Causes du ralentissement économique
-La crise de la dette en Europe
-Principalement les problèmes financer à travers le monde
-L'endettement des américains et la bulle immobilière
-Les déséquilibres de la balance commerciale américaine
-La non-régulation des produits dérivés
-La baisse des taux directeurs de la Fed
-(5)
«Les économies développées se trouvent face à une spirale structurée autour de 4 faiblesses qui se renforcent
mutuellement: la crise de la dette souveraine, la fragilité des secteurs bancaires, une demande globable faible
(chômage élevé), la paralysie politique causée par des antagonismes forts et des carences institutionnelles».
Conséquences du ralentissement économique
-Crise de l?emploi
-Affaiblissement des perspectives de croissance économique
-Chômage à un niveau élevé près de 9%
-Allongement de la durée moyenne pendant laquelle des travailleurs toujours plus nombreux restent sans emploi
-Turbulences sur les marchés financiers
-Fragilité dans le secteur bancaire
-(5)
Indicateurs
Selon les experts de l'organisation des Nations Unies, «la situation économique du monde reste préoccupante».
Effectivement, en 2011, l'économie mondiale a été touché par un ralentissement et, en 2012, «la croissance
économique mondiale restera probablement faible». Ceci peut s'expliquer par le fait que la majorité des pays
progressent à un rythme inférieur à leur potentiel.
PIB
Conjoncture_économique_mondiale
Causes du ralentissement économique 1
En 2011, le PIB ($ US courants) mondial était de 69 billions (10).
En 2011, le PIB ($ US courants) mondial par habitant était de 10 036,8. (11)
PMB
Le produit mondial brut «équivaut à la somme de tous les produits intérieurs bruts des États de la planète». (22)
En 2011, le PMB a atteint 2.7%. (21)
En 2012, le PMB devrait connaître une croissance de 2.5%. (21)
En 2013, les prévisions concernant le PMB dévoilent une croissance de 3.1%. (21)
Taux d'inflation
En 2011, le taux d'inflation (prix à la consommation )mondial était de 4,9 %. En 2008, ce même taux était de 9%.
(12)
En 2012 et 2013, ce taux devrait s'établir à 3,1. (20)
Croissance mondiale
En 2011, la croissance mondiale était de 2,8 %. (14)
En 2012, celle-ci devrait s'établir à 3,5 % pour grimper à 3,9 % en 2013. (13)
Les perspectives concernant la croissance mondiale pour 2013 sont révisées à la baisse. Selon Olivier Blanchard,
conseiller économique et directeur du Département des études du FMI, il prévoit une croissance des pays avancés à
1,5 % (contre 1,8 % auparavant) et de 5,6 % dans les pays émergents et en développements (contre 5,8% en avril
2012) (19).
Le chômage
Le taux de chômage est un indicateur économique ayant fortement varié suite à la crise économique de 2008.
Effectivement, «[e]n 2011, le taux de chômage moyen y était proche de 8,6 pour cent, bien au-dessus des 5,8 pour
cent enregistré avant la crise en 2007»(23). Cela a ralenti la reprise économique de nombreux pays, notamment
dans les pays développés.
En fait, plusieurs pays développés ont encore, à ce jour, «de la difficulté à surmonter les problèmes économiques
générés par la crise financière mondiale de 2008-2009». Le taux de chômage qui demeure toujours élevé à
l'intérieur de ces pays en question en est un bon exemple. D'ailleurs, selon les prévisions, le taux de chômage ne
devrait pas s'améliorer à court terme. Aussi, les perspectives économiques mondiales pour 2012 du sites Nations
Unies ajoute même que la durée que les travailleurs demeurent sans emplois s'allonge et a comme conséquence
d'affecter négativement, à moyen terme, les perspectives de croissance.[5]
En plus, à cause de la crise économique mondiale, le taux de chômage devrait être encore plus grand et cette crise
fera énormément augmenter le nombre de personnes en chômage et la condition des travailleurs étant déjà pauvres.
Conjoncture_économique_mondiale
Indicateurs 2
Selon le rapport,« le nombre de chômeurs pourrait augmenter de 18 à 30 millions à travers le monde, et même de
51 millions si la situation continue de se détériorer.» pa rapport à 2007. Ce qui serait extrèmement désastreux.
Commerce mondial
Le commerce mondial a connu une augmentation de 0,6 % pour la période de juillet et août 2012. Ce même
commerce est relativement stable depuis le mois de mai 2012. Il se situe à 4%. (8)
D'ici deux ans, soit vers 2013, la croissance du commerce mondial va continuer de diminuer et devrait atteindre les
4.4% et 5.7%. Cette diminution de la croissance serait principalement due au ralentissement de la croissance
économique mondial, surtout dans les pays développés. (5)
Les pays en développement jouent présentement un rôle important dans le commerce mondial, car ils sont capables
de répondre à la demande. En 15 ans, soit de 1995 à 2010, leur participation dans le commerce est passée de 28.5%
à 41.2%. En 2011, les pays en développement ont contribué à 50% des importations comparativement à 43% dans
les trois dernières années précédent la crise. (5)
Dette
De plus en plus, « les déséquilibres des paiements courants » sont présents dans de nombreux pays. Certains ont de
grands excédents alors que d'autres ont de grands déficits. Cela est provoqué par un déséquilibre à l'intérieur même
du pays « entre besoins et capacités de financement ». Il en découle ainsi « une situation de plus en plus
désordonnée et donc de plus en plus dangereuse pour l?économie mondiale, et en particulier pour la grille de
changes des principales devises ». À court terme, il est acceptable d'avoir des déséquilibres des paiements courants,
mais à long terme, cela s'avère intolérable puisque « derrière ces déficits et ces excédents, ce sont des dettes et des
créances au sens large qui s?accumulent ». (9)
Il est aussi intéressant de mentionner que les débiteurs sont de plus en plus des pays anglo-saxons et que les
créditeurs sont représentés par les pays d'Asie et les pays pétroliers. (9)
Selon Standard & Poor's (qui publie des analyses financières concernant des actions et des obligations), le monde
aura devra se trouver 8000 milliards de dollars d'ici l'année 2015 pour se refinancer. Toujours selon eux, « Environ
la moitié des dettes arrivant à échéance serait domiciliée en Europe, tandis qu?un peu plus d?un tiers proviendrait
des Etats-Unis » (18).
Crise dans la zone euro
De nombreux pays qui font partie de la zone euro sont inquiétant. Cela est le cas de la Grèce, le Portugal, l'Irlande,
l'Espagne, l'Italie, ... Donc, plusieurs pays développés ont des problèmes économiques. «La crise dans la zone euro
reste la menace la plus évidente pour les perspectives de l'économie mondiale»(24).
Afin de résoudre la crise qui persiste dans la zone euro, certains accords pourraient permettre de rompre les liens
négatifs qui existent entre les États et les banques. Ces accords donnent aussi la possibilité de créer une union
bancaire. Pour que l'union bancaire et budgétaire soit mise en place, les pays faisant partie de la zone euro doivent
respecter leurs engagements en ce qui concerne la réforme. Pour que cela se réalise, un environnement financier et
économique favorable est primordial.
Conjoncture_économique_mondiale
Le chômage 3
Voici quelques éléments qui doivent être adoptés afin que l'Europe se sorte de la crise
- « Il faut s'engager de manière crédible à établir une union monétaire robuste et complète.
- La viabilité de l'union monétaire doit aussi être soutenue par des réformes structurelles d'envergure dans
l'ensemble de la zone euro, qui permettront de rehausser la croissance et de corriger les déséquilibres courants au
sein de la zone.
- Il est essentiel de soutenir la demande et de gérer la crise à court terme pour atténuer les effets de l'ajustement et
préserver la stabilité sur les marchés
- Il est possible d'assouplir davantage la politique monétaire dans la zone euro.
- Il faut mettre en oeuvre les programmes de rééquilibrage budgétaire dans la zone euro. En général, il faut veiller à
atteindre des objectifs budgétaires structurels, plutôt que des objectifs nominaux qui seront probablement sensibles
à la situation économique. Il faut donc laisser les stabilisateurs automatiques jouer pleinement dans les pays qui ne
sont pas mis sous pression par les marchés. Les risques de détérioration étant considérables, les pays peu
vulnérables sur le plan budgétaire doivent être prêts à appliquer des mesures budgétaires d'urgence si ces risques se
matérialisent. » (15)
États-Unis
Économie
"http://wiki.mlalande.profweb.ca? L?économie américaine continue de croître modérément. En fait, le rythme de
progression du PIB réel au printemps est de 1,3 %. C?est le plus faible taux depuis l?été 2011.
? Le taux de chômage a diminué, passant de 8,3 % à 7,8 % en deux mois seulement pour rejoindre le plus bas
niveau depuis l?investiture du président Obama en janvier 2009.
? La hausse de 0,9 % des ventes qui excluent les aliments et l?énergie en septembre annonce une meilleure
croissance de la consommation réelle au troisième trimestre que le 1,5 % du printemps.
? Toujours du côté des ménages, l?habitation montre de meilleurs résultats. Si la revente a pris une pause en
septembre, les mises en chantier ont rejoint leur plus haut niveau depuis juillet 2008. Les prix des maisons sont
aussi en hausse selon l?indice S&P/Case-Shiller.
? Les exportations nettes devraient amener une contribution négative à la croissance du PIB réel. Les exportations
réelles sont en forte baisse depuis le début du trimestre.
? Le Produit National Brut (PNB) des États-Unis est de 15,29 milliards
Enfin, Après une faible croissance économique au printemps, rien n?indique que le PIB réel ait connu un rebond
cet été, et la progression du PIB réel ne devrait être que de 1,9 % au troisième trimestre. Une légère accélération
est plausible pour l?automne, mais tout dépendra de ce qui adviendra avec le fiscal cliff. Le scénario table sur un
gain de 2,2 % du PIB réel cette année et sur une croissance de 1,9 % l?an prochain. (Octobre 2012)
Inflation
Conjoncture_économique_mondiale
Crise dans la zone euro 4
? L?inflation est en hausse depuis quelques mois aux États-Unis. Cette accélération de l?indice des prix à la
consommation (IPC), qui a fait passer le glissement annuel de 1,4 % en juillet à 2,0 % en septembre, provient
essentiellement de la hausse récente des prix de l?énergie.
? Avec un effet anticipé moins important provenant de l?énergie et une certaine stabilité des autres biens, on
s?attend à ce que l?inflation demeure modeste au cours des prochains trimestres. L?inflation totale devrait revenir
vers 1,0 % au printemps 2013. L?inflation de base restera aux alentours des récents résultats. (1)
FAITS SAILLANTS
Depuis la deuxième estimation des comptes nationaux, la croissance annuelle du PIB réel de ce pays au
troisième trimestre est estimée à 2,7% au lieu du 2% prévu précédemment.
1,4%, c'est le taux de croissance de la consommation réelle qui a été recalculée. Elle a donc passé de 2% à
1,4% à cause des dépenses de biens non durables et de services.
Les investissements des entreprises ont connu une baisse significative de 0,9% et se chiffrent maintenant à
-2,2%. De plus, malgré qu'une stagnation était prévue pour ce secteur, l'investissement en équipements et
logiciels connait une baisse de 2,7%.
La variation trimesstrielle annuelle du secteur extérieur est passé de -1,6% à +1,1% grâce aux exportations
réelles."http://wiki.mlalande.profweb.ca
.
Canada
PIB réel
Le PIB réel canadien devrait croître de 2,2 % en 2012. Un gain de 2,2 % est également attendu en 2013.
PIB par habitant
En 2011, le PIB par habitant du Canada était de 39 370 $ (en dollars canadiens de 2002) (26),
Taux de chômage
En novembre 2012, le taux de chômage pour le Canada au complet, se situe à 7,2 % ce qui représente une petite
amélioration depuis 2010.
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États-Unis 5
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