
exoren° 96 • juin 2016
bPIERREJEAN LAMY, biologiste moléculaire
au LaboSud de Montpellier
«Non seulement, nous réalisons
le test et l’interprétons, mais
nous apportons un conseil
thérapeutique afin de trouver
de façon pluridisciplinaire la
meilleure option thérapeutique
pour le patient»
testing
SIMPLIFIER LA TRAÇABILITÉ
DE L’ÉCHANTILLON
l
Coupes de blocs de tissus en paraffine:
une des premières étapes de toute
analyse de pathologie moléculaire.
LaboSud a créé, en 2015, l’Institut
médical d’analyse génomique
ou Imagénome, à Montpellier.
Cette plateforme de biologie
moléculaire à haut-débit dispose
des dernières générations d’outils
pour l’extraction, l’amplification et
l’analyse des acides nucléiques,
telle que la spectrométrie de
masse ou le séquençage nouvelle
génération. De quoi accompagner
le développement de la
biopathologie, mais aussi
de la génétique prénatale
avec notamment le DPNI.
LA BIOPATHOLOGIE,
AVANT-GARDE DU DIAGNOSTIC
MOLÉCULAIRE
Pour accompagner l’essor du diagnostic moléculaire oncologique, de nouvelles unités
d’analyse se sont construites au cours des dix dernières années. Elles associent
anatomopathologistes, cytogénéticiens et biologistes moléculaires. Visite d’une unité
de biopathologie au laboratoire LaboSud OC Biologie de Montpellier.
© FLAMOTTE
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