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DES DEUX CULTURES AUX DEUX CITÉS…
(octobre 2008)
« L’art contemporain », question théologique ?
Le château de Versailles est, à lheure où nous mettons sous presse, défiguré par une exposition
« d’art contemporain » organisée par le président de lÉtablissement public du domaine royal 1
autour des facta d’un « artiste » contemporain, Jeff Koons, ex-époux de la Cicciolina, elle-même
ex-star du cinéma pornographique italien. Les visiteurs peuvent ainsi découvrir « Lobster », un
homard géant en aluminium, pendu dans le Salon de Mars ; « Rabbit », lapin gonflable en inox,
trône dans le Salon de l’Abondance. Et une sculpture dite « Split-Rocker », mi-tête de poney,
mi-tête de dinosaure, composée de 100.000 fleurs, a été installée sur le parterre de lOrangerie.
Cette provocation évidemment calculée , sajoute à limmense liste des abominations dont
est coutumier « l’art contemporain », comme en témoigne récemment la vente en Grande-
Bretagne dun crâne incrusté de 5.000 diamants, œuvre dun certain Damien Hirst, au prix de 70
millions de dollars. Le nom de lœuvre est blasphématoire : The Love of God, lamour de Dieu.
Un critique dart français, membre de lAcadémie Française et, pourtant, lui-même ancien direc-
teur du musée Picasso à Paris, M. Jean Clair, a manifesté son rejet de lexposition Koons : « Jeff
Koons nest que le terme extrême dune longue histoire de lesthétique moderniste que
j’aimerais appeler lesthétique du décalé. Le mot décalé est apparu dans la langue il y a sept ou
huit ans. Rien d’intéressant qui ne soit décalé. Une exposition se doit dêtre décalée, une œuvre,
un livre, un propos seront d’autant plus goûtés quils seront décalés. Décaler, cela veut dire ôter
les cales ; on décale un meuble, et il tombe, on décale une machine fixée sur son arbre et elle
devient une machine folle, on décale un bateau et vogue la galère. Une nef des fous en effet. Le
monde à l’envers donc. L’âne qui charge son maître de son fardeau et qui le bat, le professeur
traduit en justice pour avoir giflé lélève qui linsultait, le bœuf découpant son boucher au cou-
teau, les objets de Koons déclarés baroques appendus dans les galeries royales. Fin dun monde.
Fête des fous et des folles… Tout cela sous le vernis festif, a un petit côté, comme à peu près
tout désormais en France, frivole et funèbre, dérisoire et sarcastique, mortifiant. Sous le kitsch
des petits cochons roses, la morsure de la mort. Sous la praline, le poison. » 2
Ainsi que lobservait Camille Jullian dans les Années 20 du vingtième siècle, lart davant-garde
qui sintitule aujourdhui « art contemporain » , na rien à voir avec lart véritable mais tout
avec un système de provocation nihiliste qui enrichit quelques profiteurs exploitant des gogos,
au grand dam dun public désarmé par la complicité des pouvoirs publics avec les pourrisseurs :
« Les vieux académiques honoraient encore neuf muses. Ce que lon appelle « l’art vivant » dans
les quartiers chics comme dans les léproseries de Montparno et de l’infortunée rue de Seine,
n’en vénère plus que trois : réclame, combine et galette. On ne saurait quadmirer lactivité et la
méthode organisée de Lévy-Tripp, Gluant, Bouc et Rosenschwein et de leurs démarcheurs, si
elle « faisait » dans les benzols ou les caoutchoucs au lieu de jeter, sous prétexte dart, des pots
de peinture au nez du public… Dans plusieurs grands musées régionaux de France, les habi-
tants voient sinstaller auprès de merveilles anciennes des salles aménagées pour recevoir un lot
1 Jean-Jacques Aillagon, ex-ministre de la culture de Jacques Chirac, ancien collaborateur de François Pinault au
Palazzo Grassi de Venise.
2 Le Figaro, 11 septembre 2008.
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de tableaux « ultramodernes ». Ce sont presque toujours des rossignols invendus dans les bou-
tiques de Paris. Les braves provinciaux sont effarés. Doù ces horreurs sont-elles tombées ? On
s’indigne, on proteste puis on se résigne aux décrets du conservateur et de la municipalité. » 3
On ne peut cependant en rester à ces seules constatations. Il faut se demander quel est lobjectif
que poursuivent les organisateurs, d’État ou privés, de ces ignominies. Ne relever que laspect
provocateur ou financier est leur faire honneur, sinon tomber dans leur piège. Ce qui est en
cause est en réalité bien plus profond, cest la haine du Beau, du Bien et du Vrai, dont lorigine
comme le terme ne sont autres que le Créateur lui-même. Dès lors, « l’art » autoproclamé con-
temporain relève, par ses provocations, dune inversion d’origine praeternaturelle, cest-à-dire
satanique.
Ainsi que lobserve le Comte Malynski, « cette haine-là a un élément en soi qui dépasse la raison
et est en dehors du pondérable. Elle correspond à une crise mystérieuse dont le champ nest
pas le corps mais l’esprit… Si nous voulons en donner une explication que nous chercherions
vainement dans notre propre logique humaine, nous ne pouvons que la chercher dans la seule
des sciences qui nous la donne… la théologie. » 4
Beaucoup des leaders de « l’art davant-garde » ont d’ailleurs été proches, voire membres actifs,
des sociétés secrètes satanistes : « Kandinsky, dès les premières pages de son livre, fait référence
avec dévotion à Hélène Blavatski, fondatrice de la Théosophie… société théosophique, dont
Mondrian fut un membre actif. » 5
L’art véritable, comme la culture, est une aspiration dont l’apprentissage est difficile et la fin
toujours repoussée ici-bas , à un Beau idéal qui, souvenir de létat de perfection précédant la
Chute originelle, persiste confusément au cœur de lhomme. Ainsi comprise, l’art rend hom-
mage à la Création et donc, au moins indirectement, au Créateur. Les sociétés modernes, après
avoir supprimé toute influence de la vraie religion sur les plans institutionnel et social no-
tamment par le biais des systèmes éducatifs et des mécanismes économiques , veulent éradi-
quer le sens même du Beau qui pourrait remettre lhomme sur le chemin de Dieu, avec l’appui
de Sa grâce : « Ainsi donc l’antique trinité du Vrai, du Beau, du Bien nest-elle pas une vaine
formule théorique comme nous l’avions cru en notre jeunesse matérialiste. Si les sommets de
ces trois grands arbres convergent, n’a-t-on pas le droit de croire quaprès les coupes sombres
infligées aux pousses par trop hardies du Vrai et du Bien… soudain éclatera linattendue mer-
veille du Beau prenant la relève, se frayant des voies secrètes afin déclore au même endroit et
se dressant pour tous les trois. Alors, les paroles de Dostoïevski, « la beauté sauvera le monde »,
se révèleront non comme une phrase que le vent emporte mais comme une prophétie » 6.
3 Camille Jullian,
La farce de lart vivant
, Nouvelle revue critique, 1929.
4 Emmanuel Malynski,
La grande conspiration mondiale
.
5 Revue Catholica,
Image et vérité
, Boris Lejeune, été 2008, pp. 56 et suiv. Sur la Théosophie et Hélène Blavats-
ki, on consultera avec fruit Epiphanius,
Maçonnerie et sectes secrètes
, pp. 172 et suiv., et Pierre Virion,
Bientôt un
gouvernement mondial ?
, pp 33-34. Le livre de Mme Blavatski,
Doctrine secrète
, se propose « d’approfondir les
pouvoirs psychiques et spirituels latents dans l’homme », en clair d’en appeler à la haute magie, d’origine sata-
nique.
6 Alexandre Soljenitsyne,
Archipel du Goulag
, tome 1.
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La destruction de la culture chrétienne et des arts quelle inspirait et illuminait est, en quelque
sorte, la dernière étape de cette tentative insensée de mise à mort de Dieu que le Fils de perdition
poursuit sans relâche depuis la Chute et, de manière intensive, depuis la Révolution humaniste
du 16ème siècle. Cest la raison pour laquelle la « culture » moderne est devenue, à très peu
d’exceptions près, le véhicule privilégié de la laideur et de la perversion : il sagit détouffer dans
l’âme et lesprit de nos contemporains jusqu’au souvenir de leur condition de créatures desti-
nées à contempler un jour la Beauté absolue par essence quest Dieu. La « question culturelle »
n’est donc ni compréhensible, ni soluble, si lon ne recours pas aux lumières de la théologie.
La « culture moderne », produit du naturalisme
L’opposition entre culture et civilisation venue de la Réforme, lexaltation du « culturel » subjec-
tif au détriment du Beau objectif et universel, saccordent parfaitement avec la mentalité con-
temporaine qui a rompu avec la pensée réaliste et la droite raison. Saint Thomas dAquin dé-
montre que lagir suit la pensée : Agere sequitur esse 7. Les manifestations de lesprit comme les
œuvres dart, quelles quelles soient, découlent dun ordre préalable et supérieur qui les « in-
forme ». La philosophie antique l’avait déjà perçu intuitivement, ainsi quen fait foi ce passage
du Banquet de Platon : « La vraie voie, quon s’y engage de soi-même ou quon s’y laisse con-
duire, cest de partir des beautés sensibles et de monter sans cesse vers cette beauté surnaturelle
en sélevant comme par degrés des beaux corps aux belles actions, puis des belles actions aux
belles sciences, pour aboutir à cette science qui nest autre que la science de la beauté abso-
lue » 8.
Saint Thomas d’Aquin, à la lumière de la Révélation, confirme ce jugement par la démonstra-
tion contraire : « Personne ne peut vivre sans délectation. Cest pourquoi celui qui est privé des
délectations spirituelles passe aux charnelles » 9.
Rejetant tout ordre supérieur, la mentalité contemporaine dominante place la source de la pen-
sée et de lart dans la conscience du sujet. Tout à son immanentisme puisé au plus profond du
Moi, elle renverse en quelque sorte la proposition thomiste : Esse sequitur agere 10, pourrait-elle
dire. C’est est-ce un hasard ? , ce que postule aussi la philosophie dominante des deux der-
niers siècles.
Cette philosophie, c’est la philosophie allemande, dont les postulats sont presque tous puisés
dans l’esprit de la Réforme de Luther. Cette philosophie est devenue prépondérante, on le sait,
dans l’enseignement public et la formation des élites en France, abreuvées de Kant, Hegel,
Marx, Husserl, Freud, etc… Elle se fonde exclusivement sur le sujet et rejette lunicité dorigine
de la nature et de lêtre venue de la philosophie grecque, perfectionnée par la scolastique. Pour
la philosophie moderne dominante, en effet, il ny a pas de nature humaine stable, il ny a même
pas de nature humaine du tout.
7 « L’agir suit l’être ».
8 Le Banquet, XXIX.
9 Somme Théologique, 2°, 2°, q. 35.
10 « L’être suit l’agir ».
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Sur le plan politique, en exaltant au-delà de toute mesure lindividu et en rejetant la notion de
l’homme « animal politique » (Aristote) destiné à vivre dans une cité dont le Bien commun 11 est
le but premier, la philosophie moderne dissocie lhomme privé de l’homme public comme elle
refuse que lIntelligence se soumette au Réel (l’adaequatio rei et intellectus de Saint Thomas
d’Aquin). Aussi par la forme de société quelle inspire , la philosophie contemporaine domi-
nante conduit-elle à ce que la « culture » devienne un objet ou une collection dobjets ou de
concepts purement subjectifs, une tendance ou une collection de tendances sensibles dont le
renouvellement rapide est facilité par les technologies industrielles.
Pour Hegel 12 d’ailleurs, il ny a pas de Beau en soi ; est beau ce que je décide comme tel
puisquest rationnel tout ce qui existe 13 ! Le courant phénoménologiste (Husserl, Schopen-
hauer, Merleau-Ponty) va encore plus loin : l’art nexiste que dans et par la perception du sujet.
Conséquence de ces postulats, la « culture » na et ne peut avoir de valeur permanente, mais seu-
lement contingente, parce quelle nest pas fondée sur lÊtre qui est sa source. La culture mo-
derne ne peut alors produire du Beau, mais seulement le « presque rien » ou le « je-ne-sais-
quoi » 14 et, pour finir, le contraire du Beau, cest-à-dire le laid. Or, on peut affirmer, sans risque
d’erreur, que cette conception, masquée par la « langue de coton » technocratique, est celle des
pouvoirs publics dans notre pays depuis des décennies. Ils nen font d’ailleurs pas mystère : « La
tradition politique française donne à l’État un rôle prééminent de jugement esthétique en ma-
tière de création artistique et de définition des grandes orientations des politiques culturelles…
La politique culturelle a été encadrée et promue par l’État… » 15.
Plus révélateur encore, sur le fond, est ce quécrit Jacques Rigaud, ancien collaborateur de Mal-
raux, ancien président de la C.L.T. 16 : « Il est significatif que la politique culturelle de la Vème
république ait résisté aux alternances et aux divisions qui, en tant de domaines, caractérisent en
France le débat public… sans que jamais lexistence dune politique et dun ministère de la cul-
ture ait été remise en cause… On peut dire que règne en ce domaine, sur lessentiel, une sorte
de consensus… Le tournant de 1969 a été décisif. Malraux partant avec le général De Gaulle, si
le successeur de ce dernier, Georges Pompidou, et son premier ministre Jacques Chaban-
Delmas, avaient décidé de mettre un terme à une aventure certes prestigieuse mais liée à deux
11 Le bien commun d’une société est essentiellement moral : il consiste, en réalité, à ce que les lois de la cité ai-
dent au salut éternel des citoyens, grâce à ce que Saint Thomas d’Aquin appelle « la tranquillité de l’ordre », les
lois humaines devant être, autant que faire se peut, conformes aux lois éternelles et divines, c’est-à-dire à l’ordre
surnaturel.
12 Le matérialisme dialectique d’Hegel est d’ailleurs ancien puisqu’il prend sa source dans la Gnose : « Hegel est
un gnostique, et rien ne ressemble mieux aux évolutions internes de l’idée divine, imaginées par le philosophe de
Berlin, que le développement graduel de l’infini dans la chaîne des éons… De même, les extravagances de Fou-
rier, de Saint-Simon et d’autres utopistes modernes… ne font que reproduire, mot pour mot, les théories mo-
rales de certaines écoles gnostiques telles que les Nicolaïtes et les Carpocratiens », Abbé Freppel,
Saint Irénée et
léloquence chrétienne dans la Gaule pendant les deux premiers siècles
, Bray et Retaux, Paris, 1870, p. 183-184.
13 Voir
La phénoménologie de lesprit et Du beau
.
14 C’est ainsi qu’un ministre de la culture définissait cette dernière dans les Années 80 !
15
Les collectivités locales en France
, Documentation Française et CNFPT, 1996 p. 99. Ce texte, à valeur semi-
officielle, est de la plume de René Rizzardo, permanent à Peuple et Culture, organisation culturelle de masse du
Parti communiste, consultant de la Direction du développement culturel (ministère de la culture) de 1983 à
1989, aujourd’hui directeur de l’Observatoire des politiques culturelles (Grenoble).
16 Ancien président de la Compagnie Luxembourgeoise de Télévision, propriétaire de la station de radio RTL et
ancien directeur de cabinet des ministres de la culture Jacques Duhamel et Maurice Druon.
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hommes d’exception, et de recréer un secrétariat d’État aux arts et aux lettres rattaché à
l’Éducation Nationale, comme sous la IVème République, il nest pas sûr que la majorité dalors,
encore traumatisée par la crise de mai 1968, se serait récriée, ni lopinion publique. En mainte-
nant ce ministère… et en soutenant la politique culturelle de tout leur poids politique, ils ont
installé cette dernière dans une permanence qui na plus été remise en cause. » 17
La subversion culturelle, depuis André Malraux, est installée au cœur de l’État, poursuivie gou-
vernement après gouvernement, et son but na pas varié : détruire lidentité chrétienne de la
France. Subversion fondée sur le plus pur subjectivisme : « L’intérêt réside désormais, non plus
dans l’œuvre dart, mais dans la contestation du système actuel. Ce qui compte, ce nest pas l’art,
mais lattitude de lartiste » 18.
La « culture moderne », instrument du totalitarisme
Ayant rompu avec le Beau, sa source, la culture moderne, est aujourdhui réduite à un subjecti-
visme naturaliste porté à lextrême par léconomisme et ses besoins, souvent artificiels, stimulés
par les techniques de production de masse. Devenue un élément constitutif du « nouvel ordre
social », la « culture », a besoin et un besoin impérieux du truchement de lÉtat. Aussi la
« culture » appartient-elle tout entière et de droit à la seule autorité que se reconnaisse la société
moderne, le pouvoir politique.
Bénéficiant de lappui de lÉtat, moderne Leviathan 19, la culture en devient, fatalement mais
logiquement, linstrument : « C’est lart qui crée ce grand Léviathan qu’on appelle République
ou État, lequel nest quun homme artificiel, quoique dune stature et dune force plus grande
que celle de lhomme naturel, pour la défense et la protection duquel il a été conçu : en lui la
souveraineté est une âme artificielle puisquelle donne la vie et le mouvement à lensemble du
corps (social) ; les magistrats et les autres fonctionnaires préposés aux tâches judiciaires et exé-
cutives (en) sont les articulations… » 20.
Le pouvoir politique moderne, reposant uniquement sur la volonté de lHomme 21, réduit le
fonctionnement de la société à des mécanismes artificiels fondés sur une légalité variant au gré
des passions collectives et sur des moyens de contrainte dégagés de toute fin morale.
Il récupère la « culture » à son profit pour susciter lunanimisme social et donner un contenu
affectif à une légitimité bien souvent fragile. La « culture » sert à nourrir des mythes collectifs 22
17
Les politiques culturelles en France
, La Documentation Française, 2002, p. 10.
18 Joseph Emile Müller,
Lart et le non-art
, éd. Somogy.
19 Monstre marin de la Bible. Titre de l’ouvrage du philosophe protestant anglais Thomas Hobbes, paru en
1651.
20
Le Léviathan ou La matière, la forme et le pouvoir d’un État
, préface.
21 Hitler, en pur hégélien, a cette formule révélatrice dans
Mein Kampf
: « L’avenir appartient aux hommes qui
n’auront pas d’autre loi que leurs propres décisions » ; bien des politiques modernes (pensent) et peuvent dire la
même chose que lui.
22 Les mythes seraient des « images-désirs…, quelque chose qui se lève des profondeurs de l’inconscient et, sous
la forme d’un songe, d’une rêverie, d’une « possession », domine l’âme sans défense et peut même, à un stade
ultérieur, être invoqué, produit à la conscience, mis au point par l’âme elle-même » (Martin Buber,
Paths of uto-
pia
, cité par Jean Servier,
Histoire de l’utopie
, Folio). On sait que Martin Buber a été fortement influencé par le
hassidisme, forme gnostique du mysticisme juif d’après la Crucifixion.
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