tin,
le
journa-
monde
et ses
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avez
déjà
; votre vie
et
us
savez
fort
iamais
faillir.
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dans
de
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vos
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Strogoff,
roi de Jules
s
les
aventu-
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vous,
une
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mais
de
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r servir de
le
vous que
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en
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Jeunesse.
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Il.
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mai-
:
les
détec-
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pas:
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umées, la
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e.
Si
vous
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bien
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vous
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pour
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ndant la
if
: c'est
!ssoupies
nolentes
:
les
sor-
estion à
Jeunesse.
nez
les
mnées.
3.
Au
lever du jour, les sportifs s'entraînent déjà.
4.
Même avec une blessure,
le
champion
a gagné.
5.
Les
résultats
ont
progressé grâce à une meilleure
préparation de l'équipe.
6.
Les
supporters crient avant l'arrivée des joueurs
sur
le
terrain.
fi
Dans le texte suivant, replacez les
mots
man-
quants, pris dans la liste
suivante:
dès que -dont
-
et
-quand -que -qui.
Certains
seront
employés plusieurs fois. Parfois, deux
solutions
sont possibles.
Ah!
il
faut que
je
vous
fasse
part
d'une
nouvelle
relation
(l)
je
me
suis faite. C'est l'âne
d'un
chiffon-
nier (2)
la
carriole stationne tous
les
matins, rue
Gay-Lussac, devant
la
gare
du
Luxembourg.
Je
le
trouve
là
(3) je débarque de
mon
train, à
neuf
heures moins dix.
Voilà
déjà deux mois (4) nous
nous connaissons.
Comment
s'appelle-t-il?
Je
n'ai
pas
encore
pu
le
demander à son patron (5) n'est
jamais
là.
Sans doute s'appelle-t-il Charlot, comme
beaucoup d'ânes,
comme
l'âne de Jules Janin? Un
petit âne, tout petit, tout gris, harnaché de cordes,
W1
vrai âne de chiffonnier. Il a fait ma conquête dès
le
premier jour (6) je crois bien (7) j'ai fait aussi
la
sienne. J'ai toujours
du
sucre sur moi.
Je
lui en
ai
offert un morceau.
li
lui a fait très
bon
accueil.
Depuis, c'est devenu une habitude.
Il
faut
le
voir
(8) j'arrive.
Je
sors à peine de
la
gare
que
je
le
vois
tourner la tête. (9) j'approche près de lui,
il
a
un
petit contentement.
Je
lui
donne
son
sucre. (10)
il
a fini, je
le
caresse
un
peu, je
me
penche vers lui, je
l'exhorte en
moi-même
au courage.
Il
y en a tant
qui sont
si
malheureux:
une existence de travail et
des
coups!
Paul Léautaud, Passe-temps, © Mercure de France.
@ Dans le texte suivant, replacez les
mots
man-
quants
suivants
:
comme
-dans -
et
-
mais
-pour -quand -que -qui. Distinguez les
conjonctions de coordination, les conjonctions de
subordination, les
pronoms
relatifs.
Il
y avait dans
le
temps
un
roi et une reine
(l)
se
répétaient chaque
jour
: « Ah !
si
seulement nous
avions
un
enfant!
})
(2)
ils
n'en avaient toujours
pas. Un
jour
(3)
la
reine était
au
bain,
il
advint
qu'une grenouille sauta de l'eau
pour
s'avancer
vers
elle et lui
parler:
« Ton
vœu
sera exaucé, lui annonça-t-elle; avant
un an, tu mettras une fille au monde. »
Ce
que
la
grenouille avait dit se produisit, (4) la
reine
donna
naissance à une fille; et l'enfant était
tellement jolie que
le
roi ne
se
tenait plus de joie et
fit
donner
une grande fête.
Il
ne
se
contenta pas
d'y
inviter ses parents, amis (5) connaissances, (6)
il
voulut aussi (7)
les
fées
y eussent
part
afin qu'elles
GRAMMAIRE
fussent favorables et bienveillantes à l'enfant.
On
en
comptait treize dans
le
royaume, mais (8) il n'y
avait que douze assiettes
d'or
au palais, (9) leur ser-
vir
le
festin,
il
fallut en laisser une chez elle.
j. et
W.
Grimm, Contes, trad. Armel Guerne,
© Flammarion, ]986.
,
Ecrire
€>
Voici un
texte
écrit
dans
une
langue
très
orale.
Comment
pourrait-on le ponctuer pour le
rendre plus
classique?
Quels
mots
pourrait-on y
introduire?
À quels
endroits?
Il
faut essayer d'imaginer la chose.
Il
s'est levé tôt.
Il
est sorti, accompagné
par
sa
maman, justement,
dans
un
crachin
d'automne
[
...
J,
il s'est dirigé vers
l'école
tout
enveloppé encore de la chaleur de son
lit,
un
arrière-goût de chocolat dans la bouche,
serrant bien fort cette main au-dessus de
sa
tête,
marchant vite vite, deux pas
quand
maman
n'en
fait qu'un, son cartable brinquebalant sur son dos,
et c'est
la
porte de l'école, le baiser hâtif,
la
cour de
ciment et ses marronniers noirs,
les
premiers déci-
bels
...
il s'est rencogné sous le préau
ou
est entré
aussitôt dans la danse, c'est selon, puis
ils
se
sont
tous
retrouvés assis derrière les tables lillipu-
tiennes,
immobilité
et silence, tous les
mouve-
ments
du
corps contraints à domestiquer
le
seul
déplacement de la plume dans
ce
corridor à pla-
fond bas : la ligne! Langue tirée, doigts gourds et
poignet soudé
...
petits ponts, bâtonnets, boucles,
ronds
et
petits
ponts
...
il
est à
cent
lieues de
maman,
à présent, plongé dans cette solitude
étrange
qu'on
appelle l'effort,
entouré
de toutes
ces
autres solitudes à langues tirées
...
Daniel Pennac, Comme
un
roman, © Gallimard.
········j\iii(jÈ'iJ\iijj\yi<>·N········
e
À
la
fin de cette leçon,
je
sais:
~
distinguer les phrases simples
et
les phrases complexes;
~
repérer les subordonnées dans
une phrase et dans
un
texte;
~
introduire les subordonnées par
les mots qui conviennent;
~
compléter des phrases par
des subordonnées.
5.
Phrase
simple,
phrase
complexe.
Les
propositions
47.