Remerciements
Je remercie dans un premier temps cette dite thèse pour m’avoir ouvert les yeux sur ce que je
ne veux plus jamais faire. Pendant ces trois années, j’ai mis à contribution un certain nombre de
personnes que je tiens à remercier pour leur aide, leur réconfort ou tout simplement leur façon
d’être.
Je pense tout d’abord au soutien important apporté par mes proches, en particulier, par ma
compagne Marina, ma soeur Fanny, mon frère Fabien et mes parents Marie-Anne et Dominique.
Une pensée également à la famille Briand avec qui je m’entends bien. Je remercie également mon
ami de toujours David, qui a compris avant moi les vraies valeurs de la vie.
Parmi les aspects les plus positifs, je retiendrai, ensuite, les nombreuses rencontres liées de prés
ou de loin à ce travail de thèse. Je voudrais citer Richard Bearée, chercheur à la cemodyne, qui fut
mon acolyte du premier jour. Je pense aussi à Eric Vandenbrande, ex-ingénieur de chez Tracte-
bel, qui est animé par la même passion de la vie. Je tiens également à témoigner ma plus sincère
sympathie à Bernard Détant, pilier du laboratoire des arts et métiers. Je n’oublie pas, Dominique
Loriol, ingénieur informaticien, avec qui, tout ce qui est compliqué n’est pas si simple, et tout
ce qui est simple est quand même compliqué. Je n’oublie pas non plus, l’ensemble de l’équipe
présente, tous niveaux confondus, au laboratoire de l’ENSAM, notamment Pierre Jean Barre et
Philippe Degobert, ainsi que Luc,Gérard,Rodolphe et Marc et les nombreux doctorants comme
Jia,Fabrice ou Ghislain et avec une pensée particulière pour Michel Vroman, jeune retraité fou-
gueux.
Un grand merci aussi à mon directeur de thèse Xavier Guillaud et à mon co-directeur Hervé
Roisse pour l’appui scientifique, administratif et moral et surtout pour m’avoir supporté pen-
dant ces trois longues années.
Enfin, je remercie très sincèrement les rapporteurs et membres du jury, en particulier Jean-
François Brudny,Brayima Dakyo et Mohamed Machmoun pour leurs remarques pertinentes et
constructives, ainsi que Jacques Deuse qui n’a jamais hésité à me faire partager son incommen-
surable savoir.
Je voudrais saluer aussi l’ensemble des membres du CNRT, surtout son responsable Jean-Paul
Hautier, pour qui j’ai la plus haute estime. Je remercie pour finir, mon ami chercheur Yann, en
lui souhaitant bonne chance.
Pour beaucoup, les pages qui vont suivre seront incompréhensibles mais ces pages n’auraient pas
pu exister sans tous ceux que je viens de citer.
A la beauté des rêves.
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