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Dossier de présentation de la « Cap Windia »
Rouvrir la route des Indes
« Rouvrir la Route des Indes de Lorient à Pondichéry, avec escale à Port Louis (capitale de l’île Maurice),
sur les voiliers les plus performants du monde menés par les plus grands skippers, voilà le défi que lance
Cap Windia ! »
Tout projet ne trouve de résonance que s’il naît de racines profondes… unie à l’océan la goutte d’eau demeure.
I. « Naissance d’une course mythique »
Un groupe de Lorientais persuadés du potentiel actuel de la ville de Lorient, de son ouverture sur le monde liée
à la création de la Compagnie des Indes orientales et amoureux de la voile est à l’origine de ce projet.
Fondée pour aller explorer les Indes, mais aussi escale des grands navigateurs d’hier et d’aujourd’hui, Lorient
est devenue le premier le européen de course au large.
Lorient fut la seule ville étape française à accueillir la prestigieuse course à la voile autour du monde en
équipage, la « Volvo Ocean Race », en Juin 2012 qu’elle accueillera à nouveau en Juin 2015. Lorient confirme
ainsi sa légitimité et sa notoriété dans l’accueil ou l’organisation de courses à la voile, mais aussi dans le secteur
de l’industrie nautique puisqu’elle abrite l’Institut National d’Essais et de Recherches Nautiques (I.N.E.R.N.).
La Cité de la voile Eric Tabarly, située au ur de la ville, constitue quant à elle le point de départ d’une
aventure mêlant histoire et technologie.
Sous l’impulsion de Jean-Pascal DESCOMPS, ancien Directeur du Palais des Congrès et Président-Fondateur de
L’Orient Cap Affaires, un groupe de travail s’est constitué en réunissant diverses expertises dont celles des plus
grands skippers ou des professionnels de l’organisation de courses nautiques transocéaniques.
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Dossier de présentation de la « Cap Windia »
Vasco da Gama
(1469-1524)
Au-delà du défi sportif de très haut niveau qu’elle propose, la course a pour autre objectif de créer un nouveau
vecteur entre l’Inde, l’Île Maurice et la France (Région Bretagne) dans un contexte de fort développement
économique et d’échanges culturels notamment dans le cadre de la francophonie à l’Île Maurice et à
Pondichéry.
Madame Irène Frain, journaliste et écrivain, spécialiste de l’histoire et de la culture indiennes, a accepté d’être
la marraine et la conseillère culturelle de cette épreuve dont l’originalité consiste dans son approche
multidimensionnelle (historique, culturelle, francophone ; sportive ; économique ; développement durable) et
dans son format (nombre d’équipiers et parcours), ainsi que sur l’emploi de techniques innovantes qui
permettront une couverture médiatique continue en mer.
Autant d’atouts qui positionnent cette course comme une nouvelle classique incontournable, aux riches
relations humaines et aux retombées économiques certaines.
II. Partageons nos histoires
Les XVe et XVIe siècles sont dominés par la rivalité entre les deux grandes
puissances de l’époque, l’Espagne et le Portugal. Pour trouver la route des
Indes, les deux puissances prennent des chemins opposés. Les Espagnols
choisissent la route de l’Ouest, et Christophe Colomb redécouvre l’Amérique
en 1492. Les Portugais choisissent la route de l’Est, et Bartolomeu Dias
double le cap de Bonne-Espérance en 1488. En 1498, Vasco de Gama, après
un an de voyage, ouvre la route maritime des Indes, avec à son bord
Bartolomeu Dias, en passant par le cap de Bonne-Espérance puis en
remontant le long des côtes africaines vers l’Inde.
Instituée par un arrêté royal de Louis XIV le 27 août 1664 à l’initiative de son
ministre Colbert, la Compagnie Française des Indes reçoit du pouvoir royal le
privilège exclusif du commerce maritime lointain avec tous les pays situés au-
delà du cap de Bonne-Espérance. Elle administra l’ « isle de France » (Île Maurice Port Louis) de 1722 à 1767.
La Compagnie des Indes orientales, plus précisément Compagnie française pour
le commerce des Indes orientales, est une compagnie commerciale dont l'objet
est de « naviguer et négocier depuis le cap de Bonne Espérance presque dans
toutes les Indes et mers orientales », avec le monopole du commerce lointain
pour cinquante ans. Sa création avait pour but de donner à la France un outil de
commerce international avec l'Asie et de concurrencer les puissantes
Compagnies européennes fondées au XVIIème siècle, comme la Compagnie
anglaise des Indes orientales et surtout la Compagnie Hollandaise des Indes
orientales. La Compagnie des Indes choisit Lorient pour s’établir en 1666.
Jean-Baptiste Colbert
(1619-1683)
Compagnie des Indes orientales (Pondichéry) Armoiries de la Compagnie des Indes
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Dossier de présentation de la « Cap Windia »
III. Une course innovante et médiatisée
11 000 milles soit un demi-tour du monde
Un départ au printemps ou à l’automne (meilleures périodes validées par les météorologues)
Des conditions de navigation optimisées et validées à mesure de la course par les météorologues
En équipages (en hommage à Vasco de Gama et Bartolomeu Dias) dont un spécialiste de la
communication, le « Média man » (en temps réel)
Une escale à Port Louis (15 jours)
Des records intermédiaires (CANARIES – CAP VERT DAKAR EQUATEUR Le CAP)
Un classement aux points et au temps
Des animations aux escales (départ, escale et arrivée) et villages solidaires (REGATES INSHORE
PARTENARIAT AVEC DES ECOLES DE VOILE LOCALES)
Une remise des Trophées « Sailing of Cap Windia » lors d’une soirée publique retransmise sur une
chaine de télévision locale et nationale. Remise des prix par catégories (PODIUM MEILLEUR
REPORTAGE EMBARQUE REPORTAGES SUR L’INDE pays d’accueil de la Cap Windia PRESENTATION
ET REPORTAGE SUR LES ACTIONS DE DEVELOPPEMENT DURABLE liées à l’eau potable, à
l’assainissement et à la préservation des océans engagées et réalisées par l’ONG ou la Fondation en
partenariat avec Cap Windia)
Un workshop dédié aux acheteurs du secteur nautique, aux enjeux du nautisme et de l’industrie
nautique en Inde en lien avec Ubifrance.
Cautions des sponsors placées sur un compte dont les intérêts seront réservés aux actions de
développement durable.
Les multicoques et les classes monocoques IMOCA 60 et OCEAN 50
La course sera armée par des voiliers multicoques (70, 80 pieds et plus) et des monocoques des classes IMOCA
60 et OCEAN 50.
La catégorie des multicoques est aujourd’hui en pleine évolution permettant d’insuffler une dynamique
nouvelle au sein du multicoque océanique et de la course au large.
La classe des monocoques IMOCA est l’une des plus médiatisées. Elle compte actuellement une trentaine de
projets actifs (Macif, Banque poulaire, Safran, Hugo Boss, Virbac Paprec, SynerCiel, Groupe BEL, Akena
Verandas, Maître COQ, Bureau Vallée…). Une véritable opportunité pour développer ou asseoir sa notoriété.
L’IMOCA est l’association des Monocoques Open de 60 pieds (18,28m). C’est une classe internationale fondée
en 1991 et reconnue par l’I.S.A.F. (International Sailing Federation) depuis 1998. L’IMOCA gère l’évolution de la
jauge des bateaux et la définition de son calendrier sportif. Elle est également garante de la sécurité des
bateaux. Elle veille aujourd’hui à renforcer son rayonnement à l’international.
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