Le Creusot : Un très beau succès mérité pour Richard et Romane

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Le Creusot : Un très beau succès mérité pour Richard et Romane Bohringer
à L’ARC
Le Dimanche 19 avril 2015 @ 07:58:46
La ferveur du public à la fin était révélatrice.
Enthousiaste ! Il suffisait d’écouter, à la fin de la représentation de « J’avais un beau ballon rouge », la ferveur des
applaudissements du public et la communion avec les deux acteurs pour saisir le sentiment général.
Il faut dire que dans cette pièce retraçant la vie de Margherita Cagol, épouse du fondateur des Brigades Rouges, des
débuts de sa thèse jusqu’à sa mort, Richard et Romane Bohringer (qui incarnent également sur la scène le père et sa
fille) ont offert une interprétation superbe. Lui, parfait en père de famille élevé dans les traditions italiennes et portant
sur la condition humaine un regard plein de bon sens ; elle, omniprésente, survoltée dans son rôle de jeune femme
qui, partant d’une thèse en sociologie et désireuse de changer cette condition humaine, évolue progressivement vers
la lutte armée.
Une très bonne soirée donc pour le nombreux public, qui a pu prolonger le plaisir à l’issue de la représentation,
puisque Richard Bohringer s’est prêté à une séance de dédicaces de ses livres.
EVENEMENT : Le Creusot fait son festival les 29 et 30 mai
Le Jeudi 09 avril 2015 @ 16:49:10
La Ville du Creusot, L’arc et l’association Eh La Productions ont présenté ce jeudi midi un festival qu’ils entendent
pérenniser. La première édition, dont la programmation a été en grande partie dévoilée, est annoncée fin mai.
« Avec l’arrêt du Festival des Giboulées, dû surtout à un manque de moyens humains, le vide était important et il
aurait été dommage de laisser s’installer une telle situation ». Pour Nicolas Delemarre, bénévole des Giboulées et de
leur manifestation-phare durant une dizaine d’années, la page est tournée. Aujourd’hui président de l’association Eh
La Productions, il souhaite toutefois participer avec d’autres membres actifs à une nouvelle dynamique.
Ce sont les termes employés par Célia Deliau, directrice de L’arc. La scène nationale étant contrainte pour des raisons
budgétaires (baisses successives de subventions) à renoncer à l’organisation de son festival Hors Champ 2015, elle
s’est alors inscrite dans une démarche partenariale, chapeautée peut-on dire par la Ville du Creusot et son service
culturel.
« La municipalité a voulu s’engager à poursuivre l’organisation d’un événement artistique et culturel sur la ville, avec
l’ambition de le rendre incontournable comme l’était le Festival des Giboulées. C’est un choix, alors que d’autres
collectivités prennent des orientations différentes... La Ville a toujours maintenu ses aides envers L’arc et la Culture
plus largement. Faire de la Culture une priorité, ce n’est pas anodin », souligne Jérémy Pinto, adjoint au maire
délégué à la Culture. En remarquant l’expérience de ces deux partenaires comme gages de bases solides pour la
relance d’un festival.
A titre informatif, « Le Creusot fait son festival » est en première page du dossier de presse remis ce jeudi midi lors
d’une conférence à l’Alto. Si un nom plus officiel et percutant sera communiqué ultérieurement, une bonne partie de
la programmation a été dévoilée. Les dates : 29 et 30 mai.
Le vendredi 29 mai au soir, ce sont des talents de L’Ampli - espaces de musiques actuelles - qui ouvriront le festival,
probablement sur du rock, sur la grande scène dressée à l'Alto où se produira plus tard dans la soirée Le Peuple de
l’Herbe. Entre temps, sur l’esplanade Henri et Achille Duchêne au parc de la Verrerie, Les Commandos Percu feront le
spectacle, « des percussions à la pyrotechnie » annonce Célia Deliau.
Le samedi 30 mai, accent familial prononcé. Sous une yourte installée sur l’esplanade des Droits de l’Homme devant
l’hôtel-de-ville, les spectateurs à partir de 8 ans pourront assister à un spectacle de cirque, des échanges burlesques
dans l’esprit clownesque rythmé d’acrobaties. Une compagnie que l’on retrouvera puisque Sacekripa avait joué « Vu »
lors de l’édition 2014 du festival Hors Champ. Deux représentations de « Marée basse » sont cette fois-ci
programmées.
Egalement en fin d’après-midi le samedi : de la danse verticale sur la façade d’un bâtiment qui reste à déterminer qui pourrait être agrémentée d’un atelier sur tyrolienne pour le public - et Emma la clown dans le rôle d’une voyante
extralucide. L’arc et ses partenaires insistent là sur la volonté d’investir l’espace public, de proposer à nouveau
plusieurs rendez-vous familiaux dans un même espace, « qui plus est au coeur de ville ».
Pour la soirée de samedi à l’Alto, Eh La Productions s’avance sur une ambiance de folie, avec DJ Zebra et son
nouveau projet - Zebra Mambopunk en formule trio sur la scène du Creusot -, avec les textes engagés du Boulevard
des Airs et ceux pour terminer davantage déjantés des Wampas, dont plusieurs festivaliers se rappellent encore de
leur passage aux Giboulées il y a quelques années.
On prend les mêmes et on recommence ? Les partenaires sont plutôt convaincus que ce travail à trois correspondra
mieux à la population creusotine, et à l’idée que tout public peut être intéressé par ce nouveau festival de qualité.
Tout en créant l'attractivité pour attirer au-delà. La pluridisciplinarité est renforcée et elle est un atout selon eux pour
que l’engouement soit large, sachant notamment que la capacité d’accueil de la grande salle de l’Alto en concert est
estimée à 950 personnes... Sans compter les rendez-vous familiaux et/ou gratuits.
Malgré un événement à finaliser, à retravailler peut-être pour les éditions suivantes sachant que celle-ci a été
concoctée en seulement deux mois et demi, la programmation est établie en souhaitant que l’esprit Festival
opère. L’investissement financier représente 123 000 euros, dont 90 000 euros de la part de la Ville du Creusot.
Alix BERTHIER
Programmation et tarifs
Vendredi 29 mai
20h00 à 21h00 : découverte de talents proposés par L’Ampli.
22h00 : Les Commandos Percu sur l’esplanade Duchêne au parc de la Verrerie.
23h00 : Le Peuple de l’Herbe, avec soit une 1ère partie plutôt rock soit une 2ème partie électro, à l’Alto.
Samedi 30 mai
16h00 : « Marée basse », sous yourte devant l’hôtel-de-ville.
17h00 : « Environnement vertical » au cœur de ville.
18h00 : « Emma la clown » au cœur de ville.
19h00 : « Marée basse » sous yourte devant l’hôtel-de-ville.
20h30 : Zebra Mambopunk, Boulevard des Airs et Les Wampas, à l’Alto
Concert du Peuple de l’Herbe : 15 euros en plein tarif et 10 euros à tarif réduit (-26 ans, personnes concernées par les
minimas sociaux, demandeurs d’emploi, étudiants).
Spectacle « Marée basse » : 8 euros en plein tarif et 5 euros à tarif (jauge de 80 personnes).
Soirée du samedi 30 mai : 20 euros en plein tarif et 15 euros à tarif réduit.
Pass pour Le Peuple de l’Herbe et la soirée du samedi 30 mai : 30 euros en plein tarif et 20 euros à tarif réduit.
A noter que les autres rendez-vous au programme seront gratuits.
La billetterie et les réservations pour ce festival ne sont pas encore ouvertes à L’arc ou bien sur les réseaux de
billetterie en ligne. Plus d’informations seront communiquées prochainement. Nous diffuserons également, pour une
présentation plus complète, la plaquette de l’événement.
Au cœur de ville et à l'Alto, des points de restauration rapide seront aménagés.
LE CREUSOT : Annulation du Festival Hors Champ
Le Jeudi 09 avril 2015 @ 10:36:09
La situation budgétaire de L’arc, scène nationale Le Creusot, ne permet pas d’organiser la 5ème édition de Hors
champ comme prévu du 28 au 31 mai 2015.
La décision difficile d’annuler Hors champ, après le succès de l’édition 2014 qui a touché plus de 4 000 spectateurs,
s’est malheureusement imposée.
LE CREUSOT : Les 4 gagnants pour Acrobates, ce jeudi à 20h30 à L'arc
Le Mercredi 08 avril 2015 @ 23:10:32
Acrobates jeudi 9 avril à L’arc
Un duo sidérant de portés acrobatiques et de danse au sol qui nous submerge d’un rédempteur jet d’adrénaline. Un
spectacle qui évoque le fil fragile de la vie, la confiance et le jeu d'un corps tout entier suspendu aux mains de l'autre.
Ce spectacle est une ode à l’acrobatie et plus particulièrement au trapéziste Fabrice Champion, le compagnon de
route de Stéphane Ricordel, fondateur de la compagnie Les arts sauts, et d’Olivier Meyrou, cinéaste, dramaturge et
créateur des images d’Acrobates.
Les deux interprètes Alexandre Fournier et Matias Pilet, sont diplomés de l’Ecole Nationale des Arts du Cirque de
Rosny et de l’Académie Fratellini. De leur rencontre est née leur envie de «danser l’acrobatie», axant leurs créations
sur la fusion du corps et du mouvement dans les portées.
Pour ce spectacle, «creusot-infos» faisait gagner 4 places à ses fidèles internautes. Le tirage au sort a eu lieu. Les 4
gagnants pourront retirer leur place sur présentation d'une pièce d'identité.
Les 4 gagnants
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Amélie Pletikos (Le Creusot)
Sandrine Develay (Le Creusot)
Christelle Joly (Le Creusot)
Ludovic Lacour (Marmagne)
La ville du Creusot a voté son budget 2015 et tout le monde n'est pas
d'accord entre la gauche et la droite...
Le Mercredi 08 avril 2015 @ 08:52:31
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Bernard Durand : «C’est un budget responsable pour l'avenir du Creusot, avec des investissements
structurants...»
Pierre Etienne Graffard : «Ce budget montre une solidarité des collectivités»
Charles Landre : «Ce budget ne répond en rien aux préoccupations des Creusotins... On a la sensation de
perdre un an... Il n'y a pas de véritable ambition»
Montserrat Reyes : «Ce n'est pas un budget au rabais»
David Marti : «Nous n'endettons pas la ville, avec un investissement élevé, sans avoir recours à la fiscalité.
C’est un budget solide et offensif»
André Billardon : «C'est un budget qui prépare l'avenir»
Jérémy Pinto, adjoint à la culture
«En ces périodes difficiles, parfois la culture est bradée. Comme dans les villes tenues par le Front
National. Au Creusot on a choisi un soutien fort à la culture. Comment porter l'élan du 11 janvier ? Il faut
promouvoir les expressions culturelles. Aller vers l'autre pour le «vivre ensemble».
Faire du Creusot un pôle culturel dynamique. On crée les conditions pour lancer un nouveau festival. La
réflexion a été lancée avec L'arc et les Giboulées. Il a vocation à devenir un événement incontournable. Fin
mai avec des spectacles de rue gratuits et des concerts intérieurs payants. La participation de la ville sera
de 90.000 euros.
Un été au Creusot sera densifié avec le maintien de la gratuité, avec en prime une semaine spéciale sur la
liberté d'expression.
Je veux aussi souligner l’aide maintenue à L'arc avec un complément.
Concernant la valorisation du patrimoine, le soutien à l'académie François Bourdon est important pour la
recomposition de l'exposition dans la salle du Jeu de Paume. 354.300 euros de crédits sont inscrits. Au
total, la ville aura consacré près d'un million d'euros»
André Billardon
«C’est un budget qui prépare l'avenir. Pour répondre à Pierre-Etienne Graffard je veux lui dire que je suis
d'accord pour que l'effort de péréquation soit parfaitement identifié sur les solidarités.
Pour l'industrie, Madame Pawlowski, c’est de la compétence de la communauté. S'agissant d'impliquer les
gens dans la démarche culturelle, oui c'est la volonté. Le Festival n'arrive pas en 48 heures. Il a été évoqué
de façon précise en commission de la culture. Madame De Sousa en a adopté le concept et l'a approuvé.
Monsieur Landre, vous dites qu'on va perdre un an. Je crains que pour ce qui vous concerne ce soit cinq
ans. Car les élections ne sont pas avant cinq ans.
Il y a de la volonté dans tout ce que l'on engage. Pour la piscine, nous sommes dans la préparation du
financement des travaux quand ils interviendront, sans doute au courant de l'année prochaine.
Sur les rendus de dossier pour les subventions, oui il y a des demandes qui ne sont pas arrivées. Pour le
concours hippique, la subvention sera versée, s'il se tient. Les provisions sont de l'ordre de 2% de la
masse».
LE CREUSOT : Les résidents de la Villa Victor Hugo sur la scène de L’ARC
Le Samedi 04 avril 2015 @ 18:00:01
Ils se sont produits sur la scène du petit théâtre de l'ARC
Depuis décembre 2014, Julie Rey de la compagnie Petits Papiers intervient à la Villa Victor Hugo pour mener un
atelier théâtre au cours duquel les résidents alternent exercices de mémoire, jeux autour de la voix et lectures de
texte d’Antigone de Jean Anouilh. Ces passionnés se sont pris au jeu et ne se sont pas fait prier pour monter sur la
petite scène de L’ARC et présenter à d’autres résidents ainsi qu’à leur famille et amis un extrait d’Antigone.
Cette volonté s’est prolongée par un projet photo mené par la peintre et photographe Raphaëlle Jouffroy. Un court
métrage a été réalisé avec la complicité d’Olivier Rignault. Une expérience filmique et poétique, des visages et des
mains qui racontent une vie et qui ne manquent pas d’émouvoir.
N’omettons surtout pas Gaby qui avait chauffé la salle par quelques chansons et un air d’harmonica… Tous ces projets
ont bien évidemment enchanté les spectateurs présents.
LE CREUSOT : Très gros succès pour le Malandain Ballet Biarritz à L’arc
Le Dimanche 29 mars 2015 @ 14:34:49
Le spectacle de danse sur Cendrillon a émerveillé 941 personnes samedi soir à L'arc. Un grand théâtre plein pour un
grand spectacle.
L’arc créait l’événement ce samedi soir, compte-tenu d'abord de la renommée du Malandain Ballet Biarritz, l’un des 19
centres chorégraphiques nationaux en France, dont la direction assurée par Thierry Malandain est à l’initiative de
plusieurs créations très remarquées.
Celle autour du fameux conte de Cendrillon, et d’après la partition de Sergueï Prokofiev, était donc attendue, et le
grand théâtre de L’arc était rempli jusqu’au dernier siège de libre... 941 personnes pour rêver devant ce spectacle.
Dans un décor rappelant bien le charme du conte, danseuses et danseurs - une vingtaine à se produire - ont fait
revivre l’histoire de Cendrillon, avec une dimension poétique mais aussi au travers des péripéties, des oppositions, des
sentiments apparents, qui font que, sur scène, les chorégraphies s’enchaînent. Elles sont légères ou plus marquées,
dans une conception néo-classique dont les adeptes ont certainement apprécié le côté extrêmement talentueux.
Cela durant une bonne heure et demie, avec au final un amour entre la belle et son prince qui l’emporte. Cinq
minutes d’applaudissements et de cris de joie ont salué une splendide représentation.
Alix BERTHIER
LE CREUSOT : «Paisible naufrage» et délire total d'étudiants comédiens
Le Jeudi 26 mars 2015 @ 13:37:15
Ils se sont produits sur des sketches de Jean-Michel Ribes. De bons moments ce mercredi soir sur le plateau du petit
théâtre de L’arc. De bons moments d’humour disons déjanté qu’ils ont offerts à près de 200 personnes.
« Paisible naufrage », c’est comme cela que les 17 étudiants du campus universitaire du Creusot, comédiens à l’Atelier
Théâtre sous la houlette de Gilles Berry, avaient intitulé leur restitution. Il s’agissait en fait de sketches tirés du «
Théâtre sans animaux » de Jean-Michel Ribes.
L’humour, à la fois subtile et surtout provoqué par l’absurde, allait être le fil rouge d’une soirée où les conversations et
les échanges ne pouvaient que faire rire, devant des situations inédites et surtout hors du commun, où les histoires
prennent de l’ampleur selon des réflexions assez hallucinantes... Comme ce sketch où l’on joue le menu telles des
parties de poker et de black jack, comme celui où un père s’emballe pour savoir le prénom de sa fille âgée déjà de 18
ans, ou encore celui où un stylo-bille géant atterri dans le salon et apparait comme une providence...
Voilà un jeu et des personnages que les étudiants ont assuré fidèlement, entre accords, désaccords, oppositions,
engueulades, ou même romantisme lorsqu’un policier tombe sous le charme... d’une tomate venue faire sa
déposition. Avec des allusions et des références locales telles des touches d’ironie bien posées.
Entre chaque situation, le public manifestait son appréciation. D’autant plus quand ces 17 comédiens se sont tous
alignés pour saluer les spectateurs, et associer à cette réussite deux personnes œuvrant pour le suivi et l’animation de
l’Atelier Théâtre, l’enseignante en communication Catherine Viggiano et Gilles Berry. La Vie Etudiante 71 comme
support de l’Atelier ainsi que la direction et les techniciens de L’arc ont aussi été cités pour la mise à disposition du
plateau et l’aide technique apportée.
Alix BERTHIER
LE CREUSOT : Melissmell «au naturel» sur la scène de L’arc
Le Mardi 24 mars 2015 @ 15:57:37
Environ 200 personnes ont écouté vendredi dernier son franc-parler et sa rage, ressortant de ses chansons.
Mélanie Coulet est Melissmell, en rapport notamment à la mélisse, cette plante « qui soulage les maux des femmes »,
en rapport aussi au « Smells like teen spirit » de Nirvana, ou bien même en rapport avec le lys de mer fossile que l’on
trouve dans le sous-sol de l’Ardèche, d’où la chanteuse est originaire.
En concert alors, melissmell est comme inspirée par toutes ces références, par son vécu, ses influences musicales et
ses souvenirs. A l’écoute, on a droit à du rock principalement, sur lequel sa voix lui permet de donner une certaine
dimension aux paroles, militantes mais aussi touchantes. Comme le sont quasiment naturelles ses expressions au
micro et sur le plateau.
Vendredi soir, c’est un tel concert qu’elle a assuré, accompagnée de ses musiciens. « Droit dans la gueule du loup »,
c’est le titre du deuxième album de Melissmell en collaboration avec Guillaume Favray pour les textes. C’est aussi là
où la chanteuse partage ses ressentis sur le monde « à la gueule cassée » d’aujourd’hui, sans langue de bois et avec
ce qu'elle a sur le cœur.
C’est avec la même approche qu’elle s'est livrée sur des chansons de son premier album « Ecoute s’il pleut ».
Alix BERTHIER
Les prochains rendez-vous de la saison artistique et culturelle de L’arc sont à retrouver sur
: http://www.larcscenenationale.fr/.
LE CREUSOT : Les 4 gagnants pour le concert de Melissmell, vendredi 20
mars à L'arc
Le Jeudi 19 mars 2015 @ 00:28:52
La rage du rock avec des mots qui cognent... Melissmell en concert avec son 2ème album, Droit dans la gueule du
loup, écrit par Guillaume Favray, héritier de Brel et de Mano Solo à la fois. Un concert en résonance avec Le
printemps de la chanson organisé par la Médiathèque du Creusot et le programme Drôles de dames consacré à la
création féminine par le Théâtre scène nationale Mâcon Val de Saône.
Cliquez ici pour voir le clip de Melissmell
Pour ce concert, creusot-infos faisait gagner 4 places. Le tirage au sort a eu lieu. Les 4 gagnants pourront retirer leur
place sur présentation d'une pièce d'identité.
Les 4 gagnants
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Aurore Szajda (Le Creusot)
Raphaël Leichter (Le Creusot)
Frédéric Sanchez (Le Creusot)
Cyril Marchesano (Le Creusot)
LE CREUSOT : Un très joli spectacle avec Cirqu'et vous
Le Dimanche 15 mars 2015 @ 11:36:04
C'était samedi après-midi à L'arc. Le reportage photos de creusot-infos.
Après leur premier projet « SUPER SHOW », les étudiants de Licence Pro DGAPAAV de L’Université Condorcet Le
Creusot ont organisé le deuxième : «CIRQU’ET VOUS ?!» avec des activités et un spectacle sur le thème des arts du
cirque le samedi, 14 mars 2015 à L’Arc.
L’idée est venue de Sophie NALLET et Laurie MAILLET qui ont la passion du cirque. Leurs objectifs étant de faire
pratiquer le cirque à tout le monde en incluant les personnes en situation de handicap. Pour cela ils ont invité Le
Foyer des Eglantines du Breuil pour participer à cet événement.
Le troisième projet sera « HIP HOP CONNECTION » et se tiendra à l’ALTO le 17 mars à partir de 17h. Venez
nombreux !!!
LE CREUSOT : TRANSCEN’DANSE ; entre émotion et mixité, traverse les
danses !
Le Jeudi 26 février 2015 @ 13:30:00
Le 18 mars 2015 à 20h, l’Arc – Scène Nationale du Creusot, accueillera la représentation de l’événement
Transcen’danse. Une soirée qui vous offrira un autre regard sur l’art de la danse grâce à la présence de compagnies
amateurs prêtes à vous faire vivre leur meilleur de leurs créations chorégraphiques.
L’événement Transcen’danse résulte de 10 ans de rencontres de la création chorégraphique. Cette année, c’est sous
le nom de « Transcen’danse » que la magie opérera grâce à une variété de styles de danses proposée par des
compagnies amateurs toujours plus impliquées dans cette aventure de partage. Vous voyagerez le temps d’une soirée
à travers différentes émotions grâce à la sensualité de la danse orientale, le dynamisme du hip-hop ou encore la
poésie du contemporain.
Transcen’danse est plus qu’une représentation à l’Arc, c’est également deux ateliers chorégraphiques de 2h30
encadrés par le danseur et chorégraphe Frédéric Cellé de la compagnie « Le Grand Jeté ! ». Le premier atelier sera
réservé aux élèves de l’école de danse Marine Ray, située au Creusot, tandis que le second sera à destination des
participants de l’événement. Ces ateliers seront une opportunité de vivre un moment fort d’échange et de partage
autour de la danse contemporaine.
Suite à la réalisation d’un micro trottoir sur la danse tourné dans les rues du Creusot, nous diffuserons notre
documentaire audio lors de la représentation du 18 mars, celui-ci sera le prologue de la soirée. Nous aurons
également la chance de partager ce documentaire audio-visuel lors du festival international de Vidéo Danse de
Bourgogne le 23 mai, pendant lequel notre documentaire sera en libre diffusion à la Médiathèque du Creusot, toute la
journée.
En tant qu’étudiants dans les arts vivants, nous sommes très heureux de pouvoir mener à bien ce projet qui nous
tenait à cœur. Notre formation en licence professionnelle DGAPAAV (Développement et Gestion des Activités
Physiques et Artistiques dans les Arts Vivants) est une porte ouverte sur tout ce qui touche au domaine culturel et
artistique. Nous avons souhaité nous orienter plus particulièrement vers la danse, domaine artistique encore peu
représenté au Creusot à nos yeux. Nous nous sommes alors intéressés au projet des rencontres chorégraphiques qui
se déroulait chaque année dans le cadre de différents événements tels que des festivals ou des temps forts danse, à
l’initiative des précédentes promotions de la licence professionnelle. Ces rencontres deviennent d’année en année un
rendez-vous incontournable pour les creusotins et pour les amateurs de danse de la région. Nous espérons donc que
cette édition 2015 rencontrera un franc succès car nous sommes très investis dans ce projet.
LE CREUSOT : La technique vocale décortiquée et démultipliée
Le Lundi 02 mars 2015 @ 10:21:02
Le chanteur lyrique Philippe Le Chevalier a fait travailler une dizaine de jeunes de l’Ecole du Spectateur. Le petit
plateau de l’Arc a permis aux participants de se plier à des exercices pour faire ressortir l’énergie du chant.
« L’énergie dans la voix, on apprend à la faire sortir ». Samedi en fin d’après-midi, durant une bonne heure et demie,
Philippe Le Chevalier est intervenu auprès de 13 jeunes du chœur Création de l’EdS.
Leur ayant d’abord rappelé que l’organe vocal est composé de trois mécanismes, il a alors pris le temps de s’arrêter
sur ceux-ci : les cordes vocales, le souffle et la caisse de résonance... Jusqu’à leur parler de tessiture de la voix, « là
où on est le plus à l’aise ».
Comparant les cordes vocales à celle d’un violon, dans l’aspect et la tonalité des sons, il a abordé le chant d’une
manière encore plus imagée. « Le chant, c’est comme une balle au-dessus d’un jet d’eau. Votre voix doit être libre
comme cette balle », leur a-t-il dit. Et le jet d’eau ? C’est la respiration. L’impulsion pour la voix, dans un travail aussi
des muscles dits expirateurs.
« Pour bien chanter, il est important d’être tout le temps sur la détente ». Philippe Le Chevalier a travaillé avec les
jeunes chanteurs sur le relâchement - le bâillement pour exploiter la mâchoire -, mais aussi sur « l’apnée du chanteur
». Cela également pour les amener à faire de la place dans leur caisse de résonance, au-dessus du larynx.
Le serpent, l’abeille, la vache... Couchés puis en position assise, les jeunes les ont imités afin de « réveiller » peut-on
dire les muscles expirateurs. « L’énergie, elle vient de là », a répété Philippe Le Chevalier, ayant poursuivi le travail
sur des vocalises. Pierre Frantz, directeur artistique de l’EdS, et Marc Boudot, président de l’EdS, l’ont suivi dans cette
approche décortiquée du chant et de ses bases.
La séance s’est terminée sur un extrait d’opéra chanté par les jeunes - « Robert le diable » de Giacomo Meyerbeer -.
C’est sur un chœur tiré de l’opéra que « Le faiseur » - de Balsac - se termine. Une pièce dont la création des Tréteaux
de France est effectuée à L’arc. Sous la direction artistique de Robin Renucci, avec lequel Philippe Le Chevalier
compte plusieurs expériences professionnelles.
Pour l’EdS, ce fut une bonne occasion de profiter d’un tel atelier.
Alix BERTHIER
LE CREUSOT : TRANSCEN’DANSE ; entre émotion et mixité, traverse les
danses !
Le Jeudi 26 février 2015 @ 13:30:00
Le 18 mars 2015 à 20h, l’Arc – Scène Nationale du Creusot, accueillera la représentation de l’événement
Transcen’danse. Une soirée qui vous offrira un autre regard sur l’art de la danse grâce à la présence de compagnies
amateurs prêtes à vous faire vivre leur meilleur de leurs créations chorégraphiques.
L’événement Transcen’danse résulte de 10 ans de rencontres de la création chorégraphique. Cette année, c’est sous
le nom de « Transcen’danse » que la magie opérera grâce à une variété de styles de danses proposée par des
compagnies amateurs toujours plus impliquées dans cette aventure de partage. Vous voyagerez le temps d’une soirée
à travers différentes émotions grâce à la sensualité de la danse orientale, le dynamisme du hip-hop ou encore la
poésie du contemporain.
Transcen’danse est plus qu’une représentation à l’Arc, c’est également deux ateliers chorégraphiques de 2h30
encadrés par le danseur et chorégraphe Frédéric Cellé de la compagnie « Le Grand Jeté ! ». Le premier atelier sera
réservé aux élèves de l’école de danse Marine Ray, située au Creusot, tandis que le second sera à destination des
participants de l’événement. Ces ateliers seront une opportunité de vivre un moment fort d’échange et de partage
autour de la danse contemporaine.
Suite à la réalisation d’un micro trottoir sur la danse tourné dans les rues du Creusot, nous diffuserons notre
documentaire audio lors de la représentation du 18 mars, celui-ci sera le prologue de la soirée. Nous aurons
également la chance de partager ce documentaire audio-visuel lors du festival international de Vidéo Danse de
Bourgogne le 23 mai, pendant lequel notre documentaire sera en libre diffusion à la Médiathèque du Creusot, toute la
journée.
En tant qu’étudiants dans les arts vivants, nous sommes très heureux de pouvoir mener à bien ce projet qui nous
tenait à cœur. Notre formation en licence professionnelle DGAPAAV (Développement et Gestion des Activités
Physiques et Artistiques dans les Arts Vivants) est une porte ouverte sur tout ce qui touche au domaine culturel et
artistique. Nous avons souhaité nous orienter plus particulièrement vers la danse, domaine artistique encore peu
représenté au Creusot à nos yeux. Nous nous sommes alors intéressés au projet des rencontres chorégraphiques qui
se déroulait chaque année dans le cadre de différents événements tels que des festivals ou des temps forts danse, à
l’initiative des précédentes promotions de la licence professionnelle. Ces rencontres deviennent d’année en année un
rendez-vous incontournable pour les creusotins et pour les amateurs de danse de la région. Nous espérons donc que
cette édition 2015 rencontrera un franc succès car nous sommes très investis dans ce projet.
Biographie de Frédéric Cellé
Frédéric Cellé a suivi sa formation de danseur au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon.
Depuis 1996, il a travaillé comme interprète dans de nombreuses compagnies. Il participe également à de
nombreuses actions de sensibilisation et pédagogiques avec les compagnies La Baraka (A. Lagraa), le Centre
Chorégraphique National de Grenoble, D.I.T. (Robert Siegfried), La Camionetta et Propos. A la demande de Cathy
Cambet, il a chorégraphié en 2004 A cran, pièce pour les ados danseurs de l’Album Compagnie.
A partir de 2002, il développe sa propre recherche chorégraphique au sein de la compagnie Beau Geste et crée son
premier solo, 2 fois oui. Ce coup d’essai l’incite à fonder sa compagnie Le Grand jeté ! et la reconnaissance de ses
pairs l’aide à monter le trio Chimère créé en décembre 2003 au Ballet National de Marseille. Remarquée par le milieu
professionnel, cette pièce lui permet d'envisager des projets plus ambitieux, ce sera L'air de Rien, création 2004 pour
5 interprètes coproduite par La Rampe d'Echirolles.
En 2004 et 2005, la Drac, la Région Rhône-Alpes, le Conseil Général de l'Isère, la Ville de Grenoble et l'Adami
soutiennent la compagnie.
A l’automne 2005, Frédéric Cellé crée deux pièces courtes interprétées par des hommes : un duo, Encore une fois, et
un solo pour lui-même, Fugue pour un seul homme. Il a souhaité revenir vers des formes plus concentrées (20
minutes) qui lui permettent aussi d'explorer des dispositifs scéniques plus complexes (apport vidéo, décor évolutif…).
Grâce à la Scène Nationale du Creusot et à l'agence Musique et Danse 71, la compagnie bénéficie d'une bonne
diffusion des quatre pièces de son répertoire, ce qui lui permet de développer son contact avec le public et sa
notoriété professionnelle.
Interview de Frédéric Cellé
Quelle a été la raison pour laquelle vous avez commencé la danse ?
Petit je ne tenais pas en place ! A 4 ans, ma mère m’a emmené avec elle à son cours de danse et je n’ai jamais voulu
repartir du cours… J’y ai trouvé un moyen d’expression qui me convenait et une façon de canaliser mon énergie. Et
puis seul garçon au milieu de plein de filles, je me sentais à l’aise et mis en valeur !
Qu’est-ce que la danse vous apporte ?
Aujourd’hui la danse m’apporte une sensation de liberté, de bien être, et la possibilité d’apporter mon regard sur des
sujets qui me semblent importantes, intimes ou non. La danse est un moyen d’expression très intéressant car elle
permet d’évoquer et de suggérer des situations, des thématiques, des relations, sans pour autant être univoque.
Chaque spectateur peut librement créer son histoire et développer son imaginaire. Danseur ou spectateur la danse
nous permet d’éprouver, de réveiller notre sensibilité. C’est fantastique…
Pourquoi est-ce important pour vous de retranscrire votre savoir-faire ?
Je crois qu’au-delà de retranscrire j’aime partager mon travail. Et ce partage procure des émotions fortes et des clés
de lecture. Avec mon équipe tout d’abord, avant même d’arriver au plateau, je partage mes idées avec mes
collaborateurs, nous travaillons ensemble à faire avancer le projet, le sublimer. Les ateliers auprès des publics sont
des moments d’échange ou je peux concrètement les mettre en jeu, leur proposer de ressentir ce que nous
traversons au plateau. Je crois que c’est ce qu’il y a de plus « magique », proposer une démarche en ouverture et
humaine. Aller à la rencontre de l’œuvre, c’est se mettre en danger et c’est avoir le gout de la curiosité. C’est valable
pour les créateurs et les spectateurs.
Vos créations sont souvent basées sur votre vécu, vos émotions. Est-ce un moyen que vous avez choisi
pour retranscrire vos expériences au public ou est-ce simplement la manière la plus naturelle pour vous
de vous approprier la danse ?
C’est un moyen naturel pour moi, dans le sens où je pars d’une émotion personnelle, d’une réflexion, d’une
expérience, et tend vers une ouverture, une lecture plus universelle. Ça ne m’intéresse pas de rester sur une
proposition uniquement personnelle et intime, sinon je créerai juste pour moi ! Et à l’inverse, j’ai besoin de
m’approprier ce que je souhaite dire donc si je débute un spectacle avec un cadre qui n’est pas le mien, j’ai besoin de
temps pour me l’approprier et apporter mon regard. Ce qui m’intéresse c’est de partir d’un moment, un instant, une
idée, une situation intime, vécue ou non, et d’élaborer différents plans et possibilités d’évolution. Je fonctionne
beaucoup à l’instinct. J’ai toujours fonctionné ainsi, d’ailleurs lorsque je regarde mes confrères, les œuvres les plus
réussies sont souvent celles qui tracent des expériences dont on sent le vécu ou l’authenticité.
Que pensez-vous des rencontres chorégraphiques ?
Les rencontres sont des moments précieux en échange. On manque de moments comme ceux-là où la parole circule,
les idées aussi. Il y a des propositions très intéressantes, et voir des étudiants engagés dans le mouvement et
ensemble dans un élan de partage, c’est assez contradictoire avec notre société ou chacun reste chez soi… J’y ai
passé de belles soirées et vu de très belles propositions chorégraphiques. J’aime beaucoup voir toutes ces énergies
circuler. Il y a de beaux partenaires sur ces rencontres, et je crois qu’il y a encore beaucoup de choses à inventer
pour ces rencontres interuniversitaires : proposer des conférences sur l’état de la danse en France, ouvrir une
réflexion sur les problèmes liés à la diffusion, ouvrir les rencontres à l’international, travailler sur des échanges avec
d’autres facs, mélanger étudiants et professionnels, proposer aux étudiants des reprises du répertoire, proposer des
temps de rencontre pour les pédagogues afin qu’ils échangent sur leur pratique et demander aux étudiants
d’intervenir, proposer des rdv personnels entre étudiants et administrateurs de compagnie ou de théâtres pour
échanger sur les pratiques et réalités du terrain, bref, beaucoup d’idées et de propositions qui mériteraient d’être
développées dans le cadre de rencontres interuniversitaires.
Interview de Nathalie Mondé
Cela fait maintenant plusieurs années que vous êtes impliquée dans les rencontres chorégraphiques en
tant qu’artiste, chorégraphe et professeur encadrant. N’est-ce pas compliqué de porter tous ces rôles à
la fois ?
J’ai découvert les rencontres chorégraphiques d’abord comme chorégraphe et danseuse pour la compagnie Tocade, il
y a 6 ans. Quand j’ai pris la suite de la Licence professionnelle Arts vivants au STAPS du Creusot il y a trois ans, il m’a
paru évident de poursuivre l’organisation de cet événement. En toute logique, les rôles de danseuse, chorégraphe et
organisatrice sont très enrichissants et complémentaires. Pour autant, le cumul de ces missions demeure il est vrai
assez chronophage ! J’ai donc accueilli avec joie l’idée qu’une équipe d’étudiant puisse s’emparer du projet de façon
plus autonome cette année, et j’en profite donc pour remercier chaleureusement Pauline Vincerot et Erwan Croq pour
leur investissement.
Que pensez-vous du projet des rencontres chorégraphiques ?
C’est un beau projet qu’il est important de développer et de faire perdurer sur le territoire, pour donner l’occasion aux
amateurs de danse de se produire, de favoriser les démarches de création, et les rencontres autour de la danse. A
mon sens, il y a trop peu d’occasions pour les amateurs de danser dans des conditions professionnelles. Les écoles de
danse et conservatoire ont leur « gala », mais les groupes qui n’appartiennent ni au champ professionnel ni aux
écoles de danse n’ont pas forcément les moyens d’organiser des représentations. Les initiatives telles que nos
rencontres de l’Arc, ou les Journées de la danse organisées chaque année par le Conservatoire du Grand Chalon sont
donc importantes. Dans cette optique, j’ai aussi proposé d’autres soirées amateurs l’an dernier, comme « Ca danse
pour vous ! » en partenariat avec l’ECLA en mai 2014, puis « Temps danse d’hivers » à Givry en décembre dernier,
qui ont rassemblé plusieurs associations du département.
Et au sujet de la transdisciplinarité ?
J’aime l’idée que la danse puisse toujours s’ouvrir et dialoguer avec d’autres champs artistiques. Donc les croisements
avec le théâtre, le cirque, les arts plastiques, ou encore les nouvelles technologies sont autant d’outils à exploiter et
réinventer sans cesse au service du propos et des émotions que l’on veut faire partager aux spectateurs. Entre
croisement de styles et croisement de formes artistiques, la danse est donc un formidable vecteur de rencontres.
Vous enseignez la danse aux élèves de STAPS et vous êtes également chorégraphe de la compagnie
Tocade. En quoi éprouvez-vous une satisfaction à retranscrire votre savoir-faire ?
J’ai la chance de pouvoir concilier ma passion et mon métier. J’aime faire découvrir le plaisir du mouvement, de la
sensation. La danse permet à la fois de développer une écoute de soi mais aussi des autres, et c’est cette relation de
partage que j’apprécie particulièrement. L’idée d’imaginer, d’oser, se surprendre parfois, et d’inventer toujours… pour
appréhender le corps de manière poétique et transmettre des émotions. Sur le temps d’un semestre, ou d’une année,
le fait de voir évoluer les étudiants à travers une démarche artistique est très gratifiant. Par ailleurs, j’aime proposer
des débats autour des spectacles et donner des clefs de lecture du spectacle vivant. C’est vraiment intéressant de
pouvoir confronter des points de vue et de développer un sens critique autour des propositions artistiques.
Qu’est-ce que la danse vous apporte personnellement ?
Je rejoindrais bien la définition de Doris Humphrey, qui disait « la danse est une forme condensée et stylisée de la
vie ». La danse au quotidien, c’est du plaisir dans le mouvement, y compris le plus simple. C’est une façon d’être au
monde, de se recentrer dans « l’ici et le maintenant », ou de lâcher prise, toujours à la recherche de sensations,
d’états de corps et d’émotion. Pour autant, ce que j’apprécie toujours, c’est de jouer avec la relation aux autres, jouer
avec l’imaginaire, et rechercher une manière d’exprimer le monde qui nous entoure. La danse crée des liens entre les
gens
Avec le recul que vous apporte votre expérience, comment voyez-vous la danse aujourd'hui ?
Une forme artistique en constante évolution, à la croisée des styles, des arts, des cultures. Un moyen d’expression en
même temps qu’un reflet de notre société. Un art aux mille visages qu’il faut parfois apprendre à décrypter, car il peut
autant nous divertir, nous émerveiller, que nous interpeller, nous bousculer.
Transcen’Danse : Première partie
« STAPS en scène »
Ils vous présentent ici trois tableaux extraits du spectacle de la troupe des Z’ACROBARTISTES : « STAPS EN SCENE »
(AS Dijon). Création mêlant la danse, les arts du
cirque, l’acrobatie ; proposant des performances sur terre,
comme dans les airs, seul ou à plusieurs…
Mais si tout ceci n’était qu’un rêve… ?!
(Création en cours)
Les interprètes proposent cette année une création haute en couleur, à la fois dynamique et délicate, sous les conseils
du chorégraphe Alfred Alerte. Le mélange des énergies vous emportera dans des sensations et des émotions diverses
et variées !
« Deca Dance »
Les élèves du 3ème cycle Jazz du conservatoire vous proposent un extrait d’une pièce de répertoire du chorégraphe
Ohad Naharin. Voici l’occasion de découvrir les spécificités de la danse jazz, à savoir les relations à la musique et les
dynamiques du corps. Vivez ou revivez cette pièce incontournable !
Transcen’Danse : Deuxième partie
« Smile »
Initialement conçue pour être jouée dans la rue, « Smile » s’adapte ici à la scène où les danseurs allient breakdance,
virtuosité et humour pour un spectacle familial et bluffant. Un univers hors du commun dans lequel le public se plonge
et se laisse emporter… Chacun est libre d’imaginer ce qui lui plaît.
« Patati Patata »
La compagnie a choisi de faire des conversations le fil conducteur même de la création chorégraphique. Sur le fond et
sur la forme, de petites histoires sans fin habitent les « tocadiens » qui détournent avec amusement l’engagement
corporel associé aux discussions, aux commérages, ou autres brouilles de ménage, de machine à café et de
récréation. L’envie de dire, aussi, s’est manifestée comme un écho à toutes leurs voix intérieures, à leurs souvenirs et
à l’enfance, tissant progressivement une trame nostalgique derrière l’espièglerie ambiante. Traverser des histoires
quotidiennes ou imaginaires, révélées ou secrètes, passées ou présentes a nourri chaque interprète.
« La Luna désorientée »
Un joyeux métissage qui témoigne de la richesse culturelle des continents traversés. Les styles et les couleurs se
mélangent grâce aux rythmes celtiques, aux frénésies africaines, à la sensualité orientale et au romantisme du
bollywood. Recevez un message d'amour et de tolérance en acceptant cette invitation au voyage.
LE CREUSOT : Un duo de grande classe à L’arc
Le Jeudi 19 février 2015 @ 09:26:39
Du jazz de haute tenue.
On peut dire que c’était un concert inédit que les deux musiciens de renom ont donné sur le grand plateau de L’arc
vendredi dernier. Car oui ils se connaissaient et avaient déjà échangé musicalement, mais c’est la première fois qu’ils
jouait un concert tout entier ensemble.
Le rendez-vous programmé au Creusot était alors d’autant plus exceptionnel, et d’une très haute qualité grâce à ces
deux artistes, Baptiste Trotignon au piano et Stéphane Belmondo à la trompette.
La reprise de Take Five de Dave Brubeck et Bolero, signée Baptiste Trotignon en personne, ont introduit un beau
concert pour les adeptes de jazz mais pas seulement. Ils étaient plus de 200 personnes à assister au concert.
Ce jeudi soir, changement de registre, c’est l’interprétation théâtrale de Tartuffe qui est à l’affiche.
LE CREUSOT : Les 4 gagnants pour Tartuffe, jeudi soir à L'arc
Le Mercredi 18 février 2015 @ 22:27:55
Tartuffe ou l'imposteur, jeudi 19 février à 20h (durée 2h).
Le légendaire personnage créé par Molière jouera de ses manigances dignes de l’escroquerie pour profiter de la
fortune d’une bonne famille.
Un grand classique de la comédie et de la farce emmené par Benoît Lambert et les comédiens du Théâtre Dijon
Bourgogne.
A cette occasion «creusot-infos» faisait gagner 4 places. Le tirage au sort a eu lieu. Les gagnants pourront retirer leur
place sur présentation d'une pièce d'identité.
L’ARC : Jacques Gamblin à nouveau tout en haut du podium
Le Dimanche 08 février 2015 @ 11:27:09
C’est devant une belle assistance que Jacques Gamblin revenait pour la 5ème fois en 5 ans au Creusot
Ce samedi soir, les supporters étaient nombreux dans les travées de L’arc… Parmi eux des collégiens du Vallon
d’Autun ou de Jean Moulin Montceau ou encore des étudiants de Condorcet impliqués dans divers projets danse.
Et les premières paroles étaient un clin d’œil aux clubs creusotins : EALC, les COC, la JOC… ʺUne heure, 23’, 14’’ et 7
centièmesʺ, pièce programmée sur la scène de L’arc, transformée pour cette fois en piste d’athlétisme, met en scène
Jacques Lamblin et Bastien Lefèvre, son jeune partenaire, deux hommes qui ont un besoin d’action et de dépense
physique. L’un était athlète, coureur sur piste, l’autre pratiquait le hand-ball avant de raccrocher. Mais il leur reste le
plaisir de se surpasser, la rigueur des entraînements, le contrôle de leurs émotions et la joie de la victoire. Et c’est
tout naturellement qu’ils se retrouvent à nouveau dans ce projet qui associe théâtre et danse.
Jacques, l’entraîneur, a les mots qui parlent, Bastien le sportif de haut niveau a le geste et la danse. Ils s’aiment ou se
détestent, se respectent ou se déchirent. Des cris, des coups de gueule, des rigolades, l’exultation… Le rapport entre
les deux hommes nous renvoie à d’autres relations générationnelles d’échanges, comme entre un père et son fils ou
encore entre un maître et son élève. Ce lien fusionnel et riche rend les deux hommes dépendants l’un de l’autre.
Sur la piste, la performance est à la fois sportive et théâtrale dans un spectacle à la fois drôle, tendre et généreux où
Jacques, dans un dernier rush époustouflant, énumère alphabétiquement toutes les disciplines sportives, de
l’athlétisme à la dernière née, la zumba !
Chapeau ! Monsieur Gamblin, le public creusotin vous attend à L’arc pour de nouvelles perfs !
LE CREUSOT : "Mooooooooonstres" du Collectif Label Brut a enchanté petits
et grands ce jeudi à L'Arc
Le Vendredi 06 février 2015 @ 10:45:02
Ce jeudi en fin de journée avait lieu la représentation grand public du spectacle "Mooooooooonstres" proposé par la
scène nationale de L'Arc.
Après une représentation pour les scolaires ce jeudi matin et avant deux autres représentations ce vendredi, une
cinquantaine de personnes ont été conquises par le spectacle mis en scène par Laurent Fraunié au Petit Théâtre de
L'Arc. Un spectacle dans lequel on retombe en enfance et où l'univers feutré d'une chambre évoque peurs et phobies.
Le décor est minimaliste, quelques oreillers, un lit avec un vrai-faux sommier et une couette, tantôt protectrice et
douillette, tantôt terrifiante, malveillante et inquiétante. Le comédien n'arrive pas à tomber dans les bras de Morphée,
il fait la chasse à diverses créatures cachées ici et là.
Laurent Fraunié, le créateur du spectacle réussit à captiver les plus jeunes tout en les fascinant. Car comme il le
définit dans son projet initial "je vais tenter de trouver sans un mot des réponses à mes phobies et peurs d'enfants,
jamais totalement cicatrisées et armé d'un rire de résistance envers et contre tout". Et on peut dire que la prestation
scénique de Philippe Richard le comédien qui joue le spectacle nous offre un véritable régal pour les yeux ; et aussi
pour les oreilles car les bruits, tantôt familiers, tantôt étranges contribuent à créer une atmosphère spéciale. Et à voir
les visages illuminés des jeunes bambins présents ce jeudi soir, on peut affirmer que le Collectif Label Brut a vu juste
et a permis aux petits de combattre leurs peurs par le rire et l'émotion.
Synopsis :
Un lit est posé là.
Comme une barque échouée sur une plage... Un cheveu sur la soupe!
C'est là que l'histoire de notre dormeur commence.
Au moment crucial de l'endormissement, de la séparation. Dans cet instant fatidique où resurgissent pêle-mêle le
bazar réel et le bazar imaginé.
Le jour s'éloigne dangereusement dans la solitude du lit...
Après avoir décidé prudemment de laisser la veilleuse allumée, le dormeur tombe dans une somnolence hachée
menue. Mais à quel étrange ballet le dormeur dans son abandon laisse-t-il la place ?
Son drôle de corps dans son drôle de lit devient le théâtre d'une sarabande d'apparitions fugaces, de fantômes et
d'ectoplasmes...
De quoi vous mettre la tête à l'envers...
Et découvrir le plaisir de se faire peur et de manipuler les monstres.
C'est parfois très utile un monstre.Mais à quel prix trouver le sommeil ? L’abandon ou le traité de paix?
LE CREUSOT : Les 4 gagnants pour le théâtre d'objets, jeudi à L'arc
Le Mercredi 04 février 2015 @ 13:49:26
Mooooooooonstres
Collectif Label Brut
jeudi 5 février à 19h - spectacle pour les 3-6 ans
Qui du monstre ou de la peur arrive en premier ? Qu’est-ce qui fait le plus peur ? La peur ou le monstre ? Ce
spectacle sans parole s'amuse avec les monstres qui se réveillent au moment où l'on éteint la lumière pour que les
enfants s'endorment. Dans son grand lit douillet, le comédien part à la chasse aux figures imaginaires qui surgissent
de toute part.
Et ce mercredi à 15h, la Médiathèque donne rendez-vous aux enfants à partir de 4 ans pour un atelier sur tablette
numérique "dessine-moi un monstre".
Pour ce rendez-vous théâtre, creusot-infos avait mis en jeu 4 places. Le tirage au sort a eu lieu. Les gagnants
pourront retirer leur place sur présentation d'une pièce d'identité.
Les 4 gagnants
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Valérie Felix (Saint-Pierre de Varennes)
Elodie Soubirant (Le Creusot)
Simone Degrange (Le Breuil)
Joseph De Araujo (Le Creusot)
L’ARC : Ça danse dans le bassin minier !
Le Lundi 02 février 2015 @ 01:25:01
Dans le cadre de la programmation du festival Art Danse de Dijon, la nouvelle création de la chorégraphe milanaise
Ambra Senatore, Aringa Rossa (Hareng Rouge) était offerte au public creusotin samedi soir après avoir été présentée
à la Biennale de la danse de Lyon en septembre dernier. Malgré cette belle affiche, la salle de L’arc était loin d’avoir
fait le plein.
ʺHareng rougeʺ, c’est le terme anglo-saxon pour désigner une fausse piste introduite dans un scénario pour
augmenter le suspense en semant une certaine confusion où s’embrouillent volontairement les images. Sur le plateau,
se succèdent des éclats chorégraphiques où l’on croit retrouver une ambiance, un personnage, un lieu ou un groupe
déjà vu dans le spectacle. La chute volontaire du plateau d’un des personnages ainsi que des bribes de dialogues de
films ne seraient-ils pas un clin d’œil au cinéma muet ? Le vrai scénario de ce film restera toutefois inconnu. Le
spectacle se présente comme une image éclatée, sans invitation à une reconstitution d’ensemble.
Aringa Rossa est un parfait reflet des tendances actuelles, un réel produit de notre temps. Les tableaux vivants et les
reflets de la vie quotidienne se combinent avec Ambra Senatore selon un plan précis dans l’intérêt du rythme
d’ensemble. Ce montage de saynètes garde cependant une certaine fluidité comme dans un ballet où les neuf
interprètes gardent malgré tout une certaine marge de liberté.
LE CREUSOT : Les écoliers s’approprient les oeuvres à L’arc
Le Mardi 27 janvier 2015 @ 16:38:46
Une exposition et des ateliers leur sont réservés.
L’arc, scène nationale, dispose d’un fonds d’estampes important, avec près de 400 œuvres originales. Et elle les
partage suivant les demandes.
Autour du projet Traces Signes Ecritures, dans le domaine des arts visuels, lancé cette année par l’inspection de
l’Education nationale, notamment à l’adresse des établissements scolaires du premier degré de la circonscription du
Creusot, Anne Roy, conseillère pédagogique en arts plastiques, a pensé à solliciter L’arc, dont l’une des thématiques
de son fonds d’estampes est « Signes et écritures », où l’expression artistique est manifestée sur les œuvres par des
lettres et des signes, éléments picturaux centraux ou plus subtiles.
Ces tableaux, des écoliers de maternelle et d’élémentaire sont invités à se les approprier en quelque sorte. A leur
manière, ils les décryptent. Devant les œuvres, ils expriment leurs préférences et leurs ressentis. L’analyse dure une
bonne demi-heure pour les élèves de maternelle, voire plus pour ceux de l’élémentaire.
Ce mardi, Anne Roy, à L’arc donc et en partenariat avec la structure, a reçu des écoliers du Tennis, de Raymond
Rochette, de Victor Hugo et de Saint-Firmin. De la grande section de maternelle au CM2, les classes ont profité d’une
petite exposition en forme d’ateliers ludiques et pédagogiques. Des séances comme telles sont encore programmées
la semaine prochaine pour d’autres écoliers.
LE CREUSOT : Kheireddine Lardjam a joué le super héros sur la scène de
L’arc
Le Samedi 24 janvier 2015 @ 16:20:06
Il s’est produit accompagné de musiciens et d’une chanteuse. Un spectacle plutôt décalé, touchant toutes sensibilités
et rythmé d’images fortes... C’est la « Page en construction » de la compagnie El Ajouad.
Dans « End/Igné », le ton est plus sérieux. Dans « Le monde dort dans une femme arabe », la question du voile et de
la considération de la femme arabe est abordée par une mise en scène disons extravagante et un jeu très osé sur le
sujet par Kheireddine Lardjam. Pour sa « Page en construction », le comédien et metteur en scène de la compagnie El
Ajouad a choisi de faire dans le décalé, dans une ambiance moins froide, plus dans l’imagination et l’humour contre
les préjugés et la stigmatisation, mais restant marquante sur le fond.
Avec Romaric Bourgeois, Larbi Bestam et Sacha Carmen, les liens franco-algériens sont d’entrée décomplexés en
musique, pour mieux accentuer les rapports que peut connaître un Algérien venu vivre en France. C’est l’histoire de
Kheireddine Lardjam qui est écrite par Fabrice Melquiot. Kheireddine Lardjam lui-même, échange avec les autres
comédiens sur scène, s’interroge sur sa place et son identité, avec sa « gueule d'arabe ». Cela avec une neutralité, et
une envie, celle de comprendre une fêlure datant d’il y a des années entre les deux pays, et surtout d'évoluer.
Il n’est pas Hulk, l’homme vert au short blanc - aux couleurs de l’Algérie - « qui casse tout quand il est en colère », ni
Thor, le Dieu « qui provoque le tonnerre », ou encore Batman, le justicier « aux gadgets de riche ». Kheireddine
Lardjam est Algéroman, un super héros algérien dont le premier super pouvoir est l’ouverture. Il repense à la vie avec
son père là-bas, à des principes « ancestraux » qui ne tiennent plus, et cherche aujourd’hui à donner un autre
exemple à son fils. Et puis, sous les conseils de Fabrice Melquiot, il devient Captain Maghreb. Ses aventures à Lons-leSaunier dans le Jura sont aussi relatées et projetées à la manière de comics, dessinés par Jean-François Rossi.
Au plateau durant près d’une heure et demie, il joue de ce rôle amené par les textes de l’écrivain. Une certaine
mégalomanie que Kheireddine Lardjam fait agréablement passer. Les solos de Romaric Bourgeois à la guitare et ses
personnages, comme les voix de Sacha Carmen et Larbi Bestam - lui aussi aux instruments - apportent leurs
ingrédients à un spectacle bien pensé, où les situations pouvant heurter font au contraire rire et nous touchent
d’autant plus dans un tel cadre. De même que les artistes.
En parallèle d’une Algérie et d’une France au passé trop lourd, d’un héritage à repenser de nos jours, de tensions
islamistes et islamophobes à contredire, il est fait en quelque sorte le vœux de la liberté humaine. Le dernier tableau
voit Kheireddine Lardjam, quasiment nu, danser voilé, en exposant sa sensualité orientale à Marine Le Pen...
La représentation a été appréciée par plus de 380 personnes mercredi soir dans le grand théâtre de L’arc.
Alix BERTHIER
*La compagnie théâtrale n’ayant pas souhaité que des photos soient prises au cours du spectacle, celles publiées ici
nous ont été transmises par cette compagnie.
LE CREUSOT : Chroniqu(e)s... Petit aperçu de «Page en construction»
Le Mercredi 21 janvier 2015 @ 14:10:17
Le spectacle a lieu ce mercredi soir sur la scène nationale de L’arc. Une forme artistique s’est déroulée à l’IUT du
Creusot et à l’ESCALE.
Le programme Univ’Art, concocté par L’arc en partenariat avec le Campus Sud Bourgogne et la Communauté Creusot
Montceau, est fait pour donner envie aux étudiants du campus du Creusot de s’intéresser davantage à la Culture,
qu'ils poussent ensuite les portes de la structure culturelle qu’est L’arc, proposant chaque saison des spectacles
enrichissants. Le Bureau Vie Etudiante 71 est à même de faire le relais, avec des tarifs préférentiels.
« Page en construction » est de ceux-là, de ces spectacles à voir par un public large. Sur cette création, l’artiste
Kheireddine Lardjam a sollicité Fabrice Melquiot pour l’écriture. Sur scène, il se produit avec musiciens et chanteuse.
Son histoire est mise en scène, tout en étant racontée avec des paroles qui marquent, des textes qui résonnent.
Kheirreddine Lardjam est Algérien et vit en France, né après la guerre d’Algérie, cherchant là à se situer et à
s’affirmer, et abordant plus profondément peut-on dire les relations franco-algériennes, les liens franco-algériens.
L’angle choisi par Fabrice Melquiot est interprété dans un spectacle, un concert de mots et de réflexions qui portent.
D’autant plus importants dans le contexte suite aux attentats du début d’année, même si la création a été réalisée
avant.
Cette forme, les étudiants en Techniques de Commercialisation en ont eu un aperçu vendredi dernier. La prestation
de Kheirreddine Lardjam, accompagné de Sacha Carmen et Romaric Bourgeois, a fait forte impression. Les trois
artistes se sont aussi présentés à l’ESCALE en début de soirée le même jour.
« Page en construction », de la compagnie El Ajouad, est à ne pas manquer ce mercredi soir à 20h30 à L’arc.
LE CREUSOT : «Rastros»… Carmen Mariscal expose à L’arc jusqu’au
1er mars
Le Mercredi 21 janvier 2015 @ 16:36:58
Ses « Traces » et sa mémoire ressortent du corps.
A l’âge de 18 ans, Carmen Mariscal est sortie d’un grave accident de voiture. De cela est né tout un
travail artistique sur le corps. 18 ans de travail, de montages photographiques, d’installations, de
sculptures...
Le corps, elle le décompose et le recompose pour en faire ressortir ce que l’on ne voit pas forcément,
des émotions cachées que l’artiste d’origine mexicaine dévoile par des superpositions, des œuvres très
personnelles autant dans la forme que dans le fond que Carmen Mariscal a envie de faire partager. Elle
sensibilise en quelque sorte aux ressentis intérieurs, au corps comme trop plein d’émotions, entre la
pudeur et l’ouverture.
Avec aussi le rapport au corps devant le mirroir. Les « Traces » de Carmen Mariscal sont apparentes ou
dissimulées, les visiteurs sont invités à observer une dimension forte du corps. Et de sa mémoire. «
Quelques jours avant de disparaître, ma grand-mère m’a offert sa robe de mariée. (…) Me glisser dans
cette robe a façonné ma démarche artistique dès ses débuts. Depuis, presque tous mes projets
s’articulent autour d’objets hérités », dit-elle.
« Cette exposition va au-delà des traces. Ces œuvres amènent à voir l’invisible », avait insisté le
président de L’arc, Antoine Diaz, lors du vernissage de l’exposition le 10 janvier. « Au lendemain » des
actes terroristes en France, ce rendez-vous a été l’occasion de rappeler la place de la Culture dans ce
pays, ainsi que les valeurs de celui-ci. Carmen Mariscal est aujourd’hui « française pour toutes ces
valeurs », dans un domaine et en l’occurence un sujet où l’art doit rapprocher tout en libérant la
pensée.
L’exposition est en place jusqu’au 1er mars. Horaires d’ouverture : du mardi au vendredi de 13h30 à
19h00, le samedi de 14h30 à 18h00, et les dimanches 1er février et 1er mars de 16h00 à 18h00. Plus
d’informations sur les rendez-vous autour de l’exposition :http://www.larcscenenationale.fr/.
LE CREUSOT : 4 places à gagner pour «Page en construction», mercredi soir
à L'arc
Le Mardi 20 janvier 2015 @ 18:22:23
Mercredi 21 janvier, à 20h30, L'arc présente «Page en Construction», de la Compagnie El Ajouad. A cette occasion,
creusot-infos fait gagner 4 places à ses fidèles internautes. Pour tenter votre chance, il convient de nous adresser un
mail avec, OBLIGATOIRE, votre nom, votre prénom et votre adresse. Le jeu est ouvert jusqu'à mercredi 10 heures.
Page en construction
Fabrice Melquiot - compagnie El Ajouad
mer 21 jan 20h30
Page en construction de Fabrice Melquiot avec le comédien Kheireddine Lardjam et les musiciens Larbi Bestam,
Romaric Bourgeois et la chanteuse Sacha Carmen
Un spectacle de théâtre, de musiques, de chansons, de vidéos, de bande dessinée… Un super-héros exilé et apatride
nous embarque dans l’aventure de sa vie entre la France et l’Algérie.
> Kheireddine Lardjam est l’un des rares metteurs en scène algériens dont les spectacles tournent de façon régulière
en Algérie et en France. En 1998, il crée à Oran en Algérie la compagnie El Ajouad en référence autitre d’une oeuvre
d’Abdelkader Alloula, premier artiste et dramaturge assassiné en Algérie en 1994 par les islamistes, auteur
déterminant dans le trajet de Kheireddine Lardjam qui s’engage à défendre son œuvre et celle de plusieurs auteurs
algériens.
L’arc à accueilli et coproduit plusieurs de ses créations parmi lesquelles Le poète comme boxeur de Kateb Yacine crée
en 2012 au théâtre de Béjaia en Algérie, Les Borgnes de Mustapha Benfodil créé cette même année à L’arc, End/Igné
de Mustapha Benfodil créé en 2013 au Caire puis présenté au festival d’Avignon.
L’arc est coproducteur de Page en construction de Fabrice Melquiot. Kheireddine Lardjam mène les ateliers de l’option
théâtre du lycée Léon Blum au Creusot cette saison.
>Fabrice Melquiot a publié une quarantaine de pièces de théâtre et a reçu en 2008 le Prix jeune théâtre de
l’Académie Française pour l’ensemble de son œuvre jeune public. Depuis 2009, il est auteur associé du Théâtre de la
Ville à Paris et depuis 2012, directeur du Théâtre Enfance Jeunesse - Am Stram Gram à Genève.
L’ARC : Antigone ravit le public … et de nombreux Charlie
Le Samedi 10 janvier 2015 @ 01:20:00
La grande salle de L’ARC était bondée ce jeudi soir pour la représentation d’Antigone par la compagnie Philippe Car
De nombreux lycéens, collégiens, (Wittmer Charolles, Jeanne d’Arc Paray, Léon Blum, Saint-Gilbert…) étaient
également de sortie pour cette soirée d’exception. Le hasard a fait que la programmation de la tragédie de Sophocle
écrite il y a près de 2500 ans arrive le lendemain de la tragédie qui a vu l’assassinat de plusieurs figures de Charlie
Hebdo. C’est ainsi qu’en avant-spectacle ont été projetés sur écran géant des caricatures de grands humoristes. A
l’issue de la pièce également, les trois comédiennes associées à la Directrice de L’ARC ont délivré quelques messages
à l’attention d’un public encore sous le charme. Une minute de recueillement a été observée et les « je suis Charlie »
ont été levés par les spectateurs avant un tonnerre d’applaudissements. Difficile de ne pas établir un parallèle… La
compagnie a également convié le public à un cocktail en musique dans le hall de L’ARC.
Antigone, courageuse et obstinée, s’oppose à son oncle Créon et fait tout pour enterrer dignement son frère Polynice,
considéré comme un traître. Séraphin, le clown de Valérie Bournet, nous narre cette histoire tout en conjuguant le
tragique, le merveilleux et l’humour. Entouré de ses deux anges gardiens, comédiens et musiciens omniprésents,
Séraphin, avec délicatesse et malice, nous apparaît aussi courageux et engagé qu’Antigone.
Un décor somptueux, une grande richesse d’inventions et trois comédiennes de grand talent qui changent de rôle
avec une incroyable aisance, il n’en faut pas plus pour que cette Antigone-là reste à jamais ancrée dans nos
mémoires.
LE CREUSOT : 4 places à gagner pour Antigone, ce jeudi à L'arc
Le Mercredi 07 janvier 2015 @ 23:13:36
Mythe universel du courage et de la résistance au pouvoir, Antigone a inspiré d’innombrables mises en scène. Voici
celle de Philippe Car qui adapte en musique avec inventivité, humour et fantaisie cette tragédie grecque.
Sur le sentier d’Antigone
d’après Sophocle - Agence de Voyages Imaginaires
théâtre - jeu 8 jan 20h3O
A cette occasion, «creusot-infos» fait gagner 4 places à ses fidèles internautes. Et une fois n'est pas coutume, les 4
places récompenseront les 4 premiers à nous répondre. Il convient pour cela de nous adresser un mail, avec
OBLIGATOIREMENT, votre nom, votre prénom, votre âge et votre adresse.
Cliquez ici pour tenter votre chance
en adressant un mail à creusot-infos
[email protected]
LE CREUSOT : Les 6 gagnants d'une place pour la représentation théâtrale
«Il n'y a pas de cœur étanche»
Le Mardi 09 décembre 2014 @ 14:32:30
Il y a ceux qui sont supposés aller bien, et ceux qui sont supposés aller mal. Ceux qui se débrouillent avec la vie et
ceux qui n’y arrivent plus… La frontière est trouble, il n’y a pas de coeur étanche… Entre documentaire, théâtre et
concert, la musicienne Julie Rey et l’écrivain Arnaud Cathrine nous racontent leurs rencontres avec des patients de La
chartreuse à Dijon. Des chemins de vie plutôt que des histoires de folie.
C'est à découvrir ce mercredi 10 décembre, à 20h30 à L'arc au Creusot, et à cette occasion, «creusot-infos» faisait
gagner 6 places. Le tirage au sort a eu lieu. Les gagnants pourront retirer leur place sur présentation d'une pièce
d'identité.
Les six gagnants
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Marianella Pardo Miller (Le Creusot)
Stéphanie Moriaux (Le Creusot)
Rosa Billot (Le Creusot)
Bakhta Sisbane (Le Creusot)
Sarah Neugnot (Le Creusot)
Bernadette Germe (Le Creusot)
LE CREUSOT : Il était une fois Cendrillon… à la Scène nationale de L'Arc
Le Lundi 08 décembre 2014 @ 02:48:02
Soirée lyrique à L’arc samedi soir avec la compagnie Sandrine Anglade, artiste associée à la scène nationale de
Besançon.
Au programme « Il était une fois une petite cenerentola » d’après l’œuvre de Rossini. Un regard spécial sur
Cendrillon, en cette période qui précède Noël. Les spectateurs ont pu apprécier avec délices les voix superbes des
artistes de la compagnie. Les œuvres lyriques de Rossini sont les derniers et les meilleurs opéras bouffes italiens dont
la musique est empreinte de bonne humeur et de vivacité.
LE CREUSOT : Les 4 gagnants pour le spectacle de cirque Pss Pss ce
mercredi à L'arc
Le Mardi 25 novembre 2014 @ 23:20:23
Pss Pss est un spectacle de cirque pas comme les autres, proposé par la Compagne Baccalà Clown. Il est programmé
ce mercredi 26 novembre, à 19h30, à L'arc. Pour ce spectacle, L'arc et creusot-infos mettaient en jeu 4 places. Le
tirage au sort a eu lieu. Les gagnants pourront retirer leur place sur présentation d'une pièce d'identité, à la billetterie
de L'arc.
Les 4 gagnants
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Sébastien Coulez (Antully)
Amandine Charleux (Le Creusot)
Maud Lefort (Saint-Vallier)
Rose Billaut (Le Creusot)
LE CREUSOT : Plus de 300 personnes sous le charme envoûtant d'Angélique
Ionatos à L'Arc ce samedi soir
Le Dimanche 23 novembre 2014 @ 14:15:00
305 personnes très exactement ont découvert l'univers d' Angélique Ionatos qui se produisait sur la scène de L'arc ce
samedi ; l'artiste d'origine grecque présentait son spectacle de 2006, "Eros y muerte" qui a subjugué le public.
Accompagnée de César Stroscio au bandonéon, de David Braccini au violon et de Claude Tchamitchian à la
Contrebasse, l'artiste a proposé pendant 1h40 de récital de découvrir le thrène, un chant traditionnel de Crète ou
d'Épire que les femmes improvisent pour raconter la vie des défunts sur des vers admirables. Un grand moment de
musique et de partage dans lequel l'artiste a sublimé cet art traditionnel grec à la guitare ou au chant sur des rythmes
endiablés et parfois même incandescents. Et par moments, on aurait pu imaginer une déesse venue tout droit de
l'Antiquité qui a littéralement envoûté le public par ses chansons qui trouvent leurs racines dans la tragédie grecque.
Et même si le thème des thrènes évoque la mort "l'humour trouve sa place dans ce chant, car c'est la vie, encore et
toujours qui triomphe".
LE CREUSOT : Les Tréteaux de France en pleine leçon sur le plateau de L’arc
Le Mercredi 19 novembre 2014 @ 22:34:03
C’est Robin Renucci qui a donné le ton peut-on dire devant près de 700 personnes.
Les Tréteaux de France, c’est un centre dramatique national itinérant. Acteur, comédien et réalisateur, Robin Renucci
en est le directeur depuis 2011 et se pose dit-il « pour le partage du théâtre avec le plus grand nombre », en
s’inscrivant notamment dans une démarche d’éducation populaire. Il avait joué « L’école des femmes » la saison
dernière à L’arc, vendredi soir dernier il est revenu pour faire « La leçon », d’Eugène Ionesco. Avec Jeanne Brouaye
dans le rôle de l’élève lancée dans la préparation du « doctorat total », Yves Bressiant en bonne rigide et gardant un
œil sur le cours, et Robin Renucci donc comme professeur.
Une prestation au travers laquelle le comédien a progressivement donné le ton d’une séance animée, de plus en plus,
selon les méthodologies propres à ce professeur obsédé, déjanté, sadique, face à une élève aux temps de réflexion et
aux réponses le poussant à son paroxysme, dans ses retranchements de l'apprentissage arithmétique entre autres.
Une leçon aux dimensions exacerbées, extrapolées, et un drame comique ayant déclenché les rires réguliers de
l’assistance.
Plus de 670 personnes étaient confortablement installées dans le grand théâtre pour cette bien bonne soirée.
Alix BERTHIER
LE CREUSOT : L’arc et le lycée Léon Blum réaffirment leur partenariat
Le Lundi 17 novembre 2014 @ 23:30:41
Une nouvelle convention a été signée pour cette année 2014-2015.
La directrice de la scène nationale, Célia Deliau, a invité vendredi dernier dans son bureau plusieurs représentants du
lycée Léon Blum. Une invitation à officialiser et renouveler peut-on dire un partenariat qui dure entre les deux
structures, se retrouvant autour d’échanges artistiques et culturels chaque année. On peut aussi y ajouter la
Médiathèque, représentée lors de cette réception par sa directrice Milène Mariello et Agnès Garima. L’intérêt premier
est de faire connaître et de sensibiliser les lycéens aux deux lieux exhaustifs dans leurs offres, leurs missions et leurs
spécificités que sont L’arc et la Médiathèque.
« Fréquenter les lieux de Culture, c’est aussi l’apprentissage sociétal ». La présidente de L’arc, Simone Cayot, a en ce
sens insisté sur un tel partenariat, approuvé et souligné par Célia Deliau. De même que l’adjoint au maire délégué à la
Culture, Jérémy Pinto, qui voit dans cette démarche le prolongement du programme pour les élèves du lycée, avec un
accent là sur l’éducation artistique.
Rappelons que le lycée a pu déjà profiter d’une résidence d’artistes de la compagnie El Ajouad durant cette année. Et
la convention signée dernièrement stipule notamment l’intervention en février de la compagnie des Tréteaux de
France. Un atelier Théâtre pour les enseignants est aussi en réflexions, et l’opération des lycéens-relais effectuée à
l’occasion du festival Hors Champ pour la promotion des rendez-vous au programme pourrait être appliquée tout au
long d’une saison. Sans oublier les scènes ouvertes, restitutions des travaux théâtraux encadrés par les professeurs
de lettres dans des conditions très appréciables et appréciées, que plusieurs élèves connaissent en tant que
spectateurs lorsqu’ils viennent assister à des représentations. Sur le total des abonnements de groupes, 62% sont des
scolaires.
Le proviseur du lycée Léon Blum, Bernard Hessel, les a d’ailleurs remerciés pour leur implication. En donnant aussi
une certaine dimension au partenariat, en s’adressant plus particulièrement à L’arc : « On œuvre à ce que les équipes
travaillent pour les élèves. Ils sont au cœur d’un système dont vous faites partie ».
Avant l’apposition des signatures et le partage d’un apéritif, Célia Deliau a profité de l’occasion pour évoquer un
partenariat complémentaire à celui-ci, avec le rectorat et l’Education nationale, se traduisant par la mise à disposition
d’une enseignante en lettres, pour un suivi et un travail en cohérence.
Alix BERTHIER
LE CREUSOT : Les 4 gagnants pour «La Leçon», ce vendredi à L'arc
Le Vendredi 14 novembre 2014 @ 08:50:19
La leçon d’Eugène Ionesco par les Tréteaux de France avec Robin Renucci dans le rôle du professeur. Une mise en
scène de Christian Schiaretti, directeur du Théâtre national populaire de Villeurbanne. Un "drame comique", pièce
maîtresse du théâtre de l'absurde, à découvrir ce vendredi 14 novembre, à 20h30, à L'arc au Creusot. A cette
occasion, 4 places étaient à gagner avec creusot-infos. Le tirage au sort a eu lieu. Les gagnants pourront retirer leur
place sur présentation d'une pièce d'identité.
Les 4 gagnants
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Edith Bahlinger (Le Creusot)
Isabelle Da Calva (Mont Saint Vincent)
Nicolas Oliveira (Marmagne)
Amélie Plétikos (Le Creusot)
LE CREUSOT : «Une longueur d’avance» avec Le grand jeté !
Le Vendredi 07 novembre 2014 @ 13:34:31
La compagnie de Frédéric Cellé assure ce week-end des représentations de sa création de danse contemporaine sur la
scène nationale L’arc. Rendez-vous ce vendredi 7 ou bien ce samedi 8 novembre, à 20h30 pour chaque spectacle.
Présentation.
Trois danseurs, trois hommes, pour évoquer l'héritage et la transmission avec la fougue et l'énergie de la danse de
Frédéric Cellé dans un univers musical tout en délicatesse. Cette nouvelle création de Frédéric Cellé est coproduite par
la scène nationale du Creusot et est présentée en première publique les 7 et 8 novembre à L'arc.
Un père et ses deux fils ? Un maître à danser et ses deux élèves ? Trois générations ? Qu’importe... Et si tout n’était
qu’une histoire de transmission ? Il arrive toujours un moment où on fait le point : ce dont on a hérité, ce contre ou
avec quoi on s’est construit. Frédéric Cellé nous interroge sur ce qui nous constitue : y-a-t-il des héritages à refuser ?
Faut-il mettre nos pas dans les pas de nos pères ? Faut-il prendre ou non une longueur d’avance ?
Entre rêverie, interrogations, regards sur notre passé et notre avenir, cette pièce chorégraphique nous offre un trait
d’union entre l’hier et le présent, pour une impulsion pleine de joie de vivre vers l’avenir.
« Tu imagines le chemin que tu as parcouru de la poussière jusqu’à aujourd’hui ? (…) Lorsque tu auras dépassé ta
condition d’homme, tu deviendras un ange (…) Quand tu danses, tu en as le pressentiment. », Éric-Emmanuel
Schmitt - Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran.
Plus d’informations sur : http://www.larcscenenationale.fr. Billetterie au 03 85 55 13 11.
LE CREUSOT : Quand les élus municipaux présentent des points forts de la
ville à la sous-préfète
Tour d’horizon de la visite de sous-préfète d’Autun Carole Dabrigeon, qui était ce mardi en déplacement au Creusot.
LE CREUSOT : Quand les élus municipaux présentent des points forts de la
ville à la sous-préfète
Le Mercredi 22 octobre 2014 @ 13:05:33
Tour d’horizon de la visite de sous-préfète d’Autun Carole Dabrigeon, qui était ce mardi en déplacement au Creusot.
Carole Dabrigeon et André Billardon s’étaient entretenus le 29 juillet, soit au lendemain de la prise de fonctions de la
sous-préfète d’Autun. Plus officiellement, c’est ce mardi à la mi-journée que le maire et plusieurs membres de son
équipe municipale l’ont accueillie dans le grand salon de l’hôtel-de-ville.
La haute fonctionnaire d’Etat étant « entourée » de l’œuvre de Leygonie en toile de fond et surtout des peintures de
Raymond Rochette, il y avait déjà une occasion de souligner une forte identité industrielle au Creusot. Mais pas
seulement.
« Aujourd’hui, nous avons la volonté de vous faire mieux découvrir la ville et comprendre ce qu’est Le Creusot », a
annoncé André Billardon, en rappelant le programme de la demi-journée. Et en émettant quelques remarques : « On
peut dire que la ville du Creusot résiste mieux à la crise que d’autres. Pour ce qui est de la baisse des dotations de
l’Etat, les collectivités en ont bien profité par le passé et il est normal que tout le monde fasse des efforts dans des
temps difficiles. Faire des efforts, la ville sait ce que c’est ». Des propos auxquels le maire souhaite que deux
conditions soient prises en compte : la mesure des efforts de chaque collectivité et les solidarités entre elles, en
référence à une péréquation voulue plus juste et efficace.
Le temps du partage du verre de l’amitié, d’un repas sans doute propice à des discussions plus poussées, et la visite a
débuté.
La ville autour d’un « fleuve industriel »
Carole Dabrigeon s’était déjà déplacée au sein de points forts du Creusot. Elle était allée chez Industeel, Snecma et
dernièrement à FrancEole. Elle avait aussi apprécié des photographies de l’exposition « Le Creusot vu d’en haut », en
remarquant d’autres aspects de la ville. Au niveau de la plateforme d’exploitation rue des Pyrénées, elle a pu
constater toute l’étendue du Creusot, accompagnée de son historique et de son urbanisation commentés par André
Billardon.
« La ville se répartit de part et d’autre de l’industrie, comme de chaque côté d’un fleuve. La ville est surélevée sur
plusieurs endroits ». Selon le maire, les plans d’urbanisation que l’on distingue encore aujourd’hui résultent de ce
mélange. Cela en remontant jusqu’à la Combe des Mineurs, « où les gallois qui ont marqué les débuts de la
métallurgie avaient construit pour leurs ouvriers ».
Plus haut, le maire a fait part à la sous-préfète d’une belle transformation : « Il est loin le temps du train des
Crouillotes montant les restes des hauts fourneaux. A la place de ce qui était une décharge industrielle, se trouve un
parc touristique qui attire du monde ». Les projets futurs ont aussi été abordés depuis cette vue panoramique, « dans
le cadre on le voit finalement assez vert et non pas tout gris ».
Rénovation urbaine et équipements aux Creusotins
C’est aux abords de l’avenue de la République, avec d’un côté une rénovation urbaine en cours et de l’autre des
immeubles qui datent, qu’une question a été lancée par le maire sur le quartier d’Harfleur : « Aujourd’hui, on peut se
demander quel est son devenir ? La démolition possible des immeubles ne tient pas seulement à la stratégie
d’urbanisation, mais elle nécessite des moyens et un vrai projet derrière. Nous savons qu’il y aura un milliard d’euros
déconcentré aux préfets de régions suivant le deuxième volet de l’ANRU. Nous ne serons pas dans les 200 quartiers
prioritaires, mais nous avons sollicité l’Etat pour que ce soit inscrit dans le programme ».
Dans une continuité par rapport à la rénovation effectuée dans le cadre du GPRU, André Billardon a insisté auprès de
la représentante de l’Etat : « A l’évidence, il faut à terme enlever plusieurs immeubles. C’est un dossier à mener avec
l’OPAC Saône-et-Loire et la Communauté Creusot Montceau, mais nous ne pourrons pas le faire si nous ne bénéficions
pas de l’ANRU 2 ». Dans une réflexion globale d’un secteur dont l’image a été transformée, les locaux de l’ancienne
école pourraient être intégrés et aménagés pour une logique de services s’adressant à tous les Creusotins.
La Maison des parents, inaugurée en septembre 2013 et financée à plus de 300 000 euros dans l’ANRU 1 (sur un
investissement d’1 200 000 euros HT), en est un exemple fort. « Il a fallu un mandat pour en arriver là, sur un enjeu
important », a souligné André Billardon, dans une structure où la sous-préfète a été invitée à apprécier une
dynamique partenariale, afin de proposer aux parents informations, écoutes et entretiens autour des questions de la
parentalité. La Ville du Creusot, la CAF, le Conseil Général de Saône-et-Loire et l’Education nationale en sont
notamment les acteurs et partenaires.
Depuis le mois de septembre 2014, 46 familles ont été reçues pour des interrogations sur les modes de garde, les
ateliers ont concerné 50 adultes et 56 enfants... En deux mois, plus de 100 familles ont été accueillies. A noter aussi
que la Maison des parents héberge un CAMPS (centre d’action médico-sociale précoce) ainsi qu'un Relais Assistant(e)s
Maternel(le)s, dont 14 communes sont signataires et sur lequel 330 AM sont concernés.
Démocratisation universitaire et culturelle
En se rendant à la bibliothèque universitaire sur le centre Condorcet puis à L’arc, jusque sur le grand plateau de la
scène nationale et en coulisses avec les responsables administratifs et techniques, c’est la notion de démocratisation
de l’Université de Bourgogne et de la Culture que l’équipe municipale souhaitait mettre en avant.
L’occasion d’abord d’admirer une ancienne halle aux locomotives qui en a gardé certains charmes, inaugurée en BU
en 1998. L’occasion aussi d’apprécier une structure de L’arc dont les événements sont à noter. Avec, en comptant les
représentations d’associations locales, plus de 70 levers de rideau par saison, et des sensibilisations régulières auprès
des scolaires. Le lien d’ailleurs entre l’Université et la Culture sur le territoire communautaire ? Le programme Univ’art,
permettant aux étudiants du campus de découvrir la programmation en profitant de spectacles et autres
manifestations artistiques à tarifs réduits.
En réaffirmant l’importance d’une scène nationale, André Billardon avait aussi interpelé la sous-préfète sur des
orientations contradictoires : « Alors que certaines compétences sont restreintes pour les collectivités, le ministère de
la Culture souhaiterait que les scènes nationales soient d’avantage encouragées par les territoires. C’est à revoir ».
LE CREUSOT : Les 4 gagnants pour «Swift !» ce mercredi soir à L'arc
Le Mercredi 15 octobre 2014 @ 09:49:33
Du théâtre d’objets, d’images et d’ombres par la compagnie Skappa ! & Associés. Rendez-vous ce mercredi 15 octobre
à 19h30 à L’arc.
Librement inspiré des « Voyages de Gulliver », une aventure où le très petit rencontre le très grand, Swift ! est une
véritable fabrique d’images insolites qui montre que l’étrange et le magnifique ne sont jamais très loin. La compagnie
Skappa ! nous emmène à la découverte d’un univers fabuleux où tout devient possible.
Suivons le héros de cette histoire, sorte de Gulliver moderne, qui découvre un monde à part, créé sous nos yeux
grâce à la manipulation d’objets, à la vidéo et au théâtre d’ombres. Le comédien nous embarque pour un voyage
fantastique aux proportions démesurées, entouré par les rails d’un travelling sur lequel se déplace la caméra qui
projette ce qui passe sous son objectif.
Une ville de carton que la projection rend gigantesque, un ventilateur soufflant dans les voiles d’un rafiot miniature,
l’ombre géante du comédien escaladée par des Lilliputiens... Des trouvailles visuelles qui construisent un univers
fascinant.
Paolo Cardona fait vivre ce petit monde sur la scène et sur l’écran, nous invitant à regarder le petit qui devient grand,
l’objet qui devient ombre, l’image qui se transforme, dans une magie visuelle douce et étonnante…
Plus d’informations et billetterie sur : http://www.larcscenenationale.fr/. Ou au 03 85 55 13 11.
Pour ce spectacle, creusot-infos faisait gagner 4 places à ses fidèles internautes. Le tirage au sort a eu lieu. Les
gagnants pourront retirer leur place gratuite sur présentation d'une pièce d'identité à l'accueil de L'arc.
Les 4 gagnants
Nathalie Godard (Le Creusot)
Fred Ianno (Le Creusot)
Joëlle Fernandes (Le Breuil)
Cyril Dupard (Montchanin)
Photo : Christophe Loiseau
LE CREUSOT : Les étudiants officiellement accueillis ce jeudi soir à la Nef
Le Vendredi 26 septembre 2014 @ 03:03:03
Après un après-midi sportif au programme de leur journée d'intégration, les étudiants de l'IUT, de Condorcet et de
BTS du lycée Léon Blum étaient invités par la Ville du Creusot à la Nef pour leur présenter les charmes de la cité du
Pilon. En présence de Bernard Hessel, Proviseur du lycée Léon Blum, de Patrick Goria, directeur de l'IUT du Creusot,
de Célia Deniau, directrice de L'Arc du Creusot, de Jérémy Pinto, Adjoint au Maire à la culture, de Serge Desbrosses,
Adjoint au Maire et Conseiller régional, de Laétitia Martinez, conseillère municipale et conseillère communautaire et de
Paul Pereira, enseignant de l'IUT chargé de mission "Vie étudiante", André Billardon, Maire du Creusot a accueilli les
étudiants en leur souhaitant une bonne année, de la réussite et de découvrir et apprécier la ville du Creusot, une ville
étudiante à taille humaine.
Jérémy Pinto, Adjoint au Maire du Creusot a relevé qu'il effectuait lui aussi sa 1ère rentrée en tant qu'élu ; il a
souhaité la bienvenue à toutes et tous avant de préciser aux étudiants que la vie étudiante au Creusot n'est pas celle
d'une métropole. "Au Creusot nous n'avons pas d'opéra, pas de métro, pas de squatch, pas de Starbuck ni de rue de
la soif avec de boîtes de nuit branchées. Mais nous avons plus que tout ça ; nous avons une ville à l'architecture
audacieuse, agréable à vivre, verte avec un magnifique parc. Il y a également de nombreuses expositions, des
équipements sportifs de qualité, différents loisirs et une offre culture diversifiée et de qualité ; une scène Nationale
avec L'Arc, de nombreuses animations jalonnent l'année et le tissu associatif est bien développé". En invitant les néoétudiants à se rapprocher du Conseil Jeunes pour découvrir tous les événements proposés au Creusot, l'Adjoint à la
Culture a terminé son propos en soulignant la qualité des enseignants ce qui est le gage de la réussite de tous.
Au nom de la Communauté Creusot Montceau, Laétitia Martinez a rappelé que le Campus Sud Bourgogne est le 2ème
pôle universitaire de Bourgogne avec notamment "des formations du BTS au Doctorat avec 1500 étudiants et 2
laboratoires labellisés CNES. Avec 10% d'étudiants supplémentaires en 1ère année de DUT et 16% en STAPS,
l'ouverture d'une Licence Vision et Robotique et le développement de l'alternance à travers les contrats de
professionnalisation et l'apprentissage, c'est une belle rentrée qui s'annonce pour le site universitaire de la CCM" s'est
félicitée la conseillère communautaire. En rappelant que l'adhésion à la Vie Étudiante n'est que de 20 euros, Laétitia
Martinez a souhaité à tous "une belle année sur un campus à taille humaine qui est une chance pour la réussite et la
réalisation des projets de tous".
Nicolas AKCHICHE
LE CREUSOT : Les 10 gagnants pour Plan B, samedi soir à L'arc
Le Vendredi 26 septembre 2014 @ 01:05:04
Plan B c'est vendredi 26 et samedi 27 septembre à L'arc. A cette occasion, 10 places sont offertes aux fidèles de
creusot-infos, dans le cadre d'un partenariat avec Ford.
Vous avez été très nombreux à jouer. Le tirage au sort a eu lieu. Les gagnants pourront retirer leur place à l'accueil
de L'arc sur présentation d'une pièce d'identité.
Les gagnants
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Elodie Raux (Blanzy)
Stéphanie Pellerin (Le Creusot)
Dominique Madesclaire (Le Creusot)
Amélie Fouen (Torcy)
Françis Leu (Le Creusot)
Martine Juillet (Montcenis)
Josiane Guagenti (Le Creusot)
Magali Marques (Le Creusot)
Philippe Remandet (Le Creusot)
Marie-Andrée Allier (Saint-Sernin du Bois)
LE CREUSOT : La rentrée approche à L’arc
Le Mercredi 17 septembre 2014 @ 20:06:06
La saison 2014-2015 débute les vendredi 26 et le samedi 27 septembre sur la scène nationale de L’arc, avec le
spectacle Plan B d’Aurélien Bory et Phil Soltanoff. Rappel également des premiers rendez-vous de la saison, en
septembre, octobre et début novembre. Pour tout public et pour les étudiants dans le cadre du programme Univ’art.
Oldelaf le jeudi 9 octobre
Photo : Franck Bohbot
Plan B
Vendredi 26 septembre à 20h30 et samedi 27 septembre à 20h30
Spectacle culte ! Quatre acrobates jongleurs tentent d’échapper à la gravité. A la croisée du cirque, de la danse et du
théâtre, cette création inclassable évoque un burlesque à la Buster Keaton et des effets de cinéma façon Matrix. Une
fantaisie éblouissante qui s'est promenée sur les plus grandes scènes du monde... en ouverture de la nouvelle saison
de L'arc... immanquable !
Jo Vargas
Exposition de peintures du 3 octobre au 14 décembre
Vernissage le vendredi 3 octobre à 18h30 à L’arc.
Vargas : c’est elle qui a l’idée de ce pseudonyme que sa soeur jumelle, Fred Vargas, reprend quand elle écrit ses
polars.
L’œuvre de Jo Vargas explore les grandes figures des arts comme pour éterniser l’effervescence et le tumulte de l’acte
de création (première visite commentée pour tout public le dimanche 19 octobre et le mardi 7 octobre à 15h15 pour
les étudiants dans le cadre du programme d’Univ’Art).
Exposition partagée avec l’Espace des Arts de Chalon-sur-Saône (vernissage le mardi 30 septembre à 18h30).
Oldelaf
Chanson - Festival TSB
Jeudi 9 octobre à 20h30
La tristitude a révélé au grand public le phénomène Oldelaf. Ce chanteur à l’humour ravageur arrive avec son nouvel
album « Dimanche » : un cocktail de textes caustiques et de mélodies joyeuses pour une soirée concert légère et
heureuse. En partenariat avec L’Embarcadère de Montceau pour le festival Tango Swing et Bretelles.
Swift !
Théâtre d’images et d’ombres à partir de 3 ans
Mercredi 15 octobre à 19h30
Librement inspiré des « Voyages de Gulliver », une aventure où le très petit rencontre le très grand, « Swift ! » est
une véritable fabrique d’images insolites qui montre que l’étrange et le magnifique ne sont jamais très loin. La
compagnie Skappa ! nous emmène à la découverte d’un univers fabuleux où tout devient possible.
Séances scolaires : mercredi 15 octobre à 10h00, jeudi 16 octobre à 10h00 et 14h30, vendredi 17 octobre à 10h00.
La saison s’ouvre aussi en Pays Charolais-Brionnais
L’aventure culturelle se poursuit avec le Pays Charolais-Brionnais : 6 spectacles et 15 représentations traversent
toutes les communautés de communes du territoire… De la danse, un ciné-concert, du théâtre, de la chanson : des
spectacles pour tous les goûts, à découvrir tout au long de l’année. Un partenariat avec le Pays et les acteurs locaux
qui s’approfondit encore, des spectateurs toujours plus nombreux aux différents rendez-vous.
Récital Man Show
Chanson
Du 9 au 11 octobre 2014 à Gueugnon, Bourbon-Lancy, Charolles
Ouverture de la saison culturelle du Pays Charolais-Brionnais avec « Le siffleur » transformé en... chanteur de
charme ! Un comédien-chanteur-musicien plein d'humour, de dérision et d'élégance. A Gueugnon, Bourbon-Lancy,
Charolles.
Univ’art, le programme artistique pour les étudiants du Campus Sud
Bourgogne
Nouvelle saison pour le programme Univ'art, le parcours artistique et culturel organisé pour les étudiants du Campus
Sud Bourgogne en partenariat avec la Vie Etudiante 71, la Communauté urbaine Creusot Montceau et la Ville du
Creusot.
Atelier Théâtre du mardi, découverte des métiers de la Culture, visites commentées de l'exposition Jo Vargas, une
journée de danse avec la compagnie Le grand jeté !, rencontre avec la compagnie El Ajouad autour de la création de
la pièce « Page en construction »…
- accueil officiel des nouveaux étudiants à la Nef le jeudi 25 septembre à 18h00.
- début des rendez-vous de découverte des métiers de la Culture avec le service des relations avec les publics le
vendredi 26 septembre de 10h00 à 12h00 à L’arc (à suivre : le jeudi 2 octobre de 13h30 à 15h30 avec le service de la
communication).
- reprise de l’Atelier Théâtre mené par le comédien Gilles Berry et Catherine Viggiano, avec une réunion de
présentation fixée le mardi 23 septembre à 18h00 à l’IUT.
- visites commentées de l’exposition Jo Vargas : mardi 7 octobre à 15h15, et jeudi 9 octobre à 13h30.
Nouvelle création de Frédéric Cellé en novembre
Une longueur d’avance
Par Le grand jeté !
Danse
Vendredi 7 et samedi 8 novembre à 20h30
Trois danseurs, trois hommes, pour évoquer l’héritage et la transmission avec la fougue et l’énergie de la danse de
Frédéric Cellé dans un univers musical tout en délicatesse.
L’arc accueille la Première de cette nouvelle création de Frédéric Cellé. Egalement coproductrice du spectacle, la scène
nationale du Creusot organise une présentation pour les professionnels du spectacle le jeudi 6 novembre à 14h00 à
L’arc.
Une longueur d’avance lance le programme « Ca danse dans le bassin ! » qui croise les programmations danse des 4
salles de spectacles situées sur la CUCM.
Toutes les informations sur la saison culturelle de L'arc sur : http://www.larcscenenationale.fr.
D’autres rendez-vous à l’agenda de cette rentrée
- Présentation du projet de création en arts plastiques le mardi 14 octobre à 18h30 à L’arc à l’occasion de l’exposition
Corps sensibles
- Sans oublier L’Ecole du Spectateur, dans les murs de L’arc ce mercredi pour les réglages de lumières et son du
nouveau spectacle « Pinocchio », comédie musicale qui sera jouée les 4 et 5 octobre à L’arc (trois séances scolaires le
jeudi 2 et le vendredi 3 octobre, plus d’informations en cliquant ici).
Swift !
Photo : Christophe Loiseau
LE CREUSOT : L'arc vous donne rendez-vous dès le 26 septembre avec Plan
B
Le Jeudi 17 juillet 2014 @ 03:10:00
Un Plan B pour ouvrir la saison, c'est original. Sauf que ce Plan B est d'une qualité XXXL... Coup d'œil sur l'ouverture
de la saison 2014-2015 à L'arc au Creusot.
Plan B
Aurélien Bory - Phil Soltanoff
vendredi 26 et samedi 27 septembre 20h30
Un spectacle éblouissant et mythique qui a fait le tour du monde !
Quatre acrobates jongleurs tentent d’échapper à la gravité sur des plans inclinés qui bousculent leurs équilibres. Cette
histoire sans paroles est une fantaisie qui défie les lois de la pesanteur.
À la croisée du cirque, de la danse et du théâtre, cette création inclassable évoque un burlesque à la Buster Keaton et
des effets de cinéma façon Matrix.
Oldelaf
chanson - jeu 9 oct 20h30 - festival TSB
La tristitude a révélé au grand public le phénomène Oldelaf.
Ce chanteur à l’humour ravageur arrive avec son nouvel album,
Dimanche : un cocktail de textes caustiques et de mélodies joyeuses pour une soirée concert légère et heureuse. En
partenariat avec
L'embarcadère de Montceau pour le festival TSB.
Swift !
compagnie Skappa ! & Associés
théâtre d’images et d’ombres - mer 15 oct 19h30
Librement inspirée des Voyages de Gulliver, une aventure où le très petit rencontre le très grand. Une véritable
fabrique d’images insolites qui nous
emmène à la découverte d’un univers fabuleux où tout devient possible.
A voir en famille à partir de 3 ans.
Exposition des peintures d’une
artiste exceptionnelle : Jo Vargas
exposition peintures - du ven 3 oct 18h30 au dim 14 déc
Vargas : c’est elle qui a l’idée de ce pseudonyme que sa soeur jumelle, Fred Vargas, reprend quand elle écrit ses
polars.
L’oeuvre de Jo Vargas explore les grandes figures des arts comme pour éterniser l’effervescence et le tumulte de
l’acte de création.
Exposition partagée avec l’Espace des Arts de Chalon.
LE CREUSOT : Présentation de saison sur la scène nationale de L’arc
Le Jeudi 19 juin 2014 @ 11:40:12
Rendez-vous ce jeudi 19 avril à 20h30 pour la présentation de la saison 2014-2015.
La directrice de L’arc, Célia Deliau, note une saison 2013-2014 satisfaisante pour ce qui est de la
fréquentation. « Nous avons compté 12 998 spectateurs dans nos salles, sans le festival Hors Champ
». La saison suivante a été préparée dans le même esprit, « la pluridisciplinarité, la transdisciplinarité
».
Ainsi, on aura l’occasion de profiter, de partager la Culture artistique sous toutes ses formes. Avec
non pas du James Thierrée qui avait marqué les esprits par deux fois, mais un Plan B dans lequel
quatre comédiens joueront entre équilibre et illusions d’optique pour donner une forte dimension à
leurs acrobaties. Cela lors de deux représentations les 26 et 27 septembre à 20h30.
Côté théâtre, on retrouvera cette saison encore Robin Renucci, qui nous fera cette fois-ci « La leçon
» le 14 novembre à 20h30. Le 18 avril, on appréciera sans doute les Bohringer dans « J’avais un
beau ballon rouge », où la relation père-fille sera exprimée, et presque naturelle disons.
A noter aussi que les familiers de L’arc le sont toujours : Jacques Gamblin, Frédéric Cellé, Ambra
Senatore et Joris Mathieu. Le premier montera sur scène avec Bastien Lefèvre pour un duo sportifcoach rythmé d’humour des mots et de textes entraînants signés Gamblin. Frédéric Cellé quant à lui
présentera une création travaillée et réalisée sur les plateaux de L’arc. Ce sera la seule création de
cette saison. « 9 autres spectacles programmés sont dans des tournées de création », ajoute tout de
même Célia Deliau.
D’ailleurs, si les difficultés sont réelles et touchent toutes les structures culturelles, la directrice de la
scène nationale du Creusot assure : « On nous reproche parfois de ne pas faire venir des artistes
populaires ou très connus, mais nous faisons un travail de territoire avec nos partenaires locaux et
au-delà. Plan B pour lancer la saison, Oldelaf, Gamblin, Richard et Romane Bohringer réunis dans la
même pièce... Je veux bien accepter les critiques mais j’encourage aussi le public à découvrir les
spectacles. Car c’est ça aussi l’intérêt ». Elle en profite pour ne pas oublier les intermittents : « En
France, nous sommes 670 000 à travailler dans le spectacle vivant, en ne comptant pas toutes les
structures pouvant accueillir de telles formes. Ici, les 19 salariés représentent 18,3 équivalents temps
plein. Il faut bien se dire qu'on vit aussi grâce aux intermittents ».
Pour cette saison représentant un investissement d’un peu moins de 300 000 euros en budget
artistique, 30 spectacles, dont 4 hors des murs de L’arc, sont au programme. Avec près d’un tiers
théâtral, mais aussi de la musique, du cirque, de la danse, des expositions évidemment, et des
genres même inclassables tellement les représentations sont exhaustives.
L’invitation à la présentation de saison est lancée : rendez-vous ce jeudi soir dans le grand théâtre,
avec L’arc et déjà plusieurs artistes !
www.larcscenenationale.fr
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