Une offre de premier recours en
médecine générale fragile
Une médecine générale insuffisamment valorisée
(financièrement et culturellement au sein des facultés)
Un déficit d’anticipation/de régulation des politiques
publiques
La liberté d’installation des médecins devenue un facteur
d’inégalités territoriales de santé : l’inversion de l’offre de
soins est une réalité
Une profession médicale qui n’a pas su se moderniser et
créer les conditions du renouvellement de son implantation en
ville
Une volonté des professionnels de travailler différemment : le
modèle de l’exercice libéral isolé est en déshérence
Salon Infirmier 2015 – V.Kaufmann4