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A ma famille,
A mes parents, papa, maman, merci d’être la pour moi à chaque instant. Cette thèse est
l’aboutissement de longues années d’études que vous m’avez permises de réaliser. Je vous
remercie de votre soutien, de vos encouragements et de votre réconfort dans les bons
comme les moins bons moments que j’ai pu traverser.
A mon frère, Cédric, et ma sœur, Chloé, merci pour tous les moments que nous partageons
et que nous partagerons encore. Merci Chloé, dit darling, pour ton aide précieuse dans la
réalisation de cette thèse.
A mes grands parents, merci pour votre gentillesse et vos leçons de vie malgré la distance qui
nous sépare désormais.
Aux autres membres de ma famille, merci pour tout.
A mes amis Toulousains,
A Clem, dit Arveou. Merci pour tous tes caviars au FEPT… Ah non, désolé, ils étaient pas de
toi. Merci pour la confiance que tu m’as donné en te voyant jouer à mes côtés au foot. Merci
pour toutes les activités qu’on partage ensemble qu’elles soient sportives, culturelles ou
débiles. Merci pour ton soutien de chaque instant, pour ton intelligence (moment rare, il faut
s’en délecter) et tes blagues (ah si, elle est drôle). Merci pour tout ce qu’on partage et qui fait
notre amitié.
A Hugo, le nouveau Londoner, mais surtout notre futur Prix Nobel (de quoi ? On ne sait pas
encore). Merci pour ton amitié et ton soutien ainsi que pour tous les foots, les tennis et
randos qu’on a partagé ensemble. L’avantage avec toi maintenant c’est qu’on a un pied-à-
terre londonien sans se ruiner et ça, je dis oui !
A François, la fouf du 12, que dire après toutes ces années passées ensemble. D’abord
comme binôme de luxe puis comme binôme de luxe et coloc de super luxe. Non, arrêtons les
superlatifs, ça va se voir… Malgré quelques ratés sur le plan vaissellistique ou ménagistique
dans cette coloc tonitruante, je sais que je peux compter sur toi à tout moment et que notre
amitié perdurera. Je te souhaite le meilleur avec Eve, une personne extra.
A Pierrot, Planas, notre pharmacien – pompier – interne, la triple casquette, mais t’as les
épaules assez larges pour la supporter. Merci pour tout ce qu’on partage ensemble et ces
innombrables cafés qu’on a écumé ensemble de France et de Navarre.