Hommage à Arthur C. Clarke

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CONFÉRENCE DU FORUM DES SAVOIRS
“Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.”
Voltaire
HOMMAGE À ARTHUR C. CLARKE
Entre Science et Fiction
CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN
2001, L’Odyssée de l’Espace, Stanley Kubrick.
Association ALDÉRAN Toulouse
pour la promotion de la Philosophie
MAISON DE LA PHILOSOPHIE
29 rue de la digue, 31300 Toulouse
Tél : 05.61.42.14.40
Email : [email protected]
Site : www.alderan-philo.org
conférence N°1000-236
HOMMAGE À ARTHUR C. CLARK
La science en fiction
conférence d’Éric Lowen donnée le 12/12/2008
à la Maison de la philosophie à Toulouse
Le 19 mars 2008 s’éteignait à Colombo, au Skri Lanka, le grand écrivain anglais Arthur C.
Clarke. Il est surtout connu pour ses oeuvres de science-fiction (le cycle 2001 l’odyssée de
l’espace, Rendez-vous avec Rama, etc.) et sa collaboration avec Stanley Kubrick. Arthur C.
Clarke a mené, à travers ses écrits littéraires et de nombreux articles scientifiques, une
réflexion sur les évolutions possibles de l’Humanité et de la conquête spatiale. À l’instar d’un
Isaac Asimov, la forme science-fictionnesque de ses ouvrages servait une pensée
philosophique profonde, humaniste et rationaliste. Cette conférence sera l’occasion de rendre
hommage à l’un des principaux maîtres de la hard science-fiction des années 50 à 70, de
découvrir une vie étonnante et une oeuvre fascinante. Une conférence pour ceux qui ont lu
ou qui voudront lire Arthur C. Clarke.
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HOMMAGE A ARTHUR C. CLARKE
Entre Science et Fiction
PLAN DE LA CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN
Deux possibilités existent : soit nous sommes seuls dans l'Univers,
soit nous ne le sommes pas. Les deux hypothèses sont tout aussi effrayantes.
Arthur Charles Clarke (1917 - 2008)
I
ARTHUR CHARLES CLARKE
1 - L’annonce de la mort de Sir Arthur le 19 mars 2008
2 - Un auteur de SF mondialement connu
3 - Mais que connaît-on de lui au-delà de sa notoriété cinématographique ?
II
ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES
1 - Arthur Charles Clarke (1917 - 2008)
2 - Formation scientifique et carrière scientifique
3 - Un travail de vulgarisation scientifique pour le grand public
4 - Son entrée en littérature de SF en 1937, sa professionnalisation en 1951
5 - Une solide réputation dans le milieu des écrivains de SF - sa relation avec Asimov
6 - Un passionné de science, d’espace et de plongée sous-marine
7 - Un écrivain retiré au Ski Lanka depuis 1965
8 - L’accès à la notoriété mondiale avec 2001 l’odyssée de l’espace
9 - Un film qui va profondément changer la SF et son statut culturel
10 - Qui reste à ce jour “Le” film de science-fiction par excellence
11 - Depuis, il s’est consacré à la SF et à la vulgarisation scientifique
III
SON OEUVRE LITTÉRAIRE
1 - Une importante oeuvre de romans de SF
2 - De nombreuses nouvelles
3 - Les quatre principaux cycles : la trilogie de l’espace, l’Odyssée, Rama, Base vénus
4 - Deux autobiographies, l’une sur son rapport à la SF et l’autre à la Science
5 - Des essais et de nombreux articles dans des revues scientifiques
IV
UNE OEUVRE DE HARD SCIENCE-FICTION
1 - Un vrai auteur de science-fiction, de hard SF
2 - La science en fiction, et non une fiction de science
3 - L’exemple de Hal 9000 et les spéculations sur l’intelligence artificielle à la fin des années 60
4 - L’exemple de l'ascenseur spatial dans The Fountains of Paradise, de 1978
5 - Le développement d’émissions de vulgarisation scientifique, dans l’esprit de Carl Sagan
V
UNE RÉFLEXION PHILOSOPHIQUE S’EXPRIMANT DANS LA SF
1 - Une œuvre de réflexion philosophique sur la science s’exprimant à travers la SF
2 - Une œuvre de promotion de la science, jusqu’aux derniers instants de sa vie
3 - Une œuvre de réflexion sur la science, les trois lois de Clarke
4 - Une invitation à l’aventure spatiale de l’homme
5 - Une réflexion de fond sur l’évolution de l’humanité
6 - Des réflexions sur notre place dans l’univers et sur la vie dans l’univers
7 - Un athée militant, de la seconde mort de dieu et rêvant de la quatrième mort de dieu
8 - Un rationaliste et un sceptique, un zététicien avant l’heure
9 - Son adieu avant de mourir, un plaidoyer pour un avenir spatial de l’Humanité
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VI
CONCLUSION
1 - Un auteur qui inspirera toute une génération d’ingénieurs et de lecteurs
2 - Un explorateur des chemins des devenirs possibles de l’Humanité
ORA ET LABORA
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Document 1 : Quelques photos d’Arthur C. Clarke dans les années 60.
Sur le tournage de 2001, l’odyssée de l’espace.
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Document 2 : Quelques textes d’Arthur C. Clarke sur la religion, glanés au fil de ses ouvrages.
- Mon champ de recherche, c'est la psychopathologie nommée religion.
- Psychopathologie ? C'est un jugement bien dur.
- Amplement justifié par l'histoire. Imaginez que vous êtes extraterrestre intelligent intéressé
uniquement par les vérités vérifiables. Vous découvrez une espèce divisée en milliers, non
en millions de groupes tribaux professant une incroyable variété de croyances à propos de
l'origine de l'univers et de la manière de s'y conduire. Même lorsqu'ils sont d'accord à
quatre-vingt-dix-neuf pour cent, il suffit justement de ce un pour cent qui reste pour qu'ils se
massacrent et se torturent les uns les autres à propos d'obscurs points de doctrine
totalement incompréhensibles au reste des mortels.
Comment expliquer une telle conduite irrationnelle ? Lucrèce a vu juste en déclarant que la
religion était le fruit de la peur, une réaction à un univers mystérieux et souvent hostile.
Pendant la plus grande partie de la préhistoire, c'était peut-être un mal nécessaire, mais
pourquoi fallait-il que ce soit plus mauvais que nécessaire. et pourquoi a-t-elle survécu
alors qu'elle n'était plus nécessaire ?
J'ai parlé de mal, et je crois que c'est le terme approprié parce que la peur mène a la
cruauté. La simple évocation de ce qu'a été l'Inquisition suffit à rendre honteux le fait
d'appartenir à l'espèce humaine... L'un des livres les plus révoltants jamais publié a pour
titre Le Marteau des sorcières. Écrit par un couple de sadiques, il décrit les tortures
autorisées et encouragées par l'Église pour obtenir les aveux de milliers de vieilles
femmes inoffensives, avant de les brûler vives... Le pape lui-même a écrit une préface à cet
ouvrage !
La plupart des autres religions, à quelques honorables exceptions près, étaient aussi
mauvaises que le christianisme... Même au cours de votre siècle, des petits garçons étaient
encore enchaînés et fouettés jusqu’à ce qu’ils aient appris par coeur les volumes entiers de
sottises pieuses. Et on leur volait leur enfance et leur virilité pour en faire des moines...
L’aspect peut-être le plus sidérant de cette affaire, c'est le fait que, pendant des siècles, des
gens qui visiblement étaient fous à lier proclamaient avoir reçu, et eux seuls, des
messages de Dieu.
Si tous ces messages avaient proclamé la même chose, l'affaire aurait été entendue,
évidemment ils étaient parfaitement contradictoires ! Cela n'empêchait pas ces messies
autoproclamés de rassembler des centaines, voire des millions de gens qui combattaient
jusqu'à la mort des adeptes d’une autre foi ne différant de la première que par quelque
détail infime.
Arthur Charles Clarke (1917 - 2008)
paroles du professeur Khan, in 3001 : l’odyssée finale
- Vous me rappelez ce qui est arrivé dans ma ville quand j'étais enfant. Un saint homme,
entre guillemets, a ouvert boutique en proclamant qu'il pouvait accomplir des miracles, et
en un rien de temps il a rassemblé une foule de dévots. Et ce n'étaient ni des ignorants ni
des analphabètes. Ils venaient souvent des meilleures familles. Chaque dimanche je voyais
des voitures luxueuses garées devant son temple.
- On a appelé ça le “syndrome Raspoutine“. Il y a eu des millions de cas semblables dans
l'histoire de tous les pays du monde. Et une fois sur mille, le culte a survécu pendant
quelques générations. Que s'est-il passé dans votre cas ?
- Eh bien, la concurrence ne voyait pas ça d'un très bon oeil et ils ont tout fait pour le
discréditer. Je n'arrive pas à me rappeler son nom, il utilisait un nom indien... Swami
quelque chose. En fait, on a appris par la suite qu'il était originaire de l'Alabama. Un de ses
trucs, c'était de faire apparaître des objets, comme ça, entre ses doigts et de les distribuer
ensuite à ses dévots. Mais le rabbin de notre ville était un amateur de prestidigitation, et il a
montré plusieurs fois en public comment l'autre procédait. Ça n'a rien changé ; les fidèles
ont rétorqué que la magie de leur bonhomme était véritable, elle, et que le rabbin n'était
qu'un jaloux.
À un moment, je dois bien reconnaître que ma mère a pris cette crapule au sérieux - c'était
un peu après le départ de mon père, ce qui n'est sans doute pas sans rapport - et elle m'a
amené à une de ses prestations. Je n'avais pas plus de dix ans à l'époque, mais je crois
que je n'avais jamais vu personne de plus déplaisant. Il portait une barbe qui aurait pu
abriter une dizaine de nids d'oiseaux, ce qui devait probablement être le cas.
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- Ça m'a l'air d'être un cas type. Combien de temps a-t-il tenu ?
- Trois ou quatre ans. Et puis il a dû quitter la ville en catastrophe : on l'a surpris en train
d'organiser des partouzes avec des adolescents bien sûr, il a prétendu qu'il utilisait des
techniques mystiques de sauvetage des âmes. Et vous n'allez pas me croire, mais...
- Essayez toujours.
- Eh bien, même après ça, des tas de gogos continuaient à avoir foi en lui. Leur Dieu ne
pouvait pas faire Ie mal, il avait donc été victime d'un coup monté.
Arthur Charles Clarke (1917 - 2008)
3001 : l’odyssée finale
Document 3 : Sait-on que l’inspiration de la célèbre série Stargate SG1 se trouve en partie dans l’oeuvre de
A.C. Clarke ?
Appelons-les les Premiers-nés. Ils n'étaient en rien humains, mais faits pourtant de chair
et de sang, et lorsqu'ils contemplaient les immensités de l'espace, ils éprouvaient
émerveillement, crainte, et... solitude. Dès qu'ils en eurent le pouvoir, ils s'élancèrent vers
les étoiles.
Dans leur quête, ils rencontrèrent la vie sous bien des formes, et ils observèrent son
évolution sur un millier de mondes. Ils constatèrent que, souvent, les premières lueurs de
l'intelligence jetaient de brefs éclats avant de mourir et de retourner à la nuit du cosmos.
Et comme dans toute la Galaxie ils n'avaient rien découvert de plus précieux que l'esprit,
ils favorisèrent en tous lieux son apparition. Ils devinrent les fermiers des prairies
étoilées. Ils semèrent et parfois ils récoltèrent.
Et de temps en temps, sans passion, ils devaient arracher les mauvaises herbes.
Les grands dinosaures avaient depuis longtemps disparu, anéantis par un cataclysme
venu de l'espace, lorsque le vaisseau de surveillance pénétra dans le système solaire
après un voyage de près d'un millier d'années. Il survola les planètes extérieures
glacées, s'attarda quelque peu au-dessus des déserts de Mars à l'agonie, puis se dirigea
vers la Terre.
Les explorateurs découvrirent un monde grouillant de vie. Pendant des années, ils
étudièrent, rassemblèrent, cataloguèrent. Lorsqu'ils eurent appris tout ce qu'ils pouvaient
apprendre, ils entreprirent de modifier. Ils guidèrent le destin de nombreuses espèces,
tant sur terre que dans les mers. Mais il leur faudrait attendre au moins un million
d'années pour savoir si l'une de leurs multiples expériences avait abouti.
Ils étaient patients, mais point encore immortels. Il y avait tant à faire dans cet univers
aux centaines de milliards de soleils, et d'autres mondes les appelaient. Alors, une fois de
plus ils s'enfoncèrent dans les abysses, avec la certitude que jamais plus ils ne
reviendraient dans cette région de la Galaxie. D'ailleurs, il n'y en avait nul besoin : les
serviteurs qu'ils laissaient derrière eux achèveraient l'oeuvre entreprise.
Sur Terre, les glaciers avancèrent, reculèrent, tandis que passait et repassait dans le ciel
la Lune gardienne de secrets. Et plus lentement que les glaces des pôles, des
civilisations naissaient et se répandaient entre les étoiles. D'étranges, de magnifiques, de
terribles empires s’érigeaient puis s'effondraient et leurs descendants se transmettaient la
connaissance.
À présent, dans les étoiles, l'évolution poursuivait de nouveaux buts. Depuis longtemps,
les premiers explorateurs de la Terre avaient atteint les limites de la chair ; dès que leurs
machines furent supérieure à leurs corps, ils émigrèrent. Ils transférèrent d'abord leur
cerveau, puis leurs pensées seules, dans de nouveaux abris de métal et de gemme dans
lesquels ils parcoururent la Galaxie. Ils ne construisirent plus de vaisseaux spatiaux. Ils
étaient eux-mêmes des vaisseaux spatiaux.
Pourtant, l'âge des Entités-machines fut bref. Au cours de leurs incessantes expériences,
ils avaient appris à emmagasiner le savoir dans la structure de l'espace et à préserver
leurs pensées pour l'éternité dans des treillages gelés de lumière.
Et donc ils se transformèrent en pure énergie, tandis que sur des milliers de mondes, les
coquilles vides qu'ils avaient abandonnées exécutaient une brève danse d'agonie avant
de tomber en poussière.
Arthur Charles Clarke (1917 - 2008)
3001 : l’odyssée finale
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Document 4 : Bibliographie générale de l’œuvre littéraire d’Arthur C. Clarke.
ROMANS
- Les enfants d'Icare (Childhood's end, 1950), collection "Le rayon fantastique", 1956,
réédition "Club du livre d'anticipation", 1969, réédition J'AI LU, 1977
- Prélude à l'espace (Prelude to space, 1951), éditions Fleuve noir, collection
"anticipation", 1959, réédition collection "Les lendemains retrouvés", 1977
- Les sables de mars (Sands of mars, 1951), éditions Fleuve noir, 1955, réédition
Marabout, 1977, réédition collection "Futurama superlights", 1986
- Les îles de l'espace (Islands of the sky, 1952), éditions Fleuve noir, collection
"anticipation", 1954, réédition collection "les lendemains retrouvés", 1977
- Lumière cendrée (Earthlight, 1955), éditions Le Masque, 1975, réédition "Futurama
superlights", 1985
- La cité et les astres (The city and the stars, 1956), collection "Le rayon fantastique",
1962, réédition "Club du livre d'anticipation", 1969, réédition collection "Présence du
futur", 1972
- Les prairies bleues (The deep range, 1957), éditions Albin Michel, 1972, réédition
collection "Futurama superlights", 1985
- SOS lune (A fall of moondust, 1961), éditions Fleuve noir, collection "anticipation",
première partie du roman
- Naufragés de la lune (A fall of moondust, 1961), éditions Fleuve noir, collection
"anticipation", deuxième partie du roman
- L'île des dauphins (People of the sea, 1963), éditions Robert Laffont, 1966
- Terre : planète impériale (Imperial earth, 1975), éditions Albin Michel, 1977, réédition
J'AI LU, 1978
- Les fontaines du paradis (The fountains of paradise, 1979), éditions Albin Michel,
1980, réédition J'AI LU, 1982, Prix Hugo et Prix Nebula du meilleur roman (1980)
- Les chants de la Terre lointaine (The songs of distant earth, 1986), éditions Albin
Michel, 1986, réédition J'AI LU, 1987, qui a inspiré l’album The Songs of Distant Earth
de Mike Oldfield
- La Terre est un berceau (Cradle, 1988), collection "Ailleurs et demain", 1988, réédition
J'AI LU, coécrit avec Gentry Lee
- Le fantôme venu des profondeurs (The ghost from the grand banks, 1990), éditions
J'AI LU
- Le marteau de Dieu (The hammer of god, 1993), éditions J'AI LU, 1995
- 10 sur l'échelle de Richter (Richter 10, 1996), éditions J'AI LU 5598, en collaboration
avec Mike McQuay
- Lumière des jours enfuis (The light of other days, 2000), éditions du Rocher, en
collaboration avec Stephen Baxter
RECUEILS DE NOUVELLES
- L'étoile (Version modifiée de : on the other side of the sky, 1958), éditions J'AI LU
- Le réfugié (Refugee, 1955)
- De l'autre coté du ciel (The other side of the sky, 1957)
- Par mesure de sécurité (Security check, 1957)
- Objectif lune (Venture to the moon, 1956)
- Campagne publicitaire (Publicity campain, 1953)
- Toute la vie devant soi (All the time in the world, 1952)
- Casanova cosmique (Cosmic casanova, 1958)
- Les sons de la terre lointaine (The songs of distant earth, 1958)
- L'orchidée récalcitrante (The reluctant orchid, 1956)
- A l'aube de l'histoire (Encounter in the dawn, 1953)
- Si jamais je t'oublie o Terre (If I forget thee, oh earth, 1951)
- Brevet en souffrance (The invention, 1954)
- Le visiteur (Transcience, 1949)
- L'étoile (The star, 1955)
- Demain, moisson d'étoiles (Reach for tomorrow, 1956), collection "Présence du
Futur", 1960
- Expédition de secours (Rescue party, 1946)
- Une marche dans la nuit (A walk in the dark, 1950)
- L'ennemi oublié (The forgotten enneny, 1948)
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- Erreur technique (Technical error, 1946)
- Le parasite (The parasite, 1953)
- Les feux intérieurs (The fires within, 1947)
- Le réveil (The awakening, 1952)
- L'indigène est rétif (The men in the flying saucer, 1951)
- La malédiction (Nightfall, 1947)
- Le vecteur temporel (Time's arrow, 1950)
- Jupiter cinq (Jupiter five, 1953)
- Les possédés (The possessed, 1953)
- Avant l'eden (The nine billion names of god, 1967), éditions J'AI LU
- Les neufs milliards de noms de Dieu (The nine billion names of God, 1953)
- Je me souviens de babylone (I remember Babylon, 1960)
- Question de temps (Crime on Mars, 1960)
- Expédition de secours (Rescue party, 1946)
- La malédiction (Nightfall, 1947)
- Un été sur Icare (The hottest piece of real estate in the solar system, 1960)
- Le chien de lune (Moondog, 1962)
- Il court, il court...(Hide and seek, 1949)
- Hors du soleil (Out from the sun, 1958)
- Le mur de ténèbres (The wall of darkness, 1949)
- Pas de lendemain (No morning after, 1954)
- L'éternel retour (The Eternal Return, 1953)
- La mort et le sénateur (Death and the senator, 1961)
- Esprit, es-tu là ? (The haunted spacesuit, 1958)
- Avant l'eden (Before eden, 1961)
- Supériorité (Superiority, 1951)
- Une marche dans la nuit (A walk in the dark, 1950)
- L'appel des étoiles (The call of the stars, 1957)
- La sentinelle (Sentinel of eternity, 1951)
- Le vent venu du soleil (The wind from the sun, 1972), éditions Presses Pocket
- La nourriture des dieux (The food of the gods, 1964)
- Maelstrom 2 (Maelstrom 2, 1965)
- Clartés dans l'abîme (The shining ones, 1964)
- Le vent qui vient du soleil (Sunjammer, 1964)
- Mystère sur la lune (The secret of the men on the moon, 1963)
- Dernières instructions (The last command, 1965)
- Qui est à l'appareil ? (Dial F for Frankenstein, 1965)
- Retrouvailles (Reunion, 1971)
- Retour sur soi (Playback, 1966)
- Lumière au coeur des ténèbres (The light of darkness, 1972)
- La plus longue histoire de science-fiction jamais contée (The longest science-fiction
story ever told, 1965)
- L'honorable Herbert George Morley Robert Wells
- Amour universel (Love that universe, 1961)
- Croisade (Crusade, 1968)
- Le ciel impitoyable (The cruel sky, 1967)
- Marée neutronique (Neutron tide, 1970)
- Passage de la Terre (Transit of earth, 1971)
- Face à face avec Méduse (A meeting with Medusa, 1971)
- Et la lumière tue (le livre d'or), éditions Presses Pocket
- La lignée de David (Inheritance, 1947)
- Point de rupture (Thirty seconds-Thirty days, 1949)
- L'épaisseur des montagnes (Nemesis, 1954)
- Une aube nouvelle (Second dawn, 1951)
- L'arme du silence (Silence please, 1957)
- Course aux armements (Armaments race, 1954)
- Ils hériteront de la Terre (The next tenants, 1957)
- Le laboureur de la mer (The man who ploughed the sea, 1957)
- Pour perdre sa gravité (What goes up..., 1956)
- Et la lumière tue (dazzled to death, 1957)
- Des pieds et des mains (An ape about the house, 1962)
- Flèche aux étoiles (At the end of the orbit, 1961)
- Le sphynx au bord de la mer (Seeker of the sphynx, 1951)
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NOUVELLES ISOLÉES
- Leçon d'histoire (History lesson, 1949), in Fiction 210, 1971, reprise dans ScienceFiction magazine 2, 1976, reprise dans "Les meilleurs récits de Startling stories",
anthologie réunie par Jacques Sadoul, éditions J'AI LU, 1977
- Exil dans le temps (Exile of the eons, 1950), in Au-delà du ciel 8, 1958, reprise sous le
titre "L'exilé temporel" in Fiction spécial 13, 1968
- Une marche dans la nuit (A walk in the dark, 1950), in "Les chefs d'oeuvre de la
science-fiction", anthologie composée par Jacques Sternberg, 1970
- La sentinelle (Sentinel of eternity, 1951), in Planète 32, 1967, reprise dans "Anthologie
de la littérature de science-fiction", anthologie composée par Jacques Sadoul, éditions
Ramsay, 1981, reprise in "Histoires d'envahisseurs", éditions Livre de poche, 1983,
reprise in "Histoires de science-fiction", éditions Livre de poche, 1984
- Seconde aurore (Second dawn, 1951), in Satellite 38, 1961
- Supériorité...écrasante (Superiority, 1951), in Fiction 3, 1954
- Le réveil (The awakening, 1952), in Bientôt 4, 1981
- L'homme et les dieux (Encounters in the dawn, 1953), in "Histoires d'envahisseurs",
édition Livre de poche, 1983
- Les neuf milliards de noms de Dieu (The nine billion names of god, 1953), in Fiction
spécial 17, 1970, reprise in "Autres dieux, autres mondes", anthologie composée par
Mayo Mohs, collection "Présence du futur", 1974, reprise dans "Histoires de
catastrophes", éditions Livre de poche, 1955
- Berger des profondeurs (The deep range, 1954), in Fiction spécial 3, 1961
- Le contact (No morning after, 1954), in Fiction 43, 1957, reprise sous le titre "Pas de
lendemain pour la Terre", in "Les chefs d'œuvre du sourire", éditions Planète, 1964
- L'étoile (The star, 1955), in Nocturne 9, 1963, reprise sous le titre "Un jésuite dans
l'étoile", in Planète 13, 1963, reprise in "La science-fiction pour ceux qui détestent la
science-fiction", anthologie composée par Terry Carr, collection "Présence du futur",
1968, reprise in Univers 02, éditions J'AI LU 1975, reprise in "Histoires divines", éditions
Livre de poche, 1983, reprise in "Ciel et espace 264", 1991
- À nous la lune ! (Venture to the moon, 1956), in Fiction 49, 1957, série de textes
composée de "À vos marques" (Double-crossed in outer space), "Robin des bois,
version modernisée" (Saved!...by a bow and arrow), "L'énigme verte" (Death strikes
Surov), "Tout ce qui brille" (Diamonds ! ...and the divorce), "Tous les regards braqués
sur le ciel" (Who wrote that message to the stars ? In letters a thousand miles long),
"Question de résidence" (Alone on the moon)
- Le pacifiste (The pacifist, 1956), in Planète 3, 1962
- Les idées dangereuses (Security check, 1957), in Fiction 52, 1958
- Casanova cosmique (Cosmic casanova, 1958), in Fiction 139, 1965
- Coup de soleil (The stroke of the sun, 1958), in Galaxie 63, 1959
- Le vol de la déesse sirène (Crime on mars, 1960), in Fiction 102, 1962
- Dans la comète (Inside the comet, 1960), in Fiction 105, 1962, reprise in "Histoires de
machines", éditions Livre de poche, 1974, reprise in "Dans la comète", anthologie
réunie par Christian Grenier, éditions Folio Junior, 1982
- Quand Saturne se lève (Saturn rising, 1961), in Fiction 108, 1962
- Avant l'eden (Before Eden, 1961), in Fiction spécial 11, 1967
- L'épave du ciel (At the end of the orbit, 1961), in Galaxie 70, 1970
- Le chien de lune (Moondog, 1962), in galaxie 27, 1966
- Croisade (Crusade, 1968), in Fiction spécial 15, 1969
- Marée neutronique (Neutron tide, 1970), in Galaxie 82, 1971
- Rendez-vous avec Meduse (A meeting with Medusa, 1971), in Orbites 1, 1982, reprise
in "Histoires de mondes etranges", éditions Livre de poche, 1984
- L'invasion des profanateurs de... (When the twerms came, 1972), in "L'année
1980-1981 de la Sf et du fantastique", 1981
- Quarantaine (Quarantine, 1977), in Futurs 1, 1978
AUTOBIOGRAPHIES
- Ascent to Orbit, autobiographie scientifique
- Astounding Days, autobiographie de science-fiction.
ESSAIS ET RECUEILS D’ARTICLES
- Greetings, Carbon-Based Bipeds ! (2000).
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Document 5 : Les quatre principaux cycles d’Arthur C. Clarke.
A - La trilogie de l’espace
- Sands of Mars, 1951 (Les sables de Mars, Marabout Science-Fiction N°630, 1977)
- Islands in the Sky, 1952 (Les îles de l’espace)
- Earthlight, 1955 (Lumière cendrée)
B - L’odyssée de l’espace
- 2001, l'odyssée de l'espace (2001, a space odyssey, 1968), éditions J'AI LU
- 2010, odyssée deux (2010, odyssey two, 1982), éditions J'AI LU. Egalement connu
sous le nom de 2010 : l’année du premier contact (1984) en raison du film qui en a été
tiré
- 2061, odyssée trois (2061, odyssey three, 1988), éditions J'AI LU, 1991
- 3001, l'odyssée finale (3001, the final odyssey, 1997), éditions albin michel, réédition
J'AI LU
C - Rama (co-écrit avec Gentry Lee)
- Rendez-vous with Rama, 1973 (Rendez-vous avec Rama) - Prix Nebula du meilleur
roman, puis en 1974 : Prix British Science-Fiction, Prix John Wood Campbell Memorial
et Prix Locus du meilleur Roman
- Rama II, 1989 (Rama II) - co-écrit avec Gentry Lee
- The Gardens of Rama, 1991 (Les Jardins de Rama) - co-écrit avec Gentry Lee
- Rama Revealed, 1993 (Rama révélé) - co-écrit avec Gentry Lee
D - Base Vénus (co-écrit avec Paul Preuss)
- Breaking Strain, 1987 (Point de rupture), co-écrit avec Paul Preuss.
- Maelström, 1988 (Maelström, J’ai lu N°2679, 1990), co-écrit avec Paul Preuss.
- Hide & Seek, 1989 (Cache-cache, J’ai lu N°3006, 1991), co-écrit avec Paul Preuss.
- The Medusa Encounter, 1990 (Méduse, J’ai lu N°3224, 1992), co-écrit avec Paul
Preuss.
- The Diamond Moon, 2001 (La Lune de diamant, J’ai lu N°3350, 1992), co-écrit avec
Paul Preuss.
- The Shining Ones, 2002 (Les lumineux, J’ai lu N°3379, 1993), co-écrit avec Paul
Preuss.
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Document 6 : Commentaires d’Arthur C. Clarke lors du survol imminent de Japet du lundi 10 septembre
2007 par la sonde Cassini à la demande des ingénieurs du JPL (le Jet Propulsion Laboratory de la NASA).
Salut ! Ici Arthur Clarke, en ligne depuis ma demeure à Colombo, Sri Lanka.
Je suis très heureux de prendre part à cette cérémonie qui marque le survol de Japet par
Cassini.
Mes salutations à tous mes amis - connus et inconnus - qui sont réunis pour cet
événement important.
Je souhaiterais être avec vous, mais je suis maintenant cloué sur un fauteuil roulant par
la Polio, et je ne quitterai plus le Sri Lanka.
Grâce à Internet, j'ai suivi la progression de la mission Cassini-Huygens depuis le
moment de son lancement, il y a plusieurs années. Comme vous le savez, j'ai plus qu'un
intérêt passager pour Saturne.
J'ai été vraiment stupéfié, début 2005, quand la sonde Huygens a renvoyé un
enregistrement sonore depuis la surface de Titan. C'est exactement ce que j'avais décrit
dans mon roman de 1975, Planète Impériale, quand mon personnage écoute les vents
balayant les plaines désertes.
Peut-être était-ce un avant-goût de choses à venir ! Le 10 septembre, si tout se passe
comme prévu, Cassini devrait nous donner la vue plus rapprochée de Japet que l'on ait
jamais eue - l'une des plus intéressantes des lunes de Saturne.
La moitié de Japet apparaît aussi sombre que le goudron, et l'autre moitié aussi brillante
que la neige. Quand Giovanni Cassini [NdT: Jean-Dominique Cassini dans les textes
français] découvrit Japet en 1671, il ne put voir que le côté brillant. Nous en avons eu un
meilleur aperçu quand Voyager 2 la survola en Août 1981 - mais c'était à presque un
million de kilomètres de distance.
En comparaison, Cassini va passer à un petit peu moins de mille kilomètres de Japet.
C'est un moment particulièrement excitant pour les fans de 2001: l'odyssée de l'espace parce que c'est l'endroit où l'astronaute solitaire Dave Bowman découvre le monolithe de
Saturne, qui se révèle être la passerelle vers les étoiles.
Le chapitre 35 du roman a pour titre "L'Oeil de Japet", et contient ce passage :
"Japet approchait si lentement qu'elle donnait à peine l'impression de bouger, et il fut
impossible de dire à quel moment exact elle cessa d'être un corps céleste pour devenir
un paysage, quatre-vingt kilomètres plus bas. Les fidèles moteurs vernier donnèrent leurs
dernières bouffées de poussée, puis s'éteignirent à tout jamais. Le vaisseau suivait son
orbite finale, complétant une révolution toutes les trois heures à quelque 1300 kilomètres
par heure - toute la vitesse qui était nécessaire dans ce faible champ gravitationnel."
Plus de 40 ans plus tard, je ne peux plus me rappeler pourquoi j'ai placé le monolithe de
Saturne sur Japet. À cette époque, aux premiers jours de l'Age de l'Espace, les
télescopes sur Terre ne pouvaient montrer aucun détail de ce corps céleste. Mais j'avais
depuis toujours éprouvé une étrange fascination pour Saturne et sa famille de lunes.
Incidemment, cette “famille” a grossi à un rythme impressionnant ! Quand Cassini a été
lancée, nous ne connaissions que 18 lunes. Si je comprends bien, nous en sommes à 60
- et le compteur tourne. Je ne résiste pas à la tentation de dire:
Mon Dieu, c'est plein de lunes !
Mais dans le film, Stanley Kubrick décida de placer l'action à Jupiter, et pas Saturne.
Pourquoi ce changement ? Eh bien, d'une part cela faisait un récit plus direct. Et, plus
important, le département des effets spéciaux ne put pas produire une Saturne que
Stanley trouvât convaincante.
C'était tout aussi bien car s'ils avaient réussi, le film aurait paru bigrement daté suite aux
missions Voyager, qui montrèrent les anneaux de Saturne encore moins plausibles que
tout ce qu'on avait pu imaginer.
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J'ai vu pas mal de cas où la Nature imite l'art, et je garde les doigts croisés en attendant
ce que Cassini va découvrir sur Japet.
Je tiens à remercier tout ceux qui participent à cette mission et au projet dans son
ensemble. Il peut lui manquer la séduction des vols habités, mais les projets scientifiques
sont bien plus importants pour la compréhension du Système Solaire. Et, qui sait, un jour
peut-être notre survie sur Terre dépendra de ce que nous découvrons là-bas.
C'était Arthur Clarke, qui vous souhaite un survol réussi.
Vidéo visible sur le site :
http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/astronomie/d/special-2001-lodyssee-delespace-en-video-arthur-c-clarke-et-le-survol-de-japet_12899/
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Document 7 : À l'occasion de son 90ème anniversaire en 2007, Arthur C. Clarke avait enregistré un
message d'adieu à destination de ses amis. Pour en savoir plus sur l’œuvre et sa vie, vous pouvez vous
reporter au site de sa fondation sur internet (en anglais uniquement).
La vidéo du message est selon sa volonté disponible sur Youtube :
http://fr.youtube.com/watch?v=3qLdeEjdbWE
Site de sa fondation : http://www.clarkefoundation.org
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POUR APPROFONDIR CE SUJET, NOUS VOUS CONSEILLONS
- Les cours et conférences sans nom d’auteurs sont d’Éric Lowen -
Livres sur l’œuvre d’Arthur C. Clarke
- 2001, le futur selon Kubrick, Piers Bizoni, Arthur C. Clarke, Charles Tatum et Olivier Guéret, les Cahiers Du
Cinema, 2000
- Arthur C. Clarke: The Authorized Biography, Neil McAleer's, 1992
Livres sur la SF et la place de l’oeuvre d’Arthur C. Clarke dans celle-ci
- Sciences et Science-Fiction, Ugo Bellagamba, La martinière, 2010
- Science-fiction, frontière de la modernité, Renaud Colson et André-François Ruaud, Éditions Mnémos,
2008
- Les films de science-fiction, Michel Chion, Les cahiers Du Cinema, 2008
- Science-fiction, une littérature du réel, 50 Questions, Renaud Colson et André-François Ruaud,
Klincksieck, 2006
- Les nouvelles formes de la science-fiction, Colloque de Cerisy, Roger Bozzetto et Gilles Ménégaldo,
éditions Bragelonne, 2006
- Les limites de la science dans La science-fiction, entretien avec Roland Lehoucq, in Regards in Pour la
science n° 330, avril 2005
- Une histoire de la science-fiction : 1982-2000 le renouveau, Jacques Sadoul, Éditions Librio, 2001
- Une histoire de la science-fiction : 1938-1957 L'âge d'or, Jacques Sadoul, Éditions Librio, 2000
- Une histoire de la science-fiction : 1958-1983 l'expansion, Jacques Sadoul, Éditions Librio, 2000
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