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05&catid=39:eco-finance&Itemid=128
Tunisie : les prévisions tablent sur une croissance de 2,5% en
2016, estime Slim Chaker
Le taux de croissance de l'économie tunisienne atteindra pour l'année 2015, entre 0,2 et 0,3%, contre des
prévisions tablant sur une croissance de 0,5. C’est ce qu’a déclaré Slim Chaker, ministre des Finances,
dans une déclaration accordée mardi 02 février aux médias, en marge d'une rencontre-débat sur la loi de
finances 2016.
M. Chaker a ajouté que pour l'exercice 2016, les prévisions tablent sur une croissance de 2,5%. « Pour
parvenir à réaliser ce taux, il faut résoudre les problèmes liés à l'évasion fiscale, la contrebande, les
dépassements et le non respect de la loi », a-t-il encore précisé.
D.M
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14&catid=39:eco-finance&Itemid=128
Une mission du FMI attendue en Tunisie le 18 février, pour
discuter un 2ème programme de coopération
Le ministre des Finances, Slim Chaker, a annoncé, mardi 2 février 2016, qu’une mission du Fonds
monétaire mondial (FMI) effectuera, le 18 février 2016, une visite en Tunisie, pour discuter d'un
deuxième programme de coopération entre la Tunisie d'une part et le fonds et la Banque mondiale (BM)
d'autre part.
Dans une déclaration accordée à la TAP, le ministre a indiqué que le nouveau programme de coopération
avec la Tunisie, qui couvrira la période 2016/2019, sera axé sur la relance de la croissance économique.
Il a ajouté que son département se penchera sur l'élaboration d'un important programme de réformes
associant d'autres bailleurs de fonds notamment, la Banque africaine de développement (BAD).
« Ces programmes seront inscrits dans le cadre d'une seule matrice de réformes qui constituera (matrice)
un outil de travail avec tous les bailleurs de fonds du pays. L'application de ces réformes devrait être
lancée au début du mois de mai 2016 », a-t-il encore précisé.
Il est à rappeler que la Tunisie et le Fmi ont signé un accord de confirmation de deux ans, d'un montant
de 1,61 milliard de dollars (3,26 milliards de dinars) et 400% de la quote-part de la Tunisie. Approuvé
par le Conseil d'administration du Fonds, le 7 juin 2013, l'accord est arrivé à expiration le 31 décembre
2015. Les autorités tunisiennes ont exprimé leur intérêt pour la conclusion d'un autre accord.
Investir En Tunisie
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54&catid=36:investissement&Itemid=323
Lancement, le 5 février, du Fonds de capital investissement
franco-tunisien
Un fonds de capital investissement franco-Tunisien baptisé «co-localisation» sera lancé officiellement, le
5 février 2016, à Tunis, et ce, à l'initiative de la Caisse des dépôts et consignations tunisienne(CDC) et de
la Banque publique d'investissement «BpiFrance».
Doté d’un capital de 20 millions d’euros (soit l’équivalent de 44,54 millions de dinars), ce fonds domicilié
en France, s’inscrit dans une optique de développement des relations économiques entre la Tunisie et la
France, avec une démarche de co-localisation, d’après une source de CDC.
Le fonds de co-localisation Franco-Tunisien, dont la durée de vie est de 12 ans prorogeable de 2 années,
vise « à soutenir le financement des PME tunisiennes et ou françaises à fort potentiel de croissance et qui
désirent développer leurs activités respectivement en Tunisie et en France mais aussi en Afrique, au
Moyen-Orient et en Europe ».
«Il permettra, aussi, aux PME tunisiennes et françaises de consolider leurs projets de développement et
leurs positions concurrentielles sur le long terme, ce qui favorisera des partenariats commerciaux et
industriels équilibrés et pérennes dans un premier temps et permettra par la suite de partager des actions
concrètes dans certaines zones de marché, spécifiques».
Les entreprises accompagnées, par ce fonds, bénéficieront d’un accès direct aux marchés européens et
africains et d’une proximité du Moyen-Orient.
De même, les pouvoirs publics dans les deux pays s’engagent, grâce à ce fonds, à aider «les exportateurs
conquérants» à engager une expansion rapide, rentable et robuste sur les marchés internationaux
d’Europe, d’Afrique et du Moyen-Orient.
Pour sélectionner les PME, des critères économiques et financiers devront être recherchés tels que « des
entreprises innovantes, avec un minimum d’1 million d’Euros de chiffre d’affaires, animées par des
dirigeants dynamiques et recherchant des capitaux et un accompagnement international ».
Les entreprises tunisiennes et françaises dans lesquelles le fonds investirait devront, également, démontrer
une capacité à développer ou à renforcer des relations avec des partenaires issus des deux pays respectifs
par différents modes de coopération (industriel, commercial, de recherche et développement,
international….).
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52&catid=35:alaune&Itemid=143
Petrofac arrête ses investissements et s’apprête à quitter la
Tunisie !
Le dernier arrêt de production de la société pétrolière britannique de prospection et d'exploitation
énergétique, Petrofac, était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.
En effet, après une série de blocages répétés de ses activités à Kerkennah qui lui ont causé d’énormes
pertes depuis la révolution, la société mère dont le siège est en Grande-Bretagne, a décidé de mettre un
terme à ses investissements en Tunisie et de préparer même son départ du pays.
Petrofac, qui produit 12,5% de nos besoins en gaz, n’est pas la première compagnie pétrolière qui prend
une telle décision. D’ailleurs plusieurs autres compagnies à l’instar de Shell, EnQuest ou même ENI
(Ente Nazionale Idrocarburi) ont, bel et bien, quitté la Tunisie. Cette vague des départs risque de se
poursuivre à cause des sit-in et blocages à répétition qui entravent les activités des sociétés pétrolières en
Tunisie.
Suite à cette décision, qui porte un nouveau coup sévère à l’économie tunisienne, l’investissement des
forages des deux nouveaux puits « Chergui 9 » et « Chergui 10 » à Kerkennah d’un coût de 40 milliards
qui était prévu en 2016, est annulé. Petrofac va plus loin et n’écarte pas la possibilité de fermer la société
en Tunisie, si l’Etat tunisien n’intervient pas pour mettre un terme aux blocages répétés de ses activités.
Il est à rappeler que le dernier blocage date du 19 janvier dernier quand des dizaines de chômeurs sont
entrés de force dans les locaux de la société et ont bloqué la production pour entamer un sit-in et
revendiquer que la société continue à leur verser des allocations de chômage.
Petrofac produit un million de m3 de gaz par jour et chaque journée d’arrêt de production de la société
cause à l’Etat tunisien des pertes de l’ordre de 200 000 dinars. Cela sans parler du fait que la STEG, qui
est ravitaillée à partir de ce gaz, se verrait obligée d’aller voir ailleurs (importation de l’Algérie) pour
assurer ses besoins pour la production d’électricité.
Meriem.Kh
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