
62ème édition du Festival d’Anjou
8 juin au 3 juillet 2011
Christophe BECHU
Président de l’EPCC Anjou Théâtre
Nous fêtons cette année la 62è édition du
Festival d’Anjou. L’an passé, nous avons accueilli
dans les sites prestigieux du département
près de 24 000 spectateurs. Je veux ici les
remercier pour leurs encouragements sans
cesse renouvelés, pour leur fidélité envers
un festival, leur festival, avec lequel ils n’ont
cessé de créer, au fil des ans, une des plus
belles histoires qui puissent exister entre l’art
et son public.
Nous sommes heureux d’ouvrir cet été le
festival avec une nouvelle création, le Songe
d’une nuit d’été de Shakespeare, qui verra
Obéron, Titiana et l’espiègle Puck marquer de
leur poétique empreinte les murs du château
du Plessis-Macé.
L’EPCC Anjou Théâtre (établissement public
de coopération culturelle) qui coordonne et
valorise la création, la diffusion, la pratique
et l’enseignement du théâtre sur le Maine-
et-Loire s’appuie sur le Festival d’Anjou
mais aussi sur le château du Plessis-Macé,
écrin mythique et inaugural de ses plus
belles mises en scène, deux éléments forts
de notre culture angevine, pour développer
cet art du spectacle vivant et renforcer son
rayonnement local, régional et national.
Avec près de 350 troupes d’amateurs
et professionnelles recensées, notre
département figure parmi les plus actifs
de France. Cela constitue un atout évident
qu’il importe de valoriser et de mieux faire
connaître. Ce potentiel théâtre est appelé à
devenir l’un des emblèmes de la politique
culturelle soutenue par le Conseil général.
C’est dans cette optique que nous avons
préparé cette 62è édition qui posera cette
année ses tréteaux au château du Plessis-
Macé mais aussi au cœur des Arènes de
Doué-la-Fontaine et du Cloître du Ronceray
à Angers.
Enfin, je tiens à rendre hommage à tous
ceux qui participent à l’organisation de cet
événement, avec toujours la même foi et le
même enthousiasme et tout particulièrement
Nicolas Briançon qui nous offre encore en
2011 une programmation choisie et de
grande qualité.
Christophe BECHU
Note d’intention