
Ojim.fr
Observatoire des Journalistes et de l'Information Médiatique
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nous, cette énorme boule de neige », france5.fr
« Cent fois j’ai ouvert cette bible [Propriétés de France Le Figaro]. Cent fois je l’ai feuilletée,
commençant parfois par le Sud-Ouest (mon pays), parfois par l’Ile-de-France (ma région). Cent
fois j’ai rêvé, et pesté de ne pas en apercevoir plus sur toutes ces merveilles qui s’étalaient là,
sur papier glacé. Cent fois admiré la France des propriétés, si belle dans sa diversité. Chaque
région sa couleur de pierres, les jaunes si chaudes, blanches si nettes, les rouges si fortes. À
chaque endroit sa forme de toit, ses matériaux nobles ou rustiques, ses ouvertures arrondies ou
d’équerre. Une si grande variété est une vraie richesse. » proprietesdefrance.com
« Alors, voter pour quoi ? Pour que la France cesse de craindre la mondialisation. Pour qu'elle
aborde avec un regard neuf la modernisation et la réforme. Pour qu'elle admette l'innovation,
l'adaptation aux règles quasi universelles et aux exigences nouvelles. Pour qu'elle comprenne
qu'il est temps d'affronter les réalités et d'abandonner quelques-unes de nos exclusivités - nos
chimères - sans que cela signifie pour autant abdiquer tout particularisme », « Une nouvelle
page » Le Figaro
« L’indépendance éditoriale, ce n’est pas l’autonomie absolue par rapport à un propriétaire. Si
vous voulez, moi, je pense que les journalistes français font parfois un contresens à imaginer
que l’indépendance, c’est l’autonomie absolue. Pendant très longtemps, on a vécu en France
avec l’idée qu’un journal avait une mission, ce qu’il a probablement, mais… avait une mission,
qu’il n’avait pas besoin de gagner de l’argent et que, au fond, son propriétaire n’avait qu’une
chose à faire (…) se taire et payer », France Culture, 06/10/2007, cité par Acrimed
« Si j'étais de gauche, j'adorerais l'ouverture. Je me réjouirais de ces manœuvres qui éloignent
les éléphants, fragilisent les gazelles et laissent une chance aux perdreaux de l'année »,
Libération, 20/07/2007.
Sa nébuleuse
Le Siècle : membre de ce club fondé en 1944, réunissant, depuis plus de 60 ans, la quasi-
totalité du pouvoir politique, économique, financier ou médiatique français. Soit environ 600
personnes qui concentrent entre leurs mains l’essentiel du pouvoir. Tout gouvernement, qu’il
soit de droite ou de gauche, a du tiers à la moitié de ses membres qui y appartient. (Emmanuel
Ratier, Au cœur du pouvoir). D’autres journalistes participent à ces dîners mensuels
comme Laurent Joffrin, David Pujadas, Michel Field, Patrick de Carolis, Arlette Chabot, Alain-
Gérard Slama, Claude Imbert, Franz-Olivier Giesbert, Pierre Assouline ou Emmanuel Chain.
Groupe de Bilderberg : Invité trois fois par ce club mondialiste. « J’ai fait trois Bilderberg. Mais
on ne demande pas à participer : on est invité par le comité de direction. Nous sommes installés
par ordre alphabétique, il n’y a absolument aucun protocole ni décorum. Des sessions
thématiques sont annoncées à l’avance avec deux ou trois orateurs qui font un exposé avant
d’ouvrir le débat avec la salle. La confidentialité est un gage très grand de sincérité qui permet
aux participants de dire vraiment ce qu’ils pensent (investigation.blog.lemonde.fr)». Le Groupe
de Bilderberg a été fondé en 1954 à l'Hôtel Bilderberg à Osterbeek à l'invitation du Prince
Bernhard des Pays-Bas, co-fondateur du Groupe avec David Rockefeller. Le Groupe de
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