donne les titres formels des documents, ainsi que des renvois aux copies originales
et aux transcriptions».
p xlvii (sept 2003) Rc Riv St-Jean 1695. Ajouter, sur la cinquième ligne, après «Trahan», «trad.».
p l (août 2007) Ajouter, après l'entrée à propos du «Rc Port-Dauphin 1716», une nouvelle entrée,
comme suit:
• Rc PT 1716. «Resensement [la plupart du titre est illisible]... acadiens»
Cette énumération porte la date de 1719 en annotation posée par la main d'une
personne autre que son rédacteur, de même que celle du Port-Dauphin. En plus, ce
document a été classé parmi ceux qui traitent de la Louisiane, évidemment parce
que les mots «port toulouse» ont été mal lus comme «fort toulouse». Le fort
Toulouse se trouvait près de Mobile, en ce qui est maintenant l'état d'Alabama. Ce
recensement devait être pris après l'automne de 1714, parce que quelques familles
acadiennes qui y figurent ont été recensées en Acadie lors de l'énumération prise en
octobre de cette année. Il aurait probablement été pris avant le 18 février 1716, date
à laquelle «Madame Pontif» a passé le contrat de son deuxième mariage, avec
Pierre Rousseau de Souvigny, devant le notaire Lambert Micoin. Vu que le
recensement de l'île Royale de 1715 mentionne certaines personnes (Pierre
LeLarge, la veuve Vrignaud, Nicolas Pugnant dit Destouches, madame de Falaise,
madame Pontif et Martin Descouts) qui figurent aussi sur cette liste, il est assez
évident que celle-ci n'a pas été dressée à la même date. Nous croyons donc que ce
recensement a été pris au début de l'année 1716, probablement pendant le mois de
janvier.
Original:ANF, Col, C13A 40, fol 157r & v.
Transcription: J. Voorhies, Some Eighteenth Century Louisianians, Lafayette
(Louisiane), University of Southwestern Louisiana, 1973, p 421-422. Notons que
madame Voorhies se trompe en notant que ce recensement ne porte aucune date.
Elle croyait qu'il s'agissait d'un document de 1758 parce qu'il a été classé parmi
d'autres de cette année.
p liv (sept 2003) Rc Acadie française 1752. Ajouter, sur la onzième ligne, après «Trahan», «trad.».
p lv (août 2007) En bas de la page, au lieu de «Liste des Acadiens qui restent en Pennsylvanie v
1756», lire «Liste des Acadiens qui restent en Pennsylvanie 1756». La liste
mentionne François Thibodeau. Une annonce dans la Pennsylvania Gazette du 25
mars 1756 indique que celui-ci avait une épouse et sept enfants qui ont été
déportés à une autre colonie. Ces détails à propos de sa famille nous permettent
d'identifier François comme le fils de Philippe Thibodeau et l'époux de Marie-
Anastasie Thériot. Sa famille a en effet été déportée en Virginie. Nous croyons que
François a réussi à rejoindre son épouse et ses enfants avant qu'ils aient été
transportés en Angleterre, ce qui s'est produit en mai 1756, parce que la déclaration