I. ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE 1) 1. Peuplé de près de 30

Royaume du Maroc WT/TPR/S/116
Page 1
I. ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE
1) PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LCONOMIE
1. Peuplé de près de 30 millions d'habitants en 2002, le Royaume du Maroc connaît un taux de
croissance démographique moyen d'environ 1,6 pour cent par an (tableau I.1). La population urbaine
continue de progresser; elle est passée de 53 pour cent de la population totale en 1996 à 56 pour cent
en 2001. La population marocaine est répartie avant tout dans les plaines et les régions côtières du
nord-ouest où se trouvent les terres arables. Ces régions regroupent la quasi-totalité des activités
agricoles et industrielles du pays. L'étendue du littoral atlantique et méditerranéen favorise les
activités de pêche. Le chômage demeure au centre des préoccupations; il affecte environ 11 pour
cent de la population active au niveau national et plus de 17,2 pour cent dans les milieux urbains.
Tableau I.1
Le Maroc en quelques chiffres, 1995-01
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001
Population (en milliers) 26386 26848 27310 27775 28238 28705 29341
Taux brut de natalité (pour mille) 23,9 23,6 23,2 22,8 22,4 21,9 21,5
Taux brut de mortalité (pour mille) 6,6 6,5 6,3 6,2 6,1 5,9 ..
Taux d'accroissement global (pour mille) 17,3 17,1 16,9 16,6 16,3 16 ..
Espérance de vie à la naissance .. 68,5 68,8 69,2 69,5 .. ..
Homme .. 66,8 67,1 67,3 67,5 .. ..
Femme .. 70,3 70,7 71,1 71,5 .. ..
Produit intérieur brut (prix courants) - milliards de DH 281,7 319,3 318,3 344,0 345,6 354,1 382,9
Produit intérieur brut (prix de 1980) - milliards de DH 113,2 127,0 124,2 133,7 133,6 134,9 143,6
Part dans le PIB réel:
Agriculture, élevage, sylviculture et pêche 11,6 18,3 13,8 16,4 13,7 11,5 13,8
Mines et énergie 7,6 7,4 8,3 7,8 8,0 7,7 7,8
Industries manufacturières 18,9 17,4 18,4 17,4 17,9 18,3 18,0
Servicesa61,9 56,9 59,5 58,4 60,5 62,4 60,4
.. Non disponible.
a Y compris ceux fournis par les administrations publiques, et les bâtiments et travaux publics.
Source: Ministère de la prévision économique et du plan, Direction de la statistique (2000); Ministère de la prévision
économique et du plan (2001, 2002a et 2002b).
2. Le Maroc est un pays à revenu intermédiaire, avec un PIB par habitant d'environ 1245 dollars
EU en 2002. Son économie est relativement diversifiée. Les services (y compris ceux fournis par
l'administration publique, et les bâtiments et travaux publics) constituent le secteur le plus important
en termes de contribution au PIB réel (environ 60 pour cent); le commerce y occupe une position
prédominante. Le secteur manufacturier, dominé par les industries chimiques et parachimiques,
alimentaires, de textiles, de vêtements et du cuir, contribue environ 18 pour cent au PIB; l'agriculture
(y compris l'élevage, la sylviculture et la pêche), près de 14 pour cent; et l'exploitation minière et
l'énergie, pour environ 8 pour cent.
3. Les transferts de revenus effectués par les marocains résidant à l'étranger constituent la
principale source de devises, devant le tourisme, et les exportations de vêtements et de produits
miniers. Le secteur manufacturier contribue pour près des deux tiers de la valeur des exportations de
WT/TPR/S/116 Examen des politiques commerciales
Page 2
marchandises. L'agriculture, principal employeur dans le pays (44 pour cent de la population active),
compte pour environ 22 pour cent des exportations totales de marchandises.
4. L'industrie de textile et d'habillement a récemment enregistré des taux de croissance
relativement faibles du fait, entre autres, d'une concurrence plus poussée sur le marché international
des biens concernés. L'industrie du cuir rencontre des difficultés d'approvisionnement en peaux
brutes dues aux maladies et épidémies qui ont frappé l'élevage dans certains pays, et accru leur
demande sur les autres marchés.
5. La recrudescence de la sécheresse affecte la production agricole, déjà soumise à des
contraintes structurelles, telles que la forte proportion des petites exploitations familiales, l'utilisation
limitée des techniques modernes de production et de stockage, les coûts élevés de transport, et le
faible recours à l'irrigation.1 Toutefois, la relative diversification de l'économie a, dans l'ensemble,
atténué les effets des sécheresses de ces dernières années.
6. La monnaie nationale est le Dirham (DH); son taux de change est fixé par rapport à un panier
de cotation composé des monnaies des principaux partenaires commerciaux du Maroc, selon leur
importance dans les transactions commerciales et financières du pays. La compétitivité, telle qu'elle
est indiquée par le taux de change effectif réel, est demeurée relativement stable depuis 1995, avec
une légère détérioration de 1998 à 2000 (tableau I.2). En 2001, à la suite du réaménagement du panier
du dirham, le taux de change effectif réel a quasiment retrouvé son niveau de 1998.
Tableau I.2
Principaux indicateurs économiques, 1995-01
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001
Pourcentage
Divers
Taux d'accroissement du PIB réel -6,6 12,2 -2,2 7,7 -0,1 1,0 6,5
Taux de chômagea.. .. .. .. 13,9 13,6 12,8
Urbain 22,9 18,1 16,9 19,1 22,0 21,4 19,5
Rural ........5,45,04,5
Taux d'inflation (variation de l'Indice du coût
de la vie)b6,1 3,0 1,0 2,8 0,7 1,9 0,6
Taux d'intérêt .. .. .. 6,0 5,4 5,0 4,71
Pourcentage du PIB
Comptes nationaux
Consommation finale intérieure 89,0 88,0 86,5 86,1 85,2 86,8 ..
Administration publiques 17,4 16,9 17,8 18,0 19,2 19,2 ..
Ménages 71,6 71,2 68,7 68,1 66,0 67,6 ..
Consommation finale privée des résidents 68,5 67,4 65,3 64,4 61,8 62,8 ..
Formation brute de capital fixe 21,4 19,4 20,7 22,0 23,7 24,1 22,3
Variation des stocks -0,7 0,2 0,0 0,1 -0,3 0,4 ..
Exportations 19,0 17,2 18,8 17,7 19,0 20,3 ..
Importations -28,7 -24,9 -25,9 -26,0 -27,5 -31,4 ..
Pourcentage du PIB
Finances publiquesc
Déficit ou excédent global -5,2 -1,9 -3,1 -2,3 -0,7 -2,6 -4,2
Recettes ordinaires 23,9 24,6 24,6 26,0 28,5 30,3 23,3
Dépenses ordinaires 22,1 20,9 22,2 22,5 23,1 23,6 21,7
Service de la dette publique 6,0 5,3 5,2 5,1 5,4 4,9 4,3
Investissements 5,3 4,8 4,5 4,7 4,7 5,3 4,7
Tableau I.2 (à suivre)
1 FMI (2001).
Royaume du Maroc WT/TPR/S/116
Page 3
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001
Situation monétaire (au 31 décembre)
M1 (monnaie fiduciaire + monnaie scripturale) 5,5 5,1 7,7 6,7 11,5 8,2 15,9
M2 (M1 + placements à vue) 6,7 5,8 8,2 7,8 11,6 7,9 15,3
M3 (M2 + placement à terme) 7,7 6,7 9,2 6,0 10,2 8,4 14,1
Pourcentage du PIB
Balance des paiements
Balance commerciale -7,5 -6,0 -5,6 -6,5 -6,9 -9,7 -8,9
Exportations de biens et services 27,4 26,3 28,5 27,8 30,1 31,4 33,0
Importations de biens et services -34,1 -29,6 -31,8 -31,9 -33,9 -37,7 -36,3
Balance des comptes courants -3,9 -0,2 -0,5 -0,4 -0,5 -1,5 ..
Balance des comptes de capital et des opérations
financières -3,0 -2,2 -3,0 -1,8 -0,1 -2,3 ..
Dette domestique 33,3 34,6 38,2 38,1 39,5 42,2 47,5
Dette extérieure 46,1 41,0 41,0 36,6 35,9 33,5 29,1
Pourcentage
Taux de changes
Dirhams par dollars EU (fin de période) 8,469 8,800 9,714 92,550 10,087 10,619 11,560
Dirhams par DTS (fin de période) 12,589 12,653 13,107 13,031 13,845 13,836 14,528
Taux de change effectif nominal 100,0 100,7 102,6 103,8 105,5 108,9 106,4
Taux de change effectif réel 100,0 100,8 101,7 104,2 105,2 108,2 103,7
.. Non disponible.
a Population âgée de 15 ans et plus.
b 385 articles.
c Changement d'année fiscale en 1996, puis en 2000. Alors, les exercices budgétaires couverts par les statistiques du tableau sont
(dans l'ordre): 1995; 1996/97; 1997/98; 1998/99; 1999/00; et 2001
Source: Ministère de la prévision économique et du plan, Direction de la statistique (2000); FMI (2002); et
autorités marocaines.
7. La dette extérieure du Trésor a connu un recul continu depuis le début des années 1990, et
s'est établie en 2002 à 92,6 milliards de DH, contre 131 milliards en 1996; sa part dans l'endettement
global du pays est actuellement de 32,6 pour cent. L'encours de la dette publique totale par contre a
augmenté de 241,5 milliards de DH en 1996 à 284,1 milliards en 2002.
2) ÉVOLUTION ÉCONOMIQUE
8. L'économie marocaine a traversé une période assez difficile marquée par quatre sécheresses
en huit ans. Toutefois, si la sécheresse de 1995 a sérieusement affecté le PIB réel, les mesures mises
en place depuis lors et la poursuite de la diversification de l'économie ont contribué à contenir les
effets de celles de 1997, 1999, et 2000. Trois années de forts taux de croissance économique ont été
observées entre 1995 et 2001 (tableau I.2). Nonobstant les aléas climatiques, le Maroc a poursuivi ses
réformes économiques lancées depuis plusieurs décennies. Ces réformes, soutenues par des
partenaires tels que l'Union européenne, la Banque africaine de développement et la Banque
mondiale, ont pour objectif de mettre en place une stratégie de développement pour une croissance
économique forte, "saine" et durable. Cette stratégie passe, entre autres, par la recherche d'équilibres
macro-économiques. Des réformes structurelles (notamment la poursuite du programme de
privatisation, l'amélioration de l'environnement des affaires et l'octroi de divers avantages aux
investisseurs) ont été également mises en place afin de moderniser l'économie.
9. En matière de politique budgétaire, les mesures visant à contenir les dépenses ont surtout
consisté en l'élimination de certaines subventions (aux graines oléagineuses, aux huiles, et au sucre
pour usage industriel) et en l'amélioration de l'exécution du budget. Une amélioration des recettes a
été recherchée à travers l'élargissement de l'assiette fiscale, le relèvement du taux normal de la taxe
WT/TPR/S/116 Examen des politiques commerciales
Page 4
sur la valeur ajoutée de 19 à 20 pour cent en 1996, et l'amélioration de la collecte des droits et taxes.2
D'une façon générale, le déficit budgétaire a enregistré une tendance à la baisse depuis 1995.
Toutefois, cette performance a en partie résulté du financement des dépenses publiques par les
recettes issues des privatisations; des concessions accordées par l'Etat; et à titre exceptionnel, des
contributions apportées au budget de l'Etat par des entreprises publiques telles que l'Office chérifien
des phosphates (OCP) et l'Office national de l'électricité (ONE) en 1998. A terme, des réformes
budgétaires devraient s'avérer indispensables, étant donné qu'en l'absence de mesures concrètes de
contrôle de dépenses, le financement d'une part des dépenses courantes de l'Etat par des ressources
exceptionnelles pourrait difficilement durer.
10. Outre les objectifs globaux d'équilibres macro-économiques, la politique monétaire vise
spécifiquement à contenir l'inflation. A cet effet, un objectif de croissance annuelle de la masse
monétaire (en général M3) est fixé sous forme de taux ou de fourchette de taux sur la base de
l'évolution prévisible du PIB nominal, et des mesures sont, le cas échéant, prises pour corriger toute
variation anormale de liquidité susceptible d'avoir un impact négatif sur le niveau des prix. Outre le
taux de réserve obligatoire (de 14 pour cent en mars 2003 contre 10 pour cent en décembre 2002) sur
les dépôts à vue, des opérations de refinancement, d'open market (retrait et injection de liquidité sur le
marché) et de reprise de liquidité (en vigueur depuis 1999) sont utilisées pour corriger les variations
anormales de la masse monétaire. Ainsi, en 2001, une stérilisation monétaire a été opérée afin de
contenir les effets des flux de devises liés à la privatisation partielle (35 pour cent) de Maroc Telecom,
à l'accroissement des transferts opérés par des marocains résidant à l'étranger, à l'augmentation des
recettes touristiques, et aux cessions de billets de banque étrangers du fait du passage à l'euro. Elle a
été appuyée par des opérations d'open market et de reprise de liquidité, puis des baisses de taux
directeurs.
11. Au total, une discipline monétaire a été observée. Elle a été consolidée par le non-recours du
Trésor aux avances conventionnelles (depuis 1998) et statutaires (depuis 2001) de la Banque centrale.3
La politique monétaire a été donc un facteur déterminant dans la maîtrise de l'inflation au Maroc; elle
a contribué à maintenir le dirham relativement stable. Afin de renforcer l'ancrage du dirham à l'euro,
le Maroc a procédé, le 25 avril 2001, à un réaménagement du panier de devises composant sa
monnaie; le réaménagement a abouti à une dépréciation de 5 pour cent (soit une dépréciation du taux
de change effectif nominal de 3,6 pour cent et du taux de change effectif réel de 5,4 pour cent) du
dirham par rapport à l'euro.4
12. Aucune restriction de change n'est actuellement imposée aux paiements liés à des transactions
courantes.5 Cependant, certaines opérations en capital (y compris les investissements à l'étranger) par
les résidents marocains restent soumises à une autorisation préalable de l'Office des changes.
2 Les mesures prises afin d'améliorer la collecte des droits et taxes vont du renforcement et de la
modernisation de l'administration fiscale, à la lutte contre la fraude fiscale (à travers sa pénalisation à partir de
1997) et la contrebande (les droits de douane ont été réduits sur les produits qui en faisaient souvent l'objet).
3 Depuis 2001, le financement du Trésor se fait uniquement par des ressources du marché domestique.
4 Bank Al-Magrib (2002). Le réaménagement a été décidé à un moment où persistait la faiblesse de
l'euro par rapport au dollar américain, et dans une certaine mesure, une appréciation du dirham par rapport à
l'euro. Il visait notamment à rendre le dirham plus stable vis-à-vis de l'euro, monnaie du principal partenaire
commercial du Maroc.
5 Le Maroc a accepté l'article VIII des statuts du Fonds monétaire international le 21 janvier 1993.
Royaume du Maroc WT/TPR/S/116
Page 5
3) RÉSULTATS COMMERCIAUX ET INVESTISSEMENT
i) Échanges de biens et services
13. Le Maroc a traditionnellement enregistré des déficits de sa balance commerciale. Ces
déficits, additionnés à ceux du compte des revenus, ont généralement entretenu ceux de la balance des
opérations courantes, et ceci malgré l'excédent continu des comptes des transferts et des services
(tableau I.3). Toutefois, une forte augmentation des soldes excédentaires de transferts et de services a
permis un excédent important du compte des transactions courantes en 2001. Le solde
traditionnellement excédentaire des transferts provient principalement des revenus des marocains
résidant à l'étranger (en moyenne 88 pour cent de ce solde entre 1997 et 2001). Les réserves
extérieures nettes se sont établies à l'équivalent de 8,8 mois d'importations de biens et services non
facteurs en 2002, en augmentation par rapport à l'année 2001 (4,7 mois).6
Tableau I.3
Balance des paiements, 1995-01
(Millions de dollars EU)
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001
Solde du compte des transactions courantes -1296 -58 -169 -146 -171 -501 1606,0
Balance commerciale -2482 -2193 -1864 -2319 -2448 -3235 -3022,0
Exportations, f.a.b. 6871 6886 7039 7144 7509 7419 7142,0
Importations, f.a.b. -9353 -9080 -8903 -9463 -9957 -10654 -10164,0
Balance des services 283 961 747 864 1112 1142 1910
Crédits 2173 2743 2471 2827 3115 3034 4029,0
Débits -1890 -1782 -1724 -1963 -2003 -1892 -2119,0
Balance des revenus -1318 -1309 -1176 -1033 -985 -864 -833,0
Transferts courants (net) 2220 2483 2123 2343 2150 2456 3550,0
Solde du compte de capital -6 73 -5 -10 -9 -6 -9,0
Solde du compte d'opérations financières -984 -897 -990 -644 -13 -774 -967,0
Investissements directs au Maroc 92 76 4 12 3 221 144,0
Investissements direct à l'étranger -15 -30 -9 -20 -18 -59 -97,0
Investissements de portefeuille 20 142 38 24 6 17 -8,0
Autres investissements -1083 -1085 -1022 -660 -4 -954 -1006,0
Erreurs et omissions 391 209 175 160 123 114 230,0
Solde global -1895 -673 -988 -640 -69 -1167 860
Financement 1895 673 988 640 69 1167 -860
Avoirs de réserve 984 -274 -553 -248 -1636 416 -3842,0
Utilisation des ressources du FMI -101 -47 -3 0 0 0 0,0
Financements exceptionnels 1013 995 1544 887 1705 751 2982,0
Réserves officielles brutes
Réserves de change en mois d'importations de biens 4,6 5 5,4 5,2 6,7 5,4 9,9
Source: FMI (2002).
14. Les importations et exportations marocaines sont dominées par les produits manufacturés
(environ 62 pour cent des importations et 65 pour cent des exportations de marchandises en valeur en
2001). Les machines et le matériel de transport, les textiles et les produits chimiques constituent les
principaux produits importés (tableau AI.1). Les importations de textiles sont principalement liées
aux opérations de sous-traitance, surtout avec des partenaires résidant au sein de l'Union européenne
(UE). L'accroissement subit de leur part dans les importations totales de marchandises entre 1997 et
6 Ministère des finances et de la privatisation, Direction de la politique économique générale (2002).
1 / 11 100%

I. ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE 1) 1. Peuplé de près de 30

La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !