1
Macroéconomie
PLAN
2
Plan
1 Histoire la pensée économique 4
1.1 Les classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.1.1 Les courants de pensées classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.1.2 L’école classique anglaise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
1.1.3 L’école classique française . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 La pensée de Marx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.2.1 La position de Marx face aux classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.2.2 La théorie de la valeur-travail et la notion d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . 7
1.2.3 L’inéluctabilité de la crise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.3 Les néoclassiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.3.1 Un renouveau de l’école classique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.3.2 L’école de Lausanne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.3.3 L’école de Cambridge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
1.3.4 L’école de Vienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
1.4 La pensée keynésienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1.4.1 Une rupture méthodologique avec les classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1.4.2 Une rupture thématique avec les classiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
1.5 La pensée économique depuis Keynes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1.5.1 Une convergence entre les paradigmes classique et keynésien . . . . . . . . . . . . 12
1.5.2 Le maintien d’une orthodoxie néoclassique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
1.5.3 Les détracteurs de l’orthodoxie néoclassiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2 Le chômage et l’inflation 14
2.1 Le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.1.1 La définition statistique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.1.2 Observations empiriques du chômage et de l’emploi des pays de l’OCDE . . . . . 14
2.1.3 L’approche libérale : un chômage volontaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.1.4 L’approche keynésienne: un chômage involontaire . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.1.5 Le rôle du progrès technique et du commerce international . . . . . . . . . . . . . 18
2.2 L’inflation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
2.2.1 La notion d’inflation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
2.2.2 L’inflation et coûts suite aux chocs d’offre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
2.2.3 L’inflation et les chocs de demande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
2.2.4 Les effets de l’inflation sur les principales variables économiques . . . . . . . . . 23
2.2.5 Les effets sur le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
PLAN
3
3 État et politique économique 28
3.1 Les arguments en faveur d’un état minimal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
3.1.1 Les défaillances du marchés ou Market Failures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
3.1.2 La surveillance du fonctionnement concurrentiel des marchés . . . . . . . . . . . 31
3.2 Les arguments en faveur d’un État interventionniste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
3.2.1 L’efficacité des politiques de relance par le multiplicateur keynésien . . . . . . . . 32
3.2.2 Les conditions d’efficacité de la politique budgétaire . . . . . . . . . . . . . . . . 35
3.3 Les critiques de l’intervention et l’institution étatiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
3.3.1 L’inefficacité de l’intervention étatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
3.3.2 L’école du Public Choice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
4 Monnaie et politique monétaire 43
4.1 Monnaie et création monétaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
4.1.1 Définition de la monnaie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
4.1.2 Création monétaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
4.2 Théories Monétaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
4.2.1 La demande de monnaie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
4.2.2 Les effets de la monnaie sur l’activité économique . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
4.3 L’efficacité de la politique monétaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
4.3.1 L’efficacité selon les keynésiens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
4.3.2 La remise en cause de l’efficacité par les monétaristes et nouveaux classiques . . . 52
CHAPITRE 1. HISTOIRE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE
4
Chapitre 1
Histoire la pensée économique
l’histoire de la pensée économique et histoire économique
Pourquoi étudier l’histoire de la pensée économique? 2 réponses
1. la nouveauté radicale est quelque peu illusoire.
2. L’éternel débat
1.1 Les classiques
1.1.1 Les courants de pensées classiques
L’économie à la fin du 18ème siècle
exode rural au Royaume-Uni
transition démographique
la pensée utilitariste
La ou les positions des «classiques »?
le terme « classique »
Les points de convergences entre les classiques
les questions posées sont les mêmes
l’économie de marché
Les désaccords entre les classiques
1.1.2 L’école classique anglaise
Adam Smith, le libéral optimiste
La division du travail
Quelque adroit qu’il fût... un ouvrier pourrait peut-être à peine faire une épingle dans
toute sa journée, et certainement il n’en ferait pas une vingtaine... De la manière dont
cette industrie est maintenant conduite, le travail de faire une épingle est divisé en 18
opérations distinctes ou environ, lesquelles, dans certaines fabriques, sont remplies par
autant de mains différentes.
Adam Smith, « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des
Nations » (1776)
La main invisible
CHAPITRE 1. HISTOIRE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE
5
Chaque individu s’efforce continuellement de trouver l’emploi le plus avantageux pour
tout capital dont il peut disposer. C’est son propre avantage, en vérité, et non celui de la
société qu’il à en vue. Mais l’étude de son propre avantage l’amène naturellement, ou
plutôt nécessairement à préférer l’emploi qui est le plus avantageux pour la société... Il
recherche seulement son intérêt personnel, et il est en cela, comme dans bien d’autres
cas, amené par une main invisible à atteindre une fin qui n’entrait nullement dans ses
intentions. Et ce n’est pas toujours ce qu’il y a de plus mal pour la société, que cette fin
ne fasse pas partie de ses intentions. En poursuivant son propre intérêt, il agit souvent
plus efficacement pour l’intérêt de la société que lorsqu’il cherche réellement à agir en
faveur de ce dernier.
Adam Smith, « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des
Nations » (1776)
Le rôle de l’Etat
une institution nécessaire
une non-intervention dans la sphère économique
La valeur
Quelles est la source de la valeur?
la nature des biens
l’offre : la clé de la valeur d’échange
David Ricardo, le libéral pessimiste
oeuvre de référence : Des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817
Une croissance non durable
la théorie de la valeur-travail
Le rôle de la monnaie : la base de la théorie quantitative de la monnaie les hypothèses, à la
base de la théorie monétaire, sont
Robert Malthus, l’orthodoxe et l’hétérodoxe
La misère
L’origine de la misère
La croissance de la population et des ressources
le rôle de l’Etat
Une remise en cause de la loi des débouché de Say
offre et demande
Malthus est en ce sens un précurseur de Keynes
1.1.3 L’école classique française
Jean-Baptiste Say et la loi des débouchés
l’offre crée sa propre demande
les hypothèse sous-jacentes
un raisonnement de longue période
la monnaie
«
Un produit crée offre immédiatement un débouché à d’autres produits pour tout
le montant de sa valeur, car on ne peut se défaire de son argent qu’en achetant
d’autres produits.
»
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