se produit au Palladium (elle y
jouera pendant dix ans). Au programme
La Soupière
(R. Lamoureux)
et une rétrospective de souvenirs.
1987-8 Le théâtre est le reflet et le miroir de la vie. La question
pour une troupe est de savoir si elle veut divertir ou questionner (on
dit maintenant interpeller) le public. C’est un choix de départ. A la
Tu-
lipe,
c’est plutôt la première option. Pourtant, lors de cette saison, elle
se lance dans l’autre démarche - qui n’empêche nullement le diver-
tissement - avec
Ne coupez pas mes arbres
(W. Douglas Home), où
l’écologie a son rôle. Et pour des jardiniers...
1992 La troupe déménage à nouveau. AmStramGram ayant
construit son propre théâtre, la salle communale des Eaux-Vives
redevient libre. Ce sera LA salle de la
Tulipe Noire.
1993-4 40e anniversaire : c’est une pièce d’une auteure contempo-
raine (Françoise Dorin) qui est choisie,
L’intoxe
, réalisée sur une scène
tournante construite par l’équipe de la troupe.
1994-5
Clérambard
(M. Aymé), dans un décor gigantesque.
1996-7 La
Tulipe
s’attaque à un grand auteur classique: Goldoni.
C’est
L’éventail
.
2001-2
L’Etiquette,
de Françoise Dorin, est un grand succès. Peut-
être parce que le théâtre a rempli ici sa véritable mission: il a
parlé au public, qui s’est senti concerné par cette pièce
brûlante d’actualité et si réaliste.
Extraits de la plaquette
Les Compagnons de la Tulipe Noire 1953-2003
éditée par la troupe à l’occasion de leur anniversaire et disponible
auprès de M. Jean Guérin, président - 11, rue de la Terrassière -
1207 Genève
Page 4, en haut:
La troupe au complet lors
du spectacle
Les Têtes à claque
de René Bruneau (1999).
En bas:
Jeff
de Raoul Praxy (1995).
Page 5, de haut en bas:
Mimile
de William Peloux (1955)
Chat en poche
de Feydeau (1968)
La chambre mandarine
de Robert Thomas (2002)
Black Comedy
de Peter Schaffer (1971)
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