Société Générale - Societe Generale

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Décembre 2010
Bonjour,
Parmi les différentes solutions pour gérer et financer vos créances
à l’export‚ découvrez le “forfaiting” : c’est la possibilité d’offrir
des délais de paiement à vos acheteurs étrangers.
De façon plus générale‚ n’hésitez pas à interroger votre Conseiller
en agence : il vous proposera les différents outils de financement
de votre poste clients à l’export.
Par ailleurs, les Incoterms nouveaux vont arriver le 1er janvier:
nous vous présentons les principales évolutions.
Bonne lecture‚
Jean-Paul Barbet
Directeur du Marché de la Clientèle Commerciale
Entreprises‚ Associations et Collectivités
Le « forfaiting » : un financement “sur mesure”
au service de votre réussite à l’export > lire l'article
Commerce international : les nouveaux Incoterms 2010
> lire l'article
L’Égypte : une puissance régionale qui a su faire face à la
crise dans de bonnes conditions > lire l'article
Palmarès MOCI des PME leaders à l’international,
le 6 décembre 2010 > lire l'article
Pour toute question‚ contactez un conseiller Société Générale .
Si vous êtes déjà client Société Générale‚ il ne vous sera jamais demandé, dans le cadre d’une communication par courrier
électronique, de renvoyer ou de saisir‚ directement ou sur un quelconque écran où vous pourriez être dirigé‚ votre identifiant‚
code confidentiel ou toute autre information personnelle. Toute requête en ce sens ne pourrait dès lors relever que d'une
tentative de fraude dont il importe de nous prévenir immédiatement.
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE - DCMA/MOP - TOUR GRANITE 75886 PARIS CEDEX 18.
S.A. AU CAPITAL DE 933 027 038,75 EUR. 552 120 222 RCS PARIS.
SIÈGE SOCIAL 29, BD HAUSSMANN 75009 PARIS.
Décembre 2010
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Le “forfaiting” : un financement “sur mesure” au service de votre réussite à l’export
Une bonne offre commerciale n’est pas suffisante pour gagner des contrats. Pour les entreprises exportatrices, il est devenu
nécessaire d’assortir leur proposition commerciale d’un financement attrayant pour l’acheteur, qui souhaite très souvent obtenir
directement du fournisseur un étalement du paiement.
Dans ces conditions, comment satisfaire la demande de crédit de vos clients sans pénaliser votre besoin de fonds de roulement et
en évitant les aléas des risques commerciaux et politiques afférents ?
À la Société Générale, notre solution s’appelle Performance CGA Forfaiting.
En effet, le forfaiting, ou escompte à forfait, vous permet de financer les décalages de trésorerie résultant des délais de paiement
accordés à vos clients étrangers, tout en ayant l’assurance d’être réglé au comptant dès la réalisation de votre contrat
commercial.
Performance CGA Forfaiting vous est proposé par CGA, filiale de la Société Générale certifiée ISO 9001, spécialiste de la gestion
et du financement du poste clients.
Les caractéristiques du forfaiting
Le forfaiting vous permet de céder sans recours les créances commerciales que vous détenez sur un client étranger ou français.
Vous êtes payé comptant du montant de ces créances et vous êtes dégagé de tous les risques liés à ces opérations.
Sont éligibles à l’offre forfaiting de CGA :
les créances commerciales individualisées et existantes,
portant sur des ventes, à l’export ou sur la France, de biens de consommation, biens d’équipement ou prestations de
services,
dont la durée s’échelonne de 30 jours à 5 ans,
dès lors qu’elles sont matérialisées par des effets de commerce acceptés/souscrits et avalisés ou garantis par une banque.
Vos avantages clés
Performance CGA Forfaiting, c’est :
Un atout pour vos négociations commerciales. Vous pouvez compléter votre offre commerciale par une proposition de délais
de paiement pouvant aller jusqu’à 5 ans et portant sur 100% de la transaction.
La possibilité d’incorporer le coût de votre opération de financement dans votre contrat commercial.
Une offre financière attractive à proposer à votre acheteur étranger et adaptée à vos besoins.
Un allègement de votre gestion administrative : vous choisissez les créances que vous souhaitez escompter et notre filiale
CGA prend en charge toute la gestion et le suivi administratif de ces créances (encaissement et recouvrement).
La possibilité de sortir les créances de votre bilan (sous réserve de validation par vos Commissaires aux Comptes).
Dès cession de votre créance à CGA, vous êtes dégagé du risque de défaut de votre client ou du garant, du risque pays,
ainsi que de tout risque de non-transfert des fonds.
Une procédure simple et rapide. Vous contactez votre Conseiller Société Générale en lui indiquant les caractéristiques
essentielles de votre projet de contrat export. Par l’intermédiaire de notre filiale CGA, il vous communiquera, sous 48 heures
ouvrées maximum, une offre indicative (montant, coût de l’opération, modalités d’intervention) qui sera actualisée et
deviendra définitive après négociation et accord de votre client. Une prise de contact en amont de la signature du contrat
commercial vous permettra éventuellement d’intégrer le coût du financement à votre proposition commerciale. Il est
néanmoins tout à fait possible d’interroger CGA à une étape ultérieure.
En outre, vous préservez votre capacité d’endettement en maintenant vos propres lignes de crédits bancaires disponibles pour
tout autre type d’opération.
N’hésitez pas à contactez votre Conseiller de Clientèle en agence. Il est à votre disposition pour vous aider et vous conseiller sur
les différents outils de financement du Poste clients export.
Pour en savoir plus, vous pouvez aussi vous connecter sur le site Internet : entreprises.societegenerale.fr
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Commerce international : les nouveaux Incoterms 2010
Le commerce international évolue, il se globalise, il connaît de nouvelles pratiques. Pour répondre à ses nouvelles exigences,
la Chambre de Commerce Internationale (ICC), qui gère les règles et usances du commerce international, a mis au point une
nouvelle version des Incoterms (International Commercial Terms), règles qui régissent les responsabilités et les coûts de transport
dans les contrats internationaux. L’Incoterm définit notamment le point de transfert des frais (répartition des frais de transport,
assurances et douanes, entre vendeur et acheteur) et le point de transfert des risques (à partir duquel l’acheteur est responsable
des risques encourus par la marchandise). Il est intégré dans le contrat de vente et est interprété comme une clause contractuelle
transposable dans le droit de chaque pays.
À partir de janvier 2011, les Incoterms 2010 doivent refléter l’évolution de la pratique du commerce international.
Les principales modifications apportées par la présente révision portent sur les points suivants :
Réduction de treize à onze du nombre d’Incoterms et répartition en deux familles (au lieu de quatre précédemment) :
les multi-modaux et les maritimes.
Mise à l’écart de l’Incoterm FOB (Free On Board ou franco bord), maintenu uniquement pour les marchandises en vrac.
Ainsi, le chargement des conteneurs ne sera plus régi par le « passage du bastingage du navire ».
Clarification de la répartition des frais de chargement et de déchargement, trop souvent payés deux fois, par le vendeur
et par l’acheteur.
Prise en compte des obligations de sureté et de sécurité : chacun sera responsable de la législation de son pays
en matière de données sécuritaires.
Simplification, en prenant en compte la pratique, des Incoterms portant sur le transport, jusqu’au lieu de destination final.
Plus généralement, cette refonte vise avant tout à clarifier et à simplifier l’emploi des Incoterms. Dans cet esprit, il est prévu
d’annexer à chaque incoterm de petites notes-conseils qui indiqueront pour chacun de façon très courte l’utilisation qui doit en être
faite. En effet, il ne faut pas perdre de vue que le choix d’un Incoterm doit prendre en compte les différents éléments du contrat
commercial, notamment le transport et le financement. C’est notamment le cas lorsque le contrat prévoit un règlement par crédit
documentaire, procédure qui contraint le vendeur à produire un ou plusieurs documents précis.
Enfin, cette réforme doit contribuer à améliorer la compréhension entre les acteurs du commerce international et les inciter à
: les communications sous forme électronique auront désormais le
convertir les documents papiers en documents électroniques
même effet que les communications papier, sous réserve de l’accord des parties.
mondiale :
La réussite de cette réforme dépendra largement de sa diffusion et de son application rapide à l’échelle
c’est tout l’enjeu de ces Incoterms 2010.
Pour en savoir plus, consultez le site de la Chambre de Commerce Internationale : www.iccwbo.org/incoterms
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Evénements
L’Égypte : une puissance régionale qui a su faire face à la crise dans de bonnes conditions
I – Contexte économique et Environnement
II – Relations extérieures et Perspectives
III – Société Générale en Égypte
I – Contexte économique et Environnement
Conjoncture économique
Premier pays arabe et second d’Afrique par la population avec ses 85 millions d’habitants, l’Égypte a su faire face
dans de bonnes conditions à la crise économique. En effet, après une légère décélération à 4,5 % l’an passé, la croissance
s’est reprise trimestre après trimestre, s’établissant à 5,2 % en moyenne sur l’exercice 2009-2010. L’impact de la crise sur
l’économie est resté assez mesuré, limité principalement aux revenus liés au canal de Suez et aux investissements directs.
Par ailleurs, l’Egypte a confirmé durant ces dernières années une position de tout premier plan sur la zone Afrique et Moyen
Orient.
Aujourd’hui, la position géostratégique de l’Égypte, passerelle privilégiée entre l’Europe et le Moyen-Orient, lui permet de profiter
à plein de la reprise économique (revenus du Canal de Suez, du tourisme, du pétrole…) et confrère au pays un rôle de pays
émergent moteur. Preuve de cette attractivité, l’Égypte est devenue en 2009 la deuxième destination des Investissements Directs
Etrangers (IDE) en Afrique avec 7 milliards de dollars. Son économie est dynamisée par le potentiel d’un marché intérieur de
grande taille et en croissance (+2 % par an).
Le programme de réformes économiques lancé par le Gouvernement et les nombreux projets d’infrastructure ont apporté
un soutien important aux investisseurs étrangers et ont favorisé une croissance du PIB permettant des redistributions significatives
à la population via un système de subventions sur les produits de base (pain, essence…). La part limitée de la dette externe
(20 %) dans l’endettement du pays (environ 74 % du PIB) permet au gouvernement de maintenir sans difficulté sa politique de soutien.
De son coté, le secteur bancaire égyptien est resté extrêmement robuste. Il a été protégé des effets de la crise financière
grâce à la politique conservatrice de la Banque Centrale Égyptienne. Le marché du crédit demeure très liquide en livre égyptienne
et la compétition entre établissements bancaires est forte.
Un endettement extérieur modéré et l’importance du marché intérieur (PIB de 225 milliards de dollars) font de l’Égypte,
avec le climat des affaires favorable qui y prévaut, un partenaire économique de premier plan.La France est le sixième fournisseur
du pays (5,8 % de parts de marché en 2009 contre 4,8 % en 2008) et est devenue en 2008 le premier investisseur étranger
en Égypte, à hauteur de 12 milliards d’euros. Une centaine d’entreprises françaises emploient sur place quelque 50 000
personnes et la France accorde à l’Égypte d’importants financements (plus de 3 milliards d’euros depuis 25 ans) pour soutenir
son développement économique et social.
Principaux secteurs d'activité
Les terres cultivables sont concentrées le long de la vallée du Nil et dans le Delta. L'agriculture (coton, blé, maïs, riz, canne à
sucre) est l’un des piliers de l’économie égyptienne, puisque le tiers de la population vit de cette activité. Elle ne représente
toutefois que 14 % du PIB.
Les principales ressources de l’économie égyptienne proviennent essentiellement du secteur tertiaire, qui représente environ
50 % du PIB. Il est largement dominé par les recettes du tourisme (environ 10 milliards de dollars par an), des télécommunications
et de la distribution.
L’industrie connaît également l’une des plus fortes croissances du pays (+6 % au 1 er semestre 2010). Une telle vitalité est due à
des coûts attractifs couplés à des facilités administratives et fiscales, à des capacités logistiques conséquentes ainsi qu’à la
création de zones économiques dédiées aux entreprises internationales.
Par ailleurs, le secteur de la construction au sens large (BTP) représente un volume d’affaires très significatif et accapare
aujourd’hui près de 10 % de la population active. Les besoins de routes, de transports urbains (métro, train), de gestion des
déchets ou des eaux sont évidents. Ils ouvrent ainsi des marchés très importants aux opérateurs étrangers.
L’Égypte est exportatrice nette d’énergie, avec des gisements importants de pétrole et des réserves volumineuses en gaz
depuis les découvertes en Méditerranée. Ces ressources, primordiales, représentent près de 20 % du PIB et permettent de
maintenir un taux de croissance parmi les plus élevés de la région. Malgré ces importantes ressources gazières et pétrolières,
l’Égypte n’a pas hésité à miser sur les énergies renouvelables. Elle produit d’ailleurs à elle seule près de 60 % de l’électricité
éolienne au Moyen-Orient.
Commerce extérieur
Le marché égyptien s’ouvre progressivement, en particulier depuis la signature en 2006 d'un accord de libre-échange avec
l’Association Européenne de Libre-échange. À noter également, un projet de traité de libre-échange avec les États-Unis.
Les trois principaux partenaires de l’Égypte, à la fois clients et fournisseurs, sont l’Union Européenne (plus du tiers des échanges),
les États-Unis et la Chine. L’Égypte exporte principalement du pétrole (carburant et dérivés), du coton, du fer, de l'acier… Elle
importe principalement des biens de consommation électronique et des biens d'équipement, des réacteurs et des chaudières
nucléaires. Elle importe également des céréales (blé), un certain nombre de produits alimentaires et des produits chimiques.
La balance commerciale est négative avec un déficit de 22,3 milliards de dollars en 2010. Des dispositions fiscales sont
néanmoins en cours pour encourager les exportations égyptiennes (29,1 milliards de dollars en 2010).
Taux de change au 07/11/2010 : 1 EGP = 0,1244 EUR ; 1 EUR = 8,04 EGP ; 1 USD = 5,73 EGP
II – Relations extérieures et perspectives
Promotion des investissements
Placée en tête de liste des «pays réformateurs facilitant la pratique des affaires» par la Banque Mondiale, l’Égypte a confirmé son
rôle de locomotive en captant entre 2006 et 2008 plus de 30 milliards de dollars d’investissements directs étrangers.
Depuis 2004, le pays a accéléré son ouverture à l’international sous l’impulsion du Premier Ministre Ahmed Nazif,
dont le gouvernement a mis en œuvre un ambitieux programme de réformes (création du GAFI - General Authority for Investment,
loi sur les PPP, etc.). Ses objectifs sont d'assurer une croissance régulière, de créer un climat favorable aux affaires mais aussi
de multiplier les flux d’investissements directs étrangers. Ceux-ci se concrétisent directement ou à travers des joint-ventures
dans le secteur pétrolier, l’industrie du ciment, de la pharmacie, la construction automobile ainsi que le tourisme (contrats de
gestion) et les télécommunications.
Ces investissements directs étrangers se sont inscrits en recul en 2009/2010 à 6,8 milliards de dollars, mais devraient repartir
nettement à la hausse en 2010/2011 (environ 10 milliards de dollars).
Politique extérieure
L’Égypte joue un rôle diplomatique central au sein des discussions actuelles au Moyen-Orient, bénéficiant de ses relations
nourries avec les puissances du Monde arabe et africain, ainsi qu’avec les États-Unis et les pays européens, France en tête.
La Méditerranée est ainsi devenue l’un des champs d’action prioritaire de la diplomatie égyptienne, par des initiatives propres
(Forum méditerranéen) ou dans le cadre d’initiatives Européennes. Elle joue activement son rôle de co-président de l’Union pour
la Méditerranée, depuis le Sommet de Paris (13 juillet 2008), et accueille à Alexandrie la fondation Euro-méditerranéenne Anna
Lindh, chargée de promouvoir le dialogue entre les cultures des peuples méditerranéens.
Soucieuse d’asseoir son rôle sur la scène internationale et comptant parmi les grands pays en développement, l’Égypte appartient
au G14 et est en passe de devenir le 6 e contributeur mondial aux opérations de maintien de la paix.
Perspectives
Avec un taux de croissance qui pourrait dépasser légèrement 6 % en 2010/2011, l’économie égyptienne devrait confirmer le
mouvement régulier et puissant de reprise amorcé l’année dernière.
Le niveau assez élevé de l’inflation (11 % environ) est l’un des rares indicateurs n’affichant pas d’amélioration significative,
pénalisé par la hausse des prix des produits alimentaires (viande, riz, fruits et légumes) qui composent près de la moitié de l’indice
des prix à la consommation. Le taux d’inflation sous-jacente, à 7,1 % en juillet, demeure cependant toujours dans la «zone de
confort» de la Banque Centrale d’Égypte. Une hausse des taux d’intérêt, stables depuis plus de 9 mois, est annoncée par certains
analystes pour fin 2010 si la poussée inflationniste se prolongeait. Les prévisions d’inflation pour 2010/2011 s’établissent à 9,5 %
(FMI,
moyenne annuelle).
Les comptes externes devraient consolider leur redressement : le déficit commercial devrait se maintenir (baisse des exportations
de gaz, accroissement des cours des produits agricoles importés), mais devrait être plus que compensé par la bonne tenue des
services (hausse des recettes du tourisme et du canal de Suez) et les transferts des expatriés, permettant à la balance des
paiements d’être excédentaire. Le montant des réserves en devises (35,2 milliards de dollars fin juillet) devrait demeurer
confortable.
Enfin, l’agenda des réformes demeure dense, tant en matière fiscale que sociale. Il sera soumis à un Parlement renouvelé, suite
aux
élections de l’Assemblée du peuple en novembre 2010.
III – Société Générale en Égypte
Établie au Caire depuis avril 1978 et affiliée au Groupe Société Générale, un des plus grands établissements financiers
de la zone euro, la National Société Générale Bank (NSGB) est la seconde banque privée en Égypte.
La NSGB met à disposition de ses clients Entreprises et Particuliers un réseau de plus de 140 agences.
Outre son maillage très dense au Caire et à Alexandrie, la banque s’est fortement développée dans la région du Delta, sur le
Canal de Suez, le long de la Mer Rouge, ainsi que dans les principales villes le long de la vallée du Nil (Sohag, Louxor,
Assouan…).
Ce réseau est densifié par une quinzaine d’ouvertures par an.
NSGB emploie plus de 3.800 personnes, au service de ses clients, pour offrir une large gamme de services :
destinés aux Entreprises : tenue de comptes, change, Trade, services de Banque de financement et
d’investissement (financement de projets, lignes de production, immobilier…), cash-management, etc. Le réseau d’agences
propose également des services dédiés aux PME ;
destinés aux Particuliers : la banque de détail sert près de 600 000 clients en fournissant un éventail large de produits
(dépôts, crédits, cartes, transferts…). NSGB dispose de plus de 280 distributeurs automatiques répartis dans toute l’Égypte.
Le Groupe Société Générale et la NSGB ont régulièrement élargi leur offre pour répondre aux besoins de leurs clients, avec l’aide
de filiales spécialisées :
SOGELEASE : filiale créée en 1997 et proposant des solutions de Leasing (mobilier / immobilier),
NSGB Life : compagnie d’assurance vie créée en 2003, proposant une large gamme de produits d’épargne et de
prévoyance,
ALD Automotive : filiale créée en 2005, spécialiste de la location longue durée et de la gestion de flottes automobiles.
Pour plus de renseignements, connectez-vous sur le site : www.nsgb.com.eg
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Evénements
Palmarès MOCI des PME leaders è l’international, le 6 décembre 2010
Pour la 2 e fois, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris (CCIP) et le MOCI (Moniteur du Commerce International)
organisent la remise des Prix du Palmarès des PME leaders è l’international 2010 :
11 prix seront attribués aux entreprises lauréates sélectionnées par un jury de professionnels du commerce extérieur français.
Cette cérémonie, placée sous le parrainage du secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, marquera le lancement de la Semaine internationale de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris.
La Société Générale est partenaire de la manifestation. Elle décernera le prix de la Meilleure Croissance Export.
Si vous souhaitez y participer : Inscrivez-vous directement par mail auprès de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris :
[email protected]
ou connectez-vous sur le site du MOCI :
www.lemoci.com
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