Mauvaise Nouvelle - Nous sommes en guerre II
ce que l'on peut dire et entendre aujourd'hui en société, rien à voir avec l'omniprésence du sujet lui-même. Je me
souviens des années blogs, qui formèrent le creuset de ce qu'on a appelé la réacosphère et qui furent à l'origine
des échanges les plus stimulants qui soient pour qui se sentait un peu isolé pour cause de pensées hétérodoxes.
Aujourd'hui, sur les réseaux sociaux, ce qui s'écrivait à l'époque sous couvert d'anonymat, se publie sans
faux-semblant ou presque.
Mais paradoxalement, la complaisance envers l'islam a toujours cours, et il semble qu'elle se développe et se
renforce de manière assez subtile et efficace, un peu comme se renforce le terrorisme à chaque attentat : par
exemple, quiconque ayant accès aux grands médias est, sciemment ou non, contraint d'effectuer une distinction
bien artificielle entre islam, objet intouchable puisque religion de « millions de musulmans pacifiques » dont nous
connaissons la « sensibilité », et islamisme, sorte d'anomalie cancéreuse à traiter afin, urgence ultime, de guérir
l'islam lui-même… Pour l'essentiel, cette distinction veut se justifier par la volonté de ne pas stigmatiser : qu'elle
procède d'une visée électoraliste, d'un scrupule humaniste, ou de toute autre projection, nous la voyons s'arrimer
solidement et devenir un préalable anodin mais inamovible à tout débat impliquant l'islam. Journalistes,
intellectuels et commentateurs de tous poils qui s'emparent courageusement de la question, rares sont ceux qui,
ayant un accès facile aux grands médias, se permettent de ne pas se prêter à ce désamorçage.
Concrètement, si en quinze ans, le sujet « islam » est passé de « confidentiel » à « grand public », ce n'est pas
uniquement grâce à une intelligence accrue sur le sujet, c'est surtout que les dégâts commencent à être
difficilement dissimulables. Islamisation des mœurs en certains territoires, combien de mosquées construites en
quinze ans, combien de musulmans en plus depuis quinze ans ? L'islamisation que certains souhaitent par la
guerre, d'autres l'espèrent et la construisent par la démographie et le patient travail de terrain (Frères Musulmans,
salafistes).
En raison de ce facteur démographique, le padamalgamisme, par l'action sournoise et consciente du CCIF mais
aussi de toutes les associations anti-racistes pourvoyeuses de mauvaise conscience sous couvert de générosité et
de lutte contre la Bête Immonde, semble avoir gagné une bataille, sinon la guerre.
World War III
La guerre. Nous avons déjà oublié que nous sommes en guerre ! Sur Facebook, ils ont disparu comme ils étaient
venus, les drapeaux tricolores. Moins vite que les Je-suis-Charlie, sans doute plus rapidement que le prochain
gadget de l'Union Nationale™ qui ne manquera pas de fleurir après la prochaine secousse. Cette guerre qui nous
arrive, que nous n'avons pas déclarée, voulons-nous la mener ? Sommes-nous capables, jour après jour, de ne
pas perdre de vue que l'islamisme, c'est l'islam, et ce depuis le VIIème siècle ? Voulons-nous comprendre ce que
cela signifie en regard de la population musulmane déjà installée en Europe et dont les rangs continuent de croître
de manière vertigineuse avec des flux migratoires massifs ?
Militairement, nous pouvons vaincre l’État Islamique. Médiatiquement, il est possible que l'on vienne à bout du
CCIF. Qu'importe : après Daech, un autre avatar nous frappera, après le CCIF, d'autres officines de propagande
nous harcèleront. Ces batailles, bien que nécessaires et courageuses, seront vaines tant que nous ne nommons
pas l'ennemi : l'islam et son corpus aliénant.
Relayons ceux qui disent la vérité, mettons les musulmans face à leurs responsabilités, ne soyons pas tels ces
parents qui n'osent admonester leur enfant de crainte de ne plus en être aimés et qui se retrouvent bien vite avec
un tyran à la maison : nous avons déjà trop tardé.
France, qu'as-tu fait de ta vocation ?
L'histoire d'Israël, pour peu que l'on veuille bien prendre la peine de chercher un peu les bons livres dans la
somme d'écrits et d'informations biaisés, doit nous être riche d'enseignements à maints égards. En ce qui nous
concerne ici, la naissance géopolitique d'Israël en terre conquise par l'islam et la vigueur de la jeune nation juive à
combattre les poussées mortifères d'une cause palestinienne dont l'existence haineuse s'enracine dans l'islam,
peut d'abord nous éclairer sur un avenir possible de la France en tant que tête de pont de la civilisation chrétienne :
puisque la raison d'être commune à tout le monde islamique, c'est la haine des Juifs et la destruction d'Israël, la
reconnaissance de la proximité spirituelle de l'Europe et d'Israël doit s'accompagner d'une reconnaissance de la
perniciosité de la présence islamique en Europe. La nocivité de l'islam pour le Juif est nocivité de l'islam pour le
Chrétien, et in fine, nocivité de l'islam pour tout ce qui est non-islamique.