Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir

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Cie Babel 95 Présente :
Les trois petits vieux
qui ne voulaient pas mourir
De Suzanne van Lohuizen
Mise en scène Julien Feder
Jeune public
A partir de 6 ans
Contact Cie Babel 95
administration, relations publiques : Guillaume Riant 06 86 40 73 25
29 boulevard Rochechouart 75009 Paris / www.babel95.com / [email protected]
Contact presse
Catherine Guizard / La Strada & Cies : [email protected] / 06 60 43 21 13
Les trois petits vieux
qui ne voulaient pas mourir
Mise en scène
Julien Feder
de Suzanne Van Lohuizen
texte publié par l’Arche éditeur
traduit du néerlandais par Marijke Bisschop
Assisté par
Guillaume Riant
Scénographie
Thibault Sinay
Musique
Raphaël Callandreau
Costumes et maquillages
Julie Deljehier
Résumé
Ernest, Désiré et Stanislas sont trois petits vieux qui
cohabitent depuis des temps immémoriaux.
Un matin, leur quotidien est bouleversé par la découverte
d’une lettre anonyme dans leur boîte : « Chers Ernest,
Stanislas et Désiré, aujourd’hui c’est le dernier jour. Votre
vie est finie. Toutes les journées ont été utilisées. Il n’y a
rien à faire. Sincères salutations. » Perplexes, les trois
vieux amis décident d’ignorer cette menace. « Mourir ?
Et puis quoi encore ?! »
Déterminé, le trio voyage d’aventure en aventure dans
une lutte joyeuse contre la fatalité.
Lumière
Tanguy Gauchet
« Une pièce tendre et poétique qui fait rire et
et Charlotte Dubail s’émerveiller… Les enfants sortent conquis ! »
Chorégraphie
Sophie Burgue
Avec (en alternance)
André Antébi
Katia Brétel
Raphaël Callandreau
William Prünck
Guillaume Riant
Juliette Cello - Rue du Théâtre
Spectacle créé lors du festival 2007
« Nous n’irons pas à Avignon »
Avec le soutien de la Cie de la Gare
Vous pouvez découvrir Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir :
du 29 novembre 2008 au 4 février 2009 à l’Aktéon Théâtre
11 rue du général Blaise, Paris 11e.
à 14h30 les mercredi, samedi, dimanche et tous les jours en période de vacances scolaires
tarif unique : 8 Euros ; groupe (dès 10 pers.) : 5 Euros
Réservation : 01 43 38 74 62
« Chère madame ou cher monsieur.
Nous n’avons pas reçu votre lettre.
Nous ne sommes pas d’accord.
Nous n’allons pas mourir du tout, car nous ne voulons pas mourir.
Nous allons vivre éternellement.
Salutations. Désiré, Ernest, Stanislas. »
A propos des trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir…
Extrêmement drôle, mordant, rythmé et musical, ce texte du répertoire contemporain traite de peurs
ancrées en chacun de nous, souvent formulées sous forme de questions :
Qu’est ce que la mort ? A quoi ressemble-t-elle ? Comment se présente-t-elle à nous ? Pourquoi meurton ?
Grâce à son humour burlesque, décalé, parfois grinçant, Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir
ne sombre jamais dans le désespoir. Bien au contraire, ce conte philosophique riche en émotions,
toujours léger, plein de vie et de poésie, s’adresse à tous, enfants comme adultes.
Et si Suzanne van Lohuizen n’apporte pas de réponse facile, la tendresse que l’on éprouve pour Ernest,
Désiré et Stanislas, leur bonne humeur, l’amitié si forte qui les unit, leur joie de vivre, transcendent le sujet
pour en faire :
Un hymne à la vie !
Pourquoi adapter ce texte…
Parler de la mort aux enfants, voilà qui peut paraître comme une gageure, un pari difficile à gagner pour un
spectacle jeune public. Il faut vaincre certains a priori, affronter des réticences presque instinctives.
Or, nous sommes tous confrontés un jour - plus ou moins tôt dans notre existence,- à la mort. Elle fait finalement
partie de notre vie et nous savons combien ceux qui ne parviennent pas à faire le deuil d’un proche ont du mal à
vivre pleinement leur propre vie. Dans cette perspective, il devient vain de poser un voile pudique sur la fin de la
vie et de faire de la mort un secret, un tabou. Le silence ne permettant pas de protéger du malheur, il faut
envisager l’idée d’une fin, d’un départ, si possible avec humour, si ce n’est pour mieux comprendre, du moins pour
mieux accepter.
Les héros de notre spectacle sont trois petits vieux voûtés et clopinants, assez loin donc des héros auxquels les
enfants s’identifient habituellement. Assez loin aussi des vieillards à barbe blanche et aux sourcils broussailleux,
censés incarner la sagesse et la connaissance infaillible des anciens : nos trois petits vieux sont un peu fous, très
naïfs, et assez mal informés sur le monde extérieur. Ils doutent, ils hésitent et, souvent, ils se trompent. Leur
réflexion maladroite ouvre des pistes sur ce qui (pourrait) se passe(r) après la vie, mais elle laisse à chaque
spectateur, enfant ou adulte, la possibilité de les prolonger à sa guise.
Alors si nos trois vieux clowns, malgré leur grand âge et leur physique imparfait sont capables de toucher un
enfant de cinq ans comme ses parents, c’est grâce à leur humour incisif (ils ne s’épargnent pas les uns les autres)
et à leur insouciance. Ces anti-héros luttent sans jamais désespérer, dotés pour vaincre du seul mais inébranlable
désir de vivre. À la fois comiques et émouvants, ils restent tout au long de la pièce suffisamment combatifs et
ironiques pour qu’on ne les sente jamais complètement démunis face à cette mort annoncée.
Appartenant à la fois au monde des adultes et à celui des enfants, ces trois petits vieux participent ainsi à créer un
lien entre les générations, en écho au texte original, écrit par Suzanne Van Lohuizen, qui a voulu souligner ici
l’importance du rôle des grands parents dans l’équilibre d’une famille.
Julien Feder
Notes de mise en scène
Un espace-temps indéfini
Hors du monde et du temps, pris dans un quotidien dont ils ont perdu le sens,
Ernest, Stanislas, Désiré, sont réunis depuis toujours…
Mais, contrairement aux personnages Beckettiens qui attendent la fin avec
impatience, les trois petits vieux n’attendent rien et certainement pas cette
« fin ! » dont l’annonce arrive par courrier !
Distanciation
Les comédiens vieillissent devant les spectateurs au début de la pièce. Des traits
soulignant les rides du visage suffisent à marquer la vieillesse. Le travail de l’acteur fait
le reste.
Le jeune spectateur est invité à nous suivre dans un espace imaginaire dont il possède
les clés. A la façon de clowns, nos trois héros désemparés et fragiles renversent une
situation désespérée en situation comique. Ils se battent pour la vie plutôt que contre la
mort, et donnent de la légèreté à la mélancolie.
Parler de l’enfance
Ces trois personnages ont une créativité débridée et une grande capacité à
s’émerveiller. Il s’agit de trois conteurs qui s’amusent à inventer leur histoire. Certaines
situations nous font même douter de leur âge. Sont-ils réellement vieux ou s’agit-il
d’enfants qui ne veulent pas grandir ? « Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mûrir » raconteraient alors leur
cheminement vers l’âge adulte…
Scénographie
La scénographie est conçue comme un partenaire de l'acteur et joue sur
le cadrage, allusion au cinéma muet.
Les matières et les éléments qui occupent le plateau constituent un
espace abstrait qui évoque au gré des manipulations : un intérieur, une
loge d’acteur, un cimetière, une montagne, un bateau pirate…
Cet espace impulse une dynamique de jeu. Les acteurs peuvent focaliser
le regard du spectateur sur une action et zoomer sur une partie de leur
corps.
De plus, des petits cadres mobiles créent des fenêtres sur un extérieur
imaginaire et invitent les personnages à évoquer leurs souvenirs, tout en
les enfermant dans un espace figé et photographique.
Les objets du quotidien sont représentés par les images d’un album
photo, comme s’ils appartenaient déjà aux souvenirs. Théière, bols,
couteaux, confiture… Les trois petits vieux les commentent, en se
plongeant dans leur contemplation, comme de vieilles photos de famille.
En dépassant la réalité, l'histoire bascule vers un univers onirique
Costumes et maquillages
Les costumes s’inspirent de ceux des frères Jacques.Ils révèlent à la fois
l’esprit fusionnel des trois personnages tout en apportant des éléments de
différenciation psychologique et physique.
Ils soulignent la proximité des trois petits vieux en utilisant une gamme de
couleur commune et les individualisent grâce à leurs matériaux et à leurs
formes.
Mou et flottant pour Ernest.
Strict et ajusté pour Stanislas.
Pantalon trop grand et chemise cintrée accentuant l’enfance pour Désiré.
Les comédiens finissent le maquillage sur scène et en musique. Ils
vieillissent sous les yeux des spectateurs. Le maquillage n’est donc
absolument pas réaliste, il préfère suggérer le vieillissement.
Musique et objets
Nous avons ajouté deux personnages muets : Le manipulateur et le
musicien.
Nous accompagnons la rythmique du texte de musiques et de bruitages
joués sur scène. Le musicien prolonge l’imaginaire et les pensées des
trois petits vieux en donnant corps aux émotions. Le manipulateur les
éclaire avec une poursuite. Il donne vie aux objets utilisés. C’est un
« passeur » d’objets !
Ces deux personnages créent une ambiguïté intéressante. Sont-ils les
créateurs de ce monde? Des anges ? Ou bien sont-ils, eux-mêmes
imaginés par les trois petits vieux ?
L’auteur
Suzanne van Lohuizen
Suzanne van Lohuizen est une dramaturge néerlandaise née en 1953. De 1972 à 1974, elle suit les cours à
l'école de théâtre d'Arnhem, aux Pays-Bas. Elle débute comme actrice dans la troupe de théâtre politique
Proloog. Elle met aussi en scène et écrit des textes pour enfants et adultes. En 1992 elle s'est vue attribuer le
Prix de dramaturgie néerlando-flamand pour pour « Tu n’as pas vu mon petit garçon ? » et « la maison de ma
vie ». Les deux textes diffèrent fort l'un de l'autre au niveau de la thématique et du style, et c'est là justement
que réside la force de Van Lohuizen. Pour elle, la thématique, les sources constituent souvent un facteur
déterminant dans l'atmosphère et la rythmicité de la langue. Elle est maintenant auteur indépendant et vit à
Haarlem.
Avec ce texte, elle fait entrer la mort sur la scène du théâtre pour enfants. On remarquera qu’elle ne craint pas
dans ses textes les aspects sombres et macabres de la vie. Elle la fait apparaître non comme une perspective
terrible, mais comme un événement saugrenu, dont l’implacabilité paraît absurde. Ce texte a été sélectionné
pour le "Quatrième Prix de la pièce de théâtre contemporain jeune public" organisé par l’Orphéon-bibliothèque
Armand-Gatti (Var) ainsi que pour le "Prix Chronos de littérature 2007" catégorie 6e-5e.
Le metteur en scène
Julien Feder
Après des études de philosophie, Julien Feder se tourne rapidement vers le théâtre et la réalisation de films. En
1995, il fonde sa propre compagnie de théâtre avec laquelle il créé notamment : Œil de velours, d’après René
Char, au Festival de la jeune création de Houilles. Le village en flammes, de R.W. Fassbinder, lors du Prix Paris
jeunes talents. J’ai saigné, de B. Cendrars, présenté au Théâtre de l’Onde à Vélizy, en mars 2006 à l’occasion
du Festival 1er Souffle. En 2006 et 2007, il assiste Philippe Adrien dans la mise en scène d’Un avant-poste du
progrès, de J. Conrad. Il conçoit et réalise les vidéos de ce spectacle donné au Théâtre de la Tempête.
Dernièrement il a mis en scène L’Augmentation, de G. Perec, donné au Théâtre du Renard et au Théâtre de
l’Opprimé. Pièce sélectionnée par le festival de Coye-la-Forêt et par le festival Éclats de rire d’Ivry-sur-Seine qui
bénéficie du soutien de la Mairie de Paris.
Parallèlement à la mise en scène, il réalise des films dont Ces Jours d’Exil , tourné après une résidence
d’écriture à Lussas. Ce film, coproduit par Zor-Film, Key Light et Cityzen TV, a été projeté lors du Festival des
Ecrans documentaires de Gentilly, au Mois du documentaire des Beaux-Arts de Paris et au Festival du film
altermondialiste de Charleroi.
La compagnie
Nous essayons de pratiquer ce que Meyerhold appelait un théâtre festif, un théâtre qui joue avec les conventions
et les genres, qui parfois utilise et détourne des formes populaires de représentation en les combinant avec des
interrogations contemporaines. Nos spectacles mêlent souvent danse, théâtre, musique et s’adresse à un public
varié. Nous cherchons à produire un théâtre susceptible d’intéresser connaisseurs et néophytes en offrant
plusieurs niveaux de lectures.
Autre influence importante, c’est la pratique d’un théâtre itinérant. Ce qui était à l’origine une nécessité
économique, nous cherchons à le retourner en proposition formelle assumée. Notre esthétique est radicalement
épurée et simplifiée. Nous nous adaptons ainsi rapidement et réinventons le spectacle en fonction des lieux que
nous traversons.
Depuis 4 ans, notre compagnie s’est progressivement professionnalisée. Grâce aux soutiens de lieux de
diffusion ou de création comme la Générale, Gare au Théâtre ou le Théâtre de l’Opprimé, nous avons pu
présenter des spectacles éclectiques : R. W. Fassbinder, G. Perec, B. Cendrars, K. Valentin et aujourd’hui S.
van Lohuizen.
Nous nous intéressons à des auteurs dont les points de vue éclairent avec acuité notre société contemporaine
et avec elle les ambiguïtés et les paradoxes de chacun, regards aigus et sans concession, parfois acerbes
mais dont l’humour nuance toujours le pessimisme et donne plus de légitimité à la critique.
Le répertoire
L’Augmentation de Georges Perec
L’Augmentation
de
Georges Perec
Mise en scène
Julien Feder
Guillaume Riant
Durée : 1h30. Création 2004
Tout l’art de Georges Perec consiste à focaliser l’attention sur des détails qui vont nous révéler le
cœur des choses. Le jeu de leurs accumulations et de leurs réagencements, donne une impression
de l’ensemble.
Dans l’augmentation, il nous invite à décortiquer un système qui accorde une place dérisoire aux
individus, à leurs quêtes d’identité. En nous plongeant dans l’enfer cauchemardesque de l’un de ces
microscopiques rouages -un employé- il dévoile par touches impressionnistes la réalité absurde
d’une implacable machine à broyer les consciences. En effet, il s’agit des conflits internes, des
espoirs secrets d’un individu qui se débat, d’une conscience en lutte contre les péripéties banales de
son quotidien et contre sa propre insignifiance…
Avec lucidité, cynisme, et humour, Georges Perec pointe l’urgence et lance un appel à la
résistance !
« Un régal d’humour noir et de cruauté nonchalante à la manière d’un show télévisé détourné. Pertinent
et décapant » Marie Plantin - Vingt minutes.
« Une des meilleures interprétations que j’ai vue de cette pièce » Paulette Perec
Les chevaliers pillards devant Munich
De Karl Valentin
Durée : 2h. Création 2008
Jouer Karl Valentin aujourd’hui, c’est renouer avec un théâtre festif, un théâtre décomplexé et plein
de truculence. Chansons et petites interventions ponctuent la pièce, théâtre et musique
s’entremêlent et invitent le spectateur à partager un moment de plaisir et de liberté. Liberté d’esprit
et de ton, liberté dans le mode même de représentation. Karl Valentin n’est pas qu’un clown ni un
performer génial de cabaret. Il dépasse ces deux formes et les réinvente, les adaptant à son écriture
percutante, à son humour noir et pince sans rire. Précurseur, il s’interroge sur les conventions
théâtrales, sur le réalisme comme critère esthétique et il en joue, inventant constamment une
manière de briser le quatrième mur. Il arrive à créer un lien entre le comédien sur la scène et le
public
« Il arrive de temps en temps que quelques metteurs en scène lettrés et convaincus de la haute valeur
spirituelle de la farce aillent y faire quelques prélèvements »
Jean Loup Rivière - France Culture
Les Comédiens (en alternance)
André ANTÉBI est issu de l'ESAD de Paris. En 2007, il devient l’assistant de Sophie Loucachevsky et comédien dans son Actes avec ou
sans paroles de S. Beckett, à la Ferme du Buisson et à l'IVT, en 2007. Il est membre du Sémaphore (La noce chez les petits bourgeois de
B. Brecht, Faut pas payer de D. Fo, Les Veilleurs cabaret poétique...). Avec Babel95 il joue dans L'Augmentation de G. Perec, J'ai Saigné
de B. Cendrars. Il enseigne le théâtre à l'Ecole Alsacienne de Paris.
Katia BRÉTEL, issue du conservatoire du 19ème arrondissement de Paris, est aussi musicienne et danseuse. Après de nombreuses
formations en France et en Allemagne (clown, mime, danse, chorégraphie), elle met son expérience au service de la Cie Babel 95 dans Le
village en flammes de R.W. Fassbinder et dans l’Augmentation de G. Perec. Elle a travaillé avec l’Atelier le Strapontin (Antigone d’Anouilh),
avec le Théâtre de l’Équipe (Le Songe d’une nuit d’été de W. Shakespeare)
Raphaël CALLANDREAU est pianiste classique et jazz (CNR de Boulogne). Avec son accordéon, sa voix et son humour, il se dirige vers
des formes de cabaret. Il mène parallèlement activités pédagogiques et scéniques. Il puise à chaque spectacle (En passant chez Monsieur
Gainsbourg, Le Cabaret des Filles de Joie, la Mégère à peu près apprivoisée) les influences de ses compositions : musiques de film,
chansons, comédies musicales. Il joue régulièrement son one-man-show chansonnier: le Raphou Show.
William PRUNCK a été formé à l'ESAD de Paris par J.C. Cotillard, S. Loucachevsky, E. Durif, C. Patty, J.D. Barbin et F. Kergourlay. Il a
travaillé avec V. Nordey, A. Kabouche et à la caméra avec A. Trumel. Passionné par le monde du clown et du burlesque, il a joué dans Les
7 jours de Simon Labrosse de C. Fréchette, Excédent de poids, insignifiant, amorphe. de W. Schwab, L'augmentation de G. Pérec. Il
travaille avec la Cie bretonne La Cité des Augustes dans des performances de rue.
Guillaume RIANT a approfondi sa formation à l'ESAD par des stages (chorégraphie, clown, tragédie). Il travaille en milieu scolaire avec une
compagnie de théâtre forum et anime des stages de théâtre équestre. Il est comédien et metteur en scène au sein de plusieurs compagnies
(Babel 95, Infraktus, Moukden-théâtre, Cie du cabinet vétérinaire). Dernièrement on a pu le voir dans : Le banquet des aboyeurs, La
cantatrice chauve, Les chevaliers pillards, Des Batailles.
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