OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 1 https://www.tustex.com/bourse-analyse-marche/bourse-de-tunis-le-tunindex-repasse-les-5500-points-apres-unequatrieme-hausse-de-suite-030 BOURSE DE TUNIS : LE TUNINDEX REPASSE LES 5500 POINTS APRÈS UNE QUATRIÈME HAUSSE DE SUITE, +0,30% L'indice Tunindex aligne une 4éme hausse consécutive à la Bourse de Tunis et signe son retour en dessus des 5500 points, malgré la balance des variations qui fait état de 27 valeurs dans le rouge contre 15 progressions. L'indice principal de la BVMT progresse de 0,30% à 5512,65 points, le Tunindex 20 prend pour sa part 0,43% à 2352,77 points. Les échanges ont engendré un volume de 5,2 MD sur un 1,6 million de titres dont 1,1 million d'actions Carthage Cement. En hausse de 4,52%, le titre Carthage Cement clôture à 2,080 DT dans un volume de 2,4 MD, repassant en territoire positif depuis le début de l'année, soit +0,97%. L'action SIPHAT a ait l'objet d'échanges modeste, clôturant en hausse de 4,44% à 8,450 DT. ADWYA gagne 3,16% à 6,200 DT. Le titre SIAME prend 2,60% à 2,360 DT. Ciment de Bizerte clôture en hausse de 1,99% à 2,560 DT. Coté baisses, le titre Land'Or se replie de 0,54% à 9,050 DT dans un volume de 500 mille dinars. SFBT abandonne 0,25% à 19,190 DT. Euro-Cycles perd 1,96% à 34,990 DT. La plus forte baisse est pour SOTUMAG et GIF Filter, en repli de 2,51% à 1,940 et 1,550 DT. SOPAT recule de 2,41% à 1,210 DT. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 2 https://www.tustex.com/economie-actualites-economiques/un-quart-du-capital-de-la-bmice-libere-soit-150millions-de-dollars UN QUART DU CAPITAL DE LA BMICE LIBÉRÉ, SOIT 150 MILLIONS DE DOLLARS La Banque maghrébine d’investissement et de commerce extérieur (BMICE) voit le quart de son capital libéré, représentant 150 millions de dollars, suite à une décision collégiale des cinq pays membres de l’Union du Maghreb arabe (UMA). Le directeur général de la BMICE, Noureddine Zekri, a officialisé cette nouvelle à l’occasion dune conférence de presse. Noureddine Zekri a précisé que la Tunisie a été choisie pour abriter le siège de la BMICE, qui a d’ores et déjà entamé le recrutement des cadres maghrébins. Il est t à rappeler que l’accord sur la création de la BMICE a été signé en 1991 entre les cinq pays de l’UMA, mais elle n’a été lancée officiellement qu’en 2015. La BMICE aura pour mission de financer des projets communs aux cinq Etats membres de l’Union du Maghreb arabe (Maroc, Algérie, Tunisie, Mauritanie et Libye) dans les secteurs des infrastructures, des transports, des télécommunications et de l’électricité. Cette banque contribuera aussi à l’édification d’une économie maghrébine intégrée grâce au développement des échanges commerciaux intra-maghrébins et au renforcement de la circulation des biens et des capitaux entre les pays de la région. Une intégration économique maghrébine assurerait, selon une étude du FMI, 2 à 3 points de croissance supplémentaires par an pour chaque pays, sachant que e commerce entre les cinq membres de l’UMA ne représente en moyenne que 3% des échanges globaux de ces pays, soit l’un des taux d’intégration les plus faibles au monde. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 3 https://www.tustex.com/economie-actualites-economiques/lassad-zarrouk-nous-projetons-d-elever-laparticipation-du-secteur-des-assurances-au-pib-a-4 LASSAD ZARROUK: NOUS PROJETONS D’ÉLEVER LA PARTICIPATION DU SECTEUR DES ASSURANCES AU PIB À 4% Le Président directeur général de la Fédération tunisienne des sociétés d’assurance (FTUSA), Lassad Zarrouk a indiqué, sur les ondes de radio Express FM, que la fédération s’active dans le but de faire accroitre la participation du secteur de l’assurance dans le PIB pour atteindre 4% au cours des prochaines années. Sachant qu’actuellement, ladite participation est à hauteur de 2%. Lassad Zarrouk a expliqué, dans le même sillage, que le taux de participation en question atteint dans les certains pays de l’Europe la valeur de 8% et 3,5% dans des pays dits concurrents à la Tunisie. Dans un autre registre, le PDG de la FTUSA a estimé que l’augmentation de l’âge de la retraite pourrait avoir pour conséquence de proposer des remèdes à la situation chaotique que connaissent les caisses sociales. Par ailleurs, Lassad Zarrouk a précisé que le secteur des assurances connait une nouvelle dynamique avec le déploiement de véritables efforts afin de diversifier et moderniser les produits de l’assurance, cependant, il manque encore à l’appel une stratégie intégrale pour la promotion et le développement de tout le secteur. Soulignant que ce dernier renferme 22 sociétés d’assurance avec un volume de chiffres d’affaires de l’ordre de 1.6 milliards de dinars au titre de 2016. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 4 https://www.tustex.com/bourse-emprunts-obligataires/attijari-leasing-cloture-des-souscriptions-empruntobligataire-%C2%ABattijari-leasing-2016-2%C2%BB ATTIJARI LEASING : CLÔTURE DES SOUSCRIPTIONS : EMPRUNT OBLIGATAIRE «ATTIJARI LEASING 2016-2» ATTIJARI INTERMEDIATION, Intermédiaire en bourse, porte à la connaissance du public que les souscriptions à l’emprunt obligataire «ATTIJARI LEASING 2016-2 » de 20 000 000DT susceptible d’être porté à 30 000 000DT, ouvertes au public le 30 décembre 2016, ont été clôturées le 22 février 2017, pour un montant de 30 000 000DT. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 5 http://www.leconomistemaghrebin.com/2017/02/23/relancer-bourse-de-tunis/ Comment relancer la Bourse de Tunis ? Quelles sont les solutions pour sortir la Bourse de Tunis du marasme dans lequel elle se débat ? Y a-t-il un lien entre la situation économique du pays et les performances du marché ? Comment rassurer les petits porteurs ? Comment attirer les institutionnels et les étrangers pour investir à la Bourse de Tunis ? Peut-on continuer à avoir autant d’intermédiaires en Bourse opérant sur le marché ? Est-ce que l’on a été assez rigoureux dans l’admission de nouvelles sociétés sur le marché ? Quelles sont les voies de sortie de la situation actuelle ? C’est à l’ensemble de ces problématiques que les organisateurs de la 6ème Matinale d’Alumni IHEC Carthage ont tenté d’apporter des réponses, et ce, en invitant Khaled Zribi , président de la Bourse des valeurs mobilières de Tunis (BVMT), Ahmed Ben Jomaa, directeur général de Smart Finance et Smart Asset et Mehdi Ben Mustapha, chargé de communication au Conseil du marché financier (CMF). Une réflexion sur l’avenir de la Bourse de Tunis s’impose pour redorer son blason en respectant les intérêts des petits porteurs. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 6 http://www.leconomistemaghrebin.com/2017/02/23/climat-affaires-entre-lenclume-marteau/ Le climat des affaires entre le marteau et l’enclume Des débats ont eu lieu aujourd’hui à Tunis, sous l’égide de l’Institut Tunisien de la Compétitivité et des Etudes quantitatives (ITCEQ), sur le climat des affaires en Tunisie. Est-il favorable ou contraignant à l’investissement ? Reposant sur un échantillon de 1200 entreprises privées, cette enquête permet de connaître la perception des chefs d’entreprise sur les difficultés rencontrées. Pour qu’il y ait un terrain propice à un climat des affaires, il va falloir promouvoir l’investissement. L’étude a montré que l’indicateur de perception du climat des affaires a connu un recul substantiel de 2 points, soit 58.7 en 2016 contre 60.7 en 2015. L’instabilité politique a été pointée du doigt comme étant un obstacle au développement des activités des entreprises. En chiffres, 51 % des entreprises la considèrent comme une contrainte majeure pour le développement de leurs activités. En d’autres termes, cette instabilité a entraîné une attitude attentiste. Ainsi 39 %des entreprises ont préféré ne pas investir. Evoquant la situation sécuritaire, près de la moitié des entreprises interrogées dénoncent le terrorisme comme étant un obstacle majeur à leur développement et 48% révèlent que la situation de la Libye nuit au climat des affaires et freine leur activité. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 7 http://www.leconomistemaghrebin.com/2017/02/23/bourse-ne-remplit-pleinement-role-financement-deleconomie/ La Bourse ne remplit pas pleinement son rôle dans le financement de l’économie Pour débattre de cette situation et des perspectives de la place de Tunis, Alumni IHEC Carthage a organisé aujourd’hui à Tunis, en partenariat avec la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté, la 6ème Matinale autour de ses sujets d’actualité, en conviant Khaled Zribi, président de la Bourse des valeurs mobilières de Tunis (BVMT), Ahmed Ben Jomâa, directeur général de Smart Finance et Smart Asset et Mehdi Ben Mustapha, chargé de communication au Conseil du marché financier (CMF). Invité pour présenter la situation actuelle de la Bourse de Tunis, Khaled Zribi a rappelé que la stratégie pour le développement de la Bourse repose sur trois axes, à savoir la gestion du marché pour faire face à la faiblesse du volume des transactions, le développement du marché financier pour diversifier les instruments de financement de l’économie tunisienne et la communication pour une meilleure transparence. «La Bourse ne remplit pas pleinement sont rôle dans le financement de l’économie. Il y a un problème de représentativité des secteurs dû à la problématique de liquidité. Les secteurs ne sont pas suffisamment représentés à l’instar des télécoms et des assurances », a-t-il affirmé. Et d’ajouter que ce n’est pas normal parce que l’Etat ne semble pas assez concerné par la problématique bourse. « Je pense que la nouvelle loi sur l’investissement permettra de lever plusieurs barrières pour diversifier les acteurs, mais toutes les conditions ne sont pas encore réunies. Outre la problématique de la gouvernance, certaines entreprises publiques n’arrivent pas à jouer leur rôle dans l’économie», a-t-il précisé. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 8 http://www.leconomistemaghrebin.com/2017/02/24/nouveaux-modeles-de-croissance-inclusive-afrique/ Les nouveaux modèles de croissance inclusive en Afrique Le Club Afrique Développement annonce l’ouverture des inscriptions à la 5ième édition du Forum International Afrique Développement, qui aura lieu les jeudi 16 et vendredi 17 mars 2017 à Casablanca. Autour du thème « les nouveaux modèles de croissance inclusive en Afrique », cette édition confère à ses participants : Un programme exclusif de rencontres thématiques de haut niveau, L’opportunité de prendre part aux B to B, L’accès et la participation au Marché de l’Investissement ainsi que les banques de projets qui y seront présentés. Le Forum International Afrique Développement est aujourd’hui la plateforme de référence de la communauté d’affaires et de décideurs politiques engagés en Afrique. Pragmatique, cette plateforme offre une dynamique concrète de B to B, de B to G, une visibilité des banques des projets d’investissements et des plans nationaux de développement à travers le Marché de l’Investissement. A l’instar de l’édition précédente, la Tunisie sera à l’honneur au niveau du marché de l’investissement, avec un stand dédié et des présentations des grands projets. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 9 http://www.leconomistemaghrebin.com/2017/02/24/marche-africain-marche-prometteur/ Le marché africain, un marché prometteur Le marché africain est un atout considérable, un grand potentiel à exploiter. Entre enthousiasme et attentes, il semble que le programme Africorrbankinq de la Banque Africaine d’Import-Export vise le marché Tunisien. C’est ce que révèle Samia Rejeb, directrice-adjointe à la direction générale du financement et des paiements extérieurs de la Banque centrale. Encourager le marché de l’investissement sur le continent africain, tel est l’objectif des débats organisés par les représentants des différentes banques sous l’égide de la Banque centrale. Elle précise: « Le marché africain est très prometteur. Aujourd’hui, il faut saisir ces opportunités qui s’offrent à nous. Les représentants de la Banque Africaine sont très ouverts, ils offrent une multitude de mécanismes de financement. Prenant l’exemple des services qu’ils proposent, dont des lignes de crédit avantageuses, en soutien au développement et à la croissance dans différents secteurs, comme celui de l’agriculture, le tourisme, le financement direct etc..”. Et de poursuivre: « Nous avons même des entreprises tunisiennes qui veulent investir dans les pays subsahariens, l’Afrique anglophone et francophone. Evidemment, comme dans toute nouvelle aventure il y a des risques à courir. Idem pour les banques tunisiennes qui sont restées en vase clos. Il va falloir adopter une nouvelle approche, plus ouverte sur l’extérieur si on veut investir le marché africains ». OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 10 http://africanmanager.com/signature-dun-accord-cadre-de-cooperation-entre-les-ministeres-du-tourisme-et-desaffaires-etrangeres/ Signature d’un accord-cadre de coopération entre les ministères du tourisme et des affaires étrangères Les ministres du tourisme et de l’artisanat Selma Elloumi Rekik et des affaires étrangères Khémais Jhinaoui ont signé, jeudi, un accord cadre de coopération dans le domaine du tourisme et de l’artisanat. L’objectif de cet accord, est de mieux faire connaitre les opportunités d’investissement dans les domaines du tourisme et de l’artisanat et le renforcement des exportations des produits artisanaux, précise Elloumi. Il s’agit en outre de garantir l’accès des produits tunisiens à de nouveaux marchés et de permettre aux représentations diplomatiques tunisiennes d’accorder des services d’appui aux cabinets et structures publiques relevant du ministère du tourisme et de l’artisanat, souligne la ministre. Et d’ajouter que les services qui seront accordés par le département des affaires étrangères, consistent en la garantie des informations relatives aux marchés extérieurs et l’élaboration de fiches sur la conjoncture économique, outre l’information immédiates sur les dispositions relatives à l’interdiction de voyages émanant du pays d’accréditation. Des journées touristiques seront organisées en vue de faire connaitre la destination Tunisie, outre l’organisation de rencontres professionnelles et la participation dans des foires spécialisées, a-t-elle encore fait savoir. Pour sa part, le ministre des affaires étrangères a annoncé que la Belgique a levé l’interdiction de voyage sur la Tunisie, estimant qu’elle constitue un pas positif notamment avant la visite du chef de la diplomatie belge en Tunisie, prévue au cours des prochains jours. Le ministre a, par ailleurs, indiqué que son département a mis en place de nouveau critères de nomination des ambassadeurs , dont la capacité de faire connaitre le tourisme tunisien et le renforcement du capital de la Tunisie auprès du pays d’accréditation. Jhinaoui a par ailleurs indiqué que les moyens mis à la disposition des représentants de la diplomatie tunisienne seront renforcés. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 11 http://africanmanager.com/sfax-appel-au-reechelonnement-des-dettes-de-la-societe-tifert/ Sfax: Appel au rééchelonnement des dettes de la société TIFERT Les cadres de la société tuniso-indienne des engrais (TIFERT) implantée à Sfax ont appelé à injecter de l’argent au profit de l’entreprise et à réechelonner ses dettes ( environ 400 millions de dinars), afin de permettre à l’entreprise de surmonter sa crise et faciliter sa mise à niveau. Ils ont appelé, lors d’une séance de travail organisée jeudi, à Sfax, à l’occasion de la visite effectuée par la ministre de l’énergie, des mines et des énergies renouvelables, Hela Cheikhrouhou dans la région, le partenaire indien, à fournir les pièces de rechange et un stock stratégique de phosphates de 100 mille tonnes. Selon les données présentées lors de cette séance les pertes de la société créée en 2013, dans le cadre d’un partenariat entre le Groupe chimique tunisien (GCT) et deux sociétés indiennes détenant 30% de son capital, ont atteint en 2016, environ 400 millions de dinars(MD) alors que la société ne fonctionnent qu’à environ 26% de ses capacités. La ministre a, à cette occasion, mis l’accent sur la nécessité de soutenir la société tuniso-indienne des engrais et d’examiner les moyens de répondre favorablement aux recommandations des cadres pour sauver la société qui emploie 454 cadres. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 12 http://africanmanager.com/diplomates-etrangers-reunions-jhinaoui-rappelle-la-necessite-de-coordonner-avecle-departement-des-affaires-etrangeres/ Diplomates étrangers-Réunions: Jhinaoui rappelle la nécessité de coordonner avec le département des affaires étrangères Le ministre des affaires étrangères, Khemaies Jhinaui, a rappelé aux chefs des missions diplomatiques accrédités en Tunisie « la nécessité de coordonner avec les services du ministères pour l’informer dans des délais raisonnables des demandes de réunions ou d’entretiens avec les membres du gouvernements et des hauts responsables de l’Etat ainsi que de leur déplacements à l’intérieur du pays ». Dans un communiqué rendu public jeudi, le ministre des AE a indiqué que cette mesure « vise à faciliter aux chefs des missions diplomatiques leurs missions, de permettre aux membres du gouvernement d’un délai suffisant pour organiser les audiences et prendre connaissance des dossiers de la coopération bilatérale et aux directions du ministère de bien organiser ces activités et d’assurer la sécurité des membres des missions diplomatiques qui est de sa responsabilité ». Khemaies Jhinaoui a souligné d’autre part le souci de son département de « réunir les conditions propices permettant aux membres des missions diplomatiques accrédités en Tunisie de s’acquitter au mieux de leur tâche dans l’impulsion des relations de partenariat et de coopération bilatérale et de faciliter les conditions de séjour, au plan professionnel et personnel, des diplomates étrangers et de leurs familles ». Le ministre des affaires étrangères avait présenté mercredi lors d’une entrevue avec les chefs des missions diplomatiques et des ambassadeurs accrédités en Tunisie et des diplomates accrédités en Libye avec résidence en Tunisie, un exposé sur les grandes lignes de l’initiative présidentielle pour le règlement de la crise libyenne, des résultats des réunions des ministres tunisien, algérien et égyptien des affaires étrangères et des contacts des trois pays avec les différents protagonistes libyens. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 13 http://www.webmanagercenter.com/2017/02/24/403499/tunisair-ouverture-de-deux-nouvelles-lignes-aeriennesvers-constantine-et-conakry-a-partir-de-lete-2017/ Tunisair : Ouverture de deux nouvelles lignes aériennes vers Constantine et Conakry à partir de l’été 2017 TUNISAIR a annoncé jeudi, qu’elle lancera, à partir de la saison estivale 2017, l’exploitation de deux nouvelles lignes aériennes dont la première reliera Tunis à Constantine en Algérie, à raison de 3 vols hebdomadaires et la seconde reliera la capitale à Conakry en Guinée, à raison de 2 vols par semaine, au départ de l’aéroport de Tunis Carthage. Le transporteur public, qui n’a pas précisé la date exacte du lancement de ces deux lignes, a noté dans le communiqué que la création de ces lignes s’inscrit dans le cadre de sa politique commerciale visant à s’ouvrir davantage sur l’environnement africain. Les programmes horaires des vols de ces deux nouvelles liaisons, seront comme suit : Tunis – Constantine – Tunis ( en heure locale) Tous les mardis – Départ de Tunis à 11h 00 – Départ de Constantine à 12h.40 Tous les jeudis et samedis – Départ de Tunis à 14h 00 – Départ de Constantine à 15h.40 Tunis – Conakry – Tunis ( en heure locale ) Tous les lundis – Départ de Tunis vers Conakry ( via Dakar) à 17h:10- Départ de Conakry vers Tunis à : 00h:35 Tous les Jeudis – Départ de Tunis vers Conakry à 14h:55 – Départ de Conakry vers Tunis ( via Dakar) à 20h:10 OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 14 http://www.webmanagercenter.com/2017/02/24/403500/amr-kamel-afreximbank-on-a-besoin-de-lexperienceindustrielle-tunisienne/ Amr Kamel – Afreximbank : “On a besoin de l’expérience industrielle tunisienne” Le vice-président du conseil d’administration de la Banque africaine d’import-Export (Afreximbank), Amr Kamel a indiqué que la banque a besoin de l’expérience industrielle tunisienne en vue de sa mise à profit dans les pays africains qui ont besoin, aujourd’hui, des industries de transformation pour valoriser leurs produits. “La Tunisie devra bien exploiter la croissance réalisée par quelques pays africains, lesquels enregistré, annuellement, des moyennes de croissance respectueuses, au cours de la dernière décennie, oscillant entre 3% et 5% “, a-t-il relevé dans une déclaration à l’Agence TAP, en marge d’une conférence organisée, jeudi, à Tunis, par ladite banque, au profit des exportateurs et investisseurs tunisiens pour faire connaître ses services. Kamel a précisé qu’il s’est déplacé en Tunisie, à la tête d’une délégation de cinq hauts cadres, après une réunion tenue, auparavant, entre le président de l’Afreximbank et le gouverneur de la BC, pour rencontrer des responsables du gouvernement (le gouverneur de la BCT et la ministre des finances), ainsi que des représentants du secteur privé et bancaire en Tunisie et des entreprises économiques, en vue de booster les moyens de la coopération entre les deux parties et de concrétiser les projets publics et privés à financer. Selon le responsable, la banque s’intéresse au financement de projets de l’infrastructure et des zones industrielles ainsi que des ports commerciaux. Il a ajouté que les pourparlers sont en cours avec des responsables tunisiens pour mieux définir ces projets. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 15 http://www.webmanagercenter.com/2017/02/24/403498/medibat-2017-5-ministres-africains-et-onze-membresdu-cpccaf-a-sfax/ MEDIBAT 2017 : 5 ministres africains et onze membres du CPCCAF à Sfax La Chambre de commerce et d’industrie de Sfax “CCIS“ accueille l’Afrique qui bouge, ainsi que des puissances économiques montantes (Chine, Turquie, entre autres) et des pays européens qui cherchent des opportunités d’investissement dans le domaine des BTP. Mais fait surprenant, selon certaines indiscrétions, jusqu’à aujourd’hui, aucun officiel tunisien n’est encore annoncé. Désolant! On espère que, pour cette 14e édition du MEDIBAT, le gouvernement “central“ à Tunis enverra son Premier ministre procéder à l’ouverture officielle du Salon Méditerranéen du Bâtiment (MEDIBAT). Ce serait une RECONNAISSANCE à cette CCIS qui, même dans les moments les plus difficiles qu’a traversés notre pays, a su attirer les investisseurs étrangers en Tunisie. Au 23 février, pratiquement à 12 jours de la tenue du Salon Méditerranéen du Bâtiment (MEDIBAT), cinq ministres de pays africains, en l’occurrence la Guinée, le Mali, le Cameroun, la République Démocratique du Congo et le Gabon, ont confirmé leur présence à cette manifestation qu’organise la Chambre de commerce et d’industrie de Sfax, du 8 au 11 mars 2017. Mais ce n’est pas tout, puisque 11 membres de la Conférence Permanente des Chambres Consulaires, Africaines et Francophones (CPCCAF) et plusieurs personnalités et autres décideurs dans le domaine des BTP en Afrique et en Europe seront également présents à cette 14ème édition du MEDIBAT. Pour la direction de la CCI de Sfax, cette présence aussi massive que prestigieuse réaffirme la notoriété internationale du MEDIBAT, manifestation qui accueille des exposants, des experts, et des spécialistes des BTP venus d’une trentaine de pays prendre part aux différentes manifestations (Exposition, Forum économique, Forum scientifique, Forum entrepreneuriat innovant, 3 Journées-pays et Séances de partenariat B2B) du Salon. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 16 http://www.webmanagercenter.com/2017/02/23/403494/developper-le-secteur-dassurance-pour-promouvoirson-role-dans-le-financement-de-leconomie/ Développer le secteur d’assurance pour promouvoir son rôle dans le financement de l’économie Les pistes à explorer pour développer le secteur des assurances et lui redonner le rôle qui doit être le sien dans le financement de l’économie, ont été débattues , jeudi, lors d’un séminaire organisé conjointement, par l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES), la Fédération tunisienne des sociétés d’assurances (FTUSA), en collaboration avec la Konrad-Adenauer-Stiftung (KAS) sur le thème ” Le Rôle de l’assurance dans le financement du développement “. Ces pistes couvrent un large champ d’action allant de la législation qui régit le secteur, à sa gouvernance, en passant par son organisation interne et la portée de son intervention. Les participants à ce séminaire ont été d’abord, unanimes sur le diagnostic faisant état d’un secteur d’assurances souffrant, malgré son énorme potentiel de développement, de plusieurs carences, dont la faible pénétration dans l’économie nationale, la faible densité et le rôle modeste dans la mobilisation de l’épargne, en plus du déficit structurel persistant de certaines branches d’activités. Adhérant à ce constat, Radhi Meddeb, entrepreneur et économiste a rappelé, dans une déclaration à l’agence TAP, que ” le taux de pénétration de l’assurance dans l’économie nationale, se mesurant par le niveau des primes collectées rapportées au PIB, est inférieur à 2%, contre 6,5% au niveau mondial . Dans des pays de niveau de développement et de cultures comparables, ce taux de pénétration peut atteindre et dépasser 3%. C’est dire le potentiel de croissance extrêmement important pour le secteur tunisien des assurances “. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 17 http://kapitalis.com/tunisie/2017/02/24/afreximbank-propose-daccompagner-les-investisseurs-tunisiens-enafrique/ Afreximbank propose d’accompagner les investisseurs tunisiens en Afrique La Tunisie, qui cherche à diversifier ses échanges économiques, se tourne de plus en plus vers le continent africain. Encore faut-il que les entreprises y soient accompagnées par les banques. Par Zohra Abid Le continent africain, qui est doté d’énormes richesses naturelles, d’une démographie galopante et d’une croissance économique soutenue, est aujourd’hui une terre de promesses et un immense chantier, qui attirent les opérateurs économiques du monde entier. Et les Tunisiens, dont l’intérêt pour l’Afrique est quelque peu tardif, ne sont pas en reste. Ils tentent, en tout cas, de renouer leurs liens historiques avec un continent à la construction duquel ils ont participé au lendemain des indépendances, dans les années 1950-1960. Les Tunisiens veulent rattraper leur retard Il faut dire que, dans cette orientation stratégique, ils ont été précédés par les Européens, les Chinois, les Turcs, les Indiens et, plus récemment, les Marocains. Mais il reste encore des parts de marché à prendre, les besoins du continent étant énormes et la porte pour les échanges et les investissements grande-ouvertes. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 18 http://www.ilboursa.com/marches/le-premier-espace-de-libre-service-bancaire-de-la-biat-ouvre-sesportes_11069 Le premier espace de libre-service bancaire de la BIAT ouvre ses portes La Banque internationale arabe de Tunisie (BIAT) confirme encore une fois son engagement d’accompagner ses clients et de répondre à leurs besoins en s’appuyant notamment sur les opportunités offertes par les nouvelles technologies. La première banque en Tunisie a ainsi annoncé l'ouverture, jeudi 23 février 2017, de son premier espace de libreservice bancaire en plein cœur de Tunis, à l'avenue Habib Bourguiba, et ce en présence de son Directeur Général, M. Mohamed Agrebi, et de hauts responsables de la banque. Situé en plein cœur du centre-ville de Tunis, le libre-service bancaire BIAT est accessible à tout client muni de sa carte bancaire tous les jours de la semaine, y compris le weekend, de 6h à 22h. L’espace comporte également un GAB dédié aux personnes à mobilité réduite. Les clients peuvent y effectuer, via les bornes interactives et les GAB, toutes les opérations bancaires courantes telles que : - l’extrait de compte détaillé, - l’édition du RIB ou de l’IBAN, - la consultation de solde, - les transactions de retrait et de dépôt d’espèces, - les dépôts de chèque, - les opérations de change, - la commande de chéquiers, - la recharge de cartes prépayées, - la recharge de ligne GSM. OECT/Service Communication REVUE DE LA PRESSE NATIONALE 24 Fevrier 2017 Page 19