part, à la subvention de 500 € octroyée par la Municipalité d’Orléans pour le récital de Jean-
Michel Dhermay de mai 2006 et grossie du produit de la quête que nous avons faite après le
spectacle (260 €) ; enfin à un don très important d’un de nos adhérents.
Grâce à cette bonne santé, nous avons d’abord pu assumer la totalité des frais de
transport Paris – Saint-Pétersbourg de la bibliothèque péguiste de Robert Burac1 que celui-ci a
léguée généreusement au Centre Jeanne d’Arc – Charles Péguy que dirige
Tatiana Taïmanova. Ces frais se montaient à 418,06 €, à quoi il a fallu ajouter différentes
dépenses : par exemple, envoi par Chronopost ou rémunération en chocolats des gens qui ont
bien voulu immobiliser cinq mois durant leur garage pour les 250 kg de livres concernés,
formant 18 cartons. Je tiens à préciser que le remboursement en chocolats des frais de garde
n’étaient pas exigés des dépositaires ; au deuxième dépositaire, nous n’avons d’ailleurs même
pas offert de chocolats. Grâce à cette bonne santé financière enfin, comme nous nous étions
engagés à régler tous les frais, y compris les frais de douane pour lesquels nous avions
immobilisé la somme de 300 €, et comme l’Université de Saint-Pétersbourg a tenu à s’en
charger elle-même, nous avons proposé, Romain et moi, à Katarzyna d’accepter cette somme
comme contribution aux frais d’organisation de la rencontre de Białystok à l’été 2007.
Autres dépenses importantes : l’impression des bulletins (889,50 €) ; leur envoi par La
Poste (414,44 €), le spectacle de mai 2006 (662 €, largement remboursés par la subvention de
la Municipalité et la quête).
***
Voici désormais quelques nouvelles.
Deux beaux succès, deux brillantes soutenances de thèse de doctorat : par
Sophie Vasset, qui fut jusqu’à l’an dernier notre vaillante responsable des relations publiques
de l’Association, sur « La médecine dans la littérature anglaise du XVIIIe siècle » et par
Lioudmila Chvédova, chargée des relations du Porche avec la Russie, sur « La cathédrale,
image symbolique dans la poésie russe et la poésie française ».
1 À noter que l’emballage de ces livres était terminé au mois d’août 2006 et que nous attendions un message
de l’Institut français de Saint-Pétersbourg, qui avait proposé à Tatiana Taïmanova d’aider au transport, ce qui
évitait démarches et papiers administratifs. Les appels téléphoniques de Tania et les miens à cet Institut n’ont
cessé qu’en décembre 2006, quand on nous a fait comprendre que certaines difficultés et restrictions budgétaires
ne permettaient pas de nous apporter le soutien envisagé. Nous avons ainsi perdu cinq mois.
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