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1.
sociale
REMMM
2.
3. Voir notamment Anzieu et Martin (La dynamique
des groupes restreints
au cœur de ce numéro. L’ hypothèse de travail est que, tout comme c’est le cas dans les sociétés
modernes étudiées par sociologues et anthropologues, la production des identités collectives
est un processus permanent, ininterrompu et sans cesse renouvelé, né des interactions sociales
qui modèlent ces identités autant qu’elles sont modelées par elles.
Groupes sociaux et catégorisation sociale
« Groupe » : un terme polysémique et problématique
L’ étude des « groupes » est au cœur des sciences sociales ; la polysémie du terme est ce‑
pendant tellement grande que la plupart des chercheurs qui l’utilisent renoncent à en fournir
conjointement, alimentant l’ambiguïté déjà fondamentale de la notion. La première fait des
groupes des ensembles d’individus unis par une série de liens personnels les conduisant à se
réunir et éventuellement à mener des actions communes ; elle correspond de façon élargie à
membres du groupe familial n’entretiennent pas forcément des relations interpersonnelles
quotidiennes, tous sont amenés à se fréquenter au moins dans certaines circonstances, dans
un espace de vie dont au moins certaines parties sont communes .
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bres sont de taille relativement réduite (quelques dizaines d’individus). La psychologie sociale
les désigne sous le terme de « groupes restreints
les phénomènes psychologiques qui y sont à l’œuvre (« dynamiques de groupe »). Cependant, en
plus d’être daté, le concept de « groupes restreints » est d’une utilité limitée en ce qui concerne
l’étude de sociétés anciennes, pour lesquelles peu de documentation est disponible sur des
mutuelle de tous les acteurs, et fondé sur les relations interpersonnelles entre les membres.
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AnIsl 42 (2008), p. 29-51 VAN RENTERGHEM (Vanessa)
Catégorisations sociales dans le monde musulman médiéval: introduction au dossier.
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