LES GUERRES MARÉCHALIENNES, PREMIÈRE PARTIE

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LES GUERRES MARÉCHALIENNES,
PREMIÈRE PARTIE
An 156 après JC, l’empire Romain n’est plus que l’ombre de lui-même. Il est aujourd’hui en proie
à la guerre civile. Les factions romaines qui par le passé en unissant leur force avait fait de Rome
le grand Empire que nous connaissons tous, s'entre-déchirent aujourd’hui pour les restes d’un
empire déchu.
Forces en présence
Equipe I:
BeccoGiallo ( Julii)
Legioen104 ( Julii)
(}{OSIRUS}{_[Cap]Mannyballs)(macédoniens)
Equipe II:
MaréchalMAXIMUS (Carthaginois)
MaréchalDELESPERUT (S.P.Q.R.)
MaréchalTIORGARD (Scipii)
Récit d'après Maximus et Tiorgard.
Nos alliés les fiers carthaginois menés par
le maréchalMAXIMUS se positionnent sur
notre flanc droit avec une ligne d'infanterie
royale carthaginoise représentant leur
centre, la pluie ruisselant sur leur armures.
Les troupes du Sénat menées par le mare­
chalDELESPERUT sont positionnées plus
à droite sur le champ de bataille et
commence à faire mouvement vers les car­
thaginois afin de couvrir leur flanc et proté­
ger le notre.
Face à nous sur une position dominante, les
Julii et les macédoniens nous attendent.
La pluie est au rendez-vous en ce jour, dans les
plaines d’Aquitaine lorsque les 2 armées prirent Leurs archers s’avancent et profitent de leur
position sur le champ de bataille.
nombre et de leur position pour faire pleuvoir sur
nos troupes un déluge de flèches enflammées.
Avant cela, les carthaginois ont effacé leurs ran­
coeurs historique pour sauver le modèle romain.
Ils ont répondu à l'appel du sénat romain et
ont alors effectué une très longue marche
pour s'aligner à coté de ceux-ci et de leurs
alliés Scipii.
Face à face les armées essayent de se toiser
du regard malgré la distance qui les sépare.
A la lisière d’un petit bois, les archers Sci­
pii se positionne en ordre dispersé. Derrière
eux, a quelques mètres, les cohortes ur­
baines se positionnent flanquées de chaque
coté par de la cavalerie prétorienne.
voient avec effroi leur allié tenant
leur flanc droit être exterminé.
N’ayant plus d’autres solutions ils
décident d’attaquer l’armée du sé­
nat.
Les cohortes et phalanges ennemis
s'ébranlent vers notre direction. Un
impressionnant mur de pique qui
nous semble infranchissable avance,
lentement et inexorablement.
C’est un véritable carnage dans les rangs des
frondeurs carthaginois de Maximus et des
archers Scipii de Tiorgard.
Impossible de faire face à un tel déluge. Harcelé
par la cavalerie Julii, les frondeurs carthaginois
voient avec joie le soutien de la cavalerie du sé­
nat et des scipiii les débarrasser de cette menace,
mais les archers crétois et Julii caché derrière la
ligne de phalange macédonienne, continue a
faire tomber nos troupes par dizaines.
Maximus a vu le danger, et ordonne
à ses légions de se préparer à l'ultime affronte­
ment, il rappelle les glorieuses heures de l'Em­
pire Romain, il remémore à tous la culture ro­
maine et l'obsolescence grecque. Enfin, il ex­
horte ses hommes à tenir et refouler ses hommes
qui pilleront leurs terres, leurs biens, violeront
leurs femmes et tueront leurs enfants et leurs
pères.
L'effet est gigantesque, et une énorme clameur
virile résonne sur le champs de bataille.
Il faut a tout pris agir avant qu’il ne soit trop
tard.
Puis, les voici a portée , Tilus cerberus, légion­
naire julii se souvient : « j'empoigne mon pilum
Profitant de la désorganisation créée dans les ,tend le bras en arrière et le jette de toutes mes
rangs des Julii de gauche commandé par le géné­ forces sur les lignes carthaginoises. Autour de
ral BeccoGiallo, suite à une charge de cavalerie moi, quelques hommes tombent, les autres conti­
Scipii, Maximus et Tiorgard donnent l’ordre à nuent d'avancer jusqu'au contact.
leurs troupes d’avancer sur le flanc droit ennemi, Je tiens fermement mon glaive et me jette sur le
tandis que Delesperut a pour mission de museler premier carthaginois que je vois, le frappe à son
les intentions belliqueuses sur notre flanc.
ventre. Je ne trouve que son bouclier, sa lance
Notre imposante force en mouvement soulève un fonce vers moi mais je réussi à la parer. S'en
nuage de poussière qui cache un peu nos mouve­ suit un dur combat, quand soudain, le sol
ments, mais surtout occulte l'importance de nos
troupes.
Même s'il n'est pas dupe de
notre manoeuvre, le général ro­
main, réagit trop tard, malgré
ses efforts pour resserrer les
rangs avec ses alliés. Il ne peut
éviter les armée carthaginoise
et Scippi.
Bloquées par l’armée de De­
lesperut, les macédoniens com­
mandé par le général Manny­
balls et la 2ème faction Julii
commandé par le général Le­
gioen ne peuvent rien faire. Ils
tremble sous mes pieds : bruits de galop. Je
tourne alors la tète, et là, vison d'horreur : des
centaines de chevaux foncent sur nous, nous al­
lons être massacrés. Je me retourne vers mon
adversaire le plus proche malheureusement trop
tard. Sa lance s'enfonce dans mon ventre provo­
quant surprise puis douleur.
Je ne suis plus capable de me battre, et je ne
sais pas comment j'y ai réchappé »
versés de leurs sang, impose une courte pause
salvatrice afin de réorganiser sa position.
L'infanterie de Tiorgard se joint à ses lignes, en
laissant sa cavalerie nettoyer les bois du reste des
Julii apeurés.
Puis, enfin nous pouvons en finir avec ses êtres
vils qui ont voulu mettre à plat notre république.
Nous pouvons venger le sang de nos hommes.
Malgré ces tristes événements pour des centaines
de braves guerrier, il est trop tard pour l'ennemi. Maximus emploie enfin ses éléphants rendus
fous par l'odeur du sang. Tout autour d'eux n'est
Fidèle à sa légende, le maréchalDELESPERUT que bruit, fracas, mort, désolation. Les piquiers
a tenu bon la ligne, il sait que ses alliés arrivent macédoniens hurlent d'abord de peur, puis de
et que la victoire est à portée de glaive.
douleur quand les pachidermes les écrasent les
uns après les autres. Ces malheureux ne peuvent
Alors que Délesperut bloque le flot ennemi, pas fuir, avec les romains et les carthaginois de­
Maximus en engageant les troupes adverses et vant eux, des cavaliers derrières eux et ces
Tiorgard en annihilant leurs cavaleries avec ses monstres barrissant à quelques mètres de plus en
cohortes ont permit de dégager une importante plus proches.
cavalerie dans une manoeuvre sur les derrières
ce qui provoque la déroute de l'armée romaine Quelques minutes après, le chant des glaives est
ennemie.
remplacé par celui des chants de la victoire.
Une fois de plus, les maréchaux sortent victo­
La mêlée est féroce mais plus nombreux et pre­ rieux de leur confrontation.
nant de flanc et à revers les armées Julii et macé­
doniennes, nos ennemis du jour n’ont d’autres La charge du flanc ennemi par les éléphants et
choix que fuir ou mourir sur place.
les cavaliers a une nouvelle fois porté ses fruits
sanglants.
Le vaillant général Delesperut, n'en reste pas là,
et engage les armées macédoniennes qui sont Devant leurs vaillances, nous ne pouvons pas
épaulées des débris de leurs alliés romains. nous empêcher de rendre hommage à nos valeu­
Maximus, dont les hommes ont déjà beaucoup reux adversaires du jour ainsi qu'à leur fair-play.
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