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Couverture : Classique
[Grand format (170x240)]
NB Pages : 354 pages
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Drame de Nation
Guy Kabenga-Tshibangu
28.88 511566
Guy Kabenga-Tshibangu
Drame de Nation
Drame de Nation Guy Kabenga-Tshibangu
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Introduction
De Washington à Paris via Londres, des grandes capitales occidentales
considérées comme les carrefours du système libéralisme déréglé relatifs
aux lobbies des financiers, la multiplication des réunions qui s’y déroulent
en rapport avec la moralisation du capitalisme témoigne par la
mondialisation et l’économie du marché du fait spéculateur des bourses.
Mais les temps changent et notre système économique dénigre les
valeurs morales au profit d’un libéralisme outré, souvent soutenu par des
puissances occultes. Des lors, comment ne pas s’interroger sur le sens de la
vie économique, de crise sociétale, pour en venir au problème fondamental
qui conditionne notre comportement financier = L’Etat a-t-il encore un
mot à dire sur l’économie nationale ? L’Etat est-il devenu impuissant ?
Il est à craindre que des crises sociétales graves imputables aux
spéculations bancaires aient de conséquences de plus en plus bouleversantes
dans l’avenir. Cela signifie que les Etats doivent envisager de nouveaux
genres de crises financières et économiques et l’éventualité de plus lourdes
pertes relatives à la croissance économique. En vertu du principe de
précaution, il serait avisé que nous nous préparions à des endettements
publics pharamineux.
La dette publique, on le sait maintenant, résulte le plus souvent d’une
volonté politique délibérée, et le problème de chômage serait facilement
résolu si toutes les couches sociales acceptaient d’en payer le prix. De
même, en acceptant de temps à autre de réduire le salaire de classe
dirigeante de quelques milliers de plus, nos sociétés modernes n’en
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souffraient pas et de nombreuses populations seraient sûrement moins
misérables dans la plupart de nos pays occidentaux.
La responsabilité de notre civilisation de son propre désastre sociétal est
donc bien réelle. Mais, nombreuses interrogations demeurent : Pourquoi les
misérables populations subissent-elles autant, voire plus que les responsables
de toutes les crises sociétales auxquelles beaucoup de communautés sont
confrontées, le châtiment relatif aux dérives spéculatrices des banquiers ?
Pourquoi nos gouvernements soi-disant égalitaristes tolèrent-ils que ceux
qui sont à la base de toutes ces crises financières et économiques fassent
fortune et que les innocents salariés ou ouvriers soient leurs victimes ?
Pourquoi ?
Depuis que le Concept du marché financier a vu le jour dans l’univers
économique, les hommes de bonne volonté se heurtent à cette exaspérante
et douloureuse question et cherchent des réponses. Aucune de ces
réponses, faut-il le dire, ne peut jamais être admise.
Ou bien elles nient la réalité de crise sociétale pour prendre ainsi la
défense du capitalisme libéral. Ou bien elles prennent acte de la réalité
relative au progrès industriel et à la crise sociétale, et attribuent l’un et l’autre
à deux principes antagonistes et irréductibles, à deux [ou plusieurs]
pouvoirs, protecteurs [les gouvernements] ou déstabilisateurs [les groupes
des financiers]. Par ailleurs, à chaque pas des annales du capitalisme, dans
tous les épisodes et au cours de toutes les crises sociétales qu’elles rapportent,
on voit s’affronter toujours ces deux principes, ces deux pouvoirs.
Solution aléatoire relative au libéralisme excessif, qui affuble les
groupes des financiers des pires vices de nos sociétés modernes et font
souvent des dirigeants politiques des clowns manipulés par des puissances
occultes [les lobbies financiers] qui ne valent pas mieux qu’eux.
Ou bien encore ils mettent financièrement en cause la souveraineté même
de l’Etat et laissent ainsi le gouvernement seul, unique critère du progrès
national ou de la crise sociétale, avec le vide et l’inquiétude qui en résultent.
Si l’Etat avait de l’influence sur l’économie, la crise frapperait-elle notre
société ? Verrait-on, comme c’est le cas, le chômage et la pauvreté frapper
autour de nous nos proches, nos amis, nos enfants ?
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Comment concilier l’existence d’un Etat protecteur avec toutes les crises
sociétales qui nous infligent journellement les groupes des financiers ? La
dette publique qui ne cesse jamais d’augmenter, les entreprises qui font
faillites presque tous les jours, le chômage qui augmente, les gens qui
n’arrivent pas à boucler leur fin des mois !
Que font-ils donc, les représentants de l’Etat ?
Il est certain que, dans la plupart des situations, c’est bien la civilisation
elle-même qui est à l’origine des crises sociétales. C’est la cupidité des
gouvernements qui affaiblissent leurs institutions publiques et, les livrent
ainsi entre les mains des puissances occultes – les groupes des financiers.
C’est de cette manière que je me pose la question en cherchant à ébaucher
une réponse claire. Elle vaut la peine d’être écoutée, car elle s’appuie sur
trois fondements solides, trois points d’appui, garanties d’une bonne
stabilité économique et financière.
En tant que simple observateur critique de problèmes sociaux que
traversent beaucoup de populations, il m’arrive de temps à autre de manier
les idées et les concepts sans les rendre faible ou les donner une fausse
apparence. Ainsi, je cherche à éviter toutes les réponses toutes faites des
spécialistes de l’économie du marché et les spéculations aventureuses
relatives aux groupes des financiers. Toutefois, je ne me détache jamais du
réel, de la densité de la pauvreté publique, et me garde de toute fuite dans
l’univers incompréhensible et désincarné des idées économiques.
Cette œuvre pédagogique est relative à ma soif incessante pour la justice
sociale, tout au long de ma vie, j’ai vu, côtoyé, vécu, ressenti continuellement
la souffrance des miséreuses populations victimes d’injustices sociales sans
cesser d’en être meurtri, mais sans cesser, non plus, de lutter contre toutes les
dérives du libéralisme déréglé en rapport avec les spéculations bancaires et la
pauvreté avec les armes intellectuelles triomphantes de l’Évangile du Christ.
Ce livre que je vous propose offre une réponse à ces interrogations. En
langage simple, intelligible, vif, je vous fais part de ma réflexion méthodique,
appuyée sur une documentation particulière. Ce n’est pas un texte écrit en
précipitation, mais le fruit d’une longue observation critique du système
capitaliste d’aujourd’hui, rendue compréhensible avec conviction et
bienveillance.
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