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Rouvrir la route des Indes
« Rouvrir la Route des Indes de Lorient à Pondichéry, avec escale à Port Louis (capitale de l’île Maurice),
sur les voiliers les plus performants du monde menés par les plus grands skippers, voilà le défi que lance
Cap Windia ! »
Tout projet ne trouve de résonance que s’il naît de racines profondes… unie à l’océan la goutte d’eau demeure.
I.
« Naissance d’une course mythique »
Un groupe de Lorientais persuadés du potentiel actuel de la ville de Lorient, de son ouverture sur le monde liée
à la création de la Compagnie des Indes orientales et amoureux de la voile est à l’origine de ce projet.
Fondée pour aller explorer les Indes, mais aussi escale des grands navigateurs d’hier et d’aujourd’hui, Lorient
est devenue le premier pôle européen de course au large.
Lorient fut la seule ville étape française à accueillir la prestigieuse course à la voile autour du monde en
équipage, la « Volvo Ocean Race », en Juin 2012 qu’elle accueillera à nouveau en Juin 2015. Lorient confirme
ainsi sa légitimité et sa notoriété dans l’accueil ou l’organisation de courses à la voile, mais aussi dans le secteur
de l’industrie nautique puisqu’elle abrite l’Institut National d’Essais et de Recherches Nautiques (I.N.E.R.N.).
La Cité de la voile Eric Tabarly, située au cœur de la ville, constitue quant à elle le point de départ d’une
aventure mêlant histoire et technologie.
Sous l’impulsion de Jean-Pascal DESCOMPS, ancien Directeur du Palais des Congrès et Président-Fondateur de
L’Orient Cap Affaires, un groupe de travail s’est constitué en réunissant diverses expertises dont celles des plus
grands skippers ou des professionnels de l’organisation de courses nautiques transocéaniques.
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Au-delà du défi sportif de très haut niveau qu’elle propose, la course a pour autre objectif de créer un nouveau
vecteur entre l’Inde, l’Île Maurice et la France (Région Bretagne) dans un contexte de fort développement
économique et d’échanges culturels notamment dans le cadre de la francophonie à l’Île Maurice et à
Pondichéry.
Madame Irène Frain, journaliste et écrivain, spécialiste de l’histoire et de la culture indiennes, a accepté d’être
la marraine et la conseillère culturelle de cette épreuve dont l’originalité consiste dans son approche
multidimensionnelle (historique, culturelle, francophone ; sportive ; économique ; développement durable) et
dans son format (nombre d’équipiers et parcours), ainsi que sur l’emploi de techniques innovantes qui
permettront une couverture médiatique continue en mer.
Autant d’atouts qui positionnent cette course comme une nouvelle classique incontournable, aux riches
relations humaines et aux retombées économiques certaines.
II.
Partageons nos histoires
Les XVe et XVIe siècles sont dominés par la rivalité entre les deux grandes
puissances de l’époque, l’Espagne et le Portugal. Pour trouver la route des
Indes, les deux puissances prennent des chemins opposés. Les Espagnols
choisissent la route de l’Ouest, et Christophe Colomb redécouvre l’Amérique
en 1492. Les Portugais choisissent la route de l’Est, et Bartolomeu Dias
double le cap de Bonne-Espérance en 1488. En 1498, Vasco de Gama, après
un an de voyage, ouvre la route maritime des Indes, avec à son bord
Bartolomeu Dias, en passant par le cap de Bonne-Espérance puis en
remontant le long des côtes africaines vers l’Inde.
Instituée par un arrêté royal de Louis XIV le 27 août 1664 à l’initiative de son
Vasco da Gama
(1469-1524)
ministre Colbert, la Compagnie Française des Indes reçoit du pouvoir royal le
privilège exclusif du commerce maritime lointain avec tous les pays situés audelà du cap de Bonne-Espérance. Elle administra l’ « isle de France » (Île Maurice – Port Louis) de 1722 à 1767.
La Compagnie des Indes orientales, plus précisément Compagnie française pour
le commerce des Indes orientales, est une compagnie commerciale dont l'objet
est de « naviguer et négocier depuis le cap de Bonne Espérance presque dans
toutes les Indes et mers orientales », avec le monopole du commerce lointain
pour cinquante ans. Sa création avait pour but de donner à la France un outil de
commerce international avec l'Asie et de concurrencer les puissantes
Compagnies européennes fondées au XVIIème siècle, comme la Compagnie
anglaise des Indes orientales et surtout la Compagnie Hollandaise des Indes
orientales. La Compagnie des Indes choisit Lorient pour s’établir en 1666.
Jean-Baptiste Colbert
(1619-1683)
Compagnie des Indes orientales (Pondichéry)
Armoiries de la Compagnie des Indes
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III.
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Une course innovante et médiatisée
11 000 milles soit un demi-tour du monde
Un départ au printemps ou à l’automne (meilleures périodes validées par les météorologues)
Des conditions de navigation optimisées et validées à mesure de la course par les météorologues
En équipages (en hommage à Vasco de Gama et Bartolomeu Dias) dont un spécialiste de la
communication, le « Média man » (en temps réel)
Une escale à Port Louis (15 jours)
Des records intermédiaires (CANARIES – CAP VERT – DAKAR – EQUATEUR – Le CAP)
Un classement aux points et au temps
Des animations aux escales (départ, escale et arrivée) et villages solidaires (REGATES INSHORE –
PARTENARIAT AVEC DES ECOLES DE VOILE LOCALES)
Une remise des Trophées « Sailing of Cap Windia » lors d’une soirée publique retransmise sur une
chaine de télévision locale et nationale. Remise des prix par catégories (PODIUM – MEILLEUR
REPORTAGE EMBARQUE – REPORTAGES SUR L’INDE pays d’accueil de la Cap Windia – PRESENTATION
ET REPORTAGE SUR LES ACTIONS DE DEVELOPPEMENT DURABLE liées à l’eau potable, à
l’assainissement et à la préservation des océans engagées et réalisées par l’ONG ou la Fondation en
partenariat avec Cap Windia)
Un workshop dédié aux acheteurs du secteur nautique, aux enjeux du nautisme et de l’industrie
nautique en Inde en lien avec Ubifrance.
Cautions des sponsors placées sur un compte dont les intérêts seront réservés aux actions de
développement durable.
Les multicoques et les classes monocoques IMOCA 60 et OCEAN 50
La course sera armée par des voiliers multicoques (70, 80 pieds et plus) et des monocoques des classes IMOCA
60 et OCEAN 50.
La catégorie des multicoques est aujourd’hui en pleine évolution permettant d’insuffler une dynamique
nouvelle au sein du multicoque océanique et de la course au large.
La classe des monocoques IMOCA est l’une des plus médiatisées. Elle compte actuellement une trentaine de
projets actifs (Macif, Banque poulaire, Safran, Hugo Boss, Virbac Paprec, SynerCiel, Groupe BEL, Akena
Verandas, Maître COQ, Bureau Vallée…). Une véritable opportunité pour développer ou asseoir sa notoriété.
L’IMOCA est l’association des Monocoques Open de 60 pieds (18,28m). C’est une classe internationale fondée
en 1991 et reconnue par l’I.S.A.F. (International Sailing Federation) depuis 1998. L’IMOCA gère l’évolution de la
jauge des bateaux et la définition de son calendrier sportif. Elle est également garante de la sécurité des
bateaux. Elle veille aujourd’hui à renforcer son rayonnement à l’international.
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Le monotype OCEAN 50 (52,5 pieds - 16m) est une nouvelle classe intermédiaire de monocoques dans la filière
océanique internationale, c'est-à-dire une véritable alternative technique, sportive et financière entre les Mini
6,50, Figaro Bénéteau et Class 40, d’un côté, et les IMOCA 60 au sommet de la filière, de l’autre. Cette classe
offre notamment au PME-PMI de pouvoir participer à une grande course très médiatisée tout en limitant ou
partageant leurs investissements.
L'avenir des Classes, dont la Classe IMOCA, doit aussi passer par leur développement commercial, et la prise en
compte du contexte économique dans lequel se déroulent les courses.
UN CHAMPIONNAT DU MONDE MEDIATISE
L’IMOCA participe à la mise en œuvre du championnat du Monde de Courses Océaniques dont font partie les
plus grandes courses comme le « Vendée Globe », la « Barcelona World Race », la « Route Du Rhum », la
« Transat Jacques Vabre » et demain la « Cap Windia ».

Le « Vendée Globe » est l’illustration spectaculaire de son exposition. Dans
l’édition 2008-2009, cette course autour du monde sans escale en solitaire, a
généré 145 millions de retombées médiatiques. A chaque édition, l’économie
des Sables d’Olonne bénéficie d’un développement temporaire de 30% à 40%.
amplifié par la caisse de résonnance du web. L’investissement de la SEM
(Société d’économie mixte) Vendée Globe est de 9 millions d’€.

L’excellent accueil du grand public et des médias pour la « Barcelona World
Race » 2011 a généré des chiffres de suivi exceptionnels. Plus de 7 millions de
personnes ont visité le site web de la course générant 37 341 779 pages vues;
360 000 vidéos ont été visionnées sur le canal officiel de You Tube et plus de
4100 articles et news publiés. La couverture télévisuelle a généré 72 heures
d’informations, et des programmes disponibles dans 200 pays. Les pages
Facebook en espagnol, catalan, français et anglais ont reçu quasiment 17
millions de visiteurs. 38 095 notifications « j’aime » et commentaires ont été
laissés sur ces différentes pages. Enfin, le compte Twitter de la course a été
suivi par 3082 « followers ».
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L’Île Maurice, escale historique, culturelle et
économique de la Cap Windia
Histoire
Située sur le passage des premières voies maritimes de l’océan Indien, l'Île Maurice a été découverte par les
Phéniciens dans l'Antiquité. Elle devint ensuite une escale arabe au X° siècle, sur la route de l’Inde et de la
Chine, qui fut conquise par les Portugais au XVI° siècle. Ce sont les Hollandais de la Compagnie des Indes
néerlandaises qui se fixèrent les premiers sur l’île et la développèrent à la fin du XVI° siècle. Elle fut ensuite
colonisée par les Français de 1715 à 1810 (Isle de France), puis par les Anglais (Mauritius) qui l'occupèrent de
force et en obtinrent la propriété au Traité de Paris (1814). L'établissement britannique dura jusqu'en 1968,
date de la création de la République de Maurice.
Guillaume Dufresne d’Arsel
(1668 - 1745)
Capitaine de Vaisseau malouin
Isle de France (1715 - 1810)
Mahé de Labourdonnais
(1699 - 1753)
Gouverneur de l’Isle de France
L’Île Maurice est située dans le sud-ouest de l’océan Indien au cœur de l’archipel des Mascareignes, entre la
Réunion à l'Ouest et l'île Rodrigues à l'Est. Sa population est d’environ 1,2 millions d’habitants et sa capitale,
Port-Louis, est située dans le Nord-Ouest de l'île.
Création de la Compagnie des Indes Orientales
Pour concurrencer le commerce des autres pays européens dans l’Océan Indien, Louis XIV et Colbert créent la
Compagnie des Indes orientales en 1664 et son port de l’Orient. Ils lui accordent le monopole du commerce
dans l'océan Indien pour une durée de cinquante ans avec souveraineté sur Madagascar, les îles voisines et les
futurs territoires à conquérir.
En mars 1685, est proclamé le Code noir, une ordonnance de Louis XIV qui réglemente et tempère le régime
de l'esclavage en fixant les devoirs des maîtres et des esclaves. Le Code Noir resta en vigueur dans toutes les
Antilles et en Guyane française jusqu'en 1848, date de l'abolition définitive de l'esclavage par la France.
Guillaume Dufresne d’Arsel, capitaine de Vaisseau établi à Saint Malo, prit possession de l’île en 1715 et la
baptisa « Isle de France ». L'île fut administrée par la Compagnie des Indes orientales de 1722 à 1767.
L'Isle de France prit son essor sous le gouvernement de Bertrand-François Mahé de Labourdonnais, nommé
par la Compagnie des Indes orientales en 1735. Il gouverna de 1735 à 1746 et fonda la ville de Port-Louis. Il
favorisa l'exploitation des forêts pour le bois d'œuvre et des chantiers navals, et la culture de la canne à sucre,
du café, de l'indigo et du poivre. Port-Louis devint le chef-lieu des établissements français de toute la région.
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En 1767, sous l'administration de l'intendant Pierre Poivre (1767-1772), le
« commissaire ordonnateur » et intendant général des îles de France et de
Bourbon (La Réunion), l'archipel des Mascareignes devint une colonie
prospère, organisée et enviée par les Britanniques. Poivre créa en 1768
l'imprimerie royale de Port-Louis. Botaniste et membre de plusieurs
académies de sciences, il acclimata sur les îles de l'archipel le poivre,
la girofle, la muscade, la cannelle… etc, ainsi que des dizaines d'espèces
végétales. Il favorisa la culture des arbres fruitiers et fut même l'auteur des
premières lois sur la protection de la nature. C’est à lui que les Mauriciens
doivent le célèbre jardin de pamplemousses qui abrite des nénuphars géants
et plus de 60 variétés de palmiers. Poivre assainit le climat moral et social des
Mascareignes en améliorant le sort des esclaves dans tout l'archipel selon
les règles du Code Noir.
Contexte culturel,
francophonie
richesse
cosmopolite
et
préservation
de
la
Après le traité de Paris de 1814, « l'Isle de France » reprit son nom précédent de Mauritius. Le nouveau
gouverneur anglais, Sir Robert Farquhar, admit que l'usage de la langue française constituait l'une de ces
« coutumes » que les colons pouvaient maintenir. Les Britanniques consentirent à ce que les habitants de
Maurice continuent d'utiliser leur langue, leur religion, leur code civil, leurs traditions et leurs douanes.
Les fonctionnaires français furent remplacés par des fonctionnaires anglais dans l'Administration et toute
l'économie se développa dorénavant dans le cadre de l'Empire britannique. Beaucoup de Franco-Mauriciens
blancs, notamment de grands propriétaires fonciers et des hommes d'affaires, décidèrent de rester sur l'île
et poursuivirent l'exploitation de la canne à sucre avec leur main-d'œuvre d'esclaves africains et malgaches.
Ces Blancs constituèrent le groupe des Franco-Mauriciens qui continuèrent de parler la langue française.
Appuyés par le clergé catholique, ils opposèrent une résistance opiniâtre aux velléités gouvernementales de
mainmise linguistique. Leurs esclaves purent continuer à utiliser le créole mauricien. Comme les Anglais ne
cherchaient pas à s'installer en grand nombre à l'Île Maurice, les autochtones continuèrent de parler français
et créole.
En 1832, le gouvernement colonial anglais imposa une première politique linguistique : la langue anglaise
devint obligatoire pour les Mauriciens pour toute communication avec les autorités britanniques. L'année
suivante, l'anglais devint l'unique langue de l'Administration en servant de critère d'embauche dans les
services gouvernementaux.
Le changement le plus important survint en 1835 lors de l'abolition de l'esclavage dans toutes les colonies
britanniques. L'importation d'esclaves avait cessé depuis 1833 à Maurice alors que la population s'élevait à
quelque 100 000 habitants dont plus de 80 000 esclaves. Devant les besoins de main-d'œuvre pour faire
fonctionner les plantations sucrières, l'Administration anglaise décida de recourir à des travailleurs indiens
contractuels.
En 1829 eurent lieu les premières tentatives d’importation de travailleurs agricoles indiens. Entre 1835 et
1865, plus de 200 000 immigrants indiens et chinois affluèrent à l'Île Maurice et changèrent radicalement la
composition ethnique de l’île. Les immigrants indiens, qui étaient de religion hindouiste ou musulmane,
formèrent rapidement la majorité des travailleurs agricoles. Les immigrants chinois devinrent de petits
commerçants.
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Les nouveaux immigrants asiatiques ne changèrent à peu près rien au rôle social des langues à l'Île Maurice.
Les Franco-Mauriciens réussirent à maintenir leur supériorité sociale. Les Indo-Mauriciens adoptèrent
le créole comme langue véhiculaire qui s'enrichit de mots anglais ou indiens eux-mêmes créolisés.
En 1841, l'enseignement de l'anglais devint obligatoire dans toutes les écoles primaires en plus du français.
Enfin, en 1845, l'anglais devint la langue de la Cour suprême. Les tribunaux inférieurs, qui statuaient encore
selon le Code Napoléon, continuèrent à utiliser le français. Au début du XXe siècle, la population mauricienne
atteignit 371 000 habitants, les Indiens formant la majorité de la population.
En 1870, l'île perdit sa position stratégique à cause de l'ouverture du canal de Suez qui réduisit
considérablement les distances à parcourir et fit dépérir sa situation socio-économique. Jusqu'en 1903, l'Île
Maurice et les Seychelles furent administrées comme une seule colonie par la Grande-Bretagne. Puis, l'Île
Maurice affirma de plus en plus son autonomie face à la couronne britannique.
À partir des années trente, des mouvements populaires en faveur de la démocratisation commencèrent à se
manifester et aboutirent au droit de suffrage universel et aux élections législatives de 1948.
Le 12 mars 1968, l'Île Maurice devint un Etat indépendant par référendum et adopta le système parlementaire
britannique. Depuis son indépendance, Maurice est un pays souverain qui fait partie du Commonwealth
britannique et, depuis le V° Sommet d'octobre 1993, la république de Maurice fait également partie de
la Francophonie.
Port-Louis – (Île Maurice)
Port-Louis – (Lorient)
Contexte économique
En 2013-2014, l'Île Maurice est notée 1° du classement de la meilleure compétitivité des pays d’Afrique
subsaharienne (World Economic Forum -WEF) et la 45° au niveau mondial. Elle ravit ainsi la première place à
l'Afrique du Sud.
Ses institutions publiques sont notées par le WEF comme solides et transparentes (39° sur 148), de même que
e
le droit à la propriété intellectuelle, l’indépendance judiciaire, l’efficacité gouvernementale (29 ), le niveau de
responsabilité des institutions privées (14°) et la protection des investisseurs.
Ses infrastructures sont bien développées selon les normes régionales (50 ème rang), en particulier ses ports,
le transport aérien et les routes". (WEF 2013. UBIFRANCE)
Depuis son indépendance en 1968, Maurice a connu une croissance économique fulgurante et réussi une
performance économique remarquable passant du statut de pays en voie de développement à celui de pays
nouvellement industrialisé adapté aux conditions d’une économie moderne.
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L’Île Maurice et passée d’une économie reposant uniquement sur la culture de la canne à sucre à une
économie diversifiée en développant le secteur textile, le tourisme et les services financiers, et en créant au
début des années 1970 des zones franches manufacturières (textile, industries légères, bijouterie…) qui
attirent les investissements et permettent de maîtriser le chômage.
Aujourd’hui, l’économie mauricienne veut devenir un pôle d’excellence régional en matières de fiscalité,
d’investissements et de finances, mais aussi dans les nouvelles technologies et la nouvelle économie pour
attirer de nouveaux investissements. (sources www.ile-maurice.fr).
Le tourisme
Maurice s’impose comme une destination touristique d’excellence. La beauté naturelle de ses paysages, la
qualité de l’hébergement, les services offerts, les infrastructures locales et la desserte aérienne avec vols
directs internationaux sont les points forts qui ont permis le développement du tourisme devenu le troisième
pilier de l’économie mauricienne.
Île Maurice
La destination Maurice bénéficie d’une image fondée sur la qualité de l’hospitalité des Mauriciens, le
multilinguisme et la stabilité économique, sociale et politique. Conscient que son environnement reste un
atout pour le développement touristique, le pays accorde une place privilégiée à la protection et à la
préservation de son environnement naturel.
En misant sur le haut de gamme, la qualité de ses établissements hôteliers et l’ouverture vers de nouveaux
marchés, l’industrie touristique et les activités nautiques sont appelées à jouer un rôle prépondérant dans
l’économie mauricienne.
Le pari de la nouvelle économie
Maurice se mobilise pour obtenir une place importante dans le nouvel ordre économique mondial et devenir
un centre de services de référence dans la région.
Maurice a également réorganisé ses activités portuaires, ambitionnant avec la création d’un port franc
moderne de retrouver son statut de port incontournable dans l’océan Indien. (Indian Ocean Ports & Logistics Salon et conférence de l’industrie portuaire, de la logistique et de l’industrie navale - 23 et 24 Janvier 2014 au
Méridien de Port Louis).
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La Cap Windia – Route des Indes orientales à la voile
Situé sur le parcours de la « Cap Windia », l’Île Maurice anciennement gérée par la Compagnie des Indes, et sa
capitale Port-Louis, offrent ainsi aux skippers et à leurs bateaux des conditions d’accueil d’une qualité
exceptionnelle pour faire une escale technique et médiatique à mi-distance de la route Lorient - Pondichéry.
« Cap Windia » répond exactement aux ambitions mauriciennes dans le domaine du tourisme et du
nautisme, tout en lui permettant de faire revivre la notoriété de son histoire en liaison étroite avec Lorient et
Port-Louis (Morbihan), lieux du départ de la Route des Indes au XVIII° siècle et ligne de départ de la course au
XXI° siècle.
L’Inde, une destination à fort potentiel économique
Contexte :
La République d’Inde fait partie des grandes puissances émergentes. Deuxième population du monde avec
1 milliard 200 millions d’habitants, elle est la onzième puissance économique mondiale et la troisième d’Asie
avec un PNB moyen par habitant de 1050 $ et une croissance de son PIB de 5,50 % en 2012 (8,50 % en 2011).
La création d’un évènement sportif international reliant la France à l’Inde est une véritable opportunité pour
développer les échanges humains et économiques entre ces deux pays. L’émergence de l’Inde comme grande
puissance économique du XXIème siècle offre un potentiel de développement considérable pour les grandes
entreprises françaises déjà présentes sur le continent ainsi que pour les PME qui suivent dans leur sillage. L’Etat
français, très conscient de cette opportunité majeure, a entrepris de nouer des relations privilégiées avec cette
grande démocratie afin d’accompagner l’effort des entreprises.
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I. Relations économiques avec la France
Dans le contexe actuel, aucun des défis globaux auxquels le monde doit faire face ne peut trouver de réponse
sans l’Inde. Lors de la conférence de Durban en 2011, les questions économiques et financières ont été au
centre des discussions ainsi que la réforme de la gouvernance économique mondiale et l’adaptation au
changement climatique.
La part de marché française en Inde est de l’ordre de 1,7%, ce qui fait de la France le 15ème fournisseur et le
11ème client de l’Inde.
Le commerce bilatéral entre la France et l’Inde est une priorité. Le volume d’échanges a été de 7,46 Mds en
2011 (contre 8 Mds en 2010). La reprise des exportations aéronautiques est encourageante notamment avec
Dassault. L’accord de libre-échange UE-Inde pourrait par ailleurs produire de premiers effets à partir de 2015.
Malgré l’implantation récente en Inde de grands groupes industriels français, la présence économique française
est encore limitée, alors même que le marché indien présente des perspectives considérables dans bien des
domaines d’excellence des entreprises françaises. Les relations entre les communautés d’affaires françaises et
indiennes se renforcent. La Confederation of Indian Industry (C.I.I.), principale organisation patronale
indienne, a ouvert à Paris un bureau de représentation et organise une rencontre annuelle.
Aujourd’hui, la France compte 700 filiales en Inde. 750 entreprises françaises sont implantées en Inde et
emploient environ 240 000 personnes. Elles génèrent un chiffre d’affaires cumulé de 14 milliards d’€ (40
missions économiques d’UbiFrance en 2011).
La France se situe au 7ème rang des investisseurs étrangers en Inde derrière l’Allemagne et devant la Corée
du Sud (stock d’environ 750 millions USD).
Coopération culturelle, scientifique et technique
Le développement de la coopération universitaire, scientifique et technique avec l’Inde constitue également
une priorité pour la France. Dans ce cadre, les échanges créés entre l’ESSEC (79 étudiants indiens en 2012ère
2013) au travers de sa Junior Entreprise (1 en Europe) et Cap Windia en 2012 prend une importance
particulière. L’ESSEC a signé en 2013 le premier accord de double diplôme avec l’Indian Institut of
Managment (IIM) of Ahmedabad et dispose d’un salarié permanent en Inde. C’est aujourd’hui 700 personnes
qui ont une double expérience Ahmedabad/ESSEC.
Dans le domaine universitaire, le nombre d’étudiants indiens en France est d’environ 3000, et en forte
progression, puisqu’il a doublé au cours des cinq dernières années.
L’effort de la France porte sur deux volets :
 Soutien aux programmes de bourses (augmentation depuis 2007 de 50% du nombre de bourses) et soutien
aux partenariats entre établissements indiens et français pour développer les accords inter-universitaires.
 La coopération scientifique et technique est un autre domaine clé du partenariat entre la France et l’Inde.
Cette coopération s’appuie sur des structures de grande qualité, réunissant chercheurs et scientifiques
français et indiens, tel le CEFIPRA (Centre Franco-Indien pour la Promotion de la Recherche Avancée) qui a
fêté en 2007 son vingtième anniversaire, le développement de laboratoires communs de recherche dans
des domaines de recherche prometteurs (neurosciences, chimie). Elle s’appuie également sur une volonté
politique affirmée, comme c’est le cas dans le domaine spatial, avec la signature en 2008 de deux accords
de collaboration spatiale entre la France et l’Inde.
Enfin, la France et l’Inde sont également convenues de renforcer leur coopération dans le domaine de
l’environnement et de la lutte contre le changement climatique, avec la création d’un groupe de travail
franco-indien sur l’environnement et avec l’implantation en Inde en 2008 de l’Agence Française de
Développement, où elle dispose d’un mandat centré sur la préservation des biens publics mondiaux.
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Principaux investisseurs en Inde déjà sponsors d’un voilier (en majuscules) ou futurs sponsors potentiels :
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Energie et environnement : Alstom; Areva; Schneider Electric; Legrand;
GDF; Total; Suez; VEOLIA; Technip; …
Industrie : Saint Gobain; Lafarge; Fives Air Liquide; Rhodia; Arkema; Sanofi;
Biomérieux; Renault; Faurecia; Bic; Nexans; Carbone Lorraine; …
Technologies de l’information : Alcatel; ST Micro Electronics; Oberthur;
SAFRAN; CAP GEMINI; Steria; Atos Origin; Sopra; …
Agroalimentaire et biens de consommation : Pernod Ricard; Bongrain;
L’OREAL; Danone/Yakult; GROUPE BEL ; …
Aéronautique Défense : EADS; SAFRAN; Thales-DCNS; …
Services financiers : BNP Paribas; Calyon; Société Générale; Axa; …
Autres services : Accord; Sodexho; Geodis; CMA CGM; Euro RSCG; Bureau
véritas; Thomson; …
Programme d’Actions Bretagne - Inde 2009
Chaque année, un pays à fort potentiel d’attraction d’investissements étrangers est mis à l’honneur. Après le
Japon en 2008, ce fut le tour de l’Inde en 2009 d’être mise en lumière dans le cadre d’un programme d’actions
mené par de nombreux partenaires bretons (Conseil Régional, Comité Régional du Tourisme, Agence
économique de Bretagne, Bretagne International, Maison de la Bretagne, CCI International, ...). Tout un mois a
par ailleurs été dédié à l’Inde à la Maison de la Bretagne à Paris.
Les secteurs des entreprises bretonnes présentes en Inde sont l'agriculture pour 35%, et les biens de
consommation pour 25%. L'investissement indien en Bretagne est très faible et représente environ 50 emplois
soit un énorme potentiel de développement. (Sources - Bretagne international)
II. Besoins en infrastructures
L’expansion de l’Inde offre non seulement des possibilités d’affaires, mais améliore aussi leur efficience et
crée des opportunités là où auparavant il n’y en avait pas.
Malgré un processus très lent et souvent incomplet des plans et des aménagements des infrastructures, ce
sont toutefois 190 milliards de dollars qui ont été affectés aux infrastructures au cours des cinq dernières
années. Il existe des routes praticables en tout temps et on en construit de nouvelles grâce au programme
national de rénovation urbaine lancé par Nehru en 2005. Presque 10 milliards de dollars ont été ainsi injectés
dans les grandes villes où les résultats sont visibles; de nouvelles installations portuaires ouvrent sur la côte
Est et la côte Ouest; Bangalore et Hyderabad se sont dotées de nouveaux aéroports, et New Delhi et Mumbai
auront de nouvelles installations d’ici 2014-2015.
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III. Relations Inde –Europe
Les relations avec l’Union Européenne
L’Inde et l’Union européenne (UE) ont poursuivi début 2012 les négociations en matière de coopération
économique en vue de conclure un accord de libre-échange et ont décidé d’approfondir leur collaboration en
matière d’énergie et de recherche. Elles ont donné un nouvel élan à leur coopération en matière de commerce,
d’énergie et de recherche lors de leur sommet du 10 février 2012 à New Delhi.
« L’accord de libre-échange entre l’UE et l’Inde constituera le plus vaste accord de ce type dans le monde ; il
profitera à 1,7 milliard de personnes », a déclaré le président Barroso. « Il ouvrira de nouvelles perspectives
aux entreprises indiennes et européennes, et sera un moteur important pour la croissance, l’emploi et
l’innovation durables tant en Inde qu’en Europe.
L’UE est le premier partenaire commercial de l’Inde : en 2011, le commerce de biens et de services s’est
chiffré à 79,8 milliards d’€ (25 Mds en 2000). Les échanges bilatéraux de marchandises ont progressé de 20 %
entre 2010 et 2011. En 2002, l’Inde était le quinzième principal partenaire commercial de l’UE. Aujourd’hui, elle
occupe la huitième place. En 2011, la valeur des exportations de biens de l’UE vers l’Inde a atteint près de
40,4 milliards d’€, et celle de ses importations 39,4 milliards d’€.
En 2011, l’Inde, la Commission et les pays de l’UE ont lancé un programme de recherche pilote dans le
domaine de l’eau et des bioressources. Ils ont adopté une stratégie visant à déterminer de nouveaux
domaines de coopération en matière de recherche, comme l’énergie, la santé et les technologies de
l’information et de la communication. L’UE et l’Inde comptent également multiplier les échanges scientifiques
entre universités et entreprises.
Lors du sommet de 2012, les dirigeants ont affirmé leur volonté d’œuvrer ensemble à l’amélioration de la
sécurité et de l’efficacité énergétiques. L’UE entend renforcer sa coopération avec l’Inde pour développer les
sources d’énergie à faibles émissions de carbone, et plus particulièrement les énergies renouvelables.
Les dirigeants indiens et européens ont également défini les moyens de renforcer leur coopération en matière
de lutte contre le terrorisme, la piraterie maritime et la cybercriminalité.
Pourquoi devenir Partenaire de la « Cap Windia» ?
I. Un vecteur exceptionnel de communication
La course au large est devenue un vecteur fort et pertinent de communication pour beaucoup d’entreprises. La
mer, importante source d’imaginaire, a transformé les navigateurs au large, hommes et femmes, en véritables
héros des temps modernes. Les retombées économiques et médiatiques sont considérables. Ainsi, un tiers des
Français, et notamment de la catégorie CSP+ (catégories socio-professionnelles à fort pouvoir d’achat), se
déclarent intéressés par le Vendée Globe et la course au large.
Dans son ensemble, la flotte des 30 concurrents du Vendée Globe pèse 55 millions d’€, somme à laquelle il faut
ajouter 25 millions d’€ de budget de fonctionnement. C’est donc un total de 80 millions d’€ qui est amarré aux
Sables-d’Olonne à Port Olona.
Sur les 30 bateaux engagés, 15 sont bretons, soit 50% de la flotte. Autant dire que la Bretagne peut être fière
de ce chiffre, tout comme elle peut l’être des précédents vainqueurs qui, trois fois sur cinq, ont été des
Bretons.
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Mesures d’impact pour les entreprises :
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Le chiffre d’affaires direct du Vendée Globe représente 25 millions d’€.
Pour les entreprises, la course au large représente 42% de leur activité.
Pour 40% d’entre elles, c’est un vecteur de croissance.
Elles équipent jusqu’à 23 bateaux au départ.
Pour 70% d’entre elles, c’est l’occasion de mettre en œuvre de nouveaux
produits.
6,80% d’entre elles travaillent en amont avec les écuries pour adapter ou
développer leurs produits qui seront ensuite mis à la disposition du grand public.
80% d’entre elles exploitent le Vendée Globe dans leur communication.
90% d’entre elles considèrent que le Vendée Globe à un impact direct sur leur
notoriété.
70% d’entre elles sont présentes au départ avec des clients invités.
(Info presse Welcome On Board / www.eurolarge.fr)
Pour la notoriété, la voile est l’un des rares sports, avec le cyclisme, qui permet aux annonceurs de donner leur
nom à une équipe ou à une course.
C’est aussi un sport où souffle un vent d’égalité entre les hommes et les femmes qui se mesurent sans autre
rivalité que celle d’un défi lancé à soi même. Le sponsoring est pour les annonceurs l’occasion de jouer avec
les codes de ce sport où dominent rêve, innovation, performance, beauté et élégance. Le Groupe l’Oréal et
Maud Fontenoy en sont une parfaite illiustration.
Pour leur communication interne ou externe, les entreprises y puisent des symboles porteurs :
DES VALEURS COMMUNES
RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT :
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Sport propre, noble et respecté de tous
Gestion de l’énergie
Gestion des denrées
Adaptation aux conditions climatiques
RESPECT DE LA DIVERSITE ET DES CULTURES :
 Programme d’échanges culturels aux étapes
 Mise en place d’une chaine solidaire
 Soutien des écoles de voile locales
INNOVATION ET CREATIVITE :
 Management en équipe (team building)
 Environnement
 Santé
 Haute technologie
 Analogie Aviation / voile
 Similarité des process de construction
 Performance
VALEURS GENERIQUES :
 Défi
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Courage , ténacité, audace
Esprit d’équipe
Endurance, gestion de l’effort
Sport mécanique, physique et intellectuel
Stratégie, préparation
Aventure humaine et sportive
Voyage, découverte
 Dépassement de soi
En communication interne et commerciale, le feuilleton d’une course touche les collaborateurs et les
partenaires et contribue ainsi à les fédérer. Beaucoup de sponsors utilisent leur partenariat à des fins de
relations publiques « B to B » ou de Ressources Humaines (Team Building par exemple).
La mer permet enfin de positionner la notoriété d’une marque en délivrant un message à la fois écologique et
technologique.
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II. Une fenêtre médiatique majeure
Devenir partenaire principal d‘une course internationale, c’est l’assurance d’une exposition médiatique intense
et durable . C’est pourquoi la « Cap Windia » s’organisera en deux étapes :
L’avant-course :
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La « Cap Windia » a ainsi prévu d’effectuer un tour de reconnaissance de la course à l’automne ou au
printemps. Ce tour médiatisé offrira un support de communication aux partenaires officiels de la
course (Conférence de presse – annonce officielle – ouverture des inscriptions – émission avis de
course).
D’une durée de 6 à 8 semaines, il permettra d’établir un premier record et de constituer une banque
d’images et de communication sur la course en amont de l’évènement ; c’est aussi le meilleur moyen
de s’assurer de la qualité de l’organisation et du soutien logistique de tous les intervenants.
La course :
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Le nom de la course sera associé à ceux des partenaires officiels dans toutes les citations médiatiques.
Tous les bateaux participant à la course seront marqués aux couleurs des partenaires officiels,
démultipliant ainsi l’image quel que soit le résultat de la course.
Un départ au printemps ou à l’automne pour une durée de course de 6 à 8 semaines et une
information en temps réel.
La fenêtre de couverture média de la « Cap Windia » s’étend ainsi sur une durée de 9 mois renouvelable tous
les 2 ou 4 ans (périodicité à définir avec les classes et la fédération internationale de voile ISAF).
III. Un vecteur de lien solidaire entre les Pays et les peuples
La « Cap Windia » sera un acteur solidaire d’une action de développement durable à caractère
social ciblée sur l’accès à l’eau potable en partenariat avec une ONG internationale ou une
Fondation déjà impliquée dans les pays et les villes étapes concernées.
L’eau et l’assainissement : deux enjeux majeurs
L’eau et l’assainissement sont deux enjeux majeurs du XXIe siècle. L’action
de l’ONG doit consister à fournir de l’eau aux populations en situation de
crise ou en post-urgence, améliorer les conditions sanitaires pour combattre
les maladies d'origine hydrique qui touchent des populations démunies dans
les zones les plus peuplées.
Aujourd'hui, plus d'un milliard d'individus manquent d'eau potable, et plus
de trois milliards - soit la moitié de la population mondiale - ne disposent
pas de systèmes d'assainissement adéquats. (Source Croix rouge française).
La demande croissante et la diminution des ressources en eau potable sur la
planète sont à l’origine de tensions croissantes entre les populations. Par
ailleurs, l'assainissement des eaux usées représente un véritable enjeu de
santé publique.
La préservation des océans est aussi un enjeu majeur pour
notre écosystème.
Des représentants et des habitants des villages solidaires,
dédiés aux actions de développement durable, seront
présents aux escales et aux étapes de la « Cap Windia ».
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IV. Cap Windia : un vecteur de la francophonie
220 millions de personnes réparties sur cinq continents en une multitude d’associations parlent français et
constituent la francophonie.
La « Cap Windia » s’inscrit dans ce grand mouvement et se situe exactement dans le sillage des grands
navigateurs français qui depuis plus de trois siècles ont écrit les plus belles pages de l’histoire civile et militaire
de la voile à partir de Lorient, en passant par le Cap où l’escadre du Levant de Suffren sauva la ville et le port,
jusqu’aux comptoirs français des Indes où l’héritage culturel francophone perdure par exemple dans les
Alliances Françaises, parmi les plus anciennes au monde, avec Port Louis (Île Maurice) et Pondichéry (deuxième
au monde par son importance dans une ville qui compte 7500 Français).
La « Cap Windia » va ainsi promouvoir la langue et la culture françaises et favoriser les échanges culturels avec
la république de Maurice et l’Inde. Elle s’appuie pour cela sur l’Assemblée des Francophones Fonctionnaires
des Organisations Internationales monde (AFFOI) et son président, Dominique Hoppe, membre de Cap Windia,
en charge des relations internationales et de la francophonie, et sur un cercle d’historiens et d’écrivains
passionnés par ce nouveau défi et très fins connaisseurs de la « Route des Indes » sous ses très divers et riches
aspects.
V. Un budget maîtrisé
Une équipe de professionnels de l’évènementiel et de la course au large se mettra à la disposition des Sponsors
principaux afin de leur présenter un budget réaliste et maîtrisé et leur offrir un package complet :
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Conférence de presse
Tour de reconnaissance
Gestion évènementielle et relations partenaires
Mise en place des villages dédiés (Départ – Escale – Arrivée)
Mise en place d’un pôle de communication (Presse – internet)
Mise en place d’un pôle logistique global
VI. Un projet « Nautisme – Tourisme – Business » (Winvest)
L’aménagement d'une « Marina » dans la zone Chennai - Pondichéry s’impose pour accueillir les navigateurs et
les voiliers à leur arrivée, mais aussi pour répondre à la demande croissante de deux secteurs cibles du
développement local : le Nautisme et le Tourisme qui intéressent les investisseurs indiens et/ou français,
institutionnels et/ou privés, dont certains sont déjà implantés.
Quatre objectifs complémentaires sont visés par la « Cap Windia » :
- Créer une infrastructure d’accueil de la course qui répond durablement au fort développement régional du
nautisme (plaisance, yachting, pêche, gardiennage et entretien, achat/vente, construction…) et capable
d’accueillir les grandes compagnies de croisières, en particulier lors des périodes d’inter-courses.
- Développer un important centre de Tourisme : hôtellerie, équipements, tourisme nautique et terrestre,
sports nautiques, pêche…
- Créer un habitat saisonnier ou permanent (type Port Grimaud) pour une population locale et internationale
privée de ce type d’équipement dans la région…
- Créer un centre d’affaires, espace privilégié dédié aux échanges franco-indiens et vitrine des produits de luxe
français très appréciés en Inde.
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La clientèle visée est essentiellement la catégorie la catégorie CSP+ de l’Inde du sud avec Chennai (grands
groupes industriels français notamment), Bangalore (aéronautique informatique), Coimbatore (industries
lourdes) Hyderabad (textile) et bien d’autres, raisons pour lesquelles « Cap Windia » offre des opportunités
exceptionnelles de développement.
Le montage juridique, administratif et financier de ce projet peut s’inspirer de nombre d’exemples dans le
monde (reconstruction après tsumani par exemple, rachat d’anciens arsenaux de la Marine, marina de Jinzhou
en Chine porté en partenariat par le département de la Charente-Maritime…).
Sa réalisation s’appuiera sur les sociétés intéressées et spécialisées, par exemple MSE Industries à Toulon ; Yas
Marina à Monaco ; Vinci qui cumule construction et traitement de potabilité de l’eau de mer… etc. Ces atouts
rendent réaliste la livraison d’une première tranche (port et infrastructures diverses d’accueil) pour l’arrivée de
la première édition de la course.
Marina Mumbai (Bombay)
Port Grimaud (golfe de Saint-Tropez)
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