Ecole des Infirmiers Anesthésistes des Hospices Civils de Lyon
L’INFIRMIER SAPEUR-POMPIER ET
L’ANTALGIE
L’ANTALGIE EN PRE-HOSPITALIER SUR PROTOCOLE INFIRMIER DE
SOINS D’URGENCE
TRAVAIL D’INTERET PROFESSIONNEL
Présenté par
BURGAT Nicolas
Tuteur : NOVEL Françoise
Promotion 2006/2008
Remerciements
Je remercie ma tutrice de mémoire Françoise Novel, pour sa présence
discrète et bienveillante, pour m’avoir aiguillé tout au long de ce travail.
Je remercie Samia, ma compagne, pour avoir toléré durant ces deux
années de travail mes humeurs et mes non-dits, mes angoisses et mon
indisponibilité.
Je remercie mes parents et ma famille pour la confiance indéfectible et
le précieux soutien qu’ils m’ont toujours témoignés.
Je remercie mes proches, mes amis, pour m’avoir toujours soutenu pendant
ces études.
Je remercie enfin mes collègues sapeurs-pompiers, médecins,
pharmaciens, et bien sûr infirmiers pour l’intérêt qu’ils ont porté à ce travail et
la confiance qu’ils m’ont accordée en acceptant de participer à l’enquête.
A ma † grand-mère, à mes parents
Ecole des Infirmiers Anesthésistes de Lyon
BURGAT Nicolas
Promotion 2006/2008
Avant-propos
Ecole des Infirmiers Anesthésistes de Lyon
BURGAT Nicolas
Promotion 2006/2008
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Avant-propos
Après un baccalauréat scientifique, nous nous sommes dirigé vers une
école d’ingénieurs, où nous nous perdions très rapidement dans une
profession qui ne nous convenait pas. En parallèle et pratiquement au même
moment, nous prenions notre premier engagement chez les sapeurs-
pompiers. Nous découvrions alors la chaîne des secours et leur organisation
et nous passionnions pour le secourisme et le secours à victimes. Nous avons
fait nos études d’infirmier puis nous avons exercé durant 6 ans en unité de
soins intensifs cardiologiques. Dans le même temps, nous poursuivions notre
engagement de sapeur-pompier, comme infirmier cette fois avec tout ce
que cela impliquait comme nouvelles responsabilités. L’exercice de la
fonction d’infirmier chez les sapeurs-pompiers s’étoffait alors des
protocoles infirmiers de soins d’urgence, qui allaient petit à petit permettre
ce qui est à présent de plus en plus appelé la « paramédicalisation des
secours ». Nous avons eu la chance de travailler dans un département pilote
et de mettre en œuvre les tous premiers protocoles. Nous décidions après
quelques années d’exercice de nous spécialiser en anesthésie afin de
progresser vers de nouvelles compétences. La douleur, ses mécanismes
intimes et ses manifestations, ses traitements, devenaient alors notre
quotidien et nous orientaient tout naturellement vers ce travail d’analyse et
de prospection de nos pratiques infirmières sur la prise en charge de la
douleur en pré-hospitalier au sein même de notre département d’exercice
sapeur-pompier.
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